Les Actualités du 03 octobre 2014
Prolongement de l’Autoroute 19
Le BAPE entendra les résidants d’Ahuntsic, à Ahuntsic même
Peut-être justement à cause de cet intérêt, et des nombreux résidants présents à Laval ce soir-là, la commission d’enquête du Bureau d’audiences publiques sur l’environnement (BAPE) présidée par Anne-Marie Parent se déplacera à Ahuntsic, pour entendre les résidants et les élus qui ont prévu de prendre la parole le mercredi 22 octobre prochain, à 19 h , au Foyer 2 de la Salle Marguerite-Bourgeoys du Collège Regina Assumpta, 1750, rue Sauriol Est.
Élus satisfaits
Les élus du secteur se sont dits satisfaits de cette décision. « C’est une petite victoire, a déclaré Émilie Thuillier, conseillère du district d’Ahuntsic, et nous remercions le BAPE pour sa sensibilité à l’importance que la population montréalaise puisse faire part de ses préoccupations. ».
De son côté, la députée du comté de Crémazie, Marie Montpetit, s’est dite très heureuse que ses démarches, en collaboration avec celles des élus municipaux, aient porté leurs fruits.
Documentation disponible
Journaldesvoisins.com a vainement tenté d’obtenir la documentation du BAPE sur ce projet, la semaine dernière, laquelle devait être mise à la disposition des résidants, à la bibliothèque Ahuntsic, rue Lajeunesse. Les porte-parole de la bibliothèque et du BAPE nous ont confirmé, en début de semaine, que les résidants qui désiraient lire la documentation mise à la disposition de la population d’Ahuntsic par le BAPE, était maintenant disponible. Il faut s’enquérir auprès du bibliothècaire de référence, du côté de la section des adultes. (Par Christiane Dupont) (Crédit-photo: P. Rachiele) (2014-10-03)
Pour prendre connaissance du déroulement, des règles et des dates à connaître, cliquez ici
__________________________________________________________________________
Le CISSS du nord de l’Île englobera l’Hôpital du Sacré-Coeur, et les CSSS de Bordeaux-Cartierville et d’Ahuntsic-Montréal-Nord
Changements majeurs dans le réseau de la santé
Exit ces agences, et à la place, en décentralisant, on se retrouvera avec un nouveau vocable, le CISSS (on prononce « six » ou C-I trois S pour les nostalgiques des défunts C-R trois S) pour Centre intégré de santé et de services sociaux.
L’Hôpital du Sacré-Cœur, le CSSS de Bordeaux-Cartierville et celui d’Ahuntsic-Montréal-Nord se retrouveront sous la férule du CISSS du Nord-de-l’île. « Le territoire sera autonome, un palier disparaîtra, on n’aura pas besoin de passer par une agence (celle de Montréal) », a précisé la députée de Crémazie, Marie Montpetit, qui prévoit que le projet de loi sur la réforme Barrette devrait avoir été adopté au plus tard en décembre. Mme Montpetit estime que cette réforme annoncée dans le domaine de la santé, il y a une semaine, sera « bénéfique », entre autres pour les citoyens du nord de la ville.
« Les particularités de notre région ont été prises en compte dans ce projet de transformation qui permettra une véritable intégration des services sur le territoire de Montréal, de déclarer Mme Montpetit. Sa mise en œuvre est une excellente nouvelle pour nos citoyens qui n’auront à cogner qu’à une seule porte pour accéder aux services dont ils ont besoin », a-t-elle mentionné.
À son avis, il sera, promet-on, plus facile pour un citoyen de se retrouver dans un réseau que d’aucuns qualifient de « lourd et fort complexe ». « Les changements permettront ainsi un parcours de soins plus simple et plus fluide pour les patients», a soutenu la députée, qui compte 15 ans d’expérience à l’intérieur même du réseau de la santé.
Particularités de Montréal
En raison des particularités d’une métropole comme Montréal et de la composition de sa population, l’île aura une structure différente des autres régions.
Il y aura cinq CISSS avec une désignation géographique et la nôtre porte bien son nom. Il prendra aussi sous son aile le Centre de réadaptation en déficience intellectuelle et en troubles envahissants du développement de Montréal, localisé sur la rue Port-Royal.
Moins de c.a.
Il y avait encore certains établissements (hôpitaux, CHSLD ou centres d’hébergement) qui avaient en bonne et due forme un conseil d’administration mais ce ne sera plus le cas une fois le projet de loi adopté. « Le nombre de c.a. passera de 200 à 28 », a indiqué Mme Montpetit, qui signalait au journaldesvoisins.com que des personnes avaient contacté son bureau de circonscription pour soutenir la réforme ou s’informer sur son impact éventuel.
Compressions réseau
Entre-temps, le plan « d’optimisation » de l’Agence de la santé et des services sociaux (ASSS), pas moins de 87 millions de dollars dont près de six millions pour les deux CSSS dans le nord de la ville, continuent de faire jaser.
Le ministre de la Santé et des Services sociaux du Québec, Gaétan Barrette, a dit que des compressions prévues par l’Agence de la santé et des services sociaux de Montréal en santé mentale et pour les soins aux personnes âgées seront annulées.
Plusieurs groupes d’intérêt avaient dénoncé les coupes dans ces créneaux précis, quelques jours après avoir décrié la réforme. Les syndicats disent ne pas croire que l’abolition d’un palier permettra de dégager des montants importants.
Mais concrètement, au chapitre des plans d’optimisation, le CSSS d’Ahuntsic et de Montréal-Nord devra trouver de nouvelles façons de faire pour aller chercher 3,7 millions de dollars en économies.
Pour sa part, le CSSS de Bordeaux-Cartierville a une commande pour économiser deux millions. (Par Alain Martineau) (2014-10-03)
__________________________________________________________________________
Référendum sur FLO
Les commerçants accepteront-ils de créer une SDC?
L’Association des gens d’affaires de Fleury Ouest, un peu à bout de souffle par l’ampleur que prend la promotion de la rue et l’organisation des nombreuses activités de quartier, a proposé la création de la SDC.
Si le référendum passe (50 % + 1 vote), les commerçants devront obligatoirement cotiser 500 $ annuellement. La SDC récoltera ainsi environ 45 000 $. L’arrondissement versera 60 000$ annuellement. La SDC de Fleury Ouest pourra ainsi compter sur environ 120 000 $ annuellement pour ses activités.
Des bénévoles essoufflés
Le nouveau c.a. de l’Association des gens d’affaires pourra alors retenir les services de consultants pour la gestion des activités. Un nouveau conseil d’administration de neuf personnes sera créé. Chaque commerçant pourra présenter sa candidature afin d’être élu au nouveau conseil. À l’heure actuelle, tout est organisé par les commerçants qui sont bénévoles.
Rappelons que depuis quelques années, le nombre d’activités, telles que les mercredis pique-nique, la fête de quartier et d’Halloween et la cabane à sucre sont organisées bénévolement par les commerçants. En ce moment, les commerçants qui le désirent, contribuent pour 250 $ annuellement à l’Association des gens d’affaires.
Jean Gauthier, président de l’Association des gens d’affaires de Fleury Ouest, dit que la création d’une SDC est essentielle, sans quoi, plusieurs activités qui profitent aux commerçants, mais aussi aux résidants, risquent tout simplement de disparaître.
« Nous voulons maintenir le dynamisme sur la rue. Ça fait cinq ans que nous faisons du bénévolat. Ce n’est pas quelque chose qui est facile à soutenir à long terme. Nous sommes essoufflés.»
Jean Gauthier ajoute que cette vie de quartier aide à conserver les clients qui sont abondamment sollicités par les centres commerciaux avoisinants et ceux des villes en périphérie, ainsi que des autres SDC environnantes. « La rue est au coeur du quartier; on a vraiment créé un esprit de village qui est intéressant et que les gens aiment beaucoup. »
Épanouissement
Pour sa part, le directeur général de la Caisse populaire, Michel Meloche a vu comment, au cours des dernières années, Fleury Ouest s’est épanouie. Créer un organisme permanent pour poursuivre cet épanouissement est vital, estime-t-il. « Un beau quartier, ça passe par un développement économique fort. »
Toutefois, certaines entreprises ne sont pas du tout d’accord avec la création d’une SDC. Yvan Noé Girouard, le directeur général de l’Association des médias écrits communautaires du Québec (AMECQ), explique que son organisme ne profite pas des activités du quartier et qu’il est injuste de les forcer à contribuer.
« Nous n’avons pas de clientèle locale. Nous sommes à l’échelle nationale. Tout se fait par courriel. Nous ne sommes pas contre l’épanouissement de la rue Fleury, mais la loi est mal faite : tous ceux qui sont contre, sont obligatoirement membres. Ça devrait être un libre choix » M Girouard ajoute que certains petits commerçants qui n’ont pas de gros chiffres d’affaires hésitent à voter en faveur de la SDC, justement à cause de cette cotisation obligatoire.
« Nous aurions préféré avoir deux ou trois paliers de contribution, mais la Ville ne nous le permet pas », explique Jean Gauthier, qui précise que la contribution sera peut-être gelée à 500 $ pour les cinq prochaines années, selon la décision que prendra le nouveau conseil d’administration qui sera formé par la suite.
Les commerçants peuvent voter le dimanche 5 octobre, de 10 h à 20 h, à la salle du conseil d’arrondissement, au 555 rue Chabanel Ouest, 6e étage. Les résultats seront connus peu après la fermeture du vote. (Par Mélanie Meloche-Holubowski) (2014-10-03)
__________________________________________________________________________
Pour un environnement vert dans l’arrondissement
Les citoyens proposent de nombreuses idées
Lundi 29 septembre, près d’une cinquantaine de participants, dont plusieurs élus (le maire Pierre Gagnier, les conseillères Émilie Thuillier et Lorraine Pagé, et le conseiller Pierre Desrochers) ont discuté pendant près de deux heures sur ces sujets.
Plusieurs idées sont ressorties des discussions et les participants ont démontré une réelle volonté d’améliorer leur voisinage.
Collaboration entre OBNL
Différents organismes représentés lors de la soirée ont suggéré plus de liens avec les organismes en environnement. Par exemple, les récoltes en trop des jardins communautaires ou privés peuvent être donnés à des cuisines collectives; ou des aînés peuvent aider à cultiver un jardin chez un voisin ou dans une école.
Pourquoi ne pas parrainer des arbres fruitiers et partager les récoltes, ont suggéré d’autres citoyens? Pourquoi ne pas convaincre les propriétaires de terrains vagues de cultiver leur terre, le temps que leur projet immobilier soit entamé?
Visiter les plus beaux jardins
S’il existe maintenant des visites guidées des ruelles vertes, certains citoyens ont proposé des visites des plus beaux jardins du quartier. Le partage des récoltes et des plantes a été souvent évoqué. Certains ont suggéré un bazar, d’autres ont proposé de créer une page Facebook ou un site de type-Kijiji, où les gens pourraient échanger avec les gens du secteur qui ne sont pas nécessairement des voisins immédiats.
Plus de supports à vélos!
De citoyens ont demandé que le nombre de supports à vélo près des commerces soit augmenté et que les gens puissent verrouiller leurs bicyclettes sur les poteaux et les parcomètres.
Éducation à l’environnement
Les participants ont souvent plusieurs fois évoqué l’importance d’éduquer les jeunes à l’environnement. Plus de programmes de compostage et de jardinage devraient être mis en place, croient-ils. Certains ont dit qu’ils aimeraient que les écoles obtiennent de d’aide pour réduire les cours d’écoles asphaltées, et du même coup, les îlots de chaleur.
Et les pédibus?
Aussi, une participante a proposé la mise en place de pédibus pour les écoliers, possiblement, en collaboration avec la Ville. Et pour réduire la vitesse dans les rues, pourquoi ne pas installer des bacs à fleurs, plutôt que des poteaux?
Liaison Est-Ouest
Si la Société de transports de Montréal (STM) n’était pas présente lors de la soirée, de nombreux participants ont fait part de leur souhait de voir un meilleur service de transport en commun d’est en ouest. En outre, un lien cyclable d’est en ouest est également souhaité.
Comme ont constaté les organisateurs de la soirée, les idées citoyennes ne manquent pas. Reste à voir ce qui pourra être accompli avec les ressources et le financement qui est disponible.
Enfin, Anne-Christine Lajoie, de l’arrondissement a rappelé l’importance de l’écocitoyenneté. « Il faut faire des gestes à la maison. Mais si plusieurs citoyens font des gestes, nous avons alors un mouvement. On a besoin de votre aide », a-t-elle conclu. (Par Mélanie Meloche-Holubowski) (2014-10-03)
Lisez le BILLET de notre chroniqueur Patrick De Bortoli sur cette même soirée, un peu plus bas dans cette page.
__________________________________________________________________________
Bilan positif du commissaire de Bordeaux-Ahuntsic
André Gravel quitte ses fonctions avec le sentiment du devoir accompli
Le représentant de la circonscription scolaire de Bordeaux-Ahuntsic estime qu’il était temps de passer le flambeau à la relève. « J’ai été un gars chanceux, a confié M. Gravel au journaldesvoisins.com, quelques jours après avoir écrit son bilan de carrière en tant que commissaire, après avoir passé plus de 11 ans à la CSDM comme commissaire de Bordeaux-Ahuntsic, années durant lesquelles il a occupé aussi diverses fonctions.
Chanceux, dira-t-il, d’avoir vu grandir l’institution, le travail effectué par seize mille employés dévoués pour que les élèves atteignent l’objectif de la réussite scolaire.
« Je passe le relais à d’autres », a-t-il mentionné, mais il compte bien rester un citoyen engagé, lui qui s’intéresse depuis belle lurette aux enjeux sociaux.
Plusieurs chapeaux
Avec son expérience sur le terrain, celle acquise tout au long de sa carrière (comme conseiller syndical, médiateur, enseignant, ou administrateur), il avait le profil idéal pour s’occuper de la vice-présidence de la CSDM, des ressources humaines, des finances, pour ne nommer que ces postes. Pour lui, Il est important malgré le nombre élevé d’employés, d’avoir une organisation « souple et efficace ».
Mais même responsable de divers comités au sein de la CDSM, il tenait, parallèlement, à rester « collé » sur la communauté. « C’est le quartier de résidence de ma famille, depuis maintenant 40 ans, a-t-il relaté. En participant à la vie des écoles Saint-Simon-Apôtre, Christ-Roi, Saint-Benoît, Ahuntsic et son annexe, Saint-André-Apôtre, Fernand-Seguin, et l’école secondaire Marie-Anne, je me suis enraciné davantage dans Ahuntsic. En prenant part à la vie de la CSDM, une grande institution, indéniablement, j’ai acquis de nouvelles connaissances », a dit le commissaire sortant. L’addition de ces engagements lui a permis de saisir encore mieux les besoins des gens et du quartier.
Et intérêts variés
Tout au long de sa carrière, André Gravel a aussi mis l’accent sur la participation des parents dans les divers comités des écoles. L’éducation des adultes aussi a eu une large place, de même que la formation professionnelle.
« L’école est au cœur de tout, aimait répéter le commissaire. Pour préparer sa vie, pour s’équiper, il faut passer par l’école. Pour profiter des arts, de la culture, de la technologie, pour comprendre le monde, il faut aussi commencer à l’école. Pour apprendre à vivre avec d’autres, pour se tailler une place dans le développement économique de notre société, l’école est indispensable. Il n’y a rien de plus important que l’éducation, absolument rien », a-t-il martelé dans sa lettre de départ.
Contextes difficiles
André Gravel n’a pas caché que la préparation du budget (un milliard de dollars) n’est pas une sinécure. « C’est devenu de plus en plus difficile, sinon impossible, par la succession de compressions qui nous viennent de Québec…Il faut agir avec rigueur et rationalité, a-t-il averti, alors que des choix douloureux sont à faire. »
Avant de quitter, M. Gravel notera aussi au passage que les modifications apportées à la loi et celles à venir ont de quoi inquiéter. « Faire passer le nombre de commissaires de 21 à 12 m’apparaît irréaliste, car le commissaire n’arrivera tout simplement pas à être aussi présent dans toutes ses écoles. La tâche du commissaire sera encore plus exigeante, car il faut bien y ajouter la vie de famille et le gagne-pain », a-t-il analysé.
Avenir incertain
Interrogé par le jdv sur les projets d’abolition des commissions scolaires ou de réforme qui tomberont au lendemain de l’élection scolaire, M. Gravel se déclare peu surpris, mais il lance un avertissement. « Ce n’est pas récent ces attaques qui sont graves. C’est dommage. Sachons qu’au Nouveau-Brunswick, trois ans après leur disparition, les commissions scolaires ont refait surface. Et que feraient les Tribunaux d’une décision aussi grave que celle d’abolir les commissions scolaires? », s’est interrogé André Gravel.
Il estime que la CSDM a atteint une taille optimale, et qu’il n’y aurait pas d’économies d’échelle à la faire grossir davantage, par exemple. « Imaginons des bouleversements. Il faudrait encore des années pour qu’une chatte retrouve ses petits », a signalé celui qui semble plutôt opter pour le statu quo.
Repos bien mérité
André Gravel n’ose pas trop penser, pour l’instant, à ces changements profonds qui risquent d’arriver rapidement. Il a ou il a eu des membres de sa famille et des amis qui ont joué un rôle important au sein des écoles. Il en est fier, et également de voir ses petits-enfants grandir en fréquentant les écoles primaires publiques du quartier, ajoute-t-il avant de signaler qu’il passe maintenant à une autre étape de sa vie. (Par Alain Martineau) (2014-10-03)
__________________________________________________________________________
Percée visuelle sur la rivière au parc Nicolas-Viel
.L’arrondissement a fait couper quelques arbres
__________________________________________________
Vendu en 1973 pour 145 000 $, racheté 2 650 000 $
L’Institut Lucien-Guilbault avait déjà appartenu à la CSDM
Vendue en juin 1973, au coût de 145 000 $, au Centre pédagogique de Montréal à la suite d’une baisse du nombre d’élèves dans le secteur, l’école deviendra l’Institut Lucien-Guilbault, un établissement privé pour des enfants de niveau primaire ayant des problèmes graves d’apprentissage.
Depuis quelques années, la CSDM est confrontée à une hausse de clientèle scolaire dans Ahuntsic. Pour pallier la situation, les commissaires de la CSDM ont racheté cet établissement au coût de 2 650 000 $. Quarante ans plus tard, comme les maisons du quartier, la valeur des immeubles a augmenté de façon exponentielle.
Pourquoi ne pas l’avoir gardée?
La CSDM n’aurait-elle pu garder cette école, à l’époque, plutôt que de la vendre, puis de la racheter? « On tente le plus possible de garder des endroits bien situés géographiquement, de préciser le commissaire de Bordeaux-Ahuntsic, André Gravel, mais il arrive parfois que l’on doive se départir de bâtiments qui, à la suite de baisses de clientèle, ne servent plus et coûteraient trop cher à chauffer et à garder en bon état. »
Malgré la hausse du marché immobilier au cours des dernières 40 années, il n’en reste pas moins que la différence entre les prix de vente et de rachat est impressionnante, surtout quand on connaît l’état actuel des finances de la CSDM et les compressions majeures qui sont exigées par le ministre de l’Éducation. (Par Christiane Dupont) (2014-10-03)
__________________________________________________________________
Mauvais souvenirs disparus
« Trou » à vendre sur la rue St-Urbain
Depuis 2008, ce duplex situé tout à côté de la Crémière était à l’abandon. Un double meurtre avait eu lieu à cet endroit, puis le meurtrier y avait mis le feu avant de s’enfuir. Il croupit maintenant en prison. Journaldesvoisins.com en avait parlé dans ses Actualités du 5 septembre 2012 questionnant l’arrondissement et la conseillère du district, Émilie Thuillier, sur la dangerosité du site et l’aspect très rébarbatif de l’immeuble en question (plantes envahissantes, fenêtres et portes placardées de bois, etc.) pour un secteur résidentiel somme toute agréable.
Deux ans plus tard, voilà que la propriétaire a décidé de faire abattre l’immeuble en question, supputant sans doute qu’elle ne pourrait vendre la bâtisse en l’état, surtout à cause du crime qui y était survenu.
Selon un des agents immobiliers Remax responsables de la vente, il y avait plus de cinq ans que le duplex n’était pas habité, pas chauffé, et l’immeuble avait également été vandalisé… « Dans l’état actuel des choses, nous a mentionné Patrick Drouin, cela aurait demandé des rénovations majeures si la propriétaire avait voulu remettre l’immeuble en bon état. »
La propriétaire demande la jolie somme de 499 000 $ pour le terrain et fournit des plans d’architecte pour que deux maisons de ville semi-attachées soient construites sur les lieux, le cas échéant. (Par Christiane Dupont) (2014-10-03)
Pour plus d’infos, cliquez ici.
__________________________________________________________________________
C’était la Semaine de l’école publique!
Avec des bouleversements à venir dans le réseau scolaire
.Après la santé, au tour de l’éducation
Ces hypothèses sont du carburant pour la campagne électorale scolaire alors que dans un mois, on sera fixé sur les nouveaux élus et le taux de participation, déjà fort faible dans le passé, moins de 4% sur le territoire de la Commission scolaire de Montréal (CSDM). Et c’est dans un mois que le ministre Bolduc dévoilera ses intentions.
Semaine de l’école publique
Tout ça arrive alors que le milieu scolaire, pour une sixième année, se mobilise pour défendre l’école publique, une initiative de la Fédération autonome de l’enseignement (FAE).
Le syndicat des enseignants mise cette année sur l’importance du préscolaire, une étape cruciale menant à la réussite scolaire et sociale, à son avis.
La maternelle 4 ans à plein temps est implantée progressivement dans les commissions scolaires, en milieu moins nantis. Fort heureusement, il semble y avoir consensus sur la question.
Jocelyne Cyr
Dans Ahuntsic-Cartierville, Jocelyne Cyr, candidate à la présidence de la Commission scolaire de Montréal (CSDM) s’étonne que le ministre Yves Bolduc refuse de s’asseoir pour discuter, échanger sur les enjeux majeurs en éducation alors qu’il parle de changements profonds pour les prochaines années.
« Il compte agir sans vouloir parler aux intervenants du milieu, c’est une approche pour le moins bizarre », a indiqué Mme Cyr en entrevue au journaldesvoisins.com. Comme on se retrouve en pleine campagne électorale scolaire, Mme Cyr estime qu’il est crucial d’échanger sur le rôle de l’école, son financement, par exemple, alors que l’on parle tant de réussite scolaire.
Public versus privé
Mme Cyr a livré elle aussi un plaidoyer pour la défense de l’école publique mais elle doit encore se défendre d’avoir envoyé deux de ses trois enfants au secondaire privé.
« Ce n’était pas mon choix, a reconnu d’emblée Jocelyne Cyr. La discussion a eu lieu en famille et il a fallu trancher », a répliqué la commissaire scolaire qui était autrefois dans la famille du Mouvement pour une école moderne et ouverte (MÉMO).
« J’appuie entièrement l’école publique, a soutenu Mme Cyr, et je déplore qu’elle soit victime de beaucoup de préjugés. Des gens qualifiés se retrouvent au sein de nos écoles, nous avons tous les moyens pour développer le potentiel des élèves », a-t-elle soutenu alors que se termine la Semaine de l’école publique.
Interrogée à ce sujet par journaldesvoisins.com, la présidente sortante de la CSDM et candidate du MÉMO pour cette même fonction, Catherine Harel-Bourdon, qui a trois enfants aussi, a insisté sur l’importance d’être en symbiose avec ce que l’on prêche.
« Je considère que dans nos choix individuels, dit-elle, il faut être cohérent avec ses valeurs et ses actions. C’est pourquoi mon choix familial pour mes enfants a toujours été l’école publique innovante, multiculturelle et ouverte à tous. C’est aussi ce que je défends comme candidate à la présidence de la Commission scolaire de Montréal », nous a-t-elle mentionné dans le cadre d’un échange de courriels.
Programme, équipe et combat
L’équipe électorale de Mme Cyr, Priorité écoles, présente des candidats presque partout, dans dix des 12 circonscriptions électorales scolaires. Son programme sera connu dans quelques jours alors que le MÉMO au pouvoir a mis au point sa plateforme dimanche dernier avec ses candidats tapissant au complet le territoire de la CSDM.
Catherine Harel-Bourdon mène un combat pour sa réélection et elle est aussi au front contre les compressions exigées par Québec qui a imposé un vérificateur à la CSDM. Le dernier budget de la commission scolaire avait encore un déficit mais le MÉMO tient mordicus à se battre pour trouver le financement nécessaire afin de garantir la qualité de l’enseignement.
MÉMO : plusieurs combats
L’équipe du MÉMO, en rupture de ban avec le ministre de l’Éducation, a donc tenu tête au gouvernement qui lui demandait de sabrer 9 millions de dollars dans son budget en août dernier.
Catherine Harel-Bourdon, en poste depuis juillet 2013, a défendu son choix de dire non aux compressions. « Des commissaires du MÉMO ont refusé d’abolir des programmes tels que l’aide aux devoirs, les projets communautaires pour les élèves et le programme de qualité de l’air. Nous sommes ouverts à trouver des pistes d’économies, mais le gouvernement doit aussi reconnaître le sous-financement de certains services comme ceux destinés aux enfants handicapés et en difficulté », a précisé Mme Harel-Bourdon.
Dans son programme, le MÉMO dit vouloir continuer de développer des programmes variés axés sur les sciences, la culture, les langues et la littérature, les sports, les arts, l’innovation technologique et l’entrepreneuriat. (Par Alain Martineau) (2014-10-03)
__________________________________________________
Un incendie en pleine nuit
Le bar Lajeunesse a pris un coup de vieux !
Au parc Nicolas-Viel
Installation d’une rampe d’accès pour chaises roulantes
Lettre ouverte reçue cette semaine
Les résidants du district de Saint-Sulpice paient des taxes, eux aussi ! (Mina De Vincenzo)
Cliquez ici pour lire les « Lettres ouvertes »
__________________________________________________________________________
«On veut voir tout le parc Tolhurst!»
__________________________________________________________________________
Succès du marché des saveurs de Bordeaux-Cartierville
Dévoilement d’une murale au parc Louisbourg
Cliquez ici pour voir les autres photos de la journée
Don de 70 000 $ au Centre François-Michelle!
Pour rénover la cour de l’école, rue Meunier
_________________________________________________________________________
BILLET
Ahuntsic s’exprime sur ses priorités environnementales!
Une édition spéciale de la chronique de Patrick De Bortoli
Ne soyons pas trop amers! Il existe bel et bien une fibre démocratique et participative indomptable, cimentée au cœur de la classe citoyenne, cherchant seulement le moment et l’occasion pour exprimer sa nature d’agent social, créateur d’avenir. Elle sommeille, là, en chacun de nous, et cherche à reprendre espoir et confiance en elle-même. En sa capacité d’agir comme porteur de rêves et de réalisations sociales, à son image.
Elle s’exprime aujourd’hui au travers d’une mèche « rebelle », d’une poignée de citoyens infatigables et motivés, toujours aux aguets et qui veillent sur l’ensemble, par leur engagement constant, leur dévouement et leur bonne foi. Ils sont derrière les projets citoyens portés par des regroupement tels que Ville en vert, l’arrondissement Ahuntsic-Cartierville et Solidarité Ahuntsic, qui ont organisé la soirée de lundi : « Ahuntsic vert. Exprimez-vous! ». L’idée était de regrouper citoyens, politiques et organismes communautaires, afin de stimuler la réflexion sur les priorités environnementales d ‘aujourd’hui et de demain, dans l’arrondissement. Et nombreux sont ceux qui ont répondu à l’appel!
Pas massif, mais…
Ça veut dire quoi? Ça veut dire une cinquantaine de personnes, dont une vingtaine de citoyens, une vingtaine de représentants d’organismes communautaires, quelques élus notables et autres membres de la communauté. On est loin d’une mobilisation massive, certes, mais dans le contexte d’une démocratie sommeillante, on peut parler d’un succès! Et voici pourquoi.
Premièrement, la réussite de la mobilisation orchestrée par ces trois organismes. Réunir une cinquantaine de personnes, un lundi soir, pour échanger, pendant deux heures, sur l’environnement dans son arrondissement : il faut quand même le faire!
Deuxièmement, le déroulement de la soirée. Il s’agissait de prendre place à une table pré-assignée, avec sept ou huit autres participants, et de partager, en 24 minutes, nos idées de solution sur deux thèmes précis, soit l’agriculture urbaine, et le verdissement et la biodiversité. Chaque table avait son modérateur qui prenait bien soin de nous remettre sur la bonne voie quand nous avions tendance à digresser et à bien noter et synthétiser les idées exprimées. Les 24 minutes écoulées, on s’orientait vers notre deuxième table, avec de nouvelles personnes, et là, nous avions encore deux fois 12 minutes pour échanger sur les thèmes suivants : la gestion des matières résiduelles et la mobilité durable.
Rythme soutenu
Certains se sont plaints du tempo trop précipité, du manque de temps pour approfondir davantage les sujets proposés; ce n’était certainement pas la richesse d’idées qui manquait! En revanche, de mon point de vue, c’était une des forces de cette soirée. Un rythme soutenu qui stimulait l’effort de synthèse. On devait aller droit au but, être laconique et rester collé aux thèmes de la soirée. L’objectif, j’ai l’impression, était de provoquer une hémorragie d’idées. Une autre raison du succès du déroulement a été l’insistance des organisateurs à cibler les solutions aux défis d’aujourd’hui et de demain, plutôt que de s’étendre sur les problèmes. Nous étions aussi encouragés à accoler à nos propositions de solution, des moyens pratiques pour les voir se concrétiser.
Troisièmement, le renforcement du lien social et l’enrichissement par la diversité. En « forçant » ces interactions entre divers acteurs sociaux, qui se connaissaient déjà, peu ou pas du tout, des liens se sont tissés. Différence de rôles et de perspectives (citoyens, organismes, élus, etc.), il y eu enrichissement par la diversité. L’un et l’autre contribuant, à leur façon, au renforcement de la cohésion sociale.
Finalement, un début de jumelage et de croisement entre ce qu’on pourrait qualifier d’intérêts individuels, d’intérêts collectifs et d’intérêt général. Je m’explique.
Agents sociaux et intérêts
Pour qu’une société puisse aller de l’avant et concrétiser des projets durables, les divers agents sociaux, porteurs du changement, doivent prendre en compte et conjuguer ses trois niveaux d’intérêts. Les premiers, illustrés par les souhaits et désirs des citoyens individuels, sont importants à considérer dans la mesure où ils représentent l’expérience quotidienne du citoyen en relation avec son environnement. En revanche, guidée par eux seuls, la société s’y perdrait dans les contradictions et les lubies particulières.
Les intérêts collectifs, représentés par les regroupements sociaux (syndicats, patronats, organismes communautaires, etc.) sont caractérisés par les demandes particulières de groupes sociaux (donc d’une collectivité) qui souhaitent mettre de l’avant leurs valeurs, objectifs et autres dont bénéficieraient leurs membres. Ici encore, il est impératif d’entendre les revendications et besoins de ces groupes qui représentent un nombre considérable de gens et font avancer des causes importantes, par la force du nombre et de leur degré d’engagement. N’entendre qu’eux, en revanche, nuirait aux intérêts individuels, de même qu’à l’intérêt général, qui perdrait au bénéfice des groupes les mieux organisés et influents.
L’intérêt général lui (théoriquement incarné par l’État, élus, mais pas nécessairement) se préoccupe de l’ensemble des membres de la société, avec une considération uniforme des notions de parité et d’égalité. Considéré seul, il assurerait une uniformité du bien être général, mais pourrait également agir positivement ou négativement comme barrière aux intérêts individuels et collectifs.
C’est un début !
Lundi soir, il y eut un début de croisements de ces intérêts, avec la diversité de participants et du rôle qu’ils exercent dans la toile sociale. C’est tout de même significatif, même à petite échelle!
Je tiens donc à remercier et à féliciter Ville en vert, l’arrondissement Ahuntsic-Cartierville, Solidarité Ahuntsic, les représentants et membres d’organismes communautaires, les citoyens motivés et les élus qui se sont présentés et qui sont restés pour participer.
En espérant que ce ne soit qu’un premier volet d’un plus long processus de consultations populaires sur le thème de l’environnement, dans notre arrondissement. Un second serait peut-être nécessaire pour approfondir et concrétiser davantage quelques-unes des propositions les plus mentionnées et les plus innovatrices de cette soirée.
C’est un rendez-vous, peut-être!
Patrick De Bortoli, alias Fermier Ahuntsic.
__________________________________________________________________________
BRÈVES…BRÈVES…BRÈVES…BRÈVES…BRÈVES…BRÈVES…
Apprenez à
organiser la comptabilité et la
gestion de votre entreprise! Vous souhaitez comprendre et appliquer les
notions fondamentales de la tenue de vos livres comptables? La CDEC
Ahuntsic-Cartierville vous propose une formation de 36 heures, en collaboration
avec le Centre de ressources éducatives et pédagogiques de la Commission
scolaire de Montréal. Les mardis, de 9 h à 12 h, à partir du 7
octobre 2014, 50 $ pour les membres de la CDEC, 70 $ pour les non
membres. Inscriptions 514 858-1018 (Source : CDEC)
Les bureaux administratifs de l’arrondissement, incluant le bureau Accès Montréal et le comptoir des permis, situés au 555, rue Chabanel Ouest, bureau 600, seront fermés le lundi 13 octobre. Notez que l’horaire habituel de la collecte des ordures ménagères, des matières recyclables et des résidus verts demeure inchangé le 13 octobre.
Les installations suivantes seront fermées le lundi 13 octobre prochain :
La piscine Sophie-Barat, située au 10851, rue St-Charles (bain libre);
Les trois bibliothèques de l’arrondissement;
– Ahuntsic, située au 10300, rue Lajeunesse
– Cartierville, située au 5900, rue de Salaberry
– Salaberry, située au 4170, rue de Salaberry
La maison de la culture Ahuntsic-Cartierville, située au 10300, rue Lajeunesse;
Le Café de Da, situé au 545, rue Fleury Est;
Les centres de loisirs, sauf le centre de bocce (ouvert de 13 h 30 à 17 h et de 19 h à 22 h 30)
Ouvert
YMCA Cartierville – bain libre de 7 h 30 à 20 h.
Tous les terrains de tennis demeurent ouverts.
Pour de plus amples renseignements, communiquez avec le service du 311 ou consultez notre site Internet : www.ville.montreal.qc.ca/ahuntsic-cartierville.
La visite, donnée dans le cadre des Journées de la culture et de l’OPAM affichait complet. Devant le succès de l’activité, la visite «patrimoine en évolution» sera ajoutée à la liste des visites guidées disponibles pour les groupes. (Source : Cité historia) Cité historia a offert une visite guidée sur le patrimoine modifié ou disparu du Sault-au-Récollet. |
Nat Gorry, photographe professionnelle de grande expérience, a démarré en mars dernier son entreprise « NAT GORRY – eCOM STUDIO PHOTOGRAPHY » (www.natgorry.com) dans le quartier Chabanel. La CDEC Ahuntsic-Cartierville a financé et soutenu cette entrepreneure qui se donne comme mission d’épauler les entreprises de la mode. Elle offre des services spécialisés pour la vente en ligne (e-Commerce) : photographie, vidéo, direction artistique, post-production, consultation et location d’espace pour les séances photo. (Source : CDEC)
|
LE COIN COMMUNAUTAIRE
|
Vous êtes d’un organisme communautaire? Vous désirez faire part à nos lecteurs/lectrices des activités, succès ou questionnements de votre organisme? Écrivez-nous à journaldesvoisins@gmail.com, ou appelez-nous au 514 770-0858. Prenez note que nos jour et heure de tombée sont désormais le mercredi de chaque semaine, à 17 heures. |
Téléphone : 514-388-0980 Courriel : info@cfse.ca. Suivez-nous sur Facebook! (Source : CFSE)
Formation – Initiation à la recherche sur internet :
Bibliothèque Ahuntsic le 4 octobre de 11 h à 12 h 30. Inscriptions : 514 872-0568.
Formation – Initiation au courriel
Bibliothèque Ahuntsic le 11 octobre de 11 h à 12 h 30. Inscriptions : 514 872-0568.
Formation – Initiation aux médias sociaux
Bibliothèque Ahuntsic le 14 octobre à 13 h 30. Inscriptions : 514 872-0568.
Formation – Initiation à l’Internet
Bibliothèque de Cartierville le 10 octobre à 13 h 30. Inscriptions : 514 872-6989.
Les Haltes maraichères Ahuntsic se poursuivent cet automne!Sur place, découvrez des démonstrations culinaires et
dégustations de recettes faciles, originales et colorées mettant en vedette les
produits du jardin et les fruits et légumes frais à faible cout du Marché
Mobile. L’équipe d’animation de Ville en vert vous proposera également des
conseils horticoles pour vous appuyer dans vos projets d’agriculture urbaine.
Horaire d’octobre
• Les mercredis à l’école de la Visitation de 15 h à 16 h 30
• Les jeudis au Collège Ahuntsic (dans le stationnement
derrière le collège, accès par la rue Émile-Journault) de 12 h à 14 h
• Les jeudis à l’école Saint-Simon-Apôtre de 15 h à 16 h 30
• Les vendredis à l’école Saints-Martyrs-Canadiens de 15 h à
16 h 30
Information : 514 447-6229 (Source : Ville en vert)
Femmes en Action est pour vous si les causes sociales vous tiennent à cœur? Par des réflexions, échanges, documentaires, pétitions, lettres, rassemblements, soyons créatives, mobilisons-nous et exigeons la justice sociale! En français et en anglais, au 1586 Fleury E. porte 100, les jeudis, du 9 octobre au 27 novembre 2014 de 18 h 30 à 20 h 30. Inscriptions (514) 388-0980 (Source : CFSE)
LE COIN DES COMMERÇANTS
La Promenade Fleury
La semaine prochaine, dévoilement du projet Par-ci, par-là
Fleury Ouest
Le dimanche 5 octobre prochain, les commerçants, gens d’affaires et professionnels de la rue Fleury Ouest, décideront lors d’un référendum organisé par l’arrondissement, s’ils auront une société de développement commercial comme celle de La Promenade Fleury. Voir texte ci-dessus.
Les ateliers du restaurant Les Cavistes sont de retour! La programmation est en ligne et commence ce week-end. Par ailleurs, le resto a repris sont horaire habituel, soit 7 soirs,/5 lunches, et le brunch du dimanche.
Autres commerces
QUOI FAIRE….QUOI FAIRE…QUOI FAIRE…QUOI FAIRE…QUOI
Serge Bouchard viendra présenter son dernier livre Les images que nous sommes, mercredi le 8 octobre à compter de 13 h 30, à la salle de l’église Saint-Jude (10 120 rue d’Auteuil). Gratuit pour les membres de l’Alliance culturelle, 8 $ pour les autres. Jeudi le 9 octobre au matin commence à PRÉSÂGES (1474, rue Fleury Est) un cours sur les grandes pathologies et leurs traitements : hypertension, ostéoporose, hypercholestérolémie et asthme. Pour plus d’informations, s’adresser au 514 382-5716 ou à www.allianceculturelle.qc.ca
|
La P’tite Pasto – Activité parent-enfant – 5 ans et
moins
Jeux, chants,
contes et bricolages pour explorer, dans le plaisir, différents thèmes de la
vie des tout-petits : sa famille, ses amis, ses talents, le partage, Noël et
découvrir les grandes valeurs chrétiennes. Activité animée par des parents. Sous-sol
de l’église St-André : tous les jeudis à partir du 9 octobre ainsi que les samedis 25 octobre et
29 novembre. Informations: 514-334-5521. (Source : Petite Pasto)
17 octobre à 15 h 30, 14 novembre à 15 h 30, 12 décembre à 15 h 30. Les places sont limitées. Pour y participer, il faut réserver en téléphonant au 514 872-6989 ou en se présentant directement au 5900, rue De Salaberry.
Si vous avez manqué ou n’avez pas reçu notre bimestriel papier de la rentrée, cliquez ici pour en faire la lecture.
Vous pourrez y lire notre dossier “Transports menaçants”, particulièrement d’actualité alors que s’est tenu, récemment à Montréal, le Sommet du rail du Canada; alors que le BAPE a entrepris ses audiences publiques sur le prolongement de l’A-19; et, finalement, alors même que la Commission sur le développement économique et urbain et l’habitation de la Ville de Montréal commençait ses consultations sur l’accroissement de vols internationaux à Montréal. __________________________________________________
Journaldesvoisins.com papier, numéro de septembreSi vous voulez contribuer à une meilleure information locale…
Devenez membre!
Dix dollars, c’est peu payé pour de la bonne info!
Faites-le par la poste en envoyant votre chèque et vos coordonnées au : 10369, rue Clark, Montréal QC H3L 2S3.
Nous recevons des dons de différents montants et chacun d’entre eux est précieux! Il démontre que les résidants ont à coeur la qualité de l’information locale.
Par ailleurs, la carte de membre coûte 10 $ (moins de 3 cents par jour) et elle est valable pour l’année 2014.
Vos coordonnées doivent inclure vos nom et prénom, votre adresse courriel (si vous en avez une), et votre adresse postale.
Joignez-vous aux quelques 140 autres membres! (C.D.)
Pour plus de nouvelles «Aimez-nous» |
__________________________________________________________________
Vous avez manqué des Actualités?
__________________________________________________________________________
Nous reconnaissons la contribution financière du ministère de la Culture et des Communications du Québec dans la réalisation de journaldesvoisins.com
Nous reconnaissons la contribution financière du Fonds d’économie sociale de la Corporation de développement économique (CDEC) Ahuntsic-Cartierville dans la réalisation de journaldesvoisins.com
- Premier prix, catégorie Opinion, pour “Le bien des autres”, éditorial du bimestriel papier de décembre 2013, aux prix de l’AMECQ
- Gagnant d’une bourse de 5 000 $ au concours Entreprenez à Ahuntsic-Cartierville, édition 2014
- Mention “Coup de coeur du jury” au Concours québécois en entrepreneuriat, CQE Est de Montréal, édition 2014
- Participant à la finale régionale de Montréal au Concours québécois en entrepreneuriat, édition 2014, dans la catégorie “économie sociale”
Journaldesvoisins.com est un journal communautaire d’information fait par des résidants et pour les résidants d’Ahuntsic-Cartierville, et dont le siège social se trouve à Ahuntsic. Notre journal est un bimestriel papier, mais surtout un journal en ligne, chaque vendredi, avec les Actualités hebdomadaires d’Ahuntsic-Cartierville qui se consultent sur le Web à: www.journaldesvoisins.com
Nous sommes membres de l’Association des médias écrits communautaires du Québec (AMECQ).
Coordonnées: journaldesvoisins@gmail.com Téléphone: 514 770-0858
Les opinions émises dans ce journal n’engagent que leurs auteurs. Vous voulez nous aider? Écrivez-nous! Appelez-nous!
Conseil d’administration: Diane Viens, présidente; Pierre Foisy, vice-président; Me Hugo Hamelin, secrétaire; Philippe Rachiele, trésorier; Douglas Long, administrateur; Christiane Dupont, secrétaire adjointe; Maryse Henri, administratrice (représentant les OBNL); Yves Bonneau, administrateur (représentant les commerçants et gens d’affaires), et Pascal Lapointe, administrateur.
Éditeur désigné : Philippe Rachiele
Représentant publicitaire: Pierre Latreille
Rédactrice en chef: Christiane Dupont
Rédacteur en chef adjoint: Alain Martineau
Rédacteurs en chef adjoint suppléants: François Barbe, Mélanie Meloche-Holubowski
Journalistes, version Web: Christiane Dupont, Philippe Rachiele, Alain Martineau, Mélanie Meloche-Holubowski et François Barbe
Journalistes, version papier: Christiane Dupont, Alain Martineau, Élizabeth Forget-Le François, François Barbe, Mélanie Meloche-Holubowski.
Collaborateurs à la rédaction et à la photographie: Élaine Bissonnette, Laetitia Cadusseau, Sandrine Dussart, Samuel Dupont-Foisy, Geneviève Poirier-Ghys, Julie Dupont, Laetitia Cadusseau, Viviane Poirier, Patrick De Bortoli.
Photos: Philippe Rachiele
Mise en page: Philippe Rachiele, Christiane Dupont, et François Barbe
Illustrations originales: Claire Obscure
Caricaturiste: Fanie Grégoire
Correction/révision, version Web: Christiane Gervais
Correction/révision, version papier: Samuel Dupont-Foisy, Geneviève Chrétien
Réseaux sociaux: Christiane Dupont, Mélanie Meloche-Holubowski, Philippe Rachiele
Impression, version papier: Hebdo Litho inc.
Distribution, version papier: journaldesvoisins.com
Dépôt légal, version papier: BNQ – ISSN1929-6061
Dépôt légal, version Web: BNQ – ISSN1929-607X
Journaldesvoisins.com et ses artisans sont membres de:
Restez informé
en vous abonnant à notre infolettre
Vous appréciez cette publication du Journal des voisins? Nous avons besoin de vous pour continuer à produire de l’information indépendante de qualité et d’intérêt public. Toute adhésion faite au Journal des voisins donne droit à un reçu fiscal.
Nous recueillons des données pour alimenter nos bases de données. Pour plus d’informations, veuillez vous reporter à notre politique de confidentialité.
Tout commentaire sera le bienvenu et publié sous réserve de modération basée sur la Nétiquette du JDV.