Les Actualités du 13 juin 2014
Fêtons Ahuntsic-Cartierville!
De nombreuses familles font la fête par une journée superbe
Les
organisateurs ne pouvaient demander mieux comme journée. Un temps splendide. De
même que les familles qui étaient nombreuses samedi dernier à s’être déplacées
pour célébrer Fêtons Ahuntsic-Cartierville, un événement annuel de notre
arrondissement, concocté avec divers partenaires.
Le thème
de la fête cette année était le cirque/kermesse; le carrousel installé en plein
cœur du parc Ahuntsic a été fort populaire. Ainsi que les jeux gonflables, des
installations qui ont ravi les petits malgré l’attente sous le soleil ardent.
Mais cela valait la peine, à voir les sourires qui en disaient long après un
tour de piste.
Des
familles s’étaient pointées sur les lieux juste avant le coup d’envoi officiel,
à 10 heures, pour profiter au plus vite des divers jeux, localisés tout près de
l’aréna.
Activités variées
Outre le
beau temps, les activités proposées ont plu aux enfants, alors que les adultes
avaient aussi l’occasion de faire des choses comme s’informer aux divers stands installés par l’arrondissement ou scruter les menus des camions spécialisés en
bouffe de rue.
Sur ce
dernier plan, certains auront noté des prix un peu élevés mais il faut
comprendre que l’on propose des petits plats originaux loin des traditionnels
frites et hot-dogs.
Interrogée
à ce sujet, la conseillère municipale d’Ahuntsic, Émilie Thuillier, a reconnu
que la facture peut à l’occasion paraître salée, surtout pour une famille.
« A
Montréal, c’est peut-être le principal reproche à la cuisine de rue », a
indiqué Mme Thuiller qui s’était pointée tôt au parc avec son enfant. « Je
ne suis pas économiste ou experte en alimentation mais je comprends que l’on
pourrait faire mieux. Sauf que l’on n’a pas de contrôle sur les prix »,
a-t-elle précisé.
Réactions des familles
Il va
sans dire que les familles rencontrées sur l’emplacement en mi-journée étaient
très heureuses, comme les membres de cette jeune famille d’origine
brésilienne, arrivée récemment au Québec, qui semblaient loin des
préoccupations de leur pays d’origine, présentateur de la Coupe du monde 2014
(FIFA), en quelque sorte les Olympiques du soccer international. « Je suis
nouvellement arrivé », a dit le jeune papa dans un français approximatif. « J’aime
ces choses dans le parc. Au Brésil, il n’y a pas beaucoup d’événements de ce
genre », a affirmé celui qui est père d’enfants âgés respectivement de
2 et 5 ans.
Une dame de Cartierville, Sophie Beauparlant, pavoisait aussi. « C’est superbe. Et c’est gratuit. Il y a beaucoup de gens. Nous sommes arrivés vers 10 heures, pour l’ouverture, afin d’éviter l’attente. Mais là, c’est plus long… », a-t-elle déploré, en jetant un regard sur sa fille Rose-Marie Bergeron, âgée de 3 ans et demi.
Une autre maman, habituée du parc Ahuntsic, était satisfaite de l’organisation. « C’est bien pour la famille mais c’est un peu chaud », a-t-elle déploré. La jeune mère a aussi hâte de renouer avec le FestiBlues international présenté au début d’août.
Étang, pas de plage
L’étang situé non loin de l’aréna a servi pour une démonstration de l’activité de petites embarcations. A l’arrondissement, les employés ont mis les bouchées doubles afin de s’assurer que l’étang soit rempli d’eau pour l’événement du 7 juin.
Mais même si l’étang invite à la baignade, l’activité y est interdite. Et il n’est pas question de plage ailleurs, comme sur les bords de la Rivière-des-Prairies, a indiqué Émilie Thuillier, interrogée à ce sujet par journaldesvoisins.com.
On en avait un peu discuté lors de la consultation sur le plan de développement des berges (sur 15 km) mais il ne faut pas rêver à un parc-plage. « Il n’y a pas d’endroit propice à la baignade, a précisé Mme Thuillier. ’C’est soit à cause du courant, trop fort, ou de l’eau stagnante’’, a-t-elle ajouté. Et faire une plage sans pouvoir se baigner, c’est moins amusant. Toutefois, il y a des projets d’accès aux berges comme pour la mise à l’eau des kayaks », a-t-elle conclu.
Bilan positif
Pour la journée de samedi, Mme Thuillier dressait déjà un portrait positif sur l’heure du midi. « C’est magnifique. On est arrivé à l’avance. Le carrousel a été un grand succès, comme la cuisine de rue », a-t-elle mentionné.
La veille de l’événement, plusieurs s’étaient donnés rendez-vous pour une activité de cinéma sous les étoiles. Les gens ont pu voir le film « Big Fish : la légende du Gros poisson », un film fantastique de Tim Burton.
L’an passé, la Fête d’Ahuntsic-Cartierville s’était déroulée au Parc Marcelin-Wilson. (Par Alain Martineau) (2014-06-13)
Pour voir les autres photos prises par jdv lors de la Fête d’Ahuntsic-Cartierville, cliquez ici.
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PPU du boulevard Henri-Bourassa Ouest
Parmi les constats de l’étude de circulation :
Henri-Bourassa passera à six voies sur deux sens au lieu de huit, mais la circulation de transit risque d’être affectée d’ici 20 ans
Henri-Bourras Ouest, très attendue, réalisée par la firme SM
international, dans le secteur du futur PPU, et pour laquelle une soixantaine de résidants s’étaient déplacés dans le cadre des suites de la consultation sur le PPU d’Henri-Bourassa Ouest conclut que le boulevard
Henri-Bourassa peut accueillir le développement immobilier du PPU sans nuire à
sa fonctionnalité d’artère principale. Toutefois,
la circulation de transit induite dans les rues
locales va affecter dans 20 ans certaines rues dont les rues Tanguay et
Meilleur aux heures de pointe. L’ingénieur Gilles Lalonde de SM international précise qu’au total, aucune
rue ne deviendra problématique bien que la tendance sera à la hausse. Gilles
Lalonde prévient qu’il faudra surveiller la situation et prendre des mesures
préventives pour que la stratégie mise en place demeure efficace.
Par ailleurs, point intéressant : l’ingénieur Lalonde
a expliqué que la traversée du boulevard Henri-Bourassa est difficile pour les
piétons à l’heure actuelle. Composée de huit voies, l’artère est très large et le
terre-plein central étroit ne garantit pas toujours la sécurité des résidants. Par
conséquent, en évaluant la possibilité du réaménagement du boulevard
Henri-Bourassa, les ingénieurs ont constaté la possibilité de réduire d’une voie
de circulation par sens, en enlevant la voie de stationnement, pour
élargir les trottoirs et le terre-plein. De huit voies, le boulevard
Henri-Bourassa ouest passerait à six voies.
Vous aurez compris que le conseil
d’arrondissement a présenté, mardi soir, l’avancement du Plan Particulier
d’urbanisme (PPU) Henri-Bourassa Ouest et les résultats d’une étude de
circulation à l’amphithéâtre du cégep Bois-de-Boulogne. Plus d’une soixantaine
de citoyens ont pris part à cette rencontre qui donnait suite aux ateliers de
juillet et août 2013 où les résidants étaient libres de commenter la version
préliminaire du PPU.
Orientations
d’aménagements :
D’entrée de jeu, Pierre
La Rue (NDLR : voir tableau plus bas) a présenté le contexte de
planification du PPU ainsi que le territoire et les enjeux spatiaux avant de s’attarder
aux orientations d’aménagement du PPU divisées en quatre points :
-
Développer, dans la partie
centrale du secteur du PPU, un ensemble résidentiel à l’échelle humaine, intégré
aux quartiers limitrophes; -
Faire du boulevard Henri-Bourassa
Ouest un véritable espace urbain, d’intérêt architectural et paysager, bien
inséré dans la trame du quartier; -
Améliorer la liaison des
espaces publics; -
Stimuler les relations
fonctionnelles entre les quartiers de part et d’autre du corridor ferroviaire
du CP.
Objectifs
d’aménagement
La présentation de M. La Rue
s’est toutefois davantage concentrée sur les divers objectifs d’aménagement
concernant aussi bien le secteur central que le boulevard Henri-Bourassa et le
passage de la voie ferrée.
Et la densité?
Dans le secteur central du
PPU, l’arrondissement souhaite offrir une gamme de bâtiments résidentiels, de
logements et de propriétés diversifiées, tout en accordant une place
prépondérante aux logements destinés aux familles. Des logements sociaux
abordables seraient également proposés.
La densité de logement a
d’ailleurs inquiété plusieurs résidants qui ont questionné le personnel de
l’arrondissement. Prévue à 80 unités à l’hectare, elle s’élèverait
à 105 dans les premières phases du projet, dans le secteur des anciens ateliers du ministère des Transports du
Québec (MTQ)/Loblaws/rue Hamon. La possible apparition d’édifices de trois à quatre étages n’a
pas fait l’unanimité. Le PPU prévoit, sur une période de 20 ans, 2192 unités de
logement.
Plus de verdure
Les objectifs énoncent
notamment un désir de verdir le secteur central et de favoriser une architecture
contemporaine et harmonieuse. Un parc de voisinage serait créé au nord
d’Henri-Bourassa et l’axe visuel sur le dôme de la prison de Bordeaux serait
préservé. M. La Rue a également précisé vouloir diminuer les nuisances
occasionnées par le corridor ferroviaire et les installations
pénitentiaires.
Transport actif
Au désir d’offrir des services
en bordure d’Henri-Bourassa s’ajoute la volonté de mettre en place un réseau
d’espaces piétonniers et de pistes cyclables. En plus de favoriser les
déplacements à l’interne, le PPU cherche à faciliter l’accès au réseau de
transport en commun et à la route cyclable.
Du DD
Misant sur le développement
durable, le PPU a pour objectif d’appliquer des principes en sa faveur aux
égards de l’efficacité énergétique des bâtiments, des îlots de chaleur, de la
rétention des eaux pluviales et des transports actifs.
Boulevard
Henri-Bourassa
Un des objectifs consiste également à mieux établir la vocation du
boulevard et à renforcer les usages résidentiels, commerciaux et institutionnels
selon les segments d’Henri-Bourassa. Le PPU
encourage la construction de façades d’édifices donnant sur le boulevard, plus
d’espaces piétonniers ainsi qu’une meilleure participation des parcs à l’espace
public du boulevard.
Passage de la voie
ferrée et route verte
Pour satisfaire les résidants,
le PPU compte améliorer la sécurité de la traversée piétonne et de la traversée
cycliste de la voie du Canadien Pacifique. De plus, l’accès à la gare
Bois-de-Boulogne depuis l’est serait facilité. La « route verte »,
pour sa part, deviendrait accessible depuis l’est et l’ouest.
Une demande a été adressée à
la ville pour que, le cas échéant, il soit possible de passer au niveau de la voie ferrée. Le passage des gens qui optent pour la marche ou la bicyclette serait
ainsi simplifié.
Le PPU prévoit utiliser le
secteur Hamon comme tampon entre le corridor ferroviaire et le quartier
résidentiel. Par ailleurs, la vocation du secteur d’emploi serait redéfinie en
le rendant compatible à son environnement.
À quoi sert un
PPU ?
À la fin de la présentation
des avancements du PPU, plusieurs citoyens disaient trouver très succincts les
éléments présentés. Richard Blais a profité de l’occasion pour rappeler qu’un
PPU se veut très général pour que, par la suite, l’arrondissement puisse faire
« adopter des règles beaucoup plus précises (…) qui vont avoir force de
loi lors du développement des terrains».
Importants
enjeux de circulation
Le PPU ainsi que les projets
Place de l’Acadie et « Crown Cork & Seal » vont toutefois, au bout de
20 ans, générer une dégradation des conditions de circulation. Elle sera
principalement perceptible à l’heure de pointe du matin au carrefour
Henri-Bourassa O. / Saint-Laurent.
L’après-midi, les carrefours
l’Acadie et Saint-Laurent vont connaître une dégradation des conditions de
circulation. L’accès au nouveau projet de développement sera également
difficile en raison du grand nombre de virages à gauche.
Sous le viaduc ferroviaire, la
sécurité des cyclistes est problématique. Avec la géométrie actuelle, réduire
la largeur de la voie de droite est envisageable pour permettre l’ajout d’une bande
cyclable, ce qui vient d’être fait récemment (NDLR : voir autre article et
photo sur corridor cycliste sous le viaduc HB Ouest).
Du côté du Boulevard
Henri-Bourassa, à la hauteur de Saint-Laurent, la voie de gauche, à l’approche
est, pourrait être transformée en voie exclusive de virage à gauche. De plus,
près du secteur du PPU, des voies de virage à gauche pourraient être ajoutées
aux endroits problématiques à l’heure de pointe du soir. (Par Elizabeth Forget-Le François) (2014-06-13)
Pour lire les articles des archives du
journaldesvoisins.com sur le PPU du boulevard Henri-Bourassa Ouest, cliquez ici
Un conseil d’arrondissement plutôt tranquille…
Quelques résidants viennent poser leurs questions
Les élus sont mûrs pour les vacances, certains plus que d’autres!
D’entrée de jeu, commençons par les interventions des élus. Le maire Pierre Gagnier a répété à
maintes reprises, lors du conseil d’arrondissement, combien grande était sa
joie d’avoir constaté que la fête d’Ahuntsic-Cartierville avait suscité un si
grand engouement cette année et que le beau temps était au rendez-vous!
De son côté, le conseiller Harout
Chitilian a invité les résidants de Bordeaux-Cartierville a participer à l’assemblée
générale du comité de circulation du district, le 17 juin prochain.
Pierre Desrochers, conseiller du
district de Saint-Sulpice, a relaté sa première participation à la distribution
de fleurs dans l’arrondissement. « Les fleurs se sont envolées rapidement »,
a-t-il dit. Il s’est excusé pour son absence à la Fête de l’arrondissement
samedi dernier, expliquant qu’il avait dû au pied-levé être présent à la
signature d’une entente s’étalant sur 10 ans pour le Grand Prix de Montréal.
Émilie Thuillier a mentionné le beau succès de la fête d’arrondissement en remerciant les employés qui avaient
permis aux enfants l’accès aux jeux d’eau et à la pataugeoire du parc Ahuntsic. Comme il
faisait chaud, même si l’eau était froide, l’effort fut apprécié à sa juste
valeur. « Les enfants étaient contents », a-t-elle dit.
Pour sa part, la conseillère du district de Sault-au-Récollet était absente, un voyage personnel à l’étranger ayant été prévu avant même qu’elle songe à faire campagne comme conseillère, il y a un bon moment. Elle sera de retour cette semaine.
Merci
aux acteurs!
Pierre Comtois, résidant de la rue du
Fort-Lorette, est venu raconter ses mésaventures avec la collecte des résidus
verts. Ramasse, ramasse pas : il a ainsi relaté au moins cinq jours de
collecte qui s’étaient révélés plus ou
moins efficaces sur sa rue. Le
directeur des travaux publics, Louis Lapointe, n’était pas très fier d’entendre ça ( ce sont ses propres paroles) et entendait faire
enquête auprès de ses gestionnaires. Pour conclure, mi-figue, mi-raisin, le
citoyen Comtois a tenu à transmettre ses remerciements au Service des permis
cinématographies de la Ville de Montréal…car en prévision d’un tournage, les
nids-de-poules des rues adjacentes ont été colmatés pour la plupart!
Qu’est-ce
qui est conforme?
Parlant de résidus verts, Gilles
Larocque, résidant de la rue Christophe-Colomb, et habitué des séances du
conseil, en a surpris plus d’un en ne venant pas poser une question concernant
les chiffres et dépenses de l’arrondissement… mais plutôt en déplorant d’abord l’exposition
de sacs en papier qu’il y a eu sur sa rue tout au long du mois de mai. Il s’est
également renseigné sur les soumissions acceptées par les fonctionnaires,
comme étant « conformes ». Le directeur général, Ronald Cyr, a mentionné que ce
sont parfois de petits détails qui font la différence entre une soumission
conforme et non-conforme et que la plupart des soumissions présentées sont
conformes. Finalement, il a tenu à savoir si une terrasse, du fait du permis qu’elle
nécessite, rapporte plus en espèces sonnantes et trébuchantes à l’arrondissement, ou au moins autant, que les
parcomètres qui sont retirés durant la belle saisons à l’endroit où a
terrasse est installée. La direction de l’arrondissement lui en a donné l’assurance.
Tuyau
d’échappement et révolutions du moteur
Pauline Carignan, du district
Bordeaux-Cartierville, a remis au Greffe une lettre au nom de la Garderie Mer
et Monde, que fréquente son petit-fils, pour déplorer les saletés que
doivent périodiquement retirer les éducatrices du service de garde au parc Dudemaine (parc Marcellin-Wilson). Là n’est pas le rôle d’éducatrices dans une garderie, a-t-elle précisé. Elle a demandé à l’arrondissement d’y veiller.
Elle a fait part de
sa fatigue, souvent en lien avec le fait
que des voitures, la nuit, s’amusent à rouler avec un silencieux modifié, soit
sur le boulevard Laurentien, ou même sur le boulevard Gouin, d’est en ouest. « N’y
a-t-il pas, a-t-elle demandé, un règlement
sur le bruit des moteurs? » Le superviseur délégué du PDQ-10 a mentionné
qu’effectivement, selon le code de sécurité routière, aucune modification n’est
permise sur le système d’échappement des
véhicules. « C’est tolérance 0! », a-t-il dit. Toutefois, a-t-il
précisé, c’est souvent tout simplement les révolutions du moteur de quelqu’un
qui s’amuse à rester à la même vitesse longtemps qui causent parfois tout le
tintamarre que l’on entend.
C’est ainsi que l’on appris que, la nuit, c’est le
PDQ-27 qui couvrait le PDQ-10. Mme Carignan a conclu en disant : « Il ne
faut pas que les conditions de vie deviennent tellement intolérables que les
gens qui ont de l’allure quittent le quartier et s’en aillent ailleurs! » (NDLR – En entrevue téléphonique le 18 juin avec le commandant Marc Tanguay du PDQ-10, il a mentionné que la nuit, il y avait toujours une voiture de police qui patrouillait dans Cartierville. La seule différence est qu’elle a l’identification du poste 27.)
Salaires,
stationnement, et indications
Jean-Claude Lanthier, citoyen d’Ahuntsic,
a déploré que, bien que les voyages enrichissent la jeunesse, le fait d’avoir à
chercher pour trouver le lieu précis de la rencontre sur le PPU d’Henri-Bourassa
Ouest au cégep Bois-de-Boulogne n’était pas de nature à lui plaire! Il a abordé par la bande, mais y
reviendra, a-t-il dit, la question des salaires des employés municipaux qui
sont de 18 à 28% plus élevés que ceux des fonctionnaires provinciaux. Finalement, il
a évoqué le problème important de stationnement de la Place L’Acadie. « Quand il construit un édifice en
hauteur, est-ce que l’entrepreneur n’a pas la responsabilité de trouver des espaces pour que les voitures puissent se garer? Les évaluations ont
été irréalistes pour cet endroit, pourquoi? Cela crée un pression sur le voisinage», a-t-il mentionné. Bien que cette question ait déjà été amenée au conseil il y a quelque temps par un autre résidant, et qu’on a exploré les solutions possibles, le conseiller Pierre Desrochers a pris le temps d’y répondre et a souligné que l’important était maintenant de
régler le problème, ce que l’administration de l’arrondissement s’emploie à
faire.
Trottoirs absents
Raymond L’Abbé, de la rue Cousineau déplore
le fait que, à une certaine hauteur, le boulevard Laurentien n’a pas de
trottoir, ce à quoi le conseiller Chitilian a souligné qu’en effet, c’était une
aberration, ajoutant que c’était aussi le cas près du Collège des Marcellines,
sur le boulevard Gouin. Précisant que
Pierre Gagnier l’avait promis, en 1995, alors qu’il était conseiller du
district, M. Chitilian a ajouté que rien n’avait été fait encore parce qu’un reconstruction du secteur
était toujours prévue et remise d’une année à l’autre. Et maintenant, les
égouts doivent être refaits, a-t-il ajouté, sous les oh! Et les ah, non! des résidants
présents.
Voilà pour les interventions dignes de mention.
Contributions financières
Dans le cadre de
l’initiative montréalaise de soutien au développement social local, le conseil a approuvé les conventions avec les organismes
Solidarité Ahuntsic et le Conseil local des intervenants communautaires de
Bordeaux-Cartierville (C.L.I.C.) pour une période de trois ans et leur a
octroyé une contribution financière totalisant 66 726$ (29 500 $ est assumé par
l’arrondissement, 4 466 $ par la Ville Centrale et 32 760 $ par l’entente
Ville-MESS).
Matériel informatique désuet offert à un OBNL
Afin de se départir
de son matériel informatique de façon éco-responsable, l’arrondissement a
décidé de confier son matériel informatique désuet à Ordinateurs pour les écoles du Québec (OPEQ), un organisme qui
encourage l’insertion sociale, le réemploi et le recyclage éco-responsable.
Afin de préserver la confidentialité de leur contenu, une vérification des
disques durs sera effectuée avant d’en disposer.
Ces
ordinateurs seront ensuite remis gratuitement ou à faible coût aux écoles
privées et publiques, aux centres de la petite enfance (CPE), aux organismes à
but non lucratif (OBNL) et aux bibliothèques du Québec.
Treize nouveaux parcs sont instaurés dans l’arrondissement
Le zonage de 13 bouts
de rues a été modifié afin de créer de nouvelles zones de catégories d’usages
E.1(1) (parc). Ces espaces sont situés à l’extrémité des avenues de l’Alliance,
Leblanc et Tolhurst, du boulevard Toupin et des rues De Serres, du
Fort-Lorette, Fréchette, Grenet, Jasmin, de l’Abord-à-Plouffe, Olivier, Ranger
et Saint-Denis. (Journaldesvoisins.com en a déjà parlé à quelques reprises dans ses Actualités du vendredi).
Ce
changement de zonage permettra de réglementer les heures d’ouverture et de
fermeture de ces espaces et de les aménager selon une approche écologique de
régénération de la rive, en conformité avec la Politique de protection des
rives, du littoral et des plaines inondables du gouvernement du Québec. Ces
aménagements favoriseront un accès visuel à la rivière pour les visiteurs et la
population de l’arrondissement.
Nouveaux membres au Comité consultatif d’urbanisme (CCU)
de l’arrondissement
Les personnes suivantes ont été nommées à titre de membres du CCU, à savoir : Chantal Letendre, urbaniste (membre jusqu’au 30 avril 2015); Bianca-Désirée Arciero, architecte-stagiaire (membre suppléante jusqu’au
30 avril 2015) et monsieur Marc Coîteux (membre suppléant jusqu’au 30 avril
2016).
Programme
de réfection routière 2014
À la suite de la séance du conseil d’arrondissement tenue le 9 juin dernier, les élus ont octroyé divers contrats à des entrepreneurs afin d’améliorer l’état des rues et des trottoirs de l’arrondissement.
À la suite de différents appels d’offres, des contrats ont été accordés à des
soumissionnaires dans le but d’effectuer des travaux de voirie dans les quatre
districts de l’arrondissement. La fin de ces travaux est prévue pour l’automne
2014.
Afin de répondre efficacement aux demandes des citoyens, un contrat au montant
total de 943 001,06 $ a d’abord été octroyé au groupe Hexagone s.e.c. (NDLR: entreprise pour laquelle l’ex-président de l’AMT, Joël Gauthier, qui était un des associés du Groupe, a remis sa démission au cours des derniers jours) pour la
reconstruction de sections de trottoirs, d’entrées charretières et de bordures
sur différentes rues de l’arrondissement.
En outre, le conseil a accordé deux contrats à l’entreprise Demix Construction,
pour des travaux de voirie dans l’arrondissement :
- un premier contrat, au
montant total de 2 166 551,11 $, a été octroyé afin d’effectuer des
travaux de planage et de reconstruction de trottoirs aux endroits suivants
: rues Birnam, de Port-Royal, Mazurette, Dudemaine et l’avenue De
Poutrincourt. - un deuxième contrat a été
accordé afin d’effectuer des travaux, pour une somme totale de 2 484
602,38 $. Les travaux s’effectueront sur les rues Fleury, Parthenais,
Sauvé et le boulevard Gouin. Ils incluront de la reconstruction de
chaussée et de sections de trottoirs, ainsi que le remplacement d’entrées
d’eau en plomb lorsque nécessaire.
Travaux de nettoyage de puisards
Dans de but d’assurer un meilleur fonctionnement des réseaux pluviaux et de
diminuer les problèmes de refoulement dans les rues, un contrat au coût de 169
106,18 $ a été octroyé à l’entreprise Kelly Sani-Vac Inc. pour l’année 2014
afin d’effectuer des travaux de nettoyage de puisards dans l’arrondissement. Il
est à noter que l’arrondissement dispose d’environ 10 000 puisards de rues et
de trottoirs sur son territoire. (Par Christiane Dupont) (2014-06-13) (En collaboration avec le Service des communications de l’arrondissement pour les faits saillants).
Cliquez ici pour voir les autres photos du conseil.
Des entrepreneurs privés profitent de la générosité des résidants
Ahuntsic-Cartierville aussi règlemente les dons aux boîtes pour collecter vêtements et “cossins”
à une vitesse fulgurante sur le territoire d’Ahuntsic-Cartierville depuis les
dernières années. Les entrepreneurs privés exploitant maintenant ce marché
lucratif mènent la vie dure aux organismes de bienfaisances qui travaillent
d’arrache-pied pour subsister.
Anca Niculicioiu, coordonnatrice du Cartier
Émilie, a connu des moments difficiles l’an dernier. L’organisme venant en aide
aux plus démunis a vu diminuer le volume de marchandise donné à sa friperie en raison
de la prolifération des conteneurs. « On aimerait bien avoir des boîtes à
dons, mais d’abord elles coûtent cher et il faut payer un camion », résume
Mme Niculicioiu.
La coordonnatrice du Cartier
Émilie a sollicité l’aide du conseiller de ville du district
Bordeaux-Cartierville, Harout Chitilian. Sa démarche s’est concrétisée par le
retrait de plusieurs boîtes de dons non autorisées à l’ouest de
l’arrondissement. « La mesure a été efficace », s’enthousiasme Mme
Niculicioiu débordée en cette belle saison qui incite les Ahuntsicois à la
générosité.
Le
bonheur des uns fait le malheur des autres
En 2013, l’arrondissement a
retiré près de 20 boîtes de dons situées sur le domaine public ce qui porte le
nombre restant à 48. Celles du domaine privé seront vérifiées cette année.
Si ces initiatives font le
bonheur des uns, l’opération de l’an dernier n’a pas réjouit Renaissance.
L’organisme a but non lucratif a été contraint de se départir de ses conteneurs
dans Ahuntsic-Cartierville. Laurence Barbarese, adjointe
marketing et relations publiques chez Renaissance, explique que leurs
installations ne respectaient plus les critères exigés. En plus d’être exclues
du domaine public, les boîtes doivent être installées sur les côtés ou en cour
arrière sur le domaine privé.
Ahuntsic-Cartierville compte
maintenant deux centres de don Renaissance sur son territoire. Le plus récent,
situé à l’angle des rues Lajeunesse et Sauvé, est ouvert depuis mars dernier.
Ce comptoir permet à l’organisme de compenser la perte de ses boîtes de dons.
Situation
précaire
La
fondation Le Support qui remet de l’argent aux associations venant en aide aux
personnes atteintes de déficience intellectuelle a encore toutes ses
installations dans Ahuntsic-Cartierville. Soucieux du respect des règles,
l’organisme s’assure d’être irréprochable et de signer une entente avec les
propriétaires qui acceptent des conteneurs sur leur terrain.
Cette rigueur n’empêche toutefois
pas Le Support d’être dans une situation précaire. La compétition de plus en
plus forte a fait passer leurs revenus de 1,5 million à 600 000 dollars en
trois ans. « À ce rythme, on s’en va vers la fermeture éventuelle »,
prévient le responsable des communications, Alain Mongrain.
Il demande à l’arrondissement de vite prendre des mesures pour limiter
l’usage des boîtes de dons et éradiquer la concurrence déloyale d’entrepreneurs
privés qui se présentent comme des organismes à but non lucratif. « Ce
n’est pas une pratique illégale, concède M. Mongrain, mais il y a un côté immoral
à induire les gens en erreur sur le don qu’ils font. »
Attention
à la FQFM !
La Fondation québécoise de la
famille monoparentale (FQFM) fait partie des joueurs dénoncés par Alain
Mongrain. Mme Niculicioiu déplore aussi l’existence de cette organisation qui
ne figure pas parmi les organismes de bienfaisances enregistrés à l’Agence du
revenu du Canada.
La coordonnatrice du Cartier
Émilie a constaté la supercherie en tentant en vain de contacter la FQFM pour
obtenir une aide financière : « Je n’étais jamais capable de parler à
quelqu’un ! Il y a un an, une femme présentée comme secrétaire a répondu,
mais jamais on ne m’a rappelée. » La page d’accueil du site internet de la
FQFM a aussi éveillé les soupçons de Mme Niculicioiu avec l’utilisation de
l’acronyme SMIC signifiant, en France, le salaire minimum.
En plus d’induire les donateurs en erreur, la FQFM fait fi des règles comme
en témoigne le propriétaire de l’épicerie Marché d’or M.J. Il y a presque un
an, une boîte a été déposée sans avertissement sur le terrain de son commerce à
l’angle des rues Sauvé et Saint-Charles. « J’ai tenté de la faire enlever,
s’impatiente Vilien Joseph. Les gens déposent souvent des cochonneries par
terre et je dois toujours tout ramasser ! »
Faute d’un retour d’appel de la
FQFM, M. Joseph s’est adressé aux employés responsables de recueillir le
contenu de la boîte. «Ils ont dit qu’ils allaient faire le message, mais aucune
réaction», confie le commerçant en spécifiant que ni logo ni écritures ne sont
visibles sur leur camion.
Secteur
lucratif
Anca Niculicioiu ne s’étonne pas
de la ténacité des entrepreneurs privés. Elle affirme que la demande pour le
linge d’occasion est grandissante. Après environ un mois, Cartier Émilie remet ses
vêtements invendus à une compagnie. En trois ans, l’entreprise responsable de
les recycler a presque triplé le montant offert qui est passé de 0,50$ par sac
à 1,40$.
« On vivait en harmonie avec
tout le monde, on arrivait à tirer notre épingle du jeu, avant que les fausses
fondations n’arrivent dans le décor», plaide M. Mongrain en sonnant l’alarme.
Il espère entre temps que l’arrondissement n’adoptera pas un règlement aussi
restrictif que Saint-Léonard et Villeray où Le Support a dû retirer de
nombreuses boîtes. « À l’automne dernier, on a eu une très bonne rencontre
avec un responsable de l’urbanisme dans Ahuntsic-Cartierville, mais ça ne veut
rien dire tant qu’on ne verra pas de règlement final, conclut le responsable des
communications. (Par Elizabeth Forget-Le François) (2014-06-13)
Pour
consulter la liste des organisme de bienfaisance enregistrés, cliquez ici.
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Travaux sur le boulevard Henri-Bourassa Ouest
Circulation ralentie aux heures de pointe…
Depuis le 9 juin
dernier, des travaux de réfection ont été entrepris sur la chaussée du
boulevard Henri-Bourassa Ouest, côté nord, entre la rue Meunier et le
boulevard Saint-Laurent. Bien qu’une voie de circulation en direction ouest
soit maintenue en-dehors des heures de pointe, et deux voies durant les heures
de pointe, la circulation est au ralenti. Les équipes de travail sont sur place
du lundi au vendredi, entre 7 h et 19 h. Il pourrait y avoir des travaux réalisés
au cours des week-ends. La Ville de Montréal prévoit que les travaux peuvent
durer un mois. Il faut donc prendre notre mal en patience! (Par Christiane Dupont) (2013-06-13)
Ligne info-travaux : 514 872-3777
Pour consulter la liste des chantiers routiers de la
Ville de Montréal, cliquez ici.
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Vente-débarras
Règlementation à géométrie variable, selon les arrondissements
BON À SAVOIR
Une municipalité décide qu’une journée ou une
fin de semaine à chaque mois est consacrée à une vente-débarras. Ou une seule
journée est permise au printemps pour faire une méga-vente. Une autre fait
montre de laxisme en la matière. A Montréal, chaque arrondissement a sa
propre politique concernant ces ventes visant à débarrasser la maison de
choses auxquelles on ne tient plus et qui peuvent avoir « une deuxième vie ».
Il n’est pas facile de s’y retrouver dans
cette politique diversifiée au sein de la métropole québécoise. Un bazar quoi. Notre
arrondissement a une réglementation en cette matière depuis huit ans. Une
politique prudente, car il n’est pas question d’imiter d’autres arrondissements
plus audacieux, comme Saint-Laurent qui publicise les ventes-débarras sur son
territoire.
Confusion – week-end
Cette année, dans Ahuntsic-Cartierville, il y
a eu un peu de confusion car l’on permet ce genre de vente populaire le premier
week-end de chaque mois. Sauf qu’en 2014, on se retrouvait avec un week-end
comprenant le dernier jour de mai, un samedi, et le premier de juin, un dimanche.
« Normalement, le premier week-end complet permet la tenue de
ventes-débarras », rappelle la porte-parole de l’arrondissement, Karine
Tougas. « Bien entendu, il est compréhensible que la situation
particulière de ce mois de juin 2014 ait pu créer un peu de confusion mais nous
croyons qu’un peu de tolérance par rapport au week-end dernier n’aura pas pour
effet d’encourager de telles ventes sur une base régulière », a-t-elle
conclu. Les prochains week-ends de vente-débarras auront lieu les 5 et 6
juillet, les 2 et 3 août, ainsi que les 6 et 7 septembre.
Succès –vente
Il est vrai que l’on a vu quelques ventes
devant des résidences (les 31 mai et 1er juin) mais la grosse
majorité des vendeurs ont pris bonne note du premier week-end complet de juin pour étaler leurs produits d’occasion. Sur Christophe-Colomb, près de
Prieur, plusieurs familles s’étaient rassemblées dans le cadre d’un blitz de
vente pour financer un projet de voyage en Amérique centrale.
Sur la rue Sauriol, une famille liquidait à
bons prix leurs mille et un articles à la veille d’un déménagement. Plus à
l’est, sur la rue Fabre, deux voisins ont fait pour une troisième et dernière
année leur vente annuelle de « garage ». A 17 heures, tout était à
donner, dimanche, ce qui fait que ce qui n’a pas été pris, gratuitement ramassé,
a été refilé à un « ramasseur » de la rive sud de Québec.
Risque d’infraction
La vente-débarras est réglementée mais il
semble que l’arrondissement demeure prudent. Toutefois, certains risquent de se
retrouver dans l’embarras s’ils jouent avec le feu. « Il est possible de
donner un avis d’infraction pour avoir tenu une vente-débarras à un moment où
ce n’était pas permis », a fait savoir l’arrondissement. La
réglementation étant cependant largement comprise et respectée par la
population, nous n’avons pas eu à sévir sur ce sujet jusqu’à maintenant »,
a-t-on dit. Pour une première infraction, la note à payer varie
entre 100 $ et 300 $. En cas de
récidive, la pénalité se situera quelque part entre 300 $ à 500 $.
Maison ou commerce?
On signale que la vente-débarras doit se
dérouler sur le terrain du citoyen et que les articles mis en vente
doivent aussi se trouver sur le domaine privé. Et entre 9h et 18h. Mais si
l’activité est faite à répétition et devient commerciale, un permis sera alors
nécessaire. Il faut consulter le
Certificat d’occupation pour activité commerciale et professionnelle pour
savoir si le zonage permet de l’exercer à l’endroit concerné. D’autre part, pour se plaindre d’un voisin qui tient
régulièrement une vente-débarras les soirs ou la fin de semaine, il faut
communiquer avec la police. Si cela survient le jour durant la semaine, on peut
déposer une plainte à la Division de l’urbanisme, des permis et des
inspections.
Pas question d’imiter Saint-Laurent
Notre arrondissement voisin à l’ouest,
Saint-Laurent, fait profiter ses résidants qui désirent organiser une
vente-débarras d’une particularité appréciée, semble-t-il, pour peu que l’on possède un ordinateur et que l’on sache se servir d’Internet. Ainsi, les résdiants qui prévoient organiser une vente-débarras peuvent faire partie d’ une campagne de
promotion permettant de faire connaître l’adresse de la vente et le menu des
articles offerts. Le tout doit se faire par Internet.
À titre d’exemple, une habituée des ventes-débarras qui habite l’arrondissement Ahuntsic-Cartierville, notre chroniqueure d’Éco-pratico, Julie Dupont, se rendait le week-end dernier à la pépinière Jasmin, de Ville Saint-Laurent. Vérifiant au préalable les ventes-débarras dans le secteur de la pépinière, elle en a répertorié quatre, toutes sur la rue Jasmin! Sa visite vers l’ouest fut très efficace!
Mais, pour Ahuntsic-Cartierville, on préfère
jouer profil bas. « Nous informons les citoyens des dates de
ventes-débarras, mais pas des adresses où il y en a », a indiqué la
porte-parole, Mme Tougas. L’arrondissement ne semble guère intéressé à se
joindre à cette mouvance.
Politiques – ailleurs
Dans l’arrondissement de LaSalle, dans le sud-ouest
de la ville, la vente-débarras doit avoir lieu entre 8 h et 20 h et ne
pas durer plus de deux jours consécutifs. Les gens qui tiennent une telle vente
doivent se procurer un certificat d’autorisation au coût de 10 $ au bureau Accès
LaSalle.
Dans
Rosemont-Petite-Patrie, les ventes-débarras sont autorisées quatre fois par
année, comme dans Ahuntsic-Cartierville, mais à des dates différentes, en début et fin de saison. Une première a lieu, le samedi, le dimanche et le lundi qui précèdent le 25 mai et une dernière aura lieu le samedi, dimanche et lundi de la fête du Travail, au mois de septembre. (Par Alain Martineau) (2014-06-13)
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Collecte citoyenne de fonds : achat de capteurs sonores
.Ils seront installés dans l’arrondissement et seront les meilleurs témoins du bruit que font les avions au-dessus des résidences
À l’occasion du premier anniversaire de l’incorporation de leur organisme, Les Pollués de Montréal-Trudeau montent au front!
Vous êtes
« tannés » d’entendre les avions au-dessus d’Ahuntsic-Cartierville?
Surtout depuis que vous ouvrez vos fenêtres, belle saison oblige? Alors, faites
comme Les Pollués de Montréal-Trudeau et passez à l’action! Tout en soulignant le
premier anniversaire de l’incorporation de leur OBNL, le comité de citoyens n’entend
pas rester les bras croisés au cours des prochains mois.
Devant l’immobilisme
d’Aéroports de Montréal (ADM) à reconnaître la pollution sonore subie, entre
autres, par les citoyens des arrondissements d’Ahuntsic-Cartierville,
Villeray-Saint-Michel-Parc-Extension, Saint-Laurent et de la municipalité de
Mont-Royal, les Pollués de Montréal-Trudeau ont décidé d’agir en bon citoyen!
Le comité a commencé à recueillir des fonds pour se procurer une dizaine de
stations de mesure de bruit qu’il installera à divers endroits de ces secteurs.
Du concret! Vous voulez faire partie du mouvement, qui ne se fera pas sans l’aide
des citoyens? Voici pourquoi vous devriez pousser à la roue, à votre tour, et
surtout, comment.
Pas de problématique?
« ADM
dispose de stations de mesure du bruit qui sont toutes localisées à l’ouest de
l’autoroute 15, rappelle Antoine Bécotte, le président des Pollués de
Montréal-Trudeau. À partir des résultats enregistrés par ses stations de
mesure, ADM conclut qu’il n’y a pas de problématique de bruit au sein des
secteurs à l’est de l’autoroute 15 ainsi que du secteur Nord-Est de
Saint-Laurent. Cette société privée juge donc inapproprié de donner suite à nos
demandes de positionner quelques stations de mesure sur ce territoire. Nous allons donc le
faire nous-mêmes. »
Objectif : 10 000 $
L’objectif
de la campagne est de récolter 10 000 $, permettant non seulement au
comité de citoyens de se procurer des stations de mesure de bruit (environ 430
$ chacune, excluant capteurs et accessoires) mais aussi de mener
d’autres actions pour convaincre Transports Canada de reprendre des mains d’ADM
la responsabilité de la gestion du climat sonore aérien de la métropole. « Le
site Web doit être réaménagé, des conférences de presse seront organisées pour
faire connaître nos démarches, et d’autres actions sont prévues pour l’automne »,
souligne Raymond Prince, directeur principal du comité de citoyens. Tout ça
prend de l’argent, et le travail est bénévole. Tout se fait en transparence »,
a-t-il insisté.
La WANS, un organisme qui aide
les citoyens
« Les stations de mesure seront achetées auprès de Worldwide Aircraft Noise Services, une organisation européenne qui soutient les efforts de groupes de citoyens aux prises avec les effets nuisibles de la pollution sonore aérienne, explique Julien Reny, responsable de l’installation des stations de mesure pour les Pollués de Montréal-Trudeau. Les données enregistrées par chacune de nos stations de mesure au moyen d’un capteur installé à l’extérieur des résidences seront transmises chaque heure à cette organisation via internet et traitées pour détecter l’empreinte sonore des avions. Les résultats sont publiés sur leur site Web. Tout est transparent, contrairement à ADM qui ne divulgue qu’un niveau de bruit annuel moyen pour ses sept stations existantes. »
Décibels et statistiques en continu
Les données obtenues fourniront le niveau de décibel provoqué par le passage des aéronefs et la direction des vents lors de leur passage. Des statistiques journalières, mensuelles et annuelles peuvent être compilées.
« Nous allons pouvoir prouver avec ces stations de mesure que la pollution sonore au-dessus de Montréal est beaucoup plus significative que ne le laisse entendre ADM, lance Raymond Prince. Nous pourrons démontrer également que l’empreinte sonore s’étend au-delà des seuls corridors identifiés par les gestionnaires de l’aéroport et que ce sont des milliers et des milliers de citoyens qui sont affectés par le laxisme d’ADM. »
Monsieur Prince estime que les villes de Montréal et de Mont-Royal devraient être des partenaires de premier ordre dans cette quête d’informations puisque la protection de la qualité de vie de leurs citoyens est de leur ressort.
« Nous allons frapper à la porte des conseillers municipaux et des maires des territoires ciblés par cette action afin d’obtenir de l’aide financière pour notre campagne. Ils ont toujours invoqué leur impuissance à l’égard d’un équipement collectif de juridiction fédérale. Là, nous leur donnons la chance de documenter une nuisance qui touche les citoyens de leur ville et de démontrer de façon tangible qu’ils sont du côté de leurs électeurs. »
Et votre contribution?
Les citoyens qui veulent contribuer à la campagne de financement peuvent le faire de deux manières:
- faire parvenir un chèque aux Pollués de Montréal-Trudeau;
- ou suggérer le terrain de leur résidence comme site d’installation des stations de mesure.
Dans les deux cas, si vous êtes intéressés, vous êtes invités à le faire par le site des Pollués de Montréal-Trudeau, ou en écrivant par courriel à info@lpdmt.org, ou par la poste au 12260, rue Desenclaves, Montréal, QC, H3M 2W3. Les Pollués de Montréal-Trudeau sont incorporés comme organisme à but non lucratif. Libellez votre chèque de contribution au nom de : Les Pollués de Montréal-Trudeau.
N’oubliez pas! Les choses ne changeront pas toutes seules. Si vous voulez que les choses changent, il vous faut agir, vous aussi! (Par Christiane Dupont) (2014-06-13)
NDLR: Les Pollués de Montréal-Trudeau seront présents sur FLO lors de la fête de quartier du samedi 14 juin, de 17 heures à 19 h.
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DENIS CODERRE ET LE BUDGET QUÉBÉCOIS
Montréal souffle le chaud et le froid!
Des fonds cependant pour le 375e anniversaire de notre ville et pour les logements sociaux
Denis Coderre est à moitié satisfait du contenu du
budget québécois déposé la semaine dernière à l’Assemblée nationale. Tout comme
d’ailleurs des entreprises face à la mesure de réduction de 20 pour cent des
crédits d’impôts touchant bon nombre de secteurs de l’économie. Le maire se
veut « réaliste » compte tenu du contexte financier dans lequel se
trouve le nouveau gouvernement Couillard, élu le 7 avril dernier.
« On le savait qu’on aurait un premier budget
avec des milliards en déficit », a philosophiquement rappelé l’ex-ministre
libéral au fédéral alors qu’il commentait le premier budget du ministre québécois des
Finances, Carlos Leitao. « Je ne
suis pas du tout emballé, je suis réaliste », a-t-il analysé devant les
médias peu de temps après le dépôt du budget.
Crédits
d’impôt
Il va sans dire que M. Coderre était déçu de
l’annonce sur les fameux crédits d’impôt, une mesure qui touchera plusieurs
pans de notre économie ici, notamment dans les secteurs culturel et multimédia,
des créneaux porteurs pour Montréal à l’international. « C’est sûr que ça va toucher
Montréal. Je vais demander au ministre ce que cela veut dire parce qu’on a un
centre d’excellence à Montréal», a indiqué M. Coderre, faisant référence au
multimédia.
Il y aura également des sommes moins importantes que
prévu au chapitre des infrastructures (moins que ce qu’ont promis les
libéraux dans leur plateforme électorale). Cela devrait signifier des projets
repoussés dans le temps.
Impacts
chiffrés
Le milieu culturel estime que la réduction des crédits
d’impôt devrait avoir un impact de 85 millions de dollars jusqu’en 2017, à
moins que Québec ne recule.
A l’unisson, les associations qui représentent des
éditeurs, producteurs et autres entrepreneurs en culture avertissent déjà qu’il
y aura moins de sorties de films, de DVD, de CD ou fichiers musicaux. En
conséquence, des budgets moindres et des salaires à la baisse sont à prévoir,
et même des compressions de personnel.
Moyens de
pression
Il faut s’attendre à ce que plusieurs groupes
touchés par la mesure interviennent de façon musclée lors de la Commission
d’examen sur la fiscalité québécoise.
Des moyens de
pressions pourraient aussi être exercés dans les prochaines semaines, sans
oublier le lobbying que mène déjà la Chambre de Commerce du Montréal métropolitain pour tenter de faire fléchir
le ministre des Finances qui compte aller chercher quelques centaines de
millions avec sa mesure.
Dans le créneau des jeux vidéo, le président de
l’Alliance numérique, Martin Carrier, fera une intervention publique lundi
prochain (16 juin).
Fonds-fête
Il y avait tout de même de bonnes nouvelles pour
Montréal dans le budget.
Québec a fait une fleur à l’administration
Coderre-Desrochers alors que s’organisent les festivités du 375e anniversaire
de Montréal. Le gouvernement pourrait injecter jusqu’à 60 millions de dollars
pour des projets en lien avec l’événement.
Toutefois, le secteur privé et le gouvernement
fédéral devront aussi faire un effort en termes de générosité. Et vu que
Montréal a un rôle « particulier » comme métropole, le gouvernement
lui refilera près de 8 millions de dollars de plus.
Le fonds prévu comme métropole passera à 20
millions. Des investissements sont prévus aussi pour 3000 logements sociaux
dont le sixième ira spécifiquement au secteur de l’itinérance.
D’autres mesures ont aussi été annoncées mais aucune
ne touche directement l’arrondissement Ahuntsic-Cartierville. (Par Alain Martineau) (2014-06-13)
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Une roue dans la bonne direction…
Le viaduc Henri-Bourassa Ouest sécurisé pour les cyclistes
Rappelons que la ville centre s’était engagée à rendre les traversées des viaducs plus sécuritaires à la suite du décès de la cycliste Mathilde Blais, triste événement survenu le 28 avril dernier sur la rue St-Denis près du boulevard Rosemont. (Par Philippe Rachiele) (2014-06-13)
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Chronique horticole “Jardins et potagers de Patrick”CIBL-101,5 FM reçoit un chroniqueur du jdv
Notre fermier urbain invité à Montréal par la racine
Par Patrick De Bortoli
On me demande cette semaine de partager avec vous mon expérience à la
radio de CIBL, du mardi 3 juin. Me suggérer de vous parler de mon passage à l’émission, Montréal par la racine, est pour moi,
une autre excellente excuse d’aborder un sujet qui me tient à cœur : le
jardinage! Mais surtout, l’idée de jardiner autrement, ou encore (ce qui
revient au même), de faire de la politique autrement, c’est-à-dire, en
jardinant! Tout d’abord, tout de même, quelques mots, sur la façon dont j’ai
été invité à CIBL.
C’est, semble-t-il, ma chronique horticole, celle-ci même (donc dans journaldesvoisins.com), qui aurait piqué
la curiosité de l’animatrice de l’émission, Guylaine L’Heureux, qui souhaitait
en savoir davantage sur mon projet de potager en devanture de maison, et sur mon
engagement au sein du journaldesvoisins.com.
Guylaine L’Heureux a donc cru bon m’inviter afin d’inaugurer leur
nouvelle rubrique urbaine, « Vie de quartier » qui soulignera, tout
au cours de l’été, certaines initiatives citoyennes, en matière d’agriculture
urbaine. Toutes ces initiatives auront contribué à transformer, un tant
soit peu, la vie des divers quartiers de Montréal. Le jeu en a certes valu la
chandelle, dans mon cas, alors que j’ai eu la chance de faire d’enrichissantes
rencontres, avec la sympathique animatrice de l’émission, ses enthousiastes
chroniqueurs, et l’invité spécial de la semaine : l’horticulteur Albert
Mondor!
Vision commune
C’est au travers de cette belle découverte, de ce baptême radiophonique,
en studio, que j’ai assisté, le cœur papillonnant d’émerveillement puéril, à
cette danse inouïe et muette, entre l’animatrice et la régie, à cette
orchestration du temps précieux qui filait à toute allure et de ces paroles
sans visage qui valsaient devant les micros.
C’est entre deux pas de danse, celle d’une pause musicale ou
publicitaire que j’ai eu l’occasion d’échanger avec Albert Mondor, sur nos
visions communes d’une forme de jardinage osée, sinon renouvelée, et le rôle
politique, actif et engagé du jardinier urbain.
Mais qu’est-ce à dire, au fait, que le jardinage comme acte politique?
Comme vous le savez, ou bien l’avez remarqué, mon potager de façade en
est bien un, dans la mesure où on y retrouve d’abord fruits et légumes. J’y ai
intégré une myriade de fleurs comestibles et/ou médicinales. Toutefois, certaines
de ces plantes sont uniquement ornementales, qui viennent élargir l’idée reçue
du potager classique piqué de tuteurs vert, en rangs bien droits, où les
tomates sont à côté des tomates et les choux à côté des choux! On veut faire,
aujourd’hui, du beau avec du bon!
Au cœur de nos
vies…
Si le comestible est au cœur de ce potager, c’est que la nourriture est
au cœur de nos vies; nul besoin d’en dire davantage. Nous le savons,
théoriquement; nous le ressentons moins, puisqu’elle est abondante et aisément
accessible (chez nous du moins!). La nourriture est également marchandise. Elle
possède une valeur d’échange et se paye.
Les prix fluctuent en fonction de divers facteurs, certains
déterminants, comme les aléas de la météo; la rareté des intrants nécessaires à
la production de ces aliments, en l’occurrence, l’eau et le pétrole. Ce dernier,
en particulier, sert, naturellement, à carburer la majestueuse machinerie
agricole. Il sert aussi, ne l’oublions pas, au transport de cette nourriture
jusqu’à l’épicerie du coin (et des quatre coins du monde!) et à la fabrication
d’engrais synthétiques, de pesticides et autres produits chimiques qui sont
monnaie courante en agriculture industrielle.
Derrière ce tableau, alors que notre alimentation est devenue dépendante
de ces ressources, ce sont nos sols qui s’appauvrissent, c’est notre air qui se
spolie, nos nappes phréatiques qui s’épuisent, nos lacs et rivières qui se
gorgent de poison et vous connaissez la suite des effets sur la chaîne
écologique. Pour nous abreuver, nous contaminons la source qui nous abreuve…
Pas de procès,
mais…
Mais, il ne s’agit pas, dans cette chronique, de faire le procès de qui
ou de quoi que ce soit, seulement ce petit détour pour jouer avec le contraste
que nous présentent constamment les occasions sommeillantes au profond du
moment présent, en contre-jour des défis actuels.
L’une de ces occasions est de profiter de l’urgence de la situation,
pour se réapproprier le contrôle de notre nourriture ou, du moins, tendre vers
cet objectif. Couper les intermédiaires nuisibles, rapprocher l’aliment de
l’assiette, choisir l’aliment qu’on
met dans son assiette, apprendre à réapprivoiser le sol, les insectes, les
végétaux, et les êtres humains qui gravitent tout autour, dans le respect de
soi-même, des autres, et du milieu dans lequel on vit. Se rééduquer à se
considérer, par un contact direct et quotidien avec la terre, comme étant
partie prenante de la Nature et non extérieurs à elle. Économiser, de cette manière, l’énergie et les
ressources, notamment l’eau et le pétrole. Utiliser l’espace, de plus en plus
limité, de façon efficiente et créative pour y faire fructifier l’essentiel.
Créer des occasions d’échanges entre citoyens, le tout dans le souci d’une
abondance équilibrée et du beau, tout de même!
Ce pas vers la souveraineté alimentaire saine et écologique passe par
nos balcons, nos cours arrières, nos entrées de garage asphaltées, nos
devantures de maison, nos toits, nos murs, nos parcs et édifices urbains, nos
jardins communautaires et collectifs. De l’agriculture faite autrement, urbaine,
au goût du jour; un acte politique
silencieux, mais ô combien éloquent! Jardiner autrement, c’est ça!
À vos pelles citoyens!
Et au plaisir de faire votre connaissance dans un potager près de chez
nous!
Votre fermier
urbain,
Patrick
NDLR : Vous pouvez avoir accès à l’émission de Montréal par la racine, et à celle du 3 juin dernier en cliquant
ici.
NDLR : Patrick De Bortoli sera présent quelque part dans la journée,
samedi, au stand du journaldesvoisins.com,
sur Fleury Ouest.
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Stand de limonade au profit de la Fondation du CHU Ste-Justine
3 301 $ de profits, du plaisir et beaucoup de bénévoles!
L’événement a eu lieu le mercredi 11 juin, malgré la pluie qui s’est mise de la partie vers 16 h 30. Il y avait des desserts faits maison, des maquillages, un atelier de pâte à modeler, la chorale Le Chœur enchanté, de la limonade (bien sûr!), et plein de petits (et grands) bénévoles du quartier. “Parmi nos bénévoles, nous avons eu des petits bénévoles des écoles
Saint-André Apôtre, Louis-Colin, des plus grands de Mont-Saint-Louis,
Regina Assumpta, sans compter les ”cuistots d’un jour” des groupes
Défi de l’école Sophie Barat qui ont cuisiné pour nous, ainsi que plein
d’adultes au grand cœur!”, a tenu à préciser une des organisatrices. (Par Philippe Rachiele et Christiane Dupont) (2014-06-13)
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Soirée d’information sur aménagements prévus au Parc Tolhurst
Près de 100 personnes se déplacent pour entendre les propositions, dont une quinzaine d’ados des HLM M.-Tolhurst
Une centaine de personnes étaient présentes à la soirée d’information sur les aménagements du parc Meunier-Tolhurst, dans Ahuntsic Ouest. Animée par Marc-André Perron, directeur général de la CDEC Ahuntsic-Cartierville, assisté de Siem Smida, conseillère à la CDEC et chargée de projet en développement économique, qui avait organisé la Charrette (consultation) de janvier 2013, la soirée a été intéressante, bien qu’un peu mouvementée!
Présentation
Lors de la soirée, l’architecte-paysagiste, Maria Elena Mancilla, employée de l’arrondissement, qui a travaillé au dossier en se basant sur la «Charette» de l’an dernier a fait certaines recommandations.
Les principales suggestions consistent en l’installation d’une plate-forme métallique par dessus le gazon mais niveau du trottoir dans la partie bordant la rue Fleury et la mise en place d’un sentier de gravier avec lampadaires qui traverserait le parc du nord au sud.
Sur la plate-forme, il y aurait installation de mobilier urbain fixe et il y aurait également installation de tables fixes près des habitations Meunier-Tolhurst. La plate-forme et le mobilier urbain/tables permettraient de créer des lieux rassembleurs pour tous. Il y aurait également un petit sentier qui partirait de la partie sud ouest du parc pour rejoindre le sentier principal. Les deux sentiers feraient office «d’entrée ou accueil» au parc. Il est également prévu d’installer des appareils d”éclairage sous forme de boules de couleur près de la partie située à proximité de la rue Fleury. Finalement, un concours pour l’exposition en ces lieux d’une œuvre d’art devrait être lancé prochainement. Les travaux sont prévus pour l’automne prochain.
Coûts
La répartition des coûts s’effectuerait comme suit:
- Électricité : 180 000$
- Seuil nord : 160 000$
- Seuil sud : 60 000$
- Prairie : 100 000$
- Total : 500 000$
Notons que l’arrondissement a déjà alloué les fonds pour le réaménagement du parc.
Commentaires du public
Plusieurs résidants ont fait part de leur suggestions/recommandations lors de la soirée. Certains aimeraient bien que le parc pour enfants déjà existant soit entièrement clôturé. D’autres suggèrent des jeux, non seulement pour les plus jeunes, mais également pour leur parents et autres jeunes adultes (volleyball de plage/treckfit/pétanque). Une quinzaine de jeunes des habitations Meunier-Tolhurst étaient présents en compagnie d’un membre du personnel. Ils aimeraient également voir l’installation de certaines activités/jeux (basket) qui leur permettraient de dépenser leur énergie.
Plusieurs résidants semblaient par ailleurs préoccupés par la plate-forme ajourée qui pourrait laisser passer les déchets, lesquels seraient alors difficiles à récupérer. En général, il semblerait que les citoyens à proximité du parc s’inquiètent pour les changements à la quiétude et à la propreté des lieux.
Toutefois, le budget n’est pas élastique. De plus, l’arrondissement a travaillé à ce projet à partir des observations soumises par les résidants en janvier 2013. Il ne peut être question de tout recommencer, comme l’a constaté un intervenant.
Constats
Comme le faisait remarquer l’urbaniste Daniel Cyr, résidant de l’arrondissement, le parc n’appartient pas seulement aux gens qui habitent dans les maisons en face du parc mais à tous les résidants, autant ceux du quartier, que les autres Montréalais. Comme tous les autres parcs, d’ailleurs.
Outre le fait que plusieurs aimeraient peut-être conserver le statu quo, certains résidants s’inquiètent sans doute, à mots couverts, de la venue de nouveaux joueurs dans le secteur, notamment les nouveaux commerçants de Fleury Ouest, et de la place qu’ils veulent occuper, au parc Meunier-Tolhurst, notamment.
Pourtant, ces résidants profitent de la présence de ces commerces dont plusieurs étaient déjà là au moment de l’achat de leurs propriétés. Les mêmes résidants apprécient également l’évaluation rehaussée de leurs propriétés grâce à la proximité de ces commerces près de leurs lieux de résidence.
Quoiqu’il en soit, l’animateur de la soirée, Marc-André Perron, considère que l’exercice fut positif. “Je dirais qu’environ la moitié des citoyens présents à la soirée avaient participé à la charrette en janvier 2013, a-t-il dit, ajoutant que tout n’est pas parfait, mais que “quand un milieu se mobilise, ça avance!”, faisant allusion au fait que l’arrondissement a prévu que les travaux commenceraient en septembre prochain. “Le concept vient de la base, a-t-il poursuivi. Mais après les consultations, à un certain moment, il faut que des décisions soient prises. La proposition a été montée à partir du choix des gens. On ne peut pas dire qu’il y a eu beaucoup de “non” catégoriques”, a conclu M. Perron. (par Philippe Rachiele et Christiane Dupont) (2014-06-13)
Pour voir les photos de la soirée, cliquez-ici.
Pour lire le résumé de la charrette (réunion)
qui avait été organisée pour l’aménagement du parc Tolhurst l’an dernier, sur les archives de journaldesvoisins.com, cliquez ici, et descendez votre
curseur vers le bas…
Les 50 ans de l’UFA soulignés
Un 50e anniversaire qui ne passe pas inaperçu!
.Des échos jusqu’à l’Assemblée nationale
Pour souligner cet anniversaire, l’UFA recevait en grande! Environ 80 invités se sont réunis pour un cocktail dînatoire précédé d’un vin d’honneur, le samedi 7 juin dernier.
Anciens et actuels professeurs, membres du conseil d’administration, bénévoles, tous ont pris part à cette rencontre festive. Étaient également présents, quelques dignitaires, dont Émilie Thuillier, conseillère de ville, district d’Ahuntsic; Marie Montpetit, députée de Crémazie; Samia Sidaoui, représentante de la députée de l’Acadie et ministre des Relations internationales et de la Francophonie, Christine St-Pierre; Réjean-Paul Forget, représentant de la députée fédérale d’Ahuntsic, Maria Mourani; Laurent Legault, directeur des loisirs, de la culture et du développement social d’Ahuntsic-Cartierville, notamment.
À tout seigneur, tout honneur, soulignons la participation des membres du conseil d’administration actuel : Thierry Pithioret, vice-président; Yolande Marceau, vice-présidente et coordonnatrice; Danièle Daigle, trésorière; Josée Brosseau, secrétaire; Christine Champagne, administratrice; et Pierre Choquette (lui-même ancien président), administrateur.
Des échos à l’Assemblée nationale
Les 50 ans de l’UFA ont eu des échos jusqu’à l’Assemblée nationale alors que la députée Christine St-Pierre a profité d’une intervention au salon bleu de l’Assemblée nationale pour glisser quelques mots sur l’organisme et les services qu’il rend aux citoyens.
« Je souhaite souligner le 50e anniversaire de l’Union des Familles d’Ahuntsic, situé dans le comté d’Acadie, a-t-elle dit. Fondé en 1963, L’Union des Familles d’Ahuntsic a été créé pour répondre à des besoins du milieu. Dirigé par des personnes bénévoles, résidentes du quartier, l’U.F.A. a accompli un bon nombre de réalisations en 50 ans. Notamment, l’élaboration des classes de maternelle, des démarches dans la création d’un cégep, la mise sur pied du Club d’âge d’Or St-André-Apôtre et la formation d’un club de patinage de vitesse. Je tiens à féliciter et reconnaître tous ceux et celles qui ont, de près ou de loin, contribué à la pérennité et au succès de l’organisme au fil des années. Votre contribution et votre dévouement contribuent à l’amélioration de la qualité de vie de nos familles et nous en sommes fiers. Longue vie à L’Union des Familles d’Ahuntsic », a conclu Mme St-Pierre. (Par Christiane Dupont (2014-06-13)
Pour voir d’autres photos de la soirée, cliquez ici
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LE COIN COMMUNAUTAIRE…………………………………….
Vous êtes d’un organisme communautaire? Vous désirez faire part à nos lecteurs/lectrices des activités, succès ou questionnements de votre organisme? Écrivez-nous à journaldesvoisins@gmail.com, ou appelez-nous au 514 770-0858. (Par Philippe Rachiele) (2014-06-13)
Assemblée générale annuelle de la CDEC le 17 juin prochain. La Corporation de développement économique
communautaire (CDEC) convie tous les résidants, organismes, institutions et
gens d’affaires de l’arrondissement Ahuntsic-Cartierville à son Assemblée
générale annuelle qui aura lieu le mardi 17 juin 2014 à 18 h, dans les
locaux de la CDEC situés au 433 Chabanel Ouest, bureau 304, Montréal, H4N 2J4
(stationnement gratuit à l’arrière de l’édifice dès 17 h). Veuillez prendre note que l’assemblée sera précédée d’un
cocktail-réseautage à 17 h. Repas et vin d’honneur seront offerts. Inscriptions : info@cdec.qc.ca. (Source : CDEC)
Le festival libanais aura lieu les 13, 14 et 15 juin au Parc Marcelin-Wilson. Il accueillera les Montréalais de tous
horizons afin de célébrer dans la bonne humeur l’héritage artistique et
culturel libanais. Par le biais d’une programmation riche qui propose musique,
danse et découvertes culinaires, le Festival offre aux citoyens une incursion
au cœur des traditions de cette civilisation plusieurs fois millénaire. Pour le programme, cliquez ici.
• Mercredis de 11h30 à 13h30
Centre communautaire Ahuntsic (10780, rue Laverdure, dans le stationnement)
• Mercredis de 15h30 à 20h (À partir du 18 juin 2014)
Parc Tolhurst (Angle Fleury Ouest et Meunier)
• Jeudis de 11h30 à 13h30
Studio d’art Saint-Sulpice (1070A, rue Louvain Est) (Source : Ville en vert)
AGA du Centre des femmes solidaires et engagées le jeudi
le 19 juin à 19h00 à Présâges (1474, Fleury est). Ordre du jour :
présentation du rapport d’activités, adoption des priorités 2014-2015 et états
financiers, élection des membres du conseil
d’administration. Repas léger servi à 18h00.
Inscription au plus tard lundi 16 juin : (514)
388-0980 (poste 201). Toute membre en règle avec sa carte 2014-2015 a le droit
de vote. (Source : CFSE)
Les Scouts du 105e groupe scout Christ-Roi sont fiers de vous présenter deux jeunes et deux
animateurs qui ont
décidé de participer au défi Têtes rasées Leucan! Soutenez les en faisant un
don pour faire la différence auprès des enfants atteints de cancer. Si vous
voulez ajouter à la cagnotte pour les encourager lors de leur rasage de tête, vous êtes les bienvenus à la fête de
groupe, le 21 juin, au parc Henri-Julien.
http://www.tetesrasees.com/fr/event/other/105e-groupe-scout-christ-roi. Renseignements : 438 994-2323
Vendredi 13 juin, de 10h à 16h au 5765, boul. Gouin O.
Vendredi 27 juin, de 10h à 16h au 5765, boul. Gouin O.
Atelier sur réglage des vitesses Vendredi 13 juin, au 5765, boul. Gouin O. de 16 h 30, inscriptions : 514 903-9990 (Source : Ville en vert)
Entraide
Ahuntsic-Nord vous invite à son assemblée générale annuelle publique le
vendredi 13 juin 2014 à 10 h, au 10780 rue Laverdure, Pour obtenir un transport, vous inscrire rapidement en composant le 514 382-9171.
Bienvenue à tous! (Source : Entraide Ahuntsic-Nord)
La 5e édition du cahier environnement de l’arrondissement
d’Ahuntsic-Cartierville vous permettra de mieux connaître et reconnaître les
arbres urbains, publics ou privés, mais vous donnera également des conseils
pour les choisir, les entretenir, les protéger et les aimer davantage! Le cahier contient une foule d’informations utiles, tant sur la réglementation
(travaux, élagage, collecte des branches, permis) que les soins à apporter
(choix de l’essence et de l’endroit, arrosage, protection, prévention contre
l’agrile du frêne). Lisez-le en famille, il comporte même une section pour les
enfants! Disponible en format imprimé dans
plusieurs points de services ou en ligne ici. (Source : Arrondissement)
Le
magasin-partage de la Rentrée scolaire d’Ahuntsic poursuivra ses activités cette année et aidera plus de 350 enfants. C’est Lorraine Pagé, conseillère de la Ville,
district Sault-au-Récollet qui préside
la campagne de financement. Cette
campagne permet aux enfants de choisir gratuitement et dans la
dignité leur matériel scolaire. De plus, leurs parents se procureront des
denrées alimentaires à 10 % du coût réel. Les six partenaires cette
année sont : le CANA, le CJSS, le
CRECA, la Pasto sociale
d’Ahuntsic, Pause-Famille, le SNAC. Pour contribuer ou acheter des billets pour
le déjeuner-bénéfice parrainé par Lorraine Pagé et qui aura lieu le vendredi 20
juin, à 7h30, au restaurant Zagrum,
communiquez
avec le CRECA au 514 596-7629. (Source Magasin partage)
………………………………….LE COIN DES COMMERÇANTS
Sur La Promenade Fleury
Durant les trois jours où La Promenade sera laissée aux piétons, une panoplie d’animations est prévue : jeux gonflables, zone familiale, musique, maquillages, spectacles, la mascotte Fleurimon et ses amis, et plus. Une tradition bien établie dans le quartier!
Cliquez ici pour regarder et écouter!
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Ouverture du Sushi Ami, 1469, rue Fleury Est, menu à déguster en salle, sur livraison ou pour emporter. Service de traiteur offert.
La députée Marie Montpetit compte rencontrer les gens devant son bureau du 1421, Fleury Est, durant la vente trottoir… si le soleil se pointe, sinon, à l’intérieur.
Sur Fleury Ouest
Avec eux, cette année, les commerçants de Fleury Ouest veulent mettre à contribution des artistes et ajouter une touche culturelle à l’événement du mercredi. Ainsi, s’il n’en tient qu’à l’Association des gens d’affaires de Fleury Ouest, il y aura sur place des artistes: peintres qui exposeront; des conteurs qui vous charmeront; et des musiciens qui vous éblouiront. Si vous avez des suggestions, vous écrivez à: inf@fleuryouest.com
Le 18 juin, c’est Paola Secco, virtuose de la flûte traversière qui inaugurera le volet culturel et vous charmera aux environs de 18 h- 19 h, pendant que vous casserez la croûte! Le 25 juin, ce sera au tour de Michel Daviault, artiste doubleur de films, et proprio du resto Frites Alors! qui fera des lectures d’extraits de livres.
Il y aura, éventuellement, un chapiteau sous lequel s’installeront quelques restaurateurs de FLO pour contribuer à l’offre culinaire en glaces, cafés et bons desserts! À suivre.
Le restaurant Les Cavistes fait un doublé. La terrasse est officiellement ouverte car les proprios, Maude Théroux-Séguin et Robert Herrera, ont reçu tous les permis requis. Disponible pour les brunchs du dimanche, lunches, soirs. Les deux associés ont également aménagé une salle et peuvent maintenant recevoir des groupes de 60 personnes en formule cocktail dinatoire.
Gens d’affaires et commerçants d’Ahuntsic-Cartierville: vous avez des nouvelles, petites et grandes, susceptibles d’intéresser nos lecteurs? Écrivez-nous à journaldesvoisins@gmail.com, ou appelez-nous au 514 770-0858.
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BRÈVES…BRÈVES…BRÈVES…BRÈVES…BRÈVES…BRÈVES…BRÈVES
Carlo
Mandolini, professeur et coordonnateur du programme Arts, lettres et
communication au Collège André-Grasset, a reçu une Mention d’honneur de l’Association québécoise de pédagogie
collégiale (AQPC), dans le cadre de son 34e colloque, où 1 500
pédagogues du réseau collégial étaient rassemblés la semaine dernière. Cette distinction souligne l’engagement pédagogique des lauréats, la
qualité de leur travail et leur contribution à l’évolution de l’enseignement
collégial. (Source : Collège André-Grasset)
Samuel Daoust et Olivier Vandal, étudiants du programme de Technologie de l’électronique industrielle, qui avaient obtenu la médaille d’or dans la discipline « Mécatronique » lors des Olympiades québécoises de la formation professionnelle et technique, viennent de remporter les Olympiades nationales de Compétences Canada en mécatronique. L’équipe du Collège s’est donc qualifiée pour participer aux Mondiales, à Sao Paulo, au Brésil. (Source : Collège Ahuntsic)
QUOI FAIRE….QUOI FAIRE…QUOI FAIRE…QUOI FAIRE…QUOI
L’alimentation des aînés avec Viviane Rocheleau qui vous
conseillera sur les aliments et les saines pratiques culinaires qui vous
permettront de garder la forme quel que soit votre budget. Au café de Da, le 18
juin à 10 h. Inscriptions : 514 872-0568 (Source : arrondissement)
L’Association
des retraités d’Ahuntsic continue certaines activités durant tout l’été:
Santé marche les
lundis à 9h du matin (Se présenter au bistro de l’île de la Visitation)
Pétanque les lundis soirs au
parc Saint-Paul-de-la-Croix
(Donner son nom au (514) 382-0310 poste 101)
Scrabble les mercredis à 13h30 et
Tennis sur table les
vendredis à 12h, dans
une salle de Présages (1474 Fleury est, coin Hamel)
À la vente trottoir de la Promenade
Fleury (12 au 14 juin). Vous y trouverez:
Oeuvres des élèves des classes d’art, lainages des tricoteuses et livres à vendre pas cher…
Au
programme (près de la rue Hamel) :
Vendredi
13h : vernissage de l’exposition
Vendredi
15h : mini-concert de la chorale
Samedi
11h : danse en ligne (Source : ARA)
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EN RAISON DE LA PLUIE, JDV SERA SUR FLO dimanche 16 h
Promenade Fleury et fête de quartier sur FLO ce week-end
Journaldesvoisins.com sera de la partie!
Deux prix offerts en tirage par nos commanditaires
Si vous êtes membre du jdv, ou que vous souscrirez votre carte de membre ce week-end (10$), ou si vous êtes abonné à notre liste de diffusion des Actus du vendredi, inscrivez vos nom et prénom, ainsi que votre numéro de téléphone, sur un coupon que nous vous remettrons à cette fin et déposez-le dans notre boîte de tirage.
Nous serons à notre stand sur La Promenade, vendredi, entre 16 h et 19 h (sauf s’il pleut), ou à notre stand de la rue Fleury Ouest, samedi, lors de la fête de quartier. Le tirage aura lieu à 18 heures, samedi. Remis au lendemain s’il pleut.
___________________________________________________________________________ Venez rencontrer les artisans de votre journal communautaire! Venez jaser de vos préoccupations. Nous avons peut-être les mêmes étant donné que la plupart d’entre nous sommes également des résidants d’Ahuntsic-Cartierville. (Par Christiane Dupont) (2014-06-13)
Vous voulez devenir membre? Trois sous par jour!
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Vous désirez lire encore plus de nouvelles sur Ahuntsic-Cartierville? «Aimez-nous» |
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Nous reconnaissons la contribution financière du ministère de la Culture et des Communications du Québec dans la réalisation de journaldesvoisins.com
Nous reconnaissons la contribution financière du Fonds d’économie sociale de la Corporation de développement économique (CDEC) Ahuntsic-Cartierville dans la réalisation de journaldesvoisins.com
- Premier prix, catégorie Opinion, pour “Le bien des autres”, éditorial du bimestriel papier de décembre 2013, aux prix de l’AMECQ
- Gagnant d’une bourse de 5 000 $ au concours Entreprenez à Ahuntsic-Cartierville, édition 2014
- Mention “Coup de coeur du jury” au Concours québécois en entrepreneuriat, CQE Est de Montréal, édition 2014
- Participant à la finale régionale de Montréal au Concours québécois en entrepreneuriat, édition 2014, dans la catégorie “économie sociale”
Journaldesvoisins.com est un journal communautaire d’information fait par des résidants et pour les résidants d’Ahuntsic-Cartierville, et dont le siège social se trouve à Ahuntsic. Notre journal est un bimestriel papier, mais surtout un journal en ligne, chaque vendredi, avec les Actualités hebdomadaires d’Ahuntsic-Cartierville qui se consultent sur le Web à: www.journaldesvoisins.com
Nous sommes membres de l’Association des médias écrits communautaires du Québec (AMECQ).
Coordonnées: journaldesvoisins@gmail.com Téléphone: 514 770-0858
Les opinions émises dans ce journal n’engagent que leurs auteurs. Vous voulez nous aider? Écrivez-nous! Appelez-nous!
Conseil d’administration: Diane Viens, présidente; Pierre Foisy, vice-président; Me Hugo Hamelin, secrétaire; Philippe Rachiele, trésorier; Douglas Long, administrateur; Christiane Dupont, secrétaire adjointe; Maryse Henri, administratrice (représentant les OBNL); Yves Bonneau, administrateur (représentant les commerçants et gens d’affaires), et Pascal Lapointe, administrateur.
Éditeur désigné et représentant publicitaire: Philippe Rachiele
Rédactrice en chef: Christiane Dupont
Rédacteur en chef adjoint: Alain Martineau
Rédacteurs en chef adjoint suppléants: François Barbe, Mélanie Meloche-Holubowski
Journalistes, version Web: Christiane Dupont, Philippe Rachiele et Alain Martineau
Journaliste, version Web, été 2014: Élizabeth Forget-Le François
Journalistes, version papier: Christiane Dupont, Alain Martineau, Élizabeth Forget-Le François, François Barbe, Mélanie Meloche-Holubowski.
Collaborateurs à la rédaction et à la photographie: Élaine Bissonnette, Laetitia Cadusseau, Sandrine Dussart, Samuel Dupont-Foisy, Geneviève Poirier-Ghys, Julie Dupont, Alain Martineau, Maude Dupont-Foisy, Laetitia Cadusseau.
Photos: Philippe Rachiele
Mise en page: Philippe Rachiele et Christiane Dupont
Illustrations originales: Claire Obscure
Caricaturiste: Fanie Grégoire
Correction/révision, version papier: Samuel Dupont-Foisy, Geneviève Chrétien
Réseaux sociaux: Christiane Dupont, Mélanie Meloche-Holubowski, Philippe Rachiele
Impression, version papier: Hebdo Litho inc.
Distribution, version papier: journaldesvoisins.com
Dépôt légal, version papier: BNQ – ISSN1929-6061
Dépôt légal, version Web: BNQ – ISSN1929-607X
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