Les Actualités du 13 mai 2016
AVIS AUX MEMBRES EN RÈGLE:
ASSEMBLÉE GÉNÉRALE DES MEMBRES LUNDI 16 MAI, 19 h, Centre communautaire Ahuntsic, 10780, rue Laverdure.
La période de mise en candidature se terminait lundi 10 mai, 17 h.
Les administrateurs en élections ont été élus par acclamation.
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Une première à Montréal
Un pavillon d’accueil « net 0 »
Le montage financier, pas encore complet
La première pelletée de terre a eu lieu le 12 mai en présence des élus de l’arrondissement, de quelques employés et invités. Le pavillon sera le premier édifice à consommation énergétique nette zéro de Montréal. Il sera alimenté par des panneaux solaires et construit de manière à réduire au minimum ses besoins énergétiques en surpassant les exigences du Code du bâtiment.
Le pavillon devrait ouvrir ses portes en mai 2017. Il sera ouvert toute l’année et pourra accueillir les adeptes de plein air, les
cyclistes, les Montréalais, les résidants d’Ahuntsic-Cartierville, et les
touristes de passage.
Rappelons
qu’à l’origine, en 2013, lors des consultations publiques au sujet du parcours
Gouin, l’arrondissement n’avait pas nécessairement prévu l’érection d’un
pavillon d’accueil. Outre la maison Berri qui devait servir d’espace muséal,
mais qui a été détruite en bonne partie dans un incendie lors de travaux de
rénovation, la proposition élaborée par Sarah Kraemer et Mitchell Lavoie ne
prévoyait pas de pavillon d’accueil. L’idée a germé rapidement par la suite.
Montage financier
Pour la construction du pavillon d’accueil, les fonds proviendront du programme du 375e anniversaire de la Ville de Montréal (1 million $), d’Hydro-Québec (environ 600 000 $) et d’autres bailleurs de fonds qui devraient annoncer leur participation prochainement, selon le chef de cabinet du maire, Robert Dolbec. L’arrondissement en fera l’annonce ultérieurement et journaldesvoisins.com vous en informera.
On se souviendra qu’Hydro-Québec, par le truchement de son programme de mise en valeur intégrée (PMVI) avait déjà prévu remettre environ 684 637 $ à l’arrondissement pour la première phase des travaux pour compenser, en quelque sorte, la construction de la nouvelle ligne électrique et du nouveau poste Fleury d’Hydro-Québec (rue Meilleur).
Par ailleurs, pour le parcours Gouin, et par la suite le pavillon d’accueil, lors des consultations publiques de 2012 à 2014, l’arrondissement avait déjà prévu solliciter des fonds de fondations et d’entreprises privées. Ainsi, en mai 2014, le directeur général de l’époque, Ronald Cyr, soulignait que même si l’arrondissement contribuait de ses propres deniers, mais avec parcimonie, plusieurs fonds privés et publics seraient sollicités par l’arrondissement pour l’obtention de financement. (Par Philippe Rachiele et Christiane Dupont) (2016-05-13)
Récompensé par A-C
Un résidant sauve une vie
Le résidant se promenait avec sa conjointe non loin du cours d’eau quand il a aperçu deux jeunes filles qui marchaient sur la glace. Tout à coup, la glace s’est fissurée sous l’une d’entre elles et une des jeunes files est tombée à l’eau. Grâce à la vigilance et à la rapidité du résidant, la jeune fille s’en est tirée.
Le commandant Tanguay a remis à M. Paquette une plaque pour souligner le geste qu’il a posé à cette occasion, un acte de civisme exceptionnel et digne de mention. Les membres du conseil d’arrondissement se sont joints à lui pour féliciter le récipiendaire, par la suite. (Par Christiane Dupont) (2016-05-13)
Projet Louvain
Première pelletée de terre dans 2-3 ans
Le CLAC, insatisfait
C’est ce qui ressort d’un entretien avec le conseiller du district de Saint-Sulpice, Pierre Desrochers, qui a du même souffle rappelé les tenants de la politique pour l’inclusion de logements abordables dans les projets.
Il va sans dire que le projet, sur le vaste terrain stratégique de la ville situé sur Louvain, entre les rues Christophe-Colomb et Saint-Hubert, a de quoi retenir l’attention.
« Il faudra attendre plusieurs années pour la première pelletée de terre, deux à trois ans au moins, a indiqué M. Desrochers, rappelant les étapes à venir. Il y a le déménagement des employés municipaux (un groupe a déjà été déménagé en attendant de se retrouver sur Louvain Ouest, dans la Cité de la mode). Il devrait aussi y avoir une consultation publique » a-t-il mentionné?
Du logement « social » et « abordable »
Le chantier habitation de la table de quartier Solidarité Ahuntsic, qui regroupe divers partenaires sociaux, avait recommandé la construction de 1000 logements sociaux en dix ans dans Ahuntsic-Cartierville. Et bon nombre de ces logements vont se retrouver sur le terrain en question, a promis M. Desrochers.
Le Comité logement Ahuntsic Cartierville (CLAC) désire que la Ville crée une réserve foncière sur ce terrain, pour du « communautaire ». Il affirme que les terrains sont tellement chers maintenant qu’il devient de plus en plus difficile de lancer des projets d’habitation à caractère social.
Mais Pierre Desrochers s’est montré rassurant une fois de plus. « Il y aura comme prévu avec notre politique d’inclusion, 15 % de logements sociaux et 15 % de logements abordables sur l’emplacement », a-t-il martelé. Interrogé sur le fait que souvent les promoteurs se défilent (en payant une sorte d’amende pour compenser le fait qu’ils n’en font pas ou moins que prévu), M. Desrochers a signalé que c’est la Ville qui, ici, est propriétaire du terrain et que cela fera la « différence ».
« On va faire respecter ça, cela fait partie de notre politique municipale. Quand on vendra le terrain, il y aura des obligations. Nous avons tous les leviers requis pour agir. Et avec l’éventuelle loi de la métropole, on aura plus de pouvoirs encore » a estimé M. Desrochers.
Réactions du CLAC
Interrogé sur ces propos, le CLAC a une fois de plus clamé son insatisfaction, étant donné que les besoins sont énormes avec la liste d’attente pour du logis social à Montréal et qu’il faut agir vite. « On compte mille ménages en attente dans notre seul arrondissement, a souligné Ariane Lalande, coordonnatrice communautaire. Dès 2012, Solidarité Ahuntsic prenait position pour obtenir autant de logements sociaux. Mais c’est long avant que ça bouge », a-t-elle déploré.
Mais n’y a-t-il pas danger de ghettoïser le secteur qui compte aussi des entités d’habitations à loyers modiques au sud? « Quand on parle de communautaire, il y a aussi des coopératives avec parfois des loyers aux prix du marché, des OSBL, etc. Mais la ville se sert de la politique de la mixité (logis sociaux et unités neufs aux coûts du marché), et cela freine le développement de logements sociaux » a-t-elle ajouté.
Le groupe est intervenu à la séance du conseil de lundi dernier, mais s’est dit « déçu » des réponses des autorités. (Par Alain Martineau) (2016-05-13)
Vocation du 406, rue Legendre
Le conseiller Pierre Desrochers prêche l’apaisement
Au cours de ce référendum, les voisins du 406 Legendre se prononceront en faveur ou non de la dérogation au règlement de zonage qui permettrait à ceux qui fréquentent ce local de l’utiliser aussi à des fins religieuses.
D’emblée, le conseiller de ville tente de calmer le jeu. « Certains utilisent le terme “mosquée” pour grossir l’affaire… Ils veulent augmenter l’impact du lieu. Je pense qu’ils tentent de rendre ça gros et de polariser le débat. Mais ce n’est pas cela. C’est un centre où, durant la journée, il y a des moments de prière. C’est un lieu de culte occasionnel et, fondamentalement, c’est un centre communautaire », expose-t-il.
Les deux côtés de la médaille
M. Desrochers dit comprendre les appréhensions des gens : « Au départ, on a parlé d’un paquet d’enjeux, comme le stationnement. Mais je pense qu’il y a d’autres appréhensions à l’arrière de tout cela. Et on peut comprendre. »
Quant aux personnes qui fréquentent l’établissement de la rue Legendre, il concède qu’elles pourraient se sentir exclues advenant un résultat négatif au référendum. « Ce qu’on veut, c’est que les gens se sentent bien n’importe où à Montréal. Qu’ils se sentent rejetés dans un endroit ou dans un autre, on n’a pas à être contents de cela. Ce n’est pas le genre de ville dans lequel on veut être. Oui, on vit dans un ensemble, il y a des règles générales. Mais je pourrais comprendre que des gens qui aimeraient avoir l’occasion de se réunir dans un centre communautaire se sentiraient rejetés », confie celui qui est aussi président du Comité exécutif de la ville.
Les répercussions
Avec la tenue de ce référendum, peut-on craindre que le résultat serve de précédent? « Pas nécessairement, réplique-t-il, chaque cas est un cas d’espèce. Il y a eu un autre cas sur Saint-Laurent, qui s’est très bien passé. Cela n’a fait aucun bruit. La dérogation a été accordée pour exactement la même chose. »
M. Desrochers s’est montré serein, estimant que la ville a fait son travail pour que « les gens s’apprivoisent, se fassent confiance et commencent à travailler ensemble. » (Par Christiane Dumont) (2016-05-13)
Les mots pour le dire
La mosquée revêt un caractère social important. La salle de prière est un lieu de recueillement, mais les mosquées servent également de lieu d’information sur la communauté, de centre de formation, voire d’agences de voyages. Leur rayonnement va donc au‐delà de la simple fonction religieuse.
Source : Marie-Hélène Bayle, Institut européen en sciences des religions.
« Lieu de culte » est un terme générique désignant un établissement religieux sans en préciser la confession.
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Lieu de culte de la rue Legendre
Près de 16 000 $ pour tenir le référendum du 5 juin prochain
« Le coût d’un scrutin référendaire varie selon plusieurs facteurs, soit : le nombre de personnes habilitées à voter, d’endroits et sections de vote, de la confection ou non de la liste référendaire, de la tenue d’un vote par anticipation ou itinérant. Un nombre élevé de personnes habilitées à voter nécessitera plus de personnel référendaire et par conséquent, coûtera plus cher », explique Michèle Blais, chargée de communications pour Ahuntsic-Cartierville. Au total, 1004 résidants du secteur concerné, provenant de 721 maisons, sont éligibles à voter.
Parmi les dépenses prévues, l’arrondissement dépensera 4340 $ en avis publics dans certains journaux locaux. La confection et la révision de la liste référendaire coûteront 2850 $, l’impression des bulletins de vote coûtera 525 $ et les envois postaux coûteront 1250 $.
La moitié en salaires
Les salaires des diverses personnes qui travaillent pour ce référendum s’élèvent à plus de 6700 $. Le responsable de scrutin recevra 1300 $, tandis que le secrétaire de scrutin sera payé 975 $. La rémunération pour la commission de révision s’élève à 1400 $ (pour cinq personnes à 12 heures chacune)
Par ailleurs, la commission de révision compte un président (360 $); un réviseur (288 $); un secrétaire (312 $); un agent réviseur (234 $) et un préposé à l’accueil (210 $).
Finalement, on embauchera, lors du jour du scrutin, un primo-responsable de salle (400 $); un aide primo (260 $), trois scrutateurs (290 $ chacun); trois secrétaires de bureau de vote (275 $ chacun); un président pour la table de vérification (175 $); deux membres pour la table de vérification (165 $ chacun) et un substitut (200 $)
Le scrutin aura lieu le 5 juin 2016, de 10 h à 20 h, à la salle du conseil du bureau d’arrondissement d’Ahuntsic-Cartierville. Le recensement des votes sera effectué dès la fermeture du bureau de vote et les résultats seront annoncés à la fin du dépouillement. (Par Mélanie Meloche-Holubowski) (2016-05-13)
Travaux retardés sur Papineau
Déjà, les travaux auraient dû commencer début mai, n’eût été une injonction obtenue par des entrepreneurs. La décision sur le fond du litige entre ceux-ci et la ville sera rendue vers le 10 juin, nous informe celui qui est aussi président du comité exécutif de la ville. « Si le juge décide en notre faveur, je pense qu’on va être capable de procéder assez rapidement. On pourrait aussi devoir retourner en appel d’offres et là, ça pourrait retarder. On s’adaptera ».
À cela s’ajoute le conflit annoncé entre la ville et ses ingénieurs, dont la convention collective est échue depuis quatre ans. La grève pourrait être déclenchée le 17 mai. « Ne mélangez pas tous les conflits à la fois », lance en riant le conseiller municipal, qui n’en dira pas davantage.
Et il y a beaucoup à faire pour terminer les travaux comme prévu avant l’automne 2017. Les lecteurs qui ont emprunté le tronçon entre la métropolitaine et Sauvé dernièrement conviendront qu’il a piètre allure. Et M. Desrochers ne leur donnera pas tort. « Quand vous regardez la surface de Papineau, c’est des saillies. Ça n’a pas de bon sens. »
La ville veut sécuriser cette artère peu engageante pour les piétons. « Cela ne pourra plus être une piste de course. Si on compare entre ce que c’est aujourd’hui et ce que ça va devenir, je pense qu’on est très heureux », déclare-t-il.
Aux heures de pointes une voie sera réservée aux autobus et les véhicules pourront circuler sur deux voies au lieu des quatre actuelles. De part et d’autre, la rue sera bordée d’arbres. Du côté est, un trottoir de quatre mètres longera le parc environnemental Saint-Michel. Cette transformation n’aura pas beaucoup d’impact sur la circulation automobile, croit le conseiller, puisque, de toute façon, la rue Papineau est plus étroite vers le nord à partir de la rue Charland.
Vélos secondaires
La ville souhaite favoriser le transport actif, mais les vélos ne figurent pas sur les plans. Des groupes de cyclistes ont manifesté leur mécontentement et proposé des accommodements lors d’une consultation publique en avril. Solutions non retenues, même si le Tazz et le Centre Claude-Robillard situés tout près attirent une clientèle sportive.
« Il y a quand même une piste cyclable tout le tour du Complexe environnemental Saint-Michel, qui est bien desservi. On s’est assuré d’un lien est-ouest et on va favoriser plutôt Christophe-Colomb et Saint-Hubert pour le nord-sud. C’est un choix qu’on a fait. Et c’est un choix qu’on assume », résume M. Desrochers.
Mince prix de consolation, il ajoute que des vérifications sont en cours concernant le partage des voies réservées aux autobus. « Les chauffeurs, les syndicats, la STM, tout le monde a une certaine préoccupation et il est clair que, entre la sécurité et le transport actif, on va favoriser la sécurité. » (Par Christiane Dumont) (2016-05-10)
Groupe citoyen « Montréal pour tous »
Faire le suivi des affaires municipales
Né de l’indignation de plusieurs citoyens face aux « hausses de l’évaluation foncière et des taxes municipales annoncées dans la foulée des révélations de la commission Charbonneau » – comme on peut le lire sur son site officiel -, Montréal pour tous est un regroupement citoyen sans but lucratif ayant à cœur l’assainissement et la transparence des finances publiques.
Priorité à l’évaluation foncière
Aussi, loin de déroger à sa ligne de départ, la question de l’évaluation foncière demeure pour le collectif son plus gros dossier. « Cela fait 10 ans qu’il y a toujours des hausses répétées dans les quartiers centraux, mais aussi dans des quartiers comme Ahuntsic. On dit donc qu’il faut qu’il y ait des mesures d’aides aux propriétaires résidants, mais on n’a pas encore réussi à convaincre de cela l’administration Coderre », explique Pierre Pagé, porte-parole du groupe.
Selon Pierre Pagé, l’administration actuelle est toutefois plus réceptive à Montréal pour tous, qui lui a proposé récemment d’organiser pour l’automne des assemblées publiques informatives en prévision du prochain rôle foncier. Dans l’attente d’une réponse officielle, il y a déjà toutefois une ouverture du côté de la Ville, a relevé M. Pagé. « Ils se sont également montrés ouverts – mais on n’a pas de réponse définitive – pour mettre sur le site de la Ville, les rapports d’évaluateurs et les comparables utilisés par ceux-ci, pour faciliter le travail du propriétaire qui veut voir si son évaluation est juste ou pas », a ajouté M. Pagé. C’est d’ailleurs une satisfaction pour le groupe que de se voir accorder l’écoute de la Ville et d’être reçu par plusieurs de ses représentants.
L’eau du contribuable
Le groupe citoyen s’intéresse également à plusieurs dossiers à teneur environnementale, qu’il aborde du point de vue du contribuable montréalais. « On travaille également sur les questions de l’eau à Montréal, parce qu’il y a 30 % de l’argent dépensé pour l’eau qui s’en va en pertes parce que l’eau coule à 30 %. Il y a des fuites. On a aussi suivi le dossier de l’eau embouteillée, parce qu’on se demandait pourquoi ceux qui consomment plus de 100 000 m3 ne sont pas plus taxés. (…). On a également fait des mémoires sur la question des pipelines. Mais on n’aborde pas ça du côté pétrole ou changement climatique, mais du côté de la protection de l’eau de Montréal », a résumé M. Pagé, au sujet de l’inversion de l’oléoduc 9B d’Enbridge et du projet du pipeline Énergie Est qui préoccupent le groupe.
Autres dossiers
Par ailleurs, Montréal pour tous porte également son attention aux grands travaux d’infrastructure, de voirie et de transport. À l’instar d’une de leur membre qui prend des photos de travaux au parc Jeanne-Mance pour en suivre l’évolution, le collectif pense bientôt inciter ses membres à faire de même pour d’autres chantiers. En outre, d’après M. Pagé, le groupe entend continuer à s’intéresser aux réalisations de l’inspecteur général et espère que la Ville mettra en place les 60 recommandations de la Commission Charbonneau. Enfin, le dossier de la récupération par la Ville des sommes volées par certaines entreprises sera également scruté par le groupe, qui espère pouvoir avoir accès aux chiffres des contentieux d’ici la fin de l’automne prochain.
Joindre les Montréalais
Fort d’une liste d’envoi de courriels de 1200 personnes, les partages du groupe sur les réseaux sociaux peuvent atteindre les quelques milliers de lecteurs, d’après M. Pagé. À ce jour, les membres du groupe sont en provenance principalement des arrondissements du Plateau, Rosemont, Hochelaga, Sud-Ouest, Ahuntsic-Cartierville, Outremont, et également de Pierrefonds-Roxboro. (Par Rabéa Kabbaj) (2016-05-13)
Inauguration officielle
L’école de la Visitation reçoit en grand
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