Les Actualités du 16 janvier 2015
En petit comité, au parc Ahuntsic
Une vigile pour les victimes des attentats
à Charlie Hebdo et à l’Hypermarché casher
Projet de prolongement de l’A-19
Le rapport du BAPE est sur le bureau du ministre
.La députée de Crémazie ne commentera pas le dossier avant que le rapport ne soit rendu public
Web du Ministère, ni celui du BAPE n’en aient fait mention mercredi matin, comme prévu, le BAPE a
remis son rapport sur le projet de prolongement de l’autoroute 19,
mercredi 14 janvier, sans tambour ni trompette (NDLR : sans communiqué, mais avec un
« gazouillis » sur Twitter)
au
ministre David Heurtel.
La nouvelle nous a été confirmée par
le porte-parole du Bureau d’audiences publiques sur l’environnement (BAPE), Alexandre Corcoran-Tardif.
« Nous avons remis le rapport au ministre, hier (14 janvier), et il
dispose de 60 jours pour le rendre public
Parallèlement à cette étude conduite par les deux commissaires, Anne-Marie Parent, présidente, et Pierre André, ainsi que leur équipe, au cours de l’automne dernier, le ministre Heurtel devait faire faire une étude environnementale par son propre ministère. Le ministre fera ses recommandations au Cabinet.
On se souviendra que les audiences du BAPE sur le sujet ont réuni plusieurs groupes, élus, résidants et intervenants du quartier au collège Regina Assumpta, le 22 octobre dernier, la rencontre se terminant assez tard en soirée par la prestation mémorable de deux représentants de la Direction de la santé publique (DSP) de Montréal.
Où logent les élus?
Si les élues de Projet Montréal et de Vrai Changement pour Montréal ainsi que la députée d’Ahuntsic ont fait part de leurs inquiétudes par rapport au projet de prolongement de l’A-19, il n’en est pas de même pour les autres élus siégeant au conseil de l’arrondissement Ahuntsic-Cartierville, ni pour la députée de Crémazie, Marie Montpetit.
Un appel logé au bureau de cette dernière cette semaine par une de nos collaboratrices afin de réaliser une entrevue avec la représentante de Crémazie à l’Assemblée nationale a d’abord reçu une réponse positive; toutefois, une heure avant l’entrevue, un porte-parole de Mme Montpetit, Joël Rousseau, a dû annuler l’entrevue, précisant que la députée de Crémazie ne commenterait pas le rapport avant qu’il soit rendu public. (Par Christiane Dupont) (2015-01-16)
Pour lire les mémoires présentés par les différents citoyens, groupes et partis politiques aux audiences du BAPE sur le projet de prolongement de l’Autoroute 19, cliquez ici
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La nouvelle clinique médicale ouvre ses portes
L’établissement offrira des consultations sans rendez-vous de 8 heures à 17 heures. La clinique recevra aussi des patients du quartier en médecine générale, en médecine du travail, en médecine sportive et en réadaptation pour enfants en difficulté.
La clinique Perrier, qui était située sur la rue Lajeunesse, à 100 mètres de la nouvelle clinique est déménagée à Saint-Léonard, il y a quelque temps.
Pour les résidants qui désirent être suivis par un médecin dans le quartier plutôt que d’avoir à se rendre à Saint-Léonard, voici la procédure à suivre selon Racha-Michèle Asso de l’Agence de la santé et des services sociaux de Montréal:« Les patients doivent s’assurer de s’inscrire auprès d’un médecin de la nouvelle clinique et demander de faire transférer leur dossier de l’ancienne clinique. » Madame Asso n’a pu nous dire si la nouvelle clinique allait être un GMF (groupe de médecine familiale). (Par Philippe Rachiele) (2015-01-16)
Inspection des aliments: des surprises
Condamnations d’entreprises de l’arrondissement
NomsEPICERIE MARCHE D’OR MJ INC.
LA BELLE PROVINCE RESTAURANT LE GOUT DE LA THAILANDE RESTAURANT LA CITRONNELLE PATISSERIE AMAL BOHSALI CANADA INC. CHEMIN FAISANT BOULANGERIE SAMI RESTAURANT CASA VERTOUDOS INC. SANDWICHES THAI SAIGON CINEMA MEGA PLEX MARCHE CENTRAL RESTAURANT FOO LAM |
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d’infraction signifiant les divers correctifs à apporter sans délai. Advenant le
refus d’obtempérer à cet avis écrit ou lorsque la gravité de la situation
l’exige, les contrevenants sont
éventuellement traduits devant les tribunaux où ils sont passibles d’amende. »
Même si les condamnations ont eu lieu en 2014, la majorité des infractions ont été commises en 2013 (voir détails). Selon Philippe Rousseau du service des communications de la Ville centre, les correctifs devraient déjà avoir été effectués par les contrevenants. Depuis, les inspecteurs auraient visité une deuxième fois les établissements pour s’assurer que les règlements soient bien suivis. (Par Philippe Rachiele) (2015-01-16)
La directrice du CLIC quitte le conseil d’administration du CSSS de Bordeaux-Cartierville-Saint-Laurent
Une décision pour contester le projet de loi 10
projet de loi 10 a déclenché une guerre entre le réseau de la santé et le
ministre Gaétan Barrette. Voilà déjà que certaines répercussions se font
sentir localement. Le 19 décembre dernier, le CLIC de
Bordeaux-Cartierville a annoncé dans une lettre adressée au ministre que sa
directrice, Nathalie Fortin, démissionnait de son poste d’administratrice
du CSSS de Bordeaux-Cartierville-Saint-Laurent, en guise de protestation contre le projet de
loi 10 qui prévoit la réorganisation du réseau de la santé.
Même
si elle est persuadée que sa lettre restera sans réponse du gouvernement, la
directrice du CLIC juge important de faire valoir son désaccord quant aux
changements proposés par le ministre Barrette.
Nathalie Fortin
travaille au CLIC (Conseil local des intervenants communautaires) depuis 14 ans
et détient une maîtrise en administration publique. Elle a vu plus d’un bouleversement
au sein du réseau de la santé. Cette fois, elle craint que l’impact ne soit pas
seulement ressenti au niveau bureaucratique : ce projet de loi affectera
également les membres du CLIC – des organismes sociocommunautaires locaux – et
les personnes qu’ils desservent.
Instabilité à l’horizon
Tout
comme la majorité des membres du CLIC,
la directrice estime que cette réforme n’apportera pas les effets escomptés et
créera inévitablement une instabilité à tous les niveaux. Elle précise que la
dernière réforme (qui a donné naissance aux CSSS) commençait tout juste à démontrer
des effets positifs.
« Faire
des réformes comme ça, c’est 10 ans de bouleversements, et ce sont des
coûts, de l’énergie et de l’argent qu’on ne met pas dans les (services aux) patients.
Depuis les dernières réformes, ça commençait à peine de se stabiliser »,
déplore-t-elle.
Les changements structurels du passé n’ont pas
fonctionné, n’ont pas permis d’économiser et n’ont pas réduit la bureaucratie,
critique Mme Fortin. Une nouvelle hiérarchie n’y changera pas grand-chose,
estime-t-elle.
La taille des nouvelles institutions qui seront créées par les fusions risque
d’affecter les soins de proximité, dit Nathalie Fortin. Ces nouvelles
institutions n’auront pas la souplesse pour répondre aux enjeux locaux, qui
varient énormément de quartier en quartier. « Il faut connaître très bien
sa communauté. Il faut faire de la prévention : le logement, l’éducation,
la pauvreté… tout ça influence la santé des gens. Comment une méga
institution pourra avoir la souplesse nécessaire pour être près des gens, pour
connaître son monde? »
« Si
le passé est garant de l’avenir, nous craignons fort que la tendance naturelle
de ces nouvelles institutions soit à l’uniformisation, au mur-à-mur »,
écrit-elle dans sa lettre.
Réduire la paperasse d’abord
Donc, où doit-on couper pour réduire le budget du système de santé? Mme Fortin croit qu’une première étape serait de réduire la paperasse des travailleurs de la santé. « Ils sont payés 75 000 $ et ils passent 60 % de leur temps à compiler des formulaires », précise-t-elle.
Forcer les médecins à voir plus de patients dans une journée n’aidera pas les gens à obtenir un meilleur service. « Certains (médecins) tournent les coins ronds pour en voir plus », estime Mme Fortin. D’ailleurs, mercredi, Le Devoir révélait que les rapports qui compilent le nombre d’heures travaillées par les médecins démontrent certaines anomalies.
Entre-temps, le CLIC s’est résigné à l’adoption de la loi et songe plutôt à trouver des moyens pour maintenir les services à la population et s’assurer que la relation entre le CLIC et les nouveaux administrateurs soient aussi cordiale qu’elle l’était dans le passé.
Nathalie Fortin ne croit pas que sa démission aura des répercussions sur la relation entre le CLIC et le CSSS. Elle rappelle que si cette nouvelle loi est adoptée, tous les membres du CA du CSSS perdront leur poste et les nouveaux administrateurs seront nommés par le gouvernement. « Les chances que la direction du CLIC soit nommée au (nouveau) CA sont minces », conclut-elle. (Par Mélanie Meloche-Holubowski) (2015-01-16)
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Mauvaise nouvelle pour les jeunes lecteurs
Pas de reconduction du Bibliobus en 2015
de l’année 2014 a signé l’arrêt définitif du service de Bibliobus qui
desservait jusqu’ici les jeunes lecteurs de cinq arrondissements, dont
Ahuntsic-Cartierville. Si cette décision s’explique par des raisons
budgétaires, l’arrondissement assure néanmoins être en train de concocter une solution de rechange visant à compenser la fin de ce service.
« Ce
programme ne relevait plus de la Ville centre depuis des années. Les arrondissements
le prenaient en charge. Pour des raisons budgétaires et la nécessité d’investir
des sommes importantes à l’entretien du Bibliobus qui se fait vieillissant, les
arrondissements participants ont décidé de ne pas reconduire le programme en
2015. Les arrondissements analysent différents scénarios afin d’offrir des
services connexes aux citoyens, notamment aux habitués du Bibliobus », a
indiqué par courriel Isabelle Poulin, relationniste à la Ville, au journaldesvoisins.com.
Solution de rechange à venir
Même
son de cloche du côté de Ahuntsic-Cartierville où l’on assure que sans la
participation des autres arrondissements, il était « impossible de
maintenir le service ». Une nouvelle proposition pour combler ce manque
devrait cependant bientôt émerger. « L’arrondissement est à évaluer divers
scénarios visant à compenser l’arrêt de service par le Bibliobus, le nouveau
modèle de service visant à rejoindre également de nouveaux utilisateurs et de
nouveaux lieux. Les diverses possibilités dont, les services mobiles, sont en
évaluation en fonction des ressources financières disponibles », a
expliqué Karine Tougas, porte-parole de l’arrondissement.
Selon
les informations communiquées par l’arrondissement, à Ahuntsic-Cartierville le
montant alloué au Bibliobus s’élevait à 35 000 $. Les lieux de
desserte étaient les écoles Saint-Isaac-Jogues et Saint-Benoît, un mardi par
mois. En 2013, le nombre de prêts et d’abonnés avait été environ de 400 abonnés
et de 4000 prêts.
Une page qui se tourne
Créé
en 1966, le service de Bibliobus consistait à offrir à des enfants de moins de 14 ans
habitant des zones éloignées des bibliothèques la chance de découvrir et
d’emprunter des documents dans une bibliothèque mobile aménagée dans une
semi-remorque, le Bibliobus. Selon la Ville, le Bibliobus circulait dans
Ahuntsic-Cartierville, Rosemont-La-Petite-Patrie, Saint-Laurent, Villeray-Saint
Michel-Parc Extension et Mercier-Hochelaga-Maisonneuve, ce dernier
arrondissement n’ayant participé qu’au début de 2014 avant de se désister. L’abonnement
était gratuit pour les résidants de Montréal.
L’administration Tremblay a retiré ses billes du projet en 2002. Mais quelques mois plus tard, quatre arrondissements – dont
Ahuntsic-Cartierville — avaient chacun versé 70 000$ dans la cagnotte
pour ressusciter le Bibliobus, qui avait poursuivi ses activités.
D’après
Le Devoir, en 2013, à l’échelle de
Montréal, 36 460 prêts ont été effectués par l’entremise du Bibliobus,
comparativement à 25 000 en 2004, une hausse intéressante et significative.
(Par Rabéa Kabbaj) (2015-01-16)
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Un fonctionnement trop complexe, soutient la directrice
L’école Saint-André-Apôtre abandonne l’anglais intensif pour la classe combinée l’an prochain
composante d’anglais intensif pour la classe combinée de 5e-6e
année ne sera pas reconduite pour l’année 2015-2016. En effet, l’annonce a été
faite dans l’infolettre de l’établissement, tout juste avant les vacances de
Noël. Une mère craignait qu’il s’agisse d’une décision de nature budgétaire,
mais l’école confirme que c’est plutôt parce que l’expérience de cette année a
été trop difficile pour les jeunes et les enseignants.
La directrice de l’école, Claudine Baril, explique que le troisième
cycle de l’école sera de nouveau composé de deux groupes de cinquième année,
de deux groupes de sixième année et d’une classe à deux niveaux (classe
combinée de 5e-6e année).
Cette année, l’école a tenté d’intégrer le programme d’anglais intensif
à la classe combinée. L’école a opté pour un modèle d’une demi-année en anglais
et d’une demi-année en français, comme pour les autres groupes de sixième
année. Ainsi, les jeunes de cinquième année profitaient également du cours
intensif d’anglais.
« Il appert que ce mode de fonctionnement, la classe de 5e-6e anglais
intensif, est trop exigeant pour les élèves et pour l’enseignante compte tenu
de la seule demi-année dont disposent les deux niveaux pour traiter de matières
qui nécessitent parfois un enseignement plus spécialisé pour les
élèves de cinquième ou de sixième année. Nous n’avons qu’à penser à
l’univers social qui est constitué d’apprentissages complètement différents
pour les deux niveaux. La classe combinée qui s’échelonne sur une année
complète permet sans problème de répondre aux exigences des deux niveaux, ce
qui n’est pas le cas pour la demi-année », explique la directrice.
Autre orientation prévue
En 2015-2016, la classe combinée 5e-63 offrira
plutôt une orientation Ouverture sur le monde; les jeunes
réaliseront notamment des projets liés à l’environnement, à l’entraide et à la
citoyenneté responsable.
Une dizaine d’élèves ne pourront donc pas bénéficier du programme d’anglais
intensif à l’occasion de leur dernière année à Saint-André-Apôtre. Toutefois, 14 élèves
qui sont présentement en cinquième année – et qui ont eu accès à un an
d’anglais intensif – pourraient de nouveau être placés dans la classe combinée
l’an prochain. De plus, quelques parents ont dit souhaiter inscrire leur enfant dans la classe combinée malgré l’absence du programme intensif
d’anglais.
Ainsi, « toute la cohorte de 6e année de 2015-2016 aura
la possibilité de vivre l’expérience d’une demi-année d’anglais
intensif, en 5e et 6e années », précise Mme Baril.
Pas de remise en question
À la
suite de cette annonce, des parents ont cru que l’abandon de l’anglais intensif
pour la classe combinée pourrait n’être que la première étape menant à l’abandon pur et simple du programme d’anglais pour
tous les élèves de sixième année. Cependant, Mme Baril affirme que
le programme d’anglais intensif pour les autres groupes de sixième année n’est
pas du tout remis en question et que les élèves de l’école continueront de
profiter de cette option.
La directrice a d’ailleurs rencontré les parents, jeudi soir, à l’occasion d’une réunion annuelle au cours de laquelle les élèves d’anglais intensif expliquent aux parents des futurs élèves à quoi ressemble ce programme et quelles sont ses exigences. Elle a profité de l’occasion pour aborder la question. Toutefois selon la directrice, il ne s’agissait pas d’une rencontre spécifiquement prévue pour discuter de l’organisation scolaire de l’année 2015-2016. (Par Mélanie Meloche-Holubowski) (2015-01-16)
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Absence de congé parental pour les élus
Conciliation travail-famille pas toujours facile
.Le cas de la conseillère d’Ahuntsic est patent
chapitre de la conciliation travail-famille, il est une réalité avec laquelle
il n’est pas toujours facile de composer lorsqu’on est nouvellement parent et élu
(e) au Québec : l’absence de congé parental officiel. Une situation que
connaît bien la conseillère municipale d’Ahuntsic Émilie Thuillier, qui vient
de donner naissance, fin décembre, à son deuxième enfant.
« Quand
on dit qu’il n’y a pas de congé parental, c’est que les élus ne sont pas
couverts par le régime d’assurance parentale. Dans le document relatif aux
élus, le congé parental n’existe pas. […] Du point de vue financier, il n’y a
pas de problème parce que l’élu continue à recevoir son plein salaire. Par
contre, le congé parental permet de quitter le travail. Mais nous, on ne peut pas
quitter notre travail et on ne peut pas se faire remplacer. C’est pour cela
qu’on dit que le congé parental n’existe pas », a souligné la conseillère
d’Ahuntsic en entrevue téléphonique avec journaldesvoisins.com.
Pas de balises
« Les
élus ont quand même le droit d’être malades. C’est prévu dans la loi que l’on
puisse manquer 90 jours de conseil municipal ou de conseil d’arrondissement.
Donc, on peut utiliser cela comme congé entre guillemets, mais ça ne touche que
le conseil d’arrondissement et le conseil municipal. Tout le reste n’est pas
codifié, parce que les élus n’ont pas de conditions de travail. Il n’y a pas de
document qui dit exactement ce que doit faire un élu. La seule obligation
légale d’un élu, c’est le conseil municipal et le conseil d’arrondissement », a
indiqué Mme Thuillier qui a donc décidé de s’octroyer un congé jusqu’à
début mars.
L’absence
de balises fait que chaque élu se débrouille un peu à sa façon, trouve son
propre rythme pour jongler entre ses fonctions et son nouveau-né. « C’est
vraiment du cas par cas. Je pense que c’est pour cela qu’il faut qu’on ait une
souplesse et une sensibilité à ces questions-là, parce que moi, mon organisation
peut être différente de celle d’une autre personne et je pense qu’il faut
respecter que ça puisse être possible aussi », a estimé Mme Thuillier,
en soulignant notamment que le fait que son conjoint ait pris un congé parental
l’aide beaucoup.
Côté
travail, la conseillère d’Ahuntsic peut compter en ce moment sur l’aide d’un
attaché politique pour faire le suivi des cas des citoyens de son district pendant
son absence. « Il y a tellement d’aspects à la vie d’élus, qu’il y en a
certains pour lesquels on peut se faire remplacer d’une façon ou d’une autre.
Pour d’autres, on ne peut pas. […] J’arrive quand même à gérer assez bien. On
s’entend, je ne suis pas partie pendant un an, ça se compte en semaines –ou en
très peu de mois. Mais on revient très rapidement », assure-t-elle. Pour
le reste, Émilie Thuillier continuera au cours de cette période à suivre
les gros dossiers et à participer autant que faire se peut aux consultations
publiques qui auront lieu.
Ce que dit la loi
Pour
les élus, la question du congé parental relève bel et bien du palier
provincial, comme l’a expliqué au journaldesvoisins.com
Patricia Lowe, porte-parole de la Ville de Montréal. « Les élu(e) s n’occupent
pas un emploi assurable, mais plutôt une charge publique à laquelle est associé
un devoir de représentation des citoyens. Concrètement, ce devoir se traduit
par une obligation d’assister aux séances du conseil et de voter sur les
questions qui y sont soumises.
C’est une loi provinciale, soit la
sur les élections et les référendums dans les municipalités (a. 317) qui
prévoit que le mandat d’un élu qui fait défaut d’assister aux séances du
conseil pendant 90 jours consécutifs prend fin à la clôture de la première
séance qui suit l’expiration de ce délai, à moins que le membre n’y assiste.
Seule l’Assemblée nationale a le pouvoir de changer quoi que ce soit à cette
règle. »
Pas de modification à ce jour
Selon
Mme Lowe, après s’être penchée sur la question du congé parental pour les
élus, la Commission de la présidence du conseil de la Ville de Montréal avait produit
un rapport en mai 2013, où elle écartait l’option de demander une
modification de cette loi, préférant plutôt faire des « recommandations
visant à faciliter la conciliation travail-famille pour l’ensemble des élus en
proposant des aménagements qui pouvaient s’inscrire à l’intérieur du cadre
juridique et administratif applicable ». (Par Rabéa Kabbaj) (2015-01-16)
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DOSSIER DÉNEIGEMENT
. Budget de déneigement pour l’arrondissement
. Des locataires se plaignent que les propriétaires ne font pas preuve de civisme en pelletant leur neige dans la rue
. Record de plaintes au 311 récemment dans plusieurs arrondissements, dont Ahuntsic-Cartierville
Ces derniers jours, un tableau circule dans les réseaux sociaux. Il présente le budget « paramétré » de 2014 consacré à l’enlèvement de la neige, par arrondissement, (tableau du haut), « paramétré » qualifiant cet exercice que nous avons mentionné dans notre édition papier de décembre, à savoir : baser le budget du déneigement sur le nombre de kilomètres de trottoirs et de chaussée, par exemple, de chacun des arrondissements.
À cet exercice, Ahuntsic-Cartierville perdrait 15,7 % de son budget de déneigement.
Toutefois, pour l’instant, ce n’est pas l’image que donne le budget tel qu’il nous a été envoyé par l’arrondissement (tableau du bas). On note même une augmentation des crédits affectés à l’enlèvement de la neige, entre 2014 et 2015. À suivre.
Quelques locataires
se sont adressés à
il y a quelques semaines concernant le déneigement effectué par les
propriétaires de maisons ou de commerces sur le territoire de l’arrondissement.
Ils désiraient savoir quels étaient véritablement la politique et les
règlements de l’arrondissement en matière de déneigement des propriétés et
comment l’arrondissement appliquait ces règlements et cette politique.
Entre
autres commentaires reçus : « Dans l’Infolettre du 16 décembre,
l’arrondissement Ahuntsic-Cartierville nous rappelle qu’il est illégal de
déposer la neige provenant du domaine privé sur le domaine public et que nous
devons laisser la neige sur notre propriété, sous peine d’amende.
Manifestement, ce règlement n’est pas respecté par un grand nombre de citoyens
et surtout d’entrepreneurs embauchés pour déblayer les aires de stationnement
privées. L’arrondissement ne semble pas non plus l’appliquer en ne pénalisant
pas les fautifs. Pourtant, les amendes pourraient être très dissuasives – de 100 $
à 500 $ pour une première infraction et de 1000 $ à 2000 $ pour
les récidivistes. Est-il donc si difficile de manier la pelle ou de simplement
exiger que l’entrepreneur embauché en dispose tout en respectant les
règlements? Respecter les règlements sur le déneigement permettrait à tous les
citoyens du quartier de circuler et de stationner leurs véhicules plus
facilement. »
Voici la réponse de l’arrondissement :
« Le Règlement sur le déneigement et
l’enlèvement de la neige permet l’émission d’un permis de dépôt de neige pour
le propriétaire d’un bâtiment résidentiel de neuf logements et plus, d’un
établissement commercial, industriel ou institutionnel. Il y a possibilité de
faire enlever la neige d’un terrain privé par un entrepreneur privé, et s’il
paie le montant requis, il peut déposer cette neige dans les chutes à neige de
la Ville.
Ce règlement a été mis en place pour des
raisons de sécurité d’abord; si un propriétaire balaie ou fait balayer sa neige
dans la rue, cela peut causer des problèmes de visibilité (dépôt près des
intersections), de sécurité (dépôt près d’une borne-fontaine, d’un arrêt
d’autobus, d’un puisard ou d’un débarcadère) ou retarder les opérations (la rue
devra être déblayée à nouveau). L’un des objectifs du règlement est d’éviter
d’avoir de trop grosses quantités de neige à ramasser et d’éviter le dépôt de
neige dans la rue après le passage de la souffleuse.
L’arrondissement emploie trois inspecteurs
qui peuvent donner des contraventions pour ce sujet; ils n’en ont pas émis en
2014, mais ils se rendent sur place pour émettre des avis verbaux et écrits
lorsque des citoyens ou des employés (comme ceux affectés au déneigement)
remarquent des situations problématiques. Ces mêmes inspecteurs travaillent
également à l’application des règlements sur la propreté, sur les excavations
et l’eau. Notez que les policiers peuvent également appliquer les règlements
municipaux et émettre des constats.
Vous comprenez donc que nous demandons la
collaboration des citoyens pour faciliter les opérations de déblaiement et de
chargement de la neige, en respectant le Règlement sur le déneigement et
l’enlèvement de la neige. Ils sont invités à communiquer avec le 311 s’ils sont
témoins de situations qui peuvent causer des problèmes de visibilité ou de
sécurité. »
Ce que
nous retenons donc :
Un
proprio ne doit pas mettre la neige de son entrée de garage ou du devant de sa
maison dans la rue. Il doit la mettre sur son propre terrain pour éviter que ne
soit bloqués une borne-fontaine, un arrêt d’autobus, un puisard ou un
débarcadère. Il doit encore moins mettre de neige dans la rue après le passage
de la souffleuse.
Un
proprio peut faire appel à un déneigeur privé, auquel cas il le paie. Le
déneigeur peut également payer et obtenir un permis de la Ville pour déposer la
neige dans les chutes à neige. Le déneigeur ne doit pas mettre la neige sur la
chaussée.
Les
inspecteurs (ou les policiers) peuvent donner des contraventions; ils n’en ont
pas émis en 2014. Les résidants doivent leur rapporter les situations problématiques
(visibilité ou sécurité).
La « bonne entente » entre propriétaires et locataires n’est pas mentionnée. On parle toutefois de « situations problématiques ». Évidemment, il y a sans doute des
propriétaires qui exagèrent en utilisant de grands espaces de chaussée pour y
entreposer leur neige. Les locataires qui garent leur voiture dans la rue (non
par choix, mais par obligation) n’apprécient pas de voir ces espaces confisqués
par la neige des propriétaires de leur rue. Finalement, notons qu’il arrive
aussi que certains locataires déblaient leur voiture et mettent la neige sur le
trottoir, empêchant les piétons de circuler librement et de façon sécuritaire.
Des lecteurs se sont
plaints du déneigement à la suite du verglas du dimanche 4 janvier. Le 311
a aussi été pris d’assaut, comme en témoigne le tableau plus haut.
La
vice-présidente du comité exécutif, Anie Samson, en entrevue à Radio-Canada
faisait valoir que les changements climatiques jouent des tours aux déneigeurs,
tous azimuts. Elle a aussi ajouté que le déroulement des opérations de
déneigement tenait compte des prévisions qui avaient annoncé du verglas
jusqu’en début d’après-midi, mais que le modus operandi a été bouleversé par le
fait que le verglas est tombé jusqu’en fin de soirée.
Interrogée au sujet
du déneigement plus ou moins bien fait dans l’arrondissement depuis le 4 janvier
et dans les jours qui ont suivi avec les autres (petites accumulations) qui ont
rendu la chaussée et les trottoirs encore plus glissants, voici la réponse que
nous avons obtenue de la porte-parole, Karine Tougas : « En ce qui
concerne les opérations de déneigement, nous avons complété nos opérations de
chargement de la neige durant la journée de vendredi dernier. (NDLR 9 janvier)
Par la suite, nous avons refait une opération de sablage des trottoirs. Depuis
hier (NDLR 11 janvier), nous avons refait des opérations de
déneigement et déglaçage de certains centres de rues et des trottoirs. Nous
avons également procédé à une opération d’épandage d’abrasifs sur les trottoirs
depuis 18 h 30 hier soir (NDLR 11 janvier). Ces opérations
se poursuivront également aujourd’hui (NDLR 12 janvier) afin
d’améliorer les conditions de la chaussée.
Finalement,
hier soir, nous avons également procédé au déneigement et déglaçage de certains
stationnements municipaux (aréna, bibliothèque, centre sportif) afin
d’améliorer le déplacement des usagers. » (Par Christiane Dupont)
(2015-01-16)
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Mur d’enceinte clôturant l’école Sophie-Barat
Comment bien conserver le patrimoine?
conservation de la précieuse pièce de patrimoine que constitue le mur
d’enceinte clôturant l’école Sophie-Barat, des lecteurs du journaldesvoisins.com nous ont demandé de nous enquérir auprès de
son propriétaire, la CSDM, d’éventuels projets de remise en état à son endroit.
Après vérification auprès de la Commission scolaire il
semble donc que les travaux qui ont été entrepris récemment ne soient que des
travaux ponctuels. « Les travaux en cours se limitent à une réparation
d’une partie du mur. Des pierres menaçaient de se détacher et nos services se
chargent de réparer cette portion. Rien de plus », avait ainsi indiqué par
courriel, Alain Perron, responsable des relations de presse à la CSDM, il
y a un mois, lorsque contacté par nos soins.
En revanche, la CSDM n’avait alors pas répondu aux
interrogations du journaldesvoisins.com
visant à savoir si elle partageait le point de vue de nos lecteurs estimant que
ledit mur tombe un peu en ruine, ou encore si des travaux sur le long terme
étaient prévus dans le futur pour la conservation de cette pièce du patrimoine.
Un mur chargé
d’histoire
Au même titre que l’ensemble du complexe Sophie Barat
– qui figure d’ailleurs sur le répertoire du ministère de la Culture – le mur
est une pièce de patrimoine de l’arrondissement, comme l’explique Vincent Garneau,
coordonnateur du développement historique à Cité Historia. « Pour le mur
d’enceinte, historiquement on a de la difficulté à le situer. Il y a eu
plusieurs études historiques, d’études patrimoniales (…) et ce qu’on retrouve
un peu dans la littérature c’est qu’on n’a pas de photo du mur ou de document
qui indique qu’il à quelle date exacte il a été construit. Il y a une photo qui
date de 1910 où l’on voit que c’est une palissade en bois qui ceinture tout le
pensionnat de Sophie-Barat. Sauf que sur la photo, qui est assez floue, on ne
sait pas si le mur est à l’arrière. Ma propre estimation, c’est que le mur date
au moins des années 1930. »
D’après M. Garneau, le complexe de Sophie-Barat,
dont les bâtiments ont commencé à être construits à partir de 1858, « a
été une institution scolaire depuis plus de 150 ans ». Ce complexe
fait d’ailleurs partie du territoire de l’ancien village Sault-au-Récollet,
cité en 1992 site de patrimoine par la Ville de Montréal.
Modalités de
conservation
Pour une conservation optimale, une pièce de patrimoine
telle que le mur peut-elle faire l’objet de réparations d’urgence ponctuelles
ou doit-elle faire l’objet de travaux plus importants sur la durée? « Il
faut toujours viser le long terme en patrimoine, précise M. Garneau. Ceci
dit, pour viser le long terme, cela prend une réfection totale. Là, à savoir si
toutes les parties du mur d’enceinte sont abîmées de la même façon, ou même si
chaque partie date de la même époque, ça cela reste à voir, ça prend une
expertise. (…) Par contre c’est sûr que faire des travaux d’urgence à chaque
fois, sur le long terme, pour moi, le propriétaire est toujours perdant. Il
faut le faire une fois et après l’entretenir à plusieurs reprises », a
estimé M. Garneau.
« Cependant, sans vouloir excuser la Commission
scolaire, c’est certain que quand on voit l’état des autres bâtiments –
chaufferie, externat etc… – c’est presque normal que le mur passe à la fin si
on veut, étant donné que l’ensemble du complexe doit être entretenu », a
ajouté M. Garneau.
Mais la question de la conservation patrimoniale n’est
pas bien entendue spécifique au complexe Sophie-Barat. « Il y a du travail
à faire pour faire comprendre aux institutions que lorsqu’ils ont des bâtiments
patrimoniaux en leur possession, oui, il y a des droits, il y a du prestige qui
vient avec cela mais il y a aussi des devoirs qui viennent avec: justement
d’entretenir, d’assurer une pérennité de ce patrimoine. Parce que, oui, ils en
ont la propriété légale, mais un patrimoine appartient à sa communauté avant
toute chose selon moi », a tenu à préciser M. Garneau. (Par
Rabéa Kabbaj) (2015-01-16)
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Lettres ouvertes
. Un bon maire (Catherine Tremblay)
. «Vous n’épargnerez aucun effort pour assurer la sécurité de vos concitoyens, vraiment? »(Le Comité logement d’Ahuntsic-Cartierville)
. Réponse du conseiller de Bordeaux-Cartierville au Comité logement d’Ahuntsic-Cartierville (Harout Chitilian)
. À propos de l’agrandissement de l’école Ahuntsic Annexe (Diane Duchesne)
__________________________________________________
BRÈVES…BRÈVES…BRÈVES…BRÈVES…BRÈVES…BRÈVES…
« C’est merveilleux de pouvoir aider un enfant à réaliser son plein potentiel. Nous sommes fiers de pouvoir faire équipe avec la Fondation afin de soutenir les enfants de notre communauté » a déclaré Vahé Kevork. C’est l’équipe du magasin Loblaws qui aurait amassé les fonds nécessaires pour ce don grâce à des campagnes en magasin auprès de la clientèle et à des contributions de la part des employés. (Texte et photo : Philippe Rachiele)
Un castor sur FLOCette année encore, Richard Doran, résidant et propriétaire de l’édifice où est située la Chocolaterie Bonneau, offre gracieusement à la vue des résidants une sculpture de glace représentant un castor en plein travail…
Le castor qui a été réalisé le dimanche 10 janvier dernier et grâce au temps froid, est toujours sur place pour ceux qui n’ont pas froid aux yeux… |
La députée Marie Montpetit, le ministre Jean-Marc Fournier, et la ministre Francine Charbonneau annoncent un investissement de 360 000 $ pour des projets d’infrastructures en faveur des aînés.
Ces investissements sont fait dans le cadre du Programme d’infrastructures Québec-Municipalités – Municipalité amie des aînés (PIQM-MADA). Le financement accordé permettra l’achat et l’aménagement de circuits extérieurs pour l’entraînement physique au parc Ahuntsic, au parc des Hirondelles, au parc Jean-Martucci et au parc Raimbault de l’arrondissement d’Ahuntsic-Cartierville. L’argent sera remis à la ville de Montréal qui sera responsable de la mise en oeuvre. (Source: Bureau de Marie Montpetit)
Rokia Tamache. Le plan vénus mon amour est un roman de science-fiction, sorte de parabole
qui entraîne le lecteur dans une aventure interplanétaire qui n’est pas
sans évoquer nos problématiques actuelles. Les messages urgents sur le
sujet fondamental et délicat de l’avenir de notre planète se font
entendre haut et fort. (Source : Rokia Tamache)
d’Ahuntsic-Cartierville annonce les gagnants du concours de l’infolettre qui s’est terminé le 7 décembre dernier. Les
gagnantes de deux iPad Air, sont mesdames Ginette Lafleur
et Élise Labrosse. Quatre autres personnes gagnantes se sont
partagé des certificats cadeaux. Deux
premiers gagnants se sont mérités des certificats cadeaux de la SDC Promenade
Fleury, Mme Michelle Green et Mme Marie Julien, alors que les deux autres gagnants ont
remporté des certificats provenant de l’Association des gens d’affaires de la
rue Fleury Ouest (FLO), un pour Mme
Nicole Poirier et un second pour M.
Michel Villeneuve.
Plus de 7000 lecteurs reçoivent déjà l’infolettre de l’arrondissement. (Source : Arrondissement)
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LE COIN COMMUNAUTAIRE
(Source : Loblaws Ahuntsic)
le découvrir dans l’atelier du 21 janvier 2014 au Centre communautaire
de Bordeaux-Cartierville. 1405 Henri-Bourassa ouest local 021. De 9 h à 12 h. Si vous êtes parent ou vous travaillez auprès des enfants de 0-5 ans cette rencontre pourrait vous intéresser. Pour s’inscrire: (514) 336 5554 poste 208 (Source : TCJBC)
du Québec et leurs particularités régionales ou encore apprenez tout
simplement à swingner votre partenaire! Les autres soirs de la semaine,
laissez-vous tenter par la pratique d’un instrument typique du Québec:
l’harmonica, l’accordéon, le violon, ou la guitare; ou encore par la
chanson. Les cours sont donnés, soit au 2e étage au dessus de la Maison de
la Culture, soit dans le pavillon du parc Ahuntsic (près de Prieur). Profitez du premier cours offert gratuitement, lors de la première semaine de la session d’hiver 2015, à partir du 19 janvier. Inscriptions: 514-273-0880. (Source : Espace Trad)
aider les parents et intervenants à améliorer leurs connaissances. La prochaine formation aura lieu le 26 janvier, et portera sur l’enseignement structuré. Inscription: 514-383-6006 (Source : Programme Caribou)
Parentrie, organisme communautaire d’entraide et de répit aux familles en santé
mentale. Le
thème de la soirée sera : La maladie bipolaire. Nous recevrons Madame
Louise Viger, travailleuse sociale et Monsieur Aomar Haddar, infirmier. Tous
deux travaillent au Centre de santé et des services sociaux d’Ahuntsic,
Montréal-Nord (CSSS AM-N). Le 28 janvier 2015 à 19 h au Centre
communautaire d’Ahuntsic. 3 $. Inscriptions: 514 385-6786 (Source: La Parentrie)
important de faire bouger les enfants autant en été qu’en hiver? Le CPE Château
de Grand-Mère en collaboration avec la TCJBC invitent les parents des enfants
de 0-5 ans à en connaître davantage dans l’atelier gratuit sur la Motricité globale le 31 janvier de 9 h à 12 h dans les installations
du CPE Château de Grand-Mère de Place de l’Acadie : 10530, place de
l’Acadie, Montréal, Qc. H4N 0B5. Inscriptions: 514 336-5554 poste 208. (Source : TCJBC)
Atelier sur la
motricité fine. Pourquoi est-il si important de travailler la motricité
globale, pour améliorer la motricité fine? Venez le découvrir dans l’atelier du 29
janvier 2015 au Centre communautaire de Bordeaux-Cartierville. 1405
Henri-Bourassa ouest local 021. De 9 h à 12 h. Si vous êtes
parent ou vous travaillez auprès des enfants de 0-5 ans cette rencontre
pourrait vous intéresser. Inscriptions: 514 336-5554 poste 208. (Source : TCJBC)
bien-être des patients du centre hospitalier Fleury, situé au 2180
Fleury est, organise une vente de livres d’occasion le 28 janvier prochain à
l’entrée principale. Venez en grand nombre, de 9 h à 16 h. (Source :
Présence amie)
familles. Venez profiter des activités au grand parc Jean Drapeau,
l’occasion d’apprécier les joies de l’hiver!
Nous partirons tous ensemble du CANA pour se rendre jusqu’au parc où
chacun sera en autonomie. Toute une diversité d’activités gratuites ou
payantes s’offrira à vous.
Inscriptions: 514 382 0735 poste 225 (Source: CANA)
locataires d’un logement. Durant
cet atelier on offre les informations nécessaires pour vous défendre
devant une hausse de loyer :
-Est-ce
que mon propriétaire respecte les délais prescrits par la loi ?
-Comment
calculer la hausse de loyer qui serait juste ?
-Comment
refuser mon avis de hausse de loyer ?
-Comment
me défendre à la Régie du logement ?
Horaire: Mercredis à 13 h 30 le 28 janvier et 11 février, à 18 h 30 le 25 février, à 13 h 30 le 11 mars, à 18 h 30 le 25 mars et 13 h 30 le 22 avril. Inscriptions: 514 331-1773
de l’emploi, venez assister à une session d’information au CANA. Nisrin Al Yahya, intervenante à La Maisonnée, sera disponible pour répondre à toutes vos questions. Jeudi 22 janvier à 13h30 Inscriptions: 514 382 0735 poste 225 (Source : CANA)
Enfance. C’est une micro-bibliothèque en libre service qui a été offerte
par Naître et Grandir et qui est inspirée de la philosophie «Prenez un livre.
Donnez un livre». Ce projet s’inscrit dans un mouvement au travers du Québec. Comment gagner le «Croque-Livres» ?
Sur un document d’une page maximum :
-Présentez le lieu
où vous proposez d’installer la micro-bibliothèque – L’accessibilité aux familles ayant des enfants 0-5 ans est un critère de
sélection des projets.
—-Détaillez votre
argumentaire – En quoi le lieu
proposé est-il idéal pour l’installation d’une micro-bibliothèque ?
-Le ou les
partenaires – La mise en place d’un
partenariat avec une organisation ou une entreprise du quartier est un critère
de sélection des projets. Avez-vous approché une ou des organisation(s) pouvant
vous aider ?
-La
personnalisation – Souhaitez-vous décorer
ou donner un nom à votre micro-bibliothèque ?
-Organisation de
l’entretien – Comment comptez-vous
organiser l’entretien de votre micro-bibliothèque ?
Soumettre votre
projet par courriel à l’adresse coordination.ahuntsic@gmail.con avant
le 15 février 2015 (Source CAPE)
jeunes de 12 et 13 ans accepte dès maintenant les inscriptions au http://jmg.soccer11.ca/ . Les jeunes peuvent profiter d’un encadrement adéquat pour mettre à profit leur passion et leur talent. La ligue a déjà des ententes avec les écoles La Dauversière et Sophie-Barat. (Source : Ligue de Développement Soccer11.ca)
LE COIN DES COMMERÇANTS
La promenade Fleury
Le café le petit Flore offre maintenant des menus déjeuners la fin de semaine.
Ongles Mars a emménagé sur La Promenade, au 1582 Fleury Est.
Quel nouveau commerce voulez-vous au 1185? Votez ici!
Fleury Ouest
et un nouveau chef, Hudson Bernard. Des
ateliers de dégustation recommenceront, le samedi 24 et dimanche
25 janvier, avec Vignobles de l’hémisphère sud et le Cabernet Sauvignon.
La Bête à pain a réouvert le 15 janvier après quelques jours de congé.
Des travaux importants au Jean-Coutu (coin Waverly) ont commencé pour plusieurs semaines. La pharmacie reste ouverte durant les travaux qui visent à réaménager les lieux.
QUOI FAIRE….QUOI FAIRE…QUOI FAIRE…QUOI FAIRE…QUOI
Expo à la Tohu préparée par les jeunes de Régina Assumpta pour les 5 ans du séisme en Haïti. Les Casques noirs sont de jeunes créateurs âgés de 12 à 18 ans du quartier Jalousie de Port-au-Prince et du Collège Regina Assumpta à Montréal, qui font appel à leurs talents afin de modifier les espaces restreints de Jalousie. Information ici. (Source: TOHU)
L’important c’est Bécaud, par Jocelyn St-Jean. S’accompagnant
au piano, ou à la guitare, Jocelyn St-Jean vous fait revivre
quelques-unes des mélodies les plus électrisantes de l’un des
grands compositeurs-interprètes de la francophonie de son époque: “
Monsieur 100,000 volts “,« Et Maintenant », « Nathalie », « Les
Cerisiers sont Blancs » et plusieurs autres seront au Rendez- Vous… du
Thé! Elles vous y attendent…
Souper-spectacle 42.95 $ (Source : le rendez-vous du thé)
Sortie ornithologique, chemin de la Cabane Ronde (Lachenaie), avec le club d’ornithologie d’Ahuntsic (COA). Rendez-vous au chalet du parc de l’île de la Visitation. Sortie gratuite pour les membres, 3 $ pour les non membres. Covoiturage disponible (6 $). Renseignements : 438 338-4138 (Source : COA)
Hommage à Joe Dassin par Raphael Torr. Doté
d’une solide expérience de scène ainsi que d’une voix chaude et grave
naturellement semblable à celle de Joe Dassin, l’interprète, Raphaël
Torr, fait revivre les plus grands classiques de Dassin. De Salut les
Amoureux à l’Amérique, en passant par Les Champs-Élysées et L’été
indien, c’est un véritable voyage dans le temps qui vous attend. Le
spectacle de celui qu’on désigne comme ”le meilleur interprète de Joe”
devient vite une véritable fête à la mémoire de Dassin.
Souper-Spectacle, 44.95 $ (Source : le rendez-vous du thé)
Rendez-Vous Poétiques par Roger Michael, Diane Robert & Denis-Martin Chabot. De
Rimbaud à Verlaine, de Baudelaire à Chateaubriand, en passant par Émile
Nelligan, Jacques Prévert, Victor Hugo ou encore Anne Hébert, venez
écouter, et surtout découvrir les plus beaux poèmes internationaux de la
langue française. Avec Roger Michael, comédien et animateur secondé par
Denis-Martin Chabot, écrivain et poète également. Les récitants sont
accompagnés par un musicien afin de créer une ambiance appropriée aux
poèmes présentés.
Entrée Libre (contribution volontaire) (Source : le rendez-vous du thé)
L’espéranto, l’extraordinaire utopie de la langue universelle, au Café de Da de la bibliothèque d’Ahuntsic. François Lorrain, de la Société québécoise d’espéranto, vous dira
tout sur cette langue créée de toutes pièces il y a plus d’un siècle. Il
vous révélera l’histoire complète de cette belle utopie qui perdure
encore aujourd’hui aux quatre coins du globe, maintenue en vie par des
centaines de milliers de locuteurs.
Lady V & Saber par Valérie Noelte & Saber Gallali
http://ladyvsaber.yolasite.com
Lady V & Saber
est un duo jazz avec un intérêt pour les standards jazz d’autrefois
mélangés à une touche occasionnelle de musique pop. Lady V (Valérie
Noelte) est une chanteuse inspirée par l’effervescence des classiques
jazz qui cherche à répandre la chaleur de cette époque, et Saber (Saber
Gallali) et un guitariste ingénieux avec une grande polyvalence qui se
traduit en rythme et sonorité captivante. Venez donc vous laisser
emporter par une soirée inoubliable! Entrée Libre (Source : le rendez-vous du thé)
Conférence de Richard Turp qui présentera dix artistes lyriques canadiens de légende à la salle de l’église
Saint-Jude (10 120, d’Auteuil, métro Sauvé). Gratuit pour les membres, 8 $ pour
les non-membres. Aussi, deux cours donnés à PRÉSÂGES (1474, rue Fleury Est) commencent
le 19 janvier, en avant-midi sur l’histoire du vivant et en après-midi sur le
métro de Montréal. Un autre cours commence le 22 sur la voix. Info
: 514 382-5716 ou www.allianceculturelle.qc.ca (Source: Alliance culturelle)
Trio de Guitare Jazz, par Mike Gauthier, Mike DeMassi & Jeff Simons. Au cours des deux dernières année, le
guitariste Mike Gauthier s’est concentré dans l’art du trio de guitare jazz
(guitare, basse & batterie), il décide d’exploiter cet art lors de sa
présentation au Rendez-Vous Du Thé. Afin de rendre sa soirée inoubliable, Mike
sera accompagné de Mike DeMassi à la basse et Jeff Simons à la batterie. ENTRÉE
LIBRE (Source : le rendez-vous du
thé)
“B“ comme… par Claire Garand. “B“
comme… Barbara, Brel, Brassens, Bécaud, Béart….et les autres Bons,
Beaux et Bien-aimés chanteurs français qui embellissent encore nos
vies. Un mariage Bienheureux d’artistes qui vous feront passer une Belle
soirée en compagnie de Claire Garand, une Bonne animatrice et chanteuse
d’ici. Souper-Spectacle 42.95$ (Source : le rendez-vous du thé)
Les Grands Classiques d’Hier par Pierrot Fournier. Pierrot
Fournier, qui s’est d’abord fait connaître par ses inoubliables
interprétations des chansons de Jacques Brel et, plus récemment, de
Brassens et Ferré, nous offre son nouveau récital ”les grands
classiques de la chanson française”. Puisant dans les répertoires des
grands auteurs compositeurs interprètes que sont Ferrat, Reggiani,
Aznavour, Ferré, Vian, Brel ,et plusieurs autres, Pierrot nous offre un
bouquet des plus belles chansons de la langue française.
Souper-Spectacle 44.95$ (Source : le rendez-vous du thé)
Hommage à Brel par Pierrot Fournier. Au Québec, l’excellence de Pierrot dans son interprétation du répertoire brellien est depuis longtemps reconnue. Il revisite des chansons qui comptent parmi les classiques de la chanson française (Ne me quitte pas, Quand on a que l’amour, Voir un ami pleurer) avant de nous faire découvrir des pièces rarement reprises par ceux qui ont interprété Brel au cours des décennies (Jaurès, Une Ostendaise, Regarde bien petit). Venez le découvrir ou redécouvrir pour une soirée extraordinaire ! Souper-Spectacle, 44.95$ (Source : le rendez-vous du thé)
Eco Trio par Jean Cyr, Raymond Grégoire et André Boisvert. Du jazz en harmonie avec l’eau, l’air, la faune et la flore, le ciel, la terre et les autres beautés du monde….À découvrir !! ENTREE LIBRE (contribution volontaire) (Source : le rendez-vous du thé)
Sortie ornithologique, St-Clet et les environs, avec le club d’ornithologie d’Ahuntsic (COA) et le club d’ornithologie de Longueuil. Rendez-vous au chalet du parc de l’île de la Visitation. Sortie gratuite pour les membres, 3 $ pour les non membres. Covoiturage disponible (12 $). Renseignements : 438 338-4138 (Source : COA)
Fête d’hiver familiale au parc J.-J.-Gagnier organisé par l’arrondissement. Allez jouer dehors, glisser, patiner, construire des forts, et déguster un chocolat chaud.
L’horticultrice Julie Boudreau présente sa conférence «
Jardins de Parfums» à la Société
d’horticulture et d’écologie du nord de Montréal, à l’école Louis-Colin, 10122, Boul. Olympia, Montréal H2C 2V9 (coût : 5$
pour un non-membre). Pour information : (514) 384-5681. (Source : SHENM)
Fête d’hiver familiale au parc de Louisbourg organisé par l’arrondissement. C’est la classique de hockey de Bordeaux-Cartierville organisée par la Table de concertation jeunesse de Bordeaux-Cartierville. Allez jouer dehors, glisser, patiner, construire des forts, et déguster un chocolat chaud.
Fête d’hiver familiale au parc de Berthe-Louard organisé par l’arrondissement et les Loisirs Sophie-Barat. Allez jouer dehors, glisser, patiner, construire des forts, et déguster un chocolat chaud.
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- Premier prix, catégorie Opinion, pour “Le bien des autres”, éditorial du bimestriel papier de décembre 2013, aux prix de l’AMECQ
- Gagnant d’une bourse de 5 000 $ au concours Entreprenez à Ahuntsic-Cartierville, édition 2014
- Mention “Coup de coeur du jury” au Concours québécois en entrepreneuriat, CQE Est de Montréal, édition 2014
- Participant à la finale régionale de Montréal au Concours québécois en entrepreneuriat, édition 2014, dans la catégorie “économie sociale”
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Éditeur désigné : Philippe Rachiele
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Rédacteur en chef adjoint: Alain Martineau
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Journalistes, version Web: Christiane Dupont, Philippe Rachiele, Alain Martineau, Rabéa Kabbaj et Mélanie Meloche-Holubowski
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Collaborateurs à la rédaction et à la photographie: Élaine Bissonnette, Laetitia Cadusseau, Sandrine Dussart, Samuel Dupont-Foisy, Geneviève Poirier-Ghys, Julie Dupont, Patrick De Bortoli, Hélène Maillé, Nacer Mouterfi.
Photos: Philippe Rachiele
Mise en page: Philippe Rachiele, Christiane Dupont, et François Barbe
Illustrations originales: Claire Obscure
Caricaturiste: Florence Tison
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