Les Actualités du 17 avril 2015
« Dire la vérité, toute la vérité, rien que la vérité, dire bêtement la vérité bête, ennuyeusement la vérité ennuyeuse, tristement la vérité triste.»
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Assemblée générale du journaldesvoisins.com
Aucun document ne sera remis sur place.
Maître Hugo Hamelin
Secrétaire du conseil d’administration
DERNIÈRE HEURE
Vote sur la grève sociale
Les étudiants des collèges d’enseignement collégial et cégeps d’Ahuntsic-Cartierville farouchement opposés à la grève dans leur établissement respectif
Les
cégépiens d’Ahuntsic ont rejeté de différentes façons l’idée de boycotter les
cours, même pour une seule journée. Les étudiants des trois collèges et cégeps du
quartier (Ahuntsic, Bois-de-Boulogne et André-Grasset) font partie de ceux qui
ont refusé d’emboîter le pas au mouvement étudiant pour la grève et ils ont maintenu leur décision jusqu’à aujourd’hui.
Cégep Ahuntsic
Au Cégep Ahuntsic, comme journaldesvoisins.com l’avait relaté sur sa page
Facebook il y a quelques semaines, les deux-tiers des étudiants ont rejeté par scrutin secret l’idée de grève lors d’une consultation qui s’est tenue entre les 24 et 26 mars.
La question posée était : «Acceptez-vous que l’Association des Étudiants du
C.E.G.E.P. Ahuntsic (AGÉCA) déclenche une grève du 30 mars au 7 avril 2015,
reconductible hebdomadairement en assemblée générale?». Près de 4 400
étudiants ont participé au vote.
Seulement 1 409 étudiants (32,09%) ont voté pour le boycott mais 2 895 étudiants (65,93%) s’y sont opposés. Quelque 87 étudiants (1,98%) se sont abstenus.
Collège Bois-de-Boulogne
Les étudiants du Collège Bois-de-Boulogne ont aussi rejeté à la majorité le
déclenchement d’une grève, même d’une seule journée. L’association étudiante
locale (membre de l’Association pour une solidarité syndicale étudiante)
nous a finalement remis les résultats après plusieurs démarches (entreprises
aussi auprès du Cégep et même en téléphonant cinq fois au siège social de l’ASSÉ).
Elle avait demandé aux étudiants (les 30 et 31 mars) s’ils étaient favorables à la tenue d’une journée de grève le jeudi 2 avril afin de participer à la manifestation nationale qui avait réuni une vaste coalition de groupes étudiants, écologiques, citoyens, communautaires et syndicaux.
Une majorité des 1491 collégiens ayant voté au référendum, (un cégépien sur deux s’est prévalu de son droit) a rejeté l’idée de boycotter les cours. Quelque 757 étudiants du cégep (51%) ont voté pour le NON et 666 (44,8%) pour le OUI à la grève. L’association a aussi indiqué qu’il y avait eu 62 abstentions (4,4%); 45 votes ont été annulés.
Collège André-Grasset
Au collège privé d’enseignement collégial du boulevard Crémazie, le dossier a vite
été réglé. Une assemblée générale des étudiants a été convoquée il y a quelques
semaines. La direction de l’association voulait suggérer la tenue d’un scrutin secret pour une levée de cours pour une seule journée. Mais la suggestion a été rapidement battue, 140 étudiants ayant voté contre et 100 pour.
Agissements déplorables
Les résultats de nos trois collèges ont démontré la volonté des étudiants de se tenir loin du mouvement de grève qui est à peu près limité à certains pavillons de l’Université du Québec à Montréal (UQAM) où des gestes déplorables d’étudiants radicalisés ont été relevés.
La Fédération professionnelle des journalistes du Québec (FPJQ) a recensé une dizaine de nouveaux cas d’entraves physiques au travail des journalistes lors de manifestations étudiantes depuis sa dernière prise de position publique sur ce type d’agressions, le 26 mars dernier.
La FPJQ a demandé aux associations étudiantes de tout faire pour que ces agressions cessent. Elle a aussi lancé un appel à la population et les élus à condamner sans réserve ces actes indignes d’une société démocratique.
Entre autres, au Cégep du Vieux Montréal, des étudiants masqués ont intimidé des journalistes leur «ordonnant» (sic) de ne pas interviewer les cégépiens (même sur le trottoir) qui venaient de participer à une assemblée qui s’était terminée en queue de poisson. Un autre accroc au droit du public à l’information. À l’UQAM, un photographe de presse a été agressé et bousculé par des manifestants masqués à l’intérieur même de l’établissement.
Fin de grève au Vieux
Mais par scrutin secret, alors que Montréal s’apprêtait à affronter Ottawa pour le début des séries au hockey, les étudiants du Vieux décidaient mercredi dernier de mettre fin à la grève (1260 contre, 444 pour), une gifle à l’endroit des dirigeants de l’association étudiante qui n’avaient pas démocratiquement brillé dans l’organisation des assemblées précédentes.
Outre des agressions physiques, il y a eu du saccage et beaucoup de bruit pour inviter les étudiants à sortir de salles de cours à l’UQAM. Présentement, environ 5 % des étudiants du niveau post-secondaire font la grève. (Par Alain Martineau) (2015-04-17)
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Une centaine de citoyens se pressent au conseil d’arrondissement du 13 avril
.Quatre dossiers majeurs critiqués
Même si les responsables ont ajouté des chaises à l’arrière de la salle, plusieurs résidants ont dû rester debout lors de la réunion du dernier conseil d’arrondissement, le lundi 13 avril. Quatre dossiers majeurs ont ressurgi au début de la soirée, à la période des questions, alors qu’un nouveau
règlement d’urbanisme concernant les lieux de culte est en gestation et sera soumis prochainement à une consultation publique.
PPU HB Ouest et construction
Plusieurs résidants d’Ahuntsic Ouest sont venus dénoncer le nouveau projet de construction sur les terrains du ministère des Transports du Québec (MTQ), qui avait été soumis aux élus lors de la dernière assemblée. Ils s’inquiètent de l’hyperdensité des habitations sur le territoire. Ils ont fait valoir, notamment, que les consultations menées par l’arrondissement auprès des citoyens dans le cadre du Plan particulier d’urbanisme n’étaient qu’un écran de fumée. Les élus avaient fait leur lit, selon eux, sans tenir compte des opinions exprimées par les résidants durant tout le processus de consultation, et cela, ont-ils laissé entendre, au mépris de la démocratie municipale (NDLR : voir lettre ouverte plus bas dans nos Actus).
Ces citoyens étaient nombreux et ont souvent laissé entendre leur désapprobation aux commentaires des élus, ou ont applaudi leurs représentants.
Logements sociaux
Plusieurs membres du Comité logements d’Ahuntsic–Cartierville (CLAC) se sont également présentés au micro à tour de rôle. Ils ont demandé aux élus, dont Pierre Desrochers, conseiller du district Saint-Sulpice et président du comité exécutif, des engagements pour que l’arrondissement fasse du terrain Louvain une réserve foncière publique et qu’y soient construits plus de logements sociaux que le maximum de 15 % prévu actuellement. Les élus ont promis 15 %, mais n’ont pu assurer les citoyens de pouvoir en faire plus, bien qu’ils essaieraient. Ils ont également précisé qu’il y aurait 15 % de logements abordables. On se rappellera que, sous l’égide du CLAC, les résidants ont récemment organisé une marche du métro Sauvé vers le terrain Louvain (qui appartient à l’arrondissement) pour faire valoir leurs revendications.
Démolition de la Maison du peintre
Le dossier de la Maison du peintre, bâtiment patrimonial situé au 2124, boulevard Gouin Est, dans Sault-au-Récollet, était également à l’ordre du jour. Il était prévu que les élus recommandent au conseil municipal d’en autoriser la démolition pour une reconstruction à l’identique, ce qui a été fait au cours de l’assemblée. Toutefois, avant l’adoption en enfilade des points à l’ordre du jour, à la période de questions, le coordonnateur et historien de Cité historia dans Saul-au-Récollet s’est présenté au micro pour souligner que la démolition était déplorée bien que la reconstruction de l’édifice à l’identique était un moindre mal.
École Ahuntsic-Annexe, construction
Par ailleurs, trois résidants habitant non loin de l’école Ahuntsic-Annexe, rue d’Auteuil, ont insisté auprès des élus pour que le projet d’agrandissement prévu par la CSDM soit passé au peigne fin lors de la demande de permis de construction. Ils ont aussi demandé que le poste de quartier 27 reste sur la brèche pour éviter que la cour d’école ainsi rapetissée serve de lieu de rendez-vous aux délinquants les soirs et les fins de semaine, comme c’est apparemment le cas actuellement, ont-ils fait valoir. (Par Christiane Dupont) (2015-04-17)
La Maison du peintre
Détruire pour mieux reconstruire
Les élus ont tranché
Dans l’arrondissement d’Ahunstic-Cartierville, la Maison du peintre a suscité plusieurs débats. Certains résidants étaient en faveur de la démolition, compte tenu du délabrement général de la bâtisse, vide depuis quelques années : moisissures visibles, détérioration constante du bâtiment, autant à l’extérieur qu’à l’intérieur, avec notamment présence d’arbres matures dans les fondations, sans compter les « visites » de ratons laveurs à l’intérieur des murs.
Trois siècles d’histoire
Par ailleurs, d’autres résidants ont fait valoir leur opposition à la démolition pure et simple de l’
habitation. Selon Vincent Garneau, trois bâtiments du secteur relatent à eux seuls trois siècles d’histoire du Sault-au-Récollet, du 18e au 20e siècle : la Maison Laporte, le magasin général, et la Maison du peintre.« Je trouve que de détruire la maison authentique pour la reconstruire à l’identique est un compromis ultime. Le bâtiment original est irremplaçable », a déclaré l’historien et coordonnateur de Cité historia, Vincent Garneau. Il renchérit : « Selon moi, le patrimoine, ce n’est pas une affaire de propriétaire, c’est une affaire de communauté », faisant allusion au fait que le propriétaire précédent avait laissé le bâtiment se détériorer et que la communauté n’a rien pu faire selon les règlements existants.
Comme la « rénovation » serait trop importante, il faut démolir impérativement. « S’il fallait reconstruire l’établissement [à partir de ce qui existe déjà], il faudrait reconstruire à peu près 95 % de la Maison du peintre. On préfère en construire une à l’identique » a affirmé Lorraine Pagé, conseillère de ville du district du Sault-au-Récollet.
Acheteur intéressé
« Pendant des années, cette maison a fait l’objet d’un entretien minimal, mais qui ne suscitait pas de questions justifiant une intervention de la Ville, a poursuivi Mme Pagé lors du dernier conseil d’arrondissement. On n’avait pas une situation qui nous permettait d’intervenir et nous n’avions pas le cadre réglementaire et législatif pour le faire. »
Le propriétaire actuel veut vendre son bien et un acheteur, Jean Stampfler, est sur les rangs, prêt à reconstruire à l’identique. Avant 2011, le locataire avait d’ailleurs dû quitter son logement à cause de l’insalubrité de la bâtisse, notamment, dû au manque d’entretien par le propriétaire de l’époque.
Depuis 2011, la maison était vide et avait été laissée l’abandon, sans chauffage et à la merci des intempéries, avec le résultat que l’on connaît. Bien que ce soit une bâtisse patrimoniale, la Loi sur le patrimoine culturel peut laisser place à de telles dérives, selon Vincent Garneau.
L’importance de la Maison du peintre
Rappelons que la Maison du peintre, qui est située à 500 mètres de la Maison du pressoir, a pignon sur rue dans l’important site patrimonial du district du Sault-au-Récollet. De plus, l’établissement est l’un des seuls à Montréal à avoir un type d’architecture boomtown, du 20e siècle, qui témoigne du début de la période ouvrière dans le secteur et à Montréal.
La Maison du peintre a une valeur historique et architecturale importante pour l’arrondissement et la Ville de Montréal. L’immeuble a été construit en 1910. Son nom provient de l’artiste-peintre André Turpin qui y avait élu domicile à l’époque. Elle constitue une représentation de l’Histoire et un attrait touristique important pour la communauté ahuntsicoise, et plus particulièrement celle du Sault-au-Récollet. (Par Ivana Leba et Christiane Dupont) (2015-04-17)
Québec cesse de subventionner l’entretien de la Route verte
Peu d’impact sur le tronçon d’A–C
Maintenant que la neige est chose
du passé, les Montréalais se réapproprient leurs pistes cyclables. Alors que
les premiers Bixi prennent la ville d’assaut, les municipalités doivent songer
à éponger les coûts engendrés par l’abolition du programme d’entretien de la
Route verte. En novembre dernier, Québec a annoncé son
désengagement de la Route verte en laissant aux municipalités la responsabilité
d’assumer seules l’entretien de cette voie cyclable nationale. Les compressions
provinciales se chiffrent à 2,8 millions $ pour l’ensemble du territoire.
Lucie Lanteigne, directrice
générale de Vélo Québec, n’est toutefois
pas inquiète pour l’arrondissement Ahuntsic
Interconnexion?
« Cela dit, la Route verte, c’est un ensemble, c’est un tout. Donc, les résidants d’Ahuntsic–Cartierville qui vont l’utiliser vont aussi aller à Laval, dans les Laurentides à Bois-des-Filions, Saint-Jérôme, Saint-Adèle ou sur la Rive-Sud », précise Mme Lanteigne, préoccupée par l’interconnexion du réseau.
Sur l’itinéraire de 5358 km reliant toutes les régions de la province d’ouest en est et du nord au sud, 7,5 km sont gérés par l’arrondissement d’Ahuntsic–Cartierville. Tout comme la directrice générale de Vélo Québec, la conseillère du district Ahuntsic, Émilie Thuillier, ne croit pas que les compressions budgétaires nuiront au bon maintien de la véloroute dans le quartier.
« Je pense que l’arrondissement va faire tout ce qui est en son pouvoir pour l’entretenir aussi bien qu’avant. C’est sûr que le message envoyé est à mon avis vraiment dommage. Le gouvernement du Québec se désengage et c’est quand même majeur la Route verte! C’est une infrastructure de transport. Ce n’est pas juste pour le dimanche, c’est du vélo utilitaire », souligne Mme Thuillier, elle-même cycliste.
Moins optimiste
La conseillère du district du Sault-au-Récollet, Lorraine Pagé, est moins optimiste. Elle se demande où trouver l’argent dans un contexte de compressions budgétaires et de hausses des coûts dans certains dossiers tels que le déneigement, la campagne contre l’agrile du frêne et le dégel des tuyaux. « Je pense, malheureusement, qu’il faut entrevoir une baisse de qualité dans l’entretien de la Route verte », confie l’élue.
En 2014, Ahuntsic–Cartierville a reçu une aide gouvernementale de 10 011 $ pour maintenir en santé son tronçon de la vélopiste. Lucie Lanteigne espère trouver des solutions pour compenser les pertes financières. Le jeudi 16 avril, plus de 80 participants en provenance de toutes les régions du Québec se réunissaient lors d’un forum pour faire le point sur la situation.
Le manque à gagner n’empêche toutefois pas les cyclistes de profiter dès maintenant de la Route verte, qualifiée par Vélo Québec de « fleuron » de l’industrie touristique. Les résidants du quartier peuvent prendre l’air et sillonner leur petit coin de paradis cyclable comme le propose la directrice générale.
« À Ahuntsic, faire de la bicyclette c’est une dimension ballade et loisir vraiment fabuleuse avec la rivière des Prairies. C’est beau, ludique. Il y a aussi la dimension transport […] et touristique. Je peux aller prendre un café dans le vieux Sainte-Rose, par exemple. C’est une destination qui se fait somme toute facilement aller-retour d’Ahuntsic », conclut Mme Lanteigne. (Par Elizabeth Forget-Le François) (2015-04-17) (Photos : Philippe Rachiele)
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Qu’en est-il du projet de construction?
François-de-Laval, les travaux de construction n’ont pas encore été amorcés. Rien pour
concrétiser le projet de nouveau bâtiment devant recevoir 400 élèves. Des
parents s’interrogent quant à l’avenir de cette bâtisse dont l’édification
devait commencer l’automne dernier. Jean-Frédéric Brunet, membre de l’organisme de
participation des parents (OPP), se souvient d’avoir vu les plans du bâtiment en
début d’année à l’occasion d’une réunion de parents. À l’époque, les gens
présents avaient été informés de l’avancée du projet, déjà présenté à l’arrondissement.
Dans les semaines suivant l’assemblée, M. Brunet a vu
apparaître une affiche au coin des rues Salaberry et Bois-de-Boulogne informant
de la possibilité pour les résidants de déposer une demande de référendum, un
recours légal leur permettant d’accepter ou non les propositions de
modification de certains objets des règlements de zonage et de lotissement.
« La pancarte comme telle n’a jamais été enlevée. Elle est
encore là, mais je ne sais pas s’il y a eu un référendum là-dessus ni où le
dossier est rendu […] La dernière fois que j’ai parlé à un membre du conseil
d’établissement, il semblait dire que le projet était sur la glace », explique
le père de famille.
À
l’annexe, en attendant
Jean-Frédéric Brunet est personnellement touché par le
problème de surpopulation de François-de-Laval. « J’ai présentement un enfant à
l’école, mais j’en ai un autre qui va entrer en maternelle en septembre. À
cause du fait que la nouvelle école n’est pas construite, il va aller à
l’annexe qui est sur la rue Victor-Doré », raconte ce dernier.
En 2013, la circonscription a repris une bâtisse occupée par
des organismes communautaires de Bordeaux
–Cartierville afin d’y installer une annexe temporaire. En plus de cet ajout de 12 classes, trois autres classes préfabriquées ont été jointes à l’école François-de-Laval. Lors de la dernière rentrée scolaire, s’achevaient également des travaux de reconstruction de l’extérieur et du toit.
Nous n’avons pu obtenir le fin mot de l’histoire de la part d’aucun intervenant (ni de l’école, pas davantage de la CSDM) ni les commentaires de la commissaire du quartier, Chantal Jorg. En effet, Mme Jorg nous a laissé savoir que l’information concernant l’école François-de-Laval était sous embargo jusqu’à lundi, les parents devant être informés avant nos lecteurs. Un dossier à suivre. (Par Elizabeth Forget-Le François) (2015-04-17)
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Stationnement Chambord-Fleury et gare Sauvé
Encore des retards dans les travaux
Depuis quelques jours, on peut
s’atteler au grand ménage
du printemps. Mais ce n’est pas demain la veille que les barricades disparaîtront de la rue Fleury. Les citoyens devront aussi s’armer de patience avant de pouvoir fréquenter la gare Sauvé. Oui, l’hiver a été plus
froid que d’habitude et nous a joué des tours, cette année. En témoignent les retards des travaux au sol, gelé aussi
profondément que celui de Chibougamau en certains endroits de Montréal.
On a tous hâte, sur
la Promenade Fleury, de voir disparaître les barricades sur le stationnement
municipal au coin de Chambord afin que commencent une fois pour toutes les
travaux d’aménagement paysager, dont la plantation d’arbres.
Patience sur Fleury
Mais il faudra faire montre
de patience. La directrice adjointe aux communications de la société en
commandite Stationnement de Montréal, Sophie Charette, a indiqué que l’on connaîtra
dans deux semaines l’échéancier définitif des travaux. Rappelons que les autorités
ont procédé à la décontamination du terrain qui a déjà servi à une
station-service Shell avant d’être acheté par la Ville et converti en stationnement
payant.
Stationnement de Montréal a
martelé à maintes reprises que le terrain conservera sa vocation quand les
travaux seront complétés. Mais plusieurs voisins s’interrogent sur cette
opération étant donné que le terrain servira toujours à garer les autos. Nous tentons
toujours de savoir à combien s’élèvera la facture.
Patience aussi à la gare Sauvé
Au pôle Sauvé (métro et
gare), il faudra attendre quelques mois avant de voir le Train de l’Est mettre
les freins. On ne pensait pas avoir autant de problèmes avec un collecteur
d’égout. Fanie Clément St-Pierre, conseillère – Relations médias à l’Agence
métropolitaine des transports (AMT), a indiqué à journaldesvoisins.com que les travaux de la gare Sauvé sont
concentrés présentement sur le quai de façon à en permettre l’accès à la
clientèle pour l’été.
« Les travaux du mur de
soutènement de l’édicule (la bâtisse de la gare) ont été suspendus à la fin 2012,
après la découverte du collecteur de la Ville de Montréal, dont l’importance
était mal identifiée dans les plans d’origine de la gare », a justifié la
porte-parole de l’AMT.
« Plusieurs
modifications ont été apportées aux plans depuis, mais ces derniers doivent
être approuvés par les différentes autorités avec lesquelles nous collaborons,
avant que nous puissions reprendre les travaux. Ce processus
d’approbation est toujours en cours. Cette situation nous empêche de construire
le mur et l’édicule, mais pas de faire des travaux sur le quai », a-t-elle
précisé.
Interrogé sur l’achalandage
du Train de l’Est, le tout semble stable avec plus de 4700 déplacements. Quand
la gare Sauvé sera en service, les autorités prévoient qu’environ 700 usagers
sauteront dans le train.
Déjà qu’il faudra épongé les factures laissées par le froid mordant. Comme l’a indiqué Hydro-Québec dans une récente missive expédiée à ses usagers, le froid polaire de février a entraîné une hausse de 10 % de la facture (pour la période de temps froid seulement). Et depuis le 1er avril, on compose avec une hausse de 2,9 % de la facture d’Hydro.
(Par Alain Martineau) (2015-04-17)
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d’action bénévole 2015
Donner de son temps, un bonheur partagé
Depuis dimanche
dernier et jusqu’à samedi, se tient la semaine d’action bénévole 2015, un
événement visant à souligner le travail de ceux qui donnent de leur
temps, de leur énergie et de leur sourire pour améliorer le quotidien d’autrui.
C’est l’occasion pour journaldesvoisins.com de s’entretenir avec une bénévole
d’Ahuntsic et de comprendre ce qui peut bien pousser à s’engager sur la voie du
bénévolat.
Retraitée active
et dynamique, Élaine Bissonnette consacre près de huit heures par semaine au
bénévolat, qu’elle pratique au CHSLD Louvain et à l’Hôpital Fleury auprès de
personnes âgées. Un don de temps et d’énergie qui est accueilli avec bonheur
par ceux à qui il s’adresse. « Il y a une dame que je visite qui n’a
vraiment pas été bien [dernièrement]. Je pensais qu’elle s’en allait,
mais elle est revenue. Je faisais des blagues avec elle, je lui fais faire des mandalas[1],
et ça la motive. Elle aime tellement ça que des fois elle n’arrête pas de me
poser des questions pour ne pas que je m’en aille », raconte Mme Bissonnette.
Venue au bénévolat
après le décès de sa mère, alors patiente au centre d’
hébergement Louvain, Élaine Bissonnette a voulu contribuer à égayer le quotidien des patients. Elle n’a donc pas hésité à sauter sur l’occasion lorsqu’elle a su que la bibliothèque du Centre avait besoin d’être reclassée. Mme Bissonnette donne également de son temps à l’Hôpital Fleury, où elle discute et prodigue des soins énergétiques – comme des massages des mains – aux patients qui en font la demande à l’étage où elle se rend.
Redonner aux autres
« Ça donne un sens d’être utile. On voit le bien-être qu’on apporte aux autres. C’est même extraordinaire d’avoir un contact humain avec eux, d’avoir de la compassion pour eux, le sens de l’humour, leur remonter le moral. Juste en étant là, ils viennent te connaître. Tout le monde me connaît, me salue », confie la bénévole.
Un engagement qui prend tout son sens pour Mme Bissonnette et qu’elle recommande chaleureusement à tous ceux qui ne savent pas comment occuper leur temps libre. « Faites du bénévolat, surtout si vous vous ennuyez. Il y a tellement de gens qui sont à la retraite et que j’entends dire qu’ils s’ennuient. Combien de temps est-ce qu’on peut voyager, juste voyager et avoir du fun? […] Moi aussi je voyage, je marche, je fais du yoga, etc. Mais c’est un équilibre de redonner, de sentir le contact avec les humains, un contact plus profond, et de sentir qu’on redonne à la société », fait valoir la bénévole.
« Un geste gratuit, un impact collectif »
Lancée le dimanche 12 avril par la Fédération des centres d’action bénévole du Québec, l’édition 2015 de la Semaine d’action bénévole du Québec est placée sous le thème « Le bénévolat, un geste gratuit, un impact collectif ». Pour la Fédération, cette semaine représente « une occasion de démontrer notre reconnaissance envers les bénévoles, en célébrant leurs précieuses contributions à la société, à nos milieux de travail, à nos collectivités et au sein de nos familles », peut-on lire dans le communiqué de lancement disponible sur le site de la Fédération.
D’après ce même communiqué, « selon une enquête de Statistique Canada en 2013, les bénévoles ont consacré près de deux milliards d’heures à leurs activités de bénévolat au Canada. Au Québec, c’est 32 % de la population âgée de 15 ans et plus qui a consacré du temps à un organisme; ce qui représente 2,4 millions de femmes et d’hommes qui s’engagent et soutiennent une cause à travers le Québec ». (Par Rabéa Kabbaj) (2015-04-17)
[1] Dessins à colorier antistress d’origine tibétaine
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Cuisine de rue
estivale
Les camions de cuisine de retour au parc Tolhurst
Ville de Montréal, la cuisine de rue sera cet été encore à l’honneur dans six
arrondissements de la métropole. Si Ahuntsic–Cartierville ne fait pas partie du projet de la Ville-centre – dont l’appel à candidature des restaurateurs s’achevait en début de semaine –, des initiatives locales sont cependant prévues dans le quartier.
« La cuisine de rue sera offerte dans six arrondissements entre le 1er mai et le 31 octobre, soit Côte-des-Neiges–Notre-Dame-de-Grâce, le Sud-Ouest, Mercier–Hochelaga-Maisonneuve, Rosemont–La Petite-Patrie, Verdun et Ville-Marie. Au cours de la saison, d’autres arrondissements pourront s’ajouter au projet. De plus, l’arrondissement de Ville-Marie offrira cinq sites ouverts toute l’année. Pour le moment, l’arrondissement d’Ahuntsic–Cartierville n’est pas dans le projet », a confirmé Geneviève Dubé, porte-parole à la Ville.
Participation sur une base volontaire
Selon Mme Dubé, après avoir rencontré « un franc succès et un véritable engouement de la population » lors des projets-pilotes qui ont eu lieu en 2013 et 2014 dans l’arrondissement Ville-Marie, la cuisine de rue « est maintenant un dossier de la Ville qui présente désormais un même règlement pour tous les arrondissements. La participation des arrondissements s’est faite sur une base volontaire. Plusieurs des arrondissements participants cette année ont déjà accueilli de la cuisine de rue sur leur territoire les années passées », a-t-elle indiqué.
La liste des restaurateurs choisis par la Ville sera dévoilée le 22 avril, au terme d’une sélection effectuée par un comité prestigieux composé de professionnels de la cuisine montréalaise. « Le nombre maximal de permis pour 2015 sera de 63, comparativement à 30 pour l’an dernier et à 27 pour 2013 », a mentionné Geneviève Dubé.
Cuisine de rue au parc Tolhurst
Pour autant, si Ahuntsic–Cartierville ne fait pas partie du projet de la Ville, il y aura malgré tout bel et bien des camions de cuisine de rue cet été dans l’arrondissement. Preuve en est l’initiative lancée il y a deux ans par la Société de développement commercial (SDC) Quartier Fleury Ouest, pour être reconduite l’année suivante et cet été dans le parc Tolhurst.
« On a mis en place, pour la deuxième année, l’initiative des camions de bouffe de rue, l’an passé, lors des mercredis pique-niques, et ça a eu tellement de succès qu’on va le reprendre cette année encore », a expliqué Maude Théroux-Séguin, présidente de la SDC Quartier Fleury-Ouest.
Belle vitrine pour FLO
Démarrant avec la fête nationale, le 24 juin, pour s’achever fin août, cette initiative de l’Association des marchands de la SDC Quartier Fleury Ouest inclura deux ou trois camions de rue qui verront se succéder différents restaurateurs chaque semaine. Un projet qui s’inscrit dans la continuité du mandat de la SDC, soit, comme l’a fait valoir Mme Théroux-Séguin, « de stimuler un achalandage chez les commerçants de la rue et de faire la promotion de la rue ».
Une activité qui fait de la publicité aux commerçants de la rue tout en proposant à la clientèle un cadre plaisant et original. « Les gens viennent de l’extérieur du quartier pour assister à l’événement parce que le cadre est vraiment enchanteur. Souvent, les camions de rue, c’est dans la rue, donc ce n’est pas forcément agréable, alors que là, c’est au parc Tolhurst. Donc, l’environnement est beaucoup plus agréable. On pense que ça va avoir encore beaucoup plus de succès cette année », a souligné la présidente de Quartier Fleury Ouest. (Par Rabéa Kabbaj) (2015-04-17)
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BON À SAVOIR
Nettoyage des rues d’Ahuntsic–Cartierville
Les cols bleus s’en chargent
à la mi-mai, les cols bleus nettoient et entretiennent les rues d’Ahuntsic–Cartierville.
Chaque semaine, selon la météo, des équipes de nettoyage des rues ont commencé à être déployées dans l’arrondissement.
Pour procéder au nettoyage printanier, les cols bleus du territoire utilisent cinq balais mécaniques, trois camions-citernes, quatre lave-trottoirs et un aspirateur pour le nettoyage des trottoirs et un balai mécanique pour le nettoyage des pistes cyclables.
Chaque année, en début de saison, le nettoiement[1] des rues donne lieu à quelques difficultés. Certains secteurs de l’arrondissement ne bénéficient pas toujours d’un nettoyage convenable tout de suite.
« Étant donné qu’il y a beaucoup de saletés à cause de la neige en début de saison, il peut être parfois plus difficile pour les balais de passer partout dans l’arrondissement », affirme Lorraine Pagé, conseillère municipale du district du Sault-au-Récollet.
Toutefois, elle assure les résidants d’Ahuntsic–Cartierville que la situation se rétablit deux ou trois semaines après la déploiement du système de nettoyage et le début de l’opération.
Les résidants peuvent communiquer avec le 311 si le nettoyage des rues n’est pas fait de manière adéquate. Une équipe spéciale se déplacera afin de parachever les travaux dans leur secteur. (Par Ivana Leba) (2015-04-17)
[1] Ensemble des opérations et des mesures ayant pour but de nettoyer (OQLF, 2002).
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Les glaces s’en vont…les Bernarches arrivent!
Un employé municipal de Montréal sur deux demeure en banlieue
. Plus de 80 % des policiers
et des pompiers ne payent pas leurs taxes dans la métropole Bien que l’on n’ait pas les c
hiffres exacts pour l’arrondissement Ahuntsic–Cartierville, on sait que la moitié des employés de la Ville de Montréal ne réside pas dans la municipalité qui les a pourtant embauchés. Montréal, comme les autres villes au pays, ne peut rien y faire en raison d’un jugement de la Cour suprême vieux de près de 20 ans.
Le plus haut tribunal du pays, dans une cause impliquant une employée de Longueuil, a mis un terme à l’obligation pour les employés municipaux de résider sur le territoire d’une ville pour y occuper un emploi dans l’administration publique, sauf à de rares exceptions, comme celles liées aux élections. « Ce serait discriminatoire en vertu de la Charte des droits et libertés de la personne », nous rappelle la Ville, qui a fourni les infos sur ses employés.
L’administration municipale de Montréal jongle avec l’idée de refiler gratuitement à ses employés un titre de transport (en échange de la fin d’une politique sur le stationnement) pour, notamment, renforcer leur sentiment d’appartenance à l’égard de leur travail.
Une bonne mesure, selon le professeur Denis Morin, du Département d’organisation et ressources humaines – École des sciences de la gestion (UQAM). Il estime que la ville, comme n’importe quel employeur, veut avoir des employés heureux pour notamment favoriser la productivité.
Moitié-moitié
Toutefois, il y a de quoi s’interroger sur le choix de ceux qui sont heureux d’être payés par Montréal, mais qui se refusent à vivre dans la métropole, une ville pourtant assez grande qui offre des quartiers et des maisons forts diversifiés pouvant plaire à tous.
Avec une rémunération globale fort avantageuse (par rapport aux emplois similaires dans le secteur privé ou à la fonction publique provinciale et fédérale), les pompiers (18 %) et les policiers (19 %) sont peu nombreux à avoir adopté Montréal pour y vivre. C’est moins d’un sur cinq. Près de quatre contremaîtres sur 10 (38 %) demeurent dans la métropole.
Les employés des autres corps de métier (plus de 50 %) vivent et travaillent dans leur ville de prédilection, les cols blancs surtout. Cela signifie, au final, beaucoup de longs déplacements pour venir travailler soit au centre-ville ou dans l’arrondissement.
Sentiment d’appartenance
Sur un document du gouvernement fédéral (Développement et ressources humaines), on retrouve cette phrase qui en dit long pourtant : « Un sentiment d’appartenance fort des gens contribue aussi au mieux-être des individus et de leur collectivité ». Mais est-ce important de vivre dans la ville qui nous emploie pour parler de sentiment d’appartenance?
Pour le professeur Denis Morin, l’employeur doit tout faire pour s’assurer que son employé soit heureux à son travail, y reste longtemps (pour éviter un taux de roulement élevé) et augmente ainsi sa productivité.
« Avoir une carte Opus, c’est un avantage, note M. Morin. Pour l’employeur, il doit y avoir des pratiques économiques et psychologiques. Nous avons tous des émotions. Il y a une dimension affective au travail. Est-ce que mes valeurs comme travailleur rejoignent les valeurs de l’entreprise? Les employeurs veulent des employés engagés dans leur travail et envers eux. Ça engendre un meilleur rendement », a-t-il soutenu.
M. Morin estime que les employeurs doivent développer et mettre en place des pratiques innovatrices. « Le soutien du superviseur, la perception de justice, la reconnaissance non monétaire, le développement des compétences sont de bons exemples. C’est reconnu de façon scientifique, si l’employeur veut susciter un engagement affectif », a-t-il indiqué,
M. Morin a rappelé que dans les questionnaires que les employeurs passent à leurs employés, il y a souvent des questions portant, entre autres, sur l’attachement affectif à l’organisation ou le fort sentiment d’appartenance envers l’employeur. Or, tout porte à croire que cela a plus d’importance que le lieu de résidence du travailleur municipal. « Tu peux demeurer dans la ville qui t’emploie, mais si tu n’as pas la passion au travail, ça ne changera rien », a conclu M. Morin.
Toutefois, il faudrait s’interroger aussi sur les raisons qui font que beaucoup d’employés n’ont pas fait le choix de vivre en ville. (Par Alain Martineau) (2015-04-17)
Tableau, source : Ville de Montréal
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Les résidants invités à organiser « leur fête » près de chez eux
. Certains l’ont déjà fait dans Ahuntsic-Cartierville
Simplicité, convivialité et voisinage de proximité sont les trois concepts promus par le réseau québécois Villes et Villages en santé à travers la Fête des voisins. L’organisme invite les citoyens à organiser, le 6 juin prochain, une rencontre festive avec leurs voisins immédiats.
« L’esprit de la fête, c’est vraiment de connaître nos voisins parce que souvent on ne connaît pas ceux qui vivent en face, au-dessus, à côté. C’est de ramener cette dimension humaine de voisinage », explique Virginie Guibert, agente de communications pour la Fête des voisins.
À chacun sa formule
Bien qu’aucune subvention ne soit prévue pour ces festivités citoyennes, Mme Guibert précise qu’il n’est pas nécessaire d’y investir beaucoup de temps et d’argent. « Chaque fête va être à l’image de ceux et celles qui l’organisent! Moi, ma fête des voisins ne coûte rien. C’est une formule ”potluck” où chacun arrive avec ses paquets de saucisses, ses brochettes. On met ça sur le BBQ, on fait une partie de soccer, on joue ou on se prend une bière », raconte l’agente de communications.
Ahuntsic
Si certains arrondissements de Montréal tels Rosemont–La Petite-Patrie, Saint-Léonard, Saint-Laurent, Lachine et Verdun figurent déjà parmi les inscrits à l’édition 2015, ce n’est pas le cas d’Ahuntsic–Cartierville dont la dernière participation remonte à 2009. « L’arrondissement n’a pas réitéré l’expérience, car la fête d’arrondissement se produit à la même date. Un choix a dû être fait. Il est important de garder le maximum d’effectif pour la réalisation de notre belle fête d’arrondissement », explique Marlène Ouellet, porte-parole de l’arrondissement.
Virginie Guibert souligne toutefois que l’inscription des municipalités et des organismes locaux ne demande que peu d’engagements. Le but est plutôt d’encourager un mouvement populaire. « Les municipalités sont là pour mobiliser leurs citoyens, mais pas du tout comme organisatrices. Le rôle est celui de transmettre l’information au sujet de la Fête des voisins parce que nous, au niveau national, on peut diffuser, mais ceux qui sont plus proches des voisins, ce sont les instances plus locales », précise-t-elle.
Même si Ahuntsic–Cartierville ne compte pas participer au projet, rien n’empêche les Ahuntsicois de festoyer. C’est d’ailleurs ce qu’ont fait des résidants de l’arrondissement en 2011, comme en témoigne Louise Léonard dans un commentaire publié sur le site de la Fête des voisins. « J’ai connu ma première fête des voisins l’an dernier. Tellement sympathique, cordiale, où la ruelle nous appartient, où l’on rencontre nos voisins, soirée qui se termine à la lueur des bougies. Merveilleux », écrit-elle.
D’individualiste à collectif
Des témoignages positifs, Mme Guibert affirme en recevoir tous les ans. « Des gens nous disent qu’après, les gens se saluent dans la rue, se donnent un coup de main. Quand il y a en un qui part, l’autre arrose son jardin. […] Des petits gestes qu’on faisait finalement autrefois et qui se sont perdus dans la société dans laquelle on vit », lance la jeune femme.
Afin d’être admissibles au tirage permettant aux participants de remporter un lot de tee-shirts, de ballons, d’affiches et de cartons d’invitation, les résidants intéressés doivent s’inscrire sur le site Web (http://fetedesvoisins.qc.ca) avant le 20 mai. Les municipalités sont pour leur part invitées à le faire avant le 30 avril pour avoir le temps de publiciser l’événement. (Par Elizabeth Forget-Le François) (2015-04-17)
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Dominica Merola
La chanteuse d’Ahuntsic en
tournée européenne
Après
le spectacle-lancement de l’album Bohémienne de cœur au Monument
national, la chanteuse ahuntsicoise Dominica Merola part lundi prochain en tournée européenne. Ce
n’est pas la première visite de Dominica en Europe. Elle avait aussi donné
divers spectacles en France et en Belgique en 2012 et 2013.
Son
troisième album, comprenant 11 chansons originales et des titres comme Je
chante les mots, la vie; Ciao, ciao et Perchè,
pourquoi (qui parle des enfants vivant en Syrie), est notamment
disponible à la librairie Renaud-Bray, sur la Promenade Fleury.
Vendredi
et samedi (les 24 et 25 avril prochains), elle livrera une prestation à
Lorient. Puis le 7 mai, elle sera à Paris, à l’Espace Beaujon, sur la rue
du Faubourg Saint-Honoré. Le dimanche 10 mai, elle passera à nouveau par Bruxelles,
à l’Atelier Marcel Hastir.
Elle a conçu son spectacle en puisant notamment dans les titres de son dernier album, qui
comprend des chansons rythmées et aussi des airs de tango (voir notre édition
version papier de décembre).
Dominica
voulait créer un voyage musical où se mélangent les sonorités modernes,
classiques et latines. Ses chansons traitent notamment des sentiments amoureux,
des joies et des peines qui se succèdent, et de l’urgence de vivre dans une
société où tout bouge si rapidement. (Par Alain Martineau) (2015-04-17).
Info :
http://www.dominicamerola.com/
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de la maison Après la LNI, voici l’Impro
Cirque, à la Tohu
Les gens qui aiment le changement
seront bien servis avec la présentation la semaine prochaine de prestations qui
mélangent impro et cirque à la TOHU.
Les répliques ne se font pas seulement sur terre, mais aussi dans les
airs avec cette mouture peu connue dans le créneau de l’improvisation. On connaît
davantage la Ligue nationale d’improvisation (LNI), mais maintenant, il y l’Impro
Cirque (IC).
Pour faire connaître davantage cette activité, la TOHU ouvre ses
portes pour trois jours de compétitions, de jeudi à samedi prochains (du 23 au 25 avril).
Les prestations ont lieu en soirée, dont la grande finale le samedi 25 avril
à 19 heures.
Cette fois, donc, des numéros dans les airs, avec un enjambe derrière la
tête puis une pirouette, qui se grefferont aux interventions de la joute oratoire.
Le concept avait déjà été élaboré lors de la première édition du Festival Montréal
complètement cirque à l’été 2010.
Depuis ses débuts, l’IC a organisé 30 matchs ici et à l’étranger, notamment
au festival Polo Circo en Argentine et à l’événement Temps Fort Québec organisé
par le Cirque-Théâtre d’Elbeuf en France. Plusieurs grosses pointures
circassiennes seront au rendez-vous culturel, dont des membres du Cirque du
Soleil, du Cirque Éloize, du Cirque Alfonse ou des 7 doigts de la main. Parmi
les joueurs de la LNI, on retrouve un résidant d’Ahuntsic, Réal Bossé.
Bonne idée
Nicolas Fortin
et Philippe Trépanier ont lancé l’idée de l’Impro Cirque en
s’inspirant de l’impro, version théâtre. « Nous désirons rapprocher les
arts du cirque au théâtre et à la danse, affirme le duo. C’est principalement
par le biais de soirées d’improvisation circassienne que nous voulons regrouper
des artistes de plusieurs générations et de plusieurs milieux autour d’un but
commun : la création spontanée ».
Il faudra
donc s’attendre à voir dans la salle circulaire de la TOHU, située à deux pas de notre
arrondissement, des numéros d’acrobatie, de théâtre, de cirque, de danse et d’autres
mouvements.
Pour
chaque partie, on retrouve deux équipes de cinq joueurs, comme au hockey. Les
équipes sont constituées d’un acrobate, d’un jongleur, d’une contorsionniste,
d’un artiste aérien et d’un joueur de la LNI. Chaque improvisation implique une
discipline de cirque et doit respecter des thèmes imposés pendant deux
périodes de 50 minutes. De la musique agrémente le tout.
Un jury est
appelé à évaluer les performances. Les spectateurs sont aussi invités à voter
pour déterminer l’équipe gagnante de chaque improvisation.
Le tarif régulier
est de 30 $; les moins de 25 ans paient 25 $. Pour plus d’infos, il suffit de composer le 514 376-TOHU (8648) ou 1 888 376-TOHU (8648),
ou de se rendre sur le site www.tohu.ca. (Par Alain Martineau) (2015-04-17)
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BON À SAVOIR à l’approche du Jour de la Terre, 22 avril
Des commerces de l’arrondissement aident à réduire le gaspillage alimentaire et à nourrir la communauté
Depuis
la fin février, quatre commerces d’alimentation d’Ahuntsic, soit Fruits et
légumes en panier, le Marché Tradition, Mamie Clafoutis et la Bête à Pain, collaborent
avec des organismes d’aide alimentaire afin de réduire le gaspillage au profit
des familles les plus démunies de la communauté.
Alors que les banques alimentaires peinent à fournir des paniers
équilibrés aux familles aux prises avec des difficultés socioéconomiques, la
collaboration avec les épiceries semble naturelle pour une meilleure gestion
des denrées comestibles.
Chantier
sécurité alimentaire
À l’initiative du Chantier sécurité alimentaire de Solidarité
Ahuntsic, des partenariats ont été mis au point avec des commerçants du
quartier afin qu’ils donnent fruits, légumes et autres denrées périssables. Les
aliments sains sont récupérés par des organismes du quartier et redistribués
rapidement dans les paniers de nourriture, bonifiant ainsi le niveau
nutritionnel de l’aide alimentaire.
Meilleur
environnement
En permettant
aux aliments encore savoureux d’être consommés plutôt que jetés, les commerces
partenaires posent un geste important en faveur du bien-être des plus démunis
et de l’environnement. Ainsi, depuis deux mois, les 500 kg de nourriture
recueillis ont déjà permis d’éviter plus de deux tonnes de gaz à effet de
serre, et ce, grâce à cette initiative inspirante.
Aussi grandes surfaces
Ce type de
partenariat existait déjà entre plusieurs grandes surfaces et Moisson Montréal,
dont quelques établissements situés sur le territoire de l’arrondissement, qui
redistribuent des denrées aux organismes du milieu, ainsi qu’avec quelques
petits commerçants du quartier. L’objectif de la démarche du chantier est
d’offrir l’occasion à davantage de petits et moyens commerces locaux de pouvoir
collaborer avec trois organismes bien implantés dans le quartier, soit L’oeuvre
des Samaritains, le Service de nutrition et d’action communautaire (SNAC) et la
Saint-Vincent de Paul.
Jour de la Terre, 22 avril
Rappelons que le gaspillage alimentaire est un enjeu
environnemental d’importance dans la lutte aux changements climatiques. Les
aliments en décomposition dans un dépotoir libèrent un puissant gaz à effet de
serre, le méthane. Et pourtant, bien des denrées comestibles prennent le chemin
de l’enfouissement simplement parce qu’elles ne répondent pas aux attentes de
fraîcheur et d’esthétisme des consommateurs. Pensons-y encore plus le 22 avril
prochain, Jour de la Terre. (C.D.) (2015-04-17)
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Soyez aux aguets! Dès le 1er mai…
Vous avez des questions, des commentaires, des astuces à partager concernant vos plantations, potagers encore en friche, arbres, fleurs, fruits et légumes, ou autres?
L’été dernier, c’est Francine Lauzon, lectrice et résidante d’Ahuntsic, qui avait mérité un certificat-cadeau d’une valeur de 50 $ du Provigo Michel-Ricard, pour avoir transmis une question à notre chroniqueur.
Alors, à vos plumes et à vos claviers! C’est un rendez-vous! (C.D.)
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LETTRES OUVERTES
ouverte du Comité de citoyens pour un développement équilibré d’Ahuntsic O.
PPU Henri-Bourassa Ouest révisé : un affront aux citoyens d’Ahuntsic
Ouest
Par Luc Villandré
Les compressions budgétaires annoncées par Québec
Par François Kemp, président du conseil
d’administration du Collège Ahuntsic
l’agrandissement de l’annexe de l’école Ahuntsic (lettre parue début avril)
Par
Jacques Mayer
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BRÈVES…BRÈVES…BRÈVES…BRÈVES…BRÈVES…BRÈVES…
Semaine de l’action bénévole
Fête de reconnaissance dans Bordeaux–Cartierville
Jeudi dernier, le 9 avril, au Centre communautaire
arménien, se tenait une fête collective
pour les résidants engagés de Bordeaux–Cartierville. Plus de 130 personnes de
15 organismes différents s’y sont donné rendez-vous
pour souligner l’engagement social dans le quartier. Cet évènement visait
également à lancer la Semaine de l’action bénévole, qui a lieu du 12 au 18 avril
2015. Les résidants de chaque organisme ont été invités à
monter sur la scène pour recevoir des félicitations de la part de Christine St-Pierre, députée de l’Acadie et ministre des Relations
internationales et de la Francophonie, de Harout Chitilian, conseiller
de Bordeaux–Cartierville à la Ville de Montréal et de Maria Mourani, députée
d’Ahuntsic. (Source : CABBC)
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Lorraine Pagé reçoit ses commettants
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Jeux de Montréal
Cinq bannières pour les jeunes d’Ahuntsic–Cartierville
Les
bannières sont remises par discipline sportive à l’arrondissement qui a cumulé
le plus de points aux critères de la participation, de l’esprit sportif et de la performance.
de 90 enfants d’Ahuntsic–Cartierville accompagnés de leurs entraîneurs et de
bénévoles ont assisté dimanche à la cérémonie de clôture. Un superbe spectacle
de trampoline et de trapèze leur était dédié en plus de deux chorégraphies où des mascottes se sont illustrées.
Au
lendemain de cette 38e édition des Jeux de Montréal, en plus de
féliciter tous les participants, l’arrondissement d’Ahuntsic–Cartierville tient
à remercier tous les organismes partenaires, leurs bénévoles, de même que les parents des
athlètes qui ont accompagné leurs enfants lors de cette expérience unique! (Source : Arrondissement)
Au festival
Metropolis bleu, qui se tiendra du 20 au 26 avril, plus de 60
auteurs, conteurs et illustrateurs du livre jeunesse viendront à la
rencontre de jeunes de moins de 12 ans afin de partager avec eux le plaisir
de lire et de jouer avec les mots.
Cette année, le jeune public aura la chance d’entrer en contact avec de grands
noms. Laurent Chabin, finaliste du Prix Jeunesse des
libraires du Québec 2013 pour son roman
15 ans ferme et auteur
prolifique de polars; Étienne Poirier, finaliste du Prix des nouvelles voix
de la littérature 2014 et du Prix des libraires du Québec 2014 pour
son livre Qu’est-ce qui fait courir Mamadi? et Marianne Dubuc,
récipiendaire de plusieurs prix, dont le Prix littéraire du Gouverneur
général de 2014 pour son livre Le lion et l’oiseau, seront en
prestation dans l’une des trois bibliothèques de l’arrondissement. Magie et sagesse
Sous la forme d’un conte, Étienne Poirier présente son cheminement personnel ainsi
que l’univers qui a permis à son œuvre de naître. Au fil du récit, se dessinent
des rencontres littéraires, culturelles et humaines. Venez découvrir l’origine
mystérieuse de mots et d’animaux, l’expérience difficile des gens qui ont
croisé sa route et la philosophie qui permet à l’espoir de survivre à tout. À la bibliothèque de
Cartierville le lundi 20 avril à 13 h, pour un groupe scolaire du 3e
cycle. Inscription : 514 872-6989.
C’est quoi, le polar?
En compagnie de Laurent Chabin,
découvrez toutes les ficelles du roman policier : en expliquant comment il
écrit ses livres, l’auteur vous en apprendra plus sur le genre en général. Le
policier, c’est l’envers du décor du monde dans lequel vivent… ou vont vivre
les lecteurs! À la bibliothèque d’Ahuntsic le lundi 20 avril à 9 h, pour un groupe scolaire. Inscription : 514 872-0568.
La maison, l’autobus, l’oiseau… et le lion! Conte-rencontre avec
Marianne Dubuc.
Pénétrez dans l’univers de l’auteure et illustratrice des livres Devant
ma maison, L’autobus et Le lion et l’oiseau. Lecture
d’albums, discussions et dessins sont au programme. À la bibliothèque de Salaberry le mercredi 22 avril à 10 h, pour un groupe
scolaire de première année. Inscription : 514 872-1521. (Source : Arrondissement)
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Soirée reconnaissance pour les 20 ans de RePère
Marie Montpetit (députée de Crémazie), sa fille Émilie, Émilie Thuillier (conseillère du district d’Ahuntsic), Pierre Desrochers (conseiller du district Saint-Sulpice) et Véronique Cyr (présidente de RePère) ont souligné les 20 ans de RePère.
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Défi têtes rasées
à prix dans le cadre du Défi têtes rasées 2015 de Leucan. L’événement
aura lieu le 9 mai prochain, de 10 h à midi, au salon de coiffure Concept
St-Laurent situé au 10326, boulevard Saint-Laurent. La conseillère a
quatre enfants et quatre petits-enfants en bonne santé. Elle se dit choyée par la vie et souhaite que son
geste lui permette d’aider à sa façon
les familles de Leucan, en contribuant au financement des services qui leur sont
offerts, ainsi qu’à la recherche clinique. C’est aussi un geste de solidarité
envers les jeunes qui subissent, lors de la chimiothérapie, une altération de
leur image corporelle par la perte de leurs cheveux. Elle relève ce défi avec enthousiasme et invite tous ceux et celles qui ont songé à le faire
un jour à se joindre à son groupe. Si cette cause
vous interpelle, vous pouvez contribuer
en faisant un don par Internet à l’adresse www.tetesrasees.com
ou en vous inscrivant au groupe de Diane Eng, Tous ensemble : ma tête
à prix. Pour toute information supplémentaire,
composez le 514 337-4278. (Source: bureau de Christine St-Pierre)
LE COIN COMMUNAUTAIRE
organisme communautaire d’entraide et de répit aux familles en santé mentale. La présentation de Mme Lacroix a pour but
premier de nous faire acquérir ou de consolider nos compétences de communication. Posséder
l’art d’écouter est primordial pour toute personne qui souhaite améliorer ses
modes de communication et ses relations interpersonnelles. Entre autres, il sera
question des styles d’écoute, de l’écoute active et des attitudes et des habiletés en écoute. Mercredi
le 22 avril à 19 h au Centre
communautaire d’Ahuntsic,
10780,
rue Laverdure (entrée
et stationnement à l’arrière). Prix
d’entrée : 3 $.
Inscription : 514 385-6786. (Source : La Parentrie)
Consultations juridiques
Le Centre des femmes solidaires et engagées (1586 Fleury E. porte 100)
offre aux femmes du quartier un service de consultation juridique. Tous les
mercredis aux deux semaines, une avocate est sur place de 13 h à 15 h pour
répondre à vos questions concernant vos droits et recours. Prochaine date
disponible : mercredi 29 avril. Inscription : 514 388-0980. Une
contribution de 5$ est suggérée. (Source : CFSE)
Le jeudi le 30 avril à 19 h à la Maison de la Visite, 10591, rue Séguin (entrée au nouvel édifice). Une
présentation des activités et des projets de l’année 2014 sera faite,
suivie par la présentation des états financiers de l’organisme. Pour
conclure la soirée, nos trois spécialistes en agriculture urbaine
(horticulteurs et agronome) répondront à vos
questions sur les arbres et l’agriculture en ville. Les 25 premiers
participants recevront des sachets de semences gratuits. Information : direction@villeenvert.ca ou 514 447-6227. L’ordre du jour sera affiché dans les locaux de l’organisme pour consultation. (Source : Ville en vert)
Journée de déchiquetage en plein
air organisée par la Promenade Fleury. La Promenade invite les
résidants d’Ahuntsic souhaitant se débarrasser de
documents personnels ou confidentiels de façon sécuritaire à utiliser son
service de déchiquetage, et ce, gratuitement. Un camion de l’entreprise Shred-it,
spécialisée en destruction de documents et de renseignements confidentiels, vous
attendra dans le stationnement de la boutique Matelas Bonheur, au 1448, rue
Fleury Est, le samedi 25 avril, entre midi et 16 h. Grâce à un partenariat avec l’entreprise Québec
PC, la Promenade Fleury vous offre aussi un service de collecte d’appareils
électroniques désuets ou défectueux. Débarrassez-vous de votre vieux matériel
informatique simplement, gratuitement et, surtout, de façon écoresponsable. (Source : Promenade Fleury)
Collège Ahuntsic, donné par l’ensemble de jazz vocal Jazzimut, sous la direction de Francine
Brouillard. Le spectacle aura lieu les dimanche 3 mai et lundi 4
mai à 19 h 30 à l’auditorium du Collège Ahuntsic, au 9155, rue Saint-Hubert. On pourra se procurer des billets au coût de 10 $ à l’entrée. Tous les
profits seront remis à la Fondation du Collège, qui décernera des bourses d’études à ses étudiants. Allez vous divertir et passer
un moment agréable en leur compagnie! (Source : Jazzimut)
réorienter, vous améliorer dans votre domaine professionnel ou vous
mettre à jour? L’offre des formations est multiple et il est parfois
difficile de s’y retrouver. Venez vous renseigner et prendre conseil
auprès de Slimane Saidj, intervenant à la Fondation pour
l’alphabétisation. Inscription : 514 382-0735, poste 225.(Source : CANA)
pour ce printemps. Intéressé par une participation
citoyenne au sein de votre quartier? Entraide Ahuntsic-Nord, un organisme
communautaire dédié aux aînés, est à la
recherche de bénévoles, hommes ou femmes, principalement des chauffeurs et des accompagnateurs,
afin de maintenir pendant les vacances tous les services offerts à
nos membres. Joignez-vous à notre
équipe de bénévoles et offrez-vous une saison d’entraide… Information : 514 382-9171, coor@entraidenord.org. (Source : Entraide Ahuntsic-Nord)
tout le mois d’avril et de mai, au Loblaws Ahuntsic. (Source : Loblaws Ahuntsic)
514 872-6989. (Source : Arrondissement)
Info : 514 388-5583, www.expressionahuntsic.org. (Source : Toastmasters Ahuntsic)
h 30 à 15 h 30. Inscription : 514 382-0735, poste 226. (Source : CANA)
locataires d’un logement. Durant
cet atelier, on vous offre les informations nécessaires pour vous défendre
devant une hausse de loyer :
- Est-ce
que mon propriétaire respecte les délais prescrits par la loi? - Comment
calculer la hausse de loyer qui serait juste? - Comment
refuser mon avis de hausse de loyer? - Comment
me défendre à la Régie du logement?
Horaire : le 22 avril à 13 h 30. Inscription : 514 331-1773. (Source : CLAC)
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LE COIN DES COMMERÇANTS
Fleury Ouest
Offre d’emploi – Employé(e) au service à la clientèle – Aide-cuisinier
± 25 heures par semaine. Être disponible principalementle jour (pas d’étudiant). Merci d’envoyer votre CV et
une lettre de motivation avant le 21 avril : yves.bonneau.chocolatier@gmail.com. (Source : Chocolaterie Bonneau)
La Promenade Fleury
air organisée par la Promenade Fleury. Débarrassez-vous de
vos documents personnels ou confidentiels de façon sécuritaire dans le stationnement de la boutique Matelas Bonheur, au 1448, rue
Fleury Est, le samedi 25 avril entre midi et 16 h. En même temps, la Promenade Fleury vous offre un service de collecte d’appareils
électroniques désuets ou défectueux.
Bon 50e anniversaire à Isabelle Quinn de Sweet Isabelle. Elle en profite pour lancer des
(Source : Promenade Fleury)
QUOI FAIRE….QUOI FAIRE…QUOI FAIRE…QUOI FAIRE…QUOI
La magie de l’Orient. Roxane et Sonia sont des passionnées de la danse orientale. Elles dansent et enchaînent les occasions de partager leur art depuis maintenant plus de 15 ans. Qu’elles dansent avec leur troupe professionnelle Al Sahirat de la Compagnie Al Helem ou qu’elles se produisent dans les restaurants arabes de la région, c’est toujours avec le plus grand des plaisirs qu’elles viennent à votre rencontre. Laissez-les vous transporter dans un univers où la symbiose de la musique et de la danse devient magie. Souper-spectacle 39,95 $.(Source : Le Rendez-vous du thé)
Les Vendredis cannibales – Vox Sambou. Fusion d’afrobeat, de reggae et de hip-hop. Artiste d’origine haïtienne, Vox Sambou a parcouru le monde en fusionnant les rythmes traditionnels haïtiens à ceux du reggae, de l’afro-beat et du hip-hop. À la Maison de la culture. Laissez-passer disponibles dès maintenant. (Source : Maison de la culture)
Sortie ornithologique à Baie-du-Febvre, avec le Club d’ornithologie d’Ahuntsic (COA). Cet endroit est réputé pour accueillir une grande variété d’espèces aquatiques durant la migration printanière. Possibilité d’arrêts en chemin à des sites d’intérêt. Sortie gratuite pour les membres, 3 $ pour les non-membres. Covoiturage 18 $. Apportez votre lunch. Information : 438 338-4138. (Source : COA)
Théatre. Afin de dissiper la léthargie de l’hiver et de nouveau faire place à la vie
exubérante, venez célébrer le printemps en assistant aux contes d’ici et
d’ailleurs. Découvrez comment grand-mère araignée a donné le printemps aux animaux
de la forêt; pourquoi l’amérindien Kawano
libère le printemps; comment le retour du printemps soulage un paysan de ses
inquiétudes, et bien d’autres histoires qui sauront réchauffer votre
imagination. À la bibliothèque de Salaberry, située au
4170, rue de Salaberry. Inscription : 514 872-1521.
(Source : Arrondissement – photo : Natasha Sher)
Visite guidée de la centrale de la Rivière-des-Prairies, présentée par Hydro-Québec dans le cadre de la Journée internationale des monuments et des sites. Rendez-vous à la centrale de la Rivière-des-Prairies, au 3400, rue du Barrage, Laval, H7E 5A2. Réservation obligatoire auprès d’Hydro-Québec, au 1 800 365-5229 ou à visites.beauharnois@hydro.qc.ca. Activité gratuite, offerte beau temps mauvais temps. (Source : Héritage Montréal)
Visite guidée présentée par Cité historia – Le site des moulins, 20 ans de mise en valeur?, dans le cadre de la Journée internationale des monuments et des sites. En 1998, la Ville de Montréal met en valeur le site des moulins pour faire honneur aux 300 ans d’histoire des moulins du Sault-au-Récollet. Venez découvrir le site et son histoire, les choix de mise en valeur faits à l’époque et leur évolution aujourd’hui. Réservation obligatoire auprès de Cité historia, au 514 850-4222. Activité gratuite, offerte beau temps mauvais temps. www.citehistoria.qc.ca. (Source : Héritage Montréal)
L’important c’est… Bécaud! S’accompagnant au piano ou à la guitare, Jocelyn St-Jean vous fait revivre quelques-unes des mélodies les plus électrisantes d’un grand compositeur-interprète de la francophonie de son époque : Gilbert « Monsieur 100 000 volts » Bécaud. Et Maintenant, Nathalie, Les Cerisiers sont blancs et plusieurs autres chansons seront au rendez-vous, le samedi 18 avril. Souper-spectacle 42,95 $.
(Source : Le Rendez-vous du thé)
Concert à la Visitation. Claire Marchand (flûte) et François Zeitouni (orgue) proposent un récital d’œuvres pour flûte et orgue de Bach, de Fauré et de Jehan Alain. Claire Marchand est l’une des flûtistes les plus en vue au Québec. Titulaire des grandes orgues du Gesù depuis 2005, François Zeitouni mène une double carrière d’organiste et de pianiste. À l’église de la Visitation. Entrée libre.
(Source : Maison de la culture)
Soirée humoristique. Dova Lewis, Jani Pronovost, Claudia Turcotte, Émilie Bossé, Sarah-Laurence Dallaire, Isaac Bélanger Leboeuf, Marie-Pier Simard, Alex Côté, Sarah Boulais, Amélie Leclerc et Guillaume Jalbert se succèdent sur les plances. Le Rendez-vous du thé vous offre des dimanches à faire rire! Une soirée où de jeunes artistes, dont beaucoup sortent de l’école de l’humour, donnent un de leurs premiers spectacles. Venez rencontrer ces artistes œuvrant dans l’humour, le théâtre et la musique et qui se rencontrent pour une soirée. Entrée libre. (Source : Le Rendez-vous du thé)
Le lundi 20 avril à 18 h
Rendez-vous poétique par Roger Michael, Diane Robert et Denis-Martin Chabot. Ces soirées
sont animées par le comédien Roger Michael, avec l’aide de Denis-Martin Chabot,
écrivain et journaliste. Les récitants sont souvent accompagnés par des invités
qui viennent lire leurs poèmes préférés. Le tout, dans l’ambiance agréable du
Rendez-vous du thé. Invitée spéciale : Jacqueline Laurent-Auger, fille de la
célèbre journaliste Jean Desprez et du superbe comédien Jacques Auger. Jacqueline fut élevée dans un foyer artistique et, tout naturellement, choisit à l’adolescence la voie de ses parents. Entrée libre (contribution
volontaire). (Source : Le Rendez-vous
du thé)
Voyage Tango avec El Trio Argentino. Le trio et Flavia Garcia vous convient à un voyage musical à travers les grandes époques du tango. Le rythme, la précision et le piano de José Maria Gianelli se conjuguent aux passages lyriques de Didier Dumoutier, à l’accordéon, soutenus par Pablo Seib à la contrebasse. À ce trio s’ajoute la voix grave et toute en émotion de Flavia Garcia. À la Maison de la culture. Laissez-passer disponibles dès maintenant. (Source : Maison de la culture)
Le mardi 21 avril à 18 h
Mes coups de cœur de la chanson française. Avec son piano, sa voix, sa bonne humeur et sa
présence sur scène, Reynald Précourt vous charmera par ses interprétations d’Aznavour, de Lama, de Ferrat, de Piaf, de Bécaud, de Dassin, de Duteil. Souper-spectacle
42,95 $. (Source : Le Rendez-vous du
thé)
Conférence sur l’aménagement comestible pour balcons et petits espaces urbains. Les jardins sur les balcons ou situés dans des espaces restreints sont de plus en plus présents dans le paysage citadin montréalais. L’architecte paysagiste Ismael Hautecoeur montre différentes façons de maximiser les petits espaces afin d’obtenir votre propre potager. Au Café de Da. Inscription : 514 872-5674. (Source : Arrondissement)
à 15 h 30
Dix émeutes dans l’histoire du Québec, tel est le titre de la conférence de
Gilles Laporte à la salle de l’église Saint-Jude, au 10120, avenue d’Auteuil. Gratuit
pour les membres de l’Alliance culturelle, 8 $ pour les non-membres. Aussi, Richard Turp présentera les opéras qui seront diffusés au cinéma pendant la saison
2015-2016 du MET, dans un cours commençant le 14 mai. À noter que le cours sur
l’histoire de la danse au Québec a été annulé.
Information : 514
382-5716 ou www.allianceculturelle.qc.ca. (Source : Alliance culturelle)
Le mercredi
22 avril à 18 h
Jour de la Terre par Eco Trio.
Cette petite boule bleue perdue dans les étoiles, c’est la Terre, notre terre,
le milieu de vie de l’espèce humaine. La Terre répond aux besoins de
l’humanité, mais elle se fragilise devant les assauts irréfléchis que nous lui
faisons subir. La Terre est unique, nous n’en connaissons pas d’autres, et il
faut la ménager. Venez célébrer la Terre avec la
musique d’Éco Trio +, au Rendez-‐vous du thé.
Entrée libre. (Source : Le Rendez-vous
du thé)
Projection du documentaire Ba Noi (grand-maman) du réalisateur Khoa Lê au Café de Da (545, rue Fleury Est). Khoa Lê fait la chronique d’un voyage au Vietnam, en visite dans sa
famille à l’occasion du Nouvel An. S’enchaînent des lieux et des
visages à la fois familiers et étrangers, des échanges mais aussi des
non-dits. Face à la personnalité haute en couleurs de sa grand-mère,
portrait et autoportrait se mêlent avec autant d’humour que d’émotion. Peu à peu, la quête individuelle se transforme en une expérience
sensorielle et mémorielle, à travers une mosaïque onirique d’images et
de souvenirs. Le film sera projeté en présence du réalisateur. Dialogues
et narration en français, et en vietnamien avec sous-titres français. Inscription : 514 872-0658. (Source : Arrondissement)
Théâtre à relire – textes de Jean-Pierre Ronfard lus par Alexis Martin. Le public est convié à une célébration festive du grand homme de théâtre Jean-Pierre Ronfard. Dix ans après son décès, ses œuvres sont mises en lumière par son complice et ami Alexis Martin. À la Maison de la culture. Laissez-passer disponibles dès maintenant. (Source : Maison de la culture)
Conférence sur la culture des plantes potagères en pot. Disposer d’un jardin n’est pas le privilège de tous. Les plantes en pot s’avèrent une possibilité intéressante, ce qu’essaiera de vous démontrer Albert Mondor, auteur de nombreux ouvrages horticoles. À la bibliothèque de Cartierville. Inscription : 514 872-6989. (Source : Arrondissement)
Le jeudi 23
avril à 18 h
Invitation au voyage… en blues. La chanteuse
Barbara Diab et ses musiciens vous invitent à faire un voyage en blues à
travers le monde et les époques. Avec sa voix chaude et veloutée, elle revisite
quelques grands classiques du blues et du blues-rock. Du delta du Mississippi,
d’où origine le blues, vous remonterez vers Memphis, Chicago et Détroit, pour
ensuite faire escale à Liverpool, Londres et Montréal. L’instant d’une
soirée, Barbara vous fera revivre l’ambiance des bars enfumés fréquentés par
Bessie Smith et par les autres grandes dames du Blues. Puis vous serez transportés à
l’époque du rock avec Elvis, les Beatles et les Rolling Stones. Barbara vous
fera redécouvrir l’essence du blues : la peine, mais aussi la joie et l’espoir. (Source :
Le Rendez-vous du thé)
Le vendredi 24 avril à 10 h 30
En solidarité avec les
femmes d’ici et d’ailleurs et particulièrement celles du Bangladesh
travailleuses du textile et victimes de l’effondrement du Rana Plaza en 2013,
nous vous invitons à participer à une action
collective pour sensibiliser sur les conditions de travail précaires des femmes
qui travaillent pour les multinationales. Pour plus d’information, merci de communiquer avec Janelle au (514)
388-0980 ou mobilisation@cfse.ca. (Source : CFSE)
Le vendredi
24 avril à 18 h
Les Grands Classiques d’hier. Pierrot
Fournier, qui s’est d’abord fait connaître par ses inoubliables interprétations
des chansons de Jacques Brel et, plus récemment, de Brassens et de Ferré, nous
offre son nouveau récital, Les Grands Classiques de la chanson française.
Puisant aux répertoires des grands auteurs-compositeurs-interprètes que
sont Ferrat, Reggiani, Aznavour, Ferré, Vian, Brel et plusieurs autres,
Pierrot nous offre un bouquet des plus belles chansons de la langue française.
Souper-spectacle, 44,95 $. (Source :
Le Rendez-vous du thé)
QUÉBÉKOISIE – Film de Mélanie Carrier et Olivier Higgins. Afin de mieux comprendre les relations complexes entre autochtones et non-autochtones, Mélanie et Olivier parcourent la Côte-Nord du Québec à vélo. Ils ne se doutent pas que leur route croisera celle d’un Innu parti à la recherche de ses ancêtres en Normandie, et la démarche bouleversante de la sœur du caporal Lemay, tué lors de la crise d’Oka en 1990. Avec les propos de l’anthropologue Serge Bouchard et du sociologue Pierrot Ross-Tremblay. Au Café de Da. Laissez-passer disponibles dès maintenant. (Source : Maison de la culture)
Shauit – reggae. Originaire de Maliotenam dans le nord-est du Québec, l’auteur-compositeur-interprète Shauit chante en français, en anglais, mais surtout en innu. Unique en son genre, il offre des chansons à saveur reggae, pop et dancehall. À la Maison de la culture. Laissez-passer disponibles dès maintenant. (Source : Maison de la culture)
Sortie ornithologique à Dundee et au lac Saint-François, avec le Club d’ornithologie d’Ahuntsic (COA). Un secteur magnifique qui réservera certainement de belles observations printanières. Sortie gratuite pour les membres, 3 $ pour les non-membres. Covoiturage 16 $. Information : 438 338-4138. (Source : COA)
Bouffe sur mon balcon.
Cette conférence démontrera qu’on n’est jamais trop jeune pour
s’initier au plaisir du jardinage et à la culture des fruits et des
légumes en bac. L’activité se tiendra à la bibliothèque de Cartierville.
Inscription : 514 872-6989. (Source : Arrondissement)
Le samedi 25
avril à 18 h
Brel, Brassens, Ferré par Pierrot Fournier. Au
Québec, l’excellence de son interprétation du répertoire brellien est depuis
longtemps reconnue. Il redonne vie aux tubes du grand Jacques à sa façon.
Et soudain, sans crier gare, vlan! Voir un ami pleurer! Une soirée touchante
et envoûtante. Souper-spectacle 44,95 $. (Source :
Le Rendez-vous du thé)
Ciel du mois de mai. Présentation de la Société d’astronomie de Montréal au chalet du parc-nature de l’Île-de-la-Visitation. Quelles constellations seront visibles dans le ciel au mois de mai? Où trouver la lune et les planètes? Cette soirée est gratuite et s’adresse à toute la famille. Après la conférence, des télescopes et des jumelles seront mis à votre disposition. Apprenez à reconnaître les constellations et venez observer la Lune, les planètes et les objets du ciel profond. Information : 514 280-6733.
Le dimanche
26 avril
Soirée humoristique par Dova Lewis, Claudia Turcotte, Émilie Bossé, Karine St-Onge,
Sarah-Laurence Dallaire, Isaac Bélanger-Leboeuf, Marie-Pier Simard, Alex Côté,
Sarah Boulais, Amélie Leclerc et Guillaume Jalbert. Le Rendez-vous du thé vous offre des
dimanches à faire rire! Une soirée où de jeunes artistes, dont beaucoup sortent
de l’école de l’humour, donnent un de leurs premiers spectacles.
Chaque dimanche offre différents artistes, chacun avec son style et sa touche
personnelle. Venez rencontrer ces artistes œuvrant dans l’humour, le théâtre et
la musique et qui se rencontrent pour une soirée. Entrée libre.
Lancement du livre À quand le vol Paris-Erevan? par Jeanine Saine et Vahé Kazandjian au Centre communautaire arménien, 3401, rue Olivar-Asselin. (Source : Jeanine Saine)
Projection du film Le semeur, réalisé par Julie Perron. Le film vous emmène dans l’univers de
Patrice Fortier, qui a pour passion la préservation des semences rares
ou oubliées pour en créer des variétés du futur. Au Café de Da. Activité
destinée aux adultes. Inscription : 514 872-5674.
Autres idées d’activités sans date précise
Numéros de téléphones utiles
Bibliothèque d’Ahuntsic : 514 872-0568
Bibliothèque de Cartierville : 514 872-6989
Bibliothèque de Salaberry : 514 872-1521
Café de Da : 514 872-5674
Le Rendez-vous du thé : 514 384-5695
Maison de la culture : 514 872-8749
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Collaborateurs à la rédaction et à la photographie : Élaine Bissonnette, Laetitia Cadusseau, Sandrine Dussart, Samuel Dupont-Foisy, Geneviève Poirier-Ghys, Julie Dupont, Patrick De Bortoli, Hélène Maillé, Nacer Mouterfi.
Photos : Philippe Rachiele.
Mise en page : Philippe Rachiele, Christiane Dupont et Nacer Mouterfi.
Illustrations originales : Claire Obscure.
Caricaturiste : Florence Tison.
Correction/révision, version Web : Christiane Dumont.
Correction/révision, version papier : Samuel Dupont-Foisy, Geneviève Chrétien.
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Impression, version papier : Hebdo Litho inc.
Distribution, version papier : journaldesvoisins.com.
Dépôt légal, version papier : BNQ – ISSN1929-606.
Dépôt légal, version Web : BNQ – ISSN1929-607X.
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