Les Actualités du 18 mars 2016
École Sophie-Barat
La Fondation Sophie-Barat reçoit un don exceptionnel de 1250 $
« C’est un don exceptionnel, motivant. La plupart du temps, les parents donnent 20 $, 40 $, des fois 100 $ », révèle Gabriel Meunier, un ancien de la promotion 2004 devenu président de la Fondation depuis février 2015. « Il aurait pu financer la rénovation de son chalet, mais il a fait le choix de donner à la communauté. »
Le donateur estime que le programme enrichi, appelé Défi, attire 30 % des 1500 élèves inscrits à cette école. « La Fondation, c’est des parents essentiellement du programme Défi qui sont là-dessus. Or, les fonds qui sont recueillis vont à toute l’école, aussi au régulier, c’est ça qui est particulier là-dedans. La Fondation travaille au profit d’une école publique. »
« C’est sûr que ce n’est pas une mixité sociale parfaite, dans la mesure où les classes ne sont mixtes (NDLR: secteur défi et secteur régulier) dans aucune discipline. Mais toutes les activités parascolaires, comme les groupes de plein air, le sont. Il y a un groupe de musique, qui pratique toute l’année, des jeunes de la 1re à la 5e secondaire. Ils font un spectacle, je vous le dis, c’est vraiment impressionnant. Les parents en sont estomaqués. Et cela permet à toute l’école de rayonner », conclut le journaliste.
Contributions de la Fondation
La Fondation contribue à l’achat d’équipement comme des rideaux de scène pour les activités culturelles, ou des vélos et des maillots pour les équipes sportives. « C’est une école dynamique. Il y a un prof de mathématiques, par exemple, qui monte des spectacles et qui fait des merveilles. La Fondation vient donner un petit coup de pouce à des gens qui organisent eux-mêmes du financement », expose la secrétaire de la Fondation, Caroline Sainz.
Une belle fin de secondaire
Le prochain projet, piloté par Elizabeth Noury, directrice adjointe à Sophie-Barat, c’est la collation des grades. « On remettra une rose à chaque jeune et on leur demande de la donner à la personne qui aura été la plus significative dans leur parcours à Sophie-Barat… Nous croyons que ce sera très touchant pour les étudiants, et aussi pour les parents, les professeurs, qui ont vu l’enfant grandir, s’épanouir, combattre l’adversité », expose M. Meunier.
Accueil des nouveaux
Autre projet, une rentrée solennelle pour les élèves de la 1ère secondaire, qui rappelle celles d’écoles privées. « On veut leur faire comprendre qu’ils appartiennent à une famille avec un sentiment d’excellence. On aura des témoignages d’anciens qui ont tous les outils pour réussir et qui sont très concurrentiels dans l’économie de demain », lance Gabriel Meunier.
Mais il se garde de toute attitude élitiste : « On veut transmettre les valeurs de l’école : la diversité et la solidarité, c’est important. Nous avons une tradition d’élèves engagés, comme bénévoles, et qui se sont intéressés aux conflits étudiants de 2005 et de 2012 et qui ont organisé des grèves en appui à leurs grands frères et à leurs grandes sœurs. Des élèves qui ont dépassé l’individualisme », conclut-il. (Par Christiane Dumont) (2016-03-18)
Prêts pour le compost?
Bacs bruns dès avril et début de collecte des résidus alimentaires en mai
Comme ailleurs à Montréal, la collecte des résidus alimentaires dans le but d’en faire du compost, commence dans l’arrondissement le mardi de la première semaine de mai. Tout d’abord, ce sera le district d’Ahuntsic qui sera le premier des quatre districts à suivre le mouvement. Les trois autres districts, soit Sault-au-Récollet, Saint-Sulpice et Bordeaux-Cartierville entreront dans le circuit de collecte à raison d’un district par année, jusqu’en 2019.
En avril, l’arrondissement procédera à la distribution des bacs bruns dans les 11 000 résidences du district d’Ahuntsic. Deux bacs seront remis aux résidants d’Ahuntsic habitant dans des résidences de huit logements et moins. Ce sont : un bac brun de 47 litres avec couvercle ainsi qu’un petit bac de cuisine de sept litres. Puis, la collecte commencera.
L’une remplace l’autre
La collecte des résidus alimentaires remplacera la collecte de déchets du mardi dans les édifices de huit logements et moins. Pour ces édifices, il y aura donc une seule collecte d’ordures ménagères, le vendredi.
Pour les édifices de neuf logements et plus, les commerces et les industries, ainsi que les autres districts, les collectes d’ordures ménagères demeurent inchangées pour le moment.
Trousse d’info
À l’occasion de la distribution des bacs bruns, une trousse d’informations sera également remise aux résidants. Finalement, une patrouille des résidus alimentaires sillonnera tout le district d’Ahuntsic pour informer les résidants de cette nouvelle façon de faire. (Par Christiane Dupont) (2016-03-18)
PPU Henri-Bourassa Ouest
Du logement social et abordable, et six étages au lieu de quatre
Des négociations auraient déjà été entamées avec un promoteur (NDLR : on suppute qu’il s’agit du promoteur Musto) pour ériger des bâtiments de six étages qui contiendraient des logements sociaux et des logements abordables, à hauteur de 15 % dans chacun des cas, et que ces derniers seraient situés entre le boulevard Henri-Bourassa et le nouveau parc prévu.
Une demi-douzaine de résidants étaient présents à la consultation dont l’avis public n’avait pas été envoyé à journaldesvoisins.com. Sur le site de l’arrondissement, l’annonce de la consultation était visible dans les « avis publics » de l’arrondissement, mais brillait par son absence sur la page « Consultations publiques et comités; consultations en cours et passées ».
Le citoyen Jean Lachapelle a réitéré sa déception concernant les édifices à six étages sur le boulevard Henri-Bourassa, car, a-t-il dit, cela ne respecte pas la perspective visuelle existante. Une citoyenne demeurant au sud du Loblaws s’inquiétait pour la perte d’ensoleillement sur son terrain, mais on lui a répondu qu’elle ne devrait pas être affectée. Une autre résidante, Monique Allaire, a demandé aux élus pour quelle raison les édifices seraient construits au niveau du sol plutôt que d’être construits comme les autres bâtiments du quartier avec des premiers étages plus élevés. On lui a répondu que les logements au niveau du sol sont plus faciles d’accès pour les personnes à mobilité réduite et que cela permettait de construire quatre étages à la même hauteur que les constructions à trois étages précédentes.
En fin de consultation, le maire Gagnier a mentionné à journaldesvoisins.com qu’il se réjouissait de savoir qu’il y aurait du logement social et abordable, mais que pour le permettre, il fallait rendre le projet rentable pour le promoteur et accepter de permettre la construction d’édifices de six étages afin d’amortir le coût des ascenseurs. (Par Philippe Rachiele) (2016-03-18)
Cols blancs de Montréal
Le conseiller Pierre Desrochers se réjouit de l’entente intervenue
Les 8000 membres Syndicat des fonctionnaires municipaux de Montréal (SCFP) ont voté en faveur de la recommandation proposée par la conciliatrice nommée par le ministère du Travail pour le renouvellement de leur contrat de travail alors que les négociations avaient commencé il y a quatre ans.
L’adoption de cette recommandation a eu lieu à la suite d’un vote secret organisé par le syndicat qui se déclare quand même « satisfait » de voir notamment préserver les emplois alors qu’il est question de sous-traitance et que l’on vit aussi en période d’austérité.
Les employés de bureau syndiqués ont appuyé à plus de 81 % les recommandations portant sur leurs nouvelles conditions de travail, avait indiqué le président du syndicat, Alain Fugère. Les employés avaient tenu des grèves rotatives à la ville-centre et dans les arrondissements en février.
Pour la ville, et les contribuables, il y aura enfin un meilleur partage des coûts du régime de retraite comme le prévoyait d’ailleurs la loi 15, favorisant la santé financière et la pérennité des régimes de retraite.
Notons que ce régime, à prestations déterminées, est devenu une rareté dans le secteur privé, ce qui constitue un avantage majeur pour les salariés du public. « J’estime que cette entente permettra à la Ville de continuer à offrir aux cols blancs des conditions de travail avantageuses, de respecter la capacité de payer des contribuables et de garantir aux Montréalais des services municipaux plus efficaces et livrés à meilleur coût » a estimé le maire Coderre. (Par Alain Martineau) (2016-03-18)
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Budget québécois 2016-2017
L’administration Coderre-Desrocher, satisfaite des annonces
En point de presse à l’hôtel de ville, le maire Coderre a dit trouver encourageantes les mesures à venir pour le transport collectif, dont le projet de prolongement de la ligne bleue dont on parle depuis des décennies. « La ligne bleue du métro comme le souhaite Montréal est une priorité. Ce prolongement tant attendu du métro est particulièrement important pour les gens de l’Est de la métropole », a indiqué le maire en faisant référence à ce qu’il a vu dans le budget.
M. Coderre se frotte aussi les mains après avoir constaté que le budget prévoit la construction de 1500 logements sociaux dans le cadre d’Accès-Logis. Dix pour cent de ces logements doivent aller à des personnes itinérantes ou des gens souffrant de problèmes de santé mentale.
Au sujet des problèmes de vétusté dans les écoles, il a déclaré qu’il était « nécessaire » de prévoir un fonds pour l’amélioration des infrastructures scolaires. (Par Alain Martineau) (2016-03-18)
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Déficit et gouvernance de Cité historia
Une résidante questionne les élus
Un comité-citoyen serait en voie d’être formé
Mme Reed a demandé aux élus si les contribuables allaient savoir ce qui avait causé ce déficit, et comment de telles situations pourraient être évitées à l’avenir.
La conseillère du district du Sault-au-Récollet, Lorraine Pagé, a rassuré Mme Reed sur le fait que l’arrondissement n’avait pas perdu d’argent sonnant dans l’aventure, mais qu’il allait évidemment tirer des leçons de toute cette histoire. Mme Pagé a également soutenu que, comme la ville ou l’arrondissement n’était pas l’un des créanciers, on ne pouvait demander au syndic d’enquêter plus à fond, ce qui, de toutes manières, occasionnerait d’autres coûts. Elle a plutôt suggéré qu’il faille tourner la page et songer à l’avenir.
Relevés 24
En outre, à une autre question de la résidante sur les relevés 24 pour les déclarations de revenus des parents dont les enfants avaient fréquenté le camp de jour l’été dernier, Mme Pagé a mentionné qu’elle ferait la recherche. Réponse à venir, donc.
Comité et pétition?
Par ailleurs, journaldesvoisins.com a appris que quelques résidants étaient à discuter la possibilité de mettre sur pied un comité-citoyen concernant la faillite de Cité historia. Nous avons également appris qu’une pétition sur les suites de Cité historia et de la gouvernance des OBNL subventionnés par l’arrondissement, notamment, circulerait sans doute sous peu sur le territoire. Nous vous tiendrons informés. (C.D.) (2016-03-18)
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Mesure du bruit des avions
ADM veut installer une station temporaire de mesure du bruit dans A-C
Telle serait en substance la demande qu’Aéroports de Montréal (ADM) a transmise récemment à l’arrondissement. C’est le maire Pierre Gagnier qui a fait l’annonce de cette demande, transmise par ADM, lors du dernier conseil d’arrondissement. Le maire était visiblement content d’annoncer que l’arrondissement avait acquiescé rapidement à la demande d’ADM. (C.D.) (2016-03-18)
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Avions et nuisances
La ministre Joly saute dans la mêlée
La nouvelle élue a fait parvenir une lettre à son collègue de la circonscription de Westmount–Ville-Marie, le ministre des Transports, Marc Garneau, dans laquelle elle désire lui faire part d’enjeux importants, dit-elle, pour les citoyens de sa circonscription.
« En effet, écrit-elle, comme vous le savez sans doute, l’aéroport de Montréal-Trudeau est source de mécontentement pour les citoyens de ma circonscription et ceux des circonscriptions avoisinantes. »
Mme Joly signale que, depuis la modification du processus de décollage et d’atterrissage de NAV Canada en 2012, le nombre de plaintes concernant le bruit des avions a augmenté, et l’administration d’ADM refuse, poursuit-elle, de répondre aux inquiétudes des citoyens.
« Je vous demande donc, par la présente, de me faire parvenir les documents relatifs aux politiques de l’ADM concernant le couvre-feu de nuit de l’aéroport, les couloirs empruntés par les avions pour les atterrissages et les montées suivant les décollages, et les données du niveau de bruit de toutes vos stations de bruit afin que nous puissions les analyser et trouver conjointement des solutions pour les citoyens de mes circonscriptions et des circonscriptions voisines. » (C.D.) (2016-03-18)
Place à Iona-Monahan, la bien-nommée
Hommage à une journaliste de la mode
L’arrondissement sait honorer les femmes
C’est ce qu’a annoncé le conseiller du district Saint-Sulpice et vice-président du comité exécutif de Montréal, Pierre Desrochers, lors de la réunion du conseil d’arrondissement. M. Desrochers a mentionné que cette dame était une grande journaliste du domaine de la mode.
Mme Monahan, décédée en 2006, a été journaliste au défunt Montreal Star, puis à The Gazette, pendant de nombreuses années. En outre, Fashion Canada l’a désignée « Femme de l’année » vers la fin des années 1970. En 1978, elle a été nommée Grande Montréalaise et a fait l’objet d’un hommage, dans la catégorie « Culture ». Sa carrière fut soulignée et récompensée par l’Ordre du Canada, en 1985.
Femmes et mode, à l’avant-plan
Notons deux liens intéressants à faire avec cette annonce : cette place publique est installée dans le quartier Chabanel, connu comme le quartier de la mode montréalaise, d’une part. En outre, d’autre part, tout récemment, dans la foulée de l’affaire Jutras et des funérailles du regretté René Angélil, d’aucuns ont fait valoir que peu de noms de femmes avaient été donnés à des rues ou à des édifices publics et que peu (ou pas) de funérailles nationales avaient été organisées pour des personnages féminins célèbres décédés.
On peut dire sans se tromper que l’arrondissement fait figure de pionnier en ce domaine avec cette nouvelle désignation et celle qui avait été faite en 2014 du parc Simone-Bourdon, angle Christophe-Colomb et Gouin, du nom de la fondatrice d’Entraide Ahuntsic-Nord en 1981. (C.D.) (2016-03-18)
Lieu de culte au 406 Legendre
Un référendum ou pas?
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La mosquée du boulevard St-Laurent a officiellement maintenant droit de cité
Territoire d’Ahuntsic Ouest
Nombreuses tentatives de vols et vols avec effraction au cours des derniers jours
Un suspect serait recherché par la police. Selon les informations obtenues par un témoin, il s’agit d’un homme de taille moyenne, vêtu d’un manteau orange et d’un chandail kangourou noir à capuchon, portant un sac à dos noir.
Le modus operandi est le suivant : l’individu se promène avec un pied-de-biche (« crowbar ») et fracasse une vitre du sous-sol de l’immeuble du logement dont il convoite la marchandise. Il aurait même agi ainsi, mais toujours en soirée, alors que des occupants se trouvaient dans leur logis, mais aurait détalé alors que la résidante entendant le bruit à l’étage aurait appelé immédiatement le 9-1-1.
Interrogé sur la question, pour l’instant le PDQ 27 n’a pas voulu faire de commentaire à journaldesvoisins.com, tandis que le service des relations médias allait aux renseignements, mais n’avait pu nous transmettre d’autres informations au moment où nous mettions sous presse. (Par Christiane Dupont) (2016-03-18)
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Dans un logement de Lajeunesse/Sauriol
Intervention policière pour faire sortir deux hommes barricadés
Les deux hommes dans la trentaine, qui ne voulaient surtout pas répondre aux policiers venus les interroger, s’étaient barricadés dans leur logis. La victime ayant porté plainte au poste de quartier dans Ahuntsic a fait allusion à une séquestration et au fait qu’il avait été battu par deux hommes pour une raison inconnue. Une femme aussi dans la trentaine, se serait trouvée dans le logement.
Quand des policiers se sont rendus au logement où se serait produite la rixe, une femme s’y trouvant a exigé d’eux un mandat en bonne et due forme. Cependant, elle a changé d’idée en milieu d’après-midi et elle s’est pointée au poste de police, mais pas ses deux collègues qui ne voulaient rien savoir.
Sentant la soupe chaude, le duo a bloqué l’entrée du logement avec des meubles. Le groupe tactique d’intervention du SPVM a alors été déployé et, ne courant aucun risque, a évacué des résidants. La police ignorait si des armes se trouvaient dans l’appartement.
L’opération policière, qui s’est terminée en fin d’après-midi, aura duré environ deux heures.
Les deux hommes ont été arrêtés et interrogés, mais comme dans un autre cas survenu pas plus tard que dimanche dernier dans Saint-Michel, à l’est de notre quartier, on s’est montré peu enclin à vouloir collaborer avec les autorités policières. (Par Alain Martineau) (2016-03-18)
Travailleuses de la santé et CSSS Ahuntsic-Montréal-Nord
Litige tranché par un arbitre
Ce dernier avait imposé sur le territoire (maintenant agrandi) des projets visant à accroître la productivité sur la route alors que le gouvernement Couillard cherchait à réduire de dix pour cent ses listes d’attente dans le créneau des soins à la maison.
Conséquence de la mesure; un travail plus ardu qui a provoqué des séquelles psychologiques, voire physiques pour bon nombre d’employés sur le terrain, certains ayant dû même déclarer forfait.
Dans une décision qui vient d’être dévoilée, l’arbitre en relations de travail Carol Jobin a condamné le CSSS à verser 500 $ en dommages moraux à près de 60 salariés du nord-est de Montréal, œuvrant surtout aux deux CLSC du territoire, Ahuntsic et Montréal-Nord.
Syndicat versus PSP
Dans une entrevue au journaldesvoisins.com, la présidente de l’exécutif du syndicat APTS dans le nord de Montréal, Marjolaine Goudreau, a indiqué que l’Alliance avait d’emblée déposé des griefs pour dénoncer une décision patronale qui, selon elle, minait l’autonomie professionnelle des employées, dont des travailleuses sociales, des physiothérapeutes et des ergothérapeutes.
L’APTS dénonçait spécifiquement le PSP, l’outil de mesure imposé par des directions d’établissement, importé de la firme Proaction à la suite d’un contrat de 500 000 $ (par CSSS, dit le syndicat).
Le groupe syndical martelait que la méthode Proaction consiste à imposer un temps limité pour chaque service à la population, la tenue de rencontres hebdomadaires avec les intervenants afin de justifier tout écart à la norme fixée, sans compter la paperasse à remplir. « Le PSP, a signalé Mme Goudreau, force les professionnelles à choisir entre se plier aux directives de productivité de l’employeur et leurs obligations visant à offrir ce qu’il y a de mieux comme service au patient ».
L’utilisation des méthodes d’optimisation par l’employeur a visiblement déplu aux syndiquées. « Cette méthode de calcul temps/mouvement n’a pas de sens. Il faut parfois être plus d’une heure avec un patient à la maison. Mais moins parfois. Des membres sont venues au bureau syndical (se trouvant à l’hôpital Fleury) en pleurant, ne pouvant plus faire un travail professionnel de qualité à cause du PSP. La détresse s’était installée, la fatigue, le découragement. Certaines ont quitté leur profession, d’autres ont pris des congés sans solde », a-t-elle confié.
Long combat
Le combat anti-PSP date de 2012. La leader syndicale a relaté que plusieurs de ses membres ont travaillé fort à l’extérieur de leur quart de travail pour se mobiliser. « Des pressions avaient été exercées au sein du conseil d’administration du CSSS. On est aussi intervenues, on a posé des questions. Il y a eu des distributions de tracts. Des auditions ont été tenues avec l’employeur », a précisé Mme Goudreau.
Mais le combat n’est pas terminé même si la décision de l’arbitre du travail doit être respectée à moins que les établissements de santé interjettent appel. C’est que le système de performance PSP est encore utilisé en certains endroits. La firme a entre autres été embauchée dans des établissements des secteurs de Bordeaux-Cartierville et même Saint-Laurent.
Du côté patronal, on est présentement en mode attente. La réaction viendra plus tard. « Nous venons d’apprendre la décision de l’arbitre et nous allons analyser le rapport de 92 pages avant de faire une déclaration », a indiqué Louise Mercier, adjointe au président-directeur général par intérim du Centre intégré universitaire de santé et de services sociaux (CIUSSS) du Nord-de-L’Île, qui englobe maintenant les CSSS du nord de Montréal, en entrevue au journaldesvoisins.com. (Par Alain Martineau) (2016-03-18)
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FestiBlues international de Montréal
Les organisateurs veulent une meilleure reconnaissance, financière et autre
Maigre subvention de 5000 $ de la Ville-centre
Il semble, en décodant ses propos, que l’événement mérite mieux, en appui financier notamment, étant donné que ses objectifs sont pleinement atteints, sans oublier que l’an prochain, le festival soufflera sur 20 bougies.
Les citoyens de l’arrondissement, et du nord de Montréal, connaissent bien ce festival qui accueille des artistes bien établis, des jeunes de la relève et des vedettes de l’étranger. Sur le plan social, 200 bénévoles s’activent pendant le festival qui se décline aussi dans des bars et pubs d’Ahuntsic. Et presque autant de jeunes ont la chance d’avoir une première expérience d’emploi. Mais on pourrait aller plus loin en termes de développement.
Métropolitaine, un obstacle?
On dirait que la métropolitaine, signale encore M. Laviolette, fait obstacle à son développement. Pourtant, le secteur est collé sur Villeray ou Rosemont et entre le parc Ahuntsic et le centre-ville, il ne faut que 15 minutes en métro. De plus, Laval est tout près. « Nous travaillons toujours à faire en sorte que le FestiBlues soit davantage reconnu, par les institutions, certains ministères, la ville-centre et d’autres, comme un événement majeur, d’envergure, dépassant les limites du nord de la ville » a plaidé M. Laviolette. « Il faut reconnaître la signature unique de notre festival, qui pourrait se situer juste sous la barre d’un événement comme le Festival de jazz ou Juste pour rire, mais au-dessus de la cote qu’on nous accorde dans le milieu ».
Bref, si le FestiBlues avait une coche plus haute dans la panoplie de festivals, son financement en serait facilité et il pourrait prendre de l’expansion. « Si on était à 70 km de Montréal, on aurait un budget trois fois plus important et une subvention de la ville de 150 000 $. Si on veut démocratiser la culture à l’extérieur du centre-ville, il faut aller plus loin, mais il n’est pas question ici de dénigrer notre Place des festivals, loin de là » a déclaré Martin Laviolette.
Maigre 5000 $ de Montréal
Pour l’édition de cette année, l’organisme sans but lucratif obtient 50 000 $ de l’arrondissement d’Ahuntsic-Cartierville, un montant plus important que celui de l’an dernier (autour de 35 000 $). De la ville-centre, on doit se contenter de dix fois moins, soit seulement 5000 $, ce que journaldesvoisins.com en consultant des documents du conseil municipal.
À ce chapitre, l’administration doit prendre en compte l’ensemble des événements culturels sur le territoire. « L’analyse des demandes de financement des festivals, nous a dit Valérie De Gagné, porte-parole de la ville-centre en ce domaine, se fait en regard de critères énoncés dans le Programme de soutien aux festivals et aux événements culturels. FestiBlues a ainsi reçu un financement de 5000 $ pour l’édition 2016. Il s’agit du même financement que l’an dernier », a ajouté la relationniste aux affaires publiques.
Subventions, ailleurs
À Québec, le jazz en a « arraché », ces dernières années, les éditions prévues à cet effet ayant été annulées. « La subvention de la Ville de Québec pour l’événement “Beauport en blues”, en 2013, soit la dernière année de l’événement, était de 14 000 $, a mentionné Rose-Marie Ayotte, conseillère en communication pour la municipalité. Pour le Festival de jazz de Québec, la subvention de la Ville était de 30 000 $ en 2014. Je vous rappelle qu’il n’y a pas eu d’événement en 2015 », a-t-elle ajouté. (Par Alain Martineau) (2016-03-18)
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Bâtiment dans le quartier Chabanel
Trois conditions du CCU pour démolir l’ancienne usine de munitions
Les membres du CCU, des membres de la Société d’histoire d’Ahuntsic-Cartierville (SHAC), ainsi qu’un représentant de la Direction des stratégies immobilières de la Ville de Montréal (DSI) étaient présents.
L’arrondissement explique qu’elle autorise la démolition du bâtiment puisque celui-ci ne bénéficie d’aucun statut patrimonial municipal, provincial, ni fédéral.
Épreuve du temps
De plus, le bâtiment avait été construit de façon dérogatoire et temporaire et devait être, en fait, démoli à la fin de la Seconde Guerre mondiale. Puisque le bâtiment devait être utilisé de façon temporaire, les matériaux utilisés n’ont pas survécu à l’usure. Selon l’arrondissement, il serait donc presque impossible de restaurer le bâtiment sans le dénaturer.
Rappelons aussi que le bâtiment a été lourdement endommagé par un incendie en novembre 2015.
Trois conditions
Si le bâtiment est voué à disparaître bientôt, l’arrondissement exige que le projet de remplacement intègre un espace de commémoration à la mémoire des ouvrières qui ont participé à l’effort de guerre de 1943 à 1945; intègre des éléments architecturaux du complexe industriel d’origine; et prévoit l’intégration d’une œuvre d’art public élaborée à partir d’éléments récupérés du bâtiment d’origine.
Depuis l’automne, la SHAC s’oppose à cette démolition, et avait déposé un mémoire à l’arrondissement. La SHAC demandait une étude pour déterminer la gravité de la dégradation du bâtiment. Une étude récemment produite par Brodeur consultants a convaincu l’arrondissement que la démolition était nécessaire.
Nouvelle SHAC injoignable
Il n’a pas été possible de joindre la SHAC pour commenter le dossier, mais l’organisme a écrit sur sa page Facebook mercredi soir : « Malheureusement, la SHAC n’a toujours pas eu accès à ces documents et ne peut donc commenter ni leur contenu ni la décision du comité de démolition de façon éclairée ». (Par Mélanie Meloche-Holubowski) (2016-03-18)
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Résidants du district Saint-Sulpice
Un café-rencontre entre citoyens pour améliorer le vivre ensemble, ce samedi
L’événement est organisé par le Comité des citoyens de Saint-Simon. Le Comité a vu le jour en réponse aux tensions interculturelles dans le secteur Saint-Simon.
Avec le soutien du centre communautaire la Maison du monde et d’autres partenaires communautaires et institutionnels, cet événement vise à créer un moment positif entre voisins, afin de contribuer au vivre ensemble du quartier. Au menu : jasette, dégustation de cafés, animation pour enfants et adultes, et des surprises! (C.D.) (2016-03-18)
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Aménagement de la rue Papineau
Soirée d’information, le 24 mars
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Finaliste au Cabaret festif de la relève
Le Winston Band au Flo Fest
« On a commencé le groupe quand on était encore au cégep de Saint-Laurent, il y a trois ans », a affirmé Antoine Fallu, bassiste du groupe, en entrevue au journaldesvoisins.com.Depuis, le groupe ahuntsicois compte une tournée du Québec à son actif et a multiplié les prestations sporadiques aux quatre coins de la province. Rembobine est le nom de leur premier album, sorti en juin 2015.
Leur style musical folk rock a évolué et s’est peaufiné avec le temps pour devenir ce qu’il en est aujourd’hui. Leur démarche artistique aurait été fortement influencée par le voyage d’un des membres du groupe en Louisiane, en 2012, selon M. fallu.
La musique du Winston Band se range difficilement dans une catégorie. On sent que c’est un peu l’objectif du groupe, qui préfère visiblement l’innovation et l’évolution, plutôt que l’étiquetage musical. « Nos influences varient extrêmement. Ces temps-ci, on écoute beaucoup de la musique des Caraïbes, des rythmes traditionnels », explique Antoine fallu.
Un album à venir
Le groupe prévoit sortir un prochain album sous peu. Pour le bassiste du groupe, il est certain qu’il serait intéressant « d’avoir un succès commercial, mais on le fait d’abord et avant tout pour le “fun”. Pour créer un tout nouveau son », a-t-il tenu à préciser. II ne fait pas de doute que le groupe semble effectivement jouer, d’abord et avant tout, pour l’amour de la musique.
Les membres du groupe sont : Antoine Larocque, à l’accordéon, au piano, à la guitare et aux voix; Vincent Fillion, à la guitare, aux percussions et aux voix; Antoine Fallu, à la basse et aux voix; Andrew Duquette-Boyte, au frottoir zydeco, aux percussions et aux voix); et Gregory Fitzgerald, à la batterie, aux percussions et aux voix).
Pour en savoir plus sur le concours du Cabaret festif de la relève, cliquez ici.
Pour en savoir plus sur le Winston Band, cliquez ici.
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Cinq-à-sept original du CFSE
Des élues et des artistes pour faire valoir le rôle des femmes
Les artistes-peintres France Bélanger et Marie Frenette ont présenté quelques œuvres, tandis que la céramiste, Christiane Dion, et la designer d’intérieur et d’objets design, Vivan Dubreuil, en ont également fait voir de toutes les couleurs. Les cinéastes Paule Beaudoin et Charlotte Beaudoin-Poisson, ont quant à elles présenté leur court métrage de 14 minutes « Rencontre-moi au parc » qui a été tourné au somment du parc des Hirondelles en un seul plan-séquence, ce qui donne un effet très original. Le groupe Odaya, formé de trois jeunes femmes autochtones, ont chanté « le chant de la femme forte » accompagnées de leurs tambours. La chanson honorait la force et la féminité des femmes tout à la fois.
Les élues, Mélanie Joly, Émilie Thuillier, Lorraine Pagé et Marie Montpetit (en vidéo) ont fait une courte allocution. La ministre Joly a mentionné que son gouvernement était conscient de l’importance de calculer les conséquences des politiques sur les femmes. La conseillère Pagé a parlé de l’état actuel du féminisme, insistant d’une part sur le fait que maintenant, il s’agit plus d’un féminisme de proximité si on le compare aux grandes réalisations du passé, mais que, d’autre part, il reste encore beaucoup à faire. La conseillère Thuillier a, quant a elle, parlé de la surprise qui fut la sienne à son arrivée sur le marché du travail qui n’était pas aussi égalitaire que le monde universitaire. Elle a rappelé son parcours pour convaincre ses pairs au conseil de ville d’obtenir pour elle et les futures mères, un droit de s’absenter 18 semaines pour une naissance. (Texte et photos : Philippe Rachiele) (2016-03-11)
Pour plus de photos de la soirée, cliquez ici
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Les médias locaux indépendants, des alternatives aux hebdos qui déclinent
« Dans les régions, nos hebdos sont en très bonne forme », a expliqué le président et chef de la direction de Transcontinental, François Olivier. « Dans les grands centres comme Montréal, où l’on a plusieurs publications, c’est plus difficile. Il faudra réévaluer si chaque quartier peut avoir son hebdo. »
Or, nous sommes cinq médias principalement Web, (également papier dans le cas de journaldesvoisins.com), à Montréal, à croire qu’au contraire, chaque quartier doit avoir son journal. Nous sommes ce que les observateurs des médias appellent des « hyperlocaux » : des médias centrés sur un quartier, offrant une information de qualité, réalisée, notamment, par des journalistes professionnels, et par des résidants, et sans cette publicité omniprésente, entre 75 à 80% du contenu, qui est devenue la norme chez les hebdos Transcontinental.
Nous ne sommes pas contre la publicité, au contraire. Mais nous croyons qu’un journal ne devrait pas avoir pour premier souci la quête de profits. Une information de quartier de qualité, c’est à nos yeux, d’abord et avant tout, un service public.
Certes, les journaux hyperlocaux, indépendants (collaboratif dans le cas de QuartierHochelaga.com, et communautaire dans le cas de journaldesvoisins.com) ont du mal à garder la tête hors de l’eau. Pour prendre la place qui leur revient, ils ont besoin du soutien de leurs lecteurs, des organismes communautaires, des associations de commerçants et des autorités de leurs quartiers, ce qui nous manque souvent à l’heure actuelle.
Au fil des années, nous avons fait la preuve de notre pertinence, mais il est assez paradoxal que nous ayons encore du mal à aller chercher des revenus, lorsqu’on décode les intentions de Transcontinental : en dépit du fait que leurs hebdos à eux offrent —comparativement à nous— peu d’informations locales, et en dépit du fait qu’ils s’apprêtent manifestement à en offrir encore moins si la direction décide de mettre fin à certains de ses hebdos, ils continuent de ramasser le gros des recettes publicitaires allouées aux journaux locaux.
Il est temps de lancer un appel à l’action dans nos communautés respectives sur le type d’informations que veulent les citoyens pour leur quartier. Le modèle du Publi-sac, ou celui des hyperlocaux?
Journaldesvoisins.com
Pamplemousse.ca-Mercier
Pamplemousse.ca-Plateau
QuartierHochelaga.com
RueMasson.com
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Le coin des commerçants
Il y aura une chasse aux œufs avec de nombreux prix et un tirage pour les tout-petits sur La Promenade comme par les années passées, lors du week-end pascal, le samedi 26 mars, de 10 h à 14 h. Le point de rencontre des parents et des enfants (et peut-être aussi des grands-parents!) sera la Caisse Desjardins d’Ahuntsic, au 1050, rue Fleury Est. Il y aura des départs groupés toutes les 15 minutes. L’activité est gratuite pour toute la famille. Il y aura des énigmes adaptées pour les enfants, et la direction nous informe que le parcours est sécuritaire.
La boutique Sweet Isabelle déménagera ses pénates dans l’ancien local d’Anacleti, à côté de Coco Canelle d’ici quelque temps. Le local sera plus grand et sans doute plus propice à la création de toutes ses sucreries, biscuits et autres douceurs.
Un nouveau restaurant pâtes-pizza, Le Walter, est en gestation! Il s’installera sous les bureaux de la clinique vétérinaire de La Promenade. D’autres infos à suivre.
Un nouveau bureau de professionnelles, répondant au nom de Littera, offrira, notamment des services d’orthophoniste, à côté du local les tricoteuses du quartier.
L’assemblée générale annuelle des membres, commerçants et gens d’affaires, de La Promenade Fleury aura lieu au cours des prochains jours. Sujets de discussion, notamment : Le concours de design à venir.
La direction de La Promenade procédera au lancement du concours de design pour l’aménagement urbain de La Promenade, d’ici la fin du mois d’avril. Un cahier de charges et un appel à projets seront portés à la connaissance des futurs candidats tandis que le jury est en train d’être constitué. Une firme de consultants travaille au dossier de concert avec la direction. À la suite d’un sondage mené par la firme, l’aménagement retenu parmi les propositions s’appliquera à être réparti sur le territoire entier de La Promenade afin que tous puissent bénéficier de coup de jeunesse.
Fleury Ouest
La Flo Fest est de retour sur Fleury Ouest! Jusqu’au samedi 19 mars, venez fêter la fin de l’hiver… Voyez toute la programmation de la semaine en cliquant ici : http://www.fleuryouest.com/#!le-flo-fest-2016/u70k9 Au cours de la semaine : spectacles d’humour, de chants… Clôture par une grande fête au parc Tolhurst, samedi 19 mars : le Winston Band, le conteur François Lavallée, bouffe, courses de trottinettes des neiges, marche dynamique à trois reprises dans la journée, courses de tube sur neige, soccer-bulle sur neige, et le reste. Au parc, le samedi, la majorité des activités sont gratuites, mais pas la nourriture, bien sûr!
Au cours des prochains jours, la boutique-resto La Bête à pain ouvrira une « succursale » dans Griffintown.
Il y a toujours un local à louer tout à côté du Frite Alors, là où il y avait un fleuriste. Une affiche indique « Garderies, s’abstenir ».
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Le printemps s’en vient…
Mais le mag papier d’avril, lui, est arrivé!
Le mag d’avril est donc déjà disponible et en distribution jusqu’au 21 mars prochain. Si vous ne le trouvez pas à votre porte, vous pourrez vous en procurer un exemplaire dans nos différents points de chute, la preuve que nous ne mettons pas tous nos oeufs dans le même panier… (bibliothèques, YMCA de Cartierville, résidences Les Deux Aires et Jardins Millen, Entraide Ahuntsic-Nord, Centre communautaire de Bordeaux-Cartierville, Centre communautaire Ahuntsic, etc.). Bonne lecture ! (C.D.)
LETTRES OUVERTES
Cohabitation cyclistes, piétons et automobilistes
Par Alain Bougie
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BRÈVES…BRÈVES…BRÈVES…BRÈVES…BRÈVES…BRÈV
Tous les Québécois peuvent se rattacher facilement à un des dossiers majeurs réussi par feu Jean-Guy Deaudelin. Il s’agit de la bataille qu’il a mené pendant 10 ans, pour convaincre le gouvernement du Québec, d’autoriser la vente de vin dans les dépanneurs et les épiceries. C’est le ministre Rodrigue Tremblay et le gouvernement du Parti Québécois, qui ont donné raison à M Jean-Guy Deaudelin et amendé les lois en ce sens. (Source: Rédaction, jdv) (2016-03-15)
En outre, si vous désirez regarder la séance du conseil en Webdiffusion, c’est sur le site de l’arrondissement, sous la rubrique « Mairie d’arrondissement », puis « Conseil en direct », par ici.
LE COIN COMMUNAUTAIRE
Le Centre d’action bénévole Bordeaux-Cartierville offre un service d’aide aux résidents de Bordeaux-Cartierville à faible revenu, qui ont besoin d’assistance pour compléter leurs déclarations d’impôt.
Prenez note des critères d’admissibilité. Il faut habiter le quartier, ne pas avoir travaillé comme travailleur autonome et correspondre aux revenus maximaux suivants ( personne seule : 25 000$; couple : 30 000$ et chaque personne à charge supplémentaire 2 000$; un adulte et un enfant : 30 000$ et chaque personne à charge supplémentaire 2 000$). Endroit : Centre communautaire Bordeaux-Cartierville, 1405 boul. Henri-Bourassa Ouest, bureau 200. Tél. : 514-856-3353 (2016-03-11)
Rejoignez l’équipe d’Entraide Ahuntsic-Nord! Vous avez un peu de temps libre à offrir aux aînés du quartier ? Nous recherchons des chauffeurs et des accompagnateurs bénévoles pour nous aider à assurer le transport et l’accompagnement des aînés lors de rendez-vous médicaux, pour la popote roulante et pour des activités de magasinage, des sorties au resto et des rencontres de socialisation.
Informations ( 514) 382-9171, poste 25 (2016-03-11) www.entraideahuntsicnord.org
Vendredi 18 mars, de 18 h 30 à 21 h. Café de Da. Le comité interculturel d’Ahuntsic a le plaisir de vous convier à une soirée interculturelle sur le parcours migratoire vendredi 18 mars au café de Da. Sans vouloir « tuer le suspense », la soirée se veut interactive et immersive ! Avec les animateurs chevronnés du SEIIM (Service d’éducation et d’intégration interculturelle de Montréal), venez apprendre tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur…..l’immigration sans jamais oser le demander ! Parcours, gouter, surprises et halte-garderie sur place. Au plaisir de vous voir le 18 mars prochain. Information et inscriptions: 514-596-7629 (2016-03-11)
(2016-03-11)
6 avril: S’approprier son ordinateur, sa tablette;
13 avril: Windows 10; 20 avril: Créer son courriel;
27 avril: Questions et réponses sur l’informatique.
De plus, la salle d’accès public sera ouverte les lundis et les mardis de 12h à 15h. Bienvenue à toutes et tous. Endroit: CRÉCA, 10 770, rue Chambord. (Source: CRÉCA) (2016-03-15)
QUOI FAIRE… QUOI FAIRE… QUOI FAIRE… QUOI FAI
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Visite du boisé Marcel-Laurin avec le club d’ornithologie d’Ahuntsic. Venez observer avec notre guide d’expérience de ce boisé. Une sortie jumelée avec l’Eco-Quartier. Plus de cinquante espèces d’oiseaux différents fréquentent cet îlot de nature en pleine ville. Une occasion pour les membres d’amener vos amis et votre famille pour leur faire connaître et partager votre passion. Activité gratuite ouverte au grand public et les débutants sont les bienvenus. Rendez-vous au stationnement de la bibliothèque, 2727 boul. Thimens ou possibilité de covoiturage à partir de la Visitation à 8 h 30, toutefois. Covoiturage : 5$. Information : info@coamontreal.org ou 438-338-4138 (Source : COA)
Florent Vollant. Puamuna. Chants Innu. Jeudi 7 avril, 20h. Le printemps 2015 a été souligné par le retour de l’icône Innu Florent Vollant. L’artiste présente le projet dont il a rêvé depuis toujours, un album entièrement conçu, créé, réalisé chez-lui à Maliotenam au Studio Makusham. PUAMUNA signifie « rêve » (…). Laissez-passer disponibles dès le mardi 22 mars, 18 h à la Maison de la culture Ahuntsic. (Source : Arr. Ahuntsic-Cartierville) (2016-03-15)
Autres idées d’activités sans date précise
C’est gratuit! Viens bouger! Tous les lundi à 9 h et les mercredi à 19 h Départs au Parc des Hirondelles (coin Larose / Fleury)
Responsable : Alain Lavigne (514) 419-2786 (Source : Marcheurs Philanthropes)
Numéros de téléphone utiles
Bibliothèque d’Ahuntsic : 514 872-0568
Bibliothèque de Cartierville : 514 872-6989
Bibliothèque de Salaberry : 514 872-1521
Café de Da : 514 872-5674
Le Rendez-vous du thé : 514 384-5695
Maison de la culture : 514 872-8749
* Les renseignements de la section Quoi faire sont publiés à titre indicatif. C’est avec plaisir que journaldesvoisins.com corrige les coquilles, mais il ne peut être tenu responsable d’erreurs ou d’omissions.
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Jusqu’au 16 avril…
C’est votre dernière chance de devenir membre de la Société des amis du journaldesvoisins.com…
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