Les Actualités du 19 aout 2016
Projet de la Caisse de dépôt
A-C profitera-t-il du REM?
Dès le départ, le président de la Société de développement commercial (SDC) District central, Charles Benchimol, a fait une croix sur une desserte du REM dans le quartier.
« Dans un premier temps, quand on a annoncé le REM, on a voulu savoir s’il y aurait des arrêts dans le quartier. Malheureusement, ce n’est pas le cas. La Caisse de dépôt nous a fait savoir que non, cela ne faisait pas partie de leurs plans. Il y a déjà un train en provenance de Mascouche avec deux gares dans Ahuntsic. »
Mais le nouveau président de la SDC ne veut pas baisser les bras: « Nous, on veut rencontrer la Caisse de dépôt en prévision du futur. Parce qu’une fois que le REM va fonctionner, possiblement dans les années X, Y futures, il y aura peut-être des rajouts qui se feront. On aimerait être là pour qu’ils puissent analyser notre demande et voir la faisabilité », expose-t-il.
Rappelons que le projet de métro léger entièrement automatisé piloté par la Caisse de dépôt et placement compterait 24 stations, 13 stationnements incitatifs et neuf terminus d’autobus. Il relierait la rive sud, la rive nord, Laval et l’ouest de l’île de Montréal à la Gare Centrale de Montréal tous les jours, 20 heures par jour, à compter de la fin de l’année 2020. Son coût est estimé à 5,5 milliards de dollars.
« L’arrêt le plus proche du REM, je crois que ce sera la correspondance A40 ou Montpellier. Les gens qui vont s’arrêter là et qui vont vouloir venir chez nous, qu’est-ce qu’on va faire pour eux, pour améliorer leur venue dans le district? Est-ce qu’ils vont prendre un autre type de transport? C’est ça, au fond, qui nous intéresse et qu’on veut voir avec le REM.»
Ces préoccupations trouvent écho chez le président bénévole du Comité de circulation de Cartierville, Philippe Vallée. Il estime lui aussi qu’en ce moment, l’intégration entre les modes de transport est défaillante et aimerait qu’on l’améliore.
« Il faut que ce soit fonctionnel et bien faire le relais avec les autobus. Actuellement, l’autobus qui passe sur Henri-Bourassa, la 171, dessert bien la gare du Ruisseau, mais ne se rend pas tout à fait à la station Bois-Franc; c’est ordinaire! », dénonce-t-il.
Le tarif
« Ce qu’il faudra surveiller aussi, c’est le tarif, car le train de banlieue est déjà beaucoup plus cher que le billet d’autobus et la passe mensuelle », ajoute-t-il. De plus, M. Vallée est d’avis que ce nouveau mode de transport ajoute à la complexité de la grille de tarification, déjà brouillonne : « C’est un problème connu, va-t-on en rajouter une autre couche ou en profiter pour améliorer les choses? », s’interroge-t-il.
Les stationnements incitatifs ne soulèvent pas son enthousiasme non plus. « Je crois que cela peut aggraver l’étalement urbain. Entre autres, à la gare Bois-Franc, ces stationnements génèrent une circulation de transit de gens de banlieue qui vont déposer leurs enfants dans une école privée (à proximité) avant de laisser l’auto à la gare et de se rendre au centre-ville. Donc, on voudrait que le réseau électrique desserve bien les résidants. »
On le voit, les attentes sont élevées et il n’est pas certain que l’arrivée du REM y réponde. Il n’empêche que nos deux interlocuteurs gardent confiance.
« Si le tarif et la fréquence sont améliorés, ça va être assez extraordinaire, mais c’est à voir », parie M. Vallée. « Le REM, c’est sûr que ça va certainement apporter un plus », conclut M. Benchimol.
Audiences
La Commission siégera au salon Westmount de l’Hôtel Bonaventure à Montréal. Le promoteur et des personnes-ressources répondront aux questions des participants. Les citoyens désireux d’y participer peuvent se présenter aux trois salles de visioconférence à Baie-D’Urfé, à Brossard et à Deux‑Montagnes. (Par Christiane Dumont) (2016-08-19)
Pour suivre le déroulement en direct, cliquez ici.
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FestiBlues, dernière édition
Baisse de fréquentation et soirée de clôture mouillée
Louis-Jean Cormier, Ariane Moffatt, Jean-Pierre Ferland, The Seasons et Philippe Brach ont fait partie de la programmation aux côtés de nombreux autres musiciens et chanteurs. Parmi eux, il y avait également quelques artistes provenant de la France, dont Max Sugar Blanck, Gaëlle Buswel et le Gas Blues Band.
Le président de l’événement, Martin Laviolette, fait un bilan positif de la dernière édition du FestiBlues, admettant toutefois que la température n’a pas été au rendez-vous.
« Vendredi, c’était très nuageux et il a plu durant la journée. Puis, samedi soir, ça l’a été le déluge pendant les spectacles, a expliqué Martin Laviolette. Il n’y avait que quelques centaines de personnes pour le spectacle d’Ariane Moffatt, alors que l’on s’attendait à ce que le parc soit presque plein comme à l’habitude. »
Outre le mauvais temps, le président a souligné avoir reçu des commentaires très positifs de la part des festivaliers, autant par rapport à la programmation qu’à la tenue du festival.
Bien que le nombre total de visiteurs n’avait pas encore été compilé au moment de publier le présent article, la directrice générale du festival, Mélissa Laporte-Parenteau, a indiqué à journaldesvoisins.com que le nombre de festivaliers a été moins élevé que dans les années précédentes. Elle a spécifié qu’au cours des deux dernières années, le festival a réuni près de 65 000 personnes, ce qui ne semble pas avoir été le cas pour la 19e édition.
Ce sont les soirées d’ouverture et de fermeture qui ont été les plus populaires. Soulignons toutefois que l’un des artistes très attendus lors de la soirée de fermeture, Bob Walsh, n’était malheureusement pas présent. D’après un collaborateur du journaldesvoisins.com, qui a assisté au spectacle, les organisateurs du FestiBlues ont informé le public que le musicien était absent en raison de problèmes de santé, sans plus de précision.
Selon Martin Laviolette, un brin de nostalgie régnait au sein de l’équipe cette année, sachant que l’événement ne serait pas de retour l’an prochain. En effet, depuis plusieurs années, des gens se joignent à l’équipe d’organisation pendant l’été, spécialement pour le festival.
« Mais, personnellement, je vis bien avec la fin du FestiBlues, parce que c’est un événement qui a été difficile à financer et que l’on supporte à bout de bras depuis quelques années. Un moment donné, ça devient lourd à organiser par rapport à la satisfaction que l’on en retire », a confié Matin Laviolette.
Le principal problème, selon le président, est que la signature du festival est locale. L’équipe d’organisation a donc eu de la difficulté à le faire grandir. « Le nord de la ville est plus ou moins reconnu par les grands bailleurs de fonds et même par les Montréalais. Ceux-ci ne viennent pas au parc Ahuntsic naturellement pour venir voir un spectacle », a-t-il précisé.
Il rappelle toutefois l’importance de favoriser la tenue d’événements culturels à l’extérieur du centre-ville de Montréal, afin de faire découvrir d’autres secteurs de l’île et démocratiser l’accès à la culture.
L’équipe du FestiBlues réfléchira au cours de la prochaine année, à savoir si un autre événement pourrait remplacer celui-ci dès 2018. « Par contre, si le financement n’est pas au rendez-vous, c’est sûr que l’on ne se rembarquera pas dans l’aventure », a affirmé le président.
Rappelons que le FestiBlues ne reviendra pas l’an prochain en raison de problèmes de financement. Entre autres, l’entente de trois ans avec Loto-Québec, l’un des commanditaires majeurs de l’événement, a pris fin. Celui-ci accordait annuellement un montant de 90 000 $ pour l’organisation du festival. (Par Isabelle Neveu) (2016-08-19)
Pour d’autres photos du FestiBlues, cliquez ici.
Vente de l’édifice de Présâges
Plusieurs OBNL pourront rester
Mais fin des dîners communautaires
Si l’Association des retraités d’Ahuntsic (ARA) déménagera au CRECA à compter de la semaine prochaine, Présâges, Intergénérations Québec, l’Alliance Culturelle et le Regroupement des Popotes roulantes du Québec conserveront quant à eux leurs bureaux pour au moins les deux prochaines années.
De propriétaire, Présâges deviendra donc locataire de ses locaux du 1474 Fleury Est, au même titre que les trois autres organismes qui demeureront dans l’édifice.
Fin des diners communautaires
Changement notable, le 1474 ne sera plus accessible aux aînés et l’organisme ne pourra donc plus organiser de dîners communautaires en son sein comme il le faisait jusqu’alors. « On conservera juste nos bureaux », a expliqué en entrevue au journaldesvoisins.com, Huguette Robert, coordonnatrice de Présâges.
Bien que l’organisme n’aura plus d’accès direct aux aînés du quartier avec ce changement, il poursuivra son soutien auprès de la Table de concertation des aînés d’Ahuntsic, a assuré Mme Robert. La disparition des dîners communautaires de Présâges devrait également être comblée par les services d’autres organismes.
«J’ai l’impression que les gens ont déjà trouvé d’autres endroits pour aller dîner. Le SNAC et d’autres organismes du quartier offrent des activités similaires. Quant à moi, je me suis assurée que la clientèle régulière qui venait à nos diners s’échangent leurs coordonnées pour continuer à se voir dans d’autres lieux», a fait valoir Mme Robert, en estimant que, dans ces conditions, la transition devrait bien se dérouler.
Activités des OBNL maintenues
Du côté des autres organismes, la bonne tenue des activités continuera d’être assurée malgré quelques changements de lieux. Relocalisée dans des salles de cours libres du CRECA, l’ARA s’est vue accorder pour les prochaines années un soutien financier par la Fondation Berthiaume du Tremblay – à l’initiative de Présâges – en vue de faciliter cette transition.
« Il faut aussi saluer le travail formidable de l’équipe de bénévoles de l’ARA qui a fait des pieds et des mains pour retrouver des locaux en vue d’être capable d’offrir encore une belle programmation d’activités et des cours aux aînés du quartier », a souligné Huguette Robert.
Malgré la déception palpable chez certains aînés avec les quelques changements affectant Présâges, « il y a encore beaucoup de choses qui vont leur être offertes avec l’Association des Retraités d’Ahuntsic et avec l’Alliance culturelle qui rejoint aussi énormément d’ainés du quartier, et qui poursuit aussi l’ensemble de ses activités », a rappelé Mme Robert.
Seule modification pour l’Alliance culturelle, les cours offerts jusqu’ici au 1474 Fleury Est seront transférés pour la session d’automne au Club l’Ami-Temps, également sur Fleury Est. Pas de changement en revanche pour les conférences habituellement données par cet organisme au sous-sol de l’Église Saint-Jude. « Au final, on ne s’en tire quand même pas si mal tout le monde », conclut la coordonnatrice de Présâges. (Par Rabéa Kabbaj) (2016-08-19)
Secteur de la SDC District central
Charles Benchimol déplore des occasions d’affaires manquées
Pour le moment, en l’absence de budget, l’organisation ne peut que tourner au ralenti.
« La SDC est toute nouvelle. On n’a même pas encore voté notre premier budget pour l’année 2017. Je viens d’avoir un conseil d’administration, qui a approuvé les détails de la cotisation aux entreprises et cela sera soumis aux entreprises à une assemblée, qui est prévue pour le 21 septembre. Vous pensez bien que tant qu’on n’a pas vraiment de budget, c’est difficile quand même de travailler, mais on le fait », avoue M. Benchimol.
Une fois l’étape du budget franchie, « on va se mettre à la recherche
de locaux, de professionnels, par exemple pour le site internet. On se donne jusqu’à fin décembre pour se préparer afin d’être opérationnels le 1er janvier et peut-être même avant ».
Occasions d’affaires ratées
Mis à part le projet du REM (voir l’article plus haut), il reste que le dossier du transport est un problème important pour le nouveau président.
« On sait que nos gestionnaires immobiliers ratent des occasions d’affaires lorsqu’il y a des compagnies qui songent à s’installer ici et qui, au dernier moment – parce qu’on l’a vécu –, laissent tomber parce qu’elles trouvent qu’on n’est pas assez bien desservis. »
À la recherche de solutions
M. Benchimol souhaite rencontrer les responsables du transport à la Ville de Montréal : « On veut faire un tour d’horizon sur la gare Chabanel, la gare Ahuntsic, le métro Sauvé et le métro Crémazie. On veut faire des améliorations là-dessus, quitte même à essayer d’avoir des navettes additionnelles qu’on paierait, s’il y a à payer quelque chose, dans la mesure de nos capacités financières.
Car le président de la SDC trace un portrait navrant de la situation : « Les gens, quand bien même ils utilisent le transport ferroviaire, quand ils arrivent à la gare Chabanel ou à la gare Ahuntsic, il faut qu’ils marchent. Imaginez en hiver, par temps froid, ça c’est une problématique réelle et qui est dénoncée par les principaux acteurs du district. On va devoir travailler parmi les premières choses à cet aspect-là », se propose-t-il. (Par Christiane Dumont) (2016-08-05)
Sécuriser les déplacements des élèves du primaire
Une cinquantaine de brigadiers scolaires dans A-C
Cliquez sur les icônes pour voir à quelles intersections se trouvent les brigadiers dans l’arrondissement.
Le poste de quartier 10 du Service de police de la Ville de Montréal (SPVM), dont est responsable le commandant Marc Tanguay, a présentement une équipe composée de 10 brigadiers permanents et de trois brigadiers surnuméraires. Ceux-ci sécurisent 10 traverses piétonnes, situées à proximité de sept écoles de Bordeaux-Cartierville, dont les écoles Sainte-Odile, Alice-Parizeau et François-de-Laval.
Dans le secteur d’Ahuntsic, le poste de quartier 27 compte, quant à lui, compte 36 brigadiers permanents et six brigadiers surnuméraires. Ces derniers sécurisent 36 intersections, situées non loin de 13 établissements scolaires, dont les écoles Ahuntsic, Saint-Paul-de-la-Croix et Saint-Martyrs-Canadiens.
Selon le site web du SPVM, sur l’ensemble de l’île de Montréal, on compte environ 700 brigadiers, dont la moyenne d’âge est de 61 ans.
Au quotidien, leur rôle est de s’assurer que les élèves traversent de façon sécuritaire les intersections et que les automobilistes ralentissent à proximité des écoles. Embauchés par le Service de police de la Ville de Montréal (SPVM), les brigadiers sont aussi en quelque sorte « les yeux de la police », selon le commandant Tanguay.
« Quand il y a une problématique autour d’une école, les brigadiers de notre secteur nous en informent. Ce sont eux qui sont sur le terrain au quotidien, explique le commandant. J’ai un agent de circulation au poste de quartier, mais il ne peut pas aller à toutes les écoles tous les jours. Le brigadier, lui, est sur place cinq jours par semaine. »
Une évaluation fréquente
Chaque année, le SPVM réévalue les traverses piétonnières, afin de savoir s’il est toujours nécessaire d’avoir un brigadier à ces endroits.
« Mais, l’emplacement des brigadiers est relativement stable. On ne les déplace pas d’un coin de rue à l’autre, à moins qu’une école ferme ou qu’il y ait de nouveaux besoins en raison, par exemple, de l’ouverture d’une école », précise le commandant Tanguay.
La plupart des traverses piétonnières, où un brigadier prend place sur le territoire de Bordeaux-Cartierville, ont d’ailleurs été évaluées au mois de mai. « Elles sont sécurité, assure Marc Tanguay. C’est sûr qu’il y a des intersections plus difficiles que d’autres parce qu’elles sont beaucoup achalandées ou très larges, mais c’est la réalité de la ville et les brigadiers doivent être très vigilants. »
Un travail de concertation
L’arrondissement Ahuntsic-Cartierville travaille en collaboration avec les postes de quartiers 10 et 27 ainsi que divers autres partenaires, afin de sécuriser les zones scolaires. Dans le cadre du Plan d’action 2011-2015 en sécurité publique et civile, l’arrondissement a notamment pu compter sur les équipes de brigadiers des deux postes de quartier pour répondre à l’un des objectifs du plan. Celui-ci consistait à améliorer la sécurité des piétons, des personnes âgées et des enfants.
Journaldesvoisins.com a constaté toutefois qu’une erreur s’est glissée dans la chronique des élus du mois d’août, publié dans les actualités du 5 août. On pouvait y lire que le plan d’action avait permis l’ajout de 40 brigadiers, alors que ce n’est pas le cas. Après vérification auprès de l’arrondissement, le journaldesvoisins.com a confirmé qu’il s’agit plutôt du nombre d’employés du SPVM qui ont été sollicités pour atteindre les objectifs du plan d’action.
Rappelons que le SPVM cherche toujours la collaboration des citoyens pour rendre les zones scolaires sécuritaires. « C’est le travail de tout le monde, autant des parents que de l’ensemble des usagers de la route », conclut le commandant. (Par Isabelle Neveu) (2016-08-19)
Éradiquer les espèces envahissantes et protéger les espèces indigènes
100 000$ pour les parcs des Bateliers et de la Merci
Les parcs des Bateliers et de la Merci comportent un couvert végétal important. Un inventaire forestier réalisé en 2014 a déterminé qu’on y trouve plusieurs espèces indigènes d’arbres, mais aussi des végétaux envahissants, comme le nerprun cathartique et le nerprun bourdaine.
Ces plantes envahissantes ont été propagées notamment en raison de la tonte régulière du gazon (surtout sur la plaine gazonnée du parc de la Merci) et d’un fauchage systématique pour assurer la sécurité des citoyens. Autre conséquence de ce entretien régulier : la régénération de ces essences pionnières dans les secteurs boisés des deux parcs, a été retardée.
On retrouve aussi dans les sous-bois d’autres pestes végétales comme la renouée japonaise, l’anthrisque des bois et des érables de Norvège.
Dans le but d’améliorer la biodiversité et de protéger ces deux espaces verts, l’arrondissement fait donc appel au Comité écologique du Grand Montréal (CEGM), un organisme à but non lucratif qui a fait plusieurs projets de protection et de mise en valeur du milieu naturel dans des parcs. Le CEGM commencera les travaux à la mi-août et ceux-ci se termineront à la fin d’octobre.
Le CEGM assurera notamment le contrôle des populations des plantes envahissantes. Les gaulis d’érable à Giguère, d’érable de Norvège, d’orme de Sibérie et de robinir faux-acacia seront arrachés en bordure de boisé et à l’extérieur de la bande riveraine.
Les espèces envahissantes sont très coriaces et leur éradication nécessitera une intervention sur plusieurs années. L’arrondissement se fixe un objectif de cinq ans pour les éradiquer. Afin de favoriser la régénération naturelle indigène des boisés, on plantera dans les deux parcs des arbustres indigènes.
Aussi, le groupe coupera, si nécessaire, des frênes affectés par l’agrile.
Enfin, certains sentiers informels seront condamnés pour protéger les sous-bois. (Par Mélanie Meloche-Holubowski) (2016-09-19)________________________________________________________
Zumba sur chaise
Faire bouger en plein air les personnes à mobilité réduite
La plupart des participants provenaient du Centre d’hébergement Saint-Joseph-de-la-Providence (incluant une dame de 100 ans!). Des jeunes du camp de jour se sont mêmes joints à l’activité.
Une jeune femme, elle aussi en chaise roulante, a dirigé la séance d’exercice avec énormément d’énergie, invitant les participants à imiter ses mouvements.
Certains participants étaient un peu plus timides au début, mais rapidement, tous ont été emporté par la musique rythmée.
Depuis six ans, l’arrondissement engage un étudiant pour organiser des activités dans les parcs pour les aînés: bocce, danse en ligne, aquaforme et séances d’entraînement avec un kinésiologue, sont certaines des activités organisées cet été.
L’étudiante en question cet été, Chloé St-Esprit, a voulu essayer une activité de zumba sur chaise. Étudiante en danse contemporaine, elle voulait montrer qu’avec un peu d’organisation, il est possible d’organiser des activités physiques originales pour les personnes à mobilité réduite.
« C’est sûr que ça demande de la logistique, mais ça se fait. Il faut changer les mentalités – beaucoup (d’aînés) pensent qu’ils ne sont plus capables. Je travaille aussi sur l’estime de soi. Je réalise qu’il suffit d’un coup de main et ils s’envolent! C’est d’abord une barrière psychologique à briser », dit-elle.
« Tout le monde peut bouger de façon différente, selon la capacité de son corps.
Hélène Durand, physiothérapeute au Centre d’hébergement Saint-Joseph-de-la-Providence, était enchantée par cette activité et est tout à fait d’accord avec Chloé St-Esprit. Mme Durand ajoute que les centre d’hébergement essaient toujours des activités qui feront bouger les aînés, mais à un moindre coût.
« Avec mes clients, j’allais à la piscine Sophie-Barat, mais plus maintenant parce qu’il y a un manque de personnel et un manque de fonds…Donc, une activité comme (le zumba sur chaise) – je suis vendue! », dit Hélène Durand. (Par Mélanie Meloche-Holubowski) (2016-08-19)
Un arbre du parc Nicolas-Viel candidat au concours de L’Arbre de l’année Québec
Ce concours est organisé conjointement par Les Amis du Jardin botanique de Montréal et plusieurs magazines et organismes de vulgarisation scientifique, et ce, pour une deuxième année. « C’est l’occasion de mettre en valeur des arbres exceptionnels, pour leurs caractéristiques botaniques et esthétiques, mais également pour leur histoire », écrivent les organisateurs sur le site internet du concours.
Un arbre impressionnant
Pierre Lussier qui réside dans le quartier depuis son tout jeune âge affirme avoir été toujours impressionné par l’ampleur de ce peuplier deltoïde. C’est pour cette raison qu’il a décidé de participer au concours cette année.
« Je le connais depuis très longtemps (cet arbre). Quand j’étais petit, je me souviens qu’on pensait déjà qu’il était très gros. C’est un arbre qui nous a toujours impressionné et je pense qu’il impressionne tous les visiteurs dans le parc Nicolas-Viel », explique-t-il. L’arbre serait âgé d’une centaine d’années.
Pour participer au concours, les citoyens étaient invités à envoyer quelques photos de l’arbre, une description et un petit historique. Un jury composé de plusieurs professionnels du milieu de la vulgarisation scientifique sera ensuite chargé de sélectionner quatre finalistes parmi les dossiers ayant été envoyés avant la date limite qui était le 31 mai 2016. Le public pourra ensuite voter en septembre pour l’arbre de l’année.
Milieu urbain et rural
Le concours a pour objectif de valoriser les arbres situés autant en milieux urbains que ruraux. L’année dernière, c’est un hêtre de Sainte-Angèle-de-Monnoir qui a été consacré grand gagnant. Un arbre qui serait âgé d’environ 366 ans.
Le concours de l’Arbre de l’Année est inspiré du concours “European Tree of the Year”, une initiative du Environmental Partnership Association en collaboration avec ELO (European Landowners Organisation). La première édition a eu lieu en République tchèque en 2000. Une quinzaine de pays européens y participent maintenant. L’initiative a pour but de promouvoir la connaissance et le support dans l’intérêt et pour le traitement d’arbres remarquables. (Par Thomas Deshaies) (2016-08-19)
Une autre murale s’ajoute sur la Promenade Fleury
Alessandra McGovern, une étudiante en design graphique à l’UQAM, n’en est qu’à sa deuxième murale. Elle souhaitait depuis un moment essayer cette forme d’art et on lui a proposé de faire une murale pour le Walter Bistro. « Ça faisait longtemps que je voulais peinturer un murale et je reviens tout juste d’Austin au Texas où c’est plein de murales - j’étais donc super inspirée! »
Alessandra McGovern dit apprécier le caractère unique des murales urbaines et la façon dont ils réussissent à mettre un peu de vie dans un océan de béton. « On est dans une ère digital, dans laquelle on peut reproduire plein de choses très rapidement. On a perdu le côté artisanal, le côté travaillé de l’art commercial. »
De plus, les murales apportent un côté coloré à une ville, dit-elle, et montre la personnalité de ses habitants. « Ça montre que les gens autour ont une ouverture d’esprit, aiment les arts. »
Alessandra ajoute que cette murale a été un nouveau défi artistique. « Ça touche à tout, la géométrie, la création, le côté pratique, le coté exécution. »
Alessandra, qui travaille sous le nom d’artiste Anglerfish, a pu interpréter à sa manière le logo du bistro – un chien en habit de ville.
Elle explique qu’il existe différentes techniques afin de reproduire un croquis ou une illustration sur une surface beaucoup plus grande. Certains utilisent des projecteurs pour les aider à bien placer leur oeuvre sur le mur, mais Alessandra dit préférer la bonne vieille méthode à la Leonardo da Vinci. « Tu sépares le dessin dans une grille et puis tu reproduis ta grille proportionnellement sur le mur. »
Carré par carré, elle a donc tracé les contours du bulldog avec de la graphite, avant de commencer à peinturer. « Il ne faut pas oublier de parfois prendre du recul pour s’assurer tout est proportionnel – que ce que l’on voit apparait bien de loin. »
Alessandra n’utilise pas de la peinture en aérosol pour des raisons écologiques. Elle a plutôt utilisé des peintures commerciales et de l’acrylique de haute qualité. Elle a terminé le tout avec quelques couches de vernis.
Le processus a pris quatre ou cinq jours – entrecoupé par quelques jours de pluie. (Par Mélanie Meloche-Holubowski) (2016-08-19)
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CAPSULE ORNITOLOGIQUE
La grive solitaire
(Hermit Thrush) (Catharus guttatus)
Sa taille est environ les deux tiers de celle de son cousin le merle d’Amérique dont elle possède l’allure générale et l’habitude de chercher sa nourriture au sol.
Son habitat de prédilection se trouve dans les forêts mixtes et les bosquets d’où elle émet son chant de notes flutées qui inspire le calme et la détente.
Son plumage nous fait voir un dessus de tête et un dos d’un brun olive, une queue rousse, un cercle proéminent autour de l’œil et, comme toutes les espèces de grive d’ici, des taches foncées sur sa poitrine blanchâtre.
Son aire de nidification couvre tout le Canada jusqu’à la limite nordique des arbres ainsi que les états du nord-est et de l’ouest des États-Unis.
Elle est absente des grandes plaines où le couvert forestier est plus clairsemé.
Insectivore, elle nous quitte à la fin de l’été pour migrer dans l’extrême sud des USA et en Amérique centrale. (Par Jean Poitras) (2016-08-19)
On vous présente…
Le parc Sault-au-Récollet
Cette semaine, nous vous présentons un photo-reportage sur le parc Sault-au-Récollet, situé au coin Prieur et St-Firmin proche de la rue Papineau, dans le district Sault-au-Récollet
UNE RENTRÉE SOUS LE SIGNE DE LA DÉCOUVERTE et LA VIE DE QUARTIER
Nous préparons présentement votre magazine papier de la rentrée.La version ouest sera distribuée dès le 26 août prochain. Soyez aux aguets! Ce sera une bonne mouture…
(C.D.) (2016-08-19)
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Le coin des commerçants
LETTRES OUVERTES
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BRÈVES…BRÈVES…BRÈVES…BRÈVES…BRÈVES…BRÈVE
Horaire du complexe aquatique Gabriel-Lalement
- Du 22 au 28 août : de 10 h à 19 h;
- du 29 août au 2 sept : de 13 h à 19 h;
- les 3, 4 et 5 septembre : de 10 h à 19 h.
Ceci étant, la programmation d’activités aquatiques des piscines du Complexe sportif Claude-Robillard et du YMCA Cartierville, situées dans l’arrondissement, prévoit l’activité de bain libre. Cliquez ci-dessous pour connaître l’horaire de cette activité: (Source : Arrondissement)
(Source : Mobilisation environnement Ahuntsic-Cartierville)
29 août, début des ateliers d’alphabétisation (lecture, écriture, calcul), du lundi au jeudi. Le Créca est situé au 10770, rue Chambord voisin du CLSC. Information : 514-596-7629. (Source : Créca)
10780 rue Laverdure (Source : Entraide Ahuntsic-Nord)
Venez visiter notre Bazar communautaire offrant à très bas prix des articles de maison, bijoux, jouets, vêtements usagés pour enfants et adultes, livres, etc. Nous sommes situés angle Fleury Est et De la Roche (10218 De la Roche). Ouverture: tous les mercredis de 13 h à 15 h 30, et les 2e samedi de chaque mois de 13 h à 15 h. Infos: 514-389-0206. (Source : Bazar SPL)
Les lundis et les mardis de 18 h à 20 h, (4 h/sem. + 2 h de préparation). Nous sommes à la recherche d’une personne ayant de l’expérience en enseignement qui sera responsable de préparer les cours à l’avance et de gérer le groupe pendant 12 semaines à partir du 26 septembre. Un programme d’enseignement de l’anglais langue seconde sera à sa disposition. Pour déposer votre candidature ou pour plus de renseignements veuillez appeler au 514-382-0735 poste 225. (Source : CANA)
QUOI FAIRE… QUOI FAIRE… QUOI FAIRE… QUOI FAI
S’orienter sans boussole. Boussole au cou, cherchez votre chemin dans le parc et découvrez les techniques d’orientation
sans boussole développées par les animaux. Au chalet d’accueil du parc de l’île-de-la-Visitation, 2425, boulevard Gouin Est. Renseignements : 514 280-6829, poste 1 Animation : GUEPE (Source : Ville de Montréal)
Inscription aux activités de l’automne 2016 de l’Alliance culturelle au sous-sol de l’église Saint-Jude (10 120 avenue d’Auteuil). On peut aussi s’inscrire le lendemain de 10 h à 11 h à PRÉSÂGES.1474, rue Fleury Est, salle no 2 au sous-sol. D’autres façons de s’inscrire sont possibles après ces dates. Une carte annuelle de membre de 40 $ permet d’assister à des conférences et matinées musicales gratuites à l’église Saint-Jude, de suivre des cours à coût modique, et de se joindre à des visites et des voyages exclusifs. Notez que cet automne, les cours seront donnés au Club L’Ami-Temps, 1345, rue Fleury Est, salle 201. Information: 514-382-5716; www.allianceculturelle.qc.ca. (Source : Alliance culturelle)
Activité physique aux stations d’exercice du parc Hirondelles.
Dans ses efforts en vue d’assurer la qualité de vie des Ahuntsicois et de les encourager à adopter de saines habitudes de vie, l’arrondissement invite la population à participer. Venez bouger en plein air avec Camille, étudiante en kinésiologie! Pour tous, cette activité est gratuite. Il suffit de s’inscrire en composant le 514 872-0769. Notez que l’activité est annulée en cas de forte pluie. (Source : Arrondissement)
Pour vivre la ville différemment, on redécouvre la rivière des Prairies en s’initiant au kayak! Au parc nature du bois-de-Liesse. Départ : Secteur de la Péninsule * 1, avenue Oakridge. Renseignements et inscription : Eco plein air : 1 855 279-7171 * gopleinair.org *
michel@gopleinair.org (Source : Grands Parcs)
Suivant le même patron qu’une fugue musicale, qui propose quatre mélodies formant une entité harmonieuse, Concerts Ahuntsic en Fugue propose quatre concerts, chacun présentés dans quatre lieux caractéristiques du quartier et inspirés de son architecture, son environnement, son milieu de vie et son économie.
Le 20 août, Parfum de France, 555 Chabanel – Salle des défilés
Le 24 août, Fugue grandiose, Église de la visitation – 1847, Boulevard Gouin Est
Le 25 août, Tissu baroque, Les Ateliers à Façon au 9494, boulevard Saint-Laurent, local 606 – Quartier Chabanel
Le 27 août, Russie éternelle, Salle Marguerite-Bourgeoys du Collège Regina Assumpta, 1750, rue Sauriol Est
Billets : 25 $/concert – 80 $/passeport 4 concerts
Informations : www.ahuntsicenfugue.com
Spectacle de Kumpa’nia. En famille ou entre amis, de midi à 16h, les gens pourront profiter des aires de pique-nique, du maïs gratuit (quantité limitée) et de l’animation festive pour toute la famille. À 14 h, la Ville de Montréal offre un spectacle gratuit exclusif, d’environ une heure avec Kumpa’nia, la joyeuse troupe de tambours ambulants qui ne laisse personne indifférent. Ce rendez-vous sera aussi l’occasion de profiter des installations du parc-nature de l’île-de-la-Visitation. (Source : Ville de Montréal)
Consultation citoyenne sur les changements climatiques. Dans le cadre de cette consultation, la députée d’Ahuntsic-Cartierville, Mme Mélanie Joly a tenu une consultation le 1er août dernier (voir le Journaldesvoisins.com du 5 août). Si vous l’avez manquée, il y a une possibilité de vous reprendre car une assemblée ouverte à tous se tiendra dans la circonscription de Justin Trudeau. Où? Au Centre de loisirs communautaires Lajeunesse, au 7378, rue Lajeunesse. Vous avez des idées sur les manières de s’y prendre pour que le Canada puisse honorer sa signature à la COP 21? C’est le lieu pour aller en parler! (Source : Mobilisation environnement Ahuntsic-Cartierville)
Sortie ornithologique en famille au Parc-nature de l’île-de-la-Visitation. Veniez voir avec nous les espèces qui se préparent pour la migration d’automne, dont les parulines et les moucheroles, ent plus de plusieurs rapaces, tel la Petite Buse, l’Épervier de Cooper et le Faucon Émérillon. Gratuit. Départ au chalet du parc (Source : Club d’ornithologie Ahuntsic)
Sortie ornithologique “conservation” Au Parc de la Frayère de Boucherville. Un site exceptionnel supporté par Canards Illimités où il est possible d’observer à la fois des passereaux et des espèces aquatiques. On y a déjà vu la Paruline jaune au nid ainsi que la Grande Aigrette. Apportez votre lunch. Covoiturage disponible (5$). Gratuit pour les membres, 3$ pour les non membres. Départ au chalet du parc de l’île-de-la-Visitation (Source : Club d’ornithologie Ahuntsic)
Le club de lecture indépendantiste d’Ahuntsic fait le lien entre le discours de l’auteur et le point de vue des participants. Profitez de l’été pour lire notre prochain livre “Histoire de la République du Québec: 25 ans de souveraineté” de Denis Monière, est maintenant disponible à la librairie Monet. Au centre communautaire d’Ahuntsic 10780, rue Laverdure, Montréal. Information : lectureindependatiste@gmail.com ou https://m.facebook.com/LectureIndependantiste/
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Autres idées d’activités sans date précise
Tous les samedis jusqu’au 17 septembre
Prochain arrêt : Gouin Ouest ! Aux heures d’ouverture des commerces, la population pourra prendre une pause bien méritée à la nouvelle zone de relaxation éphémère, installée en un point central de l’artère, à l’angle de la rue Ranger (devant la pharmacie). L’installation hebdomadaire et la supervision de l’installation ont été confiées à la Coopérative jeunesse de services Cartierville. Cette zone de repos est déployée dans le cadre du projet Gouin Ouest : cœur de Cartierville qui vise à verdir, embellir et redynamiser le cœur commercial du quartier. (Source : CLIC de Bordeaux-Cartierville).
Jusqu’au 28 août
L’artiste visuel ahuntsicois Jacques Lebleu présente, chez nos voisins de Montréal-Nord, l’exposition “Toi, moi et montréal-Nord”/ entrée libre, à la Maison Brignon-dit-Lapierre, 4251 Boulevard Gouin est, Montréal-Nord / autobus # 48, 49, 69 et 139. Vélo : parcours Gouin. La maison est à 225 mètres à l’est du pont-Pie-IX. Information 514-328-4000 poste 5360. (Source : Jacques Lebleu).
L’Ahuntsicoise Lorraine Camiré travaille la peinture et les œuvres sur papier. La Galerie Popop présente l’exposition de Lorraine Camiré « Orfèvres et Donneurs » et « Papiers incrustés » au 372 rue Ste-Catherine ouest, espace 442. Dans les « Papiers incrustés » elle explore une esthétique inspirée de la nécessité et de l’urgence de s’ancrer dans le réel. Dessiner, ouvrir la surface, tailler ou déchirer le support, rester systématiquement dans la « matérialité » de l’œuvre est la chose à faire. Le « tangible » symbole d’une vie pleinement vécue. Puis, dans la série des « Orfèvres et Donneurs » la « matérialité » devient celle du corps humain. Ici, plusieurs techniques se rencontrent pour parler en douceur et tenter de magnifier cet acte ultime qu’est le don d’organes. Enfin, dans la série « Ma vie, ici, passante », les grands formats à l’acrylique laissent voir une abstraction où la fulgurance, du geste et du hasard, est captée par des structures formelles plus rigides, véritable plaidoyer pour l’instant présent et la raison.
En somme, que ce soit avec « Orfèvres et donneurs », « Papiers incrustés » ou « Ma vie, ici, passante » c’est la célébration de la vie dont il est question. Ici et maintenant, nous faisons le pari d’une occasion unique de célébrer notre imaginaire et notre humanité.
Lorraine Camiré http://lcamire.wix.com/galerie
(Source : Lorraine Camiré)
Visite organisée par “Le roi du nord”(Stéphane Tessier) en partenariat avec Tours Kaléidoscope. Découvrez l’histoire et le patrimoine du nord montréalais. Ce voyage dans le temps révélera l’évolution de ses territoires et ses modes de vie qui se sont succédé : ruralité, villégiature, urbanisation… On prendra connaissance de la diversité architecturale résidentielle, institutionnelle et commerciale de la Nouvelle-France à aujourd’hui. On parlera de plusieurs personnages historiques qui ont marqué l’histoire de la région. Samedi 20 août 2016 – 10h00 – Cartierville Samedi 20 août – 14h00 – Vieux Bordeaux Samedi 27 août 2016 – 13h00 – Sault-au-Récollet, église de la Visitation, maison du Pressoir, site des Moulins et l’île-de-la-Visitation* *La visite Sault-au-Récollet est prévue pour une durée d’environ trois heures. Une pause collation est prévu* $$$ Informations et réservations: (514) 990-1872 ou tours.kaleidoscope@sympatico.ca. (Source : Les visites du Roi du Nord)
Numéros de téléphone utiles
Bibliothèque d’Ahuntsic : 514 872-0568
Bibliothèque de Cartierville : 514 872-6989
Bibliothèque de Salaberry : 514 872-1521
Café de Da : 514 872-5674
Le Rendez-vous du thé : 514 384-5695
Maison de la culture : 514 872-8749
* Les renseignements de la section Quoi faire sont publiés à titre indicatif. C’est avec plaisir que journaldesvoisins.com corrige les coquilles, mais il ne peut être tenu responsable d’erreurs ou d’omissions.
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- Gagnant de trois (3) Prix d’excellence au congrès annuel 2016 de l’Association des médias écrits communautaires du Québec (AMECQ): catégories “reportage”, “article d’opinion”, et 2e meilleur média de l’année parmi les 87 membres.
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