Les Actualités du 1er aout 2014
Homme d’affaires connu
Daniel Lefebvre met la main sur le quincailler Major & Major
. Une institution dans Ahuntsic-Cartierville
L’homme d’affaires
Daniel Lefebvre, ingénieur de formation, ajoute une corde à son arc en devenant
propriétaire de la célèbre quincaillerie Major et Major, membre de la famille
Rona.
M. Lefebvre, qui
s’est déjà mesuré à Gilles Vaillancourt, lors d’une élection à la mairie de
Laval, a fait d’une pierre deux coups en se portant acquéreur de cette
institution dans Ahuntsic. Il a à la fois acheté le terrain et le fonds de
commerce. Cela lui permet diverses avenues pour l’avenir.
Achat surprise
Henri Major, dont la
famille avait revampé le commerce et ajouté des logements à l’étage de
l’établissement, il y a une quinzaine d’années, a donc pris une retraite « définitive »
en cédant les intérêts de l’entreprise (terrain et commerce).
M. Major louait le
commerce à deux piliers de l’établissement, Pierre Bellefleur et Gilles Brunet.
Il restait environ trois ans au bail des deux locataires mais pour mettre la
main sur l’ensemble, Daniel Lefebvre a dû s’entendre avec le trio de gens
d’affaires.
Aux dires de M.
Lefebvre, les discussions se sont bien déroulées et tout le monde semble fort
satisfait de la tournure des événements. La présence d’un expert-comptable que
les parties connaissent a aidé à créer un climat serein dans les pourparlers
financiers.
Intérêt marqué
« Le terrain,
bien localisé et le fonds de commerce m’intéressaient au plus haut point »,
a confié Daniel Lefebvre dans une entrevue d’une quarantaine de minutes à journaldesvoisins.com, alors qu’il se
trouvait en vacances.
Étant lui-même
promoteur immobilier, le commerce devient le lieu tout naturel pour
s’approvisionner. Et une autre raison militait en faveur d’un achat aussi
important.
« En même
temps, mon beau-fils Jordan, expert en soudure, et gars qui a toujours bien
aimé le secteur de la construction, était prêt à relever un nouveau défi à 25
ans ». Jordan Frenette est donc le nouveau patron de la vingtaine
d’employés du marchand express Rona situé à l’angle des rues Sauvé et Curotte
et qui compte 16 000 pieds carrés.
Autre élément
important. Le fait que les actuels locataires, Pierre et Gilles, ont accepté
d’accompagner la nouvelle équipe de direction pour une période plus longue que
celle d’une simple transition.
Goût pour la réno
Daniel Lefebvre est
visiblement optimiste face à l’avenir. Et les gens du quartier y sont pour
beaucoup même si, dit-on, plusieurs ne sont pas au courant de la présence du
commerce qui offre des milliers de produits.
« Les
propriétaires dans Ahuntsic forment une clientèle fidèle, des gens qui, aussi,
aiment rénover. Ils voudront toujours préserver leur capital immobilier »
a-t-il soutenu.
Plusieurs
propriétés, notamment sur la rue Curotte, tout près du Major et Major, ont une
valeur marchande dépassant les 400 000 $. Tout récemment, un proprio
demandait un peu plus de 600 000$ pour sa maison justement revampée.
Concurrence force
Interrogé sur la
concurrence des grandes surfaces, dont le Réno Dépôt du Marché Central, situé à
8 minutes en auto du Major et Major, M. Lefebvre a rappelé que même si
son établissement montre moins de vanités
et lavabos, le consommateur a toujours le loisir de placer une commande et de
se la faire livrer. Une chose qu’il ne faut pas oublier : « Nous
avons plusieurs produits à coût moindre que dans les grandes surfaces ou
ailleurs », a-t-il plaidé.
Ainsi, le
consommateur fait un achat dans le quartier, évite un déplacement éloigné et
sauve du temps.
Service d’abord!
Comme c’est la politique
depuis belle lurette, le service de proximité demeurera. « Le service
personnalisé a toujours été la marque de commerce de Major », a indiqué M.
Lefebvre. En effet, on y trouve toujours un conseiller à moins de 15 mètres,
prêt à répondre aux questions des clients.
Daniel
Lefebvre veillera au grain même si Jordan est le patron sur le plancher, appuyé
par quatre adjoints et une équipe dynamique.
Des projets sont
déjà explorés pour l’avenir. « On pourrait mettre l’entrée du magasin au
goût du jour. On pourrait penser à un réaménagement au printemps 2015 », a
confié. M. Lefebvre.
Daniel Lefebvre sait
fort bien aussi que le terrain sur lequel repose son établissement vaut son
pesant d’or. S’il n’y a plus de quincaillerie, un projet d’unités en copropriété
pourrait voir le jour. Questionné à ce sujet, l’expert en immobilier n’a pas
hésité à dire que l’on pourrait livrer environ 90 condos sur l’emplacement qui
comprend comme on le sait une immense cour à bois, côté sud. (Par Alain Martineau) (2014-08-01)
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Décontamination d’un stationnement
Des travaux de réhabilitation environnementale débutent au coin de Fleury et Chambord sur fond de rumeur de vente de terrain
.Les voitures de Communauto sont rapatriées au parc Ahuntsic
Alors que certains relancent la vielle rumeur de
vente, Stationnement de Montréal répète qu’il n’en est rien au moment où des travaux de réhabilitation environne-mentale sont entrepris au terrain située sur Fleury Est, angle Chambord.
La vocation actuelle semble donc préservée sur ce
qui fut jadis une station-service Shell. ‘’Stationnement de Montréal est propriétaire
de ce terrain qui conserve la vocation de stationnement’’ a soutenu
Sophie Charrette, la directrice adjointe aux communications de la Société en
commandite Stationnement de Montréal.
Les habitués de la Promenade Fleury auront remarqué
que l’entreprise de décontamination ABS a placé une pancarte de travaux en
début de semaine. Mais elle a été enlevée jeudi. Au moment de mettre sous
presse, l’entreprise n’avait pas encore rappelé journaldesvoisins.com.
Malgré tout, des automobilistes ont continué à
garer leur voiture dans le stationnement cette semaine alors que les quatre
véhicules de la flotte Communauto doivent stationner ailleurs, soit au Parc
Ahuntsic, tout près de l’une des entrées du métro Henri-Bourassa.
Réponses vagues
Le creusage, selon une source, doit être d’environ
25 pieds dans le sol mais à ce sujet, on a mentionné au journaldesvoisins.com qu’il s’effectuera « selon les besoins
pour permettre la réhabilitation du terrain », selon Mme Charrette.
Plusieurs s’interrogent sur les raisons qui
militent en faveur d’une telle action présentement alors que le tout aurait pu
être fait quand il y a eu achat du terrain. Il semble que l’on n’ait pas creusé
assez profondément quand on a décontaminé le terrain lors de la fermeture de la
station-service.
« Stationnement de Montréal procède à la
réhabilitation environnementale du terrain, selon les normes applicables du
ministère de l’Environnement, sur une base volontaire », a indiqué la
porte-parole.
On compte aussi embellir la place et être un peu
plus écolo. « Des arbres matures seront plantés afin de réduire les îlots
de chaleur », de préciser Mme Charrette.
Durée et coût des travaux
Les travaux prendront plusieurs mois, ce qui fait
que le secteur achalandé ressemblera à un chantier de construction. « Les
travaux devraient s’échelonner jusqu’à l’automne », de préciser
Stationnement de Montréal. « Et une fois la réhabilitation terminée, le
terrain sera aménagé pour permettre son usage en tant que stationnement. Les
détenteurs de permis ainsi que les usagers pourront s’y stationner comme à
l’habitude », a conclu la porte-parole.
On ignore ce qu’il en coûtera à l’organisme
partenaire de la ville de Montréal et qui est chapeauté par la Chambre de
Commerce du Montréal métropolitain. Stationnement de Montréal se contente de
dire qu’il procède toujours par appel d’offres afin de choisir l’entrepreneur
le plus qualifié pour effectuer les travaux et au tarif le plus bas.
Rumeur de vente
En octobre 2005, en pleine campagne
électorale municipale, des résidants ont été mis au courant du projet de vente « par
la bande » et ont décidé de militer pour s’y opposer. Quelque 1600
personnes devaient signer une pétition pour s’opposer au projet qui en bout de
piste sera finalement abandonné.
En septembre dernier, un citoyen du secteur, Daniel
Gaudry, a reçu une lettre dans laquelle on lui dit qu’il ne pourrait pas garer
sa voiture au stationnement Chambord/Fleury, durant l’hiver, à cause de travaux
prévus. Mais le tout a finalement été reporté à cet été.
« Si on prévoit une décontamination du sol,
avait alors mentionné M. Gaudry, c’est qu’on destine le terrain à une
construction quelconque, et non seulement à refaire l’asphaltage du terrain de
stationnement car décontaminer un terrain, ça coûte très cher. »
Enquête du jdv
Comme l’a signalé jdv l’automne dernier, le
stationnement en question étant présentement en zonage de « plein
droit ». Ainsi, en cas de vente du terrain en question, évalué à près d’un
million de dollars, le conseil d’arrondissement ne serait pas saisi de
l’affaire. Il semble que les élus pourraient intervenir seulement si le zonage
doit être modifié.
Quoi qu’il en soit, officiellement, on retape le
terrain et les 30 espaces de stationnement. Mais il n’y a pas de fumée sans
feu. Dans le secteur, on entend encore parler d’une éventuelle implantation
d’unités en copropriété comprenant des logis à l’étage et des commerces au
niveau de la rue. Chose certaine, ce terrain est fort bien localisé.
Bref, un dossier à suivre… (Par Alain Martineau) (2014-08-01)
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BON À SAVOIR
Piscines résidentielles sécuritaires…
Le nouveau règlement voté en 2010 sera-t-il appliqué comme un coroner l’a suggéré?
Dans les cours-arrières, des cris et
des rires d’enfants retentissent. Une fillette se lance à l’eau. Un bruit qui
éclabousse parvient aux oreilles des voisins. Depuis le début de l’été, jeunes
et moins jeunes profitent des plaisirs de la baignade. Si faire trempette dans
la piscine se révèle, la plupart du temps, source de réjouissance, les
Ahuntsicois doivent demeurer vigilants.
Le 31 juillet 2014, la Société de sauvetage recensait 25 noyades au Québec
alors qu’elle en dénombrait 40 à pareille date l’an dernier. « Vous savez, en
1983, on avait 202 noyades. L’année dernière, on en a eu 51, ce qui est notre
meilleur bilan et cette année ça s’annonce encore mieux », se réjouit Raynald
Hawkings, porte-parole de l’organisme.
Ces chiffres encourageants, croit-il, sont attribuables aux nouvelles normes de
sécurité en vigueur depuis quatre ans. M. Hawkings applaudit l’idée de les
étendre, d’ici deux ans, aux 300 000 piscines résidentielles du Québec
construites avant 2010 comme le recommande la coroner Denyse Langelier. La
suggestion provient de son récent rapport sur la noyade du petit Brendon
Bellefleur Isabelle décédé à l’âge de 2 ans et 11 mois, le 12 juillet 2012, à
Sainte-Anne-des-Plaines.
Proprios:
+ ou – en faveur
Pour se conformer aux normes proposées
par la coroner, les propriétaires devraient entourer leur piscine d’une
enceinte d’au moins 1,2 mètre de hauteur munie d’une porte qui se referme et se
verrouille automatiquement. Cette possibilité ne fait toutefois pas l’unanimité
chez les résidants d’Ahuntsic-Cartierville. « Nous, on est contre ! Si on est
obligé, on va le faire, mais on va ronchonner. On a tout fait selon les règles,
il n’y a personne qui peut rentrer dans notre cour… Une fois dans la cour,
on juge qu’on va être assez responsables pour surveiller si jamais il y a des
petits enfants », affirme Caroline Merola en ayant une pensée pour les bébés
des cousins et des cousines.
Rapport à l’étude
À l’heure actuelle, rien n’oblige les
propriétaires à sécuriser leurs anciennes installations, mais le ministère des
Affaires municipales et de l’Occupation du territoire (MAMOT) examine le
rapport du coroner Langelier. La porte-parole du MAMOT, Émilie Lord, précise
que les municipalités peuvent, entre temps, êtres plus sévères et émettre leurs
propres exigences en matière de sécurité.
À la Ville de Montréal, l’application du règlement provincial relativement à la
sécurité des piscines résidentielles dépend des arrondissements. La Société de
sauvetage préfère toutefois exercer des pressions au niveau provincial. «
Honnêtement, on n’a pas fait de communication avec toutes les municipalités et
les arrondissements du Québec pour la simple et bonne raison que lorsqu’on a eu
l’occasion d’en parler avec certains, on nous retourne la balle en nous disant
: que le gouvernement l’impose comme il nous l’a imposé en juillet 2010.
Voyez-vous, il y a un jeu de ping-pong qui se fait entre politiciens et nous,
on n’est pas là pour faire de la politique », tranche M. Hawkings.
Mesures incitatives
Le directeur général de la Société de sauvetage du Québec souhaite convaincre
le gouvernement d’instaurer des programmes incitatifs pour encourager les gens
à se conformer. « Si vous voulez installer un système de ceinturage de clôture
dans votre cour, pourquoi ne pas offrir le droit de bénéficier de crédits
d’impôts », questionne-t-il?
Pour prouver l’efficacité d’une aide financière, Raynald Hawkings cite en
exemple la Banque Laurentienne. En 2012, l’entreprise a offert aux particuliers
un prêt personnel sans intérêt destiné à l’installation d’une clôture dans
l’espoir d’inciter 500 familles à sécuriser l’accès à la piscine résidentielle.
« Ils ont dépassé leur objectif », s’exclame le porte-parole.
« C’est vrai qu’on ne veut pas payer pour quelque chose dont on n’a pas besoin,
mais on était surtout content de pouvoir éviter ça [la clôture] parce qu’on
trouvait que ce n’était pas bien beau, mais, en même temps, il y en a qui ont
arrangé ça joliment », admet Mme Merola. La résidante de l’avenue de
l’Esplanade a fait installer sa piscine creusée en 2009, soit un an avant la
nouvelle réglementation.
Pas seulement l’esthétisme
«Je pense que la vie des enfants dépasse les questions d’esthétisme, réplique
M. Hawkings. Je peux très bien entendre ce propriétaire dire: “je n’ai pas
d’enfant, alors je ne vois pas pourquoi je viendrais avoir la contrainte d’une
clôture”. Il a certainement raison, mais est-ce qu’il est capable de me
dire qu’il n’y aura jamais de visite, d’enfants ? Et comment je peux faire une
législation, une réglementation, en disant “excluez tels et tels cas”
? Ça commence à être lourd un peu ! »
Faute de pouvoir enrayer définitivement les noyades, la Société de sauvetage
compte mener une campagne durant le mois d’août pour
sensibiliser les résidants qui profitent des rabais de fin de saison pour
s’offrir une piscine. En plus de parler d’aménagement sécuritaire,
l’encadrement fera partie intégrante du discours. « Quand j’ouvre une
piscine, il ne faut pas que j’assure seulement une “présence” symbolique, insiste Raynald Hawkings. Un parent qui
va lire un roman ou qui est en train de jouer sur son téléphone intelligent, ce
n’est pas un parent qui est en train de surveiller », rappelle-t-il
aux familles. (Par Elizabeth Forget-Le François) (2014-08-01)
Pour une baignade parfaite et sécuritaire, cliquez ici.
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BON À SAVOIR
Tests de l’eau qui entoure Montréal (1 de 2)
Des lecteurs veulent savoir si l’eau est testée pour les produits chimiques qu’elle pourrait contenir
Dans nos Actualités du 18 juillet dernier, nous vous avons présenté une vidéo produite par la Ville de Montréal qui explique, par le truchement de ses fonctionnaires, comment est testée l’eau de la rivière des prairies. Toutefois, les tests concernaient la présence de coliformes fécaux.
Or, à la suite de la présentation de cette vidéo, une lectrice, Francine Lauzon, nous a posé la
question suivante: “Lorsque l’échantillonnage de
l’eau est fait au pourtour des cours d’eau de Montréal, que teste-t-on au juste
autre que les coliformes? Parçe qu’il n’y pas que ça dans l’eau. Il y a la
pollution chimique. Pourriez-vous leur demander et nous tenir informés. Merci.
”
Égout et permis
Selon la porte-parole de la Ville-centre en ce domaine, Valérie De Gagné, les entreprises susceptibles de rejeter des contaminants chimiques doivent les rejeter à l’égout sanitaire d’une part et, dans bien des cas, doivent détenir un permis pour ce faire. Le permis leur est remis par la Division du contrôle des rejets industriels de la Ville de Montréal. Toujours selon Mme De Gagné, ce service fait aussi un suivi des entreprises de façon à s’assurer que ces dernières respectent la réglementation en vigueur.
“Nous intervenons le plus près de la source possible car il est plus facile de déceler les contaminants possiblement présents, précise Mme De Gagné. Des analyses physico-chimiques sont réalisées à la suite à des prélèvements surtout dans les ruisseaux et plans d’eau intérieurs ou pour répondre à des plaintes. ”
Par ailleurs, avons-nous demandé à Mme De Gagné, comment la Division du contrôle des rejets industriels de la Ville de
Montréal s’assure-t-elle que toutes les industries qui rejettent des produits
chimiques dans l’environnement ne court-circuitent pas le processus mis en
place? Y a-t-il des inspecteurs, notamment? “Il y a des
inspections en fonction du risque que présente l’industrie, oui, mais aussi des
inspections à la suite de plaintes reçues”, a précisé la porte-parole.
Portez
plainte!
La morale de
cette histoire? N’hésitez pas à porter plainte si vous constatez des
déversements suspects dans la rivière des prairies, ou ailleurs par les égouts sanitaires un peu partout dans l’arrondissement.
En juin dernier, un résidant de Rosemont a observé un égout sanitaire qui rejetait de l’eau teintée mauve. Il a alerté l’arrondissement ainsi que le journal hyperlocal, ruemasson.com. Vérifications faites, il s’agissait de l’eau en provenance d’une teinturerie; le déversement n’était pas nocif et respectait la règlementation.
C’est également ce qu’ont fait des
résidants de Joliette, en début de semaine, en s’interrogeant et faisant
circuler une photo sur Facebook. Quelques-uns d’entre eux avaient constaté un déversement d’eau rouge
directement dans la rivière L’Assomption. Les citoyens se sont
plaints rapidement à la municipalité. Il semble que le déversement était dû à
un débordement des conduits sanitaires, dû aux fortes pluies des jours
précédents. La couleur rouge aurait été causée, semble-t-il, par la présence d’ocre
ferreuse dans la conduite. Le débordement a cessé depuis et la municipalité
procède à des tests. Mais elle a certifié à la population, au moyen d’un communiqué, que tout était redevenu à la normale et que cela n’était pas nuisible à la santé. (Par Christiane Dupont) (2014-08-01)
La semaine prochaine: quatre programmes de la Ville de Montréal pour tester l’eau.
Pour avoir plus d’infos sur le contrôle des eaux industrielles de la Ville de Montréal, cliquez ici
Pour avoir plus d’infos sur la règlementation des rejets, cliquez ici
Pour avoir plus d’infos sur les inspections et tests effectués par la Ville de Montréal, cliquez ici
Pour revoir la vidéo sur l’eau testée, cliquez ici
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Chronique “Jardins et potagers de Patrick”
Labourer ou ne pas labourer, telle est la question!
Par Patrick De Bortoli
Si Hamlet avait été jardinier, c’est cette question qu’il se serait posée,
plutôt que la classique « être ou ne pas être ». Parce que c’est
en partie ici que repose l’essentiel de la vie : dans le sol ! Cette
semaine, un lecteur me demande si, afin d’éviter la propagation des mauvaises
herbes dans un jardin, il est recommandé d’éviter de retourner la terre, dans
le but de l’aérer. C’est une excellente question qui mérite un peu d’attention, car sa portée
est plus significative qu’il n’y paraît a priori.
Saviez-vous que dans une cuillère à soupe de terre saine,
on retrouve plus d’un milliard de microrganismes principalement responsables de
la vie végétale sur Terre ? Imaginez dans votre jardin ! Ne vous
inquiétez pas, ces petites bestioles sont inoffensives pour vous et, au
contraire, elles représentent vos plus grandes alliées au potager. Ce sont
principalement les bactéries et les champignons qui joueront le rôle essentiel
de décomposer la matière organique et de rendre les éléments nutritifs
disponibles aux plantes.
Le sol vit !
Contrairement à ce que nous a démontré l’agriculture
industrielle, depuis la Révolution verte, où ont été introduits, de façon
massive, les engrais et pesticides synthétiques, le sol ne se réduit pas à un
simple support inerte pour les plantes. Le sol est un milieu qui vit et qui
respire et qu’il faut entretenir et préserver. Je dis toujours que ce ne sont pas
les plantes que les jardiniers doivent nourrir, mais le sol !
Ne pas déranger svp
Si nous voulons préserver la vie de notre sol, il faut
éviter à tout prix de déranger ce fragile équilibre qui existe entre la faune
du sol et la rhizosphère, qui est la zone d’activité intensive autour des
racines des plantes. Donc pas de travail du sol, pas de labourage, pas de
motoculteur ! La seule exception faite serait un sol qui a été
sérieusement compacté au cours des ans et qui, justement, peine à respirer. Un
labourage serait ici nécessaire, ainsi qu’un apport d’amendements appropriés,
pour réinjecter de la vie dans le sol.
Autrement, un sol vivant travaillera pour vous. Les
racines des plantes, de même que les vers de terre s’occuperont pour vous de
labourer et d’aérer votre sol. Un apport de compost annuel (1cm) sera suffisant
à nourrir les microrganismes du sol qui eux prendront soin de vos cultures.
Vous imiterez ainsi la nature, en apportant, chaque année, un apport de matière
organique au sol (feuilles, bois mort, etc.) tout en laissant au sol le soin de
s’occuper de lui-même.
Un paillis ami
Cependant, ma recommandation ultime est celle d’utiliser
un paillis, comme le bois raméal fragmenté (BRF). Le bois raméal fragmenté est
un paillis qui est constitué de jeunes rameaux de feuillus, déchiquetés, et que
l’on peut se procurer auprès des émondeurs municipaux ou privés. La technique
du « couper et laisser tomber » les résidus de tailles (sains), que
vous aurez exécutés au cours de la saison, peut être utilisée en guise de
paillis naturel et gratuit ! Ces paillis, comme tous les paillis en
général (sauf le paillis de cèdre qui est trop long à se décomposer),
recouvrent le sol, ne laissant pas passer la lumière du soleil (qui serait
profitable aux pousses de mauvaises herbes), maintiennent stable la température
du sol, réduisent –sinon éliminent– tout besoin d’arrosage (autre que la
pluie) et nourrissent le sol !
La force de la tradition ?
Donc, cher ami, évitez de retourner la terre de vos
plates-bandes. Vous travaillerez pour rien, vous ferez monter en surface des
graines de mauvaises herbes en dormance qui n’attendaient que ça pour voir le
soleil, de même que vous contribuerez à défaire la structure de votre sol et
nuire à sa vie microbienne. Si la force de la tradition vous pousse tout de
même à jouer avec la terre de vos plates-bandes au printemps, contentez-vous
d’y planter une fourche ou une grelinette et faites de petits mouvements de
va-et-vient pour ameublir un peu la terre. Mais dites-vous, en revanche, que
pour faire cela, il vous faudra piétiner votre sol, ce qui est contre-productif !
Souvent, le moins nous intervenons dans les écosystèmes naturels ou
résidentiels, mieux ils se portent !
Au plaisir de faire votre connaissance dans un potager
près de chez nous !
Votre fermier urbain, Patrick
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Guêpes au parc Jean-Martucci
Le bac de sable semble en contenir plusieurs
Il y a quelques jours, un parent mettait en garde les parents du groupe FB Parents d’Ahuntsic. “Attention aux parents qui fréquentent le parc Jean-Martucci (NDLR: Christophe-Colomb et Émile-Journault). Dans l’aire de jeux en sable, il y a beaucoup de guêpes qui se creusent des trous et se font des nids dans le sable. Elles sont cachées, mais dès qu’on approche, elles sortent. Soyez vigilants!”
Évidemment, tout le monde a en mémoire le récent événement survenu en Estrie: Lucie Roussel, mairesse de La Prairie, est décédée après avoir été piquée par une quinzaine de guêpes. Elle avait marché sur un nid de guêpes en faisant du jardinage.
De là à s’imaginer le pire, il n’y a qu’un pas. Un autre parent répondait: “Même chose au parc Ahuntsic près des balançoires de bébé et aussi près d’une glissade jaune au parc situé au coin Christophe colomb et Sauvé. Il faut appeler le 311 pour le signaler.” Finalement, une autre mère écrivait: “Elles ne sont pas agressives. J’en vois dans les parcs depuis 2 ans.” (NDLR: La même maman référait au site de la Ville. Voir plus bas le lien Web).
L’arrondissement a été prévenu par le jdv en ce qui concerne le parc Jean-Martucci. Nous avons aussi demandé ce qui pouvait être fait dans pareille situation. D’abord, nous a répondu Louis-Philippe Meunier, porte-parole de l’arrondissement, il y a un panneau d’information sur le site, depuis le 20 juillet 2011, qui explique le cycle de vie des guêpes de sable.
Guêpes fouisseuses
« Les guêpes fouisseuses creusent des terriers dans le sable pour y déposer leurs oeufs. Une piqûre n’est pas impossible, a mentionné M. Meunier, mais les chances sont très minces car ces guêpes ne sont pas agressives et cherchent à nous éviter quand nous les dérangeons.”
Toujours selon M. Meunier, aucun incident n’a été rapporté à ce jour à Montréal. “Les guêpes fouisseuses sont utiles car elles nous aident à nous débarrasser des insectes nuisibles comme les mouches. On estime qu’une seule guêpe peut en capturer plusieurs centaines par année. De plus, elles aident à polliniser les fleurs et font partie de la biodiversité qu’il faut protéger.”
Parc Jean-Martucci En ce qui concerne le |
Sur le boulevard Gouin Ouest, entre Tolhurst et Jeanne-Mance
Une croix de chemin datant de plusieurs décennies rend l’âme
Dimanche 27 juillet était une journée comme les autres pour Sébastien Rivest, résidant du boulevard Gouin Ouest. Sauf, qu’une fois dehors, il a réalisé que la croix de chemin qui était depuis des décennies sur le terrain de son voisin…n’y était plus!
En fait, elle était toujours là, mais elle avait rendu l’âme, victime des années et des fourmis charpentières. Elle gisait donc, sur le sol, ayant happé la haie de cèdre en tombant. |
Page d’histoire
On se souviendra qu’un chroniqueur du jdv, dans sa Page d’histoire, avait présenté la croix de chemin du boulevard Gouin, dans son édition papier de mai-juin 2013. “J’habite ici depuis 2006, nous racontait M. Desjardins l’an dernier, (…). La croix existerait depuis environ 1909, et aurait été bâtie par les propriétaires de la ferme située sur le terrain, à l’époque, pour donner suite à une promesse qu’ils avaient faite durant une période de grande sécheresse, alors que le temps était devenu plus clément et qu’il avait plu.”
Remplacement de concert?
Claude Desjardins a l’intention de remplacer la croix. Dans l’intervalle, il a fait enlever les vestiges qui étaient infestés de colonies de fourmis, selon M. Rivest. “Le bois était pourri sur toute la longueur, infiltré d’eau, nous a laissé savoir M. Desjardins. Le poids était tel qu’on pouvait difficilement la déplacer. Après de multiples photos et mesures, on a donc dû la débiter et en disposer. Nous attendrons la suite de vos informations concernant sa reconnaissance comme valeur patrimoniale, ainsi que toute information sur son historique. Entretemps, les démarches de remplacement par une copie identique sont activées”, a-t-il conclu.
Questionné à savoir si l’arrondissement pouvait donner un coup de pouce au propriétaire de la croix de chemin pour remettre la croix en l’état, un porte-parole de l’arrondissement, Louis-Philippe Meunier a affirmé: “La Ville de Montréal n’a pas de programme de subvention pour restaurer des sites patrimoniaux sur le domaine privé. Par contre, la demande est prise en considération et des démarches sont actuellement entreprises auprès du bureau de l’art public de Montréal afin d’évaluer la valeur patrimoniale de cette croix de chemin. L’arrondissement attend les recommandations du bureau de l’art public de Montréal pour déterminer les suites de cette demande. ”
Toutefois, la croix a été complètement détruite compte tenu du degré de pourriture et du travail de destruction entrepris par les fourmis. L’arrondissement poussera-t-il à la roue pour aider Claude Desjardins à remplacer la croix s’il veut en installer une nouvelle, en souvenir de la précédente? À suivre. ((Par Christiane Dupont) (2014-08-01)
Pistes cyclables
Des cyclistes se heurtent à des poubelles…et au manque de jugeotte de certains éboueurs
Pour visionner la vidéo (de 20 sec.), cliquez ici (Crédit vidéo: Michel O. Girard))
Sur le chemin des vacances…
Histoires de poubelles, d’ici et d’ailleurs
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Le réchauffement climatique n’est pas une vue de l’esprit…
Et il prête à conséquence dans Ahuntsic-Cartierville, aussi
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Ah, oui, on en a des tomates!
Des jardiniers du quartier font le plein chaque automne!
.Mais les écureuils font la vie dure aux tomates ET aux jardiniers!
Le terreau est changé aux trois ans avec l’addition annuelle d’un compost de crevettes. “Je plante toujours 24 à 28 pieds de tomates, dit notre collaborateur : 12 rouges, 12 roses et quelques pieds de tomates cerises) la troisième fin de semaine de mai alors que les plants n’ont que six à huit pouces de hauteur.
Les tuteurs en bambou sont installés un mois plus tard ou au début de la floraison. À la fin de juillet, les plants atteignent souvent plus de cinq pieds en hauteur avec une bonne charge de tomates en murissement. La période de surveillance anti-écureuils commence alors et bat son plein jusqu’à la fin de la récolte.”
Connaissez-vous des trucs pour protéger les tomates contre ces indésirables ? Ils ont tenté la petite clôture, la farine de sang, le piment de cayenne et divers produits répulsifs sans grand succès. La question est maintenant entre les mains de notre chroniqueur horticole! (Par Christiane Dupont) (2014-08-01)
Tournage de L’Épicerie dans Ahuntsic-Cartierville
Les Marchés mobiles en vedette!
. Au centre communautaire Ahuntsic
Merci Elizabeth!
Une de nos journalistes-étudiantes termine son séjour au jdv
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Montréal Kerouac Blues, sur la route des mots – événement de poésie blues
le 8 août
La bibliothèque d’Ahuntsic et le FestiBlues International de Montréal
présenteront Montréal Kerouac Blues, sur
la route des mots, un hommage au poète Jack Kerouac qui aura lieu le
vendredi 8 août à 17 h au Café de Da.
Animée par Maxime Nadeau, la soirée débutera par une présentation de
documents visuels dans une ambiance de blues. Ensuite, une dizaine de poètes
liront des extraits de textes et de poèmes de Kerouac. Les invités seront : Claude
Beausoleil, Yolande Villemaire, Bernard Pozier, Alain-Arthur Painchaud, Shawn
Cotton, Gabriel Anctil, Christophe Pairoux, Caroline Le Gal, Diana del Angel et
Aurelio Meza.
Jack Kerouac, fils d’immigrés canadiens francophones, affirme très tôt sa
volonté de se tenir en marge de tout. Investi dans une quête initiatique
personnelle à travers les États-Unis, l’écrivain ne cesse de rechercher une
forme d’expression plus libre et plus puissante. Influencé par sa rencontre
avec Allen Ginsberg et William Burroughs, Kerouac devint rapidement le symbole
de la beat generation en publiant son
roman autobiographique Sur la route (1957). Considéré comme l’un des plus
grands écrivains américains du 20e siècle, Jack Kerouac est sans aucun doute un
incontournable pour tous les amoureux de la prose.
«Je veux être considéré comme un poète jazz soufflant un long blues au cours
d’une jam-session un dimanche après-midi», écrit le poète. Montréal Kerouac
Blues, sur la route des mots, c’est une vague de poèmes dans l’été montréalais
: flux et reflux de sons, de rythmes et d’images.
C’est un rendez-vous à ne pas manquer, le vendredi 8 août à 17 h au Café de
Da, situé au 545, rue Fleury Est. Activité gratuite, inscription obligatoire :
514 872-0568. (Source :
Arrondissement)
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Défi sportif Wixx au parc Ahuntsic le 25 juillet
Des activités emballantes pour faire bouger les jeunes
Baila, baila! (Dansez, dansez!)
Le 26 juillet: le parc Ahuntsic recevait le festival Cubaneando
Cliquez ici pour voir d’autres photos
Cliquez sur la vidéo (de 20 sec) pour la visionner
LE COIN COMMUNAUTAIRE |
Vous êtes d’un organisme communautaire? Vous désirez faire part à nos lecteurs/lectrices des activités, succès ou questionnements de votre organisme? Écrivez-nous à journaldesvoisins@gmail.com, ou appelez-nous au 514 770-0858. (Par Philippe Rachiele) (2014-08-01) |
Les jeunes de Trace ton toi vous invite à l’évènement de clôture du projet le lundi le 11 août
prochain à un 4 à 6 au Café de Da. Cela permettra de constater le
travail créatif de 8 jeunes du quartier qui se sont, durant les 10 dernières
semaines, ancrés dans un processus de mise en mouvement. De la photographie, du
cinéma, de musique et surtout des mots. L’expression de leur réalité, de leur
motivation et de leur créativité. Trace ton toi est un projet porté par
le CRÉCA (centre de ressources éducatives et communautaires pour adultes) dans
le cadre du Chantier Retour aux Études de la table de concertation Solidarité
Ahuntsic. Il permet à des personnes de 16 à 25 ayant quitté l’école de se
mettre en action par des ateliers d’expression, des formations multimédias et
des rencontres. Au fil du projet, ils ont bâti un projet collectif qui leur
tient à coeur et qui met de l’avant l’écrit. Ce projet collectif et quelques
surprises vous seront dévoilés lors de l’évènement de clôture !
Renseignements : tracetontoi.blogspot.ca (Source : trace ton toi)
Vous croyez important
d’offrir du transport à nos aînés (es) pour les cliniques médicales, l’hôpital, le centre commercial ou le resto ? Rejoignez l’équipe des chauffeurs et des responsables
de l’accueil, d’Entraide Ahuntsic-Nord.
Toute offre de service sera grandement
appréciée. Info France Brochu :
514-382-9171
portée grâce au Marché Mobile. La camionnette du Marché Ahuntsic-Cartierville sillonne l’arrondissement de nouveau cet été
et proposera des fruits et légumes locaux et saisonniers. L’horaire de juillet est le suivant :Métro Sauvé : Mardi au jeudi
de 15 h 30 à 19 h 30 (vendredi 15 h à 20 h)
HLM Berri-Lajeunesse :
Mercredi de 9 h à 11 h
Centre communautaire Laverdure :
Mercredi de 11 h 30 à 13 30
Résidences Roch-Pinard : Jeudi
de 9 h à 11 h
Villa Raimbault : Vendredi
de 9 h à 11 h
CSSS
BC-St-Laurent : 11 h 30 à 13 h 30
Studio d’Art St-Sulpice : Mardi
de 16 h 30 à 18 h 30
Bibliothèque Ahuntsic :
Jeudis de 18 h à 20 h
Fleury Ouest et Clark :
samedis de 9 h 30 à 14 h 30
YMCA : Dimanche : 11 h
à 14 h
Parc Tolhurst : mercredis de
17 h à 20 h
Ile de la
Visitation (Étienne-Brulé et rue du Pont) : vendredis 16 h à 20 h et
samedi de 10 h 30 à 15 h (Source : CDEC)
Vous voulez apprendre à rouler à vélo? Les bénévoles d’Ahuncycle vous attendent au parc Ahuntsic dimanche 3 août de 10 h à 11 h. C’est gratuit. Prêt de vélo et casque disponible (grandeur ado/adultes). Cherchez les bénévoles avec un dossard orange.
Clinique juridique le 6 août à 18 h 30
Sortie entre pères au Festiblues le 8 août à 18 h. Cinq places disponibles. Inscriptions : 514 381-3511
Sortie Jardin botanique et insectarium de Montréal le 9 août à 11 h. Huit familles maximum. Inscriptions : 514 381-3511
Cours de français gratuits à temps partiel de jour ou de soir, au CANA. Inscription : 514 382-0735 poste 225 ou 221
(Source : CANA)
Bénévoles visiteurs auprès
de personnes âgées demandés ! Vous aimeriez développer une relation d’amitié
durable avec une personne âgée et lui offrir de beaux moments de réconfort ?
Vous souhaitez lutter contre l’isolement des personnes âgées en donnant un peu
de votre temps et vivre des moments de joie ensemble ? Vous pouvez nous
aider à réaliser cette belle mission comme bénévole visiteur à des personnes
âgées d’Ahuntsic-Cartierville. Vous ferez ainsi une différence dans
la vie des Vieux Amis. Bénévolat selon vos disponibilités ! Renseignements
: Ouassima au 514 527-8653 poste 236 www.petitsfreres.ca » (Source : Les petits frères)
………………………………….LE COIN DES COMMERÇANTS
Sur Fleury Ouest
L’activité Goûte ton quartier sur FLO
a attiré près de 35 personnes qui ont eu droit à une visite commentée de Jean Gauthier, le président de FLO. Il y a eu rencontre et dégustations chez les marchands participants suivants : La chocolaterie Bonneau, la Bête à pain, la Consigne, les Cavistes, le Chien Rose, Traitteur Piatto Rustico, le Bruloir, l’Artizan Pizza, le 132 Bar Vintage. La très grande majorité des participants étaient des citoyens venaient de d’autres quartiers pour découvrir Fleuy Ouest.Le restaurant Les Cavistes invite à une rencontre avec Alexandre Fouque de Faugères. “Dans le métier, nous appelons ça une débouchette… Une occasion d’ouvrir des bouteilles et de jaser de vins, sans nécessairement calculer ses dires ni intellectualiser le liquide. Une occasion d’échanger autour de bons vins et de discuter avec les gens qui se mettent les mains dans le jus… de raisin. C’est à ce genre d’apéro que nous vous convions le jeudi 7 août prochain dès 18h. Pour l’occasion nous discuterons et dégusterons avec Alexandre Fouque, du domaine de la Tour du Penedesses.”30,5$ pour les cinq vins en format dégustation de 2oz. Les taxes et le service s’appliquent pour un total de 40$.
Infos.: Débouchette.
Sur La Promenade Fleury
Gens d’affaires et commerçants d’Ahuntsic-Cartierville: vous avez des nouvelles, petites et grandes, susceptibles d’intéresser nos lecteurs? Écrivez-nous à journaldesvoisins@gmail.com, ou appelez-nous au 514 770-0858.
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BRÈVES…BRÈVES…BRÈVES…BRÈVES…BRÈVES…BRÈVES…
Avis à tous les Dumas d’Ahuntsic-Cartierville. Rendez-vous à Lac-Mégantic le 27 septembre 2014. Invitation à tous les Dumas et
aux personnes amies, alliées ou affiliées aux Dumas (mère, grand-mère, etc.) à
venir démontrer votre solidarité avec cette ville qui se relève de la
catastrophe qui l’a frappée le 6 juillet 2013 et à découvrir son histoire, ses
beautés et celles de sa région. Au programme, assemblée générale en matinée
suivie de conférences, stands d’information, dîner et souper, etc. Inscription
de 25 $ à 50 $. Info : http://www.genealogie.org/famille/dumas/
ou 418-658-4634.
»
Samedi, le 6 septembre à Sainte-Marguerite pour le 150e de l’église. Au programme : retrouvailles, 2 repas, variété d’activités. Informations: 418 -935-3468 ou : sblais6@globetrotter.net
Du microplanage près de chez-vous? En plus des travaux de réfection de la
chaussée et des trottoirs, l’arrondissement effectue également des travaux de
microplanage au cours de la saison estivale. Pour consulter la liste
des travaux prévus pour 2014, cliquez ICI. (Source : Arrondissement)
Pour en savoir plus sur le microplanage, lisez notre entrevue avec le directeur des travaux publics de l’arrondissement, M. Louis Lapointe dans nos actualités du 26 avril 2013.
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QUOI FAIRE….QUOI FAIRE…QUOI FAIRE…QUOI FAIRE…QUOI
Énergi’Z toi!, L’arrondissement
invite les enfants à jouer dehors! Viens
rencontrer les animateurs de parcs, ils te feront découvrir de nouveaux jeux en
jouant avec toi et tes amis!
2 et 3 août, de 14 h à 20 h, Parc Gabriel-Lalemant, rue
Sauvé Est/rue Parthenais
9 et 10 août, de 11 h à 20 h, Parc Raimbault, 12377, rue
Notre-Dame-des-Anges
16 et 17 août, de 13 h à 20 h, Parc Saint-Alphonse, Avenue
Émile-Journault/avenue de Chateaubriand
Il sera possible d’utiliser : balles,
ballons, cerceaux, corde à danser, craie de trottoir, frisbee, jeux de
pétanque, jeux de sable, mini-soccer, cônes, bulle de savon, jeux d’adresse,
etc. Ces équipements sont aussi prêtés tout au long de l’été selon la présence
des surveillants. (Source : Arrondissement)
Danse traditionnelle québécoise
en plein air au parc de Beauséjour avec la Société
pour la promotion de la danse traditionnelle québécoise (SPDTQ) tous les
dimanches de l’été jusqu’au 17 août 2014, entre 13h30 et 17h30. Apportez vos chaises, votre pique-nique, vos
amis et votre bonne humeur et on vous attend pour danser ensemble les belles
danses traditionnelles du Québec: sets carrés, contredanse et valses. Un
câlleur et des musicien-ne-s de la SPDTQ/Espacetrad seront sur place, près du
café du parc de Beauséjour pour vous accueillir. (Source :
SPDTQ-Espace Trad)
La lune – Sérénades le 13 août 20 h 30 sur le parvis de l’église St-André (en cas de pluie à l’intérieur). Apportez votre chaise. 20$.
Le soleil – le 14 août à 20 h 30 chez Mode Koury (1211 Fleury E.) apportez votre chaise. 20$
Regard à la terre – le 15 août à 20 h 30 dans la cours d’une résidence privée. Apportez votre chaise. 20 $
Territoires intimes – le 16 août à 20 h au Collège Régina Assumpta 25$. Info : concertahuntsicenfugue@gmail.com. Que ce soit sur un parvis d’église, dans un commerce ou une salle plus conventionnelle, la qualité des interprètes et du répertoire demeurera une priorité constante. (Source: Ahuntsic en fugue)
Suivez la tournée AHUNTSIC Parc Gabriel-Lalemant – Mercredi 6 août, 15 h à 19 h 30 |
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Si vous voulez contribuer à une meilleure information locale…
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Faites-le par la poste en envoyant votre chèque et vos coordonnées au : 10369, rue Clark, Montréal QC H3L 2S3.
Nous recevons des dons de différents montants et chacun d’entre eux est précieux! Il démontre que les résidants ont à coeur la qualité de l’information locale.
Par ailleurs, la carte de membre coûte 10 $ (moins de 3 cents par jour) et elle est valable pour l’année 2014.
Vos coordonnées doivent inclure vos nom et prénom, votre adresse courriel (si vous en avez une), et votre adresse postale.
Joignez-vous aux quelques 130 autres membres! (C.D.)
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Cette semaine, sur Facebook, voici les sujets que nous avons abordés et que vous avez manqués si vous ne nous suivez pas sur les réseaux sociaux:
- Plan de développement des berges, baignade possible?
- Visite des toits des fermes Lufa au Marché central
- L’entrepreneuriat, possible pour les immigrants?
- Pour les jeunes qui s’ennuient…
- Nouvelle voie réservée sur le boulevard de l’Acadie
- Après les placotoirs, voici les effoiroirs…
- Visite virtuelle de Cité Historia
- Notre chroniqueur horticole à Montréal par la racine
- Conversations d’économie sociale de Montréal: jdv y était!
- Changements des noms de stations de métro, dont L’Acadie
- Comment mettre sur pied une ruelle verte
- Faune urbaine en ville: et vous qu’avez-vous vu?
etc. etc. etc.
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Vous avez manqué des Actualités?
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Nous reconnaissons la contribution financière du ministère de la Culture et des Communications du Québec dans la réalisation de journaldesvoisins.com
Nous reconnaissons la contribution financière du Fonds d’économie sociale de la Corporation de développement économique (CDEC) Ahuntsic-Cartierville dans la réalisation de journaldesvoisins.com
Journaldesvoisins.com :
- Premier prix, catégorie Opinion, pour “Le bien des autres”, éditorial du bimestriel papier de décembre 2013, aux prix de l’AMECQ
- Gagnant d’une bourse de 5 000 $ au concours Entreprenez à Ahuntsic-Cartierville, édition 2014
- Mention “Coup de coeur du jury” au Concours québécois en entrepreneuriat, CQE Est de Montréal, édition 2014
- Participant à la finale régionale de Montréal au Concours québécois en entrepreneuriat, édition 2014, dans la catégorie “économie sociale”
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Journaliste, version Web, été 2014: Élizabeth Forget-Le François
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Dépôt légal, version papier: BNQ – ISSN1929-6061
Dépôt légal, version Web: BNQ – ISSN1929-607X
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