Les Actualités du 1er avril 2016 1
EN PRIMEUR:
Dans le Sault-au-Récollet
La fontaine du boulevard Gouin renaîtra
Journaldesvoisins.com a appris que, pour le 374e anniversaire de Montréal, dans un esprit de mise en valeur du patrimoine du « Vieux-Montréal du Nord », la Ville-centre songeait à installer une fontaine construite à l’identique pour reproduire l’ancienne fontaine municipale du Sault-au-Récollet, qui a été longtemps l’attraction du boulevard Gouin Est, à l’intersection de la rue de Martigny.
Installée en 1914 – année du début de la tristement célèbre Première Guerre mondiale – par la petite municipalité du village du Sault-au-Récollet, cette fontaine a eu pignon sur rue durant de nombreuses années, là où le boulevard Gouin est très large.
Récentes fouilles archéologiques
Plusieurs décennies plus tard, la rue a repris ses droits à la suite d’importantes transformations de l’artère. Au cours de l’été dernier, il y a également eu des fouilles archéologiques sur ce site. Journaldesvoisins.com avait d’ailleurs écrit à ce sujet l’été dernier. Une fois ces travaux de fouilles terminés, après le remblayage, la Ville a installé une petite place de verdure qu’on peut voir actuellement.
Il s’agit donc de l’ajout d’une fontaine construite à l’identique, dans le même esprit que la reconstruction à l’identique de la Maison du peintre, à la nouvelle petite place gazonnée qui plaira sans doute aux résidants de l’endroit. En outre, les partisans de pisciculture et d’aquaponie pourront s’en donner à cœur joie.
Carte Accès Montréal
Le bassin encerclant la fontaine contiendra de l’eau douce biologique et sera agrémenté de microplantes indigènes et de petits poissons d’eau douce d’espèces locales vivant en circuit fermé. Sur présentation de la carte Accès Montréal, les citoyens seront invités à venir y taquiner le… poisson d’avril! (C.D. et P.R.) (2016-04-01)
Pour lire l’article du journaldesvoisins.com sur les travaux de fouilles archéologiques dans le Sault-au-Récollet, l’été dernier, cliquez ici.
Transfert de personnel
Vingt-huit employés des CLSC (CIUSS-Nord) transférés vers les GMF d’ici juillet
Jeudi, dans Ahuntsic, la haute direction du CIUSS du Nord-de-l’Île-de-Montréal (CIUSSS – autrefois CSSS Ahuntsic-Montréal-Nord) et son président-directeur général Pierre Gfeller ont tenu une importante rencontre pour annoncer aux représentants syndicaux que les compressions seront de 15 à 20 millions de dollars pour l’année financière qui débute ce premier avril.
L’an dernier, les compressions ou « optimisation » dans le langage bureaucratique de l’État ont été d’environ 27 millions de dollars. Entre autres, une cinquantaine de cadres avaient été remerciés.
Dans le cadre du plan du ministre de la Santé et des services sociaux, Gaétan Barrette, une partie des activités des CLSC (ici, on parle de ceux de Saint-Laurent, de Bordeaux-Cartierville, d’Ahuntsic, de Montréal-Nord, de Petite patrie et de Villeray) sera déplacée vers les GMF comme, par exemple, la Clinique médicale Ahuntsic au 241 ouest, rue Fleury. Dans les faits, le CIUSSS va transférer 18 travailleurs sociaux et 10 autres professionnels (comme des inhalothérapeutes, kinésiologues, nutritionnistes ou physiothérapeutes). L’idée du Ministère est que les services de première ligne doivent être là où les patients en ont besoin, soit dans les GMF.
Craintes syndicales
Ce n’est pas la totalité des services des CLSC qui s’en va, de préciser les autorités en santé. Toutefois, du côté syndical, on dit craindre un engorgement. En bout de piste, la clientèle vulnérable « va écoper ».
«Ici à Montréal, la situation est plus compliquée que dans les régions. On va manquer de personnel rapidement en CLSC. Les gens plus vulnérables dans la société ne vont pas là où il y a des ressources. Il faut aller les chercher, c’est la politique du « reaching out », a indiqué Marjolaine Gaudreau, leader syndical dans notre secteur au sein de l’Alliance du personnel professionnel et technique de la santé et des services sociaux (APTS) qui compte des centaines de membres ici. Il va sans dire qu’à Montréal, notamment le nord de la ville ou dans Villeray, il y a des besoins criants pour, notamment, une population âgée avec peu de ressources, les nouveaux arrivants, les gens peu scolarisés ou les jeunes attirés par la délinquance.
Autres interventions
Lors du dernier conseil d’administration de notre CIUSSS qui s’est tenu au Centre d’hébergement Laurendeau, des syndiqués avaient monopolisé la période de questions. Et ils étaient ressortis déçus du fait qu’ils n’avaient pas eu de réponses claires de la part notamment du patron Pierre Gfeller.
Maintenant, le plan du ministre Barrette (qui a rencontré plus tôt cette semaine les présidents des CISSS et CIUSSS) sera mis en branle et il faut s’attendre à une levée de boucliers, non seulement des syndicats et syndiqués, mais aussi des divers ordres de professionnels.
Pas plus tard que jeudi, l’Ordre des travailleurs sociaux disait s’inquiéter du déplacement de plusieurs de ses membres. «Les travailleurs sociaux déplacés vers les GMF doivent être remplacés, a averti l’Ordre. On peut craindre que dictées par les médecins propriétaires de cliniques privées et les besoins de leurs clientèles, les priorités soient complètement différentes». L’ordre a aussi fait allusion à l’importance de l’autonomie professionnelle.
De plus, certains craignent pour l’avenir des missions des CLSC, étant donné que plusieurs ne seront plus là.
La direction du CIUSSS sur notre territoire va répondre dans les prochains jours aux craintes soulevées par les syndicats et ordres professionnels face aux changements à venir. (Par Alain Martineau) 2016-04-01)
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Très beau projet pour l’av. Papineau
Mais Coalition Vélo Montréal et Vélo Québec trouvent que les cyclistes sont la cinquième roue du carrosse…
La voie réservée aux autobus/cyclistes (50 cm plus large que les autres voies) permettra le stationnement des véhicules en dehors des heures de pointe.. Pour les piétons, la Ville et l’arrondissement ont prévu un trottoir de quatre mètres qui sera construit du côté est le long du futur grand parc. Un système de recueillement des eaux de pluie sera également mis en place pour limiter les débordements dans les égouts lors de fortes pluies, une mesure favorisant le développement durable (DD).
Résidants satisfaits?
À la fin de la présentation, les résidants ont salué d’applaudissements les fonctionnaires ayant fait la présentation. On peut présumer qu’une grande partie de l’auditoire était heureux de ce qui est prévu. Une quinzaine de résidants ont pris la parole. Plusieurs craignent les débordements de circulation sur les rues locales, notamment sur la rue André-Grasset durant les travaux. Une résidente riveraine espère que ce réaménagement ainsi que le respect de la limite de vitesse à 50 km/h va réduire le bruit des voitures. Un résidant concerné par la traversée problématique au coin de Louvain s’est fait répondre qu’il devrait être plus facile de traverser avec la nouvelle configuration, car il y aura une voie de moins.
Projet en suspens-injonction
Pierre Desrochers, conseiller du district de St-Sulpice et président du conseil exécutif de la ville Centre, a dit être confiant que le différend avec les entrepreneurs qui ont obtenu une injonction pour stopper les travaux devrait se régler à temps pour que les travaux puissent commencer à la date prévue, soit le 1er mai et se terminer en septembre 2017.
Cyclistes déçus
« Je n’irai pas là en vélo me promener avec ma petite famille, c’est dangereux! », a commenté Pierre Lamarche, résidant d’Ahuntsic-Cartierville, l’un des porte-parole du groupe de transport actif Ahuncycle. « S’ils veulent encourager les familles à aller au grand parc, ce n’est pas en leur demandant de rouler dans la voie réservée aux autobus ou au stationnement. » Selon M. Lamarche, il serait beaucoup plus logique de réduire le trottoir de quatre mètres prévu à un trottoir d’une largeur normale, puis de faire une piste cyclable protégée accessible à tous, notamment aux familles et aux aînés. Pierre Lamarche trouve aussi étrange qu’il faille passer sur le gazon aux feux de circulation pour piétons face à la rue Barnabé-Larocque. Il espère qu’on construira des marches et un accès pour vélo lors du réaménagement.
Vélo Montréal/Vélo Québec préoccupés
Invitée à commenter la nouvelle infrastructure par journaldesvoisins.com, la Coalition Vélo Montréal se dit « très préoccupée par le fait que les plans de base de la ville, qui reflètent la vision de la ville pour les artères, ne comprennent pas une infrastructure incluant le vélo urbain. » Selon l’organisme cycliste, c’est inconsistant avec l’objectif du maire Coderre de faire de Montréal une ville cyclable à l’échelle mondiale. »
Pour sa part, l’organisme Vélo Québec se dit très déçu après avoir pris connaissance du projet. « Bien que le projet fasse la part belle aux piétons, au verdissement et à la gestion des eaux pluviales, force est de constater que les besoins des cyclistes n’ont pas été pris en considération : ceux-ci devront tantôt partager une voie trop étroite réservée aux autobus (en heure de pointe) et tantôt longer des autos stationnées, sans aucune voie cyclable », peut-on lire sur sa page Facebook.
Selon Vélo Québec, et bien que l’organisme se dise favorable au partage des voies entre bus et vélos, ce partage ne peut se faire qu’à certaines conditions (de vitesse, de largeur de voie, de séparation) et devrait être une solution de dernier recours. « Un projet de réaménagement d’une telle ampleur peut et doit clairement faire une place sécuritaire et confortable aux personnes circulant à vélo », conclut le lobby cycliste québécois. (Par Philippe Rachiele) (2016-04-01)
Pour plus de photos et tableaux détaillés, cliquez ici.
Pour consulter le document qui avait déjà été présenté au sujet du réaménagement de l’avenue Papineau, au congrès 2014 de l’Association du transport du Canada par Guy Trudel, conseiller en aménagement à la Division sécurité et aménagement du réseau artériel de la Direction des transports à la Ville de Montréal, cliquez ici.
Député dans Ahuntsic et L’Acadie
Décès de François Cloutier, ministre dans le premier Cabinet de Robert Bourassa
Ce médecin psychiatre s’était fait connaitre ici et à l’étranger, en occupant une fonction de prestige à la direction de la Fédération mondiale pour la santé mentale en Suisse, de 1962 à 1966. À son retour au Québec, le docteur Cloutier est sollicité pour présenter sa candidature pour le Parti libéral du Québec dans la circonscription d’Ahuntsic ou celle de Vaudreuil-Soulanges, en 1970.
Il a finalement opté pour Ahuntsic même si, dit-il, tout le monde le donnait battu face à un éventuel adversaire de prestige au Parti québécois, Jacques Parizeau, professeur aux HEC et ex-conseiller économique de premiers ministres québécois dans les années 1960. M. Cloutier a reconnu que la lutte avait été « très dure » dans Ahuntsic contre une organisation péquiste solide, avec des centaines de militants très actifs. Mais il l’a finalement emporté le soir du 29 avril 1970, le Parti libéral de Robert Bourassa ayant battu largement le gouvernement sortant de l’Union nationale.
Ministre de la culture
A son premier conseil des ministres, M. Bourassa nomma François Cloutier aux Affaires culturelles mais deux ans plus tard, il se retrouve à l’Éducation où il demeurera trois ans, un meilleur score en termes de longévité quand on compare à nos ministres d’aujourd’hui à ce difficile poste.
En 1973, avec la refonte de la carte électorale, Ahuntsic est remodelé et François Cloutier opte pour la circonscription la plus à l’ouest (plus anglophone et allophone) L’Acadie, au lieu d’Ahuntsic qui deviendra Crémazie. Il gagnera par 10 000 voix alors qu’il l’avait emporté avec un peu plus de 1000 voix contre Parizeau trois ans plus tôt.
À l’époque, plusieurs n’hésitaient pas à dire qu’il avait eu la frousse d’affronter une deuxième fois Jacques Parizeau, qui devait être beaucoup plus présent dans la circonscription, notamment avec sa femme Alice, alors que son slogan de campagne était « Soyons librement confortables ».
Toutefois, même si le PQ devait passer de 23 à 30% en suffrages exprimés des voix, le PLQ, profitant de la division du vote des partis d’opposition, raflait presque tous les sièges à l’Assemblée nationale.
Loi 22
Mais comme l’Union nationale en 1970 avec son bill 63, la question linguistique devait venir hanter les libéraux qui ont présenté le projet de loi 22, confirmant le francais comme la langue officielle du Québec mais permettant des largesses pour l’accès à l’école anglaise. Les fameux tests linguistiques prévus en faisaient rager plusieurs et même des anglophones n’avaient pas digéré la loi.
M. Cloutier quittera la politique avant la campagne électorale de novembre 1976 qui allait porter au pouvoir le Parti québécois. Il sera nommé délégué général du Québec à Paris en septembre 1976, poste qu’il conservera jusqu’en février 1977. L’homme distingué a dit avoir préféré quitter, ayant très peu d’affinités avec un parti indépendantiste au pouvoir, fraichement élu.
Mais il devait fort bien savoir aussi que le nouveau gouvernement était certes pour le remplacer pour nommer une « valeur sûre » comme délégué en France, un poste hautement stratégique dans la préparation d’un premier référendum sur l’indépendance promis par René Lévesque.
Fin de la politique
M. Cloutier a repris le travail en psychiatrie mais à Paris. Il sera nommé chef du service de médecine psychosomatique à l’Institut de psychiatrie La Rochefoucauld. Il prend sa retraite en 1990.
Auteur de divers ouvrages, il sera décoré du grade de commandeur du Mérite national français, de chevalier des Palmes académiques et de chevalier des Arts et des lettres. Il a reçu le prix René-Chalut en 2005 et le prix Richelieu Senghor 2011. Il s’était remarié en 1976 et avait deux filles.
Un autre ministre du nord de Montréal a aussi rendu l’âme récemment. Le 25 janvier dernier, on apprenait le décès de Georges Tremblay, l’ex-député libéral dans Bourassa. L’ex-conseiller municipal de Montréal-Nord avait été élu 1966, puis réélu quatre ans plus tard. Juste avant l’élection du 29 octobre 1973, il était nommé président de l’Office des autoroutes du Québec, poste qu’il occupa pendant 10 ans. Il avait 88 ans. (Par Alain Martineau) (2016-04-01)
Faillite de Cité historia
Des citoyens du Sault-au-Récollet se mobilisent pour obtenir des réponses
La propriétaire du café le Pressoir du Sault, Jocelyine Brien, également résidante d’Ahuntsic, a invité, pour une première rencontre, quelques voisins et résidants préoccupés par la fermeture abrupte du site. « Je suis inquiète, déçue de voir cette faillite. C’est le deuxième site historique en importance à Montréal, après le Vieux-Montréal. C’est un joyau qui nous appartient », rappelle-t-elle.
Dégringolade
Un citoyen présent à la réunion, Martin Desmarais, dit qu’il avait remarqué une « dégringolade » des services au cours des dernières années, mais n’aurait jamais pensé que Cité historia se rendrait jusqu’à la faillite.
Plusieurs rumeurs courent à savoir pourquoi l’organisme, qui a déjà été rentable, a perdu autant d’argent en si peu de temps. Les élus disent être surpris par cette faillite et les membres du conseil d’administration refusent de parler. Mais les citoyens souhaitent avoir des réponses plus claires que des rumeurs.
Le prochain, redevable!
« Il y a beaucoup de ouï-dire. Mais personne n’arrive pas à mettre le doigt sur ce qui s’est vraiment passé. Les gens trouvent ça bizarre que ça va être étouffé », ajoute M. Desmarais, qui gère également la page Facebook « Action citoyenne Ile Visitation ».
En fait, les citoyens présents étaient unanimes sur un point : « le prochain organisme qui sera choisi pour gérer Cité historia devrait être redevable au public », dit Mme Brien. Les citoyens aimeraient notamment que le service des Grands parcs de la Ville de Montréal et l’arrondissement assurent une plus grande transparence dans le dossier. « Comme contribuable, je veux savoir ce qui se passe », ajoute Mme Brien.
Fonds publics disparus
Jocelyne Brien et Martin Desmarais s’inquiètent aussi de voir disparaître avec cette faillite des milliers de dollars en fonds publics qui ont été investis pour assurer la survie et la croissance de Cité Historia.
Par ailleurs, y aura-t-il vraiment une ouverture du site cet été, se demandent-ils?
Le groupe doit de nouveau se rencontrer sous peu afin de discuter des façons de se mobiliser. Ils espèrent ainsi faire pression sur les élus afin qu’ils agissent rapidement et qu’ils sauvent ce qui reste de cet organisme qui ne tient qu’à un fil. (Par Mélanie Meloche-Holubowski) (2016-04-01)
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Ancien terminus de la STL à Ahuntsic
Le conseiller Pierre Desrochers est ouvert à une discussion franche pour le redéveloppement des terrains
Il se trouve au sud de la caserne de pompiers (Lajeunesse-Gouin), au nord de la Brasserie du métro et de l’une des entrées du métro, et entre les rues Lajeunesse et Basile-Routhier.
Le Groupe Maurice (Les Jardins Millen), dit-on, aurait l’œil sur ce terrain. Il y a de quoi, le Groupe, a développé le vaste terrain laissé vacant un peu à l’est à la suite de la débâcle de la chaîne d’alimentation Steinberg pour y bâtir divers types de résidences pour gens âgés. Toutefois, au moment de mettre sous presse, nous n’avions pas reçu la réponse du développeur à notre question.
Au gouvernement du Québec, la Société québécoise des infrastructures (SQI) a confirmé que c’est le courtier international CBRE Canada (pour qui le français semble peu compter) qui a le mandat de recevoir les offres des intéressés dans le cadre du processus de mise en vente du terrain. De plus, une annonce sera bientôt publiée sur le Système électronique d’appel d’offres du gouvernement du Québec.
Interrogations pour l’avenir
Mais des groupes sociaux aussi tiennent à prendre leur place dans le débat sur les terrains « vagues » qui se font de plus en rares à Montréal. Et encore plus quand ils sont hyper bien localisés.
Lors de la dernière séance du conseil de l’arrondissement, un citoyen est intervenu en son nom personnel au sujet de ce terrain. La question s’adressait au conseiller de Saint-Sulpice, Pierre Desrochers, qui est aussi le « ministre » des Finances à la Ville en plus d’être le président du comité exécutif.
Voulant le « meilleur projet possible pour cet endroit », le citoyen qui demeure non loin voulait savoir si la Ville comptait intervenir. « Est-ce que la ville a l’intention d’adopter une stratégie proactive pour avoir le contrôle sur le développement du terrain… Cela permettrait une consultation publique pour avoir le meilleur projet possible, démarche qu’avait aussi réalisée Clément Demers avec le Quartier international », a-t-il indiqué.
Réponse de la Ville
M. Desrochers a d’entrée de jeu reconnu qu’il y avait plusieurs groupes qui s’activent afin que l’administration réponde aux attentes des gens afin qu’il y ait « une composante de développement social » sur l’emplacement.
« Je reconnais, a affirmé Pierre Desrochers, que la SQI a des objectifs pour avoir le meilleur prix possible. Mais il peut y avoir des discussions pour répondre aux divers projets. Il y a des exemples d’organismes autres que la Ville qui peuvent prendre en charge des projets dans certains quartiers. On met des exigences et on laisse le marché répondre à ces exigences. On peut ainsi obtenir un excellent prix avec des critères bien établis », a-t-il ajouté.
Logis sociaux
M. Desrochers a rappelé que son collègue responsable de l’habitation au comité exécutif de la Ville, Russell Copeman, défend les orientations de la ville afin que tous les projets de plus de 100 logements respectent les critères pour avoir 15 pour cent de logement social et 15 pour cent de logis abordables.
Mais malgré tout, pour l’instant, les promoteurs peuvent se défiler de cette obligation, en versant à la place un montant compensatoire allant au développement social. « Nous espérons avoir un jour les pleins pouvoirs en cette matière, dont celui de les appliquer, dans le cadre du projet de loi sur la métropole (pas encore voté) », a insisté le président du comité exécutif. Alors, on va tenter de répondre aux attentes. » Pierre Desrochers a rappelé en bout de piste que tous les paliers de gouvernements prennent les mesures appropriées pour appuyer le logement social.
Interrogé cette semaine par journaldesvoisins.com, ce citoyen a rappelé qu’il voulait une seule chose. Que l’on réalise, conjointement avec les gouvernements s’il le faut, le meilleur projet pour cet emplacement, « un projet dont les citoyens du quartier seront fiers ». (Par Alain Martineau) (2016-04-01)
Chantiers rue Sackville, cet été
Montréal procédera à d’importants travaux entre Henri-Bourassa et Prieur
Selon Mme Pagé, les canalisations dateraient des années 1950. La ville Centre analyse l’ensemble des travaux à effectuer sur l’île et détermine quelles sont les rues qui seront priorisées. Cette année la rue Sackville a été retenue.
L’arrondissement d’Ahuntsic-Cartierville n’aurait pas encore reçu le calendrier des travaux qui seront pilotés par la Ville- Centre et qui auront lieu sur son territoire. Il ne nous a donc pas été possible de déterminer à quel moment sera amorcée la réfection de la rue Sackville. « Les travaux commencent, comme toujours, autour du mois de mai, mais nous n’avons pas encore reçu l’échéancier de la Ville-Centre », a expliqué Mme Pagé.
Améliorations à prévoir
Bien que l’objectif des travaux n’est pas d’embellir la rue Sackville, les résidants peuvent s’attendre à certaines améliorations. « Habituellement, la ville en profite pour améliorer les infrastructures. Il y a certainement des sections de trottoir qui vont être refaites. Est-ce qu’il y aura, par exemple, l’ajout de fosses pour la plantation d’arbres? Ça se peut aussi. On va savoir cela au courant des prochaines semaines », a conclu Mme Pagé. (Par Thomas Deshaies) (2016-04-01)
La Ligue d’impro Semi-Lustrée
Une ligue qui a du vernis!
La division nord entre en finale
Ne s’improvise pas joueur semi-lustré qui veut. Si la ligne n’est pas professionnelle, les joueurs – il y en a cinq par équipe – ne sont pas des débutants pour autant. « En temps normal, nous tenons un camp de sélection en septembre, sur deux journées ou une soirée. Entre 60 et 90 personnes s’y inscrivent », expose M. Ash, membre du Nus de Picasso, nom emprunté à la palette Sico.
Règles du jeu
Le jeu de la Ligue Semi-Lustrée est moins formel que celui de la Ligue nationale d’improvisation. « On a adopté le vote appréciatif, le public indiquant s’il a aimé ou pas l’impro. Cela oblige les joueurs à jouer ensemble pour donner un meilleur spectacle. En faisant ça, on a remplacé l’arbitre par un préfet de discipline, moins présent que l’arbitre, mais qui peut distribuer des pénalités. » Le préfet aurait même un rôle éducatif, puisqu’il explique ses décisions, lesquelles peuvent être rejetées ou non par le public.
« Un bon public à Ahuntsic, c’est 25 personnes pour avoir de l’ambiance. Y a des soirées qui ont été plus dures en janvier. C’est sûr que quand on a 60 personnes, on se peut plus, lance en riant le directeur de la Semi-Lustrée. Mais on commence à avoir des gens qui suivent leur équipe, des amis proches, une clientèle qui revient selon l’équipe qui joue. »
« À la fin de la soirée, on passe le chapeau. C’est pas l’idéal, on va se le dire. Au Brouhaha, c’est pas de la petite bière à deux piastres le pichet. À la fin, y en reste plus. Probablement qu’on va revenir au tarif de 5 $ à l’entrée. »
M. Ash salue l’étroite collaboration que sa ligue a développée avec le pub. « Le Brouhaha, c’est un très grand partenaire, ils nous ont fait confiance. On a une salle à part qui donne sur Fleury. On a participé à l’achat d’équipement, des micros. On leur passe notre équipement, et en retour on utilise la salle gratuitement », raconte-t-il.
Tournée en France
Depuis 12 ans, la Ligue fait une tournée annuelle en France, y disputant une vingtaine de matchs. « C’est un trip exceptionnel! Là-bas, l’impro remplit des salles de 300 spectateurs. C’est la folie. Nous, on se dit amateurs, mais en France, on est des héros. On est considérés comme les enfants de Robert Gravel, c’est comme une sorte de culte. Ils ont de très bonnes équipes, et on s’amuse beaucoup », conclut le vétéran de l’impro Benoit Ash. (Par Christiane Dumont) (2015-04-01)
Pharmaciens proprios cherchent remède
Difficultés jusque dans A-C
« Les coupures devaient être faites, mais il y avait une compensation, qui, bien que temporaire, devait nous permettre de payer ces pertes. Le ministre de la Santé n’a malheureusement pas tenu parole et c’est ce qui nous a forcés à prendre des mesures pour réparer le tout », a témoigné à journaldesvoisins.com, Michel Abras, pharmacien propriétaire sur qui le report du déplafonnement prévu par l’entente a eu des conséquences substantielles.
Impacts importants
Propriétaire de la pharmacie Jean Coutu située à l’angle de Salaberry et de L’Acadie, M. Abras a dû réaliser plusieurs changements pour pallier ses pertes de profits, qu’il évalue à 25 % par mois. M. Abras a ainsi décidé de changer ses heures d’ouverture, en ouvrant son commerce une demi-heure plus tard qu’auparavant. Employant près de 70 personnes, il s’est également vu contraint de couper un total de près de trente heures côté techniciens de laboratoires, en plus d’un autre total de trente heures côté pharmaciens. En outre, il a décidé pour le moment de ne pas remplacer le poste d’une pharmacienne partie en congé de maternité.
« On ne veut pas arriver à ce point. On veut être présents toute la journée, ouverts plus longtemps et, surtout, ne pas avoir à couper dans les heures de nos employés. Mais malheureusement on est rendus au point où si l’on veut continuer à opérer, on n’a plus le choix », a fait valoir le pharmacien-propriétaire d’Ahuntsic-Cartierville.
Service à la clientèle en péril ?
S’il tente d’éviter autant que possible que ses pertes actuelles n’affectent le service à la clientèle, Michel Abras croit néanmoins que c’est ce qui se produira si la situation venait à perdurer. « Je devrais alors supprimer des postes permanents au laboratoire. Donc, c’est sûr que les temps d’attente devraient se prolonger, et ce dans toutes les pharmacies », a noté M. Abras.
Selon lui, à terme, c’est l’accès même au pharmacien qui devrait se complexifier. « On a beaucoup de personnes qui entrent simplement pour poser des questions, et le pharmacien est toujours disponible en quelques minutes. Alors si malheureusement les compensations ne sont pas là, la prochaine chose qui sera affectée, ça sera le temps d’attente pour les patients, car des coupures [NDLR : seront nécessaires] », a invoqué M. Abras tout en assurant espérer une résolution prompte et durable de la situation actuelle.
Conséquences provinciales, selon l’AQPP
D’après les résultats du sondage Léger mené au mois de mars pour le compte de l’AQPP auprès de 61 % des pharmacies du Québec, « il appert que la grande disponibilité des pharmaciens, une des facettes les plus appréciées par les patients, a régressé partout. Au total, les Québécois sont privés chaque semaine de plus de 3545 heures d’ouverture. En outre, plus de 48 000 heures de travail par semaine ont été coupées. Plusieurs pharmacies ont dû licencier du personnel : 934 employés à la grandeur du Québec, dont 187 pharmaciens », peut-on lire dans le communiqué de l’AQPP en date du 9 mars. (Par Rabéa Kabbaj) (2016-04-01)
Pour qui veut en savoir plus sur la situation qui prévaut chez les pharmaciens propriétaires, lisez la chronique de Stéphanie de Grammond en cliquant ici.
Problèmes de voisinage à Mtl dit Stat Can
Et la sécurité dans le voisinage d’A-C?
L’étude de Statistique Canada fait état de la consommation ou de la vente de drogues; du vandalisme ou de graffitis, ou d’ivrognes faisant du tapage – des problèmes allant en diminuant, si on se fie aux perceptions des résidants. Mais certains irritants se seraient aggravés depuis 2004 : soirées ou voisins bruyants, ou gens qui s’attardent dans les rues. Par ailleurs, les perceptions n’auraient pas beaucoup changé concernant les ordures qui traînent ou, encore, les attaques contre des gens en raison de la couleur de leur peau, de leur origine ethnique ou de leur religion.
Instabilité des ménages
Statistique Canada observe aussi que dans les quartiers de Montréal où le taux de déménagement est élevé, 46 % des résidants percevaient des problèmes de voisinage en 2014, une proportion qui chutait à 18 % dans les quartiers où le taux de roulement est moindre.
Or il se trouve que, dans notre quartier, les gens ont la bougeotte : sur les 121 025 résidants recensés en 2011, près de 14 % avaient déménagé au cours de l’année précédente, et près de 50 000 (43 %), dans les cinq dernières années, selon l’Annuaire statistique de l’agglomération de Montréal.
Tandem, un organisme d’action citoyenne en sécurité urbaine, a mené une campagne dans une vingtaine d’immeubles de 16 logements et plus dans Bordeaux-Cartierville en 2014, rapporte son directeur, M. Fiore. « On a cogné à chaque porte. C’est beaucoup un secteur de nouveaux arrivants, et notre perception était qu’ils n’avaient pas peur de leurs voisins. C’est clair que s’ils viennent d’une place où il y avait de la guerre, ils trouvent qu’ici, ce n’est pas si pire », expose-t-il, tout en expliquant qu’il ne pouvait se prononcer sur les données de Statistique Canada.
M. Fiore fonde sa perception de quiétude sur un autre fait. « Nous, on reçoit des rapports de la police lorsqu’il y a des vols par effraction dans un secteur. Là, on va sonner aux portes et on demande aux gens s’ils veulent qu’on évalue si leur demeure est sécuritaire. Eh bien! Si on fait 40 portes, il y en a deux qui vont dire oui à l’évaluation, même si un vol vient d’être commis dans le voisinage. »
Lutte aux graffitis
Contrairement aux idées préconçues, il y aurait davantage de graffitis dans le secteur est de notre quartier, estime M. Fiore. « Et la clé du succès, c’est de les enlever vite et de les enlever souvent », indique-t-il. Il ajoute qu’un « autre bon outil, c’est la murale, qui peut donner des résultats sensationnels. Dans 85 % des cas, elle est respectée.
Tandem a aussi une patrouille à vélo l’été, formée d’étudiants des deux sexes qui sillonnent les parcs tous les jours. Cette brigade informe les citoyens et fait en sorte que les citoyens se sentent en sécurité dans nos parcs, croit-il. (Par Christiane Dumont) (2016-04-01)
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Prix collégial du cinéma québécois, 5e éd.
Le Collège Ahuntsic participe
« Les cégeps participants organisent leurs propres activités de visionnement de films. Les étudiants sélectionnent alors les trois meilleurs films. Ils nomment ensuite un délégué pour les représenter aux délibérations nationales et devront être unanimes sur le choix du film qui sera consacré grand gagnant », a expliqué Marie-Noël Phaneuf, responsable des communications pour le PCCQ. Cette année les 53 établissements scolaires participants devaient choisir parmi cinq films : Felix Meira, Guibord s’en va-t-en guerre, Corbo, Chorus, et Le Profil Amina.
Faire des découvertes
L’objectif du PCCQ est de faire découvrir aux étudiants cégépiens le cinéma québécois, mais également les familiariser avec le processus d’analyse critique d’une œuvre. Les étudiants de toutes les disciplines peuvent y participer.
« Ce qui est intéressant, c’est qu’il devait y avoir moins de la moitié des étudiants qui étaient en cinéma. Les propos de ces personnes étaient aussi intéressants; ils étaient aussi intéressés par les films », a expliqué en entrevue Léa Mazeau, déléguée du cégep Ahuntsic aux délibérations nationales.
Chorus gagnant
Le film qui a remporté le prix du PCCQ est Chorus. Léa Mazeau a d’ailleurs affirmé avoir été agréablement surprise par ce choix. « C’est quand même un film d’auteur qui a été élu par la majorité. On constate l’intérêt des gens pour un cinéma qui n’est pas uniquement commercial. »
Mme Mazeau a souligné que plusieurs étudiants provenaient des régions du Québec où les salles de cinéma présentent une sélection limitée de films, excluant souvent les films non hollywoodiens. « Ce n’est pas parce qu’ils sont davantage en contact avec des superproductions qu’ils ne sont pas prêts à autre chose. Ça démontre qu’on est prêt pour des films qui prennent moins les spectateurs pour des personnes stupides », a-t-elle soutenu avec conviction.
Plusieurs personnes du milieu du cinéma québécois ont participé aux délibérations, dont Micheline Lanctôt qui animait la discussion. « Ils étaient intéressés à ce qu’on disait puis ils avaient foi en la jeunesse. Ça fait du bien! », a conclu la jeune étudiante. (Par Thomas Deshaies) (2016-04-01)
Pour en savoir plus sur le Prix collégial du cinéma québécois, cliquez ici.
The Food Room : précisions
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Le coin des commerçants
Chasse aux œufs a eu lieu samedi dernier sur La Promenade! « Ce fut un gros essoufflant et gros succès! », de dire en riant le directeur de La Promenade, François Morin. M. Morin évalue à environ 1000 personnes (au moins, dit-il) qui se sont présentées pour la chasse aux œufs sur La Promenade : parents, enfants, parfois grands-parents… « Majoritairement, nous pensons que ce sont des gens du quartier, dit-il. Nous en reconnaissons certains… ». Les participants se regroupaient environ aux 15 minutes et recevaient les consignes du personnel de la SDC. Ils devaient aussi remplir un coupon de participation sur le carton qu’il recevait pour les guider au cours du rallye. Ces coupons ont fait l’objet d’un tirage de quatre lots, soit deux chocolats de Pâques, gracieuseté du Vire-Vent, et deux chèques-cadeaux de 100 $, gracieuseté des marchands de La Promenade. Trois des gagnantes sont des mamans, soit Leia Pagé, Élisabeth Savard et Zoé Désilets, et le quatrième gagnant, un enfant, Sheldon-J. Germain.
Les pianos publics seront de retour sur le domaine public le 1er mai, pour une autre belle saison. Il y en a trois : deux d’entre eux reprendront leurs quartiers, soit devant l’église Saint-Paul-la-Croix, et l’autre près du bureau de la députée Marie Montpetit, près de la rue Christophe-Colomb. Quant au troisième, plus à l’est, son emplacement sera peut-être modifié. À suivre.
Marché Central
Selon le journal La Presse, la succursale Dépôt de la Société des alcools du Québec du Marché Central a généré le plus important chiffre d’affaires de tout le réseau au cours de la dernière année, soit près de 91 millions. « C’est trois fois plus que le magasin traditionnel le plus fréquenté de la province. Le succès des SAQ Dépôt repose sur le rabais de 15 % que ces magasins offrent à l’achat de 12 bouteilles. La SAQ y gagne elle aussi, car le rabais est payé par le producteur de vin et non par le monopole. »
Votre mag papier d’avril en ligne
Voici le lien pdf pour le lire en ligne, si vous ne l’avez pas déjà lu. Cliquez ici. Bonne lecture ! (C.D.)
LETTRES OUVERTES
Le maire Coderre veut les écoles
Par Fernand Lavigne
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BRÈVES…BRÈVES…BRÈVES…BRÈVES…BRÈVES…BRÈV
La députée d’Ahuntsic et ministre du Patrimoine canadien, Mélanie Joly, a rencontré des intervenants d’Ahuntsic-Cartierville venus participer une formation de deux jours sur l’intervention en milieu interculturel. La rencontre avait été organisée par le comité interculturel de Bordeaux-Cartierville les 29 et 30 mars dernier. Au cours de sa présentation, la ministre Joly a rappelé les démarches que le gouvernement fédéral effectue pour réduire les délais de parrainage pour les réfugiés, délais qui étaient auparavant de trois à quatre ans et qui se réduisent maintenant à seulement quelque mois. Elle a mentionné également l’obtention automatique de la résidence permanente pour les conjoints de résidants permanents qui sont déjà au pays afin de réduire la vulnérabilité des nouveaux arrivants. Elle a souligné les objectifs de parité homme/femme ainsi que de diversité que les 18 agences gouvernementales gérées par son ministère doivent atteindre. Elle a rappelé qu’Ahuntsic-Cartierville est l’une des trois circonscriptions fédérales au pays qui reçoit le plus de réfugiés. Finalement, elle a félicité tous les intervenants et les citoyens pour leur accueil auprès des réfugiés. L’activité était animée par le Service d’éducation et d’intégration interculturelle de Montréal en collaboration avec la Caisse Desjardins du Marché central. (Texte et photos : Philippe Rachiele)
En outre, si vous désirez regarder la séance du conseil en Webdiffusion, c’est sur le site de l’arrondissement, sous la rubrique « Mairie d’arrondissement », puis « Conseil en direct », par ici.
LE COIN COMMUNAUTAIRE
Le Centre d’action bénévole Bordeaux-Cartierville offre un service d’aide aux résidents de Bordeaux-Cartierville à faible revenu, qui ont besoin d’assistance pour compléter leurs déclarations d’impôt.
Prenez note des critères d’admissibilité. Il faut habiter le quartier, ne pas avoir travaillé comme travailleur autonome et correspondre aux revenus maximaux suivants ( personne seule : 25 000$; couple : 30 000$ et chaque personne à charge supplémentaire 2 000$; un adulte et un enfant : 30 000$ et chaque personne à charge supplémentaire 2 000$). Endroit : Centre communautaire Bordeaux-Cartierville, 1405 boul. Henri-Bourassa Ouest, bureau 200. Tél. : 514-856-3353 (2016-03-11)
Informations ( 514) 382-9171, poste 25 (2016-03-11) www.entraideahuntsicnord.org
(2016-03-11)
info@scalabrinimontreal.org (2016-03-22)
6 avril: S’approprier son ordinateur, sa tablette;
13 avril: Windows 10; 20 avril: Créer son courriel;
27 avril: Questions et réponses sur l’informatique.
De plus, la salle d’accès public sera ouverte les lundis et les mardis de 12h à 15h. Bienvenue à toutes et tous. Endroit: CRÉCA, 10 770, rue Chambord. (Source: CRÉCA) (2016-03-15)
QUOI FAIRE… QUOI FAIRE… QUOI FAIRE… QUOI FAI
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Exposition d’aquarelles d’un artiste-peintre, Roger Brière, ancien résidant du quartier Ahuntsic. 1er au 3 avril. Natif de Montréal-Nord, M. Roger Brière a vécu plus de 55 ans dans le quartier Ahuntsic. Il a participé à différents symposiums et à gagné plusieurs prix dont : premier prix du jury Ress-Art (2001) pour la peinture de l’église de la Visitation. Afin de soulier le premier anniversaire de son décès (1927-2015), sa fille et deux amies aquarellistes désirent lui rendre hommage en exposant ses œuvres à la Galerie d’Art de Sainte-Rose du 1 au 3 avril. (2016-03-15)
Dubé du bout du Bic. Dimanche 3 avril, 15h. Théâtre Bouches Décousues, Chansons pour les enfants âgés de 4 ans et plus. Du bout du Bic est une excursion musicale au bord du chemin d’eau chantée par Jasmine Dubé accompagnée par Christophe Papadimitriou (contrebasse, guitare et voix) et Luzio Altobelli (accordéon et voix). Laissez-passer disponibles dès le samedi 19 mars, 13 h à la Maison de la culture Ahuntsic. (Source : Arr. Ahuntsic-Cartierville) (2016-03-15)
Conférences à venir au Centre des femmes. Mardi 5 avril à 13h30 : « Surveillance des populations : Je n’ai rien à cacher, mais tout à craindre ! » offerte par La Ligue des droits et libertés. Tél.: 514-388-0980 (Source: Centre des femmes) (2016-03-15)
Récital de Claire Garand : Saint-Germain des Prés (1945-1965)
L’Alliance culturelle vous convie à un récital de Claire Garand : Saint-Germain des Prés (1945-1965). Cette matinée musicale a lieu à la salle de l’église Saint-Jude, 10120, d’Auteuil, de 13 h 30 à 15 h 30. C’est gratuit pour les membres de l’Alliance culturelle (50 ans et plus), 10 $ pour les non-membres. Information: 514-382-5716; www.allianceculturelle.qc.ca. (Source : Alliance culturelle) (2016-03-29)
Le Healing Touch : une thérapie énergétique et holistique à portée de main. Mercredi 6 avril, à 19 h. Café de Da, 545, rue Fleury Est. Une conférence présentée par un instructeur en Healing Touch, une méthode qui utilise l’énergie naturelle pour accroitre le bien-être du corps et de l’esprit. (Source: Arr. Ahuntsic-Cartierville) (2016-03-29)
Jean-François Bélanger et invité LES VENTS ORFÈVRES. Mercredi 6 avril, 20h. Invitation au recueillement autant qu’à la fête, ce concert du compositeur et multi-instrumentiste Jean-François Bélanger fait la part belle aux influences baroques et scandinaves. Laissez-passer disponibles dès le mardi 22 mars, 18 h à la Maison de la culture Ahuntsic. (Source : Arr. Ahuntsic-Cartierville) (2016-03-15)
Le PDQ 27 invite les citoyens du quartier Ahuntsic à
l’événement Café avec un policier. Montréal, le 24 mars 2016 – Les policiers du Poste de quartier 27 (PDQ) invitent les citoyens d’Ahuntsic à venir échanger avec eux dans le cadre de l’événement Café avec un policier. Quand : Le jeudi 7 avril 2016; Heure: De 9 h à 11 h 00; Lieu : Restaurant McDonald’s sis au 9797, rue Papineau.
Café avec un policier se veut une rencontre informelle qui permet aux policiers et aux citoyens de se réunir dans un espace neutre, favorable au dialogue. Cette activité a pour but de permettre à tous de discuter librement de divers sujets de sécurité publique et des préoccupations qui touchent les membres de la communauté d’Ahuntsic. De plus, il s’agit d’une opportunité pour renforcer les relations entre les citoyens et les policiers qui se retrouvent habituellement dans des situations d’urgence suscitant beaucoup d’émotions. Grâce à Café avec un policier, les citoyens pourront faire plus ample connaissance avec les policiers du PDQ 27 dans une atmosphère conviviale. (Source: Chantal Malo, SPVM, Agent sociocommunautaire, Poste de quartier 27) (2016-03-29)
Conférence: Nouveautés du monde horticole. Le jeudi 7 avril à 19 h 30. Prêts à accueillir le printemps? Pour sa prochaine conférence, la Société d’horticulture et d’écologie du nord de Montréal reçoit Mme Joëlle Venne qui nous parlera des Nouveautés du monde horticole. La conférence aura lieu au sous-sol de l’Église Saints-Martyrs-Canadiens, au 10 007, rue Partenais (coin Sauriol). Coût: 5$ pour un non-membre. Pour information: shenm1975@yahoo.ca (Source : SHENM) (2016-03-15)
Florent Vollant. Puamuna. Chants Innu. Jeudi 7 avril, 20h. Le printemps 2015 a été souligné par le retour de l’icône Innu Florent Vollant. L’artiste présente le projet dont il a rêvé depuis toujours, un album entièrement conçu, créé, réalisé chez-lui à Maliotenam au Studio Makusham. PUAMUNA signifie « rêve » (…). Laissez-passer disponibles dès le mardi 22 mars, 18 h à la Maison de la culture Ahuntsic. (Source : Arr. Ahuntsic-Cartierville) (2016-03-15)
Autochtones du Québec : réalités et enjeux au début du XXIe siècle avec Pierre Grégoire, B en droit, M. en anthropologie, les jeudis, du 7 au 28 avril 2016 inclusivement à la Salle communautaire de l’église Saint-Jude, 10 120 avenue d’Auteuil, Ahuntsic. Horaire des rencontres : le matin de 10h00 à 12h00 ou l’après-midi de 13h15 à 15h15. Ces cours sont offerts aux personnes de 50 ans et plus par l’Antenne universitaire du troisième âge de l’Université de Sherbrooke à Ahuntsic-Bordeaux-Cartierville. Une préinscription est obligatoire à www.usherbrooke.ca/uta/abc (Source: Univ. de Sherbrooke) (2016-03-15)
LO’JO Musiques métissées. Vendredi 8 avril, 20h. Qualifiés de saltimbanques musicaux de l’imaginaire, Lo’jo est un groupe de musique originaire d’Angers fondé en 1982 par Denis Péan et Richard Bourreau. La bande de bourlingueurs aux valeurs sociétales et à la vision unique façonnée au gré des voyages et des rêves, mélange des styles musicaux très variés : (…).Laissez-passer disponibles dès le samedi 26 mars, 13 h à la Maison de la culture Ahuntsic. (Source : Arr. Ahuntsic-Cartierville) (2016-03-15)
Cabaret Juste-Là. Klez-Kaba. Vendredi 8 avril, 21h30. Klez-Kabaret mêle musique instrumentale klezmer débridée et arrangements finement ciselés, chansons yiddish traditionnelles toniques ou poignantes et chansons originales sur des poèmes yiddish de Montréal, (…).Cabaret juste-là. Laissez-passer disponibles dès le samedi 26 mars, 13 h à la Maison de la culture Ahuntsic. (Source : Arr. Ahuntsic-Cartierville) (2016-03-15)
C’est le temps des sucres. Venez vivre la tradition de l’érable avec nous au Chalet du Ruisseau situé à 30 min. de Montréal. Départ de Mtl.: 10h00, retour à 16h30. Le prix comprend le repas et le transport par autobus. Réservation obligatoire: tél. 514-388-0980. Places limitées ! (Centre des Femmes) (2016-03-29)
Conférence gratuite sur le mandat en prévision de l’inaptitude.
Le mardi 12 avril au Centre de jour Berthiaume-Du Tremblay, de 19h à 21h, un avocat du barreau de Montréal viendra démystifier toutes les démarches relatives au mandat en prévision de l’inaptitude pour en faire bon usage. Ouvert à tous. Gratuit. Répit disponible sur demande pour les proches aidants. Information et inscription auprès de Sarah du Temps d’une pause au 438 497-8111 ou par courriel à accueil@tempsdunepause.org. (Source: Temps d’une pause) (2016-03-29)
Forum citoyen « Sault-au-Récollet en devenir» Solidarité Ahuntsic et ses partenaires vous convient au Forum citoyen « Sault-au-Récollet en devenir », le 16 avril prochain, de 10 h 30 à 15 h 30, au 1474, rue Fleury Est. Que vous soyez résident du district Sault-au-Récollet ou encore citoyen ayant à cœur l’avenir de ce secteur, venez prendre part aux ateliers qui aborderont plusieurs enjeux importants, notamment la place des aînés, la mobilité durable et la saine alimentation pour tous. Halte-garderie sur place. Un léger goûter sera offert ainsi qu’un service de halte-garderie. Le lieu est accessible pour les personnes à mobilité réduite. Inscrivez-vous en ligne en remplissant le formulaire. Vous êtes attendu! (Solidarité Ahuntsic) (2016-03-22)
La musique irlandaise de la Gaspésie à Montréal. Mercredi 27 avril, à 19 h, Café de Da. Le village gaspésien de Douglastown est reconnu pour ses traditions en musique, chant et danse, même si plusieurs membres de cette communauté sont aujourd’hui dispersés à l’extérieur de la Gaspésie, notamment à Montréal.L’ethnomusicologue et violoneuse, Laura Risk, mettra en valeur les traditions musicales de ce coin de pays méconnu qui se retrouvent à Montréal. Infos inscr.:514-872-0568. (Source: Arr. Ahuntsic-Cartierville) (2016-03-15)
Le répertoire familial de chansons d’Adélard Lambert. Mercredi 25 mai, à 19 h, Café de Da. Le Fonds d’archives inédites d’Adélard Lambert (1867-1946) comprend près de 700 artefacts de tradition orale : chansons, contes, danses chantées et jeux d’enfance hérités de sa famille. Danielle Martineau nous parlera plus particulièrement du répertoire chanté recueilli par Adélard Lambert. Infos inscr.:514-872-0568. (Source: Arr. Ahuntsic-Cartierville) (2016-03-15)
Autres idées d’activités sans date précise
C’est gratuit! Viens bouger! Tous les lundi à 9 h et les mercredi à 19 h Départs au Parc des Hirondelles (coin Larose / Fleury)
Responsable : Alain Lavigne (514) 419-2786 (Source : Marcheurs Philanthropes)
Numéros de téléphone utiles
Bibliothèque d’Ahuntsic : 514 872-0568
Bibliothèque de Cartierville : 514 872-6989
Bibliothèque de Salaberry : 514 872-1521
Café de Da : 514 872-5674
Le Rendez-vous du thé : 514 384-5695
Maison de la culture : 514 872-8749
* Les renseignements de la section Quoi faire sont publiés à titre indicatif. C’est avec plaisir que journaldesvoisins.com corrige les coquilles, mais il ne peut être tenu responsable d’erreurs ou d’omissions.
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