Les Actualités du 20 juin 2014
Parachèvement de l’autoroute 19
Encore des délais et un appel pour audiences publiques
Pierre Desrochers, conseiller de Saint-Sulpice et président du conseil exécutif de la ville de Montréal, a été déçu d’apprendre que l’échéancier du gouvernement est reporté de deux ans. « Je ne suis pas du tout en désaccord avec le projet. Pour les gens de la Rive-Nord et de la couronne nord, c’est important, mais on veut bien saisir les impacts sur l’île de Montréal et, le cas échéant, assurer que les mesures d’atténuation soient mises en œuvre. »
Tous ceux qui désiraient que le projet de l’autoroute 19 soit discuté et évalué publiquement cet automne avaient jusqu’au 9 juin dernier pour en faire la demande. M. Desrochers assure que l’arrondissement et la ville de Montréal ont transmis une demande formelle au ministre responsable de l’Environnement pour réclamer une audience publique dans la métropole.
Maria Mourani, députée fédérale d’Ahuntsic, a insi que des conseillers de Projet Montréal, dont la conseillère municipale, Émilie Thuillier, ont également fait parvenir une lettre au Ministère. Dans un communiqué datant du 6 mai, la conseillère municipale justifiait sa demande: « En tant qu’élus montréalais, nous nous inquiétons de l’augmentation du nombre d’automobiles qui se déverseront en milieu résidentiel sur l’île de Montréal par le pont Papineau-Leblanc. Nos rues sont déjà aux prises avec des enjeux de circulation de transit. »
« Rien n’a été prévu dans notre quartier, dénonce Azzedine Achour, coordonnateur de Solidarité Ahuntsic et membre du Comité de veille pont Papineau. Nous revendiquons pour ce projet une audience du BAPE ici pour qu’on informe vraiment nos résidants et qu’on écoute leurs suggestions et même leurs réactions s’il y en a! »
M. Achour déplore n’avoir aucune étude en main afin de prévoir l’impact du parachèvement de l’autoroute 19 dans les rues d’Ahuntsic-Cartierville. « Le plan de circulation sera-t-il viable ou toujours valable ? On ne sait pas, d’où l’audience », s’exclame le coordonnateur de Solidarité Ahuntsic. « Ce sera vraiment pour nous le moment où les expertises pourront être à la disposition de la population pour répondre à toutes ces questions. Sinon on ne fait que tergiverser », ajoute Azzedine Achour.
Le ministère des Transports du Québec note que les Ahuntsicois ont été invités, en juin 2011, à s’informer et à faire part de leurs préoccupations aux deux portes ouvertes tenues à Laval. L’invitation avait été lancée dans le journal Courrier Ahuntsic / Bordeaux-Cartierville. (NDLR : Journaldesvoisins.com n’existait pas à l’époque)
Pour M. Achour, l’initiative est insuffisante. « On souhaite être informé directement, pas par le biais des journaux ou par une séance d’information à Laval », explique le membre du Comité de veille pont Papineau.
En 2013, à l’occasion d’une rencontre avec des cadres du MTQ provoquée par Diane De Courcy, députée sortante de la circonscription de Crémazie, le Comité de veille pont Papineau a été en mesure de partager ses craintes.
Le regroupement a fait valoir qu’Ahuntsic-Cartierville détient un bilan routier inquiétant. Avec 4961 blessés de la route recensés entre 1999 et 2008, dont 429 d’âge scolaire, les membres sont préoccupés par l’accroissement du nombre de véhicules qui emprunteront le pont Papineau-Leblanc. L’augmentation de la circulation de transit à la suite du prolongement de l’autoroute 19 pourrait, à leur avis, accentuer les risques d’accident.
En tant qu’ingénieur à la retraite et ancien conseiller municipal dans l’arrondissement d’Ahuntsic, Pierre Bastien s’est beaucoup intéressé à la problématique de la circulation de transit. Après des interdits de virages à gauche, des limites d’heures pour tourner et l’installation de dos d’âne et de bollards, M. Bastien ne voit pas comment ajouter de nouvelles mesures d’atténuation sans affecter outre mesure les résidants si le projet de parachèvement se concrétise.
« Chaque fois, qu’on met des embûches, des entraves comme ça pour les banlieusards, on diminue notre qualité de vie, affirme Pierre Bastien. C’est la pollution et le trafic des véhicules de banlieue qui rentre à Montréal, mais aussi les embûches qu’on se crée à nous même pour rendre la situation viable. »
À plus d’une reprise, l’ingénieur à la retraite se souvient avoir reçu une amende pour avoir tourné, sans regarder l’heure, sur une rue qu’il n’a pas l’habitude d’emprunter. « Tu te dis merde, cette contravention-là, je l’ai eue pourquoi? Parce que les banlieusards utilisent nos rues résidentielles pour sortir de l’île », se désole M. Bastien.
En 2012, le débit de circulation sur le pont Papineau-Leblanc avoisinait en moyenne 55 000 véhicules par jour, soit presque 6 000 de plus qu’il y a trente ans.
Quelques rappels
Rappelons que le gouvernement de Jean Charest avait annoncé en juin 2010 le parachèvement de l’autoroute 19 entre les autoroutes 440 et 640 situées respectivement à Laval et à Bois-des-Fillion. Bien que le projet soit maintenant absent du Plan québécois des infrastructures 2014-2024, le ministre des Transports, Robert Poëti, promet d’aller de l’avant avec ce projet consistant à construire, dans le corridor de la route 335 existante, une autoroute avec deux voies de circulation dans chaque direction ainsi qu’une voie réservée au transport collectif.
Son attachée presse, Valérie Rodrigue, estime logique le report de ce projet évalué à plus de 500 M$. « Il a été bonifié l’an dernier, sous le gouvernement péquiste, avec l’ajout notamment d’un deuxième pont et de bretelles. C’est certain que son coût a été modifié et l’échéancier aussi », résume Mme Rodrigue. (Par Elizabeth Forget-Le François) (2014-06-20)
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Vente-trottoir de la Promenade Fleury
Les dirigeants de la Promenade Fleury avaient repoussé, en se fiant aux statistiques de la météo, les dates de l’événement du début juin à la mi-juin, question de se donner plus de chance pour du beau temps. Mais la guigne s’est acharnée sur eux les deux premiers jours de l’événement.
«Il aurait fallu faire la danse du soleil et non la danse de la pluie», a suggéré Gabriel Koury (Mode Koury), l’un des vétérans commerçants de la Promenade, indiquant toutefois que l’on ne pouvait rien faire contre Dame nature.
Place aux piétons
Conséquence: la rue Fleury qui devait être uniquement piétonne pour trois jours (du jeudi au samedi), est finalement demeurée ouverte aux automobilistes jeudi et vendredi au grand dam de plusieurs. Mais les activités ont été lancées samedi matin sans voitures et avec une température idéale de 20 degrés Celsius.
Musique, danse, soccer
Il y avait aussi de la musique et des danses d’autrefois, sans oublier les séances de maquillage et la présence de la mascotte Fleurimon. Des amuseurs publics ont diverti ceux qui déambulaient dans la rue.
La députée de Crémazie, Marie Montpetit, accompagnée de membres de son équipe, s’était déplacée pour discuter avec les résidents, notamment de son rôle de parlementaire et des services offerts par son bureau de circonscription.
Le Journal des voisins était aussi sur place avec un kiosque devant l’église Saint-Paul-de-la-Croix. Les gens étaient invités à donner leur adresse courriel pour recevoir automatiquement les Actualités, le vendredi. Il y avait aussi un tirage pour des cadeaux (offerts par la crémerie Vire-Vent et la boutique pour enfants Lili et Théo).
De plus, des tables de baby-foot avaient été installées en quelques endroits sur la Promenade, question de se mettre dans l’ambiance de la Coupe du monde au Brésil.
Des ventes, du marketing
Outre le fait d’étaler des produits vendus à rabais, certains participants, comme des agents immobiliers, ont été plus audacieux en stratégie-marketing.
Ainsi, Marco Melfi, qui vient d’acheter la concession Via Capitale Harmonie a servi, avec les membres de sa famille des hot-dogs, des croustilles et des boissons.
Une opération qui aura coûté moins de mille dollars, nous a dit M. Melfi, heureux d’être dans dans le quartier.
Vers l’est, tout près de l’édifice Berthiaume-Du Tremblay et Présâges, l’agente Christine Gauthier (Remax), distribuait des bouteilles d’eau et des petits calepins de notes.
Activités annulées
L’équipe du TAZ (établissement populaire auprès des jeunes urbains voulant s’adonner à l’entraînement des sports sur roues à l’intérieur) avait prévu des démonstrations de sports extrêmes avec des modules géants, mais la pluie les a forcé à annuler l’événement.
Même chose pour la présentation de voitures d’époque. Seul le propriétaire privé d’une voiture de collection a fait déplacer la sienne devant le Café Aroma. Il y avait, par contre, des autos de l’année du concessionnaire Le Relais Chevrolet, sur Papineau.
Dimanche, la plupart des commerçants ont continué à vendre sous chapiteau, mais la rue avait été rouverte à la circulation.
Les organisateurs heureux
Le directeur général de la Promenade, François Morin, a dressé un portrait positif de l’édition 2014 de la vente-trottoir, malgré la météo.
«Du mauvais temps nous incite à se réorganiser rapidement, mais la journée de samedi a permis de se rattraper» a-t-il confié. «Quand il pleut, les commerces préfèrent que la rue demeure ouverte à la circulation», a-t-il ajouté.
La direction de la Promenade Fleury est déjà au travail pour la vente traditionnelle de septembre. Toutes les avenues sont ouvertes quant à la programmation pour les 4-5-6 et 7 septembre.
La rue Fleury pourrait-elle être piétonnière un samedi en septembre, alors qu’historiquement, en septembre, la rue Fleury n’est jamais fermée?
«Est-ce qu’elle sera plus grosse que par le passé? Allons-nous miser sur un plus grand spectacle en soirée? La décision revient au conseil d’administration», a précisé François Morin. (Par Alain Martineau) (2014-06-20)
Cliquez ici pour voir les photos de la vente-trottoir
Même reportées au lendemain, les festivités sur Fleury Ouest (FLO) connaissent un vif succès
Les commerçants locaux ont offert une série d’activités réparties sur une dizaine d’heures (quatre de plus que l’an dernier).
L’événement annuel, qui avait pour thème «Far Ouest» en 2014, s’est déroulé dans une belle ambiance familiale et la rue a été investie uniquement par les piétons.
Animation et spectacles
Il y avait toujours une file pour les nombreux jeux d’adresse alors que les plats offerts dans la rue étaient variés. Plusieurs en ont profité pour manger en famille alors que des dizaines de grandes tables rondes avaient été installées. «Tout le monde voulait obtenir ses 700 points en jouant aux jeux pour être éligible au tirage d’un mini iPad», a dit Michelle Des Rosiers, la propriétaire du restaurant Le Chien rose, habillée en tenue country.
Des amuseurs publics (dont une statue «vivante») ont aussi défilé sur Fleury ouest qui était fermée à toute circulation automobile entre les rues Clark et Meilleur.
Des artistes-peintres ont aussi mis une touche magique à l’événement sans oublier les conteurs et musiciens en déplacement.
Mais pendant une heure, tous ont délaissé les activités, le temps de regarder la pièce de la troupe Le théâtre de la botte trouée.
En soirée, les résidants du coin et les visiteurs ont pu apprécier les prestations du Smoked Meat Band, le Winston Band et de Stephen Faulkner qui ne pouvait passer à côté de son vieux succès Si j’avais un char.
Jean Gauthier, le président de l’Association des gens d’affaires de la rue Fleury ouest, a dressé un bilan positif, même si le tout a été reporté au dimanche.
«Il y a un peu moins de gens qu’un samedi, mais on parle tout de même de 2500 à 3000 participants», a-t-il affirmé au jdv.
Autre porte-parole des marchands de FLO, Marie Bouchard a estimé que tous et toutes avaient apprécié «ces beaux échanges, ces rapports humains allant au-delà d’une relation de vente».
«On apprécie cette fête unique qui dynamise la rue et l’achalandage tout en n’oubliant pas qu’il s’agit avant tout d’une fête de quartier. Il y avait une belle atmosphère», a-t-elle mentionné.
Mme Bouchard a souligné le travail des bénévoles et organisateurs dont en particulier le travail de Michelle Des Rosiers. Son équipe et son père en particulier, y étaient pour beaucoup dans la mise en place des jeux pour enfants.
«C’est une belle façon de remercier les résidants qui viennent à l’année longue dans nos commerces», explique Michelle Desrosiers.
Des citoyens comblés
Interrogés dans la rue, les gens n’ont pas tari d’éloges à l’endroit de tous ceux et celles qui ont contribué à faire de cet événement un succès.
Avec en main des sacs d’épicerie, Bernard Gagnon, a surtout apprécié l’ambiance. «Je n’ai pas tout vu, mais j’aime bien l’atmosphère. Je ne me suis attardé à rien de particulier mais je suis content que ça se passe ici. C’est le fun», a mentionné ce résident du secteur.
Venant de l’extérieur, un jeune homme originaire du Maroc avait toutefois une suggestion à faire. «C’est la première fois que je viens ici. C’est magnifique. Mais pour favoriser les rassemblements, on pourrait prévoir un espace rond (plutôt que linéaire) comme lors des fêtes arméniennes. Cela permettrait de rassembler plus facilement les gens», a proposé Mustapha Saga.
Certaines personnes ont même demandé que l’événement commence plus tôt l’année prochaine, ajoute Michelle Des Rosiers.
Quelques suggestions
Pour sa part, une résidante du secteur estime que cette fête, qui en était à sa troisième édition, est une bonne idée, mais qu’il y a place à amélioration.
«Il faut penser aux personnes âgées comme moi», a indiqué France Robillard, formulant une série de suggestions pour l’avenir.
«Il y a de plus en plus d’aînés dans la population et il faut en tenir compte», a-t-elle plaidé. «Les commerces devraient répondre aux besoins des gens âgés. Il faut répondre à toute la clientèle et pas seulement aux 50 ans et moins avec 60 000 $ et plus de revenus», a-t-elle observé.
Mme Robillard en a profité pour revendiquer l’ajout de bancs publics avec dossier. «J’ai déjà fait des approches auprès de ma conseillère municipale, Émilie Thuillier, et même (des autorités) du métro pour ajouter des bancs avec un dossier».
JDV présent
Votre journal était aussi présent sur FLO, un stand ayant été installé, angle Fleury Ouest et de l’Esplanade. Au moins une personne sur deux qui passait devant le stand connaissait le journal. Certains en ont profité pour adhérer au journal ou ont renouvelé leur carte de membre. D’autres ont refilé leur adresse courriel afin d’être invité à chaque vendredi à consulter l’édition Web du journal.
Il y avait aussi un tirage pour des cadeaux, offerts par la boutique pour enfants Lili et Théo et la Chocolaterie Bonneau. (Par Mélanie Meloche-Holubowski et Alain Martineau) (2014-06-20)
Cliquez ici pour voir les photos de la fête sur FLO
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PROJET DU CONSEILLER HAROUT CHITILIAN
Montréal, ville intelligente: c’est lui!
Le parc Ahuntsic doté du Wi-fi gratuit
« Nous avons essayé de déployer le service à temps pour la fête; il y a peut-être quelques étapes qui ont été sautées. Mais tout est réglé », assure Harout Chitilian.
L’annonce a été faite par le maire de l’arrondissement Pierre Gagnier ainsi que les conseillers Émilie Thuillier (district Ahuntsic) et Harout Chitilian (district de Cartierville et responsable de la ville intelligente à la ville centre).
En entrevue avec journaldesvoisins.com les élus ont mentionné qu’il y avait de plus en plus de demande pour ce genre d’accès et que le parc Ahuntsic était un bon endroit pour en faire l’essai, car de nombreuses activités s’y déroulent (aréna, baseball, concerts d’été, Festiblues).
Le projet a nécessité l’achat d’équipement, au coût de 10 000$ et engendrera des coûts annuels récurrents d’environ 1500$.
À Montréal, seulement quelques parcs dans Notre-Dame-de-Grâce et dans Côte-des-Neiges (et maintenant Ahuntsic-Cartierville) ont accès au Wi-Fi, mais, M. Chitilian aimerait que ce service soit offert dans plus de parcs et d’arrondissements. Toutefois, l’impact du Wi-fi au parc Ahuntsic et le modèle d’affaires seront étudiés.
S’il ne veut pas vendre la mèche tout de suite quant à d’autres projets technologiques pour Ahuntsic-Cartierville, Harout Chitilian confirme qu’il souhaite que l’arrondissement puisse tester en primeur certaines de ses idées. « Quand je voudrai faire des projets-pilotes, je vais me tourner vers mon patelin avant de le faire pour toute la ville. De plus, nous avons une administration assez progressiste, tant au niveau des élus que de l’administration. »
Faire de Montréal une ville intelligente
L’accessibilité au Wi-fi dans les espaces publics et les applications de déneigement (un projet très médiatisé au cours des derniers mois), ne sont qu’une petite partie de la ville intelligente qu’espère créer le maire Denis Coderre, avec l’aide d’Harout Chitilian. Ce dernier est responsable du projet au sein du comité exécutif. Une tâche complexe, mais qui permet beaucoup de créativité. « Je génère des idées plus vite que mon ombre!» dit le conseiller d’Ahuntsic-Cartierville.
Transformer Montréal en ville intelligente est une question de qualité de service, mais surtout, une excellente façon de veiller à une meilleure utilisation des ressources, croit M. Chitilian.
Il pense notamment à l’application parisienne, Dans ma rue, qui permet aux citoyens d’avertir la ville de problèmes (nid-de-poule, feux de circulation brisés, etc.) en envoyant un message et une photo en quelques clics. Le système du 311 à Montréal pourrait être entièrement numérisé, permettant aux citoyens de participer à l’amélioration de la ville, tout en ayant des mises à jour en temps réel sur l’avancement des travaux.
Les citoyens ont soif d’interagir avec les élus et la Ville. La preuve : déjà, sur Twitter, plusieurs citoyens d’Ahuntsic-Cartierville, interpellent le maire Denis Coderre lorsque des balançoires manquaient dans des parcs, des poubelles qui débordaient ou pour dénoncer des pistes cyclables dangereuses. Rapidement, les problèmes ont été réglés…
Le plus difficile, croit Harout Chitilian, ne sera pas d’avoir accès à des technologies avancées, mais plutôt de changer les méthodes de travail des employés de la Ville. L’arrivée de nouvelles technologies et applications pourraient avoir un impact positif sur leurs tâches, mais nécessitera certainement un changement des habitudes de travail.
Données ouvertes
En plus des projets d’applications, la Ville a un portail de données ouvertes, qui est régulièrement bonifié. Des milliers de documents, de rapports et de cartes sont disponibles gratuitement au public.
Par exemple, la semaine dernière, la Ville a donné accès à des milliers de documents, dont les photographies aériennes numérisées de 1930 à 2003; les données géomatiques de la Villle (cartographie en 2D d’éléments de la ville, dont les bâtiments, les arbres, le mobilier urbain, etc.), ainsi que la représentation 3D de plus de 300 000 bâtiments sur l’île de Montréal.
Harout Chitilian veut maintenant que les citoyens, les entreprises et les organismes s’approprient ces données afin de les faire «parler.»
« Des compagnie de jeux vidéo ont déjà récupéré les données géomatiques pour les intégrer dans la conception de leurs jeux vidéos. Une application a été créée pour identifier l’emplacement de tous les arbres dans la ville », ajoute M. Chitilian.
Pour voir toutes les applications créées à partir de données ouvertes de la Ville: http://donnees.ville.montreal.qc.ca/applications/
Un bureau d’idées et d’innovation
Jeudi, Harout Chitilian a annoncé la nomination de Stéphane Goyette à titre de directeur du Bureau de la ville intelligente et numérique.
Il devra rapidement former son équipe, identifier des chantiers stratégiques et élaborer un programme de financement. Créé en mars, le Bureau a un budget de 400 000 $.
Influence des compagnies technologiques
Le Devoir révélait la semaine dernière qu’IBM et Microsoft ont déployé une trentaine de lobbyistes pour faire la promotion de leurs « solutions informatiques ». Leurs lobbyistes seraient donc trois fois plus nombreux que ceux de l’équipe de SNC-Lavalin et 30 fois plus que ceux de l’Association des entrepreneurs pétroliers du Québec.
Ces compagnies auront-elles trop d’influence sur le type de technologie et de projets que choisiront la Ville? Non, croit M. Chitilian. En fait, il croit que le fait que ces compagnies soient enregistrées comme lobbyistes est un signe que les dispositifs, mis en place par la Ville pour éviter des pressions indues sur les décisions, fonctionnent. « Il faut donner la chance aux entreprises de démontrer leur savoir-faire. Ça nous engage en rien». (Par Mélanie Meloche-Holubowski) (2014-06-20)
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L’AMT change d’idée!
Une clôture mal en point au métro Henri-Bourassa retrouvera sous peu sa prime jeunesse
Revirement inattendu
En effet, Pierre Bastien, résidant d’Ahuntsic-Cartierville, a interpellé notre équipe il y a quelques semaines, en constatant que son intervention citoyenne ne donnait aucun résultat. Il avait préalablement écrit à l’AMT pour déplorer cette situation.
Au début de la semaine dernière, il recevait une réponse négative de l’AMT. Un employé de l’organisme de transport affirmait sur son répondeur qu’il n’y aurait qu’une intervention à long terme, faute d’une menace pour la sécurité.
Depuis au moins une douzaine d’années, M. Bastien souhaite cette remise en état de la clôture dont l’apparence est selon lui une véritable honte. « On a une belle rue Millen, on rénove, mais ça ne donne rien de renipper le quartier avec l’effet que donne cette clôture qui se détériore à la vitesse grand V », déplorait le résidant de la rue Péloquin. (Par Elizabeth Forget-Le François) (2014-06-20)
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Le SPVM et TANDEM sur les pistes cyclables
Patrouilleurs à vélo de retour pour l’été
Le Service de police de la Ville de Montréal (SPVM) a déployé pour une sixième année sa brigade urbaine. L’équipe regroupe 24 policiers et 60 cadets qui assurent la sécurité des cyclistes, des piétons et des festivaliers.
Si les cadets n’ont pas le mandat de faire de la répression, ils sont les «yeux et les oreilles» du SPVM, explique le commandant Marc-André Dorion.
Lorsque la brigade n’est pas appelée à patrouiller lors de grands évènements, les policiers à vélo se promèneront sur les pistes cyclables, en appui aux policiers des postes de quartier. La brigade était notamment sur la piste cyclable sur le boulevard Gouin la semaine dernière et sera présente au Festiblues, au mois d’août.
La brigade poursuivra son travail jusqu’au 17 août prochain.
Le poste de quartier 10 (Cartierville), a également une équipe de policiers à vélo depuis le 25 avril. Composée de trois policiers, de deux cadets-policiers et de deux patrouilles de Jeunesse au soleil, ils assureront la sécurité dans les espaces publics. «Nous voulons améliorer le sentiment de sécurité des citoyens en étant visible», a dit le commandant Marc Tanguay, commandant du poste 10.
Tandem a également engagé huit jeunes pour parcourir l’arrondissement en vélo, sept jours sur sept, pour promouvoir la sécurité routière. Depuis lundi, et jusqu’au 15 août, huit jeunes répondront aux questions des cyclistes et des piétons et pourront avertir le SPVM en cas d’incidents ou de grabuge dans les parcs.
En 2013, Tandem avait huit patrouilleurs à vélo qui ont effectué 2520 heures des patrouilles et rempli 900 rapports d’observation (600 pour le secteur Ahuntsic et 300 pour le secteur Bordeaux-Cartierville). (Par Mélanie Meloche-Holubowski) (2014-06-20)
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Sondage de l’entreprise Potloc sur la rue Fleury Ouest
Quel commerce devrait s’installer ici?
Un local libre est à louer depuis quelques temps au 61 Fleury ouest (à l’intersection de la rue Clark), mais le propriétaire du bâtiment, Jean Gauthier (également président de l’Association des gens d’affaires de Fleury Ouest), a de la difficulté à trouver le commerce parfait pour s’y installer.
Pour trouver une vocation à ce local, Jean Gauthier a mandaté l’entreprise du Plateau Mont-Royal, PotLoc, pour faire un sondage auprès des gens du quartier. Quel type de commerce souhaitent-ils pour cet emplacement?
Plus de 210 personnes ont répondu au sondage lors de la fête de quartier dimanche dernier. Il est aussi possible de voter en ligne jusqu’au 10 juillet en allant sur le site www.potloc.ca/fleury. À ce jour, selon Potloc, il y a en moyenne une trentaine de personnes qui votent à tous les jours.
Rodolphe Barrère de PotLoc ne veut pas encore dévoiler quel type de commerce est présentement à la tête du sondage, pour ne pas influencer le vote. Mais, deux types d’entreprises semblent avoir la cote des Ahuntsicois et «les gens nous ont dit qu’ils ne veulent pas un énième restaurant». D’ailleurs, le sondage a donné lieu à de bons débats entre citoyens lors de la fête de quartier, dit-il.
Le choix des citoyens, le bonheur des commerçants
L’idée de Potloc vient de deux Montréalais (Français d’origine), Rodolphe Barrère et Louis Delaoustre, lorsqu’ils ont observé un nombre élevé de boutiques vides sur le Plateau Mont-Royal.
Ils croient, que pour aider les commerces à survivre, il est essentiel de connaître les besoins des habitants du quartier. En participant au sondage, les citoyens peuvent participer à la création de quartiers à leur image.
«Les gens sont très heureux qu’on leur demande leur avis. Ils sont tannés de se voir imposer des commerces qu’ils ne veulent pas. Et ça, c’est la mort annoncée d’un nouveau commerce», dit Rodolphe.
En sondant la population, il est moins probable qu’un commerce ferme à cause d’un manque d’achalandage. Le sondage permet aussi au propriétaire d’obtenir un portrait des résidents du quartier – âge, sexe, etc.
Le nom Potloc est un dérivé du mot potluck. «Tout le monde apporte sa contribution (au choix du commerce), comme un repas de quartier convivial.»
Depuis les débuts de Potloc, il y a six mois, déjà deux locaux ont trouvé preneur, dont un commerce sur la rue Ontario qui n’avait pas de locataire depuis 10 ans. «La semaine après, c’était loué!», dit Rodolphe Barrère.
Il a bon espoir que le local sur la rue Fleury trouvera rapidement preneur et que les citoyens seront excités de fréquenter leur commerce de choix. (2014-06-20)
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Un jeune cycliste entreprend un périple de trois mois
D’Ahuntsic-Cartierville à San Francisco à vélo
Vincent René-Lortie a parlé au journaldesvoisins.com par l’entremise de Skype alors qu’il s’est arrêté à Deviss, à 37 kilomètres de Davenport en Iowa. Après plus de vingt jours en vélo, sa motivation est tout de même beaucoup plus forte que son épuisement.
Pourquoi ce voyage?
Incertain quant à son choix de programme universitaire, il a choisi de prendre une pause de ses études en cinéma à l’UQAM. «J’avais envie de sortir de ma zone de confort, de faire quelque chose où il y aurait pleins d’imprévus.»
Dans son blogue, il écrit : «J’ai 21 ans, et j’ai, jusqu’à présent, suivi un chemin très traditionnel. Maman, papa, maison, l’école secondaire privée, le cégep et l’université. C’est confortable d’être confortable, non?»
Pourtant, Vincent n’était pas un cycliste au quotidien et n’avait jamais parcouru de longues distances en vélo. «Quand j’ai annoncé à mon entourage mon projet, les gens ont peu ri de moi. Même moi, j’ai douté.»
Sa mère, Suzanne Lortie, compare son voyage à un pèlerinage personnel. «Ça change une vie. C’est tout un défi personnel et physique.»
Au cours de l’hiver, il a travaillé ardemment pour amasser le plus d’argent possible pour son périple. Pendant ses temps libres, il s’entraînait au gym pour développer son endurance et sa force physique.
Le 26 mai, il est parti de sa maison familiale sur la rue Clark avec son vélo, et 70 livres d’équipement (tente, vêtements, caméra, trépied, etc.)
Pendant son périple, Vincent René-Lortie tient un blogue, 98 across America, en référence à la durée de son voyage, soit 98 jours.
Il y raconte ses hauts et ses bas, mais surtout les rencontres mémorables qu’il fait en chemin.
Le jeune cycliste dort parfois en camping, parfois chez des gens qu’il trouve dans Internet. Et rester chez les gens apporte son lot de surprises.
Un soir, il a été hébergé chez Kevin Kimpel, un nudiste et un passionné du voyage. «Quand je suis arrivé, il était nu», raconte Vincent René-Lortie, ajoutant que sa maison était remplie de souvenirs provenant d’une cinquantaine de pays. «C’était comme un musée!»
En plus, l’homme a une passion pour les arbres de Noël en plastique. Il en a plus de 1800 et croit détenir un record mondial!
Malgré le côté excentrique de l’homme, Vincent et lui ont longuement discuté de leurs expériences de voyage.
Parfois, dans certains villages plus éloignés et sans hôtel, il monte sa tente à côté des églises; les pasteurs ou les prêtres l’accueillent à bras ouverts.
Des jours difficiles
Malgré les belles rencontres et les paysages époustouflants, Vincent a songé à tout abandonner dès les premiers jours.
Le 9 juin, il écrit: «Quelques jours avant mon départ, j’ai commencé à comprendre l’ampleur de mon voyage, son engagement, sa demande physique et sa difficulté mentale. (…) J’allais devoir affronter les vents, les orages, les montagnes, les camions et toutes ces malchances connues des cyclistes. Étais-je réellement prêt? Soyons francs. Non.»
Mais, sa mère lui a conseillé de prendre un peu de repos et du recul et de poursuivre sa route. Vincent René-Lortie a de nouveau enfourché son vélo et ne regrette pas sa décision. «J’ai déjà roulé 900 km, alors pourquoi ne pas en faire 8 000 de plus…», écrit-il, le 4 juin.
Le reste de son parcours n’est pas tout à fait défini, mais il a toujours comme objectif d’atteindre la côte ouest des États-Unis en passant par de nombreux villages américains, avant de revenir à l’école pour l’automne.
Pour suivre les péripéties de Vincent René-Lortie, visitez son blogue 98 across America. (Par Mélanie Meloche-Holubowski) (2014-06-20)
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Chronique horticole “Jardins et potagers de Patrick”
La mycorhize : un ingrédient méconnu,
mais essentiel à la santé de nos jardins!
Par Patrick De Bortoli
Tout d’abord, un peu de sémantique!
Le mot mycorhize (qui vient du grec mûkes pour champignon et de rhiza pour racine), est généralement utilisé, à tort, comme désignant un champignon ou encore décrivant un produit horticole qu’on peut se procurer en centres jardin. En fait, il n’est ni l’un ni l’autre.
Le mot mycorhize se réfère plutôt à l’association de diverses espèces de champignons, aux racines des plantes. On caractérise cette association de « symbiotique », dans la mesure ou elle est bénéfique tant aux champignons qu’aux plantes. Vous allez bientôt comprendre pourquoi.
Les champignons mycorhiziens se retrouvent, depuis environs 450 millions d’années, naturellement dans nos sols. Ils infectent (une infection positive dans ce cas-ci) les racines des plantes, afin de s’y procurer du carbone (sucres) produit par ces dernières. En échange, ces champignons décomposeront la matière organique du sol pour en extraire les éléments nutritifs essentiels au bien être des plantes. Les éléments nutritifs seront absorbés et redistribués aux racines. La capacité d’absorption en eau du plant sera aussi considérablement accrue (réduction de 30% des besoins en arrosage!). Dit simplement : les champignons nourrissent les plantes, qui nourrissent les champignons. N’est-ce pas joli?
De plus, non seulement ces champignons miraculeux décomposent la matière organique (comme le font bien d’autres champignons et microorganismes), mais de surcroît, ils s’allient aux racines et leur servent d’extensions naturelles. Ces filaments fongiques (hyphes), plus petits que les racines, se propagent plus aisément au travers des pores du sol, et s’étendent surtout beaucoup plus loin.
La plante peut alors halter sa croissance racinaire au profit d’une croissance végétative, et profiter d’une source plus vaste d’eau et de bonne bouffe! Il en va donc de soi, que les plants mycorhizés, croissent plus vite, sont plus grands et plus vigoureux que ceux qui n’ont pas été infectés. Du coup, ils résistent également mieux aux maladies, aux attaques d’insectes, aux sécheresses et autres stress environnementaux.
Mais si les champignons mycorhiziens se retrouvent naturellement dans le sol, pourquoi doit-on en acheter pour en mettre au jardin?
Malheureusement, les sols dont nous disposons en ville, ou les sols cultivés à la campagne, ont plus souvent qu’autrement subi les assauts des pesticides et des fongicides qui ont eu vite raison des champignons et d’une partie de la vie microbienne qui y étaient originellement contenus. D’autres pratiques courantes comme le labourage ou le travail de la terre (avec rotoculteur), ont pour conséquences de détruire ces précieuses et fragiles galaxies souterraines. Les sols trop compactés et mal aérés de nos terrains de ville nuisent fortement, aux formations naturelles de ces réseaux fongiques.
Il faut donc mycorhiser!
Vous trouverez dans tous centres jardin, dignes de ce nom, de la mycorhize, pour annuelles et vivaces, pour les plantes potagères, de même que pour les arbres et arbustes. Prenez soin d’appliquer une quantité suffisante de produit pour couvrir l’ensemble du système racinaire, lorsque vous les plantez ou transplantez; si la formule n’est pas directement en contact avec les racines, la mycorhize n’aura pas lieu! Vous pouvez également en enduire les graines de vos semis, pour un meilleur départ en début de saison!
Avec cet apport de « mycorhize », sans trop de soucis, les champignons travailleront pour les plantes, et les plantes travailleront pour vous!
Pas convaincus? Essayez-le par vous-même et faites vos expériences. Je vous garantie des récoltes abondantes!
Au plaisir de faire votre connaissance dans un potager près de chez nous!
Votre fermier urbain,
Patrick
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Un encouragement pour le transport actif
Treize nouveaux supports à vélo sur FLO;
d’autres à venir un peu partout dans l’arrondissement
FLO
La demande de supports à vélo sur Fleury Ouest a été
comblée avec l’ajout de 13 bornes que réclamait depuis un moment le
président de l’Association des gens d’affaires de la rue Fleury Ouest,
Jean Gauthier.
Promenade Fleury
La Promenade Fleury recevra, quant à elle, 23 bornes à vélo pour répondre à la demande des résidants et des commerçants. « Elles devraient arriver incessamment, annonce le directeur général de l’artère commerciale, François Morin. Je n’ai pas eu de suivi là-dessus, mais j’ai reçu la confirmation qu’elles avaient été commandées et achetées. »
L’an dernier, aucun support à vélo n’avait été installé par l’arrondissement dans ce secteur, relate M. Morin. Pour combler ce manque, il a interpellé l’arrondissement, qui a répondu positivement à sa demande.
Le directeur général de La Promenade Fleury a été en mesure de cibler les futurs emplacements des supports à vélo lors d’une marche exploratoire avec un employé de l’arrondissement. « C’est toujours en face d’un commerce ou d’un groupe de commerce », explique le directeur général de La Promenade Fleury. Il cite en exemple des entreprises achalandées telles que le Jean-Coutu et les Aliments de Santé Laurier.
« C’est sûr que de vraies bornes seraient pratiques », estime Rostand St-Georges, gérant de la pharmacie Jean-Coutu située à l’intersection de la rue Chambord et Fleury. Il aperçoit souvent des bicyclettes accrochées aux parcomètres sur le côté de son commerce.
Daniel Germain, propriétaire du Metro Plus à l’angle des rues Fleury et Garnier constate aussi au quotidien la nécessité d’avoir un emplacement réservé aux vélos. « Mon rack est toujours plein, il faudrait même que j’en commande peut-être un autre », affirme M. Germain. Le propriétaire de l’épicerie s’est lui-même procuré une nouvelle borne, l’an dernier, pour répondre au besoin de ses clients. (Texte par Elizabeth Forget-Le François, photos par Philippe Rachiele) (2014-06-20)
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SUR LE BOULEVARD ST-LAURENT
Marche de 700 km pour la terre-mère
Protestation contre le pétrole des sables bitumineux
Le long du parcours, ils ont fait signer plus d’un millier de «déclarations de protection du territoire» qui demandent aux élus municipaux, provinciaux et fédéraux de s’engager vers un avenir énergétique collectif basé sur les énergies renouvelables et responsables. Ils ont poursuivi leur route, qui s’est terminée le 14 juin, à Kanehsatake (près d’Oka). (Par Philippe Rachiele) (2014-06-20)
«Bordeaux-Cartierville, quartier de tous les possibles»
Un événement-bilan dynamique et instructif de la première année
étaient enchantés par ce bilan de cette première assemblée annuelle du plan «Bordeaux-Cartierville,
quartier de tous les possibles», qui a eu lieu le 12 juin dernier. C’est sous forme de stands que les
partenaires responsables des six enjeux prioritaires du plan et des deux
stratégies transversales ont exposé le bilan de leurs actions pour la période
allant du 1er septembre 2013 au 31 mai 2014.
Rappelons que les six enjeux
prioritaires du plan sont : l’aménagement urbain, l’emploi, le logement, les relations interculturelles et l’inclusion, la réussite scolaire et la violence
intrafamiliale. Les deux stratégies transversales sont : la mobilisation
citoyenne et la Communication. Sylvain Dietrich, membre d’un panel, s’est
dit impressionné par « le projet Revitalisons Gouin Ouest! [projet de
revitalisation commerciale] qui aura sûrement un impact sur le développement
du quartier, ainsi que par la Tournée du tout inclus pour les nouveaux
arrivants [visite guidée en autobus des services du quartier] ». Les gens
assis dans la salle avaient également l’opportunité d’émettre leurs commentaires.
Geste symbolique fort
La soirée s’est achevée par un geste symbolique fort, alors que chaque
participant était invité à signer un « coupon d’engagement » envers le plan
concerté et à venir l’apposer au mur sur une projection du logo de la démarche.
C’est Harout Chitilian, conseiller municipal du district de
Bordeaux-Cartierville qui a ouvert le bal et collé le premier coupon. Pour Nathalie Fortin, directrice du CLIC de
Bordeaux-Cartierville, l’instance en charge de cette première Assemblée
annuelle du plan, la satisfaction était grande : « Je suis très contente et
surtout très impressionnée par l’engagement des partenaires et la pertinence du
panel citoyen. C’est certain que l’on va essayer de reprendre cette formule
l’an prochain ». (Source : CLIC – Bordeaux-Cartierville) (2014-06-20)
La Corporation de développement économique communautaire
(CDEC) Ahuntsic-Cartierville tenait le 17 juin dernier sa 22e
assemblée générale annuelle.
Le président du conseil d’administration de la CDEC, André Véronneau,
a résumé les
grandes réalisations de la CDEC au cours de la dernière année. « Nous
avons soutenu financièrement 29 entreprises du territoire pour un montant de 585 454 $, générant des
investissements de 1 890 800$,
et permettant la création ou le maintien de 294 emplois. Nous avons également offert un soutien technique à 338 entreprises en démarrage ou
existantes ».
Pour
sa part, le directeur général de la CDEC, Marc-André Perron, a mis en
lumière le travail collectif accompli.
« Nous sommes fiers de la création du site monqg.com et de tout le
travail effectué autour de la réalisation de notre nouveau Plan d’action pour
l’économie et l’emploi (PALÉE) 2014-2017 qui guidera nos actions pour les trois
prochaines années » a souligné M. Perron. (Source : CDEC Ahuntsic-Cartierville) (2014-06-20)
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Notaire
à Ahuntsic, pratique traditionnelle, cherche une adjointe, quatre ou cinq jours
par semaine, avec un minimum de cinq (5) années d’expérience. La
candidate devra posséder un excellent français. Maitriser les logiciels Pro
Notaire, et Telus (Emergis) seraient des atouts. Poste disponible immédiatement.
Références obligatoires. Salaire à discuter selon expérience. Faire
parvenir votre curriculum vitae au ccharette@notarius.net
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Une lancée de ballons au complexe sportif Claude-Robillard !
lieu à 9 h 30 le 17 juin au centre Claude-Robillard. Les ballons portaient un message de non violence écrit par chacun des 1 700 jeunes qui ont participé à
ce rassemblement dans le cadre du
programme «Unité sans violence : exprimez-vous» du Service de police de la ville
de Montréal (SPVM), Info-Crime et ses partenaires.
Chaque élève des écoles participantes a reçu un chandail qu’il porte une journée par semaine tout au long de l’année afin de sensibiliser ses camarades à l’importance de la non-violence. Ce vêtement est l’outil sur lequel est inscrit, sous forme de contrat, l’engagement de l’élève à ne pas tolérer la violence ni à y recourir. Chaque contrat est personnalisé, car l’élève détermine le phénomène de violence qu’il entend combattre. (Source :
SPVM) (2014-06-20)
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Les scouts de Bois de Boulogne fêtent leurs 30 ans !
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Musique d’ambiance ou événement culturel, chaque mercredi
La cuisine de rue de retour au parc Tolhurst
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Le droit au logement
À l’affiche devant l’église St-Paul de la croix
Saint-Paul-de-la-Croix à l’approche du 1er juillet, date de
déménagements pour plusieurs. De petits manifestants en carton scandent leur
droit au logement. Ils réclament plus de logements sociaux, plus de logements
salubres, plus de logements pour les grandes familles et des logements moins
chers. Sont jointes à ces manifestants des petites habitations en carton
recouvertes de morceaux de tricot nous rappelant qu’un logement doit être
synonyme de confort, quiétude, sécurité et santé.
Les Bâtisseurs Unis, c’est le
nom d’un collectif oeuvrant en art communautaire militant, formé par les
apprenants en alphabétisation du Créca, dans le cadre du projet Rouage
d’Engrenage noir. Les causes sociales leurs tiennent à coeur et ils s’expriment
par le biais de l’art communautaire et militant. (Source Créca – photo : jdv – P. Rachiele) (2014-06-20)
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Chantiers de la rue Meilleur
Un de terminé… L’autre le sera vers la fin juillet
Les travaux souterrains au coin de la rue Meilleur et Port-Royal pour le poste
de distribution Fleury d’Hydro-Québec (nom qui n’a aucun lien avec la
populaire rue du quartier) sont sur le point de prendre fin.
Le jdv a eu confirmation de la fin des
travaux par Elaine Beaulieu, la porte-parole Relations avec le milieu à la
direction des Affaires régionales et collectivités de la société d’état. «À moins d’un imprévu, ces travaux devraient
être terminés d’ici la fin de la semaine», a-t-elle indiqué.
Les travaux visaient la ligne Fleury-Beaumont
(au sud de Jean-Talon, près de l’avenue du Parc, dans l’arrondissement
Villeray-Saint-Michel-Parc-Extension). «Les
travaux d’Hydro-Québec sont ceux qui sont situés sur la rue Port-Royal. Il
s’agit du raccordement de la ligne souterraine construite l’été dernier qui
relie le poste Beaumont», a précisé Mme Beaulieu.
Par ailleurs, toujours dans
le même secteur, sur la rue Meilleur, la Ville de Montréal poursuit des travaux
de réhabilitation d’aqueduc. Des
automobilistes qui se rendent dans le cœur du quartier de la mode ou au Marché
central ont remarqué la présence d’équipes d’ouvriers sur cette rue «nord-sud» souvent achalandée. Les travaux,
effectués entre les rues Sauvé et Port-Royal, ont débuté à la fin mai et se
poursuivront jusqu’à la fin juillet.
Comme
c’est le cas très souvent, la ville utilise la méthode d’insertion de gaine
dans la conduite afin d’éviter le remplacement du gros tuyau par excavation du
sol. Cette façon de faire permet de
réduire l’ampleur et la durée des travaux. Mais d’autres travaux collatéraux
sont nécessaires, dont l’excavation puis le remblayage des puits d’insertion. Durant la période des travaux, il y a
quelques espaces de stationnement en moins. (Texte et photo par Alain Martineau) (2014-06-20)
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Chez nos voisins – La TOHU en fête pour ses 10 ans
Journée porte ouverte TOHU – Cirque du Soleil
Tohu en fête
Les visiteurs pourront ainsi voir les coulisses de la TOHU ainsi que le Studio de création du Cirque du Soleil et l’École nationale de cirque. L’une des troupes plus connues ici, Les 7 doigts de la main, sera présente. On pourra ainsi assister aux répétitions du spectacle Intersection qui sera présenté lors du festival international Montréal Complètement cirque du 2 au 13 juillet. Les organisateurs ont aussi pensé à inviter des artistes qui ont fait la pluie et le beau temps sur la scène de la TOHU au cours des dix dernières années. Des prestations seront offertes à différents moments de la journée. Les visiteurs pourront aussi fabriquer leur propre masque avec l’artiste belge Horta Van Hoye ou participer à la création de chapeaux à partir de matières récupérées. La TOHU, en parallèle, donnera le coup d’envoi à l’exposition Trésors de cirque, du Fonds Jacob-William. On expose une centaine d’œuvres en lien avec l’histoire du cirque.
Cirque du soleil
Tout près de la TOHU, du côté du Cirque du Soleil, les visiteurs seront aussi choyés.
On pourra serrer la pince à des personnages ayant marqué les 35 créations du Cirque.
Et visiter des ateliers de maquillage et de costume de la transnationale québécoise.
Aussi au menu de la journée de samedi, des Répétitions des artistes des Minutes Complètement cirque. Ces artistes se proposent d’envahir les trottoirs, rues et toits de Montréal du 2 au 13 juillet prochain. Le stationnement coûte 8 dollars. Mais la Société de transport de Montréal offrira gratuitement un service de navettes des stations de métro Iberville et Jarry
Tohu social
Les dirigeants de la TOHU, comme le Cirque du Soleil, ont toujours appuyé des projets pour les jeunes de leur quartier. Ainsi, une cinquantaine d’entre eux du secteur Saint-Michel ont des emplois à temps partiel. Ils sont appuyés, dans leur cheminement, par la Cité des arts du cirque. Malgré nos demandes, on ignore s’il y a des jeunes d’Ahuntsic-Cartierville œuvrant à la TOHU. En dix ans, on estime que plus de 400 jeunes du quartier Saint-Michel ont pu profiter d’emplois divers. Une place est aussi réservée à des jeunes en difficulté dans l’organisation de la Fête de la Falla. Pour respecter une tradition sud-américaine, des sculptures géantes en bois sont érigées sur des terrains de la TOHU mais seront brûlées en bout de piste lors d’une soirée mémorable plus tard cet été. (Par Alain Martineau) (2014-06-20)
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LE COIN COMMUNAUTAIRE…………………………………….
• Mercredis de 11h30 à 13h30
Centre communautaire Ahuntsic (10780, rue Laverdure, dans le stationnement)
• Mercredis de 15h30 à 20h
Parc Tolhurst (Angle Fleury Ouest et Meunier)
• Jeudis de 11h30 à 13h30
Studio d’art Saint-Sulpice (1070A, rue Louvain Est) (Source : Ville en vert)
Cours de français gratuits En partenariat avec le ministère de l’Immigration, de la Diversité et de l’Inclusion, le CACI offre des cours de français gratuits, adaptés aux besoins de chacun. Niveaux : débutant, intermédiaire et avancé. Cours en matinée, en après-midi et en soirée. Un service de halte-garderie est disponible le jour et les frais de garde sont remboursés par le Ministère. Inscriptions en cours pour la session d’été. Téléphonez au 514 856-3511, poste 229.
animateurs qui ont
décidé de participer au défi Têtes rasées Leucan! Soutenez-les en faisant un
don pour faire la différence auprès des enfants atteints de cancer. Si vous
voulez ajouter à la cagnotte pour les encourager lors de leur rasage de tête, vous êtes les bienvenus à la fête de
groupe, le 21 juin, au parc Henri-Julien. Renseignements : 438 994-2323 ou lien web ici.
Vendredi 27 juin, de 10h à 16h au 5765, boul. Gouin O.
communautaires du SNAC, en raison des congés du 24 juin et du 1er
juillet. Le SNAC n’offrira pas de repas communautaires les lundis et mardis,
les 23, 24 et 30 juin et le 1er juillet.
annuelle avec une formule remaniée le 13 juin dernier. Des artistes pour la cause (les employées) qui présentent
l’évolution de nos services, Une succession de bonnes nouvelles, entrecoupées de «questions qui tuent». Des cartes chouchou que l’on remet aux membres d’une
assemblée nombreuse et ravie. Le tout agrémenté de reconnaissance pour ceux et celles qui
font Entraide : nos membres aînés, nos membres bénévoles, nos employées, nos collaborateurs,
nos bailleurs de fonds. Voici une assemblée qui a rassemblé ses membres et les informe en toute convivialité !
(Source : Entraide Ahuntsic-Nord – Crédit photo : jdv – Philippe Rachiele)
………………………………….LE COIN DES COMMERÇANTS
Sur La Promenade Fleury
Ouverture du Café Bistrot Grimaldi (en remplacement de «La colombe» au 945, rue Fleury Est).
Ciné-théâtre les vendredis 20, 27 juin, 4 et 11 juillet, Les représentations auront lieu dans le stationnement de l’Église Saint-Paul-de-la-Croix donnant sur la rue Georges-Baril. Les soirées ciné-théâtre débutent avec deux films d’animations : Le coq de St-Victor le vendredi 20 juin et Opération noisettes le 27 juin. Les projections débutent à 21 h. Le 4 juillet, dès 18 h 30, ce sera au tour du Théâtre du 450 de présenter sa pièce pour enfants La seconde odyssée. La projection du documentaire Gaston Miron : un homme revenu d’en dehors du monde clôturera les soirées ciné-théâtre, vendredi le 11 juillet à 21 h. Il y a cinquante chaises à votre disposition. Vous pouvez également apporter les vôtres si vous préférez. (Source : La Promenade Fleury)
Sur Fleury Ouest
Les camions de cuisine de rue
du mercredi sont de retour. Le 25 juin, place à la Sandwicherie Zoé, et Ô soeurs volantes! Ce sera également au tour de Michel Daviault, artiste doubleur de films, et proprio du resto Frites Alors! qui fera des lectures d’extraits de livres en tant qu’artiste invité.Devinez le genre de commerce qui va bientôt ouvrir au 31 rue Fleury Ouest???
Gens d’affaires et commerçants d’Ahuntsic-Cartierville: vous avez des nouvelles, petites et grandes, susceptibles d’intéresser nos lecteurs? Écrivez-nous à journaldesvoisins@gmail.com, ou appelez-nous au 514 770-0858.
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BRÈVES…BRÈVES…BRÈVES…BRÈVES…BRÈVES…BRÈVES…
Les
souks du boulevard Gouin O. (aux environs de la rue Lachapelle) proposent à la
population un lieu convivial où faire emplettes et découvertes durant 3 samedis
consécutifs, soit les 23 et 30 août et le 6 septembre. Dans l’esprit d’un vrai
souk urbain, on y trouvera une diversité de marchands auprès desquels faire de
bonnes affaires, et aussi de quoi manger.
Des marchands sont recherchés pour participer à ce marché aux puces
urbain. Ce nouveau marché extérieur sur Gouin O. fait partie d’une initiative concertée de revitalisation de ce secteur. Contact : soukgouino@gmail.com. (Source : Souk Gouin O.)
Fête nationale et du Canada : Ouvert ou fermé à l’arrondissement? Le bureau d’accueil, le bureau Accès Montréal et le comptoir des permis de l’arrondissement seront fermés les mardis 24 juin et 1er juillet, pour la fête nationale du Québec et la fête du Canada. Les bureaux seront cependant ouverts les lundis 23 et 30 juin.
Les collectes des ordures ménagères et des matières recyclables seront maintenues selon les horaires habituels.
Les installations suivantes seront fermées les mardis 24 juin et 1er juillet :
• Les trois bibliothèques de l’arrondissement;
• Le Café de Da
• La maison de la culture Ahuntsic-Cartierville
• L’aréna Marcelin-Wilson
• L’aréna Ahuntsic
Les camps de jour seront fermés le 24 juin, mais ouverts le 1er juillet (à l’exception du camp de jour Saint-Simon). Toutes les piscines, les pataugeoires et les jeux d’eau demeurent ouverts le 24 juin et 1er juillet, ainsi que les terrains de tennis. (Source : Arrondissement)
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Comme on peut le voir sur la photo, elle a profité de cette occasion, pour rencontrer de nombreux électeurs (et futurs électeurs) de la circonscription. (Photo : bureau de Marie-Montpetit)
QUOI FAIRE….QUOI FAIRE…QUOI FAIRE…QUOI FAIRE…QUOI
en collaboration avec la députée de L’Acadie et ministre des Relations
internationales et de la Francophonie, Christine St-Pierre, de concert avec
l’arrondissement Ahuntsic-Cartierville, organise une célébration lundi 23 juin,
de 10 h à 14 h, au Centre communautaire de Bordeaux-Cartierville, au 1405,
boul. Henri-Bourassa Ouest. Au programme: musique, maquillage, fabrication de
bracelets et de couronnes, sculpture de ballons, collations et tirage de
cadeaux. Les activités sont gratuites et tous sont les bienvenus! Plus d’infos
au 514 336-3733.
des retraités d’Ahuntsic continue certaines activités durant tout l’été:
Santé marche les
lundis à 9h du matin (Se présenter au bistro de l’île de la Visitation)
Pétanque les lundis soirs au
parc Saint-Paul-de-la-Croix (Donner son nom au (514) 382-0310 poste 101)
Scrabble les mercredis à 13h30 et
Tennis sur table les
vendredis à 12h, dans
une salle de Présages (1474 Fleury est, coin Hamel) (Source : ARA)
Visite de l’ancien village de Bordeaux. Les bâtiments patrimoniaux y sont nombreux et de divers styles. Le 22 juin à 13 h 30, pendant 2 heures au coût de 15 $ par personne. Point de départ : 999, rue de Salaberry, à l’angle du boul. Gouin Ouest. (Par Tours Kaléïdoscope)
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Nous reconnaissons la contribution financière du ministère de la Culture et des Communications du Québec dans la réalisation de journaldesvoisins.com
Nous reconnaissons la contribution financière du Fonds d’économie sociale de la Corporation de développement économique (CDEC) Ahuntsic-Cartierville dans la réalisation de journaldesvoisins.com
- Premier prix, catégorie Opinion, pour “Le bien des autres”, éditorial du bimestriel papier de décembre 2013, aux prix de l’AMECQ
- Gagnant d’une bourse de 5 000 $ au concours Entreprenez à Ahuntsic-Cartierville, édition 2014
- Mention “Coup de coeur du jury” au Concours québécois en entrepreneuriat, CQE Est de Montréal, édition 2014
- Participant à la finale régionale de Montréal au Concours québécois en entrepreneuriat, édition 2014, dans la catégorie “économie sociale”
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