Les Actualités du 20 novembre 2015
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Jour du tirage
Le tirage aura lieu le jeudi 24 décembre, à 13 h, en présence des fondateurs et de membres de son conseil d’administration. Les gagnants seront appelés le jour même; leurs certificats-cadeaux leur seront postés.
Noms des gagnants
Les noms des gagnants paraîtront dans nos Actualités Web du vendredi 25 décembre, et sur notre site Web; ils seront également publiés dans la prochaine édition du magazine papier, fin janvier. Bonne chance!
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Nouvelle aile à l’école Ahuntsic Annexe
A-C octroie le permis de construction
Le 10 septembre dernier, une demande de permis pour cette construction avait finalement été déposée par la CSDM à l’arrondissement. À la réunion du 9 novembre, la conseillère du district d’Ahuntsic, Émilie Thuillier informait les personnes présentes que, comme la construction de l’aile à l’école Ahuntsic Annexe ne nécessitait pas de demandes de dérogation, le permis serait accordé sans autre formalité.
« Quand il n’y a pas de dérogation, a répondu Émilie Thuillier au commentaire de Jacques Mayer, la demande de construction ne vient pas au conseil. Le projet qui a été déposé par la CSDM est conforme en tout point au zonage. Donc, le projet en tant que tel va cheminer sans passer par le conseil d’arrondissement », ajouté Mme Thuillier. C’est ce qu’on appelle une construction de plein droit.
M. Mayer était visiblement déçu. « Nous sommes devant les faits, a-t-il dit. Le permis s’il y en a un n’est pas affiché. C’est une décision à court terme, a ajouté M. Mayer, précisant que malgré cet ajout à l’Annexe, il n’y aurait ni garderie, ni gymnase, et que le nombre de mètres carrés dans la cour d’école minimalement dévolus à chaque jeune fréquentant l’établissement serait de presque trois fois moins (2,5 m) que pour un élève fréquentant une autre école de la CSDM (8,5 mètres).
La conseillère Émilie Thuillier a précisé qu’il s’agissait d’une décision du gouvernement du Québec et de la CSDM. « Nous n’avons pas la responsabilité des écoles, peut-être un jour l’aura-t-on », a-t-elle conclu. (Par Christiane Dupont) (2015-11-20)
Pour lire le précédent article du journaldesvoisins.com sur le sujet, cliquez ici.
Arrivée de réfugiés syriens
On se prépare dans A-C mais on attend le « go » d’Ottawa
Deux arrondissements, soit Ahuntsic-Cartierville et Saint-Laurent, y ont des représentants, issus de l’administration publique. Ces comités en fait ont bien sûr des fonctions différentes, mais l’un vise à maintenir la bonne communication entre les diverses entités, l’administration publique et les gouvernements. Il comprendra des représentants des gouvernements, de la Ville et des forces canadiennes, notamment.
Un comité logement et éducation sera dirigé par Russell Copeman, qui s’occupe déjà de l’habitation au comité exécutif de la Ville. Les deux secteurs sont intimement liés, compte tenu de la localisation du logement et de l’école de quartier, en général à proximité. L’Office municipal d’habitation de Montréal (OMHM) qui administre un parc de 23 000 logements sociaux sera interpellé.
Un comité sécurité est aussi créé, dirigé par la vice-présidente du comité exécutif et responsable de la sécurité, Anie Samson. Pour surveiller l’intégration, un comité réunit l’ensemble des groupes sociaux communautaires. La Table de concertation des organismes au service des personnes réfugiées et immigrantes est sur les rangs.
Un organisme communautaire de Cartierville, La Corbeille de Bordeaux-Cartierville, travaille déjà à divers scénarios afin de donner un coup de pouce pour l’alimentation des enfants syriens.
Expert des cas difficiles
Un ex-sous-ministre fédéral, Michel Dorais, fera le lien entre les comités qui attendent plus d’informations du fédéral. Cela devrait venir lundi prochain probablement alors que tous les premiers ministres du pays se rencontrent. Michel Dorais, qui aura comme rôle de coordonner les comités, s’était notamment occupé de l’arrivée de 5000 Kosovars à la fin des années 1990, une opération qui s’est faite dans un court laps de temps, mais au printemps.
Avant d’avoir un logis (il y a beaucoup de logements inoccupés dans la portion Cartierville alors que dans l’ensemble de la ville, le taux est de 4 %) les réfugiés pourraient dormir dans d’anciens hôpitaux (Royal Victoria?) ou des installations de l’armée.
Pourquoi aller si vite?
Lorraine Pagé, conseillère du district Sault-au-Récollet et leader de la formation Vrai changement pour Montréal, ne s’offusquerait pas de voir le fédéral prendre huit semaines au lieu de six semaines pour accueillir les 25 000 réfugiés syriens alors qu’Ottawa fait une obsession de les recevoir coûte que coûte avant la fin de l’année.
« On ne leur garrochera pas de roches, a martelé Mme Pagé, si l’opération se termine le 10 janvier au lieu du 25 décembre. Le Canada est un pays grand et riche et il a un devoir humanitaire. Il ne faudrait surtout pas prendre comme prétexte d’un évènement triste (les attentats meurtriers du 13 novembre à Paris) pour ralentir ce qui a été prévu », a-t-elle averti.
Mais il y a des choses qui doivent être bien faites afin de les accueillir, notamment pour l’éducation, nous a dit Mme Pagé, un secteur qu’elle connaît fort bien. « Il y a un travail en amont qui doit être effectué par le gouvernement fédéral. Les villes et la Commission scolaire de Montréal seront très sollicitées. En général, 70 % des immigrants et réfugiés s’installant au Québec choisissent Montréal, la grande ville » a-t-elle souligné.
« On devrait faire le point bientôt étant donné que les arrondissements d’Ahuntsic-Cartierville et Saint-Laurent travailleront avec la ville-centre sur l’accueil. Des mises en commun seront nécessaires pour bien faire les choses », nous a dit Mme Pagé. Mais comme elle le dit, le comité parapluie qui a été créé attend le « go » du fédéral pour enclencher la machine.
Factures salées
Quoi qu’il en soit, le monde municipal a hâte de connaître les sommes qui leur seront refilées. Car ce sont dans les arrondissements et villes que se fait l’accueil, et à une période de l’année où beaucoup de monde est occupé avec le temps des fêtes et les vacances. Québec s’est entendu avec Ottawa pour le partage des coûts de l’accueil des 3600 premiers réfugiés. Toutefois, rien n’est prévu pour les 2000 qui suivront et Québec craint de se retrouver avec toute la facture. (Par Alain Martineau) (2011-11-20)
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Cité Historia
Fermeture à la suite d’un « déficit élevé »
Nécessité de continuer des activités dans le parc-nature de l’Île-de-la-Visitation
Mais une solution devrait être trouvée pour assurer la relève autrement ou relancer Cité historia pour le printemps 2016, selon les informations recueillies. À l’heure actuelle, le conseil d’administration « enquête » sur le déficit, a-t-on appris de bonne source et veut remettre l’organisme sur les rails, d’autant que ce sont notamment des fonds publics qui sont utilisés pour faire vivre l’OBNL.
La conseillère municipale du district Sault-au-Récollet, Lorraine Pagé, a indiqué que des discussions auront lieu avec la ville-centre (responsable des Grands parcs) et même l’arrondissement afin de voir ce qui pourrait être fait dans l’avenir. L’organisme, comme l’a signalé Mme Pagé en entrevue avec journaldesvoisins.com mercredi, avait des responsabilités dans le Grand parc dont l’accueil au musée situé rue du Pressoir.
«Cité historia jouait un rôle important en animation, pour les camps de jour et la ballade, a mentionné Mme Pagé, notamment avec le Parcours Gouin qui vient d’être lancé. Il y avait eu récemment une mise à niveau du bâtiment historique à la Maison du Pressoir et le programme triennal d’immobilisations avait prévu des montants aussi pour la Maison du Meunier, à côté du site des Moulins», a-t-elle ajouté. Mme Pagé ne cache pas qu’il faut trouver une solution. «C’est préoccupant, il faut procéder à une analyse, voir la situation budgétaire » a-t-elle déclaré. Il a été impossible jusqu’ici de faire parler des gens ayant œuvré à Cité historia. A la ville-centre, on attendait toujours des nouvelles au moment d’aller sous presse.
Historique de Cité Historia
Cité historia a obtenu en 2001 le statut d’institution muséale reconnue par le ministère de la Culture du Québec. L’entreprise était vouée à la promotion du patrimoine du Sault-au-Récollet, cœur historique d’Ahuntsic-Cartierville et bastion du développement dans le nord de Montréal depuis le 17e siècle. Plusieurs notent même que c’est le « deuxième Vieux-Montréal ».
Récemment, Cité historia avait annulé l’activité prévue le 31 octobre sur les rites funéraires à l’église de la Visitation. Journaldesvoisins.com qui s’était inquiété de savoir que cette activité double très intéressante au programme était annulée n’avait jamais reçu de réponse à sa question. Le Bistro des moulins, resto sympathique au « sous-sol » de la maison du Meunier (monument historique datant de 1727 et transformé en centre d’interprétation) est fermé pour l’hiver.
Pourtant, tout récemment, on avait réglé le problème de l’abri extérieur (l’auvent) permettant aux clients de prendre un verre ou une bouchée sur la terrasse, comme nous l’a mentionné Mme Pagé. Au printemps dernier, on avait rouvert le Musée de la Maison du Pressoir présentant l’exposition qui retraçait l’histoire de ce secteur d’Ahuntsic-Cartierville.
Deux chapeaux
Cité historia a même été lauréat aux Grands Prix du Tourisme 2014 pour la région de Montréal, dans la catégorie Attractions touristiques de moins de 25 000 visiteurs, avec son application « Destination Sault » application mobile à télécharger gratuitement avec des explications sur les lieux historiques de l’endroit.
Ce sont les Logiciels Héritage (les mêmes que pour l’application Info-Déneigement de la Ville) et Cité Historia, dont son directeur maintenant démissionnaire, Michel Le Coester, qui ont mis au point « Destination Sault ». Le directeur général de Cité Historia portait d’ailleurs deux chapeaux, celui de président de Communications MDM inc. depuis 1989, une entreprise spécialisée qui conçoit des outils informatisés pour l’industrie du voyage; et celui de directeur général de Cité Historia, de janvier 2011 à octobre 2015. (Par Alain Martineau, avec la collaboration de Christiane Dupont) (2015-11-20)
Pour visiter le site Web de Cité Historia, cliquez ici.
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En attendant la suite…
La CDEC Ahuntsic-Cartierville garde le cap sur quelques projets
Sandrine Cohen, coordonnatrice, explique que la confusion règne un peu depuis l’annonce des compressions parce que les CDEC et le nouveau pôle, PME Montréal Centre-Ouest, sont présentement dans une dynamique de restructuration. « On reconstruit ce qui a été déconstruit », explique Mme Cohen. « Mais nous sommes toujours présents, ajoute-t-elle. »
En fait, la CDEC Ahuntsic-Cartierville a toujours une entente avec Développement économique Canada, et ce, jusqu’au 31 mars 2016. Jusqu’à cette date, la CDEC continue de s’occuper des dossiers en lien avec le développement économique et la concertation locale. Toutefois, les mandats du Centre local de développement (accompagnement des entreprises) et les services d’accompagnement et de placement en emploi sont maintenant confiés à PME Montréal-Centre-Ouest.
Pendant les élections fédérales, Développement économique Canada a mis sur la glace toutes les décisions, comme ce qu’il résultera de l’entente avec la CDEC Ahuntsic-Cartierville.
Selon Mme Cohen, une réponse, qu’elle soit positive ou négative, devrait arriver assez rapidement. « Est-ce que le mandat sera renouvelé, on pense que oui. Mais est-ce que le mandat va évoluer? On ne sait pas encore. »
Secteurs Gouin et Chabanel
Elle espère que la CDEC conservera un rôle de développement économique qui est fortement ancré dans la réalité de l’arrondissement. « Nous craignons avoir moins de liens avec le local. En ayant un contact avec la réalité locale, on peut apporter les bonnes solutions. »
Les ressources de la CDEC ont été considérablement réduites au cours de la dernière année, ce qui fait que le conseil d’administration de l’organisme a choisi certains dossiers prioritaires à porter d’ici la fin du contrat. La revitalisation du boulevard Gouin et la formation d’une association de commerçants pour cette artère, ainsi que le développement économique du secteur Chabanel, sont les dossiers que gère Mme Cohen. D’autres projets, comme le Plan d’action local pour l’économie et l’emploi (PALÉE), dévoilé l’an dernier, a dû être mis de côté, pour l’instant.
Ultimement, Mme Cohen souhaite que la décision du gouvernement fédéral puisse assurer une continuité dans le travail de développement économique qui s’est fait et qui continue de se faire dans Ahuntsic-Cartierville. (Par Mélanie Meloche-Holubowski) (2015-11-20)
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Demande d’un ex-conseiller
Proposition pour identifier le « chemin des Indiens », entre le Mont-Saint-Louis et le cimetière du Sault
Tout récemment, Pierre Lachapelle, un ancien conseiller municipal, a expédié des missives aux autorités compétentes de la ville (en matière patrimoniale) afin que l’on identifie ce passage historique dont beaucoup de gens ne connaissent pas l’historique.
M. Lachapelle a suggéré que la ville installe des « plaques toponymiques » à l’entrée et à la sortie (boulevard Henri-Bourassa Est et la rue Camille-Paquet) du passage piétonnier. « Ce passage, a indiqué M. Lachapelle, était, dans les années 1960, appelé par les vieux résidants du Sault : “Chemin des Sauvages”. C’était un résidu du sentier que les Amérindiens de la mission du Sault empruntaient du nord au sud de l’île pour gagner le Vieux-Montréal et ses débits de boissons, contournant ainsi les intentions des ecclésiastiques français dans leur travail d’évangélisation sur l’île de Montréal », a-t-il poursuivi.
Initiative tardive
Certains pourraient être appelés à s’interroger sur le fait qu’il ne semble pas y avoir eu d’intervention par le passé pour identifier ce lieu. Et d’autres aussi dans le nord de la ville.
« Dans les années 1960 et bien avant, dit Pierre Lachapelle, les Jésuites avaient le collège Saint-Ignace juste à côté (l’ancien Mont-Saint-Louis). Sans parler des Frères de Saint-Gabriel qui avaient leur maison provinciale là où se trouve le Centre d’hébergement Berthiaume-du-Tremblay (sur le boulevard Gouin) et un noviciat dans le quadrilatère Taché, Fleury, Garnier, Prieur. Une immense propriété. Il y a eu aussi la Société d’histoire du Sault-au-Récollet, qui est morte faute de combattants il y a environ 20 ans. Je ne blâme personne, loin de là. Mais disons que bien du monde aurait pu faire la demande », s’est-il interrogé.
Longue histoire
Pierre Lachapelle s’est toujours intéressé à l’histoire. A l’école, mais aussi au sein de la paroisse. Il se souvient des activités dans les années 1960, justement dans la paroisse de la Visitation. « Les Frères de Saint-Gabriel organisaient des journées en été où l’on se déguisait en s’inspirant des “héros” des figures marquantes de la Nouvelle-France. Et puis, il y avait aussi des familles dont les racines dans le Sault remontaient loin en arrière. Nos voisins — alors que j’habitais rue Francis coin Prieur, Maurice Prévost et Rita Paquette — étaient nés dans le Sault comme leurs aïeux. Je suis persuadé que la première fois que j’ai appris le nom de ce passage, cela a été de bouche à oreille », a-t-il mentionné.
Données historiques
Mais en fouillant dans les livres d’histoire, il a trouvé que ce court sentier (aujourd’hui) était un petit segment d’un long corridor dans l’axe nord-sud dans l’île. « Il semble bien que ce tronçon soit un reliquat d’un long sentier qui traversait l’île du Nord au Sud. J’aurais dû m’en occuper pendant mes deux mandats comme conseiller municipal ». Mais fort occupé par d’autres dossiers, il a fait son mea culpa et est revenu à la charge.
Il a l’appui de Mme Pagé qui rappelle que ce segment est le dernier qui existe dans le parcours qu’effectuaient les autochtones entre le nord (le Sault) et le Mont-Royal. Mme Pagé a estimé aussi que la nouvelle Société d’histoire Ahuntsic-Cartierville pourrait “prendre le relais”, ajouter sa voix pour ce dossier et d’autres relatifs au patrimoine historique.
« Cela, dit Mme Pagé, s’intègre aussi à d’autres sites en lien avec le Parcours Gouin, comme Sophie-Barat, la rivière, etc. On peut mettre en valeur des endroits sans que ça coûte des millions, avec une notice historique. On devrait suivre l’exemple de Paris au chapitre de l’identification des lieux historiques », a-t-elle mentionné.
Le temps est bon
M. Lachapelle affirme qu’une identification de ce lieu tombe à point nommé à l’approche des Fêtes du 375e anniversaire de Montréal. « Je suggère qu’il est temps de combler ce vide et de souligner notre fraternité et notre reconnaissance envers les peuples autochtones, qui ont occupé le territoire de ce pays, bien avant l’arrivée des Européens », a plaidé Pierre Lachapelle.
Dans une lettre à Nathalie Martin, chef de la division du patrimoine à la direction de l’urbanisme, M. Lachapelle a proposé le nom suivant pour le passage identifié en titre : « Chemin des Hurons ». (Par Alain Martineau) (2015-11-20)
Deux élues d’A-C y participent
Un colloque sur l’engagement des femmes en politique municipale
« Soixante-quinze ans après l’obtention du droit de vote des femmes, celles-ci sont encore sous représentées en politique, affirme Lorraine Pagé. En tant que société, on n’a pas mis en place toutes les mesures nécessaires pour pallier cette situation », poursuit-elle.
Selon Émilie Thuillier, l’engagement d’une femme en politique demeure trop souvent « inhabituel » dans notre société. À l’occasion de sa première élection en 2009, au conseil d’arrondissement, Mme Thuillier nous a confié s’être souvent fait prendre pour l’attachée politique du maire et non une conseillère élue, alors qu’on ne se trompait pas sur le statut des jeunes conseillers élus masculins. « Les femmes ne sont pas socialisées pour être impliquées politiquement. Elles ont été éduquées à chercher la conciliation et à fuir l’affrontement. Alors que, lorsqu’on fait de la politique active, on est souvent sur le terrain de l’affrontement » affirme Lorraine Pagé. C’est ce qui pourrait expliquer pourquoi plusieurs hésitent à se présenter aux élections.
Mesures à venir
L’absence d’une politique de congé de maternité complète a été dénoncée par plusieurs oratrices. « C’est à peu près les seules travailleuses au Québec qui n’ont pas encore le droit à un congé de maternité », affirme madame Pagé. Cependant, la ville de Montréal adoptera bientôt un ensemble de mesures pour prévoir « des congés de maternité, de responsabilité parentale et pour les aidants naturels ».
Pour Mme Thuillier, la Politique pour une participation égalitaire des femmes et des hommes à la vie de Montréal adoptée en 2008 « n’avait pas d’objectifs suffisamment ambitieux ». Selon Lorraine Pagé, il faudrait que le gouvernement du Québec modifie la loi sur les cités et villes en y ajoutant des dispositions pour que les femmes aient de vraies mesures de reconnaissance.
Rôle à jouer
Pour qu’il y ait plus de femmes élues, il faudrait d’abord qu’il y en ait plus qui se présentent aux élections. L’une des propositions envisagées est d’obliger les partis politiques à recruter davantage de candidatures féminines. « Il y a un travail à faire du côté des partis. Il faut leur donner des obligations de résultat en termes de recrutement de femmes », soutient Lorraine Pagé.
L’exception fait la règle
Des élues ont rappelé également que trop peu de femmes occupent un poste de direction. Émilie Thuillier se réjouit par contre qu’à Ahuntsic-Cartierville, ce ne soit pas le cas : « Moi je suis leader de l’Opposition. On a une femme ministre au provincial, Mme Saint-Pierre. Mme Montpetit est adjointe parlementaire et Mme Joly vient d’être élue au fédéral et est ministre. On est statistiquement non représentatives dans l’arrondissement, mais tant mieux! », conclut-elle.
Lorraine Pagé et Émilie Thuillier ont toutes deux affirmé être très satisfaites du déroulement de l’événement et souhaitent que d’autres rencontres du genre aient lieu. (Par Thomas Deshaies) (2015-11-20)
Pour visionner la vidéo intégrale de l’événement, cliquez ici.
Pour consulter la Politique pour une participation égalitaire des femmes et des hommes à la Ville de Montréal, cliquez ici.
Pour prendre connaissance du site du Conseil jeunesse de Montréal, cliquez ici.
Pour consulter le site Web du Conseil des Montréalaises, cliquez ici.
Pour en apprendre plus sur le Conseil interculturel de Montréal, cliquez ici.
Manifestations et piquetage dans A-C
Négociations avec Québec: impasse
Les enseignants débraient de nouveau
Le Syndicat du personnel enseignant du Collège Ahuntsic (SPECA) a notamment participé à une marche dans le quartier. Lundi, une centaine d’enseignants ont visité des groupes de piquets de grève, dont celui devant le CLSC Ahuntsic, où des employés manifestaient contre les compressions budgétaires dans les institutions de santé.
Regroupement
Divers organismes et institutions de l’arrondissement ont d’ailleurs formé le regroupement Ahuntsic-Montréal-Nord contre l’austérité, afin de présenter une voix unifiée contre les mesures d’austérité qui touchent le secteur public.
Mardi, des enseignants du SPECA ont tenté de rencontrer la députée Marie Montpetit à ses bureaux d’Ahuntsic-Cartierville. Mme Montpetit n’étant pas présente, les enseignants ont tout de même lu à l’extérieur une lettre adressée à la députée.
« On voulait l’interpeller sur le fait que ce qui est proposé par le gouvernement dans le cadre des négociations, ça affecte surtout des femmes. On voulait savoir, en tant que femme et membre du parti libéral, comment Mme Monpetit se positionnait par rapport à cette question », dit Philippe de Grosbois, secrétaire à l’exécutif du SPECA.
Report?
Plusieurs enseignants ont ensuite participé à une manifestation au centre-ville. En assemblée générale, les enseignants du SPECA ont notamment discuté de la possibilité d’autres journées de grève et des conséquences d’actes de désobéissance civile en cas de l’adoption d’une loi spéciale par le gouvernement.
Toutefois, les trois autres journées de grève qui avaient été prévues au début du mois de décembre ont été reportées par le front commun intersyndical, dans le but « de laisser tout l’espace possible afin de faire avancer la négociation », indiquait un communiqué du 18 décembre. (Par Mélanie Meloche-Holubowski) (2015-11-20)
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Graffitis en baisse dans A-C
Moins d’interventions cette année sur les domaines public et privé
Si l’on prend les statistiques s’étalant du début de l’année à la mi-novembre, les brigades antigraffitis de l’arrondissement ont eu à effacer 4200 mètres carrés de slogans ou dessins inappropriés. Pour l’ensemble de 2014, ce fut environ 6400 mètres carrés, ce qui fait que l’on aura moins eu moins de graffitis en 2015, étant donné que le gros de l’activité criminelle est terminé avec les températures plus froides qui sont à nos portes.
C’est ce qu’a indiqué le principal responsable des opérations nettoyage, Anthony Berzghal, à journaldesvoisins.com, en précisant que ses équipes ont effectué quelque 650 interventions depuis le début de l’année.
Interrogé sur la nature des graffitis des dernières semaines, on note surtout la présence de signatures ou « tags » (NDLR : Quelques lettres faites avec de la peinture en aérosol). Fort heureusement, aucun des graffitis répertoriés n’avait de connotations racistes, haineuses ou politiques.
Au cours des derniers jours, nous avons vu toutefois divers graffitis souvent aux mêmes endroits, comme au marché Alimentation Santé Laurier sur la Promenade Fleury dont le personnel, soit dit en passant, efface lui-même les graffitis sur les murs de l’établissement.
Aux diverses stations de métro, c’est « pas touche! », car on tombe sous la juridiction de la Société de transport de Montréal (STM). Sauf qu’il en faut du temps parfois à la STM pour effacer les « tags » qui n’ont pas lieu d’apparaître sur les murs des stations de métro.
Embauche de jeunes
Au cours de l’été, des jeunes avaient été embauchés pour faire le nettoyage sur du mobilier urbain comme sur les bancs ou les chalets dans les parcs. Encore, une fois, il y a eu moins de méfaits de ce côté.
Le Service de police de la ville de Montréal rappelle que le graffiti est un acte de vandalisme s’il n’est pas autorisé par le propriétaire de l’immeuble où il est réalisé. Il faut reconnaître, comme le mentionne la police, que les graffitis suscitent aussi une « prolifération d’activités délinquantes comme le vol et le vandalisme », et ils « sapent » le sentiment de sécurité des citoyens. Aucun commerçant ou proprio de résidence ne veut de graffitis.
Question de permettre à ceux et celles qui sont tentés par le vaste monde de l’expression artistique, des projets peuvent être lancés en collaboration avec diverses entreprises d’économie sociale ou autres, comme avec le groupe MU qui veut transformer Montréal en musée à ciel ouvert, ou encore des initiatives privées comme celle de Tandem, justement, avec la murale du célèbre Rocket sur le mur est du restaurant La Molisana.
Plusieurs projets sont mis sur pied chaque année pour « embellir » le béton. Mais malheureusement, on voit de plus en plus de graffiteurs mettre des slogans ou initiales sur des œuvres d’art. (Par Alain Martineau) (2015-11-20)
Pour avoir plus d’infos sur Tandem, cliquez ici.
Pour avoir plus d’infos sur le Groupe MU, cliquez ici.
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Le juste salaire de nos élus
Voici les chiffres qui concernent les élus d’Ahuntsic-Cartierville. Nous avons indiqué le total global de toutes leurs fonctions.
Chitilian, Harout 130 150 $
Conseiller, Bordeaux-Cartierville
Vice-président du comité exécutif
Membre du conseil d’agglomération, etc.
Desrochers, Pierre 146 636 $
Conseiller, Saint-Sulpice
Président du comité exécutif
Membre du conseil d’agglomération, etc.
Gagnier, Pierre 122 654 $
Maire d’arrondissement
Vice-président d’une commission
Président du CCU ds A-C, etc.
Pagé, Lorraine 67 875 $
Conseillère, Sault-au-Récollet
Présidente d’une commission, etc.
Thuillier, Émilie 77 373 $
Conseillère, Ahuntsic
Présidente d’une commission, etc.
Leader de l’Opposition
En outre, chacun des élus bénéficie d’une allocation de dépenses annuelle de 15 976 $.
Le maire Coderre a présenté la rémunération de tous les élus de Montréal dans le cadre d’un texte portant sur la situation financière de la Ville de Montréal.
De façon plus spécifique, sur la rémunération des élus, il écrivait : « Selon la Loi sur le traitement des élus municipaux, le présent rapport doit également indiquer les revenus des élus pour l’année en cours. Lesdits revenus, de même que les allocations de dépenses des élus sont conformes aux dispositions de cette loi. Je dépose donc au conseil un tableau des montants qui seront versés aux élus en 2015. Je profite de l’occasion pour rappeler qu’une motion, votée à l’unanimité en août 2014, a été transmise au gouvernement du Québec afin que les élus financent à parts égales leur régime de retraite avec la Ville.» (C.D.) (2015-11-20)
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Salon des ressources du Comité Isolement
Amener les ressources communautaires aux personnes isolées
Puisqu’il n’est pas toujours possible pour certains aînés de se déplacer dans les bureaux de différents organismes, la table de concertation choisit d’aller à leur rencontre.
Selon le dernier Rapport du Conseil national des aînés sur l’isolement social des aînés, un aîné sur quatre a indiqué qu’il aurait aimé participer à plus d’activités sociales au cours de l’année précédente et 19 % des individus âgés de 65 ans ou plus manquent de compagnie ou se sentent délaissés ou isolés.
Une dizaine d’organismes et institutions, dont le CLSC, le SNAC, la Société Alzheimer, Entraide Ahuntsic-Nord et le service des bibliothèques, étaient présent jeudi au HLM Fleury, dans Ahuntsic-Cartierville. En plus d’offrir de l’information sur les différents services qui sont à la disposition des aînés du quartier, tels que de l’aide pour le ménage, des repas congelés à petits prix, ou des activités sociales, l’activité permet aux résidants des HLM de se rencontrer.
« Puisque chacun a son appartement, les gens dans les HLM ne se voisinent pas nécessairement et certains n’osent pas se parler dans les corridors », explique Pauline Dion, du Comité isolement. « Une intervenante du HLM m’a dit qu’à la suite de notre salon, les gens viennent plus souvent aux activités (NDLR : organisées par l’intervenante). »
De plus, Mme Dion, ajoute que ce type de rencontre est beaucoup plus efficace que l’envoi de dépliants. « On peut prendre le temps d’expliquer de vive voix », précise Mme Dion.
Quatre autres salons des ressources sont prévus par le Comité isolement, de février à mai 2016. (Par Mélanie Meloche-Holubowski) (2015-11-20)
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Une radio arabophone bien enracinée dans Ahuntsic-Cartierville
Notons que l’affiche en question de la station CKIN ne contrevient pas à la Charte de la langue française, comme le prétendent certains internautes. En vertu de l’article 22 du règlement, une publicité commerciale d’un organe d’information peut être dans une autre langue et ne doit pas obligatoirement afficher le français en prédominance, si ce média diffuse dans une autre langue.
Des studios aménagés à Cartierville
Pour sa part, les studios de CHOU sont situés dans le sous-sol d’une maison de la rue de Meulles dans Cartierville. Antoine Karam et sa femme, originaire du Liban, ont décidé en 1996 de fonder leur propre radio pour donner une autre voix à la communauté arabophone. « Je voyais qu’il y avait un besoin, une demande. Il y avait des stations de radio et de télévision à Montréal qui offraient une ou deux heures par semaine (de contenu en arabe) et ce n’était pas toujours du contenu local », dit-il.
Antoine Karam est journaliste, possède une formation en radiocommunications et a notamment fondé deux stations de radio au Liban. Il a investi significativement dans l’initiative au début, puis l’entreprise a pris de l’ampleur, année après année.
Aujourd’hui, CHOU vit grâce aux revenus publicitaires et compte 28 employés, dont cinq journalistes et divers chroniqueurs. Ils diffusent des bulletins de nouvelles à chaque heure, de 6 h à 18 h, ont une émission matinale fort populaire et plusieurs émissions musicales. L’auditoire, qui est formé de gens provenant d’une quinzaine de pays, est concentré surtout dans la grande région de Montréal, mais le signal de CHOU peut être capté jusqu’à Ottawa et un peu au-delà des frontières américaines.
La station de radio est tellement populaire, que les propriétaires commenceront bientôt à diffuser à Halifax, où il y a une grosse communauté libanaise, et ils songent à s’établir aussi dans l’ouest canadien, possiblement à Edmonton.
Aide à l’intégration
Antoine Karam se défend de créer un « ghetto médiatique » avec une station qui ne diffuse qu’en arabe. La majorité du contenu que traite CHOU est constitué de sujets locaux, rappelle-t-il. Les auditeurs de CHOU ne sont pas différents du Québécois moyen, dit-il. Ils ont les mêmes préoccupations et veulent savoir ce qui se passe à Montréal, au Québec, et au Canada.
« Évidemment, nous avons une approche une peu différente (des médias traditionnels au Québec). Nous avons peut-être un peu plus de nouvelles internationales, parce que les gens qui nous écoutent ont encore de la famille et des amis au Moyen-Orient ou en Afrique du Nord. Ils veulent avoir un peu plus de détails que le 30 secondes qui passe aux stations nationales. Mais on traite des mêmes sujets que le Journal de Montréal ou RDI. »
M. Akram estime que la station de radio a changé la vie de plusieurs nouveaux arrivants. « Parfois, les gens ont de la difficulté à apprendre la langue. En nous écoutant, ils apprennent mieux ce qui se passe ici et ils peuvent mieux s’intégrer. »
Par exemple, CHOU présente une émission avec une sociologue pour donner un coup de main aux femmes à bien intégrer leurs familles au sein de la communauté québécoise. « Certaines personnes viennent de pays islamiques où les femmes n’ont pas de droits. On leur donne des conseils pour qu’elles connaissent leurs droits, pour savoir comment traiter les conflits familiaux dans leur pays d’adoption », explique M. Karam.
CHOU est bien enracinée dans la communauté d’Ahuntsic-Cartierville et M. Karam se dit fier d’avoir obtenu la confiance des diverses communautés arabophones montréalaises de leur avoir fourni de l’information locale, avec une petite touche de leur pays d’origine. En fait, « Je dis aux Québécois : imaginez si vous déménagez en Afrique et vous apprenez qu’il y a une radio québécoise. Vous allez vous sentir un peu comme chez vous! » (Par Mélanie Meloche-Holubowski) (2015-11-20)
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Carrefour Jeunesse-Emploi d’Ah.-B-C
Précieux coup de main pour les 16-35 ans
À l’instar des 19 autres CJE de l’île de Montréal, le CJE Ahuntsic Bordeaux-Cartierville offre aux jeunes de 16 à 35 ans de son territoire — qui est celui de l’arrondissement — un service personnalisé et sur une base volontaire, en recherche d’emploi, en orientation, ou en démarrage d’entreprise. « On est sur un spectre assez large et quand on parle d’Ahuntsic-Cartierville, ça veut dire autant des jeunes décrocheurs, des jeunes familles immigrantes, des jeunes qui sortent de l’université ou des jeunes qui n’ont pas terminé le secondaire », a donné comme exemples, Pierre Gingras, directeur général du CJE Ahuntsic-Bordeaux-Cartierville.
Pour répondre aux besoins de la population diversifiée de notre arrondissement, le CJE a donc fait le choix de proposer une approche individuelle, a souligné M. Gingras. Après une prise de rendez-vous qui s’effectue en général par téléphone, les jeunes sont invités quelques jours plus tard à venir rencontrer un conseiller, qui va évaluer leurs besoins et construire avec eux un plan d’action personnalisé. Le suivi s’effectue ensuite selon les nécessités de chacun, et peut aller de quelques rendez-vous à un contact gardé sur des années. Selon M. Gingras, le CJE de notre arrondissement rencontre ainsi autour de 400 à 500 personnes par an. Tous les services offerts sont gratuits.
Multiples programmes
Comme les autres CJE, celui d’Ahuntsic-Bordeaux-Cartierville offre également un programme destiné spécifiquement aux jeunes de 18 à 24 ans, éloignés du marché du travail et éprouvant des difficultés, le programme « Jeunes en action ». Se déroulant sur toute l’année et en entrée en continu, cette activité de groupe s’adresse ainsi aux jeunes qui font une première demande à l’aide sociale.
Par ailleurs, d’après M. Gingras, une intervenante du CJE travaille également avec les jeunes des écoles secondaires en prévention du décrochage scolaire et dans le maintien aux études.
Cadre de financement modifié
À l’instar d’autres organismes, les CJE ont également été affectés par certains changements subséquents aux compressions budgétaires instaurées par le gouvernement provincial. Effectifs depuis le 1er avril dernier, ces changements n’ont pas tant affecté les services offerts par les CJE, que leur source de financement, a indiqué M. Gingras. Auparavant financés par le ministère de l’Emploi et de la Solidarité sociale « par subvention à la mission de base », les CJE sont passés à un régime « d’achat de service », avec le gouvernement et sont désormais financés par Emploi-Québec.
« Avec le nouveau cadre de financement, on doit s’assurer que la personne est résidante du territoire, qu’elle est dans le groupe d’âge de 16 à 35 ans et que ce n’est pas une personne qui est étudiante à temps plein, ou travailleuse à temps plein », a souligné M. Gingras, tout en rappelant que pour autant, une certaine flexibilité persiste et que les jeunes non admissibles aux services des CJE peuvent toutefois encore les contacter pour obtenir des informations ou se faire diriger vers d’autres services. Ainsi, un travailleur à temps plein occupant un emploi nettement en dessous de ses qualifications peut toujours faire une demande de service auprès d’Emploi-Québec pour profiter de leurs prestations. (Par Rabéa Kabbaj) (2015-11-20)
Pour avoir plus d’infos, cliquez ici.
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Cégeps en spectacle
Inscriptions aux finales locales ouvertes à André-Grasset et Ahuntsic
Les étudiants à temps plein du collège André-Grasset et du cégep Ahuntsic désireux de présenter un numéro solo ou en groupe ont ainsi jusqu’au 27 novembre pour le Collège Ahuntsic, et jusqu’au 3 décembre pour le Collège André Grasset, pour s’inscrire aux finales locales de leurs établissements respectifs. Les deux établissements n’organisant pas d’auditions, tous leurs étudiants intéressés à présenter un numéro peuvent s’inscrire.
Compétition multidisciplinaire
Ces finales locales intracollèges sont ouvertes à « tous les arts de la scène, autant le cirque que l’humour, le chant, le théâtre, la danse et la musique », a noté Pascale Corney, conseillère à la vie étudiante au cégep Ahuntsic, en soulignant que le numéro présenté en solo ou en groupe peut être « soit une création, soit une interprétation, soit un numéro mixte ».
Comme le prévoit le règlement officiel de Cégeps en spectacle, l’encadrement technique des numéros est assuré par chaque collège présentant sa propre finale locale. « On fait affaire avec une directrice artistique, qui s’occupe à la fois des animateurs et de l’encadrement des numéros, selon leur discipline. (…) C’est une metteure en scène, donc elle contribue à améliorer visuellement chacun des numéros », a indiqué Mme Corney à journaldesvoisins.com.
Même son de cloche du côté de l’organisation de la finale locale du Collège André- Grasset. « Les participants (es) doivent nous décrire leur numéro, nous envoyer les textes, etc… Tout se passe en français, donc on doit le vérifier. On leur demande également quelle ambiance ils aimeraient avoir sur scène en termes d’éclairage. Après les fêtes, on a une rencontre avec tous les concurrents et on (organise) la mise en scène », a expliqué Étienne De Santis-Savoie, animateur socioculturel au Collège André-Grasset.
Des répétitions auront ainsi lieu avant la finale locale du 3 février de ce collège, qui avait vu la gagnante de sa précédente finale locale, l’auteure-compositeure-interprète Michaëlle Richer, remporter également la finale régionale montréalaise de l’an dernier.
Première étape
À l’issue de chacune de ces deux finales locales, un seul numéro représentera chacun de ces deux établissements à la finale régionale, qui se tiendra, pour la région montréalaise le 19 mars prochain au Collège Marie-Victorin. Pour sa part, le cégep Ahuntsic remettra un prix en argent aux gagnants des trois premières places de sa finale locale, dont un prix d’une valeur de 200 $ pour le numéro gagnant.
En moyenne, les finales locales de chacun de ces deux établissements présentent une dizaine de numéros. Les prestations artistiques sont évaluées sur 100 points par un jury, et doivent répondre à quelques critères obligatoires dont notamment l’utilisation de la langue française. À noter que Cégeps en spectacle n’est ouvert qu’aux amateurs.
Existant depuis 36 ans, Cégeps en spectacle a lancé la carrière de grands noms de la scène québécoise, parmi lesquels Ariane Moffatt, Louis-Jean Cormier ou encore Isabelle Boulay. Cette année la finale nationale se tiendra le 30 avril 2016 au Cégep de Chicoutimi. (Par Rabéa Kabbaj) (2015-11-20)
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Fausse alerte
Circulation perturbée sur St-Laurent
Création d’un bureau de projet
Transport actif et collectif : on promet des améliorations
La création d’un bureau de projet, peut-on lire, qui permettra la mise en commun de l’expertise de plusieurs spécialistes vient confirmer cette volonté. Une équipe pluridisciplinaire se consacrera entièrement à la réalisation des projets de mesures préférentielles pour autobus et vélo. La ville désire souligner que le vélo est un mode de transport à part entière en aménageant 150 kilomètres de voies cyclables d’ici 2018.
Toujours selon le communiqué, la Ville de Montréal investira également dans le développement des transports collectifs en misant, entre autres, sur l’implantation de mesures préférentielles pour autobus à raison de 50 kilomètres par année.
Remis d’une année à l’autre
Frédéric Bataille, un des porte-parole d’Ahuncycle, espère que les projets annoncés seront vraiment mis en œuvre. « Depuis plusieurs années, on nous promet de nombreuses voies cyclables, mais malheureusement ces projets sont souvent remis d’une année à l’autre. De tous les projets promis cette année dans Ahuntsic-Cartierville, seule la voie protégée sous le viaduc de Christophe-Colomb semble avoir été terminée. »
Journaldesvoisins.com a vérifié l’existence de certaines des voies cyclables promises en début d’année, notamment Meilleur/Henri-Bourassa/Marcelin-Wilson; Émile-Journault; prieur à l’est de Christophe-Colomb; Legendre; St-Hubert, et la véloroute le long de la voie du CP. Seule la véloroute semble être en bonne voie de réalisation. Voir photoreportage ici. (Par Philippe Rachiele) (2015-11-20)
Une rareté que ce canard Harlequin à Mtl!
LETTRES OUVERTES
Lettre ouverte d’Ahuncycle au Maire Pierre Gagnier concernant un nouveau lien piétonnier/cyclable
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BRÈVES…BRÈVES…BRÈVES…BRÈVES…BRÈVES…BRÈV
La Ville de Montréal informe les Montréalais que les sept écocentres sur le territoire de la ville changent d’horaire pour la période hivernale. Depuis le 15 octobre, l’écocentre Acadie sera ouvert du mardi au samedi, de 10 h à 18 h, et fermé les dimanches et les lundis. Cet horaire sera en vigueur jusqu’au 14 avril. (Source : Arrondissement)
En outre, si vous désirez regarder la séance du conseil en Webdiffusion, c’est sur le site de l’arrondissement, sous la rubrique “Mairie d’arrondissement”, puis “Conseil en direct”, par ici.
LE COIN COMMUNAUTAIRE
LE COIN DES COMMERÇANTS
Sur Fleury Est
Il y aura également un service de photographe sur place, qui offre les photos moyennant un certain coût. Profitez et encouragez votre quartier; une belle alternative aux centres commerciaux qui sont souvent au loin, et bondés durant le Temps des Fêtes.
Sur La Promenade
Un concert gratuit de chants de Noël aura encore lieu cette année à l’Église Saint-Paul-de-la-Croix, samedi 12 décembre, entre 13 h et 14 h. Cette année, le concert est une gracieuseté de la députée de Crémazie, Marie Montpetit. Vous avez hâte d’en savoir plus? À suivre…
Et, toujours dans le même esprit, le grand concours de Noël de La Promenade sera mis en branle bientôt…
Sur Henri-Bourassa Ouest
Sur le boulevard St-Laurent
QUOI FAIRE… QUOI FAIRE… QUOI FAIRE… QUOI FAI
Lancement du Festival sportif! Venez festoyer à l’aréna Ahuntsic, vendredi le 20 novembre dès 17 h 30! Il y aura un léger goûter, allocution du maire de l’arrondissement, M. Pierre Gagnier et des représentants du Festival sportif, une démonstration de sports de glace et du Patinage libre et défis pour tous. Apportez vos patins et vos casques! (prêt pour ceux qui n’en ont pas) Toutes les activités sont gratuites. (Source : Arrondissement)
Hommage à Piaf par Angélique Duruisseau & Marc-André Cuierrier. La même intensité, le chagrin dans la gorge et l’amour qui déborde, la voix qui gonfle pour vous pour faire frissonner avec elle les beautés de la vie! Angélique fait revivre le répertoire de la grande Édith Piaf! La foule, Padam, Je ne regrette rien… accompagnée de Marc-André Cuierrier au piano. Souper-Spectacle 44,95$ (Source : Le rendez-vous du thé)
Formation Initiation à l’informatique à la bibliothèque de Cartierville. Inscription deux semaines avant la date de l’évènement par téléphone (514 872-6989) ou sur place. (Source : Arrondissement)
Hommage à la Chanson par Sélim Bichara. Sélim interprètera des chansons de Georges Moustaki, Brel, Aznavour, Félix Leclerc et biens d’autres, en plus de quelques-unes de ses compositions. Il puisera aussi dans ses répertoires québécois, français, espagnol et italien. Sélim se produit un peu partout dans la province offrant des soirées intimes, douces et avec un peu d’humour. Souper-Spectacle 44.95$ (Source : Le rendez-vous du thé)
Formation Initiation à la recherche sur internet à la bibliothèque d’Ahuntsic. Inscription deux semaines avant la date de l’évènement par téléphone (514 872-0568) ou sur place. (Source : Arrondissement)
La Société d’Astronomie de Montréal (SAM), présente un atelier d’initiation à l’astronomie intitulé « Tout ce que vous voulez savoir à propos des télescopes », au chalet du Parc-nature de l’Île-de-la-Visitation, 2425 boul. Gouin Est. Après la conférence, des télescopes et jumelles seront mis à votre disposition. Apprenez à reconnaître les constellations et venez observer la lune, les planètes et les objets du ciel profond. L’observation n’aura pas lieu si le ciel est couvert. Cette soirée est gratuite et s’adresse à toute la famille. (Source : SAM)
Etere e Terra L’ensemble Per sonare à la Maison de la Culture. L’ensemble Per sonare réunit sur scène des musiciens dont la passion et l’expression révèlent toute la profondeur des œuvres des plus grands compositeurs d’autrefois. Ce concert juxtapose deux quintettes à cordes : le quintette en do majeur G.439 de Luigi Boccherini avec ses envolées célestes, et le quintette « Kreutzer » de Beethoven où la gravité se fait sentir. Avec Alexa Raine-Wright (flûte), Émilie Brûlé (violon), Jacques-André Houle (violon), Jennifer Thiessen (alto), Jivko Georgiev (violoncelle) et Andrea Stewart (violoncelle). (Source : La Maison de la Culture)
Les lundis de Sergeï Trofanov par Sergeï Trofanov. Le violoniste et chanteur Sergei Trofanov vous propose une ambiance à saveur romantique, légère et joyeuse! Son répertoire international de chansons, musique de films, standards de jazz, d’airs populaires dans plusieurs styles musicales crée l’ambiance chaleureuse de la soirée. Il saura faire ressortir le meilleur de l’occasion. Entrée libre – contribution volontaire (Source : Le rendez-vous du thé)
Alcaz par Viviane Cayol et Jean-Yves Liévaux. Alcaz, un duo marseillais comme il n’y en a pas deux! Un couple, un mélange de simplicité, de talents, de fraîcheur où la personnalité de l’un, ses combats, ses doutes et ses gloires se mêlent réciproquement aux influences, aux convictions et aux rêves de l’autre. Deux guitares, deux voix, entre rock et ballade, un spectacle original qui donne le goût de l’amour! Entrée libre – contribution volontaire http://www.alcaz.net. (Source : Le rendez-vous du thé)
Formation Initiation à internet à la bibliothèque de Cartierville. Inscription deux semaines avant la date de l’évènement par téléphone (514 872-6989) ou sur place. (Source : Arrondissement)
“Mes coups de coeur de la chanson française” par Reynald Précourt. Avec son piano, sa voix, sa bonne humeur et sa présence sur scène, il vous charmera de ses interprétations d’Aznavour, Lama, Ferrat, Piaf, Bécaud, Dassin, Duteil, et bien plus encore … Souper-Spectacle 39.95$ (Source : Le rendez-vous du thé)
Conférence sur la nutrition « Dates de péremption et gaspillage alimentaire » présentée par madame Rachel Cheng, chargée de projet en sécurité alimentaire, chantier sécurité alimentaire. Lieu : Au centre communautaire d’Ahuntsic, 10 780 rue Laverdure, salle Poly 2. Inscriptions avant le 23 novembre : (514) 385-6499 ou louise@lesnac.com. Bienvenue à tous! (Source : SNAC)
Audience publique sur le plan de conservation du site patrimonial du Bois-de-Saraguay. Le Conseil du patrimoine culturel du Québec tiendra, au Collège Sainte-Marcelline (9155, boul. Gouin Ouest, Montréal), une audience publique sur le plan de conservation du site patrimonial du Bois-de-Saraguay. Les séances seront présentées en direct et en différé sur le site du Conseil du patrimoine culturel du Québec. Ceux qui souhaitent s’exprimer sur le plan de conservation lors de l’audience publique sont invités à s’inscrire avant le 18 novembre 2015, 16 heures par téléphone au 1 844 701 0912 ou par courriel. Les mémoires devront être transmis au Conseil en remplissant le formulaire en ligne ou adressés au Conseil du patrimoine culturel du Québec, 225 Grande Allée Est, Québec (Québec) G1R 5G5, avant le 18 novembre 2015, 16 heures. (Source : Arrondissement)
Louise Gérin-Duffy propose de redécouvrir Albert Camus, « cette perpétuelle tension entre la beauté et la douleur » dans une conférence prononcée à la salle de l’église Saint-Jude (10 120, avenue d’Auteuil). Gratuit pour les membres de l’Alliance culturelle, 10 $ pour les non-membres. Un cours suivant à la trace la piste de l’argent depuis les débuts de la colonie commence le 23 novembre. Information: 514-382-5716 (Source : Alliance Culturelle)
L’Association québécoise de défense des droits des personnes retraitées et préretraités (AQDR), section Ahuntsic Saint-Laurent avec le soutien du Programme Montréal Interculturel de la ville de Montréal, vous invitent à deux conférences sur les thèmes suivants: « L’Intégration sociale des aînés issus de l’immigration ». L’intégration a-t-elle un âge? Présenté par Mr André Jacob, et « Connaître ses droits pour être respecté comme aîné » présenté par Maître Hélène Guay. Les deux conférences se tiendront au café de Da, Bibliothèque d’Ahuntsic, 545 rue Fleury Est, Montréal, QC, H3L 2E4, coin Lajeunesse. Veuillez confirmer votre présence en appelant au (514) 856-3511 poste 222, ou par courriel: aqdr.astl@gmail.com (Source : AQDR)
Lancement d’album: « Quelques Histoires » par Guy Boucher. L’auteur-compositeur-interprète Guy Boucher lance son tout récent album « Quelques Histoires ». Comme toujours, la profondeur de ses textes et sa musicalité nous ferons voyager sur le chemin de la vie. Guy porte un regard teinté d’humour et de tendresse sur notre expérience humaine, inspiré de sa profession de psychothérapeute. Ses influences musicales se retrouvent chez les Desjardins, Séguin, Fiori, Rivard et Bélanger, tout en gardant une identité propre qui lui donne une place unique dans l’univers de la chanson québécoise. Un auteur-compositeur-interprète à découvrir! Entrée libre – contribution volontaire. (Source: Le rendez-vous du thé)
Le Jour de la Terre Québec est heureux de vous annoncer que les ateliers À vos frigos, propulsés par le Fonds Éco IGA, seront au IGA Extra, 2820 Rue de Salaberry, le 26 novembre! Un chef de la Tablée des Chefs et un expert en gaspillage alimentaire du Fonds Éco IGA présenteront des recettes, trucs et astuces pour réduire le gaspillage à la maison lors d’un atelier gratuit de 90 minutes. Pour s’inscrire, il suffit de visiter le jourdelaterre.org/avosfrigos, sélectionner l’atelier désiré et remplir le formulaire d’inscription! Il est également possible de s’inscrire au Concours des fêtes! À gagner : l’un des 4 soupers du temps des fêtes cuisiné à votre domicile par un chef de la Tablée des Chefs pour vous et 5 de vos amis, ou le grand prix, un repas des fêtes sans gaspillage pour vous et 9 de vos amis, cuisiné à l’école de cuisine Mezza Luna à Montréal par le porte-parole des ateliers… Stefano Faita! Pour plus d’information sur la date, l’heure et les lieux : jourdelaterre.org/avosfrigos
Soirée Tzigane par Sergeï & Olga Trofanov. Retrouvez Sergeï et Olga Trofanov pour un voyage dans les pays de l’Europe de l’est. Souper-Spectacle 44.95$ (Source : Le rendez-vous du thé)
Visite du boisé Papineau (Laval) avec le club d’ornithologie d’Ahuntsic. Nous espérons bien pouvoir observer le Grand-duc d’Amérique, la Chouette rayée, la Petite Nyctale et autres espèces d’oiseaux aux mangeoires. Possibilité de covoiturage à partir de l’Île-de-la-Visitation à 8h30, ou vous rendre sur place au stationnement du boisé. Covoiturage : 5$. Information : coamessages@gmail.com ou 438-338-4138. (Source : COA)
Formation Initiation au courriel à la bibliothèque d’Ahuntsic. Inscription deux semaines avant la date de l’évènement par téléphone (514 872-0568) ou sur place. (Source : Arrondissement)
Hommage à Joe Dassin par Raphael Torr. Doté d’une solide expérience de scène ainsi que d’une voix chaude et grave naturellement semblable à celle de Joe Dassin, l’interprète, Raphaël Torr, fait revivre les plus grands classiques de Dassin. De Salut les Amoureux à l’Amérique, en passant par Les Champs-Élysées et L’été indien, c’est un véritable voyage dans le temps qui vous attend. Le spectacle de celui qu’on désigne comme ”le meilleur interprète de Joe” devient vite une véritable fête à la mémoire de Dassin. Souper-Spectacle 44.95$ (Source : Le rendez-vous du thé)
Atelier d’impression 3D Même si la plupart des gens ont déjà entendu parler de l’impression 3D, rares sont ceux qui ont eu l’occasion d’en faire l’expérience. Dans le cadre de cet atelier, un participant sera numérisé et répliqué en version miniature, et ce, grâce à l’imprimante! Cette activité aura lieu à la bibliothèque d’Ahuntsic. Elle s’adresse aux jeunes âgés de 12 à 17 ans. Pour participer, on doit réserver à compter de deux semaines avant la tenue de l’activité en téléphonant au 514 872-0568 ou se présenter directement au 10 300, rue Lajeunesse. (Source : Arrondissement)
De la grande visite au Café de Da : l’auteure Catherine Mavrikakis. La bibliothèque d’Ahuntsic termine son cycle de rencontres littéraires avec nul autre que l’auteure Catherine Mavrikakis, qui sera de passage au Café de Da mercredi le 2 décembre prochain. Cette écrivaine et essayiste québécoise, professeure au département des littératures de langue française de l’Université de Montréal, a publié six romans à ce jour ainsi que plusieurs essais qui lui ont permis de récolter plusieurs prix. Venez faire plus amples connaissances avec Catherine Mavrikakis; un rendez-vous à ne pas manquer! (Source : Arrondissement)
Pour sa prochaine conférence, la Société d’horticulture et d’écologie du nord de Montréal reçoit Mme Joëlle Venne qui nous parlera d’Hawaï. La conférence aura lieu au sous-sol de l’Église Saints-Martyrs-Canadiens, au 10 007, rue Partenais (coin Sauriol). Coût: 5$ pour un non-membre. Pour information: (514) 384-5681. (Source : SHENM)
Le samedi 5 décembre de 13 h à 17 h
Le Centre de Bénévoles Ahuntsic-Sud vous convie à son exposition annuelle d’œuvres des participants de l’année 2015, des ateliers de “L’art de vivre ensemble”. Cette année, le thème est « La Création d’une œuvre ». Toutes les étapes de la conception à la réalisation. Bienvenue à tous! Rendez-vous au 9286, rue Berri. Information: 514 388-0775 (Source : Centre de Bénévoles Ahuntsic-Sud)
Marc Hervieux, en Concert de Noël
La paroisse de la Visitation a le privilège d’accueillir le grand et talentueux ténor, Marc Hervieux. Chanteur aux multiples facettes, animateur de télévision et de radio, il nous offrira un concert des plus beaux airs de Noël. Marc Hervieux sera accompagné de Marc-André Doran, à l’orgue et d’un quatuor vocal composé d’Isabelle Lapierre, soprano et saxophoniste, Claudine Ledoux, alto, Sylvain Paré, ténor et Marc-Antoine D’Aragon, basse. Organisé au profit de la campagne de financement pour la restauration de l’église de la Visitation, la plus vieille église de l’île de Montréal, l’événement se tiendra à l’église, au 1847 boul. Gouin Est. Le prix des billets est de 40,00 $ taxes incluses. Pour information: Secrétariat (514) 388-4050. Billets aussi disponibles en ligne :
www.accesculture.com/activité/Marc_Hervieux_en_Concert_de_Noel
Autres idées d’activités sans date précise
Expostition « Tout ce qui… scintille » (volet 2). Louise Prescott, résidante d’Ahuntsic-Cartierville, présente depuis le 5 novembre et jusqu’au 28 du mois à la Galerie Eric Devlin, le deuxième volet de son exposition «Tout ce qui… scintille ». Cette exposition rassemble une quinzaine de ses créations picturales récentes, inspirées de la nature dans ses aspects les plus mystérieux comme les plus fantasmagoriques. Le public est convié à venir rencontrer l’artiste lors du vernissage le jeudi 5 novembre dès 17 h, en présence du poète Jean-Paul Daoust qui fera alors une lecture de poèmes inédits sur les œuvres de l’artiste. Louise Prescott profitera de son vernissage le 5 novembre pour lancer à Montréal son premier recueil de poésie intitulé « Peindre à voix haute », où la voix de la créatrice se fait entendre et où les peintures deviennent poèmes. La Galerie Éric Devlin est située au 550, avenue Beaumont (coin Querbes) à Montréal. (Source : Zwilling Communications)
Exposition multidisciplinaire Du crayon à Instagram et Territoire. Jacques Lebleu, artiste résidant d’Ahuntsic, accorde de l’importance aux rôles de témoin oculaire, de révélateur social et de créateur de l’artiste. Il présente une exposition à deux volets. Le premier, Du crayon à Instagram, regroupe des tableaux, des œuvres graphiques, de ludiques sculptures cinétiques et des photos où il est question de temps, de gens, d’objets et de mouvement. Le second, Territoire, se rapproche du reportage objectif. Ancré dans l’arrondissement Ahuntsic-Cartierville ainsi que membre du Journal des voisins, il traite de territoire, de citoyens et du regard de l’artiste sur son milieu. L’artiste sera présent à la salle d’exposition de la Maison de la culture pour vous rencontrer, le samedi 7 novembre à compter de 14 h et une heure avant chaque spectacle d’ici la fin novembre.
Expostition Le nez de clown? Un soleil en plein visage! L’organisation Clowns Sans Frontières a créé une exposition où sont dévoilées des images prises à Port-au-Prince, en Haïti, lors des missions humanitaires ayant suivi le bouleversant séisme de 2010. Offrant un regard lumineux sur l’après-catastrophe et soulignant la force de l’entraide, cette exposition témoigne de la beauté qui émerge des jours sombres. Ces images, déjà fortes en émotions, sont accompagnées par les textes de Stanley Péan, écrivain, journaliste, animateur à Ici Musique et porte-voix de Clowns Sans Frontières. Exposition présentée à la TOHU. (Source : La TOHU)
Exposition San Limit par Casque noir. Pour une deuxième année consécutive, Casque noir vient témoigner des liens qui ne cessent de grandir entre le Québec et Haïti, dans le cadre de l’exposition San Limit. L’organisation a créé deux murales inspirées d’une nouvelle littéraire rédigée à quatre mains par deux jeunes de Montréal et de Jalousie à Port-au-Prince. Le travail de ces jeunes aux cultures opposées mais aux valeurs communes fait état des avancées en éducation et dans la sensibilisation à la langue française. Un projet donnant vie à 12 grands panneaux de photographies extérieures, qui seront visibles pendant un an sur la place publique de la TOHU. Ces photos témoignent des échanges culturels et du savoir-faire qui furent nécessaires aux interventions créatives réalisées dans les deux régions. De plus, les photographies seront accompagnées d’un parcours sonore mêlant à la fois voix et ambiances provenant d’Haïti et Montréal. Une création signée Audiotopie. Exposition présentée à la TOHU. (Source : La TOHU)
Numéros de téléphone utiles
Bibliothèque d’Ahuntsic : 514 872-0568
Bibliothèque de Cartierville : 514 872-6989
Bibliothèque de Salaberry : 514 872-1521
Café de Da : 514 872-5674
Le Rendez-vous du thé : 514 384-5695
Maison de la culture : 514 872-8749
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- Participant à la finale régionale de Montréal au Concours québécois en entrepreneuriat, édition 2014, dans la catégorie Économie sociale
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Conseil d’administration : Paul Guay, FCA, président; Pierre Foisy, PhD., vice-président; Me Hugo Hamelin, secrétaire; Douglas Long, trésorier; Maryse Henri, administratrice (représentant les OBNL); Yves Bonneau, administrateur (représentant les commerçants et les gens d’affaires), Pascal Lapointe, administrateur, et Liliane Gingras-Lessard, administratrice.
Éditeur et cofondateur : Philippe Rachiele.
Conseiller Média : Éric Lescure, 514 506-8665, ou publicitedesvoisins@gmail.com
Rédactrice en chef et cofondatrice: Christiane Dupont
Rédacteur en chef adjoint : Alain Martineau.
Rédacteurs en chef adjoints suppléants : Mélanie Meloche-Holubowski, François Barbe
Photographes: Philippe Rachiele, Élaine Bissonnette, François Lauzon
Journalistes, version Web : Christiane Dupont, Philippe Rachiele, Alain Martineau, Rabéa Kabbaj, Mélanie Meloche-Holubowski, Elizabeth Forget-Le François, Christiane Dumont, et Raluca Tomulescu.
Journalistes, version papier : Alain Martineau, François Barbe, Mélanie Meloche-Holubowski, Rabéa Kabbaj, Elizabeth Forget-Le François.
Journalistes et collaborateurs à la rédaction:Diane Éthier, Laetitia Cadusseau, Justine Castonguay-Payant, Sandrine Dussart, Samuel Dupont-Foisy, Laurent Gariépy, Geneviève Poirier-Ghys, Julie Dupont, Patrick De Bortoli, Hélène Maillé, Nacer Mouterfi, Daphné Dupont-Rachiele et Thomas Deshaies.
Nouvelle image graphique, graphisme de la nouvelle version papier et nouveaux logos : Nacer Mouterfi
Mise en page : Philippe Rachiele, Christiane Dupont et Nacer Mouterfi.
Illustrations originales : Claire Obscure.
Caricaturiste : Florence Tison.
Correction/révision, version Web : Christiane Dumont.
Correction/révision, mag papier : Samuel Dupont-Foisy, Geneviève Chrétien, Christiane Dumont et Séverine Le Page.
Réseaux sociaux : Christiane Dupont, Mélanie Meloche-Holubowski, Philippe Rachiele.
Impression, version papier : Hebdo Litho inc.
Distribution, version papier : journaldesvoisins.com
Dépôt légal, version papier : BNQ – ISSN1929-606
Dépôt légal, version Web : BNQ – ISSN1929-607X
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