Les Actualités du 22 juin 2016
Fin du FestiBlues
De gros noms pour la 19e et dernière
Jean-Pierre Ferland, Ariane Moffatt, Louis-Jean Cormier et Bob Walsh entre autres seront de la fête entre le jeudi 11 août et le dimanche 14 août au pied du « mont » Ahuntsic. Mais les festivaliers risquent surtout de retenir de 2016 que ce sera la dernière, à moins d’un revirement de situation.
La directrice générale Mélissa Laporte-Parenteau a confirmé la fin de l’événement (à moins d’un miracle) compte tenu de la fin de l’entente de trois ans avec Loto-Québec, un commanditaire majeur, qui déposait un montant de 90 000 $ annuellement dans le budget global de l’événement blues. Le conseil d’administration en a décidé ainsi à sa dernière séance.
Pour compenser une telle perte, le c.a. a indiqué qu’il n’est pas question de hausser les prix substantiellement pour cet événement festif que l’on veut « populaire, rassembleur, et très accessible ». Donc, il s’est dit prêt à passer à autre chose.
Journaldesvoisins.com avait traité des difficultés de la petite organisation sans but lucratif qui, d’année en année, fait des miracles, pour tenir un tel festival. L’arrondissement Ahuntsic-Cartierville avait même haussé à 50 000 $ sa subvention annuelle pour donner un coup de pouce.
Belle dernière
Cet été, une quarantaine d’artistes d’ici et d’ailleurs vont livrer une prestation au parc Ahuntsic, mais aussi dans de nombreux restaurants et bars du secteur, notamment sur La Promenade ou sur Fleury Ouest. Il est même question d’un « 5 à 6 » sur la Promenade là où se trouvent déjà des pianos ouverts.
Le coup d’envoi du FestiBlues se fera en début de soirée le 11 août avec la formation Life on Land, qui mélange de belles saveurs folk et indie-pop-rock. Oliver Charles prendra la relève suivi du quatuor The Seasons qui nous fera plonger dans la période de la « British invasion » des années 1960.
Pour clôturer la soirée, nul autre que Jean-Pierre Ferland, revenu en force cet été au grand spectacle de la Fête nationale, qui fera un saut chez nous. Nul doute que les Ahuntsicois seront nombreux pour cet invité « spécial ».
Vendredi, samedi, dimanche
Au début de deuxième soirée, on fera de la place à Matt Rock qui verse dans rockabilly. Un groupe de Toulouse suivra, Max Sugar Blanck, qui puise dans le créneau sud des États-Unis.
La révélation de l’année du dernier Gala de l’ADISQ, Philippe Brach, suivra en attendant un « p’tit gars » d’Ahuntsic, l’auteur-compositeur-interprète Louis-Jean Cormier, qui, en passant, habite quelques rues à l’est du parc où il se produira.
Avant la présence d’Ariane Moffatt pour le grand spectacle du samedi soir, les visiteurs pourront voir et entendre Crawdaddy V 2.1, l’artiste de France Gaëlle Buswel, et le bluesman Martin Goyette, qui récidivera ici avec son « Mississippi Blues ».
Pour clore le FestiBlues, les admirateurs de ZZ Top et Jimi Hendrix seront servis à souhait avec en début de soirée le Ga Blues Band. Puis un autre vétéran de la scène blues-jazz, l’harmoniciste, Jim Zeller, continuera de « réchauffer », le parc.
Enfin, pour la « grande finale », Bob Walsh et Guy Bélanger, deux autres gros noms du blues au Québec, mettront un terme au « fest » d’Ahuntsic.
Billets à rabais
Les billets coûtent 10 $ par soir alors que le carnet pour quatre soirées est de 20 $. Et en se les procurant avant le 31 juillet, le passeport revient à seulement 15 $. « Cette politique tarifaire vise à accueillir le plus de gens possibles, les familles entre autres, étant donné que l’entrée est gratuite pour les moins de 12 ans », a expliqué Mélissa Laporte-Parenteau.
Les bars et restaurants feront encore partie des composantes de l’évènement qui déborde notre arrondissement. Comme par les années passées, un resto-bar sera implanté au sommet du parc. Cette année, le restaurant Les Cavistes offrira un menu avec en plus des vins et boissons.
Dans leur établissement respectif, Les Cavistes et Les Incorruptibles, de même que le café-bar Über, le bistro-bar Le Terminus et le Bienvenu Bar Salon offriront aussi des prestations, mais les noms des artistes qui s’y produiront seront connus plus tard. Idem pour la programmation de la relève.
Le FestiBlues a accueilli bon an mal environ 40 000 spectateurs payants. (Par Alain Martineau) (2016-06-23)
Pour lire notre article du 6 mai annonçant en primeur cette fin de parcours, cliquez ici.
Projet de 150 M$
Québec donne le feu vert à l’agrandissement de Sacré-Coeur
Un gain majeur aussi pour la population avec ces ajouts considérables qui se retrouveront au-dessus de l’urgence, quand même récente, de cet hôpital, qui se consacrait au traitement des tuberculeux quand il fut inauguré en 1926.
Même le ministre de la Santé et des Services sociaux, Gaétan Barrette, a reconnu en point de presse lundi dernier que l’hôpital avait « peu changé » comparativement à la période où il était en formation comme radiologiste, il y a plus de 25 ans.
M. Barrette, son collègue ministre et député de Saint-Laurent, Jean-Marc Fournier, et le PDG du Centre intégré universitaire de santé et de services sociaux (CIUSSS) du Nord-de-l’Île-de-Montréal, Pierre Gfeller, ont annoncé en grande pompe que l’on était passé à l’étape de la réalisation de ce projet.
Ajouts de lits
À la fin des travaux, l’hôpital comptera dix lits supplémentaires aux soins intensifs (passant de 22 à 32 lits), six chambres de plus à l’unité mère-enfant (passant de 20 à 26 lits), ainsi que deux salles d’intervention en plus à l’unité d’endoscopie (passant de quatre à six salles).
« Cet hôpital joue un rôle capital sur l’échiquier montréalais et provincial (tout ce qui est à l’ouest de l’hôpital, avec un potentiel de deux millions de Québécois), a dit le ministre Barrette. (…) De plus, le projet ouvre la voie à un rehaussement de sa performance organisationnelle globale, en matière d’efficacité, d’efficience et de pertinence des soins et services offerts », a-t-il ajouté.
L’agrandissement comprendra aussi une salle mécanique, des secteurs d’enseignement et de recherche, des espaces communs et d’autres destinés aux soins intensifs. « Pour moi, ce n’est pas la nouvelle, mais la dernière étape du projet », s’est empressé de dire le ministre Fournier dont les limites de circonscription englobent Cartierville, que dessert journaldesvoisins.com
Grand jour pour Pierre Gfeller
Pierre Gfeller, ex-directeur de l’hôpital justement et qui connaît fort bien ce dossier, a indiqué que ce genre de projet prend généralement beaucoup de plus de temps à voir le jour.
« On en parlait depuis environ quatre ans et demi, a rappelé M. Gfeller. Mais la période est courte si l’on tient compte de la première mouture du projet jusqu’à sa réalisation alors qu’en général, il faut parler de sept à dix ans. Les premiers patients arriveront à l’automne 2019 et les quatre étages seront complétés en 2020 », a-t-il précisé.
Le ministre Barrette a précisé qu’il en coûte en moyenne 500 millions de dollars annuellement pour mettre à niveau les infrastructures du réseau au Québec (25 milliards de dollars sur 50 ans).
Le dépôt des plans et devis définitifs est prévu pour le printemps prochain, mais il y aura des travaux préliminaires dès septembre, avant que ne débutent officiellement les travaux dans un peu moins d’un an. (Par Alain Martineau) (2016-06-23)
Une patinoire réfrigérée au parc de Mésy
La Fondation des Canadiens pour l’enfance ouvre ses goussets pour A-C
Après les arrondissements montréalais de Villeray-St-Michel-Parc-Extension, Montréal-Nord, Verdun, LaSalle et Côte-des-Neiges-Notre-Dame-de-Grâce, ce sera au tour de l’arrondissement Ahuntsic-Cartierville de bénéficier de cette surface de glace hors pair qui sera construite selon les normes d’une patinoire réglementaire de la Ligue nationale de hockey (200 pieds x 85 pieds).
Début des travaux
Les travaux de construction commenceront en mai 2017 et la patinoire devrait être en mesure d’accueillir ses premiers utilisateurs pour l’hiver 2018. Cette annonce a été faite à l’occasion d’annonces entourant le 375e anniversaire de Montréal.
Il s’agit de la neuvième patinoire BLEU BLANC BOUGE. Le propriétaire et chef de la direction du Club de hockey du Canadien, Geoff Molson, a déclaré que cette annonce s’inscrivait dans la volonté du Club de contribuer de manière significative au bien-être de la collectivité montréalaise. « Cela représente un legs unique et permanent en marge du 375e anniversaire de la ville de nos Canadiens. Tel que souhaité par la Fondation, la patinoire offrira à l’arrondissement d’Ahuntsic-Cartierville un plateau d’activité physique supplémentaire, pour permettre aux jeunes du quartier de connaître les bienfaits d’un mode de vie sain, en étant actifs été comme hiver. »
Faire bouger davantage
Selon le communiqué émis par la Fondation des Canadiens pour l’enfance, la table de concertation jeunesse du quartier Bordeaux-Cartierville et son comité des saines habitudes de vie ont relevé un manque d’infrastructures sportives dans le secteur. « Le mode d’intervention en partenariat pour l’offre de loisirs dans ce quartier favorisera l’appropriation de cette infrastructure par les écoles et les organismes et permettra ainsi à la Fondation des Canadiens pour l’enfance de poursuivre son objectif de faire bouger davantage les jeunes défavorisés », peut-on y lire.
Autant le maire de l’arrondissement, Pierre Gagnier, que le conseiller du district Bordeaux-Cartierville et vice-président du comité exécutif, Harout Chitilian, se sont réjouis de cette bonne nouvelle.
Notons que la Fondation des Canadiens pour l’enfance a été mise sur pied en août 2000. Jusqu’à présent, elle a remis plus de 20 millions de dollars à près de 700 organismes œuvrant pour le bien-être des enfants.
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Tracts contre elle sur La Promenade
Marie Montpetit réaffirme l’importance de donner priorité au français
Un tract anonyme la visant a été distribué les journées de fermeture de rue sur Fleury Est afin de dénoncer son intervention à l’Assemblée nationale quand le gouvernement Couillard avait rejeté il y a un peu plus d’un mois la motion du député péquiste Maka Kotto sur la place du français dans l’affichage commercial.
Le critique péquiste estimait que Québec n’allait pas assez loin quand il a tranché par voie réglementaire, au lieu de modifier la Charte de la langue française, dans sa réponse à un jugement de la Cour d’appel.
Le juge avait dit, entre autres, que le gouvernement n’avait pas le droit d’imposer un descriptif au nom de l’entreprise sur la façade d’un commerce. Avec l’approche du gouvernement maintenant, le descriptif est l’une des options que peuvent envisager les 1860 entreprises touchées.
Concrètement, les mots en français peuvent se trouver sous la forme d’un descriptif, d’un slogan, ou sur une affiche annonçant les produits à l’intérieur du magasin. Comme condition, l’affiche doit être en français, éclairée, tout en se trouvant dans le champ de vision global de la façade du commerce. Par exemple l’ajout de « Supercentre » à l’enseigne Walmart serait conforme.
Mais certains considèrent que le tout est insuffisant. Ici, dans Crémazie, ils ont tenu à dire que Mme Montpetit, dans le débat, (NDLR : elle avait pris la parole en Chambre), a ainsi combattu les « protecteurs du français ».
Réplique libérale
Au bureau de la députée, sur la rue Fleury, on s’explique mal cette intervention et le ton utilisé. « Le gouvernement et le Parti Québécois partagent les mêmes objectifs, mais pas les mêmes moyens », a indiqué Jonathan Boursier, attaché politique au bureau de Marie Montpetit.
On signale que dans le débat entourant la motion, le gouvernement — dont Mme Montpetit— sont « tout à fait en accord » avec les trois premiers paragraphes quand on parle d’affirmer la primauté du français, la langue officielle du Québec, protéger en tout temps le français et la Charte de la langue française.
M. Boursier a même fait sortir le verbatim de l’intervention de la députée de Crémazie dans le débat. « […] oui, le français est primordial, que, oui, nous nous devons de protéger la langue française, notre langue officielle. Nous y tenons, et chaque pas que nous faisons va en ce sens », a-t-elle soutenu.
Règlement versus charte
Pour le bureau de Mme Montpetit, un problème se pose avec le quatrième et dernier paragraphe; le PQ estime que seule une modification législative aurait permis de répondre au jugement du 25 avril.
Marie Montpetit a tenu à rappeler que le gouvernement a choisi d’agir sur le champ par une modification réglementaire.
À son avis, les modifications dévoilées au début mai permettent d’assurer une plus grande présence du français dans l’affichage des marques de commerce. « Par le biais de ces modifications, que ce soit par l’ajout permanent d’un générique, d’un descriptif, d’un slogan ou d’une information portant sur les services ou produits offerts, l’affichage au Québec sera enrichi d’une plus grande présence de messages en français », a-t-elle mentionné.
Guerre de mots
« La protection et la promotion du français sont essentielles pour Mme Montpetit, rajoute Jonathan Boursier. On peut certainement débattre du meilleur moyen de réaliser un objectif commun sans faire de procès d’intention. Malheureusement, ce tract est un autre exemple navrant de la façon de faire de la politique privilégiée depuis quelques années par le PQ de Crémazie et le Bloc Ahuntsic-Cartierville : des attaques gratuites, sans fondement, rigueur ou contexte », a-t-il conclu.
Le dépliant politique estimait que Mme Montpetit avait « manqué à son devoir de représenter tous les citoyens de Crémazie ». (Par Alain Martineau) (2016-06-23)
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Rats près de la gare Sauvé
Des vérifications sont en cours
Des résidants des abords de la Gare Sauvé se disent préoccupés par la recrudescence du nombre de rats à proximité de leurs logements depuis plusieurs semaines déjà. Après avoir ouvert plusieurs plaintes au 311, ils se sont présentés la semaine dernière au conseil d’arrondissement, pour sensibiliser les élus – photos de rongeurs à l’appui – de cette problématique.
Préoccupations soulevées
« On habite sous le boisé qui est à côté de la Gare Sauvé et depuis quelques années, on voit des rats venir, mais à chaque fois, on pensait que c’était des incidents isolés. [Or] on s’aperçoit […] que c’est un problème qui prend de plus en plus d’ampleur et qui commence à inquiéter vraiment tous les habitants du quartier […] qui n’osent plus sortir, qui ne veulent plus ouvrir (leurs) portes parce qu’il y a beaucoup de rats qui sont là », a fait valoir lors de son intervention aux élus, à la séance du conseil du 13 juin dernier, l’un des deux résidants ayant abordé ce sujet.
Notant que des terriers étaient déjà apparents sur son terrain et sur ceux de certains de ces voisins, le résidant a laissé la parole à l’une de ses voisines pour appuyer ses dires. Selon cette résidante, l’infestation se situe dans le boisé qui est au sud de la voie ferrée entre les rues Saint-Denis et Berri. Parmi les hypothèses avancées par cette voisine, le fait que des résidants jettent leurs déchets dans le boisé pourrait être une explication.
Démarches en cours
En réponse à ces deux interventions, le conseiller municipal de Saint-Sulpice, Pierre Desrochers a assuré, lors du conseil d’arrondissement, que la préoccupation des citoyens avait été entendue, que lui-même avait déjà visité les lieux pour prendre état de la situation et que les dispositions nécessaires seraient mises en œuvre en vue d’y remédier.
Interrogé par journaldesvoisins.com cette semaine, l’arrondissement nous a confirmé que trois dossiers ont été ouverts depuis le mois dernier au sujet de cette problématique, et que des actions sont en cours depuis une semaine par une équipe d’entrepreneurs en extermination.
Pas de bris décelé
« On a une équipe de cols bleus qui est intervenue vendredi dernier pour faire des vérifications aux abords de la Gare Sauvé. Par la suite, on a voulu faire des vérifications un peu plus poussées à l’aide de caméras dans les égouts. Donc, ce sont des vérifications qui sont amorcées dans tout le secteur – un quadrilatère qui a été défini aux abords de la gare – et il n’y a aucun bris majeur qui a été décelé », a indiqué Émilie Miskdjian, porte-parole aux communications, en notant que cette présence de rongeurs n’est donc apparemment guère liée à un bris dans les infrastructures de l’arrondissement.
Selon Mme Miskdjian, dans le cadre de ces vérifications, l’arrondissement est d’ailleurs également en communication avec Hydro-Québec au sujet d’un terrain appartenant à l’entreprise et situé dans le secteur touché par l’infestation. (Par Rabéa Kabbaj) (2016-06-24)
Parc Ahuntsic
Pas de mât d’éclairage et pas de lumière au sommet
Depuis maintenant six mois, le lampadaire qui était perché au sommet de la butte et éclairait les environs a été enlevé par la Ville. « Il a été retiré pour des raisons de sécurité et ne sera pas remplacé », nous a fait savoir Marlène Ouellet, chargée de communication pour l’arrondissement d’Ahuntsic-Cartierville, le 15 juin dernier.
Son retrait semble toutefois inquiéter certains résidants. « Quand l’arrondissement va-t-il nous redonner la lumière au sommet de la butte? Le sommet de la butte et les flancs est nord et ouest de la butte sont ainsi éclairés depuis le début des années ’60. Est-ce qu’on va encore niveler notre qualité de vie vers le bas? L’éclairage public apporte sécurité aux usagers du parc et plus d’heures pour jouer dehors en hiver et l’été», nous a fait savoir un premier citoyen. Même son de cloche pour le deuxième. «Est-ce que nous retrouverons un mat d’éclairage au sommet de la butte du parc Ahuntsic (sécurité publique rime avec éclairage public; éclairage public permet de prolonger le toboggan en décembre», nous a-t-il fait savoir.
SPVM : moins de signalements
Darren Martin McMahon-Payette, chargé de communication pour le Service de police de la ville de Montréal (SPVM), nous a affirmé que le poste de quartier 27 n’avait pas signalé «plus de flânage ou d’attroupement» depuis le retrait du mat d’éclairage.
Par contre, durant l’été 2015, un nombre important de vols qualifiés sur des personnes ont eu lieu. «Les policiers ont donc été très actifs dans le secteur durant cette période», explique M. McMahon-Payette. Cet épisode pourrait donc contribuer au sentiment d’insécurité des citoyens qui nous ont contactés.
Par ailleurs, au début de 2015, plusieurs vols de fils de cuivre ont eu lieu dans les poteaux d’éclairage du parc Ahuntsic, réduisant ainsi l’éclairage du parc même et non sur la butte comme telle.
Évaluation en cours
À la lumière de ces informations, l’arrondissement affirme réévaluer leur décision. «Nous devrons examiner la situation avant de prendre une décision, car nous n’avons pas eu de plaintes à ce sujet de la part de citoyens. Nous ne pouvons nous prononcer maintenant sur une décision», a fait savoir Marlène Ouellet, chargée de communication pour l’arrondissement d’Ahuntsic-Cartierville. (Par Thomas Deshaies) (2016-06-23)
Encore des compressions en santé et services sociaux!
Mais, assure Pierre Gfeller, le PDG de notre CIUSSS, la population ne sera pas touchée par les compressions. Des propos appuyés en force par son patron, le ministre de la Santé et des services sociaux, Gaétan Barrette, qui a toutefois averti que l’on se retrouvera bientôt à la limite des sommes que l’on peut aller chercher.
« Nous atteindrons ces objectifs sans couper dans les services à la population. Mais on arrive à la limite. Je ne pourrai pas faire ça l’an prochain », a-t-il soutenu. La question des prochaines compressions a été posée par journaldesvoisins.com lors du point de presse de lundi dernier portant sur un autre sujet, le feu vert donné au projet d’agrandissement de l’hôpital du Sacré-Cœur (NDLR : voir autre texte).
29 février
M. Gfeller a indiqué, d’entrée de jeu, qu’il y aura un gain automatique d’un million de dollars du simple fait qu’il n’y aura pas de 29 février l’an prochain. Une somme d’environ deux millions et demi de dollars sera épargnée à la suite de la mise en place de programmes de réorganisation; la « performante » buanderie peut aller chercher des sous en vendant des services.
Les achats de groupe pour les divers équipements ou la nourriture permettent aussi des économies substantielles. De nouveaux programmes plus efficaces en santé physique devraient aussi permettre de faire des économies.
Avant de s’attaquer aux mesures d’optimisation (vocable officiel du gouvernement et non compressions) M. Gfeller avait aussi précisé où les économies de 2015-16 ont été faites. Ainsi, une dizaine de millions ont été récupérés en réduisant les demandes auprès des agences de personnel (infirmières entre autres). Une somme de six millions a été « sauvée » avec les départs à la retraite et le non-remplacement de postes vacants. Et une dizaine d’autres millions ont été récupérés en glanant ici et là.
Syndicats : labos
Des représentants des syndicats étaient présents au point de presse de lundi dernier à l’hôpital du Sacré-Cœur. Pour l’Alliance du personnel professionnel et technique de la santé et des services sociaux (APTS), ces nouvelles compressions n’ont pas de sens.
Le porte-parole syndical Guillaume Chouinard a remis une lettre de protestation au ministre de la Santé et au président du CIUSSS pour déplorer entre autres la réorganisation des laboratoires au Québec (Optilab) qui touche de plein fouet Sacré-Cœur.
L’hôpital ne ferait désormais plus que les tests des patients hospitalisés et des urgences d’ici et celles des hôpitaux Fleury et Jean-Talon (qui font partie du CIUSSS Nord).
Ainsi, l’hôpital ne serait plus ce que l’on appelle dans le milieu un centre serveur, laissant la place au CHUM. Le syndicat estime qu’il y a de l’inquiétude parmi le personnel et avertit que le CHUM est « désuet » avec son projet Optilab.
Barrette réplique
Au cours du point de presse, le ministre Barrette a dénoncé les propos « alarmants » des syndicats. « Ils parlent de destruction, de démolition du réseau de la santé (en référence aux propos tenus la veille par la présidente de la FIQ Régine Laurent en réaction aux nouvelles compressions de 242 millions dans le réseau), mais allez voir, a-t-il lancé aux journalistes, si c’est le cas dans nos établissements ».
Le ministre a indiqué que les mesures difficiles prises par le gouvernement depuis 2014 vont permettre de dégager des marges de manoeuvre pour investir, ce qu’il faut selon lui « au lieu de continuer à emprunter et payer des intérêts ». (Par Alain Martineau) (2016-06-23)
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Employés municipaux
Résistance syndicale à la récupération d’espaces de stationnement
Une telle mesure cadrerait pourtant fort bien avec le développement durable. Une logique implacable, mais tout ne semble pas si simple surtout qu’il semble y avoir beaucoup de résistance du côté syndical.
Dans le cadre du renouvellement des conventions de travail avec ses divers syndicats, la Ville a bien essayé jusqu’ici. Mais aussi, même l’un des syndicats de la ville a fait savoir qu’il avait aussi offert « plusieurs fois » à l’administration municipale un échange de bon procédé qui aurait été refusé par les autorités municipales.
Quoi qu’il en soit, dans son rapport présenté aux élus lors du conseil municipal cette semaine, la Commission sur le transport y va d’une série de suggestions afin de « resserrer » la gestion des privilèges de stationnement des employés. On suggère notamment que les bâtiments municipaux soient près des réseaux de transport public. Mais on compte 1800 bâtiments municipaux où travaillent les employés de la Ville. (NDLR : Voir deux tableaux à la fin)
Politique repoussée
Chose certaine, les renouvellements des conventions collectives intervenues jusqu’ici n’ont pas permis de changer les choses sur la politique de stationnement. « Concernant le stationnement, affirme le président du comité exécutif de la Ville de Montréal, Pierre Desrochers, on regarde encore des façons pour favoriser l’utilisation du transport collectif chez nos employés. Mais il y des contraintes concernant les pompiers et policiers », a-t-il indiqué en entrevue récemment avec journaldesvoisins.com.
La ville, dans ses négociations avec divers groupes syndicaux depuis deux ans, aurait aimé récupérer l’espace stationnement qui avait été consenti au gré des ententes intervenues depuis une quarantaine d’années. Elle était même disposée à offrir une carte mensuelle de transport en commun en échange d’une récupération de places.
Mais les pourparlers à ce chapitre n’ont pas débouché alors que collectivement, les autorités dans les secteurs public et privé implantent diverses mesures pour favoriser le transport en commun (paiement du transport en commun, covoiturage organisé par l’employeur, etc.).
« Nous encourageons nos employés à utiliser le transport en commun, mais on n’est pas au stade d’éliminer le stationnement disponible » de préciser celui qui est aussi conseiller dans Saint-Sulpice, au sud de l’arrondissement. Mais est-ce que la ville pourrait prendre des mesures coercitives? « Nous ne sommes pas prêts à aller dans cette voie », a-t-il admis.
Employés-droits acquis
Les conseillers municipaux ont droit à un espace, mais à Projet Montréal, la plupart ne l’utilisent pas. Interrogée à ce sujet, la conseillère du district d’Ahuntsic Émilie Thuillier a dit ne pas l’utiliser. « Puisque je n’ai pas de voiture, je n’utilise pas de place de stationnement. J’utilise plutôt le stationnement pour les vélos! », a précisé celle qui est aussi leader de son parti Projet Montréal à l’hôtel de ville. Deux de ses collègues ont conçu à leur frais un aménagement paysager à la place de stationnement qui leur a été allouée.
Du côté syndical, il semble que l’on joue la carte des droits acquis. Ainsi, chez les cols blancs, dit la convention, le fonctionnaire qui jouit actuellement du droit acquis de stationner gratuitement à son lieu de travail ou près de son lieu de travail, le conserve à moins qu’il y ait déplacement physique de l’unité administrative ou dudit fonctionnaire, changement de vocation du terrain disponible ou encore que l’employeur transforme ledit terrain en un stationnement tarifé. Mais le syndicat ne voulait pas nous accorder une entrevue à ce sujet.
Au syndicat des cols bleus, une source autorisée nous a dit que les employés stationnent dans des espaces appartenant à la ville quand c’est possible. Pour sa part, le Syndicat des professionnels de Montréal (SPPMM) se dit prêt à céder les espaces de stationnement, mais en retour d’une carte mensuelle OPUS. Le syndicat, qui compte 2000 membres dans Montréal dont 38 dans l’arrondissement d’Ahuntsic-Cartierville, nous a dit que la ville a toujours refusé une telle avenue. Et que le nombre de places est peu élevé.
Plus de 800 fonctionnaires doivent prendre leur voiture pour des fins de travail. Mais le comité suggère de rembourser les gens selon le nombre de kilomètres parcourus. (Par Alain Martineau) (2016-06-23)
QUELQUES STATISTIQUES…
- 28 000 employés à la Ville de Montréal et 1800 immeubles pour les accueillir;
- Les employés qui habitent la ville sont près du réseau de transport public, mais pas toujours bien desservi;
- Près d’un employé sur deux n’habitent pas Montréal;
- Les édifices municipaux devraient être situés près des transports en commun;
- Prévoir pour les employés des stationnements pour vélos, des douches et des casiers afin de favoriser le transport actif.
PERSONNES AYANT DROIT À UN ESPACE DE STATIONNEMENT DANS L’ARRONDISSEMENT AHUNTSIC-CARTIERVILLE
• les employés ayant une allocation automobile;
• les employés payés au kilométrage;
• les élus et attachés politiques;
• les employés de l’arrondissement travaillant à l’extérieur du 555 Chabanel, lorsqu’ils viennent travailler au 555 Chabanel (30 passes disponibles);
• les employés de l’arrondissement localisés au 555 Chabanel, lorsqu’il y a disponibilité (selon des règles établies)
(Source : arrondissement d’Ahuntsic-Cartierville)
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Feu rouge pour bâtiment vert
Pavillon d’accueil sur la sellette
Près 60 arbres matures ont été sciés dans le parc Basile-Routhier en prévision de la construction du bâtiment vert. Selon l’arrondissement, les arbres abattus à cet endroit possédaient peu de valeur puisque la plupart d’entre eux étaient des « érables à Giguère ».
« J’ai été profondément déçue. Que ce soit en observant une photographie aérienne de l’île de Montréal ou en ayant la chance de survoler Montréal à basse altitude, il y a beaucoup trop de gris dans notre ville », exprime le biologiste et résidant d’Ahuntsic-Cartierville, Pierre E. Lachapelle.
Dans le but de remplacer les arbres fauchés, l’arrondissement et des étudiants de l’Université du Québec à Montréal ont déjà planté 48 arbres dans le même parc et 14 épinettes à l’ouest du pont Viau. « Ils ont nommé ces plantations un arboretum. Dans 25 ans, ces arbres auront un impact sur le paysage et la qualité de l’air. Pas à court terme », critique M. Lachapelle au sujet des jeunes végétaux qui n’auront pas un effet aussi bénéfique sur l’environnement que les arbres déracinés ayant déjà atteint la maturité.
En plus des arbres en santé qui ont été coupés pour la construction du pavillon d’accueil, mentionnons qu’Ahuntsic-Cartierville est l’arrondissement où l’on a dépisté le plus d’arbres infestés par l’agrile du frêne cette année à Montréal. La ville prévoit l’abattage de 936 frênes dépérissant en 2016.
Citoyens ignorés par leurs élus
Beaucoup de résidants de l’arrondissement auraient aimé donner le feu rouge pour l’emplacement du bâtiment vert. « La menace d’un tel projet planait depuis un certain temps… Je fus très déçue, mais la démocratie ne s’applique pas vraiment chez nous », constate Catherine Tremblay qui habite également dans Ahuntsic-Cartierville.
Un son de cloche similaire pour Pierre E. Lachapelle. « On travaille à la pièce, de manière empressée, on adopte plein de dérogations, sans vision globale partagée avec et alimentée par les citoyens », juge l’Ahuntsicois au sujet des dirigeants de son arrondissement. (NDLR : M. Lachapelle a déjà été lui-même conseiller municipal sur le territoire d’Ahuntsic de 1986 à 1994).
Le citoyen Benoit Galarneau, dans une lettre ouverte publiée l’an dernier sur notre site Web écrivait: « (…) le développement durable exige réflexion, astuce et sacrifice. On pourrait se priver de ce projet et utiliser les fonds autrement. Une telle option a-t-elle seulement été considérée? Bâtir un édifice inutile est la pire offense à faire à l’environnement. S’il faut vraiment ce chalet, comment le réaliser avec finesse? La solution retenue est de passer le bulldozer dans le parc, comme si les méthodes d’une autre époque étaient appropriées à la situation actuelle. À ce titre, (…) l’arrondissement doit cesser de prétendre que son projet est vert et soucieux de l’environnement.»
Le pavillon d’accueil qui aura une certification « net zéro », c’est-à-dire que l’édifice produira autant d’énergie qu’il en consomme sur une base annuelle, est attendu pour le 375e de Montréal, en mai 2017. (Par Francis Pilon) (2016-06-23)
Pour toutes plaintes, suggestions et questions relatives au parcours Gouin, les citoyens sont invités à écrire à l’adresse suivante : parcoursgouin@ville.montreal.qc.ca.
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Écoles à vocation particulière dans A-C
Les parents paieront le transport cet automne… mais ignorent encore combien
Journaldesvoisins.com vous avait déjà parlé de la bataille qu’avaient entreprise ces parents en juillet 2015 alors qu’ils apprenaient que leurs enfants fréquentant une école à vocation particulière (NDLR : Fernand-Séguin, Atelier, FACE) allaient voir leur transport scolaire supprimé à l’automne 2016, compte tenu des compressions dont la CSDM allait être l’objet.
Trouver l’alternative
Le transport scolaire pour ces trois établissements scolaires de la CSDM a fait l’objet d’un statu quo pour l’année en cours. Mais la CSDM avait précisé que l’abolition pure et simple du transport scolaire était une option envisagée pour la rentrée de septembre 2016. Toutefois, les parents de plusieurs des enfants fréquentant ces trois établissements ne l’entendaient pas de cette oreille.
Au cours de l’été dernier, ils ont entrepris d’aller chercher les noms de l’ensemble des parents des enfants fréquentant ces écoles, ce qui n’était pas une sinécure. Mais, par la suite, la résistance s’est organisée. Courriels, téléphones…et plus récemment assemblée générale avec un fort taux de participation. Jusqu’à la création récente d’un OBNL pour réclamer officiellement que Québec octroie également des subventions au transport scolaire pour tous les enfants fréquentant des écoles à vocation particulière sur le territoire québécois, et pas seulement en dehors de Montréal.
Pressions politiques
D’ailleurs, le 22 juin, la CAQ par l’entremise de son critique en éducation, Jean-François Roberge, et les députés de Québec Solidaire, Amir Khadir et Françoise David, se sont joints à la Coalition des parents, lors d’un point de presse, pour réclamer cette équité de Québec.
Peu de consultations
Au cours des dernières semaines, après avoir pris connaissance de différents scénarios de paiement que leur proposait la CSDM, la Coalition des parents pour le transport scolaire aurait également aimé être associée aux sondages conduits par la CSDM auprès des parents dans le but de déterminer les coûts du service du transport pour la rentrée 2016 qui seront facturés aux parents.
« Il y a des éléments qui n’ont pas été pris en compte par la CSDM dans le calcul qu’elle fait pour nous facturer les coûts », a déclaré Anne Bhéreur, mère et membre de la Coalition, en entrevue à journaldesvoisins.com. Mme Bhéreur a toutefois affirmé que la Coalition était quand même sûre de pouvoir trouver une solution pour maintenir le transport scolaire vers les trois écoles à vocation particulière en septembre prochain. À suivre! (C.D.) (2016-06-23)
Pour lire l’article du journaldesvoisins.com du 3 juillet 2015, cliquez ici.
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Parcours Gouin, un an plus tard
Un trou dans la clôture du parc Nicolas-Viel dépare le sentier
Début avril 2015, journaldesvoisins.com avait rapporté à l’arrondissement le fait qu’un panneau de la clôture qui borde le terrain du parc Nicolas-Viel, donnant sur le boulevard Gouin, avait été défoncé. Le panneau devait être réparé avec le retour des jours moins froids, nous avait dit l’arrondissement. C’est un citoyen qui avait rapporté le tout sur la page Facebook du bazar d’Ahuntsic l’an passé.
Un an et quelques mois plus tard, le panneau de la clôture n’a toujours pas été réparé. Voici la réponse obtenue de l’arrondissement à ce sujet récemment: « Le bris de cette clôture résulterait d’un accident. Comme elle est en fer forgé, elle ne peut être remplacée par un soudeur puisqu’il faut préalablement qu’il y ait réparation du béton sur lequel repose la clôture. (…) Nos équipes sont informées de ce bris et elles font le nécessaire afin de corriger la situation dans les meilleurs délais », nous a-t-on répondu. (C.D.) (2016-06-23)
Pour lire notre article de l’an dernier à ce sujet, cliquez ici.
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Rue Fréchette, dans Cartierville
Du nouveau dans le débat sur les vignettes de stationnement
L’arrondissement a fait parvenir aux résidants de la rue Fréchette un questionnaire, auquel ils devaient répondre au plus tard le 23 juin. « Les réponses à celui-ci permettront de valider l’approbation des résidants, de mieux mesurer le besoin et de mieux comprendre les différents points de vue concernant ce sujet délicat », a expliqué Marlène Ouellet, chargée de communication à l’arrondissement.
Julie Bergeron habite la rue Fréchette depuis 1998. Selon elle, avec l’Hôpital du Sacré-Cœur, le restaurant Polo & Suzanne, et l’École Pasteur situés à proximité, le stationnement se fait rare pour les résidants. Préoccupée par cette problématique, elle souhaite que « la rue appartienne davantage aux résidants » et que ceux-ci retrouvent leur priorité.
Démarches laborieuses
Avec l’aide d’une de ces voisines, Julie Bergeron a donc amorcé, en novembre, les démarches nécessaires pour que des vignettes de stationnement soient ajoutées sur la rue. Toutefois, ce n’est pas la première fois que Mme Bergeron entreprenait de telles démarches.
Dès 2003, alors que la rue Notre-Dame-des-Anges – située à proximité de la rue Fréchette – est devenue un sens unique, Mme Bergeron a mentionné à la mairesse d’arrondissement, Noushig Eloyan, les problèmes de circulation et de stationnement que cela créait sur la rue Fréchette.
Les heures sur les panneaux de stationnement ont été modifiées à l’époque, mais aucune vignette de stationnement n’a été ajoutée, et ce, malgré la demande de la citoyenne. En 2008, le résidant Marc Daigneault a pris le relais, mais selon Mme Bergeron ses démarches ont été sans succès.
« Je trouve déplorable tout le temps que cela prend pour régler ce dossier », a confié le président du Comité de circulation de Cartierville (CCC), Philippe Vallée. Il a ajouté que le CCC surveille la situation et pose des questions à ce sujet, mais qu’ultimement c’est aux résidants de décider s’ils veulent ou non des vignettes de stationnement.
Actions concrètes
Selon l’arrondissement, des enquêtes d’occupation et de provenances des véhicules ont été réalisées en mars 2013 sur la rue Fréchette, entre la rue Bocage et la limite nord, à la suite d’une pétition déposée quelques années plus tôt. « À cette époque, il avait été décidé de ne pas aller de l’avant », a indiqué Marlène Ouellet. Il est possible que l’arrondissement décide d’effectuer de nouvelles enquêtes, selon les résultats obtenus dans le cadre du récent sondage mené auprès des résidants.
De son côté, le conseiller de ville du district de Bordeaux-Cartierville, Harout Chitilian, a assuré qu’il travaille personnellement avec les résidants de la rue Fréchette. Il a rappelé que ce type de demande des citoyens est traité par étapes et que cela prend du temps. « Il faut faire un sondage auprès des résidants locaux ainsi que des études pour valider l’achalandage et la rotation des véhicules, a-t-il expliqué. Si les données sont concluantes et si la volonté démocratique des citoyens est présente, on posera des gestes conséquents. » (Par Isabelle Neveu) (2015-06-23)
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À la résidence Berthiaume-du-Tremblay
Des étudiants du Collège Mont-Saint-Louis créent des liens privilégiés avec des aînés
« L’amitié n’a pas d’âge. On peut bien s’entendre avec quelqu’un et avoir du plaisir, peu importe l’âge que l’on a. » Voilà ce que retient Anne-Frédéric Pelletier, 15 ans, du projet intergénérationnel auquel elle a participé avec d’autres étudiants du Collège Mont-Saint-Louis.
Le projet Citoyen de mon monde a permis à 15 élèves de troisième secondaire de faire des visites d’amitié auprès de personnes âgées de 75 à 95 ans de la Résidence Berthiaume-du-Tremblay. Sept rencontres d’une heure et demie ont été organisées au cours de l’année scolaire. Chaque élève a été jumelé à une personne âgée, dans le but de découvrir son récit de vie en la questionnant notamment sur son enfance, son adolescence, sa vie adulte, son mariage et ses enfants.
Anne-Frédéric Pelletier a apprécié cette expérience enrichissante. « J’ai eu beaucoup de plaisir avec la personne âgée avec laquelle j’ai été jumelée. Lors de nos rencontres, j’avais à peine besoin de lui poser des questions et elle me parlait de sa vie », a confié l’adolescente.
De son côté, Gabriel Ghantous, aussi âgé de 15 ans, a participé à ce projet parascolaire avec intérêt. « La dame avec qui j’ai été jumelée m’a appris qu’il faut toujours garder le sourire et savourer tous les moments de notre vie », a-t-il mentionné.
Un projet stimulant
Citoyen de mon monde est le résultat d’une collaboration entre les enseignantes Danielle Bourgouin et Audrey Coughlin ainsi que la responsable du service de bénévolat de la Résidence Berthiaume-du-Tremblay, Renée Baillargeon, et l’intervenante psychosociale, Micheline Demers.
« Le but du projet était de faire découvrir aux jeunes qu’on demeure toujours un citoyen du monde peu importe l’âge que l’on a et, qu’au-delà du vieillissement, des pertes d’autonomie et des oublis, il y a des gens qui ont vécu des histoires extraordinaires », a expliqué Renée Baillargeon.
Rejoignant les valeurs d’engagement, d’ouverture et de dépassement de soi valorisées par le Collège Mont-Saint-Louis, le projet de bénévolat visait également à responsabiliser les élèves et à les sensibiliser à l’engagement communautaire. Les étudiants et les personnes âgées ont soigneusement été sélectionnés en fonction de leur désir de participer à l’aventure.
Les rencontres ont eu lieu à différents moments, soit en milieu d’après-midi, en soirée et durant le week-end. Pour sensibiliser les adolescents aux besoins particuliers des personnes âgées, une formation leur a été offerte au début du projet par Renée Baillargeon et Micheline Demers.
Des échanges privilégiés
« Une relation très intime s’est créée entre les élèves et les aînés, a souligné Danielle Bourgouin. Nos étudiants ont été impressionnés par les expériences de vie et l’ouverture de ces personnes âgées qui ont encore beaucoup à offrir. »
Le projet a été clôturé le 11 juin par un gala. Les étudiants ont remis aux personnes âgées les récits de vie qu’ils avaient rédigés à la suite de leurs discussions. Le journal personnel, dans lequel les jeunes ont noté la progression des rencontres, a facilité la rédaction. En échange, les étudiants ont reçu un certificat d’engagement communautaire et social de la Fédération des centres d’action bénévoles du Québec. Ils ont aussi eu la possibilité d’obtenir, sur demande, une lettre de recommandation pour un éventuel employeur.
Selon Renée Baillargeon, les résidants de la Résidence Berthiaume-du-Tremblay se sont beaucoup attachés aux étudiants. Parmi ces derniers, certains d’entre eux, dont Anne-Frédéric Pelletier, souhaitent poursuivre les visites d’amitié au cours de l’été. « Le projet a dépassé les objectifs de tout le monde, a ajouté la responsable du service de bénévolat. Durant ces rencontres, il n’y a plus d’âges ni de frontières, il n’y a que deux humains qui partagent des affinités particulières. »
Le projet a remporté le prix « Coup de cœur » du concours de la 29e Semaine de l’amitié n’a pas d’âge, organisée par Intergénérations Québec. (Par Isabelle Neveu)(Photos : Courtoisie Audrey Coughlin et Danielle Bourgouin) (2015-06-23)
Crainte d’une bataille judiciaire
A-C hésite à autoriser un lieu de culte sur Fleury Est
En épluchant les procès-verbaux du Comité consultatif (CCU) des derniers mois, journaldesvoisins.com a trouvé qu’en février 2016, le CCU a émis un avis défavorable concernant l’utilisation du 2525, rue Fleury Est, pour que la Fédération des églises Adventistes du 7e jour du Québec y aménage une salle de culte.
« L’usage n’est pas autorisé à cet endroit. L’avis préliminaire est donc défavorable pour leur éviter de s’engager dans une procédure qui risque fort d’être négative. De plus, il s’agit d’une zone commerciale dans laquelle le CCU a jugé préférable d’avoir un commerce qui produit une certaine animation sur rue », indique Michèle Blais, une des responsables des communications à l’arrondissement.
L’arrondissement ajoute que les demandeurs n’ont pas démontré que la population environnante était favorable au projet. La décision n’est pas finale et n’a pas encore été approuvée par les élus; ceux-ci pourraient ignorer ou appuyer cette décision. Il est aussi possible que la demande de la Fédération des églises Adventistes soit retirée ou modifiée.
Éviter des procédures judiciaires
Mais l’histoire est plus complexe qu’un simple refus de dérogation pour des motifs de « non-acceptabilité sociale ». Le bâtiment en question appartient à l’Église évangélique Baptiste de Sion.
L’arrondissement dit que cette communauté religieuse a un lien avec l’Église de Dieu Mont de Sion, qui avait entamé une bataille juridique de longue haleine contre l’arrondissement au début des années 2000. « Il s’agit de deux entités différentes avec un nom semblable, une certaine parenté, car ils ont fait cause commune », explique Mme Blais.
En 1998, l’Église de Dieu Mont de Sion avait été expulsée d’un local à Roxboro, puisqu’elle ne respectait pas la réglementation de zonage. L’Église de Dieu Mont de Sion a choisi d’acheter un bâtiment au 9166, rue Lajeunesse, dans Ahuntsic-Cartierville en 1999. Mais, au début des années 2000, le conseil d’arrondissement a tenté de faire expulser cette église de son local de la rue Lajeunesse après que des plaintes aient été faites concernant l’usage du bâtiment. Zoné commercial, le bâtiment ne pouvait pas être utilisé comme lieu de culte.
De 2001 à 2005, le pasteur a tenté de trouver un nouveau local et l’arrondissement lui a même fourni une liste d’endroits où les établissements religieux sont autorisés. Mais le juge estime que l’église n’a pas fait d’efforts suffisants pour déménager. Le 25 août 2012, la Cour supérieure a donné 180 jours à l’église pour quitter les lieux. L’église a porté la cause en appel.
L’église voulait que la Cour supérieure déclare le règlement municipal incompatible avec les chartes canadienne et québécoise des droits et libertés.
Enfin, le 17 février 2014 la Cour a ordonné à l’église de cesser ses activités dans son local de la rue Lajeunesse. « Douze ans plus tard, l’appelante n’a toujours pas trouvé de lieu lui convenant. Cette saga est entièrement imputable à ses recherches sans méthode, à l’absence de rigueur de ses courtiers et à ses critères indûment restrictifs au moment de chercher un immeuble convenant à ses besoins », a écrit le juge dans son jugement.
Aujourd’hui, l’arrondissement craint que l’Église évangélique Baptiste de Sion puisse tenter d’entamer des procédures judiciaires comme l’a fait l’Église de Dieu Mont de Sion. Il n’a pas été possible de joindre les représentants des deux églises. (Par Mélanie Meloche-Holubowski) (2016-06-23)
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Bébé doit payer pour « voir » un film…
Des parents critiquent la politique des cinémas Guzzo
Le semaine dernière, Èva Cortellessa voulait emmener sa fille de 5 ans voir un film pour enfants. Elle a aussi un bébé de trois mois. « J’ai donc appelé pour voir s’ils avaient des séances mère-bébé. On m’a dit que non et qu’en plus, je dois maintenant payer l’entrée du nouveau-né. J’étais un peu perplexe. Mais payer pour quoi? Le bébé va dormir tout le long! », se demande l’Ahuntsicoise, qui a choisi, à cause de cette politique, de ne plus aller au cinéma Guzzo.
Pour sa part, Emilie Nemouchi, qui a un jeune garçon et un nouveau-né, voulait aller voir le film Jungle Book un dimanche après-midi. On lui a demandé de payer l’entrée du nouveau-né.
Les deux mères se demandent pourquoi faire payer un nouveau-né « même s’il ne prend pas de siège, même s’il va fort probablement dormir tout le long ».
Déçue qu’on exige l’achat d’un billet pour son nouveau-né, Émilie Nemouchi a ensuite interpellé Guzzo sur Twitter. Vincent Guzzo a répondu personnellement: « Trop de parents utilisent l’entrée gratuite comme un service de gardienne et dérangent les autres clients. »
« Pourtant, quand il a pleuré un peu, je suis sortie pour ne pas déranger. Et puis on essaie toujours de s’asseoir en arrière, proche de la sortie, au cas », réplique Mme Nemouchi. Mme Cortellessa a tenté de joindre la compagnie par Facebook. « Je n’ai eu qu’une réponse du type « nous sommes désolés pour l’inconvénient ». Elle a donc décidé d’aviser les gens du groupe Facebook « Le Bazar d’Ahuntsic » et la réponse a été vive.
Résidants courroucés
« Ridicule!!! Pour un vol d’avion à 1000$, l’enfant de moins de 2 ans voyage gratuitement. Mais pour le cinéma à 7$, il faut payer pour lui. Ça ne fait aucun sens », écrit Sébastien Bilodeau. « Prochaine étape les femmes enceintes vont aussi payer en double…. », ironise Johanne Raymond. « Ça n’a aucun sens! Je suis allée au Biodôme cette semaine avec mes petites filles et les moins de 5 ans ne payent pas. Alors M. Gros sous Guzzo, vous ne nous verrez plus dans vos cinémas, car vous ne respectez pas notre avenir », a écrit Linda Cyr.
« Trop de plaintes »
Mais le chef des opérations et vice-président exécutif des cinémas Guzzo, Vincent Guzzo, persiste et signe. M. Guzzo dit qu’il a dû agir parce qu’il y avait de plus en plus de plaintes concernant des bébés qui dérangent lors de représentations.
« Malheureusement, de la même manière qu’on a un problème avec le monde qui texte dans la noirceur, on a le même problème avec des parents – pas tous – qui n’ont pas le respect et la décence de se lever et de sortir de la salle quand leur enfant de six mois pleure », dit M. Guzzo, qui ajoute que cette politique convaincra certains parents d’opter plutôt pour une gardienne.
« Je me fais aussi critiquer par du monde qui dit : “Je ne peux pas croire que vous avez laissé entrer des enfants dans un film de 13 ans et plus” parce que maman ou papa ne voulait pas payer pour la gardienne. » Il sait que cette politique le fait paraître très mal. « Les gens vont dire que je suis un méchant capitaliste », dit M.Guzzo, qui dit qu’il doit respecter les clients qui veulent « écouter un film en soirée, tranquilles. »
Payer à partir de quel âge?
Mme Cortellessa fait remarquer que les compétiteurs de Guzzo ne font payer les enfants qu’à partir de 3 ans. « À cet âge, l’enfant est capable d’écouter le film et on paie. Ça, c’est correct », dit-elle.
M. Guzzo croit plutôt qu’il s’agit d’un « faux-débat » et que les parents sont prêts à acheter un DVD pour leur enfant « même s’ils ne vivront pas la pleine expérience », tout en refusant de payer le billet d’entrée au cinéma. « Si le film est adéquat aux enfants, les enfants devraient payer tout court. Si le produit n’est pas adéquat pour un bébé, il faut se poser la question si les parents et le bébé devraient être là ou pas. Et si c’est correct d’être là, il faut se questionner sur le fait qu’ils pourraient être nuisibles (aux autres clients », dit M. Guzzo.
« C’est dur d’avoir des enfants », concède M. Guzzo, qui est aussi père de cinq enfants. « C’est pourquoi les enfants paient moins cher. Mais, moi, je n’ai pas toujours eu la possibilité de me payer des gardiennes. Moi, à minuit, je ne me présenterai pas avec mon enfant de six mois au cinéma », dit catégoriquement M. Guzzo.
Trop bruyant pour un bébé?
Vincent Guzzo ajoute que les films ont souvent un niveau de décibels élevés et se demande s’il est approprié d’amener un si jeune enfant. Mme Cortellessa réplique qu’elle a une coquille pour son bébé et qu’elle est va même parfois voir des concerts avec son enfant. « Pourquoi je me priverais d’une sortie parce que j’ai un bébé? ». Mme Cortellessa dit qu’elle n’ira plus au Guzzo et a invité d’autres parents à boycotter le cinéma. Elle a en d’ailleurs créé une pétition à ce sujet sur le site « Change.org ». (Par Mélanie Meloche-Holubowski) (2016-06-23)
Pour prendre connaissance de la pétition créée par Éva Cortellessa à ce sujet, cliquez ici.
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Des rues nues comme des vers
L’agrile du frêne dépouille A-C
Le ravage causé par l’insecte assassin, qui se répand comme une traînée de poudre dans la métropole depuis 2011, obligera l’abattage d’au moins 1500 arbres dans l’arrondissement en 2016. La bestiole asiatique n’en est pas à son premier crime. En 2015, la Ville de Montréal a dû abattre plus de 4300 arbres et 3400 autres le seront cette année.
Environ 20 arbres ont été abattus en 2015 sur la rue Foucher entre la rue Legendre et Émile-Journault à Ahuntsic-Cartierville. « Les résidants se sont résignés, sachant que l’abattage était inévitable, mais ils attendent depuis deux ans le remplacement de leurs arbres avec beaucoup d’impatience », témoigne Johanne Leduc, résidante d’Ahuntsic Cartierville et qui qualifie cette rue de « catastrophe », compte tenu de la situation due à l’agrile sur la rue.
Nu comme un ver
Aussitôt que les arbres ont été rasés en 2015, Mme Leduc a contacté l’arrondissement qui lui a assuré que la replantation aura lieu en 2016. Malgré tout, le tronçon de la rue Foucher entre la rue Legendre et Émile-Journault est toujours nu comme un ver cette année. « La deuxième fois que j’ai appelé pour constater avec eux le retard de la plantation, on m’a dit que rien ne se ferait cette année et que ça irait plutôt en 2017 », se désole la résidante.
La raison principale de ce délai semble être due à la logistique entourant la plantation. « On doit attendre un an pour l’essouchage des arbres et on peut uniquement les planter au printemps, c’est pourquoi le délai peut sembler plus long que prévu », a commenté la chargée de communication d’Ahuntsic-Cartierville, Michèle Blais. (NDLR : L’essouchage des arbres ne peut se faire immédiatement après que l’arbre ait été abattu. L’attente d’un an sert à éviter la recontamination qui perdure dans la souche et les racines). Toutefois, Mme Leduc s’étonne que la plantation ne se fasse pas immédiatement après l’essouchage.
Au-delà de l’esthétisme laissant à désirer avec le manque de végétations, rappelons que la présence d’arbres sur un territoire donné permet de lutter contre les îlots de chaleur. Ce type de végétaux rafraîchit l’air ambiant grâce à l’ombrage et à l’évapotranspiration. De plus, les arbres ont des effets positifs sur la santé des résidants d’un quartier. Ils améliorent, entre autres, la qualité de l’air, captent les poussières ainsi que les polluants atmosphériques, et améliorent la qualité de l’eau de ruissellement.
« Il y a une grande contradiction dans les messages de la ville, note Mme Leduc. On nous dit que c’est important de planter des arbres sur nos terrains, mais même eux ne le font pas dans leur arrondissement. » (Par Francis Pilon) (2016-06-23)
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Un bien triste sire…
Esteban Torres avait foulé le sol d’A-C récemment à la manif transgenre
Sur la photo, on peut voir Esteban Torres (à gauche) tel que capté par le photographe de journaldesvoisins.com alors qu’il participait à une manifestation pacifique dans Ahuntsic-Cartierville le 17 mai dernier en appui à la clinique médicale transgenre de Bordeaux-Cartierville qui avait été incendié. (voir l’article ici) (Philippe Rachiele) (2016-06-22)
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CAPSULE ORNITHOLOGIQUE
Dans l’air du temps…
Le Bihoreau gris
Texte et photos: Jean Poitras
Ce petit échassier de la famille des hérons fréquente les rives de l’archipel montréalais et est un habitué du site des moulins à l’île de la Visitation (où ces photos ont été prises). On l’a déjà observé alors qu’il pêchait dans la cascade qui borde le bistrot de la Maison du Meunier (NDLR: devenu cet été le Café traiteur Le Festigoût), au grand plaisir des clients attablés.
Son aire de nidification couvre la majorité des États-Unis au sud du Canada, les provinces maritimes, la vallée et l’estuaire du St-Laurent.
Comme son nom l’indique, il est généralement gris avec le dessus de la tête et le dos noirs, et un ventre pâle, presque blanc. En plumage nuptial, il possède deux aigrettes pâles à l’arrière de la tête. Les juvéniles sont de couleur brune tachetée et n’acquièrent le plumage adulte qu’à la troisième année.
Il se nourrit de petits poissons qu’il attend patiemment; lorsque ces derniers passent tout près de lui, il les saisit d’un geste rapide. Comme tout héron qui se respecte, il ne dédaignera pas une petite grenouille ou une salamandre qui se trouverait à portée de bec.
Tel que son nom anglais l’indique, il est généralement nocturne (ou vespéral), mais on l’a souvent vu s’alimenter le jour probablement à cause d’une nichée à nourrir.
Comme son cousin le grand héron, il niche dans les arbres.
Son cri est un « wok » guttural, ce qui lui donne le nom populaire sous lequel on le désigne au Nouveau-Brunswick, du moins dans la région de la rivière Madawaska.
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Inauguration officielle de ruelles vertes dans St-Simon
Le résidant a constaté beaucoup moins de bruit et de danger pour ses deux enfants car il n’y a plus de circulation de transit. Il a aussi compté près de 80 personnes par jour qui y marchent pour aller, soit au métro Crémazie, soit travailler dans les édifices situés tout près et « c’est beaucoup plus beau ». L’inauguration officielle a eu lieu le samedi 18 juin. (P.R.)
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Parc Beauséjour
La fête de l’eau, un succès!
Cliquez ici pour voir le photo reportage de la fête de l’eau.
Toute une fin de semaine sur La Promenade Fleury !
Samuel Gaudreau-Gaucher, porte parole de la Promenade était bien satisfait de voir que « les gens s’approprient de plus en plus la Promenade » lors de l’événement. « Les commerçants étaient également satisfait de l’achalandage » a mentionné M. Gaudreau-Gaucher. (Photo : Philippe Rachiele)
Cliquez ici pour voir le photo reportage.
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Beau succès de la fête de quartier sur Fleury Ouest!
Amélie, Sophie, Kristel et Clément ont bien apprécié leur journée sur FLO. Le beau temps, de la bonne bouffe grappillée un peu partout (dont le cochon grillé de Ça va barder), les activités, les amis. Les quatre Ahuntsicois étaient bien content de leur journée et soirée. (PR)
Cliquez ici pour voir le photo reportage.
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Plongez…dans le mag papier de l’été de journaldesvoisins.com!
Pour ceux et celles qui habitent dans des immeubles à logements où nous ne pouvons en laisser (pas de boîtes aux lettres, concierge tâtillon, ou trop d’appartements), vous pourrez déjà vous en procurer un exemplaire dans les bibliothèques du territoire ou au YMCA de Cartierville. S’il en manque en certains endroits, prière de nous en informer en écrivant à journaldesvoisins@gmail.com Nous irons faire le plein!
Trente-deux pages à savourer au soleil levant, de bon matin, ou à l’apéro, les deux pieds dans l’eau! (C.D.) (2016-06-23)
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Le coin des commerçants
LETTRES OUVERTES
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BRÈVES…BRÈVES…BRÈVES…BRÈVES…BRÈVES…BRÈVES
Vendredi, 24 juin, jour de Fête nationale, à 11 h,le nouveau président du Bloc québécois (BQ), pour Ahuntsic-Cartierville, André Parizeau, prendra la parole au nom de son Parti, mais aussi de la Société Saint-Jean Baptiste de Montréal (SSJB), section Nicolas Viel, ainsi que des associations de circonscription Acadie et Crémazie du Parti québécois (PQ), afin de parler de l’importance pour les citoyens d’Ahuntsic de commencer à s’impliquer dès maintenant dans le combat pour la relance du projet d’indépendance du Québec, ce qui passe notamment par la nécessité d’un effort concerté pour ramener la circonscription Crémazie dans le giron souverainiste en 2018.
Cet évènement aura lieu au coin des rues Fleury et Lajeunesse, à l’extérieur. Préalablement, il y aura eu, toujours au même endroit levée du drapeau. Des tracts ont été distribué la fin de semaine dernière sur la rue Fleury, durant la vente-trottoir, pour inviter les citoyens à venir se joindre à cette action. L’information a aussi circulé sur les réseaux sociaux, à partir des pages Facebook de ces différentes organisations. Ci-joint, en fichier attaché, vous retrouverez une copie du tract distribué et qui circulent également sur les réseaux sociaux. Également joint, une photo de monsieur André Parizeau, à l’occasion de la Fête de quartier qui avait lieu le 23 juin l’an dernier, dans le Parc Ahuntsic.
Nous profitons de l’occasion pour vous souligner que le PQ Acadie et Crémazie, de même que la SSJB, et le BQ, font maintenant partie d’une même table locale de convergence souverainiste dont l’objectif est de favoriser un maximum de coordination afin de décupler l’impact de nos actions. L’action du 24 juin se veut tout à la fois symbolique, de part la journée choisie, mais aussi et surtout un point de départ pour beaucoup d’autres actions du même type qui, nous l’espérons, se multiplieront aussi d’ici 2018, grâce notamment à cette nouvelle table de convergence souverainiste.Le thème de cette action le 24 juin sera : “ en route pour le pays “.Sur place, en surplus du nouveau président du Bloc québécois, André Parizeau, seront également présent Céline Charbonneau, présidente du PQ Crémazie, Alain Querry, président du PQ Acadie, et Philippe Dujardin, qui vient également d’être élu président de la SSJB, section Nicolas. Tous pourront évidement, sur place, répondre à vos questions. (Source: PQ et BQ Crémazie et L’Acadie, SSJB).
Le déjeuner-bénéfice au profit du Magasin-Partage Ahuntsic de la rentrée scolaire 2016 s’est déroulé le 17 juin au Zagrum. Ce fut un succès encore cette année grâce aux généreux donateurs, qui ont répondu en grand nombre. Le Créca et tous ses partenaires (Cana, Solidarité Ahuntsic, Snac, Entre-Maison Ahuntsic, Pasto sociale) vous remercient pour votre présence et votre soutien au Magasin-Partage Ahuntsic de la rentrée scolaire. (Source : S.A.P).
C’est au Centre communautaire arménien de Bordeaux-Cartierville qu’ont eu lieu les festivités. 62 personnes ont répondu présentes. Parmi elles, Harout Chitilian, conseiller de ville du district de Bordeaux-Cartierville, Véronique Papineau, directrice du bureau de circonscription de Mélanie Joly. Animée par Ruba Ghazal et Sylvain Dietrich, deux citoyens du quartier très impliqués, les participants ont pu visiter les huit kiosques d’information et prendre part aux moments de plénière et à la symbolique de clôture. Les huit kiosques présentant les six enjeux du plan « Bordeaux-Cartierville, quartier de tous les possibles », et les deux stratégies transversales , ont permis de prendre acte des réalisations de l’année et des enjeux à venir. L’aménagement urbain a particulièrement retenu l’attention. « Le sondage en aménagement est une étape fondamentale. C’est ce à quoi les citoyens aspirent. », a affirmé Anca Niculicioiu de l’organisme Cartier Émilie. Par ailleurs, c’est sans savoir l’annonce d’Harout Chitilian en fin de soirée que Gérard Faiz, un citoyen, a ajouté « Le grand défi pour l’avenir serait la Maison de quartier ! ». En effet, un premier pas a été fait pour ce projet. La Ville de Montréal a adopté un règlement d’emprunt de 4 650 000 $ qui permettra à l’arrondissement d’Ahuntsic-Cartierville d’acquérir un immeuble appartenant aux Sœurs de la Providence, Province Émilie-Gamelin, juste en face du parc de Mésy. Près de 300 répondants au sondage. sera entre autres un centre communautaire et un lieu de diffusion culturelle avec une bibliothèque, et regroupant des organismes communautaires du quartier. L’offre d’achat sera officialisée lundi 13 juin au conseil d’arrondissement d’Ahuntsic-Cartierville. L’évènement s’est conclu avec la symbolique d’une page couverture d’un journal que chaque participant devait compléter à sa guise à l’image de la une du rapport annuel 2015-2016 du CLIC. On retient de ces pages couvertures l’enthousiasme de voir fleurir la Maison de quartier et la place des citoyens au cœur des actions du quartier. Toutes les photos de l’évènement sont disponibles sur la page Facebook du CLIC. (Source : Conseil Local des Intervenants Communautaires (CLIC) de Bordeaux-Cartierville).
Le comité de citoyens Les Pollués de Montréal-Trudeau invite tous les partis à appuyer la motion que présentera demain Projet Montréal à la séance régulière du conseil municipal de Montréal. Celle-ci vise à créer un Observatoire sur le bruit qui aurait le mandat de mieux évaluer le niveau de bruit en milieu urbain et de proposer des politiques adaptées à cette réalité. « Cet organisme pourrait réaliser la cartographie sonore de Montréal, une initiative que nous avions recommandé en 2013 dans notre mémoire présenté devant l’Office de consultation publique de Montréal en vue de l’adoption du Plan de développement de Montréal, commente Antoine Bécotte, président des Pollués de Montréal-Trudeau. La Direction de santé publique de Montréal recommandait également à la Ville de Montréal, en juin 2014, de réaliser une telle carte dans le cadre d’une politique régionale de lutte au bruit provenant de sources mobiles. » Les Pollués de Montréal-Trudeau appellent donc tous les partis municipaux à voter sans partisanerie en faveur de la mise au monde de ce nouvel organisme. La motion (http://projetmontreal.org/democratie/motion-pour-la-creation-dun-observatoire-sur-le-bruit/) est présentée par Sylvain Ouellet, conseiller de François-Perreault, et soutenue par Émilie Thuillier, conseillère d’Ahuntsic, qui représentent deux districts municipaux dont les citoyens sont grandement affectés par la pollution sonore générée par le passage des aéronefs au-dessus de Montréal. (Source : Raymond Prince).
Marie Montpetit, députée de Crémazie, a offert 5 000 $ en bourse afin de soutenir 11 jeunes athlètes prometteurs de Crémazie. Ces athlètes, de niveau «Élite» ou «Relève», proviennent de diverses disciplines telles que la nage synchronisée, la gymnastique, la natation, le tennis de table, l’athlétisme, la boxe, la lutte et le plongeon. L’ensemble des athlètes est supporté par Excellence sportive de l’île de Montréal (ESIM). C’est d’ailleurs en coopération avec l’organisme que le choix des récipiendaires a été effectué. « Nous le savons, le parcours des jeunes athlètes amateurs demande énormément d’effort, tant sur les plans physique, mental, que financier. Je suis très heureuse de pouvoir les soutenir sur le chemin les menant vers l’excellence. Ces jeunes sont des modèles de persévérance et ils nous représentent fièrement sur la scène sportive canadienne et internationale. Je tiens également à souligner le travail exceptionnel de l’équipe d’ESIM qui offre à ces athlètes un encadrement et un support de grande qualité. Bravo! », a déclaré Marie Montpetit. « C’est grâce au soutien financier ainsi qu’à l’implication de personnes comme Madame Montpetit qu’ESIM peut contribuer à l’essor des athlètes de la prochaine génération tels les 11 athlètes soutenus aujourd’hui. » a mentionné Isabelle Charest, membre du conseil d’administration d’ESIM et triple médaillée olympique. Les athlètes récipiendaires de la bourse sont : Gabrielle Cadotte (Nage synchronisée), Adina Maria Cuchirita (Tennis de table), Émile Fournier (Tennis de table), Sidonie Barey-Caron (Tennis de table), Zoé Allaire-Bourgie (Gymnastique), Magali Roche (Athlétisme-Saut en hauteur), Philippe St-Hilaire (Athlétisme-Saut en hauteur), Elena Revel (Boxe olympique), Johannie Audet (Lutte olympique), Mélodie Leclerc (Plongeon) et Marianne Rhéaume (Natation). Excellence sportive de l’île de Montréal (ESIM) a pour mission de contribuer au rayonnement du sport de haut niveau par l’entremise de programmes et services aux athlètes et intervenants sportifs, l’appui aux projets d’événements sportifs d’envergure
et la mobilisation du milieu sportif montréalais. ESIM fait partie du réseau des centres régionaux d’entraînement multisport (CREM). Les bureaux d’ESIM sont situés au complexe sportif Claude-Robillard, 1000, av. Émile-Journault, bureau 1.72, Montréal,Québec, H2M 2E7. (Source : Députée de Crémazie).
Marie Montpetit, députée de Crémazie, a remis le 15
juin dernier, la médaille de l’Assemblée nationale Sœur Pierre-Anne Mandato, directrice générale de l’hôpital Marie-Clarac. « L’engagement de Sœur Pierre-Anne dans notre communauté et, surtout, pour les patients de l’hôpital Marie-Clarac est tout simplement exceptionnel. Notamment, l’environnement qu’elle a su créer pour accompagner les personnes en fin de vie est un exemple pour l’ensemble du Québec. Nous sommes privilégiés de pouvoir compter sur une personne d’aussi grande qualité. Merci Sœur Pierre-Anne pour votre dévouement », a déclaré Marie Montpetit. (Source : Députée de Crémazie).
OUVERT ET FERMÉ. À l’occasion de la fête nationale du Québec, le bureau Accès Montréal, le bureau des élus et le comptoir des permis de l’arrondissement d’Ahuntsic-Cartierville seront fermés vendredi 24 juin prochain.
Les installations fermées le vendredi 24 juin :
• les trois bibliothèques de l’arrondissement;
• le Café de Da;
• la maison de la culture Ahuntsic-Cartierville;
• l’aréna Marcelin-Wilson;
• l’aréna Ahuntsic.
Les collectes des ordures ménagères seront maintenues selon les horaires habituels. Les camps de jour seront fermés le 24 juin mais, toutes les piscines (à l’exception de la piscine Sophie-Barat fermée en raison de travaux), les pataugeoires et les jeux d’eau demeurent ouverts ainsi que les terrains de tennis. (Source : Ville de Montréal).
Depuis le samedi 18 juin, les piscines extérieures, pataugeoires et jeux d’eau sont ouverts au public pour toute la période estivale. L’arrondissement invite la population à profiter de la belle saison pour aller s’y rafraîchir. C’est gratuit! L’arrondissement compte deux complexes aquatiques Que ce soit le complexe Marcelin-Wilson, situé à l’ouest à l’angle de la rue Dudemaine et du boul. de l’Acadie ou du complexe Gabriel-Lalemant, situé à l’est à l’angle des rues Sauvé Est et de Lille, ils seront ouverts tous les jours de la semaine dès 10 h jusqu’à 19 h 30, et ce, jusqu’au 21 août prochain. L’arrondissement dispose également de pataugeoires et de jeux d’eau. Pour connaître les horaires ainsi que leur localisation, consultez la liste suivante. Rappelons que la piscine Sophie-Barat, qui subit une véritable cure de rajeunissement, demeure fermée pour l’été. Sa réouverture est toutefois prévue pour l’automne prochain. Bonne baignade! (Source : Ville de Montréal).
Engagement bénévole – Entraide Ahuntsic-Nord. Vous avez un peu de temps libre à offrir aux aînés du quartier ? Nous recherchons des chauffeurs et des accompagnateurs bénévoles pour nous aider à assurer le transport et l’accompagnement des aînés lors de rendez-vous médicaux, pour la popote roulante et pour des activités de magasinage, des sorties au resto et des rencontres de socialisation. (Source : Entraide Ahuntsic-Nord).
Musée des Soeurs de la Miséricorde.Cet été, combinez une visite au musée et l’exploration de ses magnifiques alentours. Obtenez un itinéraire en visitant le musée. Visites offertes sur rendez-vous, sauf aux dates suivantes : 10-11 juin, 8-9 juillet, 5-6 août, 2-3 septembre. départs des visites : 10 h 30 et 14 h. Information : 514-332-0550, poste 1-393. (Source : Musée des Sœurs de Miséricorde).
Nouveau conseil d’administration
aux Diabétiques du Nord de Montréal
INSCRIPTION EN COUR – PLACES LIMITÉES SAMEDIS À PARTIR DU 2 JUILLET 2016 – 10H Cet été, RePère met sur pieds le projet Communiqu’Art. D’une durée de neuf semaines, les participants seront initiés à différentes techniques liées à l’art visuel. Ce projet vise à établir un échange et un dialogue entre les pères et leurs enfants, et ce, à travers les arts. Durant le projet, l’intervenant de RePère va privilégier la communication entre le père et son ou ses enfants afin que ces derniers puissent produire une œuvre et tisser des liens. Celle-ci sera exposée lors d’un vernissage. Pour vous inscrire, écrivez au info@repere.org ou appelez au 514-381-3511. L’atelier aura lieu au 20,Chabanel Ouest. (Source: RePère).
Lundi
Danses avec Nicole Normand-Divay
16h00-18h00
Mardi
Chansons avec Jacinthe Dubé
16h00-18h00
Samedi
Chansons avec Monique Jutras
14h00-15h15
Samedi
Danses avec Jacynthe Guimond
15h15-17h00
Les ateliers ont lieu à la Maison du Monde (20, rue Chabanel, Ouest, Montréal, H2N 1E6). Pour inscriptions et informations: info@espacetrad.org, 514-273-0880, maisondumonde1@gmail.com. (Source : SPDTQ/EspaceTrad)
QUOI FAIRE… QUOI FAIRE… QUOI FAIRE… QUOI FAI
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Le samedi 25 juin de 7 h à 12 h
Venez découvrir des oiseaux avec nos guides (5$). On peut y découvrir lors de cette période des parulines nicheuses, des râles, Petits Blongios, Butors d’Amérique, Grands Hérons, Hérons verts, des rapaces, des canards et de belles surprises peuvent nous étonner. Départ du chalet d’accueil de l’Île-de-la-Visitation (2425 Gouin est). Information au 438-338-4138 ou à coamessages@gmail.com. (Source: Le Club d’ornithologie d’Ahuntsic).
Autres idées d’activités sans date précise
Visite organisée par “Le roi du nord”(Stéphane Tessier) en partenariat avec Tours Kaléidoscope. Découvrez l’histoire et le patrimoine du nord montréalais. Ce voyage dans le temps révélera l’évolution de ses territoires et ses modes de vie qui se sont succédé : ruralité, villégiature, urbanisation… On prendra connaissance de la diversité architecturale résidentielle, institutionnelle et commerciale de la Nouvelle-France à aujourd’hui. On parlera de plusieurs personnages historiques qui ont marqué l’histoire de la région. Il est aussi prévu de visiter nos voisins de l’île Jésus! Il y aura deux visites étalées sur une journée : une visite en matinée dans un quartier du nord puis une seconde visite en après-midi. Il est possible de faire une ou deux visites dans la même journée! Samedi 16 juillet 2016 – 13h00 – Sault-au-Récollet, église de la Visitation, maison du Pressoir, site des Moulins et l’île-de-la-Visitation* Samedi 23 juillet 2016 – 10h30 – Cartierville Samedi 23 juillet 2016 – 14h30 – Vieux Bordeaux Samedi 30 juillet 2016 – 10h30 – 14h30 – Vieux Sainte-Rose Samedi 13 août 2016 – 14h00 – Vieux Saint-Vincent-de-Paul Samedi 20 août 2016 – 10h00 – Cartierville Samedi 20 août – 14h00 – Vieux Bordeaux Samedi 27 août 2016 – 13h00 – Sault-au-Récollet, église de la Visitation, maison du Pressoir, site des Moulins et l’île-de-la-Visitation* *La visite Sault-au-Récollet est prévue pour une durée d’environ quatre heures. Une pause collation est prévu* $$$ Informations et réservations: (514) 990-1872 ou tours.kaleidoscope@sympatico.ca. (Source : Les visites du Roi du Nord)
Numéros de téléphone utiles
Bibliothèque d’Ahuntsic : 514 872-0568
Bibliothèque de Cartierville : 514 872-6989
Bibliothèque de Salaberry : 514 872-1521
Café de Da : 514 872-5674
Le Rendez-vous du thé : 514 384-5695
Maison de la culture : 514 872-8749
* Les renseignements de la section Quoi faire sont publiés à titre indicatif. C’est avec plaisir que journaldesvoisins.com corrige les coquilles, mais il ne peut être tenu responsable d’erreurs ou d’omissions.
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- Gagnant de trois (3) Prix d’excellence au congrès annuel 2016 de l’Association des médias écrits communautaires du Québec (AMECQ): catégories “reportage”, “article d’opinion”, et 2e meilleur média de l’année parmi les 87 membres.
- Gagnant de cinq (5) Prix d’excellence au congrès annuel 2015 de l’Association des médias écrits communautaires du Québec (AMECQ): catégories “nouvelle”, “reportage”, “entrevue”, “photo de presse”, et 2e meilleur média.
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- Mention Coup de cœur du jury au Concours québécois en entrepreneuriat, CQE Est de Montréal, édition 2014
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