Les Actualités du 24 juillet 2015
Vous êtes nouveau, nouvelle, dans Ahuntsic-Cartierville? Bienvenue!
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Forcé de reculer par le CIUSSS
L’Hôpital Fleury doit retirer 13 lits qui avaient été ajoutés sans autorisation
Selon le Centre intégré universitaire de santé et de services sociaux (CIUSSS) du Nord-de-l’Île-de-Montréal, créé après les fusions des CSSS du nord et de l’est de la ville, Fleury doit être contraint à une réorganisation afin d’éviter un déficit annuel récurrent de 2,8 millions de dollars.
DÉSACCORD
Dans un communiqué de presse émis mardi, le CIUSSS a affiché son désaccord concernant une décision prise en début d’année qui n’avait pas obtenu une validation en haut lieu.
« Ce déficit potentiel, dit-on, est lié à la décision en février 2015 du CSSS d’Ahuntsic et Montréal-Nord d’ajouter sans autorisation 13 lits dans les unités de soins, créant ainsi de nouveaux postes, et ce, sans avoir obtenu le financement nécessaire à ces mesures de développement ».
La direction mentionne que des ressources financières dédiées aux services de première ligne ont été réorientées vers des services hospitaliers de deuxième ligne en vue de financer cet ajout de lits et de postes.
ASSEZ DE LITS POUR LES BESOINS
Rejointe par journaldesvoisins.com, la porte-parole du CIUSSS pour le nord de Montréal, Sylvie Lanthier, a rappelé que la répartition des lits se fait sur une base régionale et doit obtenir l’aval du ministère de la Santé et des Services sociaux du Québec.
« On a noté, selon les relevés, qu’il y avait une moyenne d’occupation de 90% à Fleury – chirurgie, cardiologie, etc. –, laissant ainsi assez de jeu pour répondre aux besoins », a indiqué Mme Lanthier.
PAS DE PERTE D’EMPLOI
Les 14 personnes qui occupent les postes qui devront être abolis seront replacées au sein de l’établissement. Il n’y aura donc pas de perte d’emploi. Les employés embauchés seront replacés ailleurs au sein de l’hôpital ou dans des établissements du nord de la ville.
Mais la direction promet que l’accès et l’offre de services hospitaliers à la population seront maintenus.
AUTRE INCIDENT À FLEURY
Après les problèmes concernant les ascenseurs en fin d’année, l’hôpital a dû composer avec un problème électrique, qui aura duré fort heureusement seulement une heure, le mardi 7 juillet, causé par un accident de la circulation survenu à côté de l’établissement.
La génératrice a pris la relève du système électrique et a permis de maintenir les activités en attendant que le courant soit rétabli vers 8 h 15.
« L’hôpital a dû reporter les chirurgies du matin, question de protéger les équipements de pointe du bloc opératoire de dommages potentiels qu’auraient pu causer la chaleur et l’humidité », a indiqué la Direction. Mais le bloc opératoire a pu reprendre ses activités à midi, ce mardi. (Par Alain Martineau) (2015-07-24)
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Réorganisation majeure chez Rona
Major et Major ne change pas de mains
20 magasins franchisés de son réseau, dont 17 grandes surfaces.
La raison en est fort simple. Le populaire quincaillier de proximité de la rue Sauvé est un marchand indépendant et le détaillant Rona, aussi distributeur de produits de quincaillerie et de matériaux de construction, ne compte pas racheter les commerces appartenant à des indépendants.
Ces derniers, comme Major et Major, bien en selle dans Ahuntsic–Cartierville, comptent pour plus de la moitié des 511 magasins du réseau Rona au pays.
Le géant national de la quincaillerie poursuit la mise en place de son plan majeur de redressement lancé il y a trois ans après une tentative d’acquisition de l’américaine Lowe’s.
Et selon ce que l’on comprend de RONA, si jamais la grande entreprise achetait un magasin indépendant, ce serait une exception.
MAJOR, UN AN PLUS TARD
Il y a environ un an, l’homme d’affaires Daniel Lefebvre devenait propriétaire de la célèbre quincaillerie localisée au coin de Sauvé et Curotte. Il prenait alors la relève d’Henri Major qui, lorsqu’il a pris sa retraite, avait décidé de louer le commerce à d’ex-employés, Pierre Bellefleur et Gilles Brunet.
M. Lefebvre a confié la gérance du commerce à son beau-fils Jordan Frenette qui, un an plus tard, se dit fort satisfait du travail accompli avec son équipe d’une vingtaine d’employés.
Il peut compter sur une fidèle clientèle. Même en pleine période de vacances de la construction, le stationnement adjacent au commerce était presque rempli jeudi matin, cette semaine. Les gens préfèrent bien souvent aller chercher un produit chez Major plutôt que d’avoir à se déplacer vers un marchand de grande surface situé beaucoup plus loin.
M. Frenette prévoit quelques petits changements pour les prochains mois, comme à l’entrée du magasin, sans toutefois en dire davantage. Mais il insiste pour dire que le service, dont celui de pouvoir parler à des employés connaissant les produits, est une priorité.
Pour l’avenir, la haute direction de RONA a fait savoir récemment que l’entreprise sera plus « agressive » sur le plan des prix et des promotions. Mais cela s’annonce un gros défi dans certains créneaux alors qu’avec un dollar canadien plus faible que jamais en 11 ans, il en coûte plus cher pour acheter les produits importés. (Par Alain Martineau) (2015-07-24)
Projet unique au monde au parc Jeanne-Sauvé
Une forêt urbaine donnée en exemple aux citoyens
De plus, ce pin est le millionième arbre à être planté dans le cadre du projet international IDENT-cité; il fait partie des 350 000 arbres que la Ville de Montréal a promis de planter, le premier pin blanc japonais du lot.
Le journaldesvoisins.com vous en parlait cet hiver – de ce projet de recherche et de sensibilisation à l’importance de la biodiversité en milieu urbain. Cet été, il prend forme et est une nouvelle fierté pour l’arrondissement, selon Alain Paquette, chercheur en écologie forestière à l’UQAM et responsable du projet.
Le chercheur a conçu le sentier en forme de double spirale; différentes variétés de feuillus et de conifères y sont plantés et les espèces sont de plus en plus diversifiées à mesure qu’on se déplace vers le centre. « En fait, c’est vraiment un outil pour parler aux gens de nos résultats en recherche sur la biodiversité », explique le chercheur.
Montréal et les grandes villes du monde ont souvent eu la fâcheuse habitude de planter le même type d’arbre sur l’ensemble de leur territoire.
Par exemple, sur papier, Montréal peut se vanter de compter des centaines d’espèces d’arbres, mais environ 50 % des arbres ne sont que des érables ou des frênes. Pourtant, dans une forêt naturelle au Québec, la moitié des arbres sont des conifères. Montréal est donc loin de représenter une réelle biodiversité. « Les espèces se ressemblent toutes. Le risque, c’est qu’elles sont sensibles aux mêmes problèmes », ajoute Alain Paquette.
En fait, l’endroit où ont été plantés ces arbres était jusqu’à tout récemment rempli de frênes. La Ville a dû en abattre plusieurs et traiter les quelques-uns qui restent contre l’agrile. Cette infestation prouve que les villes doivent mieux planifier les espèces d’arbres qui sont plantées pour éviter de nouvelles catastrophes écologiques.
Et il n’y a pas que l’agrile du frêne qui devrait inquiéter les Montréalais. La maladie hollandaise de l’orme, le longicorne asiatique et les changements climatiques risquent également, un jour, d’avoir des effets significatifs sur les arbres de la Ville.
Un projet comme celui d’Ahuntsic–Cartierville est un pas dans la bonne direction afin de préparer la forêt urbaine aux défis de l’avenir, croit Alain Paquette. « L’idée est de donner de la résilience (à la forêt urbaine) pour le futur. C’est comme mettre ses investissements dans un portefeuille diversifié. On ne met pas tout son argent dans le même panier. C’est la même chose avec les arbres! »
De plus, les citoyens qui oseront planter autre chose qu’un érable auront probablement la surprise de découvrir de nouveaux insectes et animaux qui seront attirés par ces nouvelles espèces.
Enfin, ce petit « musée d’arbres » aidera les résidents qui se sentent un peu démunis lorsqu’on leur annonce que leur arbre devra être coupé et remplacé en raison d’une infestation de l’agrile du frêne. « C’est comme un arboretum, les gens peuvent venir choisir et découvrir des espèces qui sont tolérantes en zone urbaine et qui vont plaire à tous les goûts », dit Sophie Carpentier, étudiante à la maîtrise qui participe activement au projet.
Le site, tout comme une forêt, sera en évolution constante. Cette semaine, des étudiants s’affairaient à désherber et les employés municipaux ont ajouté du paillis. À l’automne, des vivaces et des arbustes seront plantés. Des plaques seront ajoutées à côté de chaque arbre, aidant ainsi les citoyens à les reconnaître, et une application mobile doit être développée pour permettre aux gens de déambuler dans le sentier, tout en ayant accès à la science qui se cache derrière ces arbres.
Le Cœur des sciences de l’UQAM a déjà organisé trois premières balades pour faire découvrir ce site. D’autres balades pourraient s’ajouter, espère Sophie Carpentier.
Ahuntsic–Cartierville pourra se vanter d’ici 2016 – à temps pour le 350e anniversaire de la Ville – de laisser un héritage environnemental aux jeunes citoyens. (Par Mélanie Meloche-Holubowski)
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Guerre d’endurance contre l’agrile du frêne
La Ville se tourne vers les propriétaires
Un règlement oblige maintenant les propriétaires à faire traiter les frênes dans les zones à risque ou encore à faire abattre les arbres au besoin, s’ils sont sur leur propre terrain.
Au début du mois, 13 000 résidents de l’arrondissement d’Ahuntsic–Cartierville ont été informés par courrier qu’ils sont tenus d’intervenir dès maintenant dans le combat montréalais contre la propagation de l’agrile du frêne.
Il faut consulter le site de la ville pour savoir si votre propriété est dans la zone à risque.
AIDE FINANCIÈRE
La Ville de Montréal donne un coup de pouce financier aux propriétaires appelés à faire traiter les frênes infectés. Les propriétaires ont accès à une aide permettant de couvrir la moitié des coûts du traitement et peuvent obtenir le permis d’abattage gratuitement.
Il est aussi nécessaire de bien disposer du bois une fois l’arbre abattu. Les entrepreneurs engagés par les propriétaires pourront déposer sans frais le bois des frênes abattus à des emplacements réservés à cette fin.
AUSSI DANS LES PARCS
La lutte contre l’insecte qui a été détecté au début des années 2000 à Montréal (et qui frappe plusieurs provinces et États nord-américains) se joue aussi dans les facparcs. Plusieurs frênes sont affectés par la bestiole dans les parcs De Salaberry et Marcelin-Wilson.
L’arrondissement note que, malgré les efforts mis de l’avant pour ralentir la propagation de cet insecte, la situation dans ces deux parcs s’est détériorée. En conséquence, pour éviter la propagation, 400 frênes y seront abattus.
PLANTATION RAPIDE
Les citoyens du nord de la ville ont pu remarquer que les employés municipaux et du secteur privé mettent les bouchées doubles depuis quelques semaines pour se débarrasser des frênes malades et planter des arbres en face des résidences privées.
Le travail à faire dans l’arrondissement d’Ahuntsic–Cartierville est colossal, car c’est un secteur de Montréal durement touché. Près des deux tiers des arbres à Montréal sont sur des terrains privés.
VASTE PROGRAMME
Comme l’a signalé récemment l’arrondissement, il est prévu de planter des arbres devant les maisons privées selon le Plan de gestion intégrée de la forêt urbaine.
Il y a le programme de renforcement de la canopée et celui visant le remplacement des frênes abattus dans le cadre de la lutte à l’agrile du frêne. Dans le premier cas, c’est le secteur privé qui a le mandat de planter près de 400 arbres dans les prochaines semaines dans l’arrondissement. Quant au combat contre l’agrile du frêne, ce sont surtout les cols bleus de la Ville qui mettent la main à la pâte.
BUDGET SUPPLÉMENTAIRE
L’arrondissement s’est vu octroyer un budget supplémentaire pour le remplacement des frênes qui seront abattus d’ici la fin de l’année.
On pense être en mesure de planter 600 arbres cette année, ce qui fait qu’au final, 968 arbres auront été plantés dans Ahuntsic–Cartierville en 2015. (Par Alain Martineau) (2015-07-24)
Scouts d’Ahuntsic-Cartierville en Haïti
Allier reboisement et face-à-face culturel
« Procurer de l’ombre, de la fraîcheur et des fruits aux gens, c’est très important pour nous, c’est pour cela qu’on a choisi de s’impliquer dans ce projet précis », explique la chef de groupe et animatrice louveteau Noémi Privé, durant un appel Skype entrecoupé d’interruptions.
Celle qui se fait appeler Raksha Démone, deux autres animateurs du 105e groupe Christ-Roi ainsi qu’un chef de groupe de Boucherville se sont ralliés à une quinzaine de scouts haïtiens dans la commune de Hinche, située à environ 30 kilomètres de la frontière de la République dominicaine, avec un objectif simple : reboiser un secteur de 100 hectares.
« La déforestation est un réel problème en Haïti. Les gens se servent principalement de charbon de bois pour cuisiner. Ils abattent les arbres et il n’y a pas de renouvellement, poursuit Noémi Privé. Aujourd’hui, par exemple, nous sommes allés planter dans un village où il n’y avait aucun gros arbre à des kilomètres à la ronde, se désole la jeune femme de 30 ans.
Au départ, les membres des deux groupes scouts se sont entendus pour que 1500 arbres fruitiers et forestiers soient mis en terre durant le séjour des Québécois : des plantules d’acajou, de papayer et de manguier, entre autres, toutes achetées en Haïti à frais partagés. « La cible a été bonifiée, on est rendu à 3000, s’exclame Noémi Privé. Presque chaque jour, on plante environ 300 jeunes pousses d’arbres », précise-t-elle avec fierté.
Échange de bons procédés
Le voyage permet aux membres des deux communautés d’échanger différentes techniques utiles aux scouts. « L’après-midi, on rentre à la KEK (le centre communautaire) et on fait de la formation en animation ou en secourisme. De leur côté, les scouts haïtiens nous enseignent le matelotage, ce qui correspond à l’art de faire des nœuds », indique Noémi Privé.
Mais ça ne s’arrête pas là. « Lundi soir, on a appris à danser le konpa, une danse traditionnelle d’Haïti, on a eu beaucoup de plaisir », raconte la jeune femme. Échange de bons procédés oblige, les Haïtiens se sont initiés aux mets canadiens durant une journée thématique. Au menu, crêpes au sirop d’érable, salade de macaroni et pâté chinois. « Les compagnons ont adoré les crêpes. La salade de macaroni, c’est le repas qui les a le plus dépaysés, à cause des légumes crus. Ici, tout se mange cuit, même l’oignon vert (qu’ils appellent poireau) », peut-on lire sur le blogue Chantier Haïti 2015, où les Ahuntsicois relatent leurs aventures.
Choc culturel
Pour les participants québécois, l’expérience s’avère enrichissante, même s’il arrive que les différences culturelles frappent. « Pour moi, le dépaysement est complet. Les gens d’ici ont un bon sens de l’humour, ils rient de tout, même des choses qui peuvent nous affecter dans notre susceptibilité, comme notre résistance à la chaleur », témoigne Noémi Privé.
« Le plus dur, c’est d’arriver à faire des compromis. On est 15 sur le chantier, on dort tous dans la même maison. Les façons de faire sont différentes », explique à son tour au micro la jeune Alizée Vautrin, animatrice responsable des exploratrices à Christ-Roi.
Entraide
Pascal Prud’homme, animateur à Christ-Roi chez les 9-11 ans, est quant à lui touché par l’entraide dont font preuve les Haïtiens. « Les gens ici sont généreux. Quand on arrive pour planter des arbres dans une commune, les habitants petits et grands viennent nous aider à creuser, à arroser et ils le font de bon cœur et en chantant. C’est émouvant de voir ça », écrit-il dans la fenêtre de conversation Skype, les nombreuses et longues interruptions rendant l’appel impossible.
Il conclut, avant que l’électricité soit coupée à la KEK et qu’on doive achever notre conversation : « L’an prochain, nous relançons les pionniers à Christ-Roi et nous pourrions très bien refaire ce genre de projet avec les jeunes de chez nous, au Québec ou en
Haïti. » (Par Raluca Tomulescu)
Pour lire les aventures des scouts du 105e groupe Christ-Roi en Haïti, c’est par ici : http://chantierhaiti105.jimdo.com/
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La ruée vers l’nord
Des Ahuntsicois en expédition au Labrador
« On adore les grands espaces », lance Guillaume, les yeux pétillants, assis dans son salon tapissé de photos de sa famille, habituée du camping sauvage. « Mais jamais pour aussi longtemps et en se déplaçant continuellement », nuance-t-il.
Le couple d’origine française installé au Québec depuis 25 ans avait initialement prévu de faire le tour du Labrador après avoir été séduit par ses paysages lors d’une visite au Salon du VR, début 2014. Un an et demi plus tard, le projet a pris de l’ampleur et des couples d’amis et de la famille se sont joints à l’équipe.
« Avant d’atteindre Goose Bay, au Labrador, on va passer par la centrale Manic-5 et les mines de Fermont, sur la Côte-Nord », explique Élodie. Le chemin du retour commencera par une visite du village scandinave de L’Anse aux Meadows, avant de se poursuivre le long des côtes de Terre-Neuve, puis de la Nouvelle-Écosse, pour finir avec la traversée du Nouveau-Brunswick. Ils raconteront leurs aventures en direct sur un blogue créé pour l’occasion.
À quelques jours du grand départ, Élodie se dit contente de l’avancement des préparatifs. « On a planifié nos menus, mais on n’aura pas de frigo. Ce qu’on va manger? 50 boîtes de thon, des litres de jus de tomates et des kilos de semoule et de riz », énumère-t-elle.
Le TALAC
Les Lemanceau sont friands d’exotisme…et de bricolage. Leur aventure, ils la vivront à bord d’un minibus scolaire qu’ils ont complètement transformé pour le mettre à leur goût, avec des matériaux recyclés en grande partie.
« C’est notre touche d’originalité, on trouvait que c’était un bel espace à aménager, indique Guillaume, qui fait aussi partie d’une entreprise de recyclage de métaux. En plus, ça prenait quelque chose de solide pour les routes du Labrador et acheter un campeur, ça aurait été la solution facile », tranche-t-il.
« On l’a appelé Le TALAC », s’exclame Laëticia,
9 ans, la cadette des aventuriers. Le Talac, c’est un nom qui reprend les premières lettres des prénoms de tous les enfants de la famille : Thomas, Alexandre, Laëticia et Anne-Catherine, même si cette dernière ne participera pas au voyage.
« Convertir le minibus, ça a vraiment été un projet de famille, confirme Élodie. Depuis le mois de mars, tout le monde a mis la main à la pâte pour enlever les bancs, construire le lit et le rangement », détaille-t-elle.
Le minibus n’abritera toutefois que Laëticia et ses parents, ainsi que le chien Zeus. Alexandre, 20 ans, et Thomas, 15 ans, prendront place dans une camionnette de type pick-up. Le convoi sera au total composé de quatre véhicules pour 14 personnes.
Longue vie d’aventure
Un projet n’attend pas l’autre pour la grande famille voyageuse, qui semble maintenant compter un nouveau membre, le minibus. « On lui réserve une longue vie d’aventure auprès de nous, il y a tellement d’endroits où on voudrait aller, l’Ouest canadien, le Centre des États-Unis », rêvasse Guillaume.
Mais avant, il y a la fin de semaine de la fête du Travail, réservée pour un autre épisode de camping familial dans la Réserve faunique Rouge-Matawin. « C’est une tradition familiale annuelle », s’écrient presque en chœur Élodie et Guillaume. (Par Raluca Tomulescu)
Pour suivre La ruée vers l’nord en direct, c’est par ici : http://lrversnord.wix.com/lrvln
Une variété d’activités nautiques à essayer
Profiter des berges grâce à l’ARAC
« La mission de l’organisme est de mettre en valeur tout le potentiel récréoculturel d’Ahuntsic–Cartierville. Plus précisément, maintenant, nous sommes centrés sur le plein air et les activités nautiques que l’on veut développer de plus en plus dans
l’arrondissement », a expliqué en entrevue au journaldesvoisins.com Virginie Laurent, directrice générale de l’ARAC.
Promouvoir l’accès aux berges
Créée en 2002 de la volonté des citoyens et développée grâce au soutien de la CDEC Ahuntsic–Cartierville, l’ARAC est financée par l’arrondissement et se focalise essentiellement sur les activités nautiques. « C’est un peu plus spécifique maintenant. On s’inscrit vraiment dans le cadre du projet de développement des berges de la rivière des Prairies. On veut rendre l’accessibilité que ce soit au port mais également à la rivière aux citoyens », a fait valoir Mme Laurent, en notant que si la priorité est donnée aux résidants de l’arrondissement, la clientèle – composée pour beaucoup de jeunes adultes et d’aînés – vient d’un peu partout.
Palette d’activités
L’ARAC propose désormais ses activités sur deux sites nautiques. À celui de Sophie-Barat dans Ahuntsic est venu s’ajouter, depuis cette saison, celui du Parc de Beauséjour dans Cartierville. Au programme, des activités en canoë, des 5 à 7, des kayaks au clair de lune, des randonnées en rabaska, etc., le tout sans abonnement saisonnier mais sur simple réservation ponctuelle.
Pour ceux qui n’ont jamais fait de kayak, des initiations sont également possibles. « On souhaite que les gens s’approprient la rivière. On sensibilise vraiment à la sécurité et on n’envoie pas des gens qui n’ont jamais fait de kayak sur la rivière. On s’assure qu’ils aient au moins des connaissances de base », a souligné Mme Laurent. À noter également que pour pouvoir faire du kayak, il faut au préalable savoir nager et que l’âge minimal pour les randonnées de rabaska est de 10 ans.
Saison après saison, l’ARAC – en activité seulement l’été – essaie toujours d’innover. Cette année, des randonnées vélo-kayak ont été par exemple ajoutées au programme. Les participants ont ainsi la possibilité entre les deux sites nautiques de venir avec leur propre vélo ou d’en louer un auprès de l’Association. Ils font alors la descente de la rivière et l’ARAC s’occupe du transport de leur vélo. « Cela permet de naviguer d’un point à l’autre et de découvrir la rivière en descendant et en remontant, ce qui est plus plaisant », a indiqué Virginie Laurent.
Un petit ciné?
L’Association organise également des séances de cinéma en plein air dans différents parcs de l’arrondissement. Cette saison, sont ainsi notamment prévues trois projections au bord de l’eau au Parc de Beauséjour, ainsi que deux sur la rue Stanley. Par ailleurs, l’ARAC gère le chalet d’accueil du Parc de Beauséjour, où l’organisme y vend des collations.
L’ARAC proposera ses activités au grand public jusqu’au 31 août prochain, du jeudi au dimanche exclusivement. À noter qu’il faut compter 16 $ par heure pour la location d’un kayak pour une personne, tandis qu’une initiation à ce même sport coût 45 $.
(Par Rabéa Kabbaj) (2015-07-24)
Des trous un peu partout…
Toujours dans le domaine des travaux publics, des résidents de Rosemont ont célébré la semaine dernière, avec un peu d’humour. l’ « anniversaire » d’un nid-de-poule qui tarde à être réparé.
Malheureusement, Rosemont n’est pas l’exception lorsqu’on parle de délais dans la réparation de nids-de-poule; plusieurs Ahuntsicois nous ont signalé des trous qui restent intraités depuis plusieurs semaines, voire, plusieurs mois. Une lectrice nous a d’ailleurs envoyé une photo d’un nid-de-poule sur l’avenue Esplanade au sud de Fleury. « Ce trou est là depuis deux ans et tout ce que la Ville a fait, c’est de peinturer une ligne orange autour! », écrit-elle.
La Ville avoue qu’il est parfois difficile de respecter les délais; les conditions météorologiques retardent souvent certains travaux. Et avec plus de 1000 requêtes de réparations et 327 kilomètres de routes à entretenir dans l’arrondissement, la Ville répond « qu’il n’est pas impossible à l’occasion d’en échapper quelques-uns! »
N’oubliez pas de rapporter les nids-de-poule à la Ville; le plus rapidement l’arrondissement sera avisé, le plus rapidement les travaux pourront être planifiés! (Mélanie Meloche-Holubowski) (2015-07-24)
Conseiller média au jdv
Éric attend votre appel!
Si vous êtes commerçant ou résidant et que vous désirez acheter une publicité pour la faire paraître sur le site Web
du jdv ou sur sa version papier, Le Mag, vous pouvez communiquer avec Éric. Il saura vous aider!
(P.R.) (2015-07-10)
Pour joindre Éric Lescure : publicitedesvoisins@gmail.com
ou 514 506-8665
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LETTRES OUVERTES
UN MAGAZINE À SAVOURER TOUT L’ÉTÉ
Journaldesvoisins.com, le mag, pour vous!
Au menu, des chroniques et des articles sur le voisin idéal; le 100e anniversaire du génocide arménien que les descendants ne veulent pas voir tomber dans l’oubli; les 30 ans de La Promenade Fleury; le mystère des dates de péremption; la nouvelle exposition de Cité historia; des oasis dans les déserts alimentaires; une présentation de Leo Fiore, dg de Tandem, et d’autres sujets qui sauront vous intéresser.
Faites-nous part de vos commentaires en nous écrivant à journaldesvoisins@gmail.com!
(C.D.)
Pour télécharger la dernière édition, cliquez ici
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BRÈVES…BRÈVES…BRÈVES…BRÈVES…BRÈVES…BRÈVES…
Toutes les bannières pourraient être touchées par ces fermetures; au Québec, Loblaw est propriétaire des chaînes Provigo et Maxi. Ahuntsic–Cartierville compte deux magasins Provigo et un magasin Loblaw.
Plus de 500 jeunes du camp de jour de Sports Montréal participeront à une simulation des Jeux panaméricains et parapanaméricains au Complexe Claude-Robillard, vendredi 24 juillet. L’activité, Unis par le sport, est organisée par l’Association canadienne pour les Nations Unies et Sports Montréal.
Plus d’une douzaine d’athlètes et para-athlètes seront présents afin de promouvoir les valeurs et les bienfaits du sport et de l’activité physique auprès des jeunes.
Cette simulation aura lieu, cet été, dans sept grandes villes canadiennes, soit Halifax, Moncton, Ottawa, Winnipeg, Edmonton, Vancouver et Montréal.
Parmi les athlètes invités, on compte Sorin Alexandru (karaté), Nancy Drolet, Joëlle Rivard, Anouk Renière-Lafrenière, Ariane Lavigne, Sandra Lizé, Francis Luna Grenier (haltérophilie. Beijing 2008), Philippe Beaudry, Alix Renaud-Roy, Fleurette Campeau, Kevin Fabregue, Alexia Dupras et Nathalie Chartrand.
« Il est très important pour moi d’encourager les jeunes du quartier qui s’investissent à fond dans ce projet. C’est une très belle expérience qui les prépare pour leur entrée sur le marché du travail dans quelques années », a déclaré Madame Montpetit dans un communiqué, en ajoutant qu’elle invite les citoyens à faire appel aux services des jeunes. (Source : bureau de la députée de Crémazie)
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LE COIN COMMUNAUTAIRE
Le SNAC est un organisme sans but lucratif dont la mission est d’offrir de l’aide alimentaire (repas communautaires, dépannage alimentaire) aux résidents du quartier d’Ahuntsic qui ont un revenu sous le seuil de la pauvreté. (Source: SNAC)
- Améliorer le sentiment de sécurité des aînés : la création d’un réseau de sociabilité permet de briser l’isolement des personnes âgées dans le secteur Laurentien-Grenet, augmentant ainsi leur sentiment d’appartenance à la communauté.
- Créer un échange intergénérationnel : démystifier les jeunes et sensibiliser les aînés à l’utilisation de technologies modernes.
- Agir sur la sécurité des aînés : prévenir la criminalité chez les aînés en offrant diverses séances d’information sur la sécurité au quotidien. Pour participer, appeler au
514 335-0545. (Source : Tandem)
LE COIN DES COMMERÇANTS
Le coin des commerçants fait relâche jusqu’au 14 août.
Hommage à Joe Dassin par Raphael Torr. Doté d’une solide expérience de scène ainsi que d’une voix chaude et grave naturellement semblable à celle de Joe Dassin, l’interprète, Raphaël Torr, fait revivre les plus grands classiques de Dassin. De Salut les amoureux à L’Amérique, en passant par Les Champs-Élysées et L’Été indien, c’est un véritable voyage dans le temps qui vous attend. Le spectacle de celui qu’on désigne comme « le meilleur interprète de Joe » devient vite une véritable fête à la mémoire de Dassin. Souper-spectacle 44,95 $. (Source : Le Rendez-vous du thé)
Soirée tzigane en compagnie de Sergeï Trofanov. Retrouvez Sergeï pour un voyage dans les pays de l’Europe de l’Est. Souper-spectacle 44,95 $.
(Source : Le Rendez-vous du thé)
Activité de danse en ligne par le groupe d’âge d’or les Pionniers, sur l’avenue Park-Stanley. (Source : Arrondissement)
Concerti sous la Pergola. Les mercredis de juillet à la brunante, le public est convié au Concerti sous la Pergola, un concert animé sur le site champêtre de l’Île-de-la-Visitation. Pour terminer la saison, un spectacle de Jully Freitas accompagnée de trois musiciens avec un répertoire fait de différents rythmes brésiliens, entre autres la bossa nova et la samba, mais aussi des rythmes plus typiques de Bahia et influencés de l’Afrique samba-reggae, ijexa, samba de roda, sans oublier le forró, rythme typique du Nord-Est du Brésil. Source : Arrondissement)
Du cinéma sous les étoiles au parc de Mésy. Pour profiter au maximum des chaudes soirées d’été qui approchent, le Comité Fêtes de quartier Bordeaux–Cartierville vous propose de venir à ses événements de cinéma en plein air. Toute la famille pourra apprécier ces projections qui auront lieu les vendredis à la tombée de la nuit au parc de Mésy. À l’affiche, vous pourrez voir ou revoir Les nouveaux héros, Astérix et Obélix : Mission Cléopâtre, L’histoire d’une tortue et Le Pacificateur. Un service de cantine sera assuré par la Maison des jeunes et vous offrira maïs soufflé et boissons. Nous vous y attendons avec vos chaises pliantes et vos couvertures! Pour plus d’information, communiquer avec Charles Castonguay, au 514 856-3553, poste 4. (Source : Centre d’action bénévole Bordeaux–Cartierville)
Poésie Blues – Le Blues de l’homme invisible. Dans le cadre du volet Poésie Blues, le FestiBlues International de Montréal et la bibliothèque d’Ahuntsic présenteront au café de Da, Le Blues de l’homme invisible, un hommage au poète Patrice Desbiens. Animée par Maxime Nadeau, la soirée réunira Claude Beausoleil, Lucia Carballo, Urbain Desbois, François Guerrette, Caroline Le Gal, Vladimir Lortchenkov, Alain-Arthur Painchaud, Caroline Scott et Valérie Jacques-Bélair autour du poète invité pour une lecture d’extraits de son œuvre. Cette rencontre donnera lieu à la création d’un poème collectif à partir d’un vers du poète. C’est un rendez-vous à ne pas manquer, le Café de Da est situé au 545, rue
Fleury Est. Pour participer à cette activité gratuite, vous devez vous inscrire en composant le 514 872-0568 ou en vous présentant à la bibliothèque d’Ahuntsic, située au 10300, rue Lajeunesse. Les heures d’ouverture sont les suivantes : lundi, de midi à 18 h, mardi et mercredi, de 13 h à 21 h, jeudi, de 10 h à 21 h, vendredi, de 10 h à 18 h, samedi, de 10 h à 17 h, et dimanche, de midi à 17 h. (Source : Arrondissement)
Combinez une sortie au musée et aux souks. Le Musée des sœurs de Miséricorde invite le public à combiner une sortie au musée et aux souks sur Gouin Ouest. À ces dates, le musée offrira des visites sans rendez-vous, départs à 10 h 30 et à 14 h. Pour information :
514 332-0550, poste 1-393 ou museemisericorde.org. (Source : Musée des sœurs de Miséricorde)
Animation en danse et musique traditionnelle québécoise, cet été, sur l’avenue Park-Stanley. La Société pour la promotion de la danse traditionnelle québécoise – SPDTQ/Espacetrad – aura le plaisir d’animer la nouvelle rue piétonne estivale, installée sur l’avenue Park-Stanley, près du pont Viau durant deux dimanches de l’été. La SPDTQ/Espacetrad invite la population à faire l’expérience du Trad : sets carrés, contredanses, démonstration de gigue et valses sont au programme. Pour plus d’information visitez notre site http://espacetrad.org/2015/07/03/animations-en-danse-cet-ete-dans-ahuntsic/. Apportez votre pique-nique! (Source : SPDTQ)
Autres idées d’activités sans date précise
Programmation des fins de semaine (vendredi, samedi, dimanche) du 26 juin au
6 septembre :
Vendredi : évaluation de la condition physique, de 18 h à 21 h
Samedi : évaluation de la condition physique, de 10 h à 13 h
Chasse au trésor GPS (géocaching) le jour sur le Parcours Gouin
Yoga en plein air avec Pop Yoga, de 18 h 30 à 19 h 30
Dimanche : évaluation de la condition physique, de 10 h à 13 h
Escouade Energiz’toi, de 13 h à 16 h
Chasse au trésor GPS (géocaching) le jour sur le Parcours Gouin
Cours de cardiovélo en plein air avec les Loisirs Sophie-Barat, de 9 h 15 à 10 h 15
Volleyball de plage, de 13 h 30 à 15 h 30 (Source : Arrondissement)
pour obtenir un espace gratuit aux samedis « Souks » sur Gouin Ouest, on visite
le site www.gouinouest.com. (Source : CDEC)
Du 10 juillet au 5 septembre est présentée l’exposition Avoir du panache, réalisée par le sculpteur et photographe Simon Beaudry. Des ateliers d’animation accueillent les clubs de vacances et les jeunes de l’arrondissement ainsi que leurs parents. Une grande murale installation sera créée à partir des œuvres réalisées par les quelque 300 jeunes qui y participent pendant l’été. Inscrivez-vous dès maintenant en téléphonant au 514 872-8749. (Source: Arrondissement)
Départs : 10 h 30 et 14 h. Les familles avec enfants et les groupes sont invités à réserver. Pour information, composez le 514 332-0550,
poste 1 – 393, ou visitez le site museemisericorde.org. Le Musée est situé au 12435, avenue de la Miséricorde. (Source : Musée des sœurs de Miséricorde)
Que ce soit pour jouer au tennis, au soccer, au football ou encore pour vous rafraîchir dans une de nos piscines ou pataugeoires, visitez les différentes installations de l’arrondissement. Consultez le Bulletin aux pages 10, 11 et 26 pour connaître l’horaire et les emplacements. (Source : Arrondissement)
au parc-nature de l’Île-de-la-Visitation. C’est une heure
de randonnée agréable et stimulante à travers les sentiers. Chacun se balade à
son rythme, en bonne compagnie et dans la bonne humeur. C’est
gratuit pour les membres de l’ARA (la carte pour l’été ne coûte que 6 $). Rien à
réserver : il suffit de se présenter. Les lundis matin à 9 h 30 (sauf
en cas de pluie) au bistro du parc de la Visitation (10897, rue du Pont, en prenant par le boulevard Gouin, un peu à l’ouest de De
Lorimier). (Source : ARA)
Numéros de téléphones utiles
Bibliothèque d’Ahuntsic : 514 872-0568
Bibliothèque de Cartierville : 514 872-6989
Bibliothèque de Salaberry : 514 872-1521
Café de Da : 514 872-5674
Le Rendez-vous du thé : 514 384-5695
Maison de la culture : 514 872-8749
* Les renseignements de la section « Quoi faire » sont publiés à titre indicatif. C’est avec plaisir que journaldesvoisins.com corrige les coquilles, mais il ne peut être tenu responsable d’erreurs ou d’omissions.
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- Gagnant d’une bourse de 5000 $ au concours
Entreprenez à Ahuntsic-Cartierville, édition 2014 - Mention Coup de cœur du jury au Concours
québécois en entrepreneuriat, CQE Est de Montréal, édition 2014 - Participant à la finale régionale de Montréal
au Concours québécois en entrepreneuriat, édition 2014, dans la catégorie Économie
sociale
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