Les Actualités du 25 septembre 2015

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ÉLECTIONS FÉDÉRALES 2015
Débat organisé par votre journal
Des échanges parfois vifs entre trois candidats au grand plaisir des spectateurs


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Nicolas Bourdon (Bloc Québécois), Mélanie Joly (Parti libéral du Canada) et Gilles Mercier (Parti vert du Canada) s’étaient bien préparés pour le débat. (Photo : François Lauzon)


PhotoL’animateur du débat, Pierre Maisonneuve est intervenu à quelques reprises pour calmer les ardeurs de spectateurs bruyants. (Photo : François Lauzon)

Un débat serein, quelques pointes bien senties, des admissions surprenantes, et un rappel des grandes lignes des programmes de parti, comme il se doit. Le premier débat électoral organisé par votre média, journaldesvoisins.com, a semblé bien plaire aux 80 personnes présentes dans l’auditorium du CHSLD Notre-Dame-de-la-Merci.

Trois candidats à l’élection fédérale du 19 octobre, aux antipodes, sont restés campés chacun sur le programme traditionnel de leur parti, en y ajoutant des touches pouvant plaire aux électeurs. Une belle soirée!

L’invitation aux candidats qui se présentent dans la nouvelle circonscription d’Ahuntsic-Cartierville avait été lancée au début du mois de septembre. 

Rapidement, une équipe formée des journalistes Alain Martineau et Mélanie Meloche-Holubowski ainsi que de la politologue Diane Éthier, sous la direction du consultant Pierre E. Lachapelle, mandaté par journaldesvoisins.com, a été constituée pour organiser la rencontre. 

La date du 23 septembre a été retenue (celle du 30 avait aussi été suggérée). L’équipe s’est assurée de la présence d’au moins trois candidats. Mélanie Joly (Parti libéral du Canada, PLC), Nicolas Bourdon (Bloc Québécois, BQ) et Gilles Mercier (Parti vert du Canada, PVC) ont accepté d’emblée l’offre du débat.

Malheureusement (pour des raisons personnelles, familiales ou autres), la députée sortante Maria Mourani (Nouveau parti démocratique, NPD) ainsi que Wiliam Moughrabi (Parti conservateur du Canada, PCC), porte-parole du parti au pouvoir, ont décliné les nombreux appels et invitations lancés pour qu’ils emboîtent le pas à leurs collègues et soient présents aux deux heures prévues pour la rencontre.

C’est le vétéran journaliste et expert en débat Pierre Maisonneuve qui a agi comme animateur et aussi modérateur, car il a dû intervenir à quelques reprises pour calmer les ardeurs de certains spectateurs bruyants, dont certains n’ont pas caché leur farouche opposition au projet d’oléoduc d’Énergie Est ou au port du niqab, visant Mme Joly, au premier chef.

Débats cordiaux

Comme au débat qui a eu lieu au Collège Ahuntsic une semaine plus tôt, les échanges se sont déroulés sur un mode cordial alors que les candidats devaient répondre aux questions portant sur cinq thèmes populaires. Ils ont su à l’avance les thèmes de la soirée, mais pas les questions. Les candidats avaient trois minutes pour répondre à chacune d’elles. À la fin, le trio de candidats a répondu aux questions de l’auditoire et le tout a pris fin par leur conclusion.

En gros, les candidats ont livré les grandes lignes de leur parti, mais certains passages ont retenu un peu plus l’attention. Mélanie Joly, assise au centre à la table d’honneur, est notamment intervenue — même si elle devait laisser la parole à son adversaire — après avoir été piquée au vif par des remarques sur sa victoire lors de l’investiture libérale, dont le résultat a été contesté, en vain, par Grace Batchoun, la candidate ayant fini deuxième.

Mais, sur un autre plan, Mme Joly en a surpris plus d’un au cours de ce débat de deux heures chrono. La candidate libérale a reconnu que les libéraux (d’une ère révolue, a-t-elle pris soin de préciser) ont déjà fait montre d’« arrogance » et ont été déconnectés des citoyens (l’après Meech), mais que les choses ont changé, selon elle, avec l’arrivée du chef Justin Trudeau. À son avis, le PLC doit rétablir le lien de confiance avec les citoyens, alors qu’un nouveau sondage n’accorde que 19 % des voix aux libéraux au Québec.

Outre cette admission que d’aucuns pourraient trouver « surprenante », Mme Joly a dû essuyer l’opprobre de plusieurs spectateurs (il semblait y avoir un « fan club » antilibéral dans la salle, du moins à partir d’un certain moment). Pour sa part, Nicolas Bourdon a confié être un homme « travaillant », prêt à aller à Ottawa pour étudier minutieusement les projets de loi qui font avancer le Québec. Gilles Mercier, lui, a prié les électeurs d’Ahuntsic-Cartierville d’envoyer aux Communes un premier député vert en provenance du Québec.

Thématiques

L’équipe éditoriale du journaldesvoisins.com et le comité d’organisation du débat avaient ciblé cinq grands thèmes : l’assurance-emploi, le logement social, le bruit des avions, le transport des matières dangereuses et les qualités pour devenir député.

Peu de surprises dans les réponses, car, sur plusieurs points, chacun y allait d’éléments du programme du parti, en y apportant des suggestions pour améliorer des politiques qui n’ont pas toujours été modifiées au bénéfice du « monde ordinaire » depuis une dizaine d’années. Que l’on  pense à l’assurance-emploi, excluant de plus en plus de chômeurs et dont la caisse a été pillée, alors que, pourtant, elle est financée par les employés et les employeurs.

Au sujet du bruit des avions, le trio s’entend pour dire que des gens d’Ahuntsic-Cartierville doivent avoir une présence au sein de divers comités ici et là en lien avec la gestion sonore à Montréal. Et cela tombe à point nommé; ils semblaient tous d’accord aussi avec la proposition faite pas plus tard que mardi par la conseillère du district d’Ahuntsic Émilie Thuillier, de Projet Montréal, relativement aux mesures de décibels provenant du bruit des avions (NDLR : voir article plus bas sur cette page). Tous conviennent que les mesures devraient être publiées en temps réel sur un site Web. Un dossier en évolution à l’hôtel de ville.

Tous les trois ont souligné que les municipalités devraient savoir quand passent les convois de matières dangereuses, Ahuntsic-Cartierville étant traversé par deux lignes de chemin de fer. Quant au logement social, ils semblaient tous en faveur de la construction de nouvelles unités. En ce qui concerne le transport du pétrole, bloquistes et verts sont d’accord pour dire que le projet d’Énergie Est ne devrait jamais voir le jour, une flèche à l’endroit des autres partis. Après avoir été porteur d’eau, est-ce que le Québécois deviendra porteur de pétrole?, s’est interrogé Gilles Mercier, un ex-indépendantiste dont la cause est maintenant l’écologie.



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Nicolas Bourdon du Bloc Québécois (Photo : François Lauzon)

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Mélanie Joly du Partil libéral du Canada (Photo : François Lauzon)

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Gilles Mercier du Parti vert du Canada (Photo : François Lauzon)
Mourani absente

Le dernier sujet du débat avait une certaine touche personnelle; les qualités attendues d’un député, avec l’insistance de l’animateur pour que chaque invité oublie pendant un instant la ligne de parti. Mais pour souligner à quel point un député modèle doit être présent « partout », l’absence de Maria Mourani a été soulevée, et plus d’une fois, par les candidats présents comme exemple « à ne pas suivre ».

Prenant la parole le premier, le candidat du Bloc, a insisté sur le fait que la députée a manqué à son devoir en étant « très absente », selon lui, en 2014, et qu’une personne élue doit être imputable. La candidate libérale a abondé dans le même sens en écorchant l’absente de la soirée pourtant députée sortante. « Elle a été parmi les cinq députés les plus absents des Communes », a dit Mme Joly, trouvant tout aussi « scandaleux » que la députée sortante soit absente le soir du débat. Pour sa part, Gilles Mercier, a parlé de la franche déception des jeunes, « désabusés, découragés vis-à-vis la politique », selon lui. Il veut changer la chose pour la prochaine génération, être à l’écoute.

Questions du public

Les questions du public ont permis d’aborder des sujets comme la condition des femmes, les limites de la liberté religieuse, encore Énergie Est et le cynisme en politique, de même que la constitution canadienne.

Des gens n’ont pas apprécié la position libérale sur le port du niqab. Mais Mme Joly a rappelé que le PLC est le parti de la Charte des droits et libertés et des libertés individuelles. Dans le dossier sur les conditions de vie des femmes, elle a mentionné ses engagements dans des organismes d’aide aux femmes en difficulté.

Sur la constitution, M. Bourdon et M. Mercier ont dit à leur voisine libérale qu’elle est dans un parti qui a torpillé l’Accord du lac Meech. 

Conclusion des candidats

Malgré les divergences, il était quand même bon d’entendre la conclusion des trois candidats qui semblaient donner « espoir » à l’heure où le cynisme des citoyens envers la politique est encore élevé. Nicolas Bourdon, prêt à donner 20 % de son salaire (de la première année) à des groupes communautaires, a estimé qu’il devrait y avoir automatiquement une élection partielle si un député change de parti en cours de mandat. Mélanie Joly a insisté sur l’importance de l’éthique en politique, alors que chaque jour amène un exemple de décisions douteuses prises par nos politiciens. Pour elle, l’engagement politique est un « important vecteur de changement ». Enfin, Gilles Mercier a insisté sur le fait que des décisions prises par nos politiques ont un impact sur 20, 50 ou 100 ans. (Par Alain Martineau) (2015-09-25)

Pour écouter le fichier audio du débat, cliquez ici


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Une partie des 80 personnes présentes lors du débat (Photo : François Lauzon)
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Une deuxième clinique quitte A-C 
Ne lâchez pas votre médecin,
sinon vous deviendrez orphelin  
 


PhotoLe Groupe de médecine familiale (GMF) Longévité était situé dans la clinique médicale Ahuntsic sur la rue Fleury Ouest. (Photo : Philippe Rachiele)

Au cours des prochains mois, la Clinique médicale Longévité déménagera des locaux de la Clinique médicale Ahuntsic pour s’établir à Côte-Saint-Luc, dans les bureaux de la Clinique médicale Elna, au Centre commercial Carré Décarie. Les patients de ce groupe de médecine familiale (GMF) sont appelés à faire un choix : suivre leur médecin ou s’inscrire sur la liste d’attente, soit le guichet d’accès pour la clientèle orpheline (GACO). 

« Je sais que ce n’est pas la réponse que les gens veulent lire, mais c’est une question d’équité », tranche Joanne Beauvais, attachée de presse du ministre de la Santé, Gaétan Barrette. 

Il sera impossible de « prendre de la place en double », comme l’explique Mme Beauvais. Conserver son omnipraticien tout en s’inscrivant au GACO le temps de trouver un autre médecin dans l’arrondissement n’est donc pas une option.  

« C’est comme si on nous dit de jouer au funambule et de nous lancer dans le vide, sans filet de sécurité », souligne un patient qui veut conserver l’anonymat. « Si on est suivi par un médecin de près, il doit y avoir des raisons sérieuses, a ajouté sa conjointe. C’est lâcher la proie pour l’ombre! Quand on est malade, on ne peut pas se permettre ça! », a conclu la dame.

Avoir confiance

L’attachée de presse du ministre Barrette se veut toutefois rassurante. « Les gens du quartier peuvent avoir confiance s’ils décident de s’inscrire au guichet. La loi 20 et l’entente avec la Fédération des médecins omnipraticiens du Québec (FMOQ) obligeront (les médecins) à prendre en charge plus de patients. »

D’ici le 31 décembre 2017, 85 % des Québécois auront un médecin de famille en vertu de l’entente avec la FMOQ. De plus, à partir de juin 2016, les nouveaux médecins seront répartis en fonction des besoins dans les divers quartiers afin de mieux prendre en charge la population. 

« C’est déplorable, on est comme une clientèle prise en otage », s’indigne une troisième patiente de la clinique qui va fermer ses portes, plutôt sceptique quant à l’optimisme du gouvernement. L’Ahuntsicoise suivie depuis près de deux ans à la Clinique médicale Longévité refuse de faire du kilométrage pour consulter son médecin. La proximité était son premier critère lorsqu’on l’a contactée à la suite de son inscription auprès du GACO.

Phénomène isolé

Selon le conseiller aux relations médias du Centre intégré universitaire de santé et de services sociaux (CIUSSS) du Nord-de-l’Île-de-Montréal, Hugo Larouche, le déménagement d’un GMF n’est pas un phénomène fréquent. « La clinique médicale Longévité et la clinique Perrier sont deux cas isolés. » Le ministère de la Santé et des Services sociaux (MSSS) abonde dans le même sens bien qu’il n’existe aucune statistique à cet effet.

Marche à suivre

En cas de déménagement, les GMF n’ont aucune exigence gouvernementale à respecter puisqu’il s’agit d’un regroupement de travailleurs autonomes. Toutefois, souligne la responsable des relations de presse du MSSS, Noémie Vanheuverzwijn, ils ont certaines obligations à respecter figurant au Code de déontologie des médecins concernant le suivi, la prévention et la prise en charge des patients.

Ainsi, la manière de prévenir les patients d’un changement de quartier, par exemple, est laissée à la discrétion du GMF. La clientèle ne doit pas s’attendre à être prévenue par voie téléphonique. « On ne peut pas aviser tout le monde au nombre de patients qu’on a. On le fait au fur et à mesure », indique Clarisse Cohen, coordonnatrice à la Clinique médicale Longévité. Les informations, ajoute-t-elle, seront transmises aux citoyens par le truchement de son site Web et du répondeur, une fois la date du déménagement arrêtée. (Par Elizabeth Forget-Le François) (2015-09-25)

 Pour vous inscrire sur le GACO, cliquez ici
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La conseillère Émilie Thuillier exige plus de transparence de la part d’ADM


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« Ce mardi 22 septembre, nous avons discuté au conseil municipal d’une motion que j’ai proposée à mes collègues, une motion demandant plus de transparence à Aéroports de Montréal à l’égard des mesures de bruit, écrit la conseillère du district Ahuntsic, Émilie Thuillier, dans son infolettre de septembre. L’administration Coderre a proposé un amendement à notre motion, amendement que nous avons jugé insatisfaisant. Toutefois, le responsable du dossier (des transports à la Ville de Montréal), Aref Salem, s’est montré ouvert à discuter pour écrire une motion conjointe sur le même sujet. Je vais donc continuer à travailler ce dossier dans les prochaines semaines », promet celle qui est également responsable du dossier Aéroport pour l’opposition officielle.

La motion en question, après plusieurs « Attendu que », demande « que le conseil municipal demande à Aéroports de Montréal de diffuser les données brutes en temps réel sur les niveaux sonores des quartiers sous les voies aériennes, de rendre publiques les traces radar et de multiplier le nombre d’appareils de mesure ».

Il faut savoir que les données que présente ADM au public sont les moyennes des bruits des avions, et non pas des données en temps réel. Projet Montréal estime qu’ADM devrait s’inspirer d’aéroports comme celui de Heathrow, à Londres, qui publie en temps réel les données des bruits occasionnés par chacun des avions au décollage ou à l’atterrissage. (NDLR : voir le lien Web à la fin de ce texte)

Tous pour un

La conseillère du district d’Ahuntsic et Projet Montréal avaient espéré que les élus parlent d’une même voix pour demander à Aéroports de Montréal d’améliorer ses pratiques de divulgation d’information.

« ADM a placé des sonomètres autour de l’aéroport Montréal-Trudeau dans différents secteurs de l’île de Montréal, mais l’autorité aéroportuaire ne rend pas publiques en temps réel les données des niveaux de bruit mesurés, se contentant de donner une fois par année les courbes d’ambiance sonore, ce qui est loin d’être suffisant », explique Mme Thuillier.

« Puisque des sonomètres installés par la DSP (Direction de la santé publique de Montréal) à proximité de l’aéroport Montréal-Trudeau ont déjà enregistré des dépassements par rapport au niveau de bruit recommandé par l’Organisation mondiale de la santé, a poursuivi Mme Thuillier, nous estimons qu’ADM doit nous donner l’heure juste et rendre publiques en temps réel les données qu’elle amasse sur le bruit causé par les avions. »

ADM reste sourd

Projet Montréal n’est pas le seul parti à remettre en cause le fonctionnement d’Aéroports de Montréal et le manque d’écoute de son administration envers les citoyens incommodés par les bruits des avions, notamment dans Ahuntsic-Cartierville.

Lors de la réunion du conseil municipal, une autre élue, Lorraine Pagé, chef de Vrai changement pour Montréal et conseillère du district du Sault-au-Récollet, a invité le maireà lever un peu le ton envers ADM « au nom, a-t-elle dit, de nos citoyens et de nos citoyennes. ». Mme Pagé ajoutait qu’ADM n’avait aucune écoute envers les citoyens, citant pour preuves, notamment, la rencontre qui avait eu lieu au printemps entre ADM et les citoyens à la salle du conseil d’arrondissement d’Ahuntsic-Cartierville, et la façon dont ADM répond aux plaintes des résidants. (Par Christiane Dupont) (2015-09-25)

Pour voir l’outil utilisé par l’aéroport de Heathrow, à Londres, qui permet de voir en temps réel les données sur le bruit que font les avions dans les environs, cliquez sur la carte ou ici.


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Les décibels sont indiqués en temps réel dans les carrés jaunes sur la carte à mesure que les avions passent. (Source : Heathrow Web Track)
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Fête ce week-end
Les Braves d’Ahuntsic ont 60 ans

Mais pas d’aréna Maurice-Richard rue Saint-Hubert


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Le week-end tant attendu de l’Association de hockey mineur des Braves d’Ahuntsic, qui célèbre ses 60 ans, se déroulera par un temps splendide d’automne.

Au parc Ahuntsic, samedi, il y aura une dizaine de gros jeux gonflables pour les enfants de tout âge, un gros BBQ, le tout agrémenté par la présence de Youppi entre 10 h et midi. Et il y aura aussi de grosses pointures du monde du hockey, de la politique et des médias, sans oublier des piliers de l’organisation des Braves, qui seront présents pour cette fête historique.

Les visiteurs pourront notamment s’entretenir avec le coloré Ron Fournier, animateur au 98,5 et qui est, rappelons-le, non seulement un ancien des Braves mais aussi un ancien arbitre de la Ligue nationale de hockey (LNH). Un autre ancien, Robert Sirois, ex-joueur des Flyers de Philadelphie et des Capitals de Washington et grand défenseur des joueurs francophones (à l’instar de Maurice Richard), sera aussi présent samedi. Parmi des anciens Canadiens, on pourra voir les Gilbert Delorme et Gaston Gingras.

Hommage au Rocket

Lors d’un événement des Braves, on ne peut passer sous silence l’influence et l’appui qu’a donnés Maurice Richard à l’organisation au fil des ans. Or plusieurs, dont des ténors des Braves, auraient aimé que la ville de Montréal change le nom de l’aréna d’Ahuntsic en celui du « Rocket », qui demeurait tout près. Mais la Ville préfère une autre avenue. « Nous sommes prêts à honorer la mémoire de Maurice Richard. Nous cherchons une façon adéquate de le faire », a confié le président du comité exécutif de la ville de Montréal, Pierre Desrochers, rappelant que déjà le petit parc linéaire du bord de l’eau près du pont Ahuntsic-Viau porte le nom de Maurice Richard (ex-parc Stanley).

La haute direction des Braves avait rencontré le maire de Montréal, Denis Coderre, le 3 septembre dernier. La famille Richard était aussi présente, mais il faudra patienter un peu. « Monsieur le maire étudie tous les choix possibles pour ramener Maurice chez lui. Dossier toujours en cours », a indiqué Martin Longchamps, le président du conseil d’administration de l’Association des Braves (hockey).

À ses débuts, le club avait les membres d’une célèbre famille, celle de Maurice Richard, en son sein. Et on a vu, au fil du temps, la contribution exceptionnelle de ce grand hockeyeur dans l’organisation. Le dossier Richard s’était, entre autres, retrouvé devant le comité de la toponymie de la Ville de Montréal.

Activités nombreuses

Ce samedi, le célèbre club sportif du nord de la ville va aussi honorer plusieurs personnes ayant contribué au rayonnement de l’organisation, dont des bénévoles qu’il ne faut pas oublier. L’organisation compte quelque 750 jeunes, dont des dizaines qui rêvent de jouer un jour pour le grand club.

Outre une bonne ambiance autour de l’aréna, on pourra aussi admirer cinq trophées du Temple de la renommée du hockey de la LNH. Les organisateurs se sont aussi assurés de la présence de membres des Forces canadiennes, de pompiers du Service de prévention incendie de Montréal, ainsi que de policiers.

Place aux cérémonies du 60e des Braves! (Par Alain Martineau) (2015-09-25)

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Rue Fréchette
Le débat sur les vignettes de stationnement est relancé


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La rue Fréchette dont il est question se trouve en face de l’hôpital du Sacré-Coeur (Carte : Googlemaps)
Cette fois devrait être la bonne. Des résidants de la rue Fréchette, non loin de l’Hôpital du Sacré-Cœur, dans le secteur Cartierville de notre arrondissement, ont bon espoir de gagner finalement une bataille qu’ils mènent depuis plus de 10 ans : avoir tout simplement une vignette de stationnement et de bonnes heures pour pouvoir garer leur véhicule sur leur rue.

Une pétition respectant le nombre requis de signatures sera déposée sous peu (on parle du début de la semaine prochaine) au responsable de l’arrondissement pour que ce vieux dossier soit réglé une fois pour toutes. Cela peut paraître simple, mais la lutte d’une vingtaine de résidants de la rue au court segment, localisée entre le boulevard Gouin et la rivière, a perduré, et ce, pour diverses raisons.

Julie Bergeron, une résidante qui s’occupe du dossier présentement, a rappelé encore tout récemment le fil des évènements. En 2003, la rue Notre-Dame-des-Anges, juste à l’est de Fréchette, est devenue à sens unique. Il en a résulté un problème de circulation sur la tranquille rue Fréchette. À l’époque, Mme Bergeron avait même rencontré la mairesse d’arrondissement, Noushig Eloyan, pour lui demander la mise en application du programme Stationnement sur rue réservé aux résidants (SRRR). Toutefois, on n’a pas acquiescé à sa demande, l’arrondissement ayant plutôt opté pour la modification des heures sur les panneaux de stationnement. Et l’arrondissement a suggéré aux résidants du coin de s’arranger avec leur entrée pour garer leur auto.

Autre combat en 2008

En 2008 cette fois, un autre résidant, Marc Daigneault, prend le relais. Il obtient les 25 % de signatures des résidants du tronçon de rue visé pour obtenir les fameuses vignettes. Mais le dossier sera « égaré » dans les méandres administratifs de l’arrondissement.

Nous sommes en 2015 et les résidants récidivent en espérant avoir une meilleure écoute. La nouvelle pétition, avec le nombre requis de signatures, est conforme. « Nous avons des problèmes de stationnement dans le secteur non seulement à cause de l’hôpital, mais aussi avec un casse-croûte non loin, une résidence de personnes âgées, etc. Des amis ne viennent pas ici, car c’est trop compliqué pour le stationnement. Et il y aussi un grand parc dans le coin et une bande verte le long de la berge », a indiqué Mme Bergeron qui a hâte d’en finir avec ce dossier.

Processus établi

Une fois la pétition déposée, une enquête d’occupation et de provenance des véhicules stationnés dans la rue aura lieu. On fera par la suite une analyse des besoins des résidants. C’est la procédure normale qui est suivie, mais les gens de la rue espèrent que l’arrondissement agira avec diligence.

Selon l’arrondissement, en ce qui concerne les SRRR, la moitié de l’espace sur la rue peut être réservée aux résidants du secteur. À la fin août, journaldesvoisins.com avait encore interrogé Harout Chitilian, le conseiller du district Bordeaux-Cartierville, à ce sujet. « C’est une demande qui doit être traitée par les fonctionnaires spécialisés, qui doivent considérer plusieurs points sur le plan technique », a indiqué M. Chitilian. Il a aussi rappelé que les demandes pour des vignettes pullulent et que du personnel a été ajouté pour y faire face. (Par Alain Martineau) (2015-09-25)
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Dans trois circonscriptions fédérales de la région
Les dépenses des députés passées à la loupe


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Alors que Radio-Canada vient de créer un outil interactif compilant les dépenses des députés fédéraux pour la période du 1er avril 2011 au 31 mars 2015, journaldesvoisins.com l’a consulté et en profite pour vous livrer ici les dépenses des députés des trois circonscriptions de la région : Ahuntsic, Bourassa et Saint-LaurentCartierville.

Ayant été tous deux en poste sur toute la période concernée, la députée d’Ahuntsic, Maria Mourani (Bloc Québécois, puis indépendante), et le député de Saint-LaurentCartierville (libéral), Stéphane Dion, ont totalisé des dépenses se chiffrant respectivement à 1 445 243,92 $ pour Mme Mourani et 1 473 131,27 $ pour M. Dion. Selon Radio-Canada, le député de Saint-LaurentCartierville se classe au 4e rang des députés fédéraux du Grand Montréal ayant rapporté les dépenses les plus élevées.

Sur la période étudiée, M. Dion a notamment dépensé 889 294,34 $ en salaires d’employés et contrats de service, tandis que Mme Mourani, de son côté, a dépensé 806 492, 95 $ pour le même type de frais. Autre source importante de dépenses, les frais de déplacement se sont quant à eux chiffrés à 216 337,30 $ pour le député de Saint-LaurentCartierville, et à 134 399,42 $ pour la députée d’Ahuntsic.

Bourassa

La circonscription de Bourassa a vu se succéder sur la période analysée ici deux députés, soit Denis Coderre (libéral) jusqu’au 2 juin 2013, puis Emmanuel Dubourg depuis le 25 novembre 2013.

Du 1er avril 2011 au 2 juin 2013, le montant total des dépenses de M. Coderre s’est ainsi élevé à 797 386,64 $, dépenses incluant notamment un montant de 480 550,28 $ consacré aux salaires d’employés et à des contrats de service, et 111 378 $ en frais de déplacement. Rappelons que M. Coderre a démissionné de son mandat de député pour briguer la mairie de Montréal.

Élu à l’élection partielle du 25 novembre 2013, le député actuel de Bourassa, Emmanuel Dubourg (libéral) avait dépensé, au 31 mars 2015, un total de 467 060,71 $. De ce montant, 266 332,66 $ ont été consacrés aux salaires des employés et aux contrats de service, tandis que les dépenses de déplacement se sont élevées à 45 674,82 $.

Grand Montréal

D’après Radio-Canada, avec un total de dépenses avoisinant les 1,8 million de dollars, c’est le député d’Outremont et chef du NPD, Thomas Mulcair, qui arrive en tête des députés de la grande région montréalaise ayant rapporté les dépenses les plus élevées. M. Mulcair est suivi dans ce palmarès par la députée d’ArgenteuilPapineauMirabel, Mylène Freeman (NPD), puis par le député de Mont-Royal, Irwin Cotler (libéral).

Encadrées par le Règlement administratif relatif aux députés, les dépenses de ces derniers sont subdivisées en six catégories : « salaires des employés » et « contrats de services »; « déplacements »; « accueil et événements »; « publicité »; « impression » et « bureaux », le plus gros des frais étant généralement concentré dans les deux premières catégories. (Par Rabéa Kabbaj) (2015-09-25)

Pour plus de détails, cliquez ici pour trouver le lien vers l’outil interactif mis en place par Radio-Canada.

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Du 5 au 8 octobre
Projet pilote d’Élections Canada au Collège Ahuntsic


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Une quarantaine d’institutions postsecondaires au pays font l’objet d’un projet pilote d’Élections Canada. Le Collège Ahuntsic est le seul cégep francophone du Québec dans le lot. Le but de l’opération est de constituer ce qu’on appelle dans le jargon administratif des « points de service » où les gens pourront se renseigner, s’inscrire et même voter entre le 5 et le 8 octobre. Le tour est joué et pas besoin de faire la file le 19 octobre, le jour J de l’élection fédérale. Il s’agit en fait d’un « cadeau » aux jeunes, car ce sont des centres d’information dits « supplémentaires ».

Au Québec, on compte six établissements scolaires ayant été retenus par Élections Canada, trois francophones et trois anglophones. Les cégeps Dawson et Vanier sont aussi intégrés au projet, comme les universités de Montréal, McGill et Laval (à Québec).

Élections Canada a justifié ce choix limité par le fait qu’il s’agit d’un projet pilote et qu’on a opté pour les institutions les plus populeuses. « Le but est que, si c’est un succès, ce projet pilote, on étendra le centre de service aux autres institutions d’enseignement postsecondaire », a souligné à journaldesvoisins.com Pierre Pilon, conseiller aux relations médias à Élections Canada.

« Pour ce lancement initial, nous ouvrons un nombre limité de bureaux pour évaluer la demande à l’égard de ce service et pour obtenir des commentaires qui nous aideront à envisager des options afin de poursuivre ou de consolider le programme en vue de futures élections. »

Bureaux pour tous

Si un étudiant a un lieu de résidence près de son cégep ou de son université, et un autre quand il n’est pas à l’école, il choisit celui qu’il juge comme son domicile et utilise cette adresse pour s’inscrire. Les bureaux d’Élections Canada seront donc utiles aux électeurs qui se trouveront à l’extérieur de leur circonscription pendant la période électorale.

Mais aussi, chose intéressante, tous les citoyens canadiens qui auront au moins 18 ans le jour de l’élection pourront se rendre dans le bureau en question (ou les autres bureaux d’Élections Canada). « Ainsi, un électeur qui n’est pas étudiant et qui habite tout près peut aller voter au bureau installé sur le campus du Collège », a indiqué M. Pilon.

Donc, un simple citoyen du quartier demeurant près du Collège Ahuntsic, par exemple, pourrait aller à ce bureau qui n’est pas exclusif aux seuls étudiants. Les électeurs y voteront par bulletin spécial : les votes seront attribués à la circonscription associée à l’adresse résidentielle de l’électeur, quelle qu’elle soit. Les bureaux seront ouverts pendant quatre jours, du 5 au 8 octobre, pendant presque toute la journée. Mais le bureau sur le campus n’existera plus après le 8 octobre. 

Vote par anticipation

Autre façon d’éviter une possible cohue le lundi 19 octobre : le traditionnel vote par anticipation se tenant pendant quatre jours. Des partis politiques se font un point d’honneur pour faire « sortir le vote » lors de ces journées pour éviter la pointe de la journée officielle du vote. Les bureaux de vote sont ouverts de midi à 20 heures du vendredi 9 octobre au lundi 12 octobre.

Donc, les électeurs pourront aller voter aux autres endroits prévus à cet effet ou directement au bureau d’Élections Canada dans cette circonscription. Une carte d’information de l’électeur distribuée par courrier ces jours-ci indique l’adresse du bureau de vote par anticipation. Les gens devraient tous l’avoir reçue d’ici mardi prochain. Notons qu’à l’élection fédérale de 2011, le taux de participation a été de 61 % à l’échelle canadienne.

Par ailleurs, avis aux intéressés, Élections Canada est à la recherche de personnes bilingues souhaitant travailler dans le cadre de l’élection en cours. (Par Alain Martineau) (2015-08-25)

On peut obtenir plus d’information en suivant ce lien vers le site Web d’Élections Canada.


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Échanger avec ses voisins
Des initiatives qui se propagent dans le quartier

Dans un monde globalisé, le besoin de créer des liens sociaux locaux se fait de plus en plus sentir, comme en témoigne la création, ces dernières années, d’initiatives de voisinage. Il existe maintenant des plateformes d’échanges d’outils ou de services entre résidants d’un même quartier qui commencent à susciter l’engouement dans notre arrondissement.

« On travaille avec les mêmes personnes, on a notre petit groupe d’amis, nos familles. Oui, on sort de cela de temps en temps, mais pas si souvent. Et ça, c’est une façon d’avoir des contacts un petit peu plus qu’un bonjour dans la rue […] avec des gens différents de culture, de background, etc. », a expliqué en entrevue au journaldesvoisins.com Sylvie Baillargeon, au sujet de la plateforme gratuite de partage d’objets et d’échange de services Streetbank.

Prêter, et contrer le gaspillage

Utilisatrice depuis un mois de cette initiative sans but lucratif lancée en 2010 au Royaume-Uni et qui, en l’espace de cinq ans, compte déjà des membres dans plus de 80 pays –, cette résidante de l’arrondissement est également très sensible à la philosophie antigaspillage du concept. Pour Mme Baillargeon, l’un des principaux avantages du site est de permettre à ses membres « d’utiliser collectivement des outils qui ne servent pas souvent plutôt que de multiplier le matériel au garage, dans nos garde-robes, etc. ».

En deux clics, on peut se créer un profil et ainsi devenir utilisateur de Streetbank. Le membre entre alors son adresse et définit son périmètre de recherche ainsi que ce qu’il est disposé à offrir. Il peut également s’inscrire à des alertes pour recevoir des notifications lorsque de nouveaux objets ou services susceptibles de l’intéresser sont entrés sur le site. Ainsi, des prêts de livres, de DVD, de vélos, ou encore des cours de yoga font partie des diverses offres que Mme Baillargeon a vues passer jusqu’ici sur le site.

Compter sur ses voisins

Commençant également à se propager dans Ahuntsic-Cartierville, le réseau social d’échanges entre voisins iCi-Nos-Quartiers (iCiNQ) a vu le jour à l’été 2013 à Gatineau. Après s’être acheté chacune une maison, deux amies, Sophie Tremblay et Hélène Buzzetti, ont réalisé qu’il n’est pas toujours aisé d’approcher ses voisins, et que naît souvent le besoin d’outils en tout genre qu’on n’utilisera pas forcément une deuxième fois.

De ce constat leur vient très vite l’idée de mettre en place une plateforme Web permettant de « créer une communauté où les gens sont prêts et ouverts à se faire interpeller par leurs voisins », a déclaré Mme Tremblay au journaldesvoisins.com.

Briser la glace

La plateforme consiste essentiellement en une carte géographique qui comporte des bulles rouges représentant la zone où vivent les utilisateurs, et indiquant quand on clique dessus les outils ou les services que ces voisins sont prêts à partager, d’après les informations indiquées au moment de leur inscription.

« Le site Web est ce qu’on appelle un brise-glace social. Il permet de mettre en contact des gens qui ont manifesté un intérêt pour se rendre service, se prêter des objets, aller arroser le jardin pendant qu’on n’est pas là, etc. », fait valoir Sophie Tremblay, en notant que la plateforme est gratuite et que les initiatives s’organisent ensuite directement entre voisins.

Initiative en expansion

Après un projet pilote de deux ans sur quatre quartiers de Gatineau, les deux conceptrices de la plateforme l’ont ouverte depuis le 1er juillet dernier au reste de la planète. Si le concept connaît un certain engouement un peu partout au Québec avec Gatineau, Montréal et Québec en tête de liste il commence même à percer ailleurs avec déjà des membres en France, selon Mme Tremblay.

Il s’agit là d’une initiative de partage et d’entraide qui, en plus, vous permettra assurément de vous faire de nouveaux amis. « C’est comme cela qu’on crée des liens d’hyperproximité et qu’on rebâtit un voisinage où l’on recommence à se connaître, à se parler et à se faire confiance », résume Mme Tremblay. (Par Rabéa Kabbaj) (2015-09-25)

Les sites Web des deux plateformes :

Cliquez ici pour Streetbank.

Cliquez ici pour Ici-Nos-Quartiers.
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Bonne nouvelle!
La clôture au métro Henri-Bourassa a été repeinte


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Été 2014

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Été 2015 (Photo : Philippe Rachiele)
Les milliers de personnes qui passent par le terminus de la station de métro Henri-Bourassa ont pu remarquer, pour le plaisir de leurs yeux, que l’AMT avait finalement fait repeindre cet été la clôture de la station. (Photo : Philippe Rachiele)
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Des années 1950 à nos jours
Rétrospective de Mario Mérola

Journaldesvoisins.com était présent à la Maison de la culture, le 18 septembre dernier, à l’occasion du vernissage de l’exposition de l’artiste ahuntsicois d’envergure internationale, Mario Merola. Sur la photo, on peut voir M. Merola devant des toiles inspirées des parcs Nicolas-Viel (à gauche) et Sommerville (au centre). 

La rétrospective présente non seulement des toiles mais également des murales et des reliefs. M. Merola occupe une place importante dans l’histoire de l’art du Québec et du Canada. Né à Montréal en 1931, il entre à l’École des beaux-arts de Montréal à l’âge de 15 ans et y enseignera par la suite. 

Pendant six décennies, ses œuvres (murales, reliefs, peintures, dessins et sculptures) se retrouvent dans des lieux publics et dans des expositions, au Québec et à l’étranger (Japon, New York, Paris, Hongrie, Italie, etc.), et ont été exposées notamment lors de la prestigieuse Biennale de Venise en 2011. (Texte et photo : Philippe Rachiele)

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Park(ing) day 2015 sur la Promenade Fleury


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La journée mondiale Park(ing) Day a été soulignée sur la Promenade Fleury, le vendredi 18 septembre dernier. Des espaces de stationnement ont été remplacés par divers stands : un pour la mise au point de vélos (notre photo) avec Jean-Baptiste, et d’autres pour donner des explications sur l’agriculture urbaine, le compostage, la saine alimentation et la sécurité alimentaire. Un espace de repos et de jeux a aussi été installé face au local administratif de la Promenade. (Photo : Philippe Rachiele)
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JARDINS ET POTAGERS

L’heure des bilans


PhotoDu point de vue environnemental, dit notre chroniqueur, quelle empreinte avons-nous laissée?

Le temps est venu, pour moi, de signer, aujourd’hui, ma dernière chronique horticole de la saison, pour la version Web de journaldesvoisins.com

Je me dois ainsi de remercier impérieusement les artisans de notre journal de quartier. Ceux qui tissent hebdomadairement, de leurs plumes chevronnées, les mots et les informations qui portent toute la valeur et la qualité propres à ce journal. En particulier, le travail et le butinage perpétuels de sa rédactrice en chef et de son éditeur, qui rassemblent et colligent quotidiennement nos pièces pour en faire une œuvre!

Il va aussi de soi que c’est le moment privilégié, pour moi, de remercier mon lectorat. Chacun de vous, qui contribuez directement à faire de notre journal ce qu’il est, par votre soutien, votre engagement et votre fidélité. Et tous ceux et celles qui lisent mes chroniques chaque semaine, qui me soumettent des questions et des commentaires et qui, quelque part, me font discrètement complice de leurs réflexions intimes, tout en alimentant les miennes. Quelle joie, quel privilège! Merci!

Avec ce qu’on sent qu’il reste de la belle saison, il est difficile de ne pas tourner la tête pour, déjà, regarder en arrière. Ce coup d’œil vers ce qui fut, ne doit pas être nécessairement teinté de nostalgie. Ô combien plus profitable serait-il, s’il servait, en quelque sorte, d’analyse ou de bilan de notre expérience de culture.

Carnet de jardinage

Ainsi, prenez le temps de faire l’inventaire de vos réussites et de vos bévues, de vos apprentissages surtout, et ce, à différents points de vue. Nous avons bien sûr abordé la question dans bien d’autres chroniques, mais rappelons-nous les divers niveaux de potentialité de nos pratiques horticoles.

Ce qui a le plus produit, ou ce qui a été la découverte de l’année, en terme de saveurs ou autres expérimentations, sont bien évidemment les premiers constats que nous allons faire, et à juste titre. C’est ici qu’un carnet de jardinage prend toute sa valeur, et c’est là où l’on peut confronter chaque cultivar aux promesses annoncées dans les catalogues de semences et par les experts des centres jardins!

Évaluation

C’est un bon moment pour évaluer aussi notre pratique. Avions-nous vu trop gros? Ou serions-nous prêts à agrandir? Quant aux méthodes de jardinage que nous avons utilisées étions-nous assez conscients du temps et des efforts nécessaires pour les mettre en œuvre, ou existe-t-il d’autres moyens, moins énergivores, pour nous? Avons-nous appliqué les techniques les plus appropriées au type d’environnement dont nous disposions pour la culture? Telle ou telle plante était-elle au bon endroit? Et était-ce encore agréable de jardiner ou tout nous semblait-il être une corvée?

Notre empreinte

Du point de vue environnemental, quelle empreinte avons-nous laissée? Avons-nous utilisé des pesticides ou des engrais chimiques, et en quelle quantité? Avons-nous arrosé modestement ou allègrement? Quelle place avons-nous accordée au laisser-faire de la nature? Nos aménagements apportaient-ils une plus-value à l’environnement? Avons-nous remarqué une activité significative d’insectes pollinisateurs, ou la présence accrue d’oiseaux?

Sur le plan personnel, en quoi notre pratique nous a-t-elle permis de rester en forme ou encore de nous procurer plaisir et relâche mentale et émotionnelle? Quelles pratiques étaient plus propices à générer ces bienfaits?

Et socialement, avons-nous assez souvent prétexté le jardinage pour entamer une conversation avec les voisins? Avons-nous partagé nos récoltes suffisamment? Avons-nous eu la chance d’initier quelqu’un au jardinage, comme un ami, un parent ou un enfant? Et quelle portée nos actions et nos réflexions sur notre pratique, aussi petite soit-elle, ont-elles? Peuvent-elles contribuer à l’intérêt général de notre communauté?

Ce sont là de bien modestes pistes de réflexion qui vous permettront peut-être d’avoir quelques idées à l’esprit lorsque vous jetterez un coup d’œil vers l’horizon de vos réalisations estivales.

Merci encore à tous et à toutes et on se donne rendez-vous le printemps prochain! D’ici là, vous pouvez suivre mes chroniques bimensuelles, dans notre Mag papier!

Au plaisir de faire votre connaissance dans un potager prêt de chez nous!

Votre fermier urbain,

Patrick De Bortoli
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LETTRES OUVERTES

Journaldesvoisins.com se fait un plaisir de publier vos lettres ouvertes si elles traitent d’une situation, d’une problématique, ou encore d’un événement concernant le territoire. Prière d’envoyer vos lettres avant le mercredi, 17 heures, en fichier Word (et non en pdf), et d’en vérifier l’orthographe avant l’envoi. Nous nous réservons le droit de les éditer, de les raccourcir si nécessaire, ou de les corriger en espérant que vous aurez fait vos devoirs avant de nous faire parvenir votre missive. Merci! (C.D.)

Pas de Lettre ouverte cette semaine

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BRÈVES…BRÈVES…BRÈVES…BRÈVES…BRÈVES…BRÈV

Avis public pour le 406, rue Legendre Ouest. Un avis public a été émis par l’arrondissement d’Ahuntsic-Cartierville au sujet de la demande de changement de zonage du lieu de culte/centre communautaire du 406, rue Legendre Ouest, pour les résidants qui voudraient soumettre une demande pour qu’un référendum soit organisé par l’arrondissement à la suite de l’adoption d’un second projet de résolution en vertu du règlement sur les projets particuliers de construction, de modification ou d’occupation d’un immeuble. L’avis public mentionne que la demande doit être reçue au plus tard le 1er octobre prochain.
Bus : retards sur la 140 à cause de travaux. Alors que plusieurs lecteurs ont contacté journaldesvoisins.com au sujet des retards fréquents ces derniers temps sur le circuit de la 140, nous avons interrogé la Société de transport de Montréal (STM) cette semaine pour en connaître les raisons. « Des déroutages ont été nécessaires sur cette ligne en raison de divers chantiers au cours des derniers mois », a indiqué Amélie Régis, conseillère corporative aux Affaires publiques, en citant notamment les travaux d’urgence (entre Amos et Charleroi), les travaux d’excavation sur Berri (entre Sauvé et Sauriol), les travaux sur Pie-IX, ceux entre Durham et Fleury, ainsi que les travaux à la hauteur de Marquette.

Et la 180?
Quant au circuit de la 180, qui accuserait également ces derniers temps des retards en direction du métro Sauvé, et que certains résidants de l’arrondissement souhaiteraient voir supprimé pour ne garder que la 140 et éviter ainsi que la rue Fleury soit coupée en deux la STM a déclaré ne pas encore avoir considéré cette possibilité, lorsqu’elle a été interrogée par nos soins. « Certains clients bénéficieraient effectivement de cette mesure. Nous n’avons pas étudié la question, mais nous allons le faire éventuellement », a expliqué Mme Régis. (Par Rabéa Kabbaj) (2015-09-25)

L’arrondissement d’Ahuntsic-Cartierville convie la population à une soirée d’information qui portera sur la présentation du plan d’aménagement du parc Saint-Paul-de-la-Croix (bordé par les rues Sauvé, Sauriol, Christophe-Colomb et Hamel), laquelle aura lieu en présence de la conseillère du district de Sault-au-Récollet, Lorraine Pagé. La rencontre se déroulera au gymnase de l’école primaire Louis-Colin située au 10122, boulevard Olympia, le mardi 29 septembre 2015, à compter de 19 heures. On souhaite ainsi informer le public des derniers investissements réalisés dans ce parc, lui présenter le plan d’action proposé en vue de revamper le parc Saint-Paul-de-la-Croix ainsi que s’assurer que le plan correspond aux besoins des citoyens et des utilisateurs. Bienvenue à tous! (Source: Arrondissement)
Nouveau cadre de partenariat avec les carrefours jeunesse emploi : les députées de Crémazie et de L’Acadie annoncent que le Carrefour jeunesse emploi Ahuntsic-Bordeaux-Cartierville a été choisi. La députée de Crémazie, Marie Montpetit, et la ministre des Relations internationales et de la Francophonie et députée de L’Acadie, Christine St-Pierre, ont annoncé cette semaine que le Carrefour jeunesse emploi Ahuntsic-Bordeaux-Cartierville a été sélectionné dans le cadre de l’implantation progressive d’un nouveau partenariat entre les carrefours jeunesse emploi (CJE) et le Secrétariat à la jeunesse. « C’est une excellente nouvelle qui vient concrétiser la volonté de notre gouvernement de soutenir nos jeunes, tout en maximisant les retombées positives dans nos communautés. Ce partenariat nous permettra d’agir directement auprès des jeunes de Crémazie et de L’Acadie en leur donnant les meilleurs outils possible pour réaliser leur plein potentiel. Ils auront la chance de vivre des expériences variées et enrichissantes qui leur permettront de choisir une carrière intéressante et stimulante », ont indiqué les deux députées. Ce sont 25 CJE qui ont été retenus pour la période d’expérimentation du nouveau type de partenariat qui se déroulera de septembre 2015 à juillet 2016. L’expérimentation devrait ensuite être étendue à l’ensemble des CJE au printemps 2016. Un mécanisme d’évaluation et d’amélioration continue prendra le relais pour la durée de la prochaine Stratégie d’action jeunesse 2016-2021. « Nous pouvons compter sur un réseau d’organismes crédibles dont la valeur est reconnue publiquement : les carrefours jeunesse emploi. Grâce à ce nouveau partenariat avec le Secrétariat à la jeunesse, nous améliorerons l’efficacité de l’offre de services aux jeunes tout en favorisant le bénévolat et le volontariat de ces derniers par le financement de projets concrets », a affirmé le premier ministre. La réorganisation enclenchée permettra l’injection, à terme, de 10 millions de dollars additionnels dans le réseau des CJE. De ce montant, cinq millions seront réservés au développement et à la consolidation de services directs en matière d’insertion sociale, de persévérance scolaire, d’entrepreneuriat et de développement de projets jeunesse. Le nouveau partenariat favorisa également le financement de centaines de projets de bénévolat dans les milieux scolaires et de volontariat dans toutes les régions du Québec; des investissements de cinq millions de dollars sont prévus pour financer ces nouveaux projets.
Collecte des résidus verts : c’est commencé!  L’arrondissement d’Ahuntsic-Cartierville et l’organisme Ville en vert, gestionnaire du programme Éco-quartier, invitent les résidents à participer à la collecte de résidus verts. Cette collecte sera en vigueur jusqu’au 26 novembre 2015. Pour se départir des résidus verts, rien de plus simple que d’utiliser la collecte, dont l’horaire varie selon le district. L’arrondissement compte sur la collaboration des résidents afin de déposer ces résidus (feuilles mortes, résidus de nettoyage de jardins) dans des contenants autorisés en bordure de la rue, entre 5 h et 8 h le matin de la collecte. Les contenants autorisés sont les sacs en papier, les boîtes de carton, les récipients en métal ou en plastique rigide munis de poignées ou d’anses et sans couvercle.
Attention à ce qui est interdit! Tous les sacs en plastique sont proscrits. Il est aussi interdit de déposer dans la rue des feuilles mortes qui proviennent d’un terrain privé. Le non-respect du règlement sur la propreté RCA10 09009 peut entraîner des amendes qui varient de 100 $ à 2000 $.  (Source : Arrondissement)

Dates de collecte
Bordeaux-Cartierville : Les lundis
Saint-Sulpice : Les mardis
Sault-au-Récollet : Les mercredis
Ahuntsic : Les jeudis


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Ouverture du local de campagne de Mélanie Joly. Le samedi 12 septembre, Mélanie Joly a procédé à l’ouverture officielle de son local de campagne au 1499, rue Fleury Est. Sur la photo on reconnaît Mélanie Joly (au centre) ainsi que le candidat de la circonscription de Bourassa, Emmanuel Dubourg (à l’arrière).  (Photo : Philippe Rachiele)

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LE COIN COMMUNAUTAIRE

ATTENTION: CHANGEMENT AU JOUR DE TOMBÉE. Vous êtes d’un organisme communautaire et vous désirez faire part à nos lecteurs/lectrices des activités, des succès ou des questionnements de votre organisme? Écrivez-nous à journaldesvoisins@gmail.com en nous faisant parvenir un court texte (maximum de 100 mots) dans un fichier WORD (et non en pdf). Prenez note que nos jour et heure de tombée sont maintenant le LUNDI de chaque semaine, à 17 heures. C’est avec plaisir que nous publierons vos infos. Faites en sorte qu’elles soient brèves. Indiquez-nous les deux semaines où vous voulez les voir publiées. Finalement, n’attendez pas un accusé de réception, nous préférons garder notre temps pour bien gérer cette chronique et publier le plus d’information possible.


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Calendrier scout 2016. Cette année, l’artiste Steve Adams a été choisi comme illustrateur de cette 65e édition du calendrier scout. Les calendriers seront en vente dans les différents groupes scouts de l’arrondissement. Pour information : http://scoutsducanada.ca/calendrier-scout/.


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L’organisme Créca invite les personnes qui veulent améliorer leur français écrit et leurs notions de base en arithmétique et qui ont des habiletés soit en crochet, tricot, couture, broderie, dessin, peinture ou cuisine, à s’inscrire au projet La Fabrique du Créca. Appelez dès maintenant Line St-Germain au 514 596-7629. (Source : Créca)

Présence Amie, organisme sans but lucratif voué au bien-être des patients du Centre hospitalier Fleury, situé au 2180, rue Fleury Est, organise une vente de livres d’occasion (usagés) le mercredi 14 octobre prochain. Venez en grand nombre, de 9 h à 16 h à l’entrée principale. (Source : Présence Amie)


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MMF 2015. Dans le cadre de la Marche mondiale des femmes 2015, les participantes des centres de femmes de Montréal et de Laval occuperont l’espace public. Elles prendront la parole pour dénoncer l’austérité et l’exclusion. Venez les appuyer en participant à cet événement, le mardi 6 octobre au centre-ville. Pour de plus amples informations, contactez-nous au 514 388-0980. Consultez notre calendrier. (Source: CFSE)



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Conférence mensuelle de La Parentrie, organisme communautaire d’entraide et de répit aux familles en santé mentale. Le thème de la soirée sera la schizophrénie. Nous recevons Maryse Tessier, travailleuse sociale, et Aomar Haddar, infirmier clinicien en santé mentale. Tous deux travaillent au CIUSSS du Nord de Montréal.
Le 23 septembre 2015 à 19 h au Centre communautaire d’Ahuntsic. Prix d’entrée 3 $. Inscription : 514 385-6786. (Source: La Parentrie)


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Encore quelques places… En cette période de la rentrée, Entraide Ahuntsic-Nord, qui se dédie aux aînés du quartier, accueille tout bénévole intéressé à une participation citoyenne; travail à l’accueil, au transport, à l’accompagnement. Offrez-vous une saison d’entraide. Information : 514 392-9171, poste 25. (Source : Entraide Ahuntsic-Nord)


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La P’tite Pasto activité parent-enfant 5 ans et moins. Jeux, chants, contes et bricolages pour explorer, dans le plaisir, différents thèmes de la vie des tout-petits : la famille, les amis, les talents, le partage et Noël, et pour découvrir les grandes valeurs chrétiennes. Activité animée par des parents, au sous-sol de l’église Saint-André : tous les jeudis et les samedis du 3 octobre au 28 novembre. Information : 514 334-5521. (Source : La
P’tite Pasto)


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LE COIN DES COMMERÇANTS 

Vous êtes commerçant dans l’arrondissement et vous désirez placer une publicité? Contactez Éric Lescure, conseiller média, au 514 506-8665.

Sur FLO

Vous pouvez maintenant vous abonner à l’Info-lettre de FLO pour avoir encore plus de nouvelles des commerçants qui y ont pignon sur rue. Il vous faut remplir le formulaire ad hoc. C’est par ici.

Sur La Promenade

Dernière chance pour gagner 100 $, étudiants en chant ou en musique, ou simples amateurs comme vous! Vous jouez du piano? Vous chantez? Et vous aimeriez gagner des sous? La Promenade Fleury organise un concours : interprétez la chanson Imagine de John Lennon en vous accompagnant sur l’un des pianos publics de La Promenade, et filmez-vous. Déposez votre vidéo sur la page Facebook de La Promenade; tout cela d’ici le 25 septembre. La meilleure interprétation sera choisie et le gagnant méritera 100 $.
Les Lundis du rire sont de retour au ÜBER Cafbar.

La Promenade a souligné ses 30 ans, en compagnie de quelques personnes alors que Mmes Pagé, conseillère du district Sault-au-Récollet, et Montpetit, députée de Crémazie, ont coupé le gâteau.




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