Les Actualités du 26 avril 2013
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Assemblée publique au Centre communautaire Ahuntsic
La sécurité dans le quartier: où en est-on ?
Outre les élus, plusieurs employés, cadres et cadres supérieurs de l’arrondissement étaient présents.
Sous le thème “Agir ensemble pour des quartiers sécuritaires et paisibles”, plusieurs intervenants, dont les organismes du quartier, étaient directement interpellés par la thématique. Ils ont d’abord présenté aux participants les différentes initiatives et réalisations de leurs organisations respectives.
Présentation des réalisations
Animée par Claude Champagne, du Centre Saint-Pierre, l’assemblée a vu, tour à tour, défiler le maire Gagnier, le directeur général de l’arrondissement, Ronald Cyr, le coordonnateur de Solidarité Ahuntsic, Azzedine Achour, le directeur de Tandem au sein du quartier, Leo Fiore, la conseillère en développement social de l’arrondissement, Sylvie Labrie, la commandant du poste de quartier 27, Carole Lalonde, et la directrice de RAP Jeunesse, Louise Giguère.
D’entrée de jeu, Azzedine Achour a posé la question: “Qu’est-ce qu’on souhaite collectivement faire pour assurer la sécurité du quartier?”
La commandant Lalonde a fait valoir que les crimes contre les personnes étaient en baisse dans le quartier, et les accidents également, excluant les crimes contre la personne qui se sont produits au cours de la dernière année mais qui ne sont pas reliés à l’arrondissement mais plutôt aux activités mafieuses. Concernant les activités de prostitution, elle a souligné que la situation s’était nettement améliorée au cours des derniers mois. Elle a également mentionné que l’Opération Cyclope donne d’excellents résultats, alors que le fait de rapporter discrètement aux autorités les numéros de plaque de ceux qui sollicitent les services de prostituées dans le quartier avait nettement un effet dissuasif sur ces automobilistes et un taux de récidive très bas.
Louise Giguère, de Rap Jeunesse, a pour sa part expliqué que l’organisme qui existait depuis 10 ans, et pas seulement dans le quartier, travaillait en partenariat avec les autres organisations. Rap jeunesse compte trois travailleurs de rue dans le secteur, deux qui se consacrent aux jeunes et un aux adultes. L’organisme a également une unité mobile d’intervention que nos lecteurs ont sans doute déjà vu sillonner les artères principales du quartier, l’Accès-soir. Il s’agit d’un service d’écoute et de soutien.
Léo Fiore de Tandem a, pour sa part, présenté son organisme en mettant l’accent sur ses équipes de jeunes anti-graffiti et d’éducation qui se promènent dans le quartier. Il a également souligné le programme Entre deux arrêts, mis sur pied par Tandem, pour les femmes seules voyageant le soir à bord des autobus de la STM. Il a rappelé le projet de visites à domicile pour évaluer le degré de sécurité des résidences, et l’initiative des marches exploratoires permettant aux résidants de mieux apprivoiser telle ou telle partie du quartier, dont une qui a déjà été faite dans les environs des HLM Meunier-Tolhurst.
Trois axes
Selon les responsables de l’arrondissement, la sécurité du quartier repose sur trois axes, soit la sécurité routière et de circulation; la sécurité due au sentiment de sécurité que chacun éprouve; et, finalement, les liens des résidants avec les différentes organisations qui leur proposent un volet sécurité et la place des résidants dans la définition de la sécurité urbaine du quartier.
Plusieurs résidants sont intervenus pour faire part de leur sentiment d’insécurité dans le quartier, compte tenu de situations problématiques. Une des participantes, bénévole auprès des aînés, a demandé que les rues soient plus sécuritaires pour eux. Pour sa part, René Tellier, âgé de 92 ans, et cycliste, a souligné que “les nids-de-poules allaient finir par le tuer avant qu’il ait 100 ans !”, ce qui a, bien sûr, déridé l’assemblée… Un autre citoyen a rappelé que quelques jeunes s’amusaient à faire de la vitesse en auto autour des parcs.
Jean Daudelin et Claude Ampleman ont parlé, tour à tour, des passages piétonniers qui n’étaient pas respectés par les automobilistes. Mme Ampleman a signalé qu’une voiture de police était même passée devant elle sans s’arrêter à un passage piétonnier, “alors imaginez les conducteurs ordinaires”, a-t-elle dit! “On dirait que les conducteurs ne voient ni les piétons, ni les passages piétonniers!”. M. Daudelin a mentionné, qu’après les travaux sur la rue Fleury Ouest, les lignes jaunes du passage piétonnier à l’intersection de la rue Fleury et de la rue Meunier étaient à refaire “autrement, c’est comme si les piétons n’existaient pas,” a-t-il précisé.
Une maman a plaidé pour que l’arrondissement organise mieux le déneigement autour des écoles afin qu’il soit fait de façon plus sécuritaire, et, idéalement, en-dehors des heures où les écoliers arrivent et quittent l’école. Une autre mère d’écoliers a souligné que le sens unique d’une rue où était située l’école que fréquentent ses enfants n’était pas respecté par les automobilistes, souvent eux-mêmes des parents qui viennent déposer leurs enfants. Bref, de nombreuses situations vécues par les participants ont été signalées.
Des conclusions ?
Ce qui en ressort? Plusieurs des intervenants, représentants des divers organismes ou élus, s’entendent pour dire que le facteur “éducation” est, de loin, sans doute celui qui est le plus important pour donner à la population un sentiment de sécurité et pour que la sécurité y soit effective. Il semble qu’il faille apprendre aux automobilistes à respecter les traverses piétonnières, et aux parents se déplaçant en voiture autour des écoles qu’ils sont souvent en infraction. L’arrondissement peut sans doute améliorer ses pratiques si elles permettent s’assurer la sécurité des résidants encore mieux, notamment au chapitre du déneigement, de l’éclairage des parcs et des rues, du marquage des passages piétonniers, etc. Nous avons ainsi appris que le marquage était de la responsabilité de la Ville-centre et de l’arrondissement Rosemont-Petite Patrie qui répond aux demandes.
Parmi les élus, Maria Mourani a rappelé que le partenariat entre les différents organismes était très important et que la sécurité, c’était l’affaire de tous. Émilie Thuillier a insisté sur le fait qu’il “faut se parler entre voisins si une situation nous préoccupe et ne pas attendre dans son coin”, et qu’il fallait également appeler au 311 quand surgissait un problème dans le quartier. Étienne Brunet a ajouté qu’il était facile de joindre les élus par le site Web de l’arrondissement. Il a également signalé qu’il y aura d’autres assemblées publiques sur ce sujet dans l’avenir. Pour sa part, Jocelyn-Ann Campbel a déclaré –et s’est fait applaudir– “qu’il fallait lutter contre les préjugés véhiculés à propos des HLM”.
Il s’agissait de la deuxième assemblée de l’arrondissement, la première ayant eu lieu dans le secteur Cartierville la semaine dernière. Le directeur général, Ronald Cyr, a signalé que l’arrondissement allait faire part des commentaires colligés au cours des deux assemblées à la Table de la sécurité publique. (2013-04-26)
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ÉLECTIONS MUNICIPALES 2013
Du nouveau ?
Au même moment, s’il se présente en créant un nouveau parti, on en saura sans doute plus sur les décisions qu’auront prises les conseillers et maires indépendants de la Ville, dont notre maire d’arrondissement, Pierre Gagnier. À suivre, donc. (2013-04-26)
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Rues et trottoirs du quartier: faire du neuf avec du vieux…
L’arrondissement innove et travaille fort
. Mais le budget de l’arrondissement a ses limites
. La capacité de payer des résidants aussi…
Saviez-vous qu’il y a, dans l’arrondissement, 561 kilomètres de chaussée? Tout ce bitume nécessite des travaux d’entretien, année après année. L’hiver québécois lui donne du fil à retordre avec les périodes de gel et de dégel. Les travaux d”entretien nécessitent des sommes d’argent importantes. Mais il s’en fait des travaux d’entretien, dans l’arrondissement, bon an, mal an. On fait du neuf, mais, le plus souvent, on doit faire du neuf avec du vieux!
L’automne dernier, les résidants du quartier ont été témoins de travaux importants alors qu’une partie de la rue Fleury Ouest, entre Waverly et Tolhurst, et plus à l’ouest également, a été refaite complètement. Ce printemps, la même rue, Fleury Ouest, doit être refaite entre les rues Waverly et Clark. Voilà pour le neuf!
Budget hypothéqué
Cependant, compte tenu du budget de l’arrondissement qui n’est pas élastique et qui a été lourdement hypothéqué par les administrations précédentes, les rues et les trottoirs ne peuvent pas tous être refaits à neuf comme la rue Fleury Ouest, par exemple, ou une petite partie du boulevard Gouin, près de la résidence Les Deux Aires. Pourtant, à plusieurs endroits dans le quartier, la chaussée laisse à désirer ou les trottoirs sont en piètre état.
Les hivers malmènent la chaussée!
Aiguillé par plusieurs résidants du quartier et par nos promenades quotidiennes, journaldesvoisins.com suit l’état des rues, des trottoirs, et, l’hiver, l’état du déneigement. Nous avions donc noté que l’hiver et le dégel avaient laissé des cicatrices sur la portion de la chaussée refaite sur Prieur Ouest. On se souviendra qu’une partie de cette rue a été refaite l’été dernier, en prévision de la piste cyclable qui devrait arriver sous peu, selon les informations que nous avons pu obtenir.
Microplanage: le seul arrondissement
Désireux d’en savoir plus long sur la nature des travaux réalisés sur la chaussée de Prieur Ouest, journaldesvoisins.com s’est entretenu avec le directeur des Travaux publics de l’arrondissement, Louis Lapointe.
Nous avons ainsi appris que les travaux effectués sur Prieur Ouest, en prévision de la future piste cyclable, ont été faits par la Ville- centre. C’est la Ville-centre qui est responsable des pistes cyclables, nous a expliqué Louis Lapointe.
La technique utilisée sur Prieur Ouest en fut une de thermoregénération ou de fraisage à chaud ce qui est différent du microplanage effectué, par exemple sur Prieur Est, par l’arrondissement lui-même.
Le principe de la technique de thermoregénération consiste à chauffer la surface, raboter et remettre en place. La thermoregénération sur Prieur Ouest a donc permis de rendre la surface plus douce afin que les vélos puissent rouler plus facilement. Les travaux ont été faits par un entrepreneur privé.
Le microplanage, comme il s’en fait un peu partout dans l’arrondissement, consiste a enlever une partie de l’asphalte sur de petites surfaces et à réasphalter, par la suite. Louis Lapointe souligne qu’Ahuntsic-Cartierville est le seul arrondissement de Montréal à posséder un appareil de microplanage. De plus, cet appareil s’accroche à une petite chenillette, comme celles qui enlèvent la neige, offrant ainsi plus de polyvalence à l’équipement que l’arrondissement a déjà en sa possession. Le microplanage est effectué par les employés de l’arrondissement.
D’ailleurs, à ce chapitre, Louis Lapointe souligne que, pour une deuxième année, l’arrondissement fait suivre à quelques-uns de ses employés des séances de formation à l’École des métiers de la construction de Montréal . Ces employés acquièrent les techniques de reconstruction de trottoirs et peuvent ensuite procéder à la réparation des trottoirs de l’arrondissement. Ils étaient 15 à avoir suivi cette formation l’an passé; ils seront cinq cette année.
On fait pour le mieux
Au chapitre des rues et de la chaussée, malgré la thermoregénération ou le microplanage, des fissures peuvent apparaître en surface, après le dégel, souligne Louis Lapointe, car elles proviennent de la dalle de béton fissurée dessous l’asphalte. Ainsi, les fissures qui traversent la partie refaite de Prieur Ouest sont dues à la dalle de béton au-dessous, car on voit clairement qu’elles se poursuivent de part et d’autre. Envisager une reconstruction complète nécessite un budget beaucoup plus important. En attendant, l’arrondissement essaie de combler au mieux les fissures.
Par ailleurs, les employés de l’arrondissement colmatent les nids-de-poules des rues qui sont sous la responsabilité de l’arrondissement; les artères, comme le boulevard Henri-Bourassa, par exemple, étant sous la responsabilité de la Ville-centre. Les employés ont fort à faire quand le printemps arrive pour remplir ces nids-de-poules et ils ne peuvent pas commencer avant que le gel soit terminé. En outre, ils ne peuvent pas tout faire en même temps.
Si vous constatez des fissures, ornières, nids-de-poules dans les rues et sur les trottoirs, prenez le temps de les rapporter en communiquant avec le 311. Il y a plus de chances, ainsi, que le travail soit fait en priorité. (2013-04-26)
Liens utiles:
Chaussées et trottoirs:
http://ville.montreal.qc.ca/portal/page?_dad=portal&_pageid=7097,71577618&_schema=PORTAL
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FAITES CONNAISSANCE AVEC…
André Gravel, votre commissaire d’école (2e partie)
Connaissez-vous
votre commissaire d’école? Les parents québécois s’intéressent généralement au cheminement de leur enfant à l’école. mais se
désintéressent souvent de l’administration scolaire. Il n’est pas rare que les résidants d’un territoire donné ne
connaissent pas le nom de leur commissaire d’école. André Gravel est l’un de ces commissaires. Voici la deuxième partie de l’entrevue que nous avons réalisée avec lui.
Peu
nombreux sont ceux et celles qui vont voter aux élections scolaires. Compte tenu de cela, Journaldesvoisins.com a demandé à André
Gravel si les structures des commissions scolaires avaient toujours leurs
raisons d’être.
Le
commissaire Gravel cite en exemple le Nouveau-Brunswick qui a aboli les commissions scolaires puis les a recréées, particulièrement à la demande des parents. « En Amérique du nord, il y a des structures consacrées à l’éducation »,
dit-il, ajoutant que cela fait partie de la culture nord-américaine, citant par
opposition la France dont l’éducation nationale est contrôlée depuis Paris,
alors que la gestion des bâtiments relève des municipalités et la formation de
la main-d’œuvre, des régions. « Si on abolit les commissions scolaires, souligne
M. Gravel, c’est Québec qui va devoir gérer tous les aspects pédagogiques ». Finalement,
André Gravel souligne que la Fédération des commissions scolaires du Québec (FCSQ)
a établi que les commissions scolaires du Québec ont les coûts de gestion les
plus bas pour une administration publique variant entre 5 et 6 % depuis
1998-1999.
Par
ailleurs, journaldesvoisins.com a
également demandé à notre commissaire d’école s’il était possible et judicieux
de regrouper les élections scolaires avec les élections municipales pour faire
d’une pierre deux coups? « Cela se fera, mais seulement aux élections de
2017, nous a répondu M. Gravel, avant il y aura une élection scolaire en 2014,
et à l’automne 2013, une élection municipale ».
Compressions sous pression
D’ici
là, commissaires et gestionnaires de la CSDM auront dû prendre des décisions
difficiles, en commençant par cette année,
alors qu’une bonne vingtaine d’écoles de la CSDM auront fait l’objet
d’inspections, compte tenu de la vétusté
et l’insalubrité de plusieurs des bâtisses, situation qui appelle des
rénovations majeures, parfois même la démolition et la reconstruction.
Au même moment, dans le budget de la CSDM, –« soit plus de 900 millions $ », dit M. Gravel– des compressions majeures sont effectuées présentement car, la CSDM accuse un déficit de plus de 45 millions de dollars, dont un million et demi de déficit dans les services de garde des écoles, pour créances impayées. « Québec diminue les budgets depuis quelques années, dit André Gravel. Il y a aussi du sous-financement pour les élèves handicapés ou qui ont des difficultés d’apprentissage ». Alors qu’il y a sous-financement à ce chapitre, notamment, M. Gravel explique que les coûts augmentent parce que, dans certains cas, des élèves handicapés dans les classes ordinaires doivent être accompagnés, et que ces services ne sont pas gratuits.
« Il y a plus de besoins que de moyens », dit M. Gravel, ajoutant : « Quand on a mis en place un service, c’est difficile de l’enlever après.» D’autres commissions scolaires ont un déficit, dit M. Gravel, mais celui de la CSDM est plus grand. Déjà, des services administratifs ont été mis à contribution pour réduire leurs frais, mais d’autres compressions sont à prévoir dans les services administratifs, selon M. Gravel.
En
outre, le 18 avril, la ministre de l’Éducation, Marie-Malavoy, a annoncé
d’autres compressions à venir pour les commissions scolaires. L’heure est aux
choix, sans doute douloureux, et qui sont loin de faire l’affaire de tous, que
doivent prendre les commissaires de la CSDM, dont André Gravel.
Éducation populaire
À
ce chapitre, journaldesvoisins.com
lui a demandé s’il était vrai que l’éducation populaire était menacée à la
CSDM. « Oui, nous a-t-il répondu, mais savez-vous que la CSDM ne reçoit
aucune subvention pour assurer ces services d’éducation populaire », qu’il
ne faut pas confondre avec les services d’éducation aux adultes, ajoute-t-il.
Selon le journal Le Devoir, plusieurs centres d’éducation populaire, situés
dans les quartiers les plus pauvres de la ville notamment, bénéficiaient de
baux gratuits pour leurs locaux depuis une quarantaine d’années, ce qui ne sera
plus possible et ce qui laisse planer une menace de fermeture sur ces centres.
À l’heure actuelle, le ministère de l’Éducation et la CSDM se renvoient la
balle à ce sujet.
Pour
mettre les choses en perspective, le commissaire Gravel nous informe que la
CSDM a déjà été déficitaire de façon importante. « Le déficit actuel de la
CSDM est de l’ordre de 5% du budget, alors qu’en 1940, le déficit était de
30% », dit-il sans vouloir minimiser les impacts des compressions à venir.
Bonheurs et difficultés
Ce
qu’il trouve le plus gratifiant dans son travail de commissaire? « Quand
je suis invité dans les écoles, alors qu’on y célèbre un événement particulier,
et que je constate par moi-même que les enfants et les jeunes que je rencontre
s’y épanouissent. ».
Par
ailleurs, les moments les plus difficiles ? Il en vit présentement avec
l’exercice des compressions auquel il doit se prêter en même temps que ses
collègues. Il trouve difficile également
quand ils rencontrent les parents d’un enfant ayant un handicap
particulier qui veulent obtenir un service que la CSDM n’offre pas
nécessairement. « Je suis moi-même parent, dit-il, je sais ce qu’ils
peuvent ressentir. »
Au
quotidien, André Gravel habite Ahuntsic. Il est père de deux enfants adultes et
de quatre petits-enfants. « Les plus beaux du quartier évidemment», dit-il,
comme tout grand-père qui se respecte… Dans ses loisirs, il aime voyager.
C’est également un adepte du ski alpin et du ski nordique. Il aime le vélo et
fait de la plongée avec tuba. Il joue au bridge et fréquente régulièrement les
musées et les théâtres.
Socialement,
il n’est pas seulement présent comme commissaire d’école. « Depuis de
nombreuses années, je m’occupe de logement social, comme président d’un OBNL,
« Les Habitations Nicolas-Viel ». Depuis 2004, il siège également au
conseil d’administration du Fonds de soutien de la réinsertion sociale de
l’établissement de détention de Montréal. « Il s’agit bel et bien de la
prison de Bordeaux, mais nous ne décidons aucunement de la libération des
prisonniers, mais nous nous occupons plutôt de loisirs, de formation, de la
bibliothèque, notamment. » André Gravel siège également au c.a. du CLSC
Ahuntsic et des Résidences Laurendeau-Louvain-Légaré, et au c.a. du Cégep
Ahuntsic.
Au jeu des mots…
Au jeu d’association de
mots que lui propose journaldesvoisins.com, André Gravel n’hésite pas. À
« école », il associe « la curiosité »…À
« enfants », il dira, tout simplement, « bonheur »…À
« éducation », il lancera, souriant : « Avenir ». (2013-04-26)
Lien utile à consulter:
http://www.csdm.qc.ca/
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Pour une septième édition
Clinique de sang à l’école Ahuntsic
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C’est la saison des canards…
Les canards sont dans la rivière, et dans sa piscine!
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L’Union des familles d’Ahuntsic expose!
Les oeuvres des élèves, petits et grands, sont à l’honneur
Au menu, un peu de tout: dessin (adultes et enfants), peinture (adultes et enfants), broderie, menuiserie, sculpture sur bois, et bricolage.
Environ 250 visiteurs se sont rendus dans les locaux de l’UFA, sis sur le boulevard Henri-Bourassa, au coin de l’avenue de l’Esplanade, pour admirer ce qui avait été créé par leurs enfants, leurs parents, leurs amis… et leurs voisins, évidemment! (2013-04-26)
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Inauguration du nouveau marché IGA Millen
C’est mercredi soir, 24 avril, qu’avait lieu l’inauguration officielle du marché IGA, situé à l’angle du boulevard Henri-Bourassa et de l’avenue Millen. Une haie d’honneur formée des employés du nouvel établissement accueillait les invités.
D’une superficie de
33 000 pieds carrés, la nouvelle épicerie offrira plusieurs nouveaux services à ses clients.
Rappelons que l’ouverture de cette grande surface alimentaire fait toutefois suite à la fermeture de l’épicerie IGA, du même propriétaire, située sur la rue Fleury Est, près de la rue St-Hubert. On se souviendra que les résidants de ce secteur ont vivement déploré la fermeture de ce marché d’alimentation dans leur secteur. Une autre bannière, du même groupe, mais plus modeste, est censée voir le jour sous peu.
Patrick David, le propriétaire, a toutefois mentionné à journaldesvoisins.com qu’avec une superficie de seulement 6500 pieds carrés dans l’ancienne épicerie dont il était propriétaire depuis trois ans, il n’aurait jamais pu réaliser ce qu’il souhaitait offrir comme concept à ses clients. (2013-04-26)
http://www.iga.net/fr/contact/trouver_un_magasin/0106_famille_p_david_ltee/
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BRÈVES…BRÈVES…BRÈVES…BRÈVES…BRÈVES…BRÈVES
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QUOI FAIRE DANS LE QUARTIER ?
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