Les Actualités du 26 juin 2015
Notre mission: bien vous informer!
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Inauguration d’une première rue piétonnière dans l’arrondissement
Cette rue piétonne temporaire, qui est la seule d’Ahuntsic-Cartierville, fait partie des cinq rues retenues cette année par la Ville de Montréal pour subir une transformation temporaire et devenir rues piétonnières.
Nature et culture
Les résidants sont invités à découvrir la rue piétonnière et à profiter d’un moment de détente au bord de la rivière des prairies tout en ayant la possibilité d’écouter occasionnellement de la musique ou d’assister à un spectacle de danse dans un environnement alliant nature et culture. Il y aura aussi une foule d’activités qui s’y dérouleront tout au long de l’été, telles : évaluations de la condition physique, chasses au trésor, yoga, cours de cardiovélo, volley-ball de plage, pique-nique en musique, Taichi, Zumba, jongleurs, cinéma en plein air, peinture, etc.
Le nouvel arboretum a également été inauguré le 23 juin par la plantation d’un pin blanc du Japon. Tout en étant le premier individu de son espèce planté à Montréal, il est tout de même le millionième arbre à être planté pour la science par l’organisme partenaire TreeDivNet.
L’arboretum – la première installation du genre en milieu urbain— est situé dans le parc Basile-Routhier face à la rue piétonnière. Le concept consiste en un parcours en forme de double spirale où les gens pourront marcher et se renseigner sur l’importance des arbres et de la biodiversité dans un environnement urbain. Vingt-sept espèces et variétés sont plantées pour offrir une biodiversité importante
Des cartes seront disponibles pour guider les résidants sur le circuit. L’installation est le fruit du travail du réseau IDENT qui étudie les effets et l’importance de la biodiversité sur le fonctionnement des forêts, en collaboration avec le Centre d’étude de la forêt de l’UQAM. (Par Philippe Rachiele) (2015-06-26)
Cliquez ici pour voir plus de photos de l’inauguration.
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Consultation publique à Cartierville
Pas d’unanimité pour le projet de revitalisation Laurentien-Lachapelle
Beaucoup de circulation et peu de place aux cyclistes
« Je suis heureuse, dit-elle, de voir enfin une volonté de faire avancer les choses dans un secteur qui en besoin, mais en même temps, il y a ce besoin de poursuivre la réflexion pour corriger certaines choses. Mais, a-t-elle averti, un tel projet (quand même 30 millions $) ne se fait pas sans impacts, et ne peut se concrétiser sans compromis ».
En gros, la ville et l’arrondissement prévoient un sens unique pour le boulevard Laurentien et la rue Lachapelle, moins de voies de circulation pour les autos, des couloirs réservés aux transports en commun, des trottoirs élargis et des feux de circulation tenant compte du temps nécessaire pour traverser, la plantation de 400 arbres dont plusieurs illuminés à l’entrée du pont, etc.
La consultation a permis de tâter le pouls des gens préoccupés par ce projet majeur. Certains applaudissent, d’autres le jugent carrément mauvais, voire inutile en temps d’austérité. Des interventions souvent musclées. Certains ne se sont pas gênés pour faire de l’âgisme (un projet pour les « vieux ») ou dénoncer avec véhémence les automobilistes de Laval, les folles vitesses sur les deux artères, allant jusqu’à évoquer le spectre d’une baisse des valeurs de leur propriété. Bref, des interventions souvent influencées par le syndrome « pas dans ma cour ».
Nombreux intervenants
Près de 120 personnes se sont pointées dans une salle du YMCA, lundi soir dernier, pour participer à une soirée d’information et d’intervention sur un projet dont on parle depuis 10 ans comme l’a si bien rappelé le conseiller du district de Bordeaux-Cartierville, Harout Chitilian, qui défend bec et ongles ce projet de revitalisation, avec son collègue responsable du transport au comité exécutif, Aref Salem.
Ces représentants politiques (le maire Pierre Gagnier est venu aussi faire un tour) ont écouté attentivement les interventions pendant une heure 30, après la présentation du projet par les hauts fonctionnaires de la ville.
Circulation et… vitesse
Pauline Carignan, une résidante du secteur, a parlé de « bruits horribles, de vitesse folle, excessive ». Un autre a même comparé Laurentien au circuit Gilles-Villeneuve, rien de moins. Mme Carignan, comme d’autres, exige des radars et une vitesse réduite. « Je souhaite vous proposer la création d’un comité de bon voisinage pour suivre l’évolution du projet », a-t-elle suggéré. Les travaux sont prévus sur une période de trois à quatre ans, mais ils seront faits par étape.
Problèmes limités
Plusieurs intervenants, surtouts demeurant près du pont Lachapelle, ont parlé de problèmes spécifiques, entre autres sur des rues adjacentes. Ils craignent les détours, une hausse de l’achalandage routier ou encore une baisse de la valeur des propriétés. D’autres s’interrogent pour les commerces. Des façades de commerces pourraient-elles être restaurées? D’autres ont pris la peine de se déplacer pour féliciter les instigateurs du projet dans un secteur qui en a bien besoin.
Une autre, une jeune femme du secteur n’a pas été tendre envers les automobilistes de Laval. « Pensez-vous qu’ils vont utiliser le transport en commun, ils ont l’automobile ancrée dans leurs gênes », a lancé Geneviève, visiblement à l’aise au micro.
Pistes cyclables protégées
Comme prévu, divers partisans du vélo dont Jean-François Pronovost, de Vélo Québec, et d’autres (voir l’édition de la semaine dernière) sont venus plaider pour une piste cyclable protégée sur les deux rues et non pas une seule piste qui serait sur une rue parallèle bien qu’elle mène directement à la gare Bois-Francs.
« Laurentien, c’est une zone de guerre, un tue-monde et il faut revoir l’approche », a soutenu M. Pronovost qui a fait en vélo le secteur. En réplique, un haut fonctionnaire de la ville aux transports, Guy Pellerin, a indiqué que la municipalité va tenter de faire amender le code de la route (à la fin de l’automne) afin que tout cycliste puisse circuler à gauche dans une voie à sens unique.
« Il vaut la peine de revoir le projet pour des liens cyclables sécuritaires, protégés a dit toutefois M. Pronovost, alors que l’on travaille sur un projet pour les 60 ou 75 prochaines années ». Lui et d’autres groupes plaident pour des corrections afin d’avoir les pistes cyclables protégées sur Laurentien et Lachapelle. (Par Alain Martineau) (2015-06-26)
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Consultation publique à Cartierville (2)
Le conseiller Chitilian et Montréal analyseront les requêtes des citoyens
« Un bel exercice démocratique», dit Harout Chitilian.
M. Chitilian, qui connaît fort bien le secteur, défend avec beaucoup de vigueur ce projet, flanqué du responsable du transport au sein du comité exécutif de la ville, Aref Salem. Mais celui qui est aussi, rappelons-le, le vice-président du comité exécutif a promis d’analyser avec les fonctionnaires de la ville les suggestions et commentaires qui ont été émis tout au long de la soirée, lundi dernier.
Harout Chitilian est intervenu au micro pour calmer le jeu ou pour faire un vibrant plaidoyer en faveur de l’utilisation du transport en commun, espérant surtout convaincre les Lavallois de sauter dans l’autobus, le train ou le métro. Un gros, un très gros défi…
Au journaldesvoisins.com, il s’est félicité d’avoir vu autant de monde se déplacer pour s’exprimer. Un bel exercice démocratique. « En grande partie, a signalé M. Chitilian, les gens accueillent favorablement le projet qui remet en question le statu quo actuel qui n’est plus tenable. Les gens ont fait des observations sur la vitesse, le comptage des véhicules et les porte-parole des groupes de cyclistes étaient présents. Mais des gens n’étaient peut-être pas bien renseignés surtout dans le secteur entre le pont Lachapelle et le boulevard Gouin. Il faut détailler ça », a-t-il mentionné.
Avertissement
Pour la prochaine étape, la ville devrait en théorie revenir avec certaines corrections. « On va analyser les commentaires et regarder la meilleure façon d’intégrer ces suggestions, a promis l’influent conseiller municipal. Une chose est sûre; il y a des travaux souterrains qui doivent être refaits. Alors, on fait ces travaux sans le projet ou avec. Ce n’est pas parfait, comme a dit une intervenante (Nathalie Fortin, la directrice générale du CLIC, le Conseil local des intervenants communautaires de Bordeaux-Cartierville), mais s’il manque certains éléments, il faut faire des compromis…
Prochaine étape
Les gens de la ville n’ont pas oublié de rappeler que, d’abord, le projet dans le secteur controversé visait les infrastructures souterraines. S’est ajouté, tant qu’à défoncer le sol, le besoin de se mettre au goût du jour. La population vieillit (un projet pour « vieux », ont osé dire deux intervenants lundi soir dernier), et deux résidences de gens âgés se trouvent près du pont Lachapelle. Ils ont besoin de traverser les rues et boulevards en toute sécurité.
De plus, les gens du quartier ont davantage le besoin de communiquer (il faut des lieux de « placoteries » comme une fonctionnaire a dit) et surtout, moins de bruit, moins d’autos et plus de transport en commun. Il faut penser santé aussi…
Et une ville se définit entre autres par son design urbain et nous avons une belle occasion d’agir dans un coin de la ville qui s’était surtout fait connaître par son parc Belmont, jadis. (Par Alain Martineau) (2015-06-26)
Travaux d’aqueduc sur St-Hubert
Bientôt la lumière au bout du tunnel
Mais la réfection de la chaussée durera tout l’été
Les opérations de réhabilitation d’aqueduc sur la rue St-Hubert sont presque terminées. « Cette semaine, on est en train de désinfecter la conduite réhabilitée pour assurer la qualité de l’eau potable qui y circulera », précise le relationniste de la Ville de Montréal, Philippe Sabourin.
Les travaux, qui ont commencé à la mi-avril 2015, visent à prolonger la durée de vie de la conduite d’aqueduc existante de 50 à 70 ans. Le procédé consiste à y insérer une membrane de polyester qui pourra mieux supporter les pressions auxquelles elle est exposée et ainsi éviter les fuites. Il s’agit de la technique du gainage.
« La semaine prochaine, poursuit Philippe Sabourin, une fois que les tests auront certifié la qualité de l’eau, on pourra rouvrir les entrées d’eau des citoyens ». Les résidants de cette section de la rue St-Hubert ont dû avoir recours à des conduites temporaires pendant la durée des travaux.
Réfection de la chaussée
Selon les informations fournies par la Ville de Montréal, les ouvriers procéderont dès cette semaine à la réparation de la chaussée en remblayant les puits d’accès à l’aqueduc qui ont été creusés. La réparation des nids-de-poule, nombreux sur cette section de la rue St-Hubert, n’est toutefois pas incluse dans le contrat.
« Ce ne sont pas les mêmes entrepreneurs qui s’occupent de ce genre de travaux, explique Philippe Sabourin. Mais les nids-de-poule sont souvent causés par l’infiltration d’eau, ça aide quand l’aqueduc ne fuit pas », souligne-t-il.
Toutefois, selon Info-Travaux, cette réfection est prévue au cours de l’été et est inscrite comme telle dans la liste des travaux en cours sur le site Info-travaux de la Ville de Montréal. Il est indiqué que la réfection de la rue St-Hubert se fera de la fin juin à la fin août.
D’autres chantiers sur Sauvé
Des travaux de reconstruction des trottoirs, des mails, des îlots, de l’éclairage et des feux de signalisation se poursuivent sur la rue Sauvé, entre les rues Berri et Saint-Charles. Comme Journaldesvoisins.com l’annonçait dans ses Actualités du 29 mai 2015, la fin de ces travaux est prévue pour la fin septembre 2015. Les équipes de travail seront sur place du lundi au vendredi, de 7 h à 19 h et ce, même durant les vacances de la construction.
Pour ce qui est de la portion de la rue Sauvé entre la rue Sackville et l’avenue Vianney, la réhabilitation de la conduite d’aqueduc a été terminée le 12 juin. (Par Raluca Tomulescu) (2015-06-26)
Pour en savoir plus sur la technique du gainage, cliquez ici.
Pour en savoir plus sur les travaux en cours dans Ahuntsic-Cartierville et à Montréal, cliquez ici.
« Fenêtre sur Ahuntsic »
Superbe murale annule graffitis!
Comme chaque été, c’est une brigade de quatre étudiants recrutés par Tandem qui s’occupe de nettoyer les graffitis sur les biens publics. Employés grâce à plusieurs subventions reçues par l’organisme, les jeunes sont embauchés pour huit à neuf semaines. Ils s’occupent, entre autres, du nettoyage des petits graffitis en veillant à utiliser un produit écologique qui n’endommage pas la surface d’origine. Cette année, le travail de la brigade d’Ahuntsic-Cartierville a commencé le 15 juin après une semaine de formation. Depuis, les jeunes sont à l’oeuvre pour nettoyer et faire briller lampadaires et autres bien publics.
Mais ce n’est pas tout, Ahuntsic-Cartierville innove et accueille pour la première fois une murale sur Fleury Est : une aide précieuse pour lutter contre les graffitis, comme nous l’expliquait Anthony Berzghal, responsable du projet chez Tandem : « Les murales sont des barrières contre les graffitis illégaux » soulignait-il. « Il y a une loi non écrite entre les graffeurs pour ne pas les vandaliser, ils respectent le travail qui a été fait ». Il a donc espoir que la murale de Fleury Est permette de réduire les tags dans l’arrondissement. Mais ce n’est pas le seul attrait d’une telle oeuvre rappelait M. Berzghal « une murale crée aussi un sentiment d’appartenance et de sécurité parmi les résidants du quartier ».
Réalisation
C’est La Promenade Fleury, partenaire du projet, qui a guidé Tandem dans le choix de l’immeuble qui accueillerait la murale, un critère essentiel pour la réussite du projet et l’octroi de la subvention par la ville centre. Les responsables du projet chez Tandem ont finalement fixé leur choix sur l’édifice d’Expertise Portes & Fenêtres (au 1500 rue Fleury Est) et ayant obtenu l’accord du propriétaire, ont pu lancer le projet. Le collectif A’shop, lui, a réalisé le dessin en collaboration avec Tandem et le propriétaire du bâtiment, qui a bien sûr eu son mot à dire.
Comme l’expliquait Gavin, responsable vente et marketing chez A’shop, « Le but de la murale, c’était de refléter l’esprit du quartier. On s’est aussi inspiré du bâtiment en lui-même pour le nom de l’oeuvre, puisqu’on l’a appelée « Fenêtre sur Ahuntsic » ». Le collectif, composé de plusieurs artistes, a réalisé des dizaines de murales à travers le monde, de Los Angeles à Paris. Mais pas besoin de traverser l’Atlantique pour admirer leur travail en dehors de Fleury Est : Notre Dame de Grâce accueille également plusieurs oeuvres du collectif.
Succès
En ce qui concerne la murale sur Fleury, le succès est au rendez-vous semble-t-il. Pendant toute la durée des travaux, mais également à l’occasion de la ventre-trottoir sur Fleury, de nombreux citoyens se sont arrêtés pour photographier l’avancement quotidien de la murale et discuter avec les artistes. « Les résidants nous ont fait de nombreux commentaires positifs, ils ont posé plein de questions, c’était vraiment le fun », racontait Gavin, de l’agence A’Shop. Aujourd’hui terminée, l’initiative a été plusieurs fois saluée sur les réseaux sociaux. Après ce premier succès, plusieurs nouveaux projets de murales sont en discussion, dont l’une devrait voir le jour dès la fin de l’été. (Par Gabrielle Ramain) (2015-06-26)
À l’église de la Visitation
Messe du 400e anniversaire
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Rassemblement d’Élie Kassissia
Selon lui, Mélanie Joly aura un faible pourcentage des voix parmi les 3500 membres du PLC dans Ah.-C.
Pourtant, les candidats des autres formations politiques au fédéral sont tous déjà sur le terrain. La haute direction du PLC n’a pas encore tranché alors que sept candidats sont pourtant en lice.
Élie Kassissia lui est prêt depuis longtemps. Vendredi dernier, il tenait un « pep talk » pour souligner le premier anniversaire de l’ouverture de son comité électoral sur le boulevard Salaberry. Une centaine de personnes, des proches de son organisation dont plusieurs issus des communautés culturelles de notre quartier, étaient présentes pour un « 6 à 8 ».
Joly peu populaire
Interrogé par journaldesvoisins.com, Élie Kassissia a estimé qu’environ 3500 membres du PLC dans Ahuntsic-Cartierville seront habilités à voter quand le parti aura finalement mis une date sur la convention, que d’aucuns prévoient entre le 15 et 31 août alors que le premier ministre Stephen Harper devrait se rendre au bureau du gouverneur général du Canada pour lui offrir sa démission quelque part entre la fête du Travail et la mi-septembre, pour des élections le lundi 19 octobre.
Mais selon M. Kassissia, « moins de cinq pour cent des gens qui se présenteront à l’assemblée » voteront pour Mélanie Joly, qui est arrivée tardivement dans la campagne, en février, après une belle bataille au municipal contre Denis Coderre notamment. Toutefois, il ne faut pas oublier qu’il peut y avoir plusieurs tours de scrutin étant donné que le candidat doit rallier plus de 50 % des voix.
Appel à tous
Avant que le score ne soit connu, M. Kassasia en appelle au ralliement des troupes. « Il faut élargir la base. Nous sommes sept, mais n’oublions pas que nous sommes des adversaires temporaires. Il est important d’être uni pour contrer les véritables opposants (NPD, PCC et Bloc) lors de la campagne fédérale », a averti celui qui semble dans le peloton de tête dans la course à l’investiture.
L’homme d’affaires ne semble pas impressionné quand Mélanie Joly affirme avoir parlé avec les divers leaders des communautés culturelles, notamment. « Moi, j’ai pris un café avec tous ces leaders, je suis actif depuis plus d’un an dans la circonscription et chaque lundi soir, les gens peuvent venir me rencontrer pour discuter », a dit celui qui veut ainsi prouver qu’il est accessible pour ses commettants. Il se dit donc très confiant pour la journée d’investiture quand finalement une date sera mise au calendrier.
Autres candidats
Les autres candidats, Viken Attarian, Grace Batchoun, Anthony Di Carlo, Norair Serengulian, Gilbert Thibodeau et Mélanie Joly, ont aussi obtenu le feu vert du parti pour être candidats. Les candidats tentent surtout d’obtenir de nouveaux membres pour la convention libérale.
Madame Grace Batchoun est intervenue récemment sur la place publique pour dire qu’elle se retirait « officiellement » de l’organisation Canadiens pour la justice et la paix au Moyen-Orient. Elle dit vouloir se consacrer, « aux fondements des valeurs libérales et à la course à l’investiture dans sa circonscription d’Ahuntsic-Cartierville ». (Par Alain Martineau) (2015-06-26)
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Hommage à Jean Doré
Maire de 1986 à 1994, il aura aussi accompli de belles choses pour Ah.-C.
Les funérailles civiques ont eu lieu lundi dernier dans un endroit qu’il a tant chéri, l’hôtel de ville de Montréal, devant 300 personnes, dont les ex-maires Pierre Bourque et Gérald Tremblay. Jean Doré, décédé peu de temps après Jacques Parizeau, aura lui aussi laissé sa marque dans Ahuntsic et Cartierville.
Près des gens et de son caucus
Témoin de cette époque ayant été élu au même moment avec M. Doré, sous la férule du Rassemblement des citoyens de Montréal (RCM), Pierre Lachapelle, conseiller dans Ahuntsic, n’a pas tari d’éloges à son endroit. « Jean Doré était un démocrate accompli. Il était en harmonie avec le RCM et ses militants, qui en avaient assez de l’approche autocratique du maire Jean Drapeau », a mentionné M. Lachapelle joint par journaldesvoisins.com.
« Il était une personne à l’écoute, disponible pour les élus, et il savait reconnaître la valeur des membres de sa formation, de son caucus. Il acceptait la critique et les débats. Une fois les débats conclus derrière les portes closes, les élus du RCM pouvaient exprimer leur point de vue personnel sur la place publique, sans se faire rabrouer par le maire » a-t-il également relaté.
Des réalisations dans Ahuntsic
Selon Pierre Lachapelle, le maire Doré, de concert avec d’autres conseillers du RCM, ont fait avancer les choses pour notre quartier. « Ahuntsic a profité comme les autres quartiers de Montréal d’un bureau Accès Montréal, qui était initialement situé dans l’édifice Albert-Dumouchel, angle Lajeunesse et Fleury », a rappelé l’ancien conseiller. La préservation des espaces verts était aussi à l’agenda du RCM qui était une formation progressiste.
« Dans le deuxième mandat (1990-1994) de l’administration de Jean Doré, l’administration municipale a officialisé la préservation du secteur boisé de Saint-Sulpice (angle Émile-Journault et Christophe-Colomb), en face du Centre Claude-Robillard » a renchéri M. Lachapelle.
Le parc Ahuntsic
Celui qui fut conseiller du RCM se souvient aussi de tout ce qui a été fait au parc Ahuntsic, l’un des poumons du nord de la ville, pour garantir son intégrité et l’améliorer. L’avenir du parc comme espace vert a été assuré durant les années du défunt RCM. « À la suite d’une importante consultation publique, un projet immobilier multifonctionnel de plus de 100 millions de dollars a été écarté. L’administration Doré a injecté plusieurs millions de dollars pour rénover les vieux équipements, et reverdir le parc » s’est-il rappelé.
M. Lachapelle a ajouté qu’une partie de l’espace récupéré par la fermeture du stationnement a permis la construction de l’étang artificiel comme le suggéraient les architectes paysagers de la Ville de Montréal, compte tenu que l’élément « eau » était absent du paysage du parc.
Pierre Lachapelle a mené un long combat pour la fermeture du stationnement du parc Ahuntsic et le prolongement du métro vers Laval. « Quelque 1 100 places “squattaient” le parc depuis 1966. C’est dans la foulée de la consultation publique que les citoyens d’Ahuntsic et l’élu que j’étais ont brandi la nécessité de prolonger le métro à Laval, un projet complètement absent des plans du gouvernement du Québec. Jean Doré appuyait cette idée. La bougie d’allumage est venue de Montréal, et non pas de Laval et du maire Vaillancourt. Bien entendu, ce dernier a reconnu l’avantage de ce projet pour sa ville et a surfé abondamment là-dessus ».
Au moment d’aller en ligne, nous n’avions pu joindre les ex-conseillers Pierre Bastien et Sylvie Lanthier.
Autres réactions
Le maire Denis Coderre a affirmé que Jean Doré a rouvert l’hôtel de ville aux citoyens. Le député fédéral de la circonscription de Saint-Laurent, Stéphane Dion, a affirmé pour sa part que Jean Doré avait apporté un vent de renouveau à l’hôtel de ville, notamment sur le plan démocratique. Le président de la Société de transport de Montréal, Philippe Schnobb, a souligné que Jean Doré avait mis en place les premières voies réservées au transport en commun à Montréal. (Par Alain Martineau) (2015-06-26)
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Ouverture de la Gare Sauvé le 6 juillet
Prendre le train pour aller au centre-ville!
Mais ajout de 10 $ à la carte Opus
La gare Sauvé sera enfin ouverte; elle se trouve à environ une minute de marche au sud de la station de métro du même nom, juste à côté du cimetière. Des supports à vélo sont installés près des quais et l’enseigne lumineuse de la gare est déjà en fonction. Mais la gare Sauvé, comme la plupart des autres gares, n’est pas encore accessible aux personnes à mobilité réduite.
Normalement, la gare aurait dû ouvrir ses portes en décembre, en même que les autres gares du Train de l’est, qui quitte Mascouche, mais certains problèmes ont retardé sa mise en service dans Ahuntsic et aussi à la gare de Pointe-aux-Trembles. Reste à voir maintenant combien de personnes vont préférer prendre le train et profiter de la lumière naturelle à celle du métro, artificielle.
Prévision et coûts
L’Agence métropolitaine des transports (AMT) prévoit qu’environ 700 personnes sauteront dans le train à Sauvé mais attention, il faudra sortir quelques dollars de plus si vous prenez le trio train, autobus et métro. Toutefois, la carte ordinaire pour le train seulement revient à 78 $.
Si vous avez une carte Opus mensuelle, vous devez la faire remplir pour l’utilisation du train dans la zone prévue. « La gare Sauvé se trouve en zone 1 », a indiqué Fanie Clément St-Pierre, conseillère, relations médias à l’AMT. Un client doit donc détenir un titre TRAM (Train-Autobus-Métro) ou seulement TRAIN de la zone 1 ou d’une zone plus élevée afin d’utiliser le train. Les titres valides uniquement pour le métro ou les autobus ne sont pas acceptés à bord des trains. Les titres trains peuvent être achetés par le biais de la carte OPUS », a-t-elle précisé au journaldesvoissins.com.
Ainsi, pour le tarif régulier, il faut ajouter 10 dollars par mois si on veut le trio. Pour un billet
unitaire c’est 4 $ (2.50 $ tarif réduit).
Huit départs
Huit départs sont prévus depuis la gare Sauvé pour aller en direction du centre-ville ou de Mascouche. Par exemple, les départs vers le centre-ville ou la Gare centrale ont lieu à 6 h 26, 7 h 4, 7 h 46, 8 h 16, 9 h 35, 14 h 16, 18 h 29 et 21 h 16.
Donc quatre trains à l’heure de pointe du matin. Pour une partie de hockey ou un spectacle au Centre Bell, on va arriver à temps, mais il faudra revenir en prenant le métro, car le dernier train est à 21 h 54. (Par Alain Martineau) (2015-06-26)
Pour plus d’infos, le Service à la Clientèle de l’AMT peut être joint au 514 287-TRAM.
Cliquez ici pour visiter le site de l’AMT, afin de consulter la grille complète des départs.
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Tout près d’Ahuntsic, du 1er au 12 juillet
La TOHU sera complètement cirque
La grande salle circulaire de la métropole, à deux pas d’Ahuntsic-Cartierville, recevra la troupe australienne Circa! qui offrira Beyond. Après ce spectacle, le collectif québécois Machine de Cirque, créé en 2013, se pointera avec son dernier bébé.
Circa en folie
Dans Beyond, présenté jusqu’au 5 juillet, huit artistes musclés font dans la démesure en s’éclatant dans une prestation de style cabaret, avec une touche « sexy », nous dit-on. Selon les concepteurs, les spectateurs apprécieront l’univers fantaisiste de mascottes de lapins et de prestidigitation de cube Rubik.
Machine de cirque
Du 8 au 12 juillet, toujours à la TOHU, les visiteurs pourront voir cinq maniaques du groupe Machine de cirque, ayant pour mission d’en faire voir de toutes les couleurs. Machine de cirque est un organisme sans but lucratif qui a pour mandat de rassembler les différents acteurs du milieu des arts et de la technologie autour de projets de production de spectacles de cirque.
Dans le spectacle à l’affiche, des artistes survoltés sautent et pédalent dans un monde empreint de poésie. Un multi-instrumentiste tout aussi girouette s’occupe de la musique.
Week-end cirque
Le territoire TOHU sera complètement festif pour tout le monde les samedi 4 et dimanche 5 juillet pour célébrer Montréal complètement cirque. Sous le coup de 13 heures, samedi, il y aura des ateliers participatifs afin d’en apprendre plus sur la jonglerie, le diabolo, le trampoline, ou le hula hoop. Les visiteurs pourront ainsi jouer à l’acrobate, de façon sécuritaire. Un atelier de fabrication de balles de jongleries devra ravir jeunes et moins jeunes. De l’animation est prévue en après-midi, avec présence d’une fanfare. Par ailleurs, on pourra voir aussi en après-midi la prestation de THROW2CATCH. Trois acrobates mêlent leurs origines culturelles pour faire naître une nouvelle création.
Dimanche en hauteur
Le lendemain, on remet ça. Pour la première fois à Montréal, les 150 Castellers de la Vila de Gràcia de Barcelone bâtiront une tour humaine de huit étages, de quoi aussi donner le vertige aux spectateurs. Ce groupe catalan composé de gens de tous âges veut ainsi partager les valeurs d’unité, de dépassement, et de courage. Toujours dimanche, le grand Magnus et le petit Manu offriront un spectacle original pour toute la famille.
Spectacles un peu partout
Ceux et celles qui aiment voir en action des artistes circassiens seront donc bien servis avec près de deux semaines de spectacles un peu partout, comme à L’Espace GO, à l’Olympia, ou même au Théâtre de Quat ’Sous. Cette année, des troupes venant de la Suède, de Finlande, de France, d’Australie, d’Espagne, et du Québec seront de la partie en salle et aussi dans la rue, dans plusieurs quartiers de Montréal. Mais rien n’a été prévu à l’intérieur de notre arrondissement.
Pour plus d’infos, on peut consulter le site le http://tohu.ca/fr/billetterie/ Des rabais sont consentis selon votre groupe d’âge. Il y aussi le site montrealcompletementcirque.com pour en savoir davantage sur les événements. (Par Alain Martineau) (2015-06-26)
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BON À SAVOIR
Consommation d’alcool dans les parcs, ici
Interdit, avec ou sans nourriture
Une règle qui vaut pour tous les parcs montréalais, sauf dans des cas très précis, dont bien évidemment ceux de l’arrondissement, et qui est régie par un règlement municipal.
Ainsi, selon le PDQ 27, ce règlement prévoit une amende de 100 $ pour les contrevenants, amende à laquelle viennent s’ajouter d’autres frais. Soulignant que les parcs sont un lieu pour avoir de la quiétude, profiter de la verdure et non un endroit pour consommer de l’alcool en tant que tel, le PDQ 27 a confirmé que cette réglementation valait aussi bien pour l’alcool consommé seul, qu’en accompagnement d’un pique-nique. Le poste de quartier a en outre rappelé que la réglementation sur les parcs prévoit également que, pour des raisons de sécurité publique, ceux-ci sont fermés entre minuit et six heures du matin, et que là encore les contrevenants à ce règlement s’exposent à des amendes.
À noter que les règlements municipaux valent pour tous les arrondissements de l’île, mais que chacun d’entre eux a une certaine marge de manœuvre pour leur application sur son territoire. (Par Rabéa Kabbaj) (2015-06-26)
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Swignez votre compagnie!
On a célébré de diverses façons la Fête nationale au parc Ahuntsic le 23 juin
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Bilan de l’usage de l’eau potable
Les deux usines qui alimentent Ah.-C. en eau ont vu baisser leur production par habitant à son niveau d’il y a 40 ans
« À la lumière du Bilan de l’usage de l’eau 2014, je constate avec fierté le résultat des efforts de réfection des infrastructures de l’eau à Montréal. De toutes nos réalisations, je tiens à souligner la baisse marquée (-22 %) de la production d’eau, par personne par jour, par rapport à 2001. La mise en œuvre de la Stratégie montréalaise de l’eau a donc permis d’atteindre – deux ans avant l’échéance de 2017 – l’objectif de réduction de 20 % fixé par le gouvernement du Québec », a déclaré Chantale Rouleau, responsable de l’eau et des infrastructures de l’eau, comme on peut le lire dans le communiqué de la Ville.
Réalisations marquantes
Avec une production d’eau potable pour l’agglomération qui a diminué de 16 % depuis 2001 et une diminution de 22 % – depuis 2001 également – de la quantité d’eau distribuée par personne, Montréal a donc atteint encore plus rapidement qu’escompté cet objectif. La production d’eau des principales usines de Montréal, Atwater et Des Baillets – qui alimentent également notre arrondissement – est quant à elle redescendue à ce qu’elle était il y a 40 ans soit un peu plus de 1,5 million de mètres cubes par jour en 2014, contre des « des pointes de production de plus de 1,8 million de mètres cubes d’eau par jour entre 1988 et 2001 ».
Concernant la réfection du réseau de l’aqueduc montréalais, le rapport relève également l’atteinte d’un « taux record de renouvellement du réseau d’aqueduc de 1,3 % (soit plus de 57 km de conduites primaires et secondaires renouvelées en 2014 et plus de 300 km depuis 2006) ».
Au chapitre des réalisations notables, ce rapport souligne également une diminution de 3 % du taux de fuites – estimé maintenant à 30 % – par rapport à l’estimation précédente et une « recherche systématique de fuites faite sur 72 % du réseau d’aqueduc secondaire ». Deux cent soixante-dix fuites ont ainsi été détectées avant leur apparition en surface, note le bilan, qui souligne par ailleurs « l’installation de 4 723 compteurs d’eau dans les industries, commerces, institutions » et la « mise en application des nouvelles dispositions réglementaires favorisant des comportements plus responsables quant à l’usage de l’eau ».
Des efforts qui s’inscrivent dans le cadre de la Stratégie montréalaise de l’eau depuis 2011 et qui visent notamment à satisfaire aux exigences de la Stratégie québécoise d’économie d’eau potable du ministère des Affaires municipales et de l’Occupation du territoire.
Efforts à poursuivre
Si la consommation montréalaise est passée de 903 litres par personne par jour à l’échelle de l’agglomération en 2013, à 873 litres par personne par jour en 2014, les Montréalais n’en demeurent pas moins « les champions québécois du gaspillage de l’or bleu malgré l’amélioration importante du bilan depuis 15 ans », comme le notait La Presse dans un récent article.
Dans son communiqué, la Ville a pour sa part annoncé un investissement de « quelque 1,1 milliard de dollars supplémentaires pour maintenir notre engagement envers la conservation de la ressource. Nous poursuivrons cet effort collectif pour bien gérer nos usines et canalisations, car cela a une répercussion positive et directe sur notre environnement », comme l’a souligné Mme Rouleau lors du dévoilement du bilan. (Par Rabéa Kabbaj) (2015-06-26)
Pour poursuivre sur ce sujet, quelques liens vers de précédentes Actualités de journaldesvoisins.com sur l’eau dans l’arrondissement :
Actualités du 6 février 2013
Actualités du 8 mars 2013
Actualités du 15 mars 2013
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Vol de fils de cuivre
Les paratonnerres en font aussi les frais
C’était à l’été 2010. Manuel Fonseca s’en souvient bien. Les fils de cuivre provenant des paratonnerres installés aux quatre coins du toit de l’église où il est marguillier avaient été coupés et volés. « Les câbles étaient accessibles, ils descendaient le long des murs de pierre de l’église jusqu’au sol », raconte le vice-président du Conseil de la Fabrique Saint-Paul-de-la-Croix située sur la rue Fleury Est.
Peu de temps après le vol, M. Fonseca a appelé l’entreprise qui avait installé le matériel, Paratonnerre Montréal Inc., située à Chambly. « Ils ont sécurisé les fils de cuivre dans un tuyau d’acier et ça a réglé le problème », affirme-t-il.
Voleurs découragés
Si le problème s’est réglé à la Paroisse Saint-Paul-de-la-Croix, d’autres clients de la compagnie ont eu moins de chance. « On a changé de méthode depuis, car les voleurs ont trouvé comment briser le tuyau d’acier », explique Richard Bourdeau de Paratonnerre Montréal inc.
À présent, l’entrepreneur emprisonne les fils de cuivre dans un tube de polymère qu’il remplit de béton, jusqu’à 10 pieds de haut. « C’est le troisième été que j’utilise cette méthode et je n’ai pas encore eu d’appel de réparation. La technique semble décourager les voleurs », précise celui qui a dû revisiter une trentaine de clients de Montréal et de ses environs, dans la dernière année, pour réhabiliter des paratonnerres endommagés par des voleurs de cuivre.
Mais alors, pourrait-on utiliser un procédé similaire pour protéger les lampadaires dans les parcs? Cela est peu probable, selon Richard Bourdeau, parce qu’il faut tenir compte du câblage d’alimentation.
Tige cuivrée
Au cours des dernières semaines, le cuivre ne se retrouvait pas seulement dans les paratonnerres de la Paroisse Saint-Paul-de-la-Croix. À leur grand étonnement, des membres de la rédaction de journaldesvoisins.com ont aperçu une tige cuivrée haute d’environ sept pieds plantée sur son terrain, non loin de l’intersection des rues Fleury et de la Roche.
Questionné à ce sujet, Manuel Fonseca a précisé que la tige en question a servi de mise à la terre lors d’une série de tournages publicitaires qui se sont déroulés dans le secteur et qui ont nécessité beaucoup d’équipement électrique. Il s’est empressé de la retirer de son emplacement tout de suite après notre appel.
La qualité est dans les fils
Rappelons que le cuivre est un métal très utilisé grâce à ses propriétés de conduction de chaleur et d’électricité. Les voleurs s’en emparent pour le revendre. Selon un article publié sur radio-canada.ca en 2013, la meilleure qualité de cuivre se retrouve dans les fils, ce qui explique pourquoi les installations des services publics sont souvent la cible des voleurs. (Par Raluca Tomulescu) (2015-06-26)
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Nouvelle plateforme Vue sur les contrats
Comment ça marche?
Pour la conseillère Émilie Thuillier, présidente de la Commission sur l’examen de l’octroi des contrats, il s’agit d’un premier pas, mais insuffisant
Prenant place dans le cadre du plan d’action Montréal, Ville intelligente et numérique, cette plateforme vise à rendre accessible et compréhensible aux citoyens la réalité municipale, tout en s’inscrivant dans une volonté de transparence de la Ville de Montréal. Lancé il y a deux semaines, par Harout Chitilian, vice-président du comité exécutif de la Ville de Montréal, responsable notamment des technologies de l’information et de la Ville intelligente, et conseiller du district Bordeaux-Cartierville, ainsi que par Lionel Perez, membre du comité exécutif, responsable des infrastructures, de la gouvernance, de la démocratie et des relations gouvernementales, ce projet constitue d’ailleurs l’un des 70 projets du Plan d’action 2015 – 2017 Montréal, ville intelligente et numérique.
Accessible sur Internet à l’adresse suivante (ville.montreal.qc.ca/vuesurlescontrats), cet outil de visualisation permet de retrouver les données portant sur les contrats octroyés depuis 2012 par le comité exécutif, le conseil municipal et le conseil d’agglomération. « On y retrouve également les contrats octroyés par les fonctionnaires, et ce, autant pour la Ville de Montréal que pour l’agglomération. Vue sur les contrats comprend également un tableau indiquant le nombre et le montant total de contrats octroyés pour chaque mois depuis janvier 2012 », peut-on ainsi lire sur le portail de la Ville au sujet de ce nouvel outil. Les contrats s’y retrouvent également répertoriés par domaine d’activités (18 au total): Arrondissements, Communications et relations publiques, Développement économique, etc…
Ainsi, pour exemple, en tapant « Ahuntsic-Cartierville » et en cochant la catégorie « Arrondissements », il est possible d’avoir accès aux contrats octroyés par l’arrondissement, d’en connaître le montant, la date, la répartition ou encore la finalité.
Modus operandi
Pour faire des recherches, plusieurs possibilités s’offrent aux citoyens, qui peuvent inscrire le nom d’un fournisseur ou d’un service corporatif de la Ville, en saisissant des mots clés ou encore, en appliquant des filtres. L’outil permet de visualiser les résultats dans un graphique dynamique, et ceux-ci peuvent également être téléchargés dans différents formats. Pour vos premiers pas, notez qu’une capsule vidéo est disponible sur le site pour vous guider.
« Les citoyens qui voudront pousser leurs recherches plus loin ont accès à une interface de programmation (« API ») qui permet d’automatiser les requêtes, à partir du site ville.montreal.qc.ca/vuesurlescontrats/api. La documentation de l’API est également disponible dans le portail des données ouvertes : donnees.ville.montreal.qc.ca/dataset/contrats-et-subventions-api», souligne par ailleurs le portail de la Ville.
À noter que cette plateforme utilise les fichiers disponibles sur le portail des données ouvertes de la Ville de Montréal, lesquels proviennent de différentes sources, notamment des systèmes financiers de la Ville et de l’outil de gestion des dossiers décisionnels utilisé par les élus montréalais. Construit sur du logiciel libre, ce nouvel outil est accessible tant par ordinateur que sur les tablettes IOS et Android.
Pas de vue d’ensemble
Selon Émilie Thuillier, conseillère du district Ahuntsic et présidente de la Commission sur l’examen de l’octroi des contrats de la Ville de Montréal, cette plateforme est intéressante pour le grand public, et il s’agit d’un premier pas. Toutefois, elle souligne que c’est nettement insuffisant, dans une entrevue accordée au journal Métro, en précisant que la plateforme est « informationnelle », mais qu’elle n’assure pas le suivi nécessaire après l’octroi d’un contrat, notamment. (Par Rabéa Kabbaj et Christiane Dupont) (2015-06-26) |
JARDINS ET POTAGERS DE PATRICK
Une plante indigène pour la Saint-Jean
Pour cette Saint-Jean, j’ai opté pour une plante bien québécoise (quoiqu’elle ne pousse pas qu’exclusivement au Québec) qui se retrouve dans presque toutes les régions de la Belle Province. Bien connue des Amérindiens, qui en savouraient les fruits bien avant que l’homme blanc lui appose son nom latin, cette plante gagnerait à être redécouverte. Arbustive ou arborescente, on en compte sept à huit espèces au Québec. En raison de multiples hybridations, il est devenu très difficile de différencier une espèce d’une autre. Comptant une trentaine d’espèces en tout, la très grande majorité est originaire d’Amérique du Nord. Les racines étymologiques de son nom sont, en revanche, françaises, voire provençales et le nom se traduit en français par le mot « pomme ». Avez-vous deviné de quelle plante il s’agit?
Trois saisons de beauté
Hautement ornementale, elle est d’intérêt sur trois saisons. Tôt au printemps, ses fleurs blanches à cinq pétales étoilées trahissent son identité, avant même que ses feuilles ne se soient déployées. À l’automne, ses feuilles ovales, caduques, virent du vert à un flamboyant rouge cuivré. L’été, ses fruits, de petites baies rouge violacé, volent la vedette et viennent choir, en un pur délice, contre d’avides pupilles gustatives. De la famille des Rosacées, ses fruits se comparent aux bleuets, quoiqu’ils soient, à mon sens, plus sucrés et moins juteux que ces derniers. On les connaît aussi sous l’appellation de « petites poires ». Alors?
Mon pays, c’est l’hiver
Aimant les sols acides, neutres ou alcalins, elle est évidemment très rustique et supporte très bien les grands froids. Elle peut être cultivée en haie libre ou en massif arbustif, quoiqu’’elle triomphe très élégamment en isolé. Elle préférera le soleil, mais se porte très bien à la mi-ombre et les pollinisateurs viennent la visiter abondamment. Au port érigé souvent multitroncs, sa taille varie entre trois et dix mètres. Elle est sensible à la sécheresse et bénéficierait ainsi d’un paillis à son pied. Elle est présentement en fruits et quoique ceux-ci profiteraient encore de quelques jours de maturation, dépêchez-vous de les déguster, car sinon les oiseaux se feront un plaisir de le faire avant vous!
Il s’agit de l’amélanchier (Amelanchier sp.), bien sûr! Ses fruits, ou amélanches sont savoureux en tartes ou en confitures, en accompagnement du gibier, mais quant à moi, je préfère, de loin, les savourer directement de l’arbre!
Au plaisir de faire votre connaissance dans un potager près de chez nous!
Votre fermier urbain,
Patrick De Bortoli
N.D.L.R. : Nous vous rappelons que vous pouvez faire parvenir vos questions sur l’horticulture ou les problèmes que vous rencontrez en jardinant ou en embellissant votre terrain. Écrivez à votre chroniqueur en horticulture préféré, à : journaldesvoisins@gmail.com
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Artisans du JDV sur FLO et La Promenade
Tirage: et les gagnants sont…
Avec des représentants de son conseil d’administration, de ses chroniqueurs et journalistes, de même qu’avec les membres fondateurs, ainsi que des étudiants résidants d’Ahuntsic-Cartierville embauchés pour l’occasion, journaldesvoisins.com a fait le plein d’abonnés! Ainsi, près de 250 personnes ont signifié leur intérêt pour ajouter leurs noms à la liste d’envoi des Actualités Web du vendredi, ce qui porte le nombre de ses abonnés à plus de 2000 résidants.
Par la même occasion, journaldesvoisins.com faisait tirer différents chèques-cadeaux avec la participation de quatre commerçants : Panier Santé, la crèmerie Virevent, le Café Romarin et la Chocolaterie Bonneau.
Une douzaine de participants au tirage ont mérité ces prix. Ce sont : Diane Patenaude, Jacques Prouitte, Josée-Anne Lapierre, Mathieu Seechi, Dominic, Johanne Duquette, Dannie Richard, Véronique Brodeur, Amélie Brunet-Labonté, Cecilia Cruz Flores, Halima, Mounir Safi, et René Lahaie.
Toutes nos félicitations aux heureux gagnants! (C.D. et G.R.) (2015-06-26)
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LETTRES OUVERTES
Commentaire au sujet de Votera, votera pas, et pourquoi?, la chronique politique Elle tournera la terre, de Diane Éthier, dans notre magazine estival
Par Gilles Mercier
État des lieux, constats et désolation sur le sort réservé au patrimoine du Sault-au-Récollet et, plus largement, à celui d’Ahuntsic-Cartierville
Par Cité Historia et 30 signataires
UN MAGAZINE À SAVOURER TOUT L’ÉTÉ
Journaldesvoisins.com, le mag, pour vous!
Plusieurs de nos journalistes sont également issus de la relève: une relève talentueuse que sont les Rabéa, Elizabeth, Raluca, Mélanie et autres! Avec la nouvelle mouture de journaldesvoisins.com, le mag, vous pouvez faire connaissance avec tout ce beau monde, en photos!
La distribution est terminée sur le territoire d’Ahuntsic. À titre de projet-pilote, nous en avons distribué dans une petite de Bordeaux-Cartierville. Vous pouvez consulter la version pdf (voir plus bas).
Au menu des chroniques et des articles sur: le voisin idéal; le 100e anniversaire du génocide arménien que les descendants ne veulent pas voir tomber dans l’oubli; les 30 ans de La Promenade Fleury; le mystère des dates de péremption; la nouvelle exposition de Cité historia; des oasis dans les déserts alimentaires; une présentation de Leo Fiore, dg de Tandem, et autres.
Faites-nous part de vos commentaires!
(C.D.)
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BRÈVES…BRÈVES…BRÈVES…BRÈVES…BRÈVES…BRÈVES…
Une collecte est en vigueur à l’arrondissement d’Ahuntsic-Cartierville : la collecte des résidus de construction, de rénovation et de démolition (CRD) et encombrants valorisables et non-valorisables. Détails ici. (Source : Arrondissement)
Que ce soit pour jouer au tennis, au soccer, au football ou encore pour vous rafraîchir dans une de nos piscines ou pataugeoires, visitez les différentes installations de l’arrondissement. Consultez le Bulletin aux pages 10, 11 et 26 pour connaître l’horaire et les emplacements. (Source : Arrondissement)
Jusqu’au 31 octobre, les citoyens d’Ahuntsic-Cartierville pourront faire leur marché de fruits et légumes frais, locaux et à prix abordables près de chez eux. Pour la troisième année, la camionnette du Marché Ahuntsic-Cartierville (le Marché mobile) se déplacera dans une vingtaine d’emplacements de l’arrondissement du mardi au samedi, afin d’approvisionner en produits de saison les communautés du quartier. Créé en 2011 par une concertation d’organismes communautaires,le Marché Ahuntsic-Cartierville est une entreprise d’économie sociale ayant pour mission de faciliter l’accès aux aliments sains et locaux dans l’arrondissement. Son circuit du Marché mobile permet une meilleure proximité avec la clientèle et une consommation de proximité dans le quartier.
Plus d’infos sur le site de ville en vert!
Horaire du marché mobile :
– mardi, mercredi, jeudi, vendredi parvis du métro Sauvé
de 15h à 19h: parvis du métro Sauvé
de 16h à 18h: YMCA Cartierville
– mercredi
de 9h30 à 11h: Villa Raimbault
– jeudi
de 9h30 à 11h: Résidences Roch Pinard
– vendredi
de 11h à 13h: CSSS Cartierville
de 17h à 19h: Boutique l’Escale Verte
– samedi
de 10h à 11h30: Parc des Hirondelles (Fleury Est)
de 14h30 à 16h: Bibliothèque Ahuntsic (10300, rue Lajeunesse)
(Source : Ville en vert)
LE COIN COMMUNAUTAIRE
1. Améliorer le sentiment de sécurité des aînés : la création d’un réseau de sociabilité permettra de briser l’isolement social des personnes âgées dans le secteur Laurentien-Grenet, augmentant ainsi leur sentiment d’appartenance à la communauté.
2. Créer un échange intergénérationnel : démystifier les jeunes et sensibiliser les aînés sur l’utilisation de technologies modernes.
3. Agir sur la sécurité des aînés : prévenir la criminalité chez les aînés en offrant diverses séances d’information sur la sécurité au quotidien.
Pour participer, appeler au 514 335-0545 (Source : Tandem)
Le CANA vous propose des ateliers de conversation durant tout l’été pour parfaire votre français! Les ateliers auront lieu les lundis de 10 h à midi et débuteront le lundi 6 juillet jusqu’au 24 août 2015 (8 semaines). Prix: 5 $ pour toute la session. Les inscriptions se font dès maintenant. Pour les inscriptions et pour plus de renseignements veuillez appeler au (514) 382-0735 poste 225. Le CANA est situé au 10780 rue Laverdure, métro Henri Bourrassa. Pour en savoir plus, visitez notre site web http://www.cana-montreal.com ou notre page Facebook. (Source : CANA)
LE COIN DES COMMERÇANTS
LA PROMENADE FLEURY
La Promenade Fleury
invite les résidants à ses soirées ciné-théâtre. Les soirées auront lieu dans le stationnement de l’église Saint-Paul-de-la-Croix donnant sur l’avenue Georges-Baril !Voici la programmation:
26 juin, 21 h: soirée ciné-famille: Les nouveaux héros!
3 juillet, 21 h: soirée documentaire avec L’Or du Golfe, un film de Ian Jaquier avec Kevin Parent
10 juillet, 18 h 30: soirée théâtre avec le théâtre du 450 présentant la pièce Le Mystère du Graal
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FLEURY OUEST
Beau succès de la Fête méditerranéenne le 20 juin
QUOI FAIRE…QUOI FAIRE…QUOI FAIRE…QUOI FAIRE…
Bossa 1 (Soirée Brésilienne). Laissez-vous emporter par les rythmes du Brésil avec le quatuor « Bossa 1 ». Ce quatuor est composé par quatre jeunes musiciens unis par leur passion envers la musique brésilienne (bossa-nova, samba, MPB, etc…) et tout un bagage d’expertise. Réunissant leurs diverses connaissances et expériences musicales ils vous emporteront dans un voyage dynamique chanté en portugais et métissé de rythmes brésiliens. Pour vous gâter laissez-vous balancer par la voix de Suzi Silva, la guitare de Frank O’Sullivan, la basse de Rui Abreu et la batterie de Aquiles Melo. Entrée libre. (Source : Le Rendez Vous du Thé)
Sortie ornithologique au parc de la Frayère (Boucherville) Rendez-vous au chalet d’accueil du parc de l’Île-de-la-Visitation. Gratuit pour les membres. 3 $ pour les non membres. Covoiturage disponible 5 $. Apportez votre lunch. Info : coamessages@gmail.com ou 438 338 4138 (Source : COA)
Mémorables Mélodies. Pourquoi ne pas profiter d’une Entrée libre pour venir entendre quelques-unes des mélodies les plus populaires du répertoire de la francophonie. Au programme, Sardou, Fugain, Lama, Leclerc, Ferland, Beau Dommage et plusieurs autres grands noms de la chanson. Joignez-vous à Jocelyn St- Jean, chanteur-guitariste, et détendez-vous tout en passant une soirée mémorable. Souper-Spectacle 42.95$. (Source : Le Rendez Vous du Thé)
Soirée Ambiance Jazz. Au cours des deux dernières année, le guitariste Mike Gauthier s’est concentré dans l’art du trio de guitare jazz (guitare, basse & batterie), il décide d’exploiter cet art lors de sa présentation au Rendez-Vous Du Thé. Afin de rendre sa soirée inoubliable, Mike sera accompagné de Jean Cyr à la basse et Maude Bastien à la batterie. Entrée libre. (Source : Le Rendez Vous du Thé)
Sissan (Musique du Burkina Faso) par Sarah Milis, Daouda Sanou, Julien Bidar et Benjamin Tremblay-Carpentier. Sissan est né de l’heureuse rencontre entre des musiciens en quête de découverte, d’harmonie et de renouveau. Fortement inspirés des rythmes et des mélodies Burkinabés, ils s’autorisent par ailleurs quelques incursions dans l’improvisation plus libre et les formes occidentales, offrant un métissage à l’équilibre fragile qui altère nos perspectives et notre rapport à la musique. Entrée libre – contribution volontaire. (Source : Le rendez-vous du thé)
La magie de l’Orient par Roxanne et Sonia. Roxane et Sonia sont des passionnées de la danse orientale. Elles dansent et additionnent les occasions de partager leur art depuis maintenant plus de 15 ans. Tout au long de cette soirée féerique, des invités surprise se joindront à elles, pour vous faire voyager à travers un univers féérique où les danses folkloriques et classiques du Moyen-Orient raviront petits et grands. Laissez-les vous transporter dans un univers où la symbiose de la musique et la danse deviennent magie ! Souper-Spectacle 39.95$ (Source : Le rendez-vous du thé)
Hommage à Piaf par Angélique Duruisseau & Marc-André Cuierrier. La même intensité, le chagrin dans la gorge et l’amour qui déborde, la voix qui gonfle et pour frissonner avec elle les beautés de la vie! Angélique fait revivre le répertoire de la grande Édith Piaf! La foule, Padam, Je ne regrette rien… accompagnée de Marc-André Cuierrier au piano. Souper-Spectacle 44,95$ (Source : Le rendez-vous du thé)
Les lundis de Sergeï Trofanov par Sergeï Trofanov. Le violoniste et chanteur Sergeï Trofanov vous propose une magnifique soirée dans une ambiance romantique, légère et joyeuse! Son répertoire international de chansons, de musiques de films et d’airs populaires, interprétés dans des styles musicaux variés, produit immanquablement une atmosphère des plus chaleureuse. Entrée libre – contribution volontaire. (Source : Le rendez-vous du thé)
Spectacle gratuit de Mara Tremblay au parc Ahuntsic. Le parc Ahuntsic recevra la visite de Mara Tremblay et son nouveau spectacle “À la manière des anges” le lundi 6 juillet à 20 h. Dans ce spectacle en formule band, l’artiste revient à ses origines avec le son qui a fait sa marque : un rock musclé illuminé de country, de folk et de sonorités modernes. Une suite attendue qui ne décevra ni ses fidèles ni ses nouveaux fans! Cet été, comme le veut la tradition depuis 1924, Les Concerts Campbell* offrent des spectacles gratuits dans les parcs de Montréal. Dix artistes se produiront aux quatre coins de la Ville. Toujours décontractées, ces rencontres culturelles gagnent à être savourées en famille ou entre amis ; les pieds dans l’herbe, devant un pique-nique à partager! Visitez la page Facebook de l’événement. (Source : Arrondissement)
Hommage à Leclerc et Vigneault par Renald Ouellet. Auteur-compositeur-interprète, Renald Ouellet vous invite à redécouvrir les plus beaux textes de Félix Leclerc et de Gilles Vigneault. Tout en douceur, au piano, il vous interprète, à sa manière, les plus grands succès de ces deux grands poètes québécois. En toute intimité, il vous présente également quelques unes de ses chansons originales. Entrée libre-contribution volontaire. (Source : Le rendez-vous du thé)
Mes coups de coeur de la chanson française par Reynald Précourt. Avec son piano, sa voix, sa bonne humeur et sa présence sur scène, il se présentera devant vous avec son piano et, pour l’occasion, a choisi dans son immense répertoire quelques uns de ses coups de cœur parmi les Grands de la chanson française: Aznavour, Bécaud, Piaf, Ferrat, Delpech, Trenet, Dassin, Lama, Duteil, Brassens, Brel, et comme si ce n’était pas assez, ajoutons Félix Leclerc et Claude Léveillé au programme! Souper-Spectacle 42.95$ (Source : Le rendez-vous du thé)
Mémorables Mélodies par Jocelyn St-Jean. Pourquoi ne pas profiter d’une Entrée libre pour venir entendre quelques-unes des mélodies les plus populaires du répertoire de la francophonie. Au programme, Sardou, Fugain, Lama, Leclerc, Ferland, Beau Dommage et plusieurs autres grands noms de la chanson. Joignez-vous à Jocelyn St- Jean, chanteur-guitariste, et détendez-vous tout en passant une soirée mémorable. Entrée Libre- contribution volontaire. (Source : Le rendez-vous du thé)
Hommage à Claude Dubois par Normand Meilleur. Né à Montréal, Normand meilleur grandit dans une famille qui adore la musique entre une mère fan de Frank Sinatra et Aznavour et un père fan d’Elvis Presley et Gerry Boulet. Influencé également par de grands interprètes de la chanson Québécoise tels que Claude Dubois, Normand Meilleur vous propose un “Coup de chapeau à Dubois” en interprétant avec brio et professionnalisme un spectacle hommage à son univers. Souper-Spectacle 44,95$ (Source : Le rendez-vous du thé)
Autres idées d’activités sans date précise
au parc-nature de l’Île-de-la-Visitation. C’est une heure
de randonnée agréable et stimulante à travers les sentiers. Chacun se balade à
son rythme, en bonne compagnie et dans la bonne humeur. C’est
gratuit pour les membres de l’ARA (la carte pour l’été ne coûte que $ 6). Rien à
réserver: il suffit de se présenter. Les lundis matins à 9 h 30 (sauf
en cas de pluie) au bistro du parc de la Visitation. (10897
rue du Pont, qui se prend par le boulevard Gouin, un peu à l’ouest de De
Lorimier). (Source : ARA)
Numéros de téléphones utiles
Bibliothèque d’Ahuntsic : 514 872-0568
Bibliothèque de Cartierville : 514 872-6989
Bibliothèque de Salaberry : 514 872-1521
Café de Da : 514 872-5674
Le Rendez-vous du thé : 514 384-5695
Maison de la culture : 514 872-8749
* Les renseignements de la section « Quoi faire » sont publiés à titre indicatif. C’est avec plaisir que journaldesvoisins.com corrige les coquilles, mais il ne peut être tenu responsable d’erreurs ou d’omissions.
En 2015…
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Rédactrice en chef : Christiane Dupont
Rédacteur en chef adjoint : Alain Martineau.
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Journalistes, version Web : Christiane Dupont, Philippe Rachiele, Alain Martineau, Rabéa Kabbaj, Mélanie Meloche-Holubowski, Elizabeth Forget-Le François, et Raluca Tomulescu.
Journalistes, version papier : Alain Martineau, François Barbe, Mélanie Meloche-Holubowski, Rabéa Kabbaj, Gabrielle Ramain.
Collaborateurs à la rédaction et à la photographie : Élaine Bissonnette, Laetitia Cadusseau, Sandrine Dussart, Samuel Dupont-Foisy, Laurent Gariépy, Geneviève Poirier-Ghys, Julie Dupont, Patrick De Bortoli, Hélène Maillé, Nacer Mouterfi, Corinne Dupont-Rachiele, Gabrielle Ramain, Maximilien-Antoine Rathier-Létourneau et Daphné Dupont-Rachiele.
Photos : Philippe Rachiele.
Conception graphique originale version papier et nouveaux logos : Nacer Mouterfi
Mise en page : Philippe Rachiele, Christiane Dupont et Nacer Mouterfi.
Illustrations originales : Claire Obscure.
Caricaturiste : Florence Tison.
Correction/révision, version Web : Christiane Dumont, Gabrielle Ramain.
Correction/révision, version papier : Samuel Dupont-Foisy, Geneviève Chrétien.
Réseaux sociaux : Christiane Dupont, Mélanie Meloche-Holubowski, Philippe Rachiele.
Impression, version papier : Hebdo Litho inc.
Distribution, version papier : journaldesvoisins.com.
Dépôt légal, version papier : BNQ – ISSN1929-606.
Dépôt légal, version Web : BNQ – ISSN1929-607X.
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