Les Actualités du 28 aout 2015
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ÉLECTIONS FÉDÉRALES 2015
Grace Batchoun conteste les résultats de l’investiture du PLC dans A-C
Elle dénote plusieurs irrégularités et elle affirme que 285 bulletins de vote ont été dévoilés de manière « inexplicable ».
« Je tiens à préciser que je n’ai aucun problème avec le fait d’avoir perdu la nomination en soi. Cependant, compte tenu de l’information qui m’a été transmise par le PLC au sujet du scrutin, il apparaît clair que des irrégularités se sont produites au niveau des résultats de l’élection, lesquelles méritent une sérieuse réflexion et la mise en place d’une enquête. Il ne s’agit pas d’une tentative de ma part de discréditer le PLC ni aucun des candidats à l’investiture. Il s’agit plutôt d’une tentative de clarifier des irrégularités et d’assurer l’imputabilité ainsi que le respect de la procédure d’investiture », écrit-elle dans son communiqué de presse.
Écart de 285 votes?
Dans sa lettre de contestation, elle affirme que 2065 bulletins de vote ont été comptabilisés, mais seulement 1780 personnes se sont présentées pour voter. Cela représenterait un écart de 285 votes, « une valeur bien au-delà de la différence finale de 194 voix entre Mme Joly et moi. »
Elle s’interroge aussi sur un taux de participation « anormalement élevé » au Collège André-Grasset. Elle prétend aussi qu’un nombre beaucoup trop élevé de membres qui auraient dû voter au Centre communautaire arménien ont parcouru une distance trois fois plus grande pour aller voter au Collège André-Grasset.
« Je suis d’avis qu’il y a des raisons suffisantes de croire qu’il se soit produit a) un bourrage des urnes ou b) des votes en double ou c) des votes de personnes qui ne sont pas membres du PLC ou d) une combinaison de ces trois possibilités aux stations de vote du Collège André-Grasset. »
Mme Batchoun a aussi vivement critiqué le manque de personnel au Centre communautaire arménien pour répondre au nombre élevé de membres qui sont venus voter.
Joly toujours candidate
François Fournier, le porte-parole de Mélanie Joly, ne croit pas que la contestation est du tout justifiée. « C’est évident qu’il n’y a pas de recours. C’est plus politique que juridique. Il faudrait qu’ils se soient vraiment trompés (dans le décompte) pour que Mme Joly perde. »
Il déplore le fait que Mme Batchoun discrédite le processus de l’investiture. « Je ne suis pas surpris (par cette contestation), mais je suis déçu que ce soit l’attitude d’un des membres du PLC. Je ne trouve pas que c’est un move qui est favorable pour l’image de Mme Batchoun. »
M. Fournier affirme, que malgré cette contestation, il n’existe pas de discorde au sein du PLC dans Ahuntsic–Cartierville. « La seule chicane qu’on voit est celle qu’on voit dans les médias. »
Les décisions du Comité permanent d’appel sont finales et exécutoires et les détails motivant le recours au processus d’appel ne sont pas divulgués, indique, pour sa part, Olivier Duchesneau, du PLC à Ottawa. Mélanie Joly demeurera candidate tout au long du processus d’appel. M. Duchesneau n’a pas voulu émettre davantage de commentaires et ne peut pas préciser combien de temps pourrait prendre le processus. (Par Mélanie Meloche-Holubowski)
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ÉLECTIONS FÉDÉRALES 2015
Assemblée d’investiture du PLC
Victoire à l’arraché de Mélanie Joly
Elle a raflé une majorité de votes des 2065 membres du parti dans la circonscription qui s’étaient déplacés par un beau dimanche ensoleillé pour exercer leur droit de vote dans l’un des deux endroits retenus.
Mais c’est par une courte victoire qu’elle l’emporte contre trois rivaux. Car il aura fallu attendre jusqu’à 20 h 40 et l’équivalent d’un troisième et dernier tour de scrutin pour désigner la gagnante. On pensait pouvoir faire une annonce en début de soirée, mais la démocratie en a décidé autrement. Impossible toutefois de connaître le score final, des informations que ne divulgue pas le parti lors des investitures ouvertes.
La candidate-aspirante Grace Batchoun s’est finalement retrouvée à croiser le fer avec l’ex-candidate à la mairie de Montréal dans le dernier droit, une belle victoire « morale » quand même pour elle. Elle était visiblement déçue. Sur l’estrade du Cégep André-Grasset après la diffusion des résultats et après avoir félicité Mme Joly, elle s’est surtout attelée à féliciter son équipe de campagne pour avoir accompli un travail « à 150 % ». Mais sans plus.
Plus tard, elle dira que la démocratie s’est exprimée. « Oui, ce fut serré, mais maintenant je veux surtout m’assurer que mes garçons sont prêts pour l’école et je fêterai bientôt mon 20e anniversaire de mariage. On doit tous travailler ensemble comme libéraux », a-t-elle ajouté en guise de message de ralliement.
Kassissia en furie
Mais un autre candidat affichait une humeur massacrante. Elie Kassissia a quitté la salle avec son équipe, visiblement déçu de la tournure des événements. Il était l’un de ceux à s’être interrogés sur les autres candidats ayant abandonné la course à l’investiture libérale pour joindre le camp de Mme Joly.
On apprenait par Radio-Canada que l’un d’eux travaillait pour faire réélire Justin Trudeau (qui affrontera une grosse pointure en la personne d’Anne Lagacé Dowson pour le NPD dans Papineau). Anthony Di Carlo, pourtant le premier à annoncer sa candidature dans Ahuntsic–Cartierville, a dit qu’il n’était pas payé pour faire son travail, « pour l’instant ».
Attarian déçu
Au sujet du troisième candidat, Viken Attarian, aussi président de la Commisison politique du PLC, il était aussi déçu, mais il s’est clairement rallié à la candidate choisie. Interrogé par journaldesvoisins.com, il a juré ne pas avoir donné le mot d’ordre aux membres de son équipe de voter pour Mélanie Joly comme deuxième choix. Il a insisté sur le fait que, maintenant, la bataille se livre contre Maria Mourani. « Elle est la personne à battre. Elle n’a pas été élue trois fois pour rien, ce ne sera pas facile », a-t-il confié.
Joly prête au combat
Lors d’une mêlée de presse, Mme Joly a affirmé qu’elle ne tient rien pour acquis alors qu’on en est au premier jour du périple pour reconquérir la circonscription de Maria Mourani. « Pour moi, ce n’est pas un sprint, mais un marathon qui commence ». Mais aux questions des médias sur le tiède ralliement des autres et les rumeurs de conflit ou de bisbille, elle a préféré parler de solidarité. « Nous sommes une grande famille, on travaille ensemble. Je suis contente d’avoir fait une course avec les autres. J’ai été très impressionnée par leur performance, a-t-elle dit, ajoutant : On a eu une bonne course. On n’a jamais eu autant de monde, de membres du PLC dans Ahuntsic–Cartierville. C’est historique. Et c’est avec force et persévérance que nous gagnerons le 19 octobre », a-t-elle soutenu.
Flèche à Mourani
La jeune candidate libérale a aussi profité de l’occasion pour décocher une première flèche à l’endroit de la députée sortante, maintenant candidate officielle du Nouveau parti démocratique. « Moi, j’ai un plan de match pour gagner, créer des emplois. La députée n’a rien fait en neuf ans au chapitre de l’emploi et de développement économique alors que moi, je veux favoriser la création d’emplois, notamment dans le secteur Chabanel. Je veux aussi travailler à changer la vision du Canada à l’étranger. On a 80 communautés culturelles ici et plusieurs sont frustrées de la position du Canada », a -t-elle déploré.
Mélanie Joly a indiqué qu’elle travaillera fort pour redonner la circonscription aux libéraux. Entretemps, elle a confirmé pour la première fois qu’elle avait l’intention de déménager dans Ahuntsic. « Ma mère va être contente, mais déménager en pleine élection, vous m’en demandez beaucoup… », a-t-elle conclu. (Par Alain Martineau) (2015-08-23)
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ÉLECTIONS FÉDÉRALES 2015
Des commentaires douteux du candidat Moughrabi
Facebook et Twitter… la clé pour gagner une élection?
Mourani : les réseaux sociaux, un outil parmi tant d’autres
Maria Mourani a un compte Facebook depuis plusieurs années, mais elle s’est tout récemment lancée dans la Twittosphère. Ce sont des électeurs qui l’ont d’ailleurs encouragée à commencer à « tweeter ». Même si elle a hésité un peu à adhérer à ce réseau social, elle avoue qu’elle « adore ça! ». Le seul hic – devoir réduire ses messages à 140 caractères. « C’est difficile, je suis tellement verbomotrice! »
En général, la candidate néodémocrate gère elle-même ses réseaux sociaux et elle jure qu’elle répond à tous ses messages en moins de 24 heures.
Mme Mourani aime surtout démontrer le travail qu’elle fait, en publiant des photos et en mettant en valeur les organismes qu’elle visite. « Ça me permet de faire rayonner Ahuntsic–Cartierville de façon nationale. »
Elle croit que Facebook est un excellent moyen pour interagir avec les citoyens sur la politique et pour recruter des bénévoles.
Est-il possible de gagner une campagne électorale sans réseaux sociaux? Oui, selon Mme Mourani – en fait, elle ne croit pas qu’une campagne se gagne strictement sur les réseaux sociaux. « Ça ne m’a pas empêchée de faire mes autres campagnes (sans Twitter) et de gagner! Je privilégie beaucoup le personne à personne. »
Quant aux « trolls », Maria Mourani les ignore. « Les gens impolis, haineux ou trop négatifs, je ne prends par la peine de leur répondre. Et, en politique, il ne faut rien prendre personnel. »
Enfin, elle ne s’inquiète pas trop des dangers de publier des commentaires qu’elle pourrait plus tard regretter. « Mon langage est le même en personne que sur les réseaux sociaux. Je défie quiconque de trouver quelque chose sur moi! »
Joly : les réseaux sociaux, l’arme par excellence
Pour la candidate libérale, Mélanie Joly, l’utilisation des réseaux sociaux est un outil fondamental pour une campagne électorale. « Ce n’est pas tout le monde qui s’informe via les médias traditionnels. Les réseaux sociaux permettent de passer par-dessus les intermédiaires et de parler directement aux électeurs », explique-t-elle.
Mme Joly croit que son utilisation judicieuse des réseaux sociaux lui a permis de faire sa place dans la course à la mairie de Montréal. Elle compte utiliser le même type de stratégie pour cette campagne fédérale.
Cette candidate utilise principalement Twitter, Facebook et Instagram, mais elle n’hésite pas à tester d’autres médiums, comme Périscope et Meerkat.
Par exemple, elle a diffusé en direct son discours lors de l’investiture dimanche dernier et utilisé la géolocalisation pour mieux cibler les membres du parti qui pouvaient voter pour elle. « J’ai gagné l’investiture parce que j’ai été capable de faire sortir le vote en utilisant les bons outils », affirme-t-elle.
L’équipe de Mélanie Joly étudie attentivement les données que peuvent fournir les interactions sur les médias sociaux : l’âge, le lieu, la profession et même les intérêts d’une personne. « On peut transmettre nos messages en fonction de la réalité des personnes que l’on vise. »
Elle n’hésite pas non plus à former des bénévoles pour qu’ils poussent, à leur tour, son message de campagne, et ainsi façonner le discours qui est véhiculé à la population.
Mélanie Joly croit que le téléphone est un outil toujours important pour une campagne électorale, mais qu’il faut s’adapter en fonction des générations et des communautés. « Les candidats qui n’utilisent pas les réseaux sociaux ne sont pas en phase avec l’époque. Ils ne comprennent pas comment notre société évolue. »
Moughrabi : ses commentaires le mettent dans l’eau chaude
William Moughrabi avait un compte Facebook et Twitter au début de la campagne. Toutefois, ils ont été rapidement effacés, après qu’un internaute ait confronté le candidat conservateur dans Ahuntsic–Cartierville, pour avoir écrit des commentaires de mauvais goût.
Robert Jago (sous le pseudonyme @rjjago sur Twitter) a un blogue où il expose les commentaires inappropriés de plusieurs candidats aux élections fédérales. Voyez les commentaires de William Moughrabi, ci-dessous (avec traduction).
Il ne croit pas que les commentaires qu’il a publiés sont nécessairement offensants ou inappropriés et qu’il devrait s’en excuser. « Ça été pris hors contexte. Ce sont de vieilles affaires », a-t-il déclaré au journaldesvoisins.com, ajoutant qu’il s’agissait d’une page « privée ».
Toutefois, tous ses commentaires sur son compte Facebook étaient visibles au public et étaient facilement accessibles.
Si Mélanie Joly croit que les commentaires sur les réseaux sociaux doivent être pris dans leur bon contexte et que tout le monde peut faire une erreur, elle condamne les commentaires de son rival William Moughrabi.
« Il y a des personnes qui ont plus de
jugement que d’autres. Si quelqu’un a des commentaires sexistes, misogynes ou
haineux sur les réseaux sociaux, il doit avoir ces mêmes commentaires dans sa
vie. Mais je comprends mal comment le Parti conservateur tolère des
commentaires comme ça. »
William Moughrabi promettait, lors de l’ouverture de son local, il y a deux semaines, d’ouvrir des comptes professionnels pour sa campagne, mais aucun compte n’a été créé depuis. (Par Mélanie Meloche-Holubowski)
ÉLECTIONS FÉDÉRALES 2015
Quartier Chabanel
Dans la mire des candidats aux élections
Il ne s’agit pas de la première fois que Mme Joly critique le travail de la députée sortante, Maria Mourani, dans ce dossier. (Journaldesvoisins.com en parlait le 3 juillet dernier. Cliquez pour lire.) Mme Joly croit que Mme Mourani n’a pas été capable d’attirer suffisamment d’investissements. « La création d’emplois et le développement économique n’ont clairement pas été une priorité pour la députée en place depuis neuf ans», a dit Mme Joly.
Tous contre une?
Mais il n’y a pas que Mélanie Joly qui a lancé des flèches à Mme Mourani à ce sujet. Le candidat conservateur, William Moughrabi, a lui aussi critiqué la dévitalisation du quartier, lors de l’ouverture de son local de campagne. « On ne fait rien pour faire revivre le coin. Il faut y créer plus d’emplois », a-t-il dit, sans préciser comment il y arriverait.
« Il est absolument faux de prétendre que rien ne s’est fait dans le secteur Chabanel », a déclaré Maria Mourani dans un communiqué de presse.
Elle précise qu’un projet de revitalisation est en cours depuis quelques années et porte fruit. Selon Mme Mourani, entre 2011 et 2013, le sous-secteur des grossistes-distributeurs a créé 1157 nouveaux emplois et de nombreuses entreprises ont été soutenues ou créées notamment grâce au travail de la CDEC Ahuntsic–Cartierville, financé par Développement économique Canada (DEC).
« Lorsque le gouvernement conservateur a tenté, en 2009-2010, de couper le budget de DEC, je m’y suis opposée. Nous avons obtenu gain de cause! », a tenu à rappeler Maria Mourani.
Mme Mourani réplique à ses adversaires que de « dénigrer la réputation du quartier Chabanel afin de faire des gains politiques n’est pas une voie profitable ». (Par Mélanie Meloche-Holubowski)
Parachèvement de l’A-19
L’option d’un boulevard urbain suscite des réactions plutôt positives chez les élus
Les contribuables québécois seront-ils mis à contribution?
En mars dernier, le BAPE, à la suite de consultations publiques, suggérait « qu’une analyse comparative plus approfondie était requise entre les scénarios d’autoroute à deux voies et ceux de boulevard urbain ». Québec veut ainsi trouver la meilleure solution possible pour réduire le problème de congestion sur ce tronçon, tout en considérant plusieurs facteurs comme la circulation de véhicules agricoles, l’intégration de la Route verte, et la voie réservée au transport collectif.
L’analyse de cette option prendra quelques mois, ce qui fait que l’on devrait être fixé à l’automne sur ce scénario entre les autoroutes 440 et 640, à Laval et Bois-des-Filion.
Les élus ahuntsicois réagissent
Dans l’arrondissement d’Ahuntsic–Cartierville, la leader de l’opposition officielle à l’hôtel de ville de Montréal, Émilie Thuillier, considère qu’il s’agit d’une « bonne nouvelle ». Elle est heureuse que Transports Québec respecte une des recommandations du BAPE à laquelle les gens d’Ahuntsic–Cartierville ont « largement contribué ».
Mais on met aussi quelques bémols. À l’instar de plusieurs citoyens ahuntsicois, la conseillère insiste pour que l’étude tienne compte de paramètres recommandés par la Direction de la santé publique de Montréal (DSP).
Autre point à surveiller, dit-elle, les voies réservées au transport en commun. Elle se demande si les intentions de Québec sont sérieuses.
Mais la conseillère Lorraine Pagé, dont le district Sault-au-Récollet comprend la rue Papineau, ne semble pas s’en inquiéter. Elle estime que le nouveau schéma de boulevard urbain va, contrairement à l’autoroute, favoriser le transport collectif, car il y aura des arrêts d’autobus en plusieurs endroits.
« Avec l’autoroute, il n’y a pas d’arrêts. Nous sommes en 2015, il faut valoriser le transport en commun, changer les habitudes. On compte au minium 30 000 automobilistes qui prennent le pont Papineau. Le boulevard urbain est un choix judicieux qui tient compte des impacts écologiques », a-t-elle affirmé.
Mais le maire de Bois-des-Filion, Paul Larocque, estime que Québec fait du surplace. « Transports Québec a déjà rejeté ce scénario de boulevard urbain pour des raisons de sécurité en 2009 », a-t-il soutenu.
Impacts à Montréal
Mais il semble que peu importe le projet retenu, il faudra certaines révisions. Harout Chitilian, conseiller de Bordeaux-Cartierville, a rappelé que les impacts seront « importants » pour la ville.
« Il faudra bien prévoir des mesures d’atténuation, refaire des artères et tenir compte de l’achalandage en pensant aux citoyens, aux piétons, aux cyclistes et enfin aux automobilistes », précise-t-il.
Coûts du projet
Toutefois, les nombreuses compressions budgétaires au niveau provincial soulèvent une question importante : qui paiera la facture? Selon divers scénarios, un boulevard urbain coûterait autour de 350 millions de dollars, soit la moitié d’une autoroute.
Comme le rappelle Mme Thuillier, la pratique veut que les autoroutes soient payées par le gouvernement. Un boulevard urbain devrait être financé par la ville concernée.
Mme Pagé estime que le choix d’un boulevard urbain est plus logique sur le plan financier. « On coupe dans les écoles, dans les hôpitaux », a insisté Mme Pagé, ajoutant que l’heure est aux solutions avant-gardistes et peu coûteuses. (Par Alain Martineau)
Dans les abribus de la STM
Des affiches qui suscitent la curiosité
De curieuses affiches décorent certains abribus de Montréal depuis la mi-juin 2015. On y voit le visage d’un homme âgé à la barbe blanche. Au bas de la photo, trois lignes de texte : « Accueillons le Mashiach avec des actes de bonté et bienfaisance ». Intrigué par la signification de ce message, votre journal communautaire a cherché à en savoir plus.
L’homme qui est représenté est Menahem Mendel Schneerson, mieux connu comme le Rabbi de Loubavitch – ou Rebbe, sur l’affiche. « Il s’agit de la figure emblématique du mouvement Habad-Loubavitch, un des groupes principaux du hassidisme d’aujourd’hui, explique une sociologue du judaïsme contemporain, Sonia Sarah Lipsyc. Il est décédé aujourd’hui, mais c’est un personnage charismatique qui a énormément marqué le mouvement et la communauté juive en général », ajoute-t-elle. |
« Coup de pouce »
En ce moment, une centaine d’abribus affichent le « message du Rebbe » aux quatre coins de Montréal. Zushe Silberstein renouvelle sa campagne régulièrement depuis 2010, et ce n’est pas anodin. « En 1991, le Rabbi de Loubavitch a annoncé que nous nous dirigions vers la rédemption de l’humanité. À ce moment-là, ce sera la paix absolue. Finies les guerres, les famines, les souffrances. Cette campagne, c’est en quelque sorte un coup de pouce pour y arriver », indique-t-il.
L’affiche invite effectivement à « accueillir le Mashiach », ou Messie. Sonia Sarah Lipsyc nous donne plus de détails : « Selon la philosophie juive, Dieu a créé un monde volontairement imparfait pour donner le mérite à l’être humain de le perfectionner. Le peuple juif prend cette mission à cœur. Le résultat des actions de bienfaisance permet la venue d’un Messie ou un temps messianique », dit-elle. Et cela ne correspond pas à la fin des temps. « Il s’agit d’un moment utopique où les conflits seront apaisés, mais le monde continue de tourner », souligne-t-elle.
Comme une publicité
Certains questionneront peut-être le but de la Société de transport de Montréal (STM) lorsqu’elle affiche ces annonces de nature religieuse. Toute affiche est en fait soumise aux mêmes règles que les publicités. « En vertu d’une entente entre Trangesco, la filiale commerciale de la STM, et Québecor Média Affichage, qui gère la publicité sur les abribus, ce dernier se doit de respecter le Code canadien des normes de la publicité ainsi que les normes de l’Office de la langue française », nous indique par courriel la conseillère corporative aux affaires publiques de la STM, Amélie Régis.
Après s’être assurée que l’affiche ne faisait pas preuve de discrimination, n’encourageait pas la violence ni ne minait la dignité humaine (article 14 du code), elle nous a informé que « l’affiche respecte le Code canadien des normes de la publicité ».
Selon Sonia Sarah Lipsyc, le message, destiné à toutes les communautés, se veut inclusif. « Inciter les gens à faire le bien, c’est bien, non? », lance-t-elle. (Par Raluca Tomulescu)
Pour en savoir plus…
Le centre communautaire Chabad Chabanel vise à subvenir aux besoins des commerçants juifs du quartier. Ils peuvent s’y rendre pour prier, suivre des cours ou manger Cacher. Il est l’une des 4000 institutions que compte le mouvement Habad-Loubavitch à travers le monde. (Par Raluca Tomulescu)
Revitalisation de Lachapelle-Laurentien
L’arrondissement étudie l’option d’un corridor qui serait réservé aux cyclistes
Les fonctionnaires étudieront un moyen pour implanter un corridor de 1,5 mètre pour les cyclistes, qui longera le couloir de 4,5 mètres réservé aux autobus. Les cyclistes pourraient donc rouler à gauche, dans une voie à sens unique.
Ainsi, l’arrondissement semble avoir écouté les recommandations d’un groupe d’intérêt pro-vélo lors d’une consultation publique qui s’est tenue en juin. Plus de 120 participants avaient alors livré leurs réflexions sur le projet de 30 millions de dollars.
Vélo Québec au front
Des membres de Vélo Québec et adeptes de ce moyen de transport étaient venus plaider pour une piste cyclable protégée sur les deux rues et non pas une seule piste qui serait sur une rue parallèle, bien qu’elle mène directement à la gare de train Bois-Francs.
« On est en voie de répondre à leurs demandes », a indiqué le conseiller du district de Bordeaux–Cartierville, Harout Chitilian, dans une entrevue au journaldesvoisins.com ce mardi.
« On tente de les accommoder. Nous avons justement une rencontre avec les fonctionnaires vendredi, une rencontre de réflexion. Ça regarde bien, mais il faut aussi intervenir auprès de Québec afin de prévoir une révision du code de sécurité routière », a renchéri le conseiller pour qui le projet de revitalisation du secteur Lachapelle-Laurentien est un dossier qui lui tient à coeur.
Projet majeur pour le secteur
La ville et l’arrondissement prévoient un sens unique sur le boulevard Laurentien et sur la rue Lachapelle, moins de voies de circulation pour les véhicules, des couloirs réservés aux transports en commun et des trottoirs élargis.
Puisque ce secteur compte de plus en plus d’aînés (on y trouve notamment plusieurs résidences d’aînés), le projet prévoit des feux de circulation qui alloueront un temps suffisamment long pour permettre aux personnes à mobilité réduite de traverser.
Chose fort intéressante, il est même question d’inclure l’enfouissement des fils électriques afin de rehausser la valeur esthétique du secteur, nous a confié Harout Chitilian. On doit aussi planter 400 arbres et illuminer certains d’entre eux à l’entrée du pont. (Par Alain Martineau)
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Projet Parallèle 40
Rendre le dessous de l’autoroute moins austère
Les jeunes ingénieurs ont lancé l’an dernier le projet baptisé Parallèle 40 afin que l’espace présentement dominé par du stationnement devienne un couloir « invitant » pour les passants.
Jeunes à l’oeuvre
Le groupe a comme objectif de redonner de la beauté à un espace qui est bétonné, froid, humide et sans saveur qui est quand même vu quotidiennement par des milliers de piétons et d’automobilistes.
Des adolescents bénévoles ont commencé il y a quelques semaines à exécuter des œuvres sur les piliers de béton entre les rues Saint-Denis et Henri-Julien.
« Plusieurs colonnes ont été ou seront peinturées, entre les rues Henri-Julien et Drolet pour être plus précis », a expliqué l’une des personnes derrière le projet, Véronique Barry, qui est aussi présidente du Forum des jeunes professionnels de l’Association des firmes de génie-conseil du Québec.
Techniques utilisées
Les artistes y vont de pochoir (une technique d’impression centenaire permettant de reproduire plusieurs fois des caractères ou des motifs sur divers supports).
«Les jeunes vont découper des motifs de feuilles d’arbre. Le travail sera fait pour unifier les œuvres», a précisé Mme Barry qui est responsable du projet depuis un an. «On va aussi envelopper les colonnes de ciment avec des bandes de tissus comme le font par exemple des membres du Cercle de fermières du Québec avec leurs tricots graffitis. »
Ce projet, qui sera évolutif, vise à réparer la fracture dans le tissu urbain de ce secteur qui sépare Ahuntsic-Cartierville et Villeray. Bientôt, des bancs, des bacs à fleurs et une table à pique-nique s’ajouteront au décor, a-t-elle ajouté.
En route vers le 375e
Transports Québec, propriétaire des lieux, a réservé deux espaces de stationnement au groupe.
Ce projet s’inscrit dans le cadre des activités prévues pour embellir la Ville de Montréal dansn le cadre du 375e anniversaire de la fondation de Ville-Marie, mais le groupe aimerait étendre son projet au-delà de l’Autoroute 40.
Le jeune groupe environnemental C-Vert est aussi partie prenant au projet de même que Montréal Houblonnière, et l’éco-quartier du coin.
La Métropolitaine n’est pas un exemple de beauté urbaine; elle figure plutôt au palmarès des laideurs à Montréal. Quand on l’a construite, l’automobile était devenue le transport privilégié en Amérique du Nord.
Certaines personnes avaient suggéré qu’un tunnel ou une construction en tranchée, comme sur Décarie, aurait été plus approprié. Cette option avait été étudiée, mais écartée par les ingénieurs. Il aurait fallu, dit-on, grandement modifier le réseau d’égout et d’aqueduc de Montréal, celui-ci ayant une structure nord-sud.
L’autoroute a été surélevée afin de faciliter son intégration avec le réseau local. Un an après son inauguration, elle était déjà saturée. Aujourd’hui, il faut donc composer avec une barrière physique qui entrecoupe la Ville. Mais, avec un projet comme Parallèle 40, petit à petit, on peut tenter d’améliorer son image. (Par Alain Martineau)
Le groupe Parallèle 40 a une plateforme de socio-financement :
www.indiegogo.com/projects/parallele-40–2#/story
Sa page Facebook: www.facebook.com/parallele40
La ruée vers l’nord
Les Ahuntsicois en expédition au Labrador sont de retour!
Guillaume et Élodie Lemanceau, leurs enfants et le chien Zeus sont rentrés chez eux vendredi soir dernier des souvenirs plein la tête… et le corps tatoué de piqûres. Journaldesvoisins.com est allé aux nouvelles.
« Les paysages, les couchers de soleil, les ciels étoilés, les icebergs, c’est ce qu’on voulait voir et on a été servis », résume Guillaume Lemanceau avec enthousiasme. En règle générale, tout s’est déroulé selon l’horaire prévu, raconte le père de famille, mais « l’hostilité du climat » labradorien a quelque peu accéléré le rythme des aventuriers. « Terre-Neuve-et-Labrador, on l’a fait deux jours plus vite que planifié. La nuit, il faisait entre trois et quatre degrés Celsius, on a eu de la pluie et même de la neige », se souvient-il, content d’avoir pu retrouver le soleil en Nouvelle-Écosse.
Le trajet sur la Trans Labrador Highway a été un autre moment marquant de l’expédition. « Quelle route difficile, 580 kilomètres de gravier, de travaux et de nids-de-poule! », s’exclame Guillaume, sûr de ne pas l’emprunter une autre fois dans sa vie.
Le TALAC a souffert
Les conditions difficiles rencontrées en chemin ont mis Le TALAC à rude épreuve. « On a perdu notre pot d’échappement et une vitre latérale a été brisée », explique Guillaume. Mais il en faut plus pour le décourager. « Le TALAC a bien tenu la route. Il faut bien le nettoyer et il sera prêt pour une nouvelle aventure », annonce-t-il.
Pour terminer, Guillaume Lemanceau évoque la gentillesse des locaux. « Il nous arrivait de nous stationner sur le bord de la route et les gens s’arrêtaient pour nous demander si tout était correct, ça faisait du bien », conclut-il. Leurs 35 gigabytes de photos ne parviendront sans doute pas à rendre justice à ce beau souvenir. (Par Raluca Tomulescu)
Pour lire notre premier texte sur l’expédition, cliquez ici.
Construction écologique unique au Québec
Une maison « passive » dans le quartier?
« Depuis qu’on est ensemble, on se dit qu’on veut une maison écologique, respectueuse de l’environnement, et le plus possible gérée par nous-mêmes », relate Damien Chaveron, anesthésiste de profession. Après de nombreuses recherches, le couple tombe sur une maison en vente dans Ahuntsic. « Tout était à refaire, l’électricité, la plomberie, le toit, mais la maison avait une bonne orientation au sud », se souvient Déborah, accompagnatrice en périnatalité.
On est en juin 2015. Ils décident alors de tout démolir, sauf les fondations en béton et certains murs en bois, et de reconstruire en visant l’obtention de la certification Passivhaus, un standard allemand inégalé en ce qui concerne l’économie d’énergie. « C’est ce qui correspond le plus à nos valeurs », soutient-elle.
En gros, la maison passive utilise essentiellement les rayons du soleil pour subvenir aux besoins de ses occupants en chauffage, en toute saison. Grâce à un système de ventilation mécanique contrôlée, l’intérieur de la maison reste chaud en hiver, mais garde sa fraîcheur en été. Le bâtiment est de forme compacte, étanche, comporte de nombreuses fenêtres sur sa façade sud et bénéficie d’une très bonne isolation thermique.
Processus très exigeant
Selon le site web d’Écohabitation, les besoins annuels en chauffage d’une maison certifiée Passivhaus doivent être inférieurs ou égaux à 15 kWh/m² et le besoin total en énergie, incluant les électroménagers, ne doit pas dépasser 120 kWh/m². « En comparaison, une maison québécoise considérée comme efficace consomme plus de 100 kWh/m² annuellement pour le seul chauffage! », peut-on également y lire.
« Obtenir la certification, c’est un processus très difficile et extrêmement exigeant sur le plan de la construction, explique le conseiller technique chez Écohabitation, Benjamin Zizi. Aujourd’hui, beaucoup de projets visent la performance Passivhaus, sans toutefois obtenir la certification », précise-t-il. Pour l’instant, aucune construction du Québec n’y est encore parvenue, selon le site web allemand www.passivhausprojekte.de.
Agir en pionniers
Ce ne sont pas les nombreuses exigences qui effraient Déborah et Damien Chaveron. « On s’est entourés des personnes dont on avait besoin, on a trouvé la première architecte au Québec à avoir suivi la formation Passivhaus », indique Damien. Déborah renchérit : « On veut inspirer les gens, leur montrer que c’est accessible et réalisable. Pour atteindre la certification, il faut aller loin, mais les gens peuvent aller moins loin et tout de même faire de grandes économies d’énergie », affirme-t-elle.
Selon Benjamin Zizi, la démarche demeure coûteuse, sans compter la rudesse du climat québécois. « Oui, il y faudra faire attention aux mois plus froids, mais côté ensoleillement, on est bien servis au Québec », nuance Déborah.
Côté portefeuille, une maison passive coûte à peine 20 % plus cher qu’une maison standard, selon le couple Chaveron, qui espère rentabiliser l’excédent en trois ou quatre ans. « Et, au Québec, on en est aux premiers essais, le prix va forcément diminuer avec les années », prédit Damien, une position que partage également l’architecte et designer du projet, Lucie Langlois.
« Ce qui est difficile, c’est que les composantes, comme les fenêtres à triple vitrage, ne sont pas encore disponibles au Québec. Il faut aller chercher les produits en Europe », déplore-t-elle. Mais elle demeure confiante. « Dès que le marché va s’ouvrir, il va y avoir des manufacturiers locaux », affirme-t-elle.
Ozalée
Déborah et Damien Chaveron comptent s’installer dans leur nouvelle demeure, avec leurs deux petites filles, au plus tard à la mi-février 2016. Ils ont appelé leur maison Ozalée, un prénom d’origine amérindienne signifiant « soleil levant ». En plus des éléments écologiques Passivhaus, ils pratiqueront la permaculture et récupéreront les eaux de pluie.
Selon le site web www.passivhausprojekte.de, 797 bâtiments sont certifiés Passivhaus à travers le monde, dont 404 se trouvent en Allemagne. Le Canada en compte quatre, tous situés en Colombie-Britannique. (Par Raluca Tomulescu)
Pour en savoir plus sur la maison passive Ozalée : http://www.ozalee-passive.com/
Des athlètes ahuntsicois de retour des Jeux panaméricains
Une brochette bien garnie d’athlètes représentait d’ailleurs l’arrondissement d’Ahuntsic–Cartierville. journaldesvoisins.com vous propose un retour sur l’expérience de trois d’entre eux.
Geoffroy Bessette-Colette, leadership et sagesse
L’équipe canadienne de handball dans laquelle jouait Geoffroy Bessette-Colette, 32 ans, s’est classée en septième position, sur huit, aux Jeux de Toronto. Il s’agit des troisièmes et derniers Jeux panaméricains pour l’ailier droit, et y avoir participé au Canada lui permet d’en garder un très bon souvenir. « C’était une chance d’être à Toronto et, même si le résultat est décevant, c’était un beau moment pour toute ma famille qui était là », affirme-t-il.
Son statut de vétéran lui a conféré une position de leader auprès de ses plus jeunes coéquipiers, un rôle qu’il joue également au Collège Ahuntsic en tant qu’enseignant en éducation physique. « J’essaie d’apprendre les valeurs associées au travail et au dépassement de soi à mes étudiants. Dans les sports de haut niveau, on voit souvent la performance mais pas le travail qui est en arrière », précise-t-il.
Geoffroy Bessette-Colette demeure incertain quant à la place qu’il accordera au handball dans sa vie future. « Je suis en réflexion par rapport à mon implication dans ce sport qui est difficile sur le corps ». Il conclut sur une note positive : « Je me suis rendu au bout de ce que je voulais accomplir. »
Kristel Ngarlem, cap sur les JO de Rio 2016
L’haltérophile de 20 ans Kristel Ngarlem a obtenu la quatrième place dans la catégorie
69 kg (femmes) aux derniers Jeux panaméricains. Elle est parvenue à soulever 93 kg à l’arraché et 118 kg à l’épaulé-jeté, ce qui la rend très fière. « Je visais le top 5, donc, c’est réussi. En plus, il y avait un écart important entre moi et la cinquième place », affirme-t-elle, heureuse que cette performance se soit déroulée au Canada.
La jeune diplômée en sciences humaines du Collège Ahuntsic commence déjà à penser aux Jeux olympiques de Rio, en 2016. « Les qualifications olympiques auront lieu en juin 2016 en Colombie. Ça va me prendre une grosse année de préparation », anticipe-t-elle, d’autant plus qu’elle entame des études en victimologie à l’Université de Montréal.
David Eng, l’idole des foules
David Eng, 38 ans, est capitaine de l’équipe nationale canadienne de basketball en fauteuil roulant. Son équipe et lui ont obtenu la deuxième place lors des derniers Jeux parapanaméricains. « Gagner l’argent, pour nous, c’était mission accomplie », se souvient-il avec plaisir. Comme les autres athlètes, il a particulièrement apprécié le fait que la compétition se déroule au Canada. « On a un bon fanbase, la foule était en délire. C’était formidable », relate le résidant d’Ahuntsic.
David Eng s’entraîne à temps plein, ce qui lui servira sans doute aux Jeux paralympiques de Rio, pour lesquels il commence lui aussi à se préparer. Cette semaine, il a d’ailleurs eu une bonne surprise en prévision des Jeux de 2016. « Un concessionnaire automobile a appris que mon auto était tombée en panne et il a décidé de me commanditer », annonce-t-il fièrement.
Mais le kinésiologue de formation avance un projet à la fois. « Je suis en pleine planification de l’année à venir. Avant Rio, il y a les championnats canadiens et américains, mais aussi mon mariage », confie-t-il. (Par Raluca Tomulescu)
Sur la rue Lajeunesse
Vol et agression au magasin Pitou Minou
La femme a acheté un article de faible valeur, pendant que l’homme a subtilisé un gros sac de nourriture pour chien. Il a tenté de se diriger en douce vers sa voiture.
La gérante, furieuse, a confronté le couple dans le stationnement pour ne pas avoir payé le deuxième article. L’homme s’est enragé et a pris la gérante par le cou, la menaçant. « Mes pieds ne touchaient plus au sol», raconte-t-elle, encore sous le choc.
La femme a convaincu son complice de lâcher la gérante avant l’arrivée des policiers. Entre-temps, une employée à l’intérieur du magasin a appelé les policiers, qui ont diffusé l’information sur leurs ondes.
Une plainte a été déposée contre les deux suspects. Ils devront comparaître en cour, mais les procédures auront seulement lieu dans plusieurs mois.
Kelly Guihan ajoute que ce n’est pas la première fois que le commerce est l’objet de vol à l’étalage. « C’est frustrant pour un petit commerce comme nous, parce qu’on récupère rarement la valeur de la marchandise qui est volée.» (Par Mélanie Meloche-Holubowski)
Montréal, Ville intelligente
Le déploiement du Wi-Fi se poursuit
Pas de Wi-Fi au conseil pour la rentrée de septembre, toutefois
Déjà, la majeure partie du Vieux-Montréal, de l’hôtel de ville, du Palais des congrès et une portion du centre-ville sont branchées. Les utilisateurs peuvent en profiter gratuitement.
« Ça va assez bien, notamment au chapitre de la bande passante », a déclaré Harout Chitilian, qui est vice-président du comité exécutif et responsable de la Ville intelligente et des technologies de l’information, en plus d’être conseiller de Bordeaux–Cartierville.
« L’installation d’antennes relais permet présentement de couvrir un large pan du secteur, grosso modo entre Berri et Robert-Bourassa (autrefois la rue University) et de Saint-Antoine à de la Commune, de préciser M. Chitilian.
Le déploiement se retrouve dans le plan d’action Montréal, ville intelligente et numérique.
Bientôt
Dans un avenir rapproché, on peut prévoir que les édifices publics, dont les arénas, seront desservis par le Wi-Fi. Les bibliothèques de la Ville, le parc Ahuntsic ainsi que le chalet du parc Henri-Julien offrent le service depuis l’été dernier.
Journaldesvoisins.com avait annoncé en primeur que le service Wi-Fi serait bientôt disponible, peut-être à l’automne, dans la salle du conseil d’arrondissement d’Ahuntsic–Cartierville.
M. Chitiian a rappelé que les mairies d’arrondissement sont une priorité, afin de permettre aux citoyens et aux élus de consulter, par exemple, les sommaires décisionnels lors des réunions.
M. Chitilian a ajouté que la Ville finalise présentement un devis pour qu’un éventuel entrepreneur s’occupe du Wi-Fi et d’autres installations techniques comme la téléphonie.
« Un plan de match est prévu selon l’achalandage et les besoins, ça avance assez bien, de façon systématique », a-t-il mentionné.
Un service pour citoyens et touristes
Trois partenaires collaborent à ce projet, soit la Ville de Montréal, le Palais des congrès et l’organisme Montréal en histoires. Ce dernier a d’ailleurs lancé une application mobile portant sur l’histoire de Ville-Marie. Au moyen d’un téléphone portable ou d’une tablette, on peut suivre un parcours dit techno-historique, comprenant une soixantaine d’arrêts, dans le Vieux-Montréal.
C’est un projet d’une personnalité ahuntsicoise, Martin Laviolette, qui est aussi très engagé dans le FestiBlues International de Montréal. (Par Alain Martineau)
JARDINS ET POTAGERS
Par Patrick De Bortoli
Nous en profitons pour vous inviter de nouveau à adresser vos questions à votre fermier urbain préféré, à l’attention de journaldesvoisins.com puisque cette chronique se poursuivra au moins jusqu’à la fin du mois de septembre, alors que les récoltes vont bon train actuellement dans nos potagers et que l’automne nous donnera de quoi travailler dans nos jardins et potagers. En outre, cette chronique a toujours sa place dans l’édition bimestrielle de notre magazine papier.
Adressez vos questions à journaldesvoisins@gmail.com, à l’attention de Patrick De Bortoli. (C.D.)
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LETTRES OUVERTES
Une injustice flagrante envers le Bloc Québécois Ahuntsic-Cartierville, par Jean Archambault
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C’est la rentrée!
Votre magazine papier disponible dès le 28 août
Trente-deux pages bien remplies pour la rentrée!
Notre magazine bimestriel papier de la rentrée est distribué à compter du 28 août jusqu’au 8 septembre dans les boîtes aux lettres sur le territoire d’Ahuntsic et une partie du territoire de Bordeaux–Cartierville. Un certain nombre d’exemplaires seront également disponibles dans les bibliothèques de l’arrondissement, au Centre communautaire Ahuntsic, sur la rue Laverdure, dans certains commerces, et au YMCA de Bordeaux–Cartierville.
Dossier Élections 2015
Notre magazine compte 32 pages, dont un important dossier concernant les élections fédérales qui se tiendront le 19 octobre prochain. Vous ne savez pas pour qui voter? Entre deux ou trois candidats, votre cœur balance? Journaldesvoisins.com vous présente les candidats des cinq principaux partis de la circonscription Ahuntsic–Cartierville.
Nouvelle chronique en éducation
Également au menu : un sondage auprès des résidants marcheurs dans l’arrondissement; l’inquiétude des résidants quant à la détérioration des infrastructures et des lieux patrimoniaux; l’autopartage et ce qui est disponible à cet égard dans Ahuntsic–Cartierville; ainsi que les chroniques habituelles. Une nouvelle chronique, « Tout sur l’éducation », plaira sans doute aux parents qui ont des enfants à l’école ou aux résidants que la chose scolaire intéresse. Bref, un contenu diversifié destiné à vous informer et à vous divertir jusqu’au prochain numéro du magazine, fin octobre.
Dans l’intervalle, n’oubliez pas de lire nos Actualités hebdomadaires sur le Web, à www.journaldesvoisins.com
Bonne lecture! (C.D.)
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BRÈVES…BRÈVES…BRÈVES…BRÈVES…BRÈVES…BRÈV
L’Association est à la recherche de nouveaux membres désireux de participer à la réalisation de cette maquette et souhaite particulièrement l’adhésion de personnes du quartier Ahuntsic–Cartierville. Ce hobby offre un grand éventail de possibilités de création et d’expression artistique par la fabrication d’éléments de décor sur la maquette (bâtisses, ponts, arbres, rivières, montagnes, etc.) en plus de permettre de développer des connaissances tant en électronique, informatique, électricité, qu’en menuiserie et de socialiser avec les autres membres de l’Association. L’Association ouvrira ses portes au public les 24 et 25 octobre prochains de 10 h à 15 h. Pour plus d’info, cliquez ici. (Source: Association des modélistes ferroviaires de Montréal)
Vous pouvez consulter le Répertoire en ligne en cliquant sur le bouton Répertoire des activités de la page d’accueil du site de l’arrondissement, à ville.montreal.qc.ca/ahuntsic-cartierville, ou encore vous procurer la version imprimée dans l’un des points de service suivants.
Points de service
- Aréna Ahuntsic, 10560, rue Saint-Hubert
- Aréna Marcelin-Wilson, 11301, boulevard de l’Acadie
- Bibliothèque de Cartierville, 5900, rue De Salaberry
- Bibliothèque de Salaberry, 4170, rue De Salaberry
- Bibliothèque d’Ahuntsic, 10300, rue Lajeunesse
- Bureau d’arrondissement (BAM), 555, rue Chabanel Ouest, bureau 600
- Centre communautaire Ahuntsic, 10780, rue Laverdure
- Centre communautaire de Bordeaux–Cartierville,1405, boulevard Henri-Bourassa Ouest
- Centre Henri-Julien, 9300, rue Saint-Denis
- Centre Saints-Martyrs-Canadiens, 10125, rue Parthenais
- Centre UFA, 161, boulevard Henri-Bourassa Ouest
- Complexe sportif Claude-Robillard, 1000, avenue Émile-Journault
- Éco-quartier Gouin, 5765, boulevard Gouin Ouest
- Éco-quartier Lajeunesse, 10416, rue Lajeunesse
- Église Sainte-Rita (Scalabrini) 655, rue Sauriol Est
- Maison de la culture Ahuntsic–Cartierville, 10300, rue Lajeunesse, 1er étage
- Piscine intérieure Sophie-Barat, 10851, rue Saint-Charles
- YMCA Cartierville, 11885, boulevard Laurentien
(Source : Arrondissement)
Il y aura également assemblée publique de consultation et séance extraordinaire du conseil d’arrondissement au cours des prochaines semaines. L’assemblée publique de consultation du 3 septembre portera sur deux points, soit l’agrandissement du 555, Gouin Ouest (Centre d’hébergement Notre-Dame-de-la-Merci), et la transformation d’un bâtiment en mosquée. Le public est invité à se prononcer sur les deux projets. Par ailleurs, une séance extraordinaire du conseil d’arrondissement aura lieu le jeudi 10 septembre à 19 h pour la présentation du plan triennal d’immobilisations (PTI) et du budget de l’arrondissement. (Par Christiane Dupont et Mélanie Meloche-Holubowski)
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LE COIN COMMUNAUTAIRE
stimulantes : relation d’aide, implication citoyenne, consultations juridiques en plus de divers cours, conférences et ateliers. Nous vous attendons le 10 septembre prochain dès 13 h 30, au 1586, rue Fleury Est, porte 100, pour découvrir la nouvelle programmation de l’automne et vous inscrire aux activités. Pour toute information, contactez-nous au 514 388-0980 ou consultez notre site Internet www.cfse.ca. (Source : Centre des femmes)
514 856-3553, poste 4. La liste complète des formations du quartier est disponible sur formationcartierville.org. (Source: CABBC)
514 856-3553, poste 4 ou agentliaison@cabbc.org (Source : CABBC)
c514 382-0735, poste 223. Le CANA est situé au 10780, rue Laverdure, près du métro Henri-Bourassa. Pour en savoir plus, visitez notre site web http://www.cana-montreal.com ou notre page Facebook. (Source : CANA)
LE COIN DES COMMERÇANTS
Sur FLO
Les mercredis piquenique se poursuivent au parc Tolhurst. Avis aux intéressés (ées) : il y aura une opération « Vide ton garde-robe » le mercredi 9 septembre prochain. Apportez les fringues que vous ne portez plus!
Les Cavistes font leur rentrée avec leurs ateliers de dégustation hebomadaires. In vino veritas!
Sur La Promenade
organise sa vente-trottoir automnale, du 10 au 13 septembre. La rue Fleury Est
sera piétonne seulement les 11 et 12 septembre, entre Saint-Hubert et Papineau.
Pour la durée de la campagne électorale fédérale, le Bloc Québécois occupera l’ancien local de Québec Solidaire, au 1591, rue Fleury Est, à côté du Havre des Glaces, jusqu’au 19 octobre prochain.
Par ailleurs, le Parti libéral du Canada de la circonscription Ahuntsic–Cartierville occupera l’ancien local du Café crème, le temps de la campagne fédérale, au numéro 1499a, rue Fleury Est.
Autres commerces
Une contribution volontaire est suggérée. Remis au lendemain si forte pluie. Passez le mot et bon anniversaire!
La Salaison St-André a reçu la visite d’un journaliste du Journal de Montréal, Stéphan Dussault, qui prépare un reportage sur les commerces qui offrent des viandes exotiques, notamment. Ce qui est le cas du commerce d’André Savoie, qui rappelle qu’il vend du crocodile et d’autres viandes que l’on ne trouve pas à tous les coins de rue… Le reportage devrait paraître ce week-end ou le prochain. Voilà qui promet d’être croustillant.
QUOI FAIRE…QUOI FAIRE…QUOI FAIRE…QUOI FAIRE…
Encore plus de samedis de « Souks sur Gouin Ouest » pour animer le cœur de Bordeaux–Cartierville! Les samedis de marché en plein air ou « Souks » sur le boulevard Gouin Ouest sont de retour! Jusqu’au samedi 12 septembre, de 10 h à 17 h, les tentes d’une vingtaine de marchands éphémères sont regroupées sur un seul site, devant l’église Notre-Dame-des-Anges (5986, boulevard Gouin Ouest), face à l’Hôpital du Sacré-Cœur. Ce marché en plein air d’inspiration européenne et africaine vient compléter l’offre commerciale du boulevard Gouin. Les commerçants du boulevard Gouin Ouest sont aussi de la fête : plusieurs participent en sortant leurs marchandises sur le trottoir devant leur commerce ou en occupant un espace aux Souks. Pour s’informer ou
pour obtenir un espace gratuit aux samedis « Souks » sur Gouin Ouest, on visite
le site www.gouinouest.com. (Source : CDEC)
Soirée tzigane par Sergeï et Olga Trofanov. Retrouvez Sergeï et ses musiciens pour un voyage dans les pays de l’Europe de l’Est. Souper-spectacle 44,95 $. (Source : Le Rendez-vous du thé)
Pour clôturer notre saison d’été et partager un beau moment tous ensemble, nous vous invitons à participer à notre tournoi de soccer familial. Ce sera également l’occasion de partager un barbecue! Information et inscription au 514 382-0735, poste 225. (Source : CANA)
La première édition du Festival du Jasmin tunisien à Montréal aura lieu au Parc Henri-Julien, au 9300, rue Saint-Denis. Plusieurs activités de divertissement sont offertes sur place, de 10 h à 23 h, et deux billets d’avion avec séjour Montréal-Tunis seront tirés. (Source : Festival Tunisien)
Hommage à Joe Dassin par Raphael Torr. Doté d’une solide expérience de scène ainsi que d’une voix chaude et grave naturellement semblable à celle de Joe Dassin, l’interprète, Raphaël Torr, fait revivre les plus grands classiques de Dassin. De Salut les amoureux à L’Amérique, en passant par Les Champs-Élysées et L’Été indien, c’est un véritable voyage dans le temps qui vous attend. Le spectacle de celui qu’on désigne comme « le meilleur interprète de Joe » devient vite une véritable fête à la mémoire de Dassin. Souper-spectacle 44,95» $. (Source : Le Rendez-vous du thé)
Animation en danse et musique traditionnelle québécoise sur l’avenue Park-Stanley. La Société pour la promotion de la danse traditionnelle québécoise – SPDTQ/Espacetrad – aura le plaisir d’animer la nouvelle rue piétonne estivale sur l’avenue Park-Stanley, près du pont Viau. La SPDTQ/Espacetrad invite la population à faire l’expérience du Trad : sets carrés, contredanses, démonstration de gigue et valses sont au programme. Pour plus d’information, visitez le site http://espacetrad.org/2015/07/03/animations-en-danse-cet-ete-dans-ahuntsic/. Apportez votre pique-nique! (Source : SPDTQ)
Invitation à la Fête champêtre, édition 2015, Le partage des fruits de l’amitié.
Le dimanche 30 août, la Société des chefs, cuisiniers et pâtissiers du Québec (SCCPQ), région de Montréal, organise son grand repas champêtre annuel avec la participation de sœur Angèle Rizzardo, de l’honorable maire de Montréal Denis Coderre ainsi que de Pierre Gagnier, maire d’Ahuntsic–Cartierville. Le tout se déroulera sous un chapiteau installé sur le terrain de la communauté de sœur Angèle (l’Institut Notre-Dame du Bon-Conseil de Montréal), situé au 665, boulevard Gouin Est à Montréal. Cette année, la fondation Les Œuvres Marie Gérin-Lajoie, du nom de la fondatrice de la communauté des Sœurs du Bon-Conseil, soulignera son 25e anniversaire. Le prix du billet est de 25$ par personne. Vous apportez votre boisson et il y aura du vin du Québec en vente sur place au profit des fondations soutenues par sœur Angèle. (N’oubliez pas d’apporter vos verres). Début à
10 h 30 avec messe suivie d’un généreux repas buffet vers 12 h 30. Réserver avant le
23 août par téléphone, au 450 978-1964, ou par courriel à l’adresse gilles.deschenes123@videotron.ca, votre paiement confirmant votre réservation. Payer par chèque au nom de la SCCPQ, région de Montréal, et poster le tout au 123, 69e Avenue, Laval (QUÉBEC) H7V 2N7.
Sissan (Musique du Burkina Faso) par Sarah Milis, Daouda Sanou et Julien Bidar. Sissan est né de l’heureuse rencontre entre des musiciens en quête de découverte, d’harmonie et de renouveau. Fortement inspirés des rythmes et des mélodies Burkinabés, ils s’autorisent par ailleurs quelques incursions dans l’improvisation plus libre et les formes occidentales, offrant un métissage à l’équilibre fragile qui altère nos perspectives et notre rapport à la musique. Ce sera une soirée exotique en compagnie de Sarah Milis au violon et au chant, Daouda Sanou Ledon au n’goni et au chant, Julien Bidar au saxophone et Benjamin Tremblay-Carpentier et harmonica et à la guitare. Entrée libre – contribution volontaire (Source : Le rendez-vous du thé)
Le mercredi 2 septembre à 13 h 30
Faire face à la fraude
Découvrez comment vous prémunir contre la fraude et les arnaques courantes, notamment la fraude téléphonique et la fraude en ligne. Activité présentée en collaboration avec Tandem Ahuntsic–Cartierville. (Source: Arrondissement)
Chansons humoristiques à saveur burlesque. Lili Patente, c’est de la chanson française des années vingt à cinquante, avec une touche actuelle et un brin de fantaisie. Mistinguett, Josephine Baker, Bourvil, Fernandel ne sont que quelques noms parmi lesquels Lili Patente puise son répertoire. Entrée libre – contribution volontaire (Source : Le Rendez-vous du thé)
Létourneau chante et rechante. Pierre Létourneau chante et raconte sa vie d’auteur-compositeur-interprète. Une Boîte à chansons, Tous les jours de la semaine à Jeunesse d’aujourd’hui, sa collaboration avec Nicole Martin (Laisse-moi partir), son quinzième album avec Tout de toi et Les Bébés-Boomers. Michel Robidoux, le frère qu’il aurait aimé avoir, l’accompagne à la guitare. On rit, on pleure, on écoute, on respire et on chante. Souper-spectacle 44,95 $, (Source : Le Rendez-vous du thé)
Observation ornithologique au Parc de la Coulée à Terrebonne. Un autre magnifique site à découvrir en ce début possible de la migration d’automne. Une belle occasion pour voir les passereaux migrateurs avant leur grand départ, dont les parulines en plumage d’automne. Départ du chalet de l’Île-de-la-Visitation. Covoiturage disponible pour 5 $. Ceux désirant se rendre directement pourront se rendre à l’École Les Trois Saisons, 1658, boulevard des Seigneurs (en haut de la côte, stationnement du côté droit) pour environ 8 h 30. Sortie gratuite pour les membres, 3 $ pour les non-membres. Information : 438 338-4138. (Source : COA)
Hommage à Piaf par Marc-André Cuierrier. Un habitué du Rendez-vous du thé, Marc-André Cuierrier, pianiste accompagnateur chevronné et choriste depuis plus de 25 ans (Tocadéo, Angélique Duruisseau, Catherine Sénart, Patsy Gallant, Céline Faucher et plusieurs autres), vous convie à un hommage à la grande Édith Piaf! La foule, Padam, Je ne regrette rien, ainsi que d’autres surprise de son répertoire étendu, le tout en s’accompagnant au piano. Souper-spectacle 44,95 $. (Source : Le Rendez-vous du thé)
Combinez une sortie au musée et aux souks. Le Musée des sœurs de Miséricorde invite le public à combiner une sortie au musée et aux souks sur Gouin Ouest. À ces dates, le Musée offre des visites sans rendez-vous, départs à 10 h 30 et à 14 h. Pour information : 514 332-0550, poste 1-393 ou museemisericorde.org. (Source : Musée des sœurs de Miséricorde)
Visite guidée à vélo. Sortez vos vélos et suivez nos guides au cœur de l’histoire d’Ahuntsic. Du parc-nature de l’Île-de-la-Visitation au parc Nicolas-Viel, nous suivrons la piste cyclable du boulevard Gouin à la découverte des trésors patrimoniaux de l’arrondissement. Sur réservation : 15 $, apportez votre vélo et votre casque. (Source : Cité Historia)
C’EST EN ÉCRIVANT QU’ON DEVIENT ÉCRIVAIN! Si votre tête bourdonne d’histoires qui s’évanouissent dès que vous voulez les écrire, si vous aimez jouer avec les mots, si vous désirez rencontrer de nouvelles personnes intéressantes, venez vous amuser en groupe à L’Atelier de création littéraire animé par Pauline Dion, auteure et animatrice retraitée. Activité gratuite et inscription obligatoire.
Début : 10 septembre 2015
Quand : les jeudis de 14 h à 16 h
Fréquence : aux deux semaines
Coordonnées : Entraide Ahuntsic-Nord, 10780 rue Laverdure,
514 382-9171, pauline.dion@videotron.ca
(Source: Pauline Dion)
Autres idées d’activités sans date précise
Programmation des fins de semaine (vendredi, samedi, dimanche) du 26 juin au
6 septembre :
Vendredi : évaluation de la condition physique, de 18 h à 21 h
Samedi : évaluation de la condition physique, de 10 h à 13 h
Chasse au trésor GPS (géocaching) le jour sur le Parcours Gouin
Yoga en plein air avec Pop Yoga, de 18 h 30 à 19 h 30
Dimanche : évaluation de la condition physique, de 10 h à 13 h
Escouade Energiz’toi, de 13 h à 16 h
Chasse au trésor GPS (géocaching) le jour sur le Parcours Gouin
Cours de cardiovélo en plein air avec les Loisirs Sophie-Barat, de 9 h 15 à 10 h 15
Volleyball de plage, de 13 h 30 à 15 h 30 (Source : Arrondissement)
Jusqu’au 5 septembre est présentée l’exposition Avoir du panache, réalisée par le sculpteur et photographe Simon Beaudry. Des ateliers d’animation accueillent les clubs de vacances et les jeunes de l’arrondissement ainsi que leurs parents. Une grande murale installation sera créée à partir des œuvres réalisées par les quelque 300 jeunes qui y participeront pendant l’été. Inscrivez-vous dès maintenant en téléphonant
au 514 872-8749. (Source: Arrondissement)
Que ce soit pour jouer au tennis, au soccer, au football ou encore pour vous rafraîchir dans une de nos piscines ou pataugeoires, visitez les différentes installations de l’arrondissement. Consultez le Bulletin aux pages 10, 11 et 26 pour connaître l’horaire et les emplacements. (Source : Arrondissement)
au parc-nature de l’Île-de-la-Visitation. C’est une heure
de randonnée agréable et stimulante à travers les sentiers. Chacun se balade à
son rythme, en bonne compagnie et dans la bonne humeur. C’est
gratuit pour les membres de l’ARA (la carte pour l’été ne coûte que 6 $). Rien à
réserver : il suffit de se présenter. Les lundis matin à 9 h 30 (sauf
en cas de pluie) au bistro du parc de la Visitation (10897, rue du Pont, en prenant par le boulevard Gouin, un peu à l’ouest de De
Lorimier). (Source : ARA)
Numéros de téléphone utiles
Bibliothèque d’Ahuntsic : 514 872-0568
Bibliothèque de Cartierville : 514 872-6989
Bibliothèque de Salaberry : 514 872-1521
Café de Da : 514 872-5674
Le Rendez-vous du thé : 514 384-5695
Maison de la culture : 514 872-8749
* Les renseignements de la section « Quoi faire » sont publiés à titre indicatif. C’est avec plaisir que journaldesvoisins.com corrige les coquilles, mais il ne peut être tenu responsable d’erreurs ou d’omissions.
La Société des amis du journaldesvoisins.com…
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Nous reconnaissons la contribution financière du ministère de la Culture et des Communications du Québec dans la réalisation de journaldesvoisins.com.
Nous reconnaissons la contribution financière du Fonds d’économie sociale de la Corporation de développement économique (CDEC) Ahuntsic–Cartierville dans la réalisation de journaldesvoisins.com.
- –-Cartierville, édition 2014
- Mention Coup de cœur du jury au Concours québécois en entrepreneuriat, CQE Est de Montréal, édition 2014
- Participant à la finale régionale de Montréal au Concours québécois en entrepreneuriat, édition 2014, dans la catégorie Économie sociale
Journaldesvoisins.com :
- Gagnant de cinq (5) Prix d’excellence au congrès annuel 2015 de l’Association des médias écrits communautaires du Québec (AMECQ): catégories « nouvelle », « reportage », « entrevue », « photo de presse », et 2e meilleur média.
- Gagnant d’une bourse de 5000 $ au concours Entreprenez à Ahuntsic-Cartierville, édition 2014
- Mention Coup de cœur du jury au Concours québécois en entrepreneuriat, CQE Est de Montréal, édition 2014
- Participant à la finale régionale de Montréal au Concours québécois en entrepreneuriat, édition 2014, dans la catégorie Économie sociale
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Conseil d’administration : Paul Guay, FCA, président; Pierre Foisy, PhD., vice-président;
Me Hugo Hamelin, secrétaire; Douglas Long, trésorier; Maryse Henri, administratrice (représentant les OBNL); Yves Bonneau, administrateur (représentant les commerçants et les gens d’affaires), Pascal Lapointe, administrateur, et Liliane Gingras-Lessard, administratrice.
Éditeur et cofondateur : Philippe Rachiele.
Conseiller Média : Éric Lescure, 514 506-8665, ou publicitedesvoisins@gmail.com
Rédactrice en chef et cofondatrice: Christiane Dupont
Rédacteur en chef adjoint : Alain Martineau.
Rédactrice en chef, été 2015: Mélanie Meloche-Holubowski
Rédacteurs en chef adjoints suppléants : François Barbe, Mélanie Meloche-Holubowski
Photographes: Philippe Rachiele, Élaine Bissonnette, François Lauzon
Journalistes, version Web : Christiane Dupont, Philippe Rachiele, Alain Martineau, Rabéa Kabbaj, Mélanie Meloche-Holubowski, Elizabeth Forget-Le François, et Raluca Tomulescu.
Journalistes, version papier : Alain Martineau, François Barbe, Mélanie Meloche-Holubowski, Rabéa Kabbaj.
Journalistes et collaborateurs à la rédaction:Diane Éthier, Laetitia Cadusseau, Justine Castonguay-Payant, Sandrine Dussart, Samuel Dupont-Foisy, Laurent Gariépy, Geneviève Poirier-Ghys, Julie Dupont, Patrick De Bortoli, Hélène Maillé, Nacer Mouterfi, Gabrielle Ramain, et Daphné Dupont-Rachiele.
Photos : Philippe Rachiele.
Conception graphique originale version papier et nouveaux logos : Nacer Mouterfi
Mise en page : Philippe Rachiele, Christiane Dupont et Nacer Mouterfi.
Illustrations originales : Claire Obscure.
Caricaturiste : Florence Tison.
Correction/révision, version Web : Christiane Dumont.
Correction/révision, version papier : Samuel Dupont-Foisy, Geneviève Chrétien, et Christiane Dumont.
Réseaux sociaux : Christiane Dupont, Mélanie Meloche-Holubowski, Philippe Rachiele.
Impression, version papier : Hebdo Litho inc.
Distribution, version papier : journaldesvoisins.com
Dépôt légal, version papier : BNQ – ISSN1929-606
Dépôt légal, version Web : BNQ – ISSN1929-607X
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