Les Actualités du 29 avril 2016
ASSEMBLÉE GÉNÉRALE DES MEMBRES LUNDI 16 MAI, 19 h, Centre communautaire Ahuntsic, 10780, rue Laverdure.
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Gala annuel de l’AMECQ
Journaldesvoisins.com, 2e meilleur média!
Deux de ses artisans raflent un 1er prix!
C’est par un seul point (encore une fois!) que journaldesvoisins.com s’est fait coiffer au poteau du meilleur média communautaire de l’année au concours des Prix de l’AMECQ lors du gala qui avait lieu à l’Hôtel Clarion de Québec, le week-end des 23 et 24 avril. C’est le média « Autour de l’île », de l’île d’Orléans, qui a remporté la mise. Mais Philippe Rachiele, éditeur, photojournaliste, et cofondateur du journaldesvoisins.com, était tout sourire en allant chercher, au nom de tous les artisans du journaldesvoisins.com, leur prix de reconnaissance.
Les résultats sont à la hauteur du travail considérable et soutenu fourni tout au long de l’année par l’équipe du journaldesvoisins.com et à la hauteur, nous le croyons sincèrement, des attentes de ses lecteurs et lectrices, résidants d’Ahuntsic-Cartierville comme continuent à en témoigner nos lecteurs ici.
Finalistes
Au chapitre des reconnaissances individuelles, il y avait huit catégories dans lesquelles journaldesvoisins.com a présenté des dossiers de candidature : nouvelle, reportage, entrevue, article d’opinion, chronique, critique, photographie de presse, et conception graphique. Journaldesvoisins.com a été mis en nomination dans cinq des catégories, soit reportage (Mélanie Meloche-Holubowski, pour « De la Syrie à Ahuntsic-Cartierville – Les enfants de la guerre à l’école Sourp Hagop »); entrevue (Elizabeth Forget-Le François, pour « Mario Merola, une explosion de vie sur 84 ans bien remplis); article d’opinion (Christiane Dupont, pour « Un patrimoine bâti à protéger »); photographie de presse (Philippe Rachiele, pour « Sur La Promenade : le Rocket à l’honneur! »); conception graphique [Nacer Mouterfi, pour vol. 4, no 6 – décembre 2015]. De ces nominations nombreuses comme finalistes, journaldesvoisins.com a raflé les premiers prix en reportage et en article d’opinion, ce qui n’est pas rien!
Félicitations!
En conseil d’administration, jeudi soir, le président Paul Guay, a proposé une motion de félicitations à l’ensemble de l’équipe pour l’excellent travail accompli tout au long de la dernière année et les reconnaissances remises aux artisans, à titre individuel, et à l’équipe du deuxième meilleur média de l’année!
Le gala des Prix de l’AMECQ avait lieu samedi 23 avril, en soirée, alors que s’achevait le congrès le lendemain matin, lors d’un brunch-conférence des plus intéressants portant sur les expériences de journalisme communautaire ayant eu des impacts sur la vie de leurs quartiers et de leurs communautés. Quarante-quatre médias étaient représentés au congrès et une centaine d’invités se sont pressés à la soirée de gala du samedi soir. Cent trente personnes prenaient part au congrès dont le thème de l’année était : “Trente-cinq ans d’information locale!”
Un service public
Soulignons que les médias communautaires sont de plus en plus présents sur les scènes locales et régionales alors que les joueurs majeurs de l’industrie de la presse régionale retirent de plus en plus leurs billes sur les scènes locales et régionales, invoquant une baisse de rentabilité ou, plus pudiquement, un changement de « paradigme » ou de « modèle d’affaires », quand ils ne décident pas de vendre carrément leur participation dans les journaux locaux ou régionaux.
Dans plusieurs régions du Québec — -et même de Montréal — , plusieurs journaux communautaires sont désormais le seul lien de transmission existant entre les citoyens et la nouvelle, l’information essentielle à la bonne marche de la société civile. Plus que jamais, les journaux communautaires offrent un service public nécessaire et sont un espace d’échange important. (C.D.) (2016-04-26)
Présages
Remue-ménage se porterait acquéreur
Au moment de mettre sous presse, nous n’avions pu joindre la directrice générale de la Fondation, Nicole Ouellet. Plus d’infos à venir.
Pour en savoir plus sur Remue-Ménage, cliquez ici.
Pour en savoir plus sur la planification stratégique des prochaines années pour la Fondation Berthiaume-du-Tremblay, cliquez ici.
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Site de Cité historia
Il y aura de l’animation historique cet été
. Le resto pourra peut-être rouvrir pour l’été
. Le syndic devait envoyer les relevés 24 aux parents
Ainsi, la conseillère Lorraine Pagé a déclaré cette semaine en entrevue à journaldesvoisins.com que la Ville discute présentement avec des OBNL avec comme objectif de rouvrir la Maison du Pressoir et de rendre son exposition disponible aux visites par les citoyens, si possible pour la Journée des musées qui a lieu dimanche 29 mai.
En ce qui concerne le Bistro des Moulins de la Maison du Meunier, la réouverture est plus incertaine, du moins pour la fin mai, de signaler Mme Pagé. Quelques OBNL du secteur de la restauration ont été approchés par le service des Grands parcs, mais il faut revoir l’offre de restauration. Si une entente se conclut d’ici l’été, ce serait sans doute un projet-pilote, de préciser la conseillère Pagé. « Il faut voir si ce serait simplement un café, ou un restaurant pouvant offrir un repas plus élaboré, mais les citoyens semblent apprécier de pouvoir juste y faire une halte pour se restaurer tout en profitant du paysage, de déclarer Mme Pagé tout en précisant que le local est plutôt petit pour un restaurant et qu’il y a quelques travaux à y effectuer pour le rendre plus propice à offrir le service à long terme.
Relevés 24
Lors de la période de questions du conseil d’arrondissement de mars dernier, une résidante du Sault-au-Récollet dont les enfants avaient fréquenté le camp de jour de Cité historia l’été dernier, Geneviève Reed, avait demandé à Mme Pagé, comment et quand elle pourrait obtenir les relevés 24 nécessaires à la préparation de sa déclaration de revenus.
Mme Pagé s’est renseignée et a transmis l’information à la citoyenne : c’est le syndic qui devait se charger de faire parvenir les relevés 24 aux parents ayant inscrit leurs enfants au camp de jour de l’été dernier. Renseignements pris auprès de Mme Reed, elle a bien reçu ses relevés 24. (C.D.) (2016-04-29)
Pour connaître la programmation de la Journée des musées, cliquez ici.
L’obstétrique de l’Hôpital du Sacré-Coeur
Soixante ans au compteur!
En 1964, l’Hôpital du Sacré-Cœur a enregistré le plus grand nombre de naissances au Canada avec 4000 bébés. Aujourd’hui, on y enregistre environ 2000 naissances par année.
Le docteur Robert Laurin, qui est maintenant retraité, a toujours habité tout près de l’hôpital. Il a réalisé à lui seul plus de 5 200 accouchements pendant sa carrière à Sacré-Cœur. « Je demeurais à peine à 300 pieds de l’hôpital et j’avais mon bureau à la maison. J’étais donc le ‘’ dépanneur’’ – quand on ne pouvait pas joindre le médecin, on me demandait de venir faire l’accouchement », raconte Dr Laurin, qui dit avoir conservé les notes de tous ces accouchements.
Sanatorium d’abord
Le département Sainte-Marie a été d’abord mis sur pied par le docteur Jacques Gougoux pour aider les jeunes mamans atteintes de tuberculose. Rappelons qu’à ses origines, l’Hôpital du Sacré-Cœur de Montréal était un sanatorium. Peu à peu, le département a regroupé tous les services liés à l’obstétrique et à la gynécologie.
Au début, le département comptait trois services : le service d’obstétrique, le service post-partum et la pouponnière. La première infirmière chef du Service d’obstétrique était Lina Millette Charland; elle y travaillera jusqu’en 1979. Sa fille, Françoise Mérel a été institutrice-clinique à Sacré-Coeur, puis infirmière, pendant 40 ans. « Ma mère et moi, les membres de ma famille, on a travaillé plus de 100 ans à Sacré-Cœur. »
Jusqu’en 1970, les infirmières étaient formées directement dans les écoles; puis la formation a été transférée dans les cégeps et les universités. À l’Hôpital du Sacré-Cœur de Montréal, 1196 diplômées ont été formées à cette école. « Ma mère m’a formée et m’a transmis sa passion. Ma mère avait quatre enfants et a travaillé à temps plein au département. Elle a été une grande source d’inspiration pour moi », dit Mme Mérel.
Changements au fil des ans
À cette époque, les femmes étaient souvent endormies pendant l’accouchement, puis alitées de cinq à sept jours. Le père n’était pas présent à l’accouchement et le nouveau-né était rapidement transféré à l’une des quatre pouponnières. L’accès était interdit même aux parents, en dehors des heures de visite.
Les parents pouvaient faire baptiser leur enfant sur place et jusqu’en 1967, des coupes de champagne étaient mises à la disposition des parents pour célébrer l’occasion. Puis, dans les années 70 et 80, Mme Mérel, Dr Laurin et les autres employés de Sacré-Cœur ont assisté à la remise en question des pratiques médicales liées à l’accouchement. À travers la province, on questionne notamment le contrôle qu’exerçait le corps médical sur la grossesse et l’accouchement. Vers la fin des années 80, Mme Charland et Mme Mérel ont donc participé à l’avènement de l’accouchement conscient et naturel. « Les femmes voulaient accoucher, pas se faire accoucher », dit Mme Mérel.
L’arrivée au sein du service du Dr Pierre Duberger a été déterminante pour la transformation des soins obstétricaux à Sacré-Coeur. « Il avait une très grande ouverture d’esprit. Si un père voulait être dans la chambre d’accouchement et couper le cordon ombilical, il le laissait, même si ce n’était pas la pratique à l’époque », explique Mme Mérel.
Puis, il y a eu la période du syndicalisme, se rappelle Mme Mérel. De nombreuses grèves ont perturbé les services à l’hôpital. « Les services essentiels n’existaient pas. Ma mère a couché à l’hôpital pendant trois semaines pour assurer des services », raconte Mme Mérel, tout en ajoutant que sa mère soutenait les grévistes. « C’était un épisode crève-cœur. J’étais moi-même sur les piquets de grève, alors que ma mère était à l’intérieur. »
De nombreuses premières médicales
De nombreux médecins omnipraticiens ont également joué un grand rôle dans l’avancement des pratiques d’obstétrique. Le docteur Jacques Lorrain, gynécologue, a développé une expertise dans le suivi des femmes enceintes avec groupe sanguin +Rh négatif. Le département a vécu une première médicale avec la transfusion intra-utérine au foetus pour prévenir l’érythroblastose fœtale.
Par ailleurs, le docteur Gilles Desaulniers a été un précurseur dans l’informatisation du registre des naissances et dans la réalisation d’interventions par laparoscopie sous anesthésie.
Pour leur part, Mme Charland et sa fille ont aussi réussi à augmenter de 33 % à 88 % le nombre de femmes qui allaitaient.
Aujourd’hui, l’Unité mère-enfant, gynécologie, offre une gamme de services reliés à la maternité et à la santé des femmes et est un centre de référence régional en traumatologie maternelle. On y trouve 27 lits de maternité et de gynécologie et un bloc obstétrical de six chambres de naissance. Un service de visites prénatales est offert aux futurs parents.
L’équipe des soins infirmiers compte une centaine de personnes et travaille étroitement avec l’équipe médicale composée de sept spécialistes gynécologues et obstétriciens ainsi que de treize médecins accoucheurs.
Enfin, l’équipe de soins a entamé des démarches pour obtenir la certification d’hôpital ami des bébés, de l’UNICEF et de l’Organisation mondiale de la santé (OMS). (Par Mélanie Meloche-Holubowski) (2016-04-28)
Des écoles au maximum de leur capacité…
Des élèves seront transférés
La raison derrière ces nombreux transferts? Plusieurs écoles de la CSDM débordent et les directeurs sont obligés de jouer à un jeu d’échecs, forçant certains de leurs étudiants à être déracinés. Plusieurs parents ahuntsicois ont d’ailleurs reçu une lettre au cours des dernières semaines les avisant que leur enfant risque d’être transféré à l’automne.
En 2015, quelque 12 000 enfants de la CSDM étaient inscrits en tant qu’élève en libre-choix. En 2016, ils ne sont plus que 6500.
La situation risque encore d’évoluer au cours des prochains mois; « les chiffres peuvent être révisés à la baisse ou à la hausse à cause des déménagements », explique la directrice de l’école Ahuntsic, Louise Joly.
Cinq à l’école Ahuntsic
D’ailleurs, Mme Joly confirme qu’à son école, au moins cinq élèves en libre-choix devront retourner dans leur école de quartier l’année prochaine. « Les parents sont compréhensifs, même si certains sont inquiets », dit la directrice, Louise Joly. La situation n’est pas idéale, admet-elle. « Les parents qui choisissent le libre-choix s’exposent à ce risque ».
Mais les écoles d’Ahuntsic-Cartierville sont au maximum de leur capacité, donc le risque de transfert pour les élèves en libre-choix et de plus en plus élevé, explique-t-elle.
Avant même la fin de l’année scolaire, l’école Ahuntsic fonctionne déjà à plein rendement avec 475 inscriptions pour la prochaine année scolaire. « Les inscriptions rentrent encore. Mais je n’ai plus de local… », dit-elle, en ajoutant que le quartier attend avec impatience la construction de la nouvelle école. « Mais, ça ne sera pas fait avant quelques années. »
Mme Joly ajoute que lorsqu’elle doit faire face à un problème de capacité, elle choisit en premier lieu les élèves en libre-choix qui n’ont pas de frère ou de sœur à l’école.
Pas à Saint-Benoît pour l’instant
Pour l’instant, l’école Saint-Benoît n’a pas besoin de transférer des élèves en libre-choix vers leur école de quartier. Toutefois, les classes de maternelle et de deuxième cycle sont pleines, dit la directrice, Sandra Michel. En fait, au début du mois d’avril, l’école a suffisamment d’inscriptions pour 19 groupes, alors qu’il n’y a que 18 locaux qui sont libres. « On s’organise comme on le peut », dit Mme Michel. (Par Mélanie Meloche-Holubowski) (2016-04-29)
Défi sportif AlterGo à Claude-Robillard
Jeux du Québec: tournée de la flamme
C’est de ce lieu que s’est amorcée la tournée de la flamme des Jeux du Québec qui fera une vingtaine d’arrêts durant sa tournée, qui prendra fin le 17 juillet, à l’Hôtel de ville de Montréal, journée d’ouverture de la Finale des Jeux du Québec.
La 33e édition du Défi sportif AlterGo qui se déroule notamment au Centre sportif Claude-Robillard, du 25 avril jusqu’au 1er mai, a réuni 4000 jeunes de l’élite et de la relève de toutes les déficiences. Chaque année, quelque 5 000 athlètes en provenance d’une vingtaine de pays se donnent rendez-vous pour sept jours de compétitions à Montréal et sur la Rive-Sud.
Il s’agit là d’une dernière manifestation sportive de cette nature avant les Jeux paralympiques de Rio de 2016. (C.D.) (2016-04-29)
Pour en savoir plus sur le Défi sportif AlterGo, cliquez ici.
Pour en savoir plus sur les Jeux du Québec, cliquez ici.
Arbres matures dans A-C
Beaucoup d’abattage d’arbres pour les 5 prochaines années
Le passage des chenillettes, problématique
Q. Mme Despars, des trois arbres qui ont été abattus devant la maison de Mme Moïse, il y avait non seulement un frêne, mais aussi deux érables…
R. Deux érables argentés qui avaient atteint leur fin de vie sécuritaire. Malheureusement, sur Grande Allée, tous les arbres ont été plantés la même année.
Q. Combien d’arbres matures sont abattus dans l’arrondissement chaque année?
R. Je ne pourrais pas vous le dire. Mais on a la problématique du frêne : autour de 1000, cette année. Quant aux érables de Norvège sénescents, on devra renouveler ceux qui ont beaucoup de caries, des chancres et des problèmes de structure au cours des cinq prochaines années.
Les ravages des chenillettes
Q. La machinerie utilisée pour le déneigement des trottoirs peut-elle nuire aux arbres?
R. Oui. Hiver après hiver, les chenillettes provoquent des bris sur les arbres matures, qui subissent des blessures au tronc ou au pied, mais aussi sur les jeunes arbres qui sont parfois fauchés.
Q. Est-ce à cause de la façon de manœuvrer ces engins?
R. C’est possible, mais on n’en est jamais sûr. Des amoncellements de neige ou de glace font que les parcours ne sont pas toujours rectilignes. C’est le cas sur Grande Allée, où les arbres sont en banquettes.
Q. Est-ce là que le problème se pose le plus?
R. Le phénomène est courant. Je pense à des rues comme d’Auteuil et Foucher.
Q. Y a-t-il moyen d’y remédier?
R. Oui, en ce moment, le directeur des Travaux publics élabore un plan. La première étape concerne la sensibilisation du personnel et la deuxième, c’est d’évaluer si la machinerie est adéquate pour les rues. On n’a pas encore les conclusions, mais rien n’est exclu.
Le choix des essences
Q. Que signifient les lignes blanches tracées sur le pavé?
R. Elles indiquent l’emplacement de plantations. Pour ce printemps, juste sur Grande Allée, on en a prévu 30.
Q. Quelles essences privilégiez-vous?
R. Du fait de l’absence de ligne électrique, on a pu aller avec des ormes, des érables argentés, mais aussi d’autres sortes d’érables, comme les acer freemanii, quelques chênes et des arbres à petit déploiement, comme des amélanchiers. On a vraiment diversifié tout en maintenant une cohésion.
Q. Quels sont vos critères?
R. Depuis l’année dernière, on ne laisse plus le citoyen choisir l’essence. On plante tellement sur une grande échelle qu’on doit prendre beaucoup de critères en compte : les fils électriques, les lampadaires, les bornes d’incendie, les entrées d’eau des citoyens… Dans Ahuntsic toutes les entrées d’eau, éventuellement, seront refaites. Ce serait bête de perdre un arbre.
Q. Combien de temps faudra-t-il pour que les rues récupèrent leur couvert arboricole?
R. Un arbre mature, de la grosseur qu’avaient atteint les frênes et les érables, on parle d’une trentaine d’années.
Les plantations
Q. Qu’est-ce qui explique que les deux arbres qui ont été plantés en 2014 et 2015 devant la maison de Maggy Moïse n’aient pas survécu à leur première année?
R. Dans les faits, il n’y en a que 1 % ou 2 % qui ne survivent pas à une transplantation. Ils peuvent avoir eu une maladie quand ils étaient en champ. Ou il a fait trop chaud, l’arbre a manqué d’eau. Quand il y a des sécheresses, on suggère fortement aux citoyens de les arroser.
Q. Pour Mme Moïse, avec ces arbres transplantés qui sont morts, on a perdu un temps précieux.
R. Pour nous, sur une échelle de 30 ans, c’est vraiment minime. Ce n’est pas un an ou deux qui va faire en sorte qu’elle perd énormément du point de vue des bienfaits écologiques.
Q. Mme Moïse s’est adressée à l’arrondissement et elle a compris que vous ne replanteriez plus avant d’avoir réglé la question des chenillettes. Est-ce exact?
R. Au nombre d’arbres qu’on abat présentement, on ne peut pas se permettre d’attendre. Mais on applique des mesures de prévention : l’hiver, on met des deux par quatre autour du tronc pour au moins essayer de protéger les arbres qui sont jeunes. (Par Christiane Dumont) (2016-04-29)
Cours de francisation du CACI
Un très grand nombre d’inscriptions
« Le besoin a augmenté de façon importante avec l’arrivée massive des réfugiés syriens. C’est ce qui explique pourquoi il y a beaucoup plus d’inscriptions. On a la chance de travailler dans un des quartiers les plus multiethniques de Montréal », a expliqué Anait Aleksanian, directrice générale du CACI.
Le gouvernement fédéral avait annoncé son intention d’accueillir 25 000 réfugiés syriens en 2015 et cet objectif serait maintenant dépassé si l’on se fie aux données du gouvernement fédéral qui stipule que 26 921 Syriens auraient été accueillis jusqu’à présent.
Langue commune
« C’est extrêmement important de parler français », croit Mme Aleksanian. Elle affirme que son centre accueille en moyenne 12 000 personnes bénéficiant de différents services et qu’ils sont pour la plupart « tout à fait conscients que pour s’intégrer ici, il faut absolument parler français puisque c’est la langue commune du Québec ».
Les cours sont d’une durée de 1800 heures et sont financés par le gouvernement. Le CACI offre uniquement des cours à temps partiel sur un horaire variable afin d’accommoder les travailleurs et les étudiants.
Persévérance et réussite
Mme Aleksanian constate que les nouveaux arrivants font preuve de beaucoup de volonté et de persévérance. « Ceux et celles (NDLR les réfugiés syriens) qui sont ici depuis un an, ils arrivent à communiquer d’une façon assez bien et ils en sont très fiers », a-t-elle souligné.
De manière générale, il ne semble pas difficile pour les intervenants du CACI de convaincre les nouveaux arrivants de s’inscrire aux cours de francisation, selon la directrice générale. « Les gens sont suffisamment motivés et intéressés, c’est à peu près la première chose qu’ils font dès leur arrivée », a-t-elle insisté.
Service d’accompagnement
Le CACI est un organisme à but non lucratif qui existe depuis 1993. Leur mission est d’offrir un continuum de services aux nouveaux arrivants. « On offre tous les services d’accueil et d’intégration. Ce qui implique les démarches administratives, les papiers, la garderie, la recherche d’un logement, etc. », conclut Mme Aleksanian. Depuis peu, il y a également un service de régionalisation pour aider les immigrants à s’installer hors des métropoles. (Par Thomas Deshaies) (2016-04-29)
Un bel hommage rendu à un gars de Cartierville
Fernand Barrette, résidant au Manoir Gouin, et dont on a célébré les 100 ans tout récemment parle avec entrain du bon temps qu’il a passé comme « gardien » de la galerie de presse du trio d’équipes sportives professionnelles de Montréal. Et il se rappelle aussi de bons souvenirs de Cartierville.
« As-tu ta passe? »
Dans le cadre de son programme « Rêves d’Aînés », les petits frères se sont réunis au Manoir Gouin, résidence de personnes âgées au coin des boulevards Laurentien et Gouin, pour rendre un vibrant hommage à M. Barrette, un homme qui ne prend aucun médicament et qui est encore partie prenante au sein de la branche locale de l’Association québécoise des droits des retraités (AQDR) d’Ahuntsic-Saint-Laurent.
Pendant une heure, les hommages ont déferlé, des journalistes aux politiciens, accompagnés de messages des premiers ministres, sous la supervision de Béatrice Picard, marraine des Petits frères.
D’entrée de jeu, Rodger Brulotte, qui fut relationniste des Expos, n’a pas manqué de rappeler l’incontournable « As-tu ta passes? » que lançait sans arrêt M. Barrette à ceux qui se pointaient à la galerie de presse, qui n’est pas un endroit réservé qu’aux médias. Cet espace sélect accueille aussi des joueurs qui ne peuvent pas jouer, des invités du club, des amis, etc.
« J’ai vu Fernand exiger de Claude Charron (nommé ministre des Sports dans le premier gouvernement de René Lévesque et grand amateur de baseball) ou du Commissaire du baseball majeur qu’ils lui présentent leur passe (NDLR : donnant accès à la fameuse galerie de presse). Il fallait montrer patte blanche avec Fern », ajoute M. Brulotte.
Réjean Houle, ambassadeur du Canadien, s’est pointé avec un beau cadeau pour le grand partisan du Tricolore, lui offrant « une passe à vie » à M. Barrette qui lui permettra d’aller au Centre Bell et de fréquenter le club des anciens Canadiens.
La ministre québécoise responsable des ainées Francine Charbonneau qui était présente n’a pas tari d’éloges à l’endroit de M. Barrette. « Il a su inculquer des valeurs qui n’ont pas de prix », a-t-elle mentionné.
Dans Cartierville
Le maire de l’arrondissement d’Ahuntsic-Cartierville, Pierre Gagnier, a souligné à quel point M. Barrette était toujours là pour servir, même au camp d’entraînement des Expos en Floride. «Toujours une coche de plus que les autres », a indiqué l’homme politique du nord de Montréal. On t’aime, Fernand! » a conclu M. Gagnier avant de le serrer chaleureusement dans ses bras.
« Je suis ému. Mon cœur vous parle, je vous souhaite du succès à vous tous, a dit M. Barrette dans un message à tous, plus tard dans sa belle chambre tapissée de souvenirs (jetée du Canadien, bâton de hockey de Guy Lafleur, des dizaines de photos, etc.). Je ne prends pas de pilules, mes médecins ont peur de me voir tomber malade », a-t-il affirmé en souriant.
M. Barrette insistera sur ses deux religions (catholique et « sportives »). « J’ai toujours la foi, même si elle a diminué un peu », a confié celui qui a tenu à habiter « à vie » dans Cartierville. Je demeurais tout près du parc Belmont. On voyait souvent les enfants aller au parc en cachette ».
Avec le Rocket
Jeune, M. Barrette se rendait au Forum avec nul autre qu’un autre citoyen du coin, Maurice Richard, qui a habité Cartierville avant Ahuntsic. « Nous prenions l’autobus pour aller au Forum et revenir en autobus dans Cartierville. Un homme gentil, humble, ce Maurice », a-t-il dit au représentant du journaldesvoisins.com.
Avec les Expos, Mme et M. Barrette ont accueilli pas moins de 18 joueurs de l’organisation à leur maison. « Quand les matchs se terminaient, j’attendais les joueurs et, une fois à la maison, ma femme préparait des petits plats avant d’aller dormir », a-t-il souligné.
Fernand Barrette a une famille élargie; sa fille qui demeure à Halifax qui est venue le visiter vendredi dernier, les résidants du Manoir et les petits frères dont le mandat est de briser l’isolement des gens âgés seuls. (Par Alain Martineau) (2016-04-29)
Du soccer pour les jeunes au Collège BdeB
Stages immersifs de l’Impact cet été
Une première au Québec!
Connue en Europe, cette formule est nouvelle au Québec. « Les jeunes dorment sur place, ils sont nourris, blanchis et s’entraînent trois fois par jour. Du lundi matin au samedi matin, ils cohabitent et sont imprégnés de soccer. C’est ça qui est spécial », précise le coordonnateur d’Écoles de soccer de l’Impact de Montréal, Santiago Albarrazin.
Déjà, les inscriptions proviennent non seulement du Québec, mais aussi des États-Unis, d’Haïti et de France. Les parents sont attirés, selon lui, par la philosophie qui anime toute l’organisation du Bleu blanc noir.
« On sait que 94 % à 95 % des jeunes qui vont passer à travers le club ne vont pas réussir à atteindre ce but qui est de devenir un joueur professionnel. Nous, évidemment, on va chercher cette perle unique. Mais on sait en même temps que le parcours académique, c’est très important pour les jeunes qui ne vont pas réussir à atteindre la première équipe », indique-t-il.
Du pied et de la tête
« Bien sûr, ils sont entourés par des éducateurs qui sont qualifiés parce que nous, c’est notre quotidien, on est des professionnels dans ce domaine-là. Mais on se base aussi sur tout un projet pédagogique. Cela fait que les enfants, en plus de leur apprendre le soccer à proprement dit, on se base sur plusieurs points qui leur permettent de se développer en tant que personnes », renchérit le directeur d’Écoles de soccer, Nicolas Gaillard.
La joie du soccer
Nul besoin de subir une sélection pour s’inscrire à ce camp. « Les enfants sont répartis selon l’âge. Après cela, on s’ajuste pour que chacun voie une vraie progression au cours de la semaine », confie le directeur.
Et il n’y a pas que le ballon rond. D’autres activités sont au programme. « On est axés sur le plaisir, surtout au niveau du coaching, qui est très exigeant en général sur le plan des résultats. Si les enfants n’ont pas la joie de jouer, s’ils n’ont pas de plaisir, c’est plus difficile pour eux de peaufiner la technique », poursuit M. Albarrazin.
Collège BdeB
Au-delà de l’entente financière, le rayonnement apporté par « une organisation aussi prestigieuse que l’Impact » réjouit le coordonnateur des Services auxiliaires du Collège Bois de Boulogne, Patrick Kearney.
Les jeunes seront hébergés dans les résidences du cégep. Et M. Kearney fait confiance à l’encadrement important du club pour assurer leur sécurité. D’ordinaire inactive l’été, la cafétéria sera rouverte pour l’occasion. « Le menu est déjà élaboré et adapté à leurs demandes énergétiques; ils vont manger bien des pâtes. »
« On va voir les enfants surtout sur le terrain de soccer près du boulevard Henri-Bourassa, mais aussi en piscine et à la salle d’entraînement pour de la muscu (NDLR musculation), poursuit-il. Le camp ici, est un petit jalon. Qui sait? Il y aura peut-être un jour de futures vedettes qui auront foulé notre terrain de foot! ».
Ou peut-être retrouverons-nous ces jeunes à la tête d’écoles de soccer, à l’instar de M. Gaillard, qui a lui-même suivi un tel stage en Europe quand il était enfant. (Par Christiane Dumont) (2016-04-29)
Réfugiés syriens
Les enseignants du Collège Ahuntsic se cotisent et donnent 3400 $
« La situation en Syrie m’a fait réaliser l’existence de tous ces autres réfugiés. Je me demandais ce que je pouvais faire : je n’avais pas les ressources monétaires et temporelles pour parrainer un réfugié », dit Benoit Poulin. « Ma conjointe et collègue m’ont suggéré de faire appel à la communauté du SPECA (NDLR : Syndicat du personnel enseignant du collège Ahuntsic). Si individuellement il était difficile de faire quelque chose, peut-être que plusieurs petits efforts coordonnés pourraient donner des résultats. Et la meilleure chose à faire était de mettre en place une campagne de levée de fonds au bénéfice d’un organisme compétent, mais en manque de ressources ».
Le Syndicat du personnel enseignant du Collège Ahuntsic, qui compte plus de 500 membres, s’est engagé à donner 1000$ et le reste provient de dons individuels des membres du syndicat.
Dans son budget annuel, le syndicat réserve normalement entre 8000$ et 10 000$ pour appuyer divers organismes ou campagnes syndicales. (Par Mélanie Meloche-Holubowski) (2016-04-29)
Onze jeunes Inuits en visite à l’École Sophie-Barat
La ministre du Patrimoine canadien va à leur rencontre
Ces derniers avaient déjà été reçus l’hiver dernier au Nunavik lors d’un voyage effectué dans le cadre du programme Échange jeunesse Canada, en partenariat avec Patrimoine Canada et le YMCA.
Ainsi, le 28 avril, les deux groupes avaient invité la ministre du Patrimoine canadien et députée de la circonscription d’Ahuntsic-Cartierville, Mélanie Joly, à se joindre à eux pour lui présenter l’exposition photo qu’ils avaient montée conjointement et lui transmettre leurs remerciements pour le gouvernement canadien.
Au cours de la semaine, les jeunes Inuits ont visité le centre-ville en compagnie des étudiants d’ici et participé à diverses activités. Quant aux jeunes Ahuntsicois, lors de leur visite au Nunavik, ils ont connu des températures très froides de près de -40 et -50 degrés. Aghilès, l’un des jeunes, a déclaré à journaldesvoisins.com que l’activité leur avait permis de créer des liens entre eux et d’en apprendre plus sur leur culture respective.
C’est l’enseignante en français, Kim De Sylva, qui était à l’origine de cette activité. (P.R. et C.D.) (2016-04-29)
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Spectacle
Jazzimut en concert, les 1er et 2 mai au Collège Ahuntsic
Né de l’initiative d’une professeure de mathématique, Lise Ménard, l’ensemble Jazzimut a déjà deux décennies au compteur. « En 1995, j’étais professeure de mathématiques au Collège Ahuntsic et j’avais une activité à l’Université de Montréal, où je faisais partie d’un groupe de jazz vocal. J’ai été tentée de faire chanter mes collègues. Donc ça a commencé au département de mathématiques du cégep. J’avais emprunté à mon professeur de chant quatre cassettes et une partition et on avait essayé de faire quelque chose, mais ça avait été catastrophique », se souvient, non sans rire, Mme Ménard, également membre et coordonnatrice de l’ensemble.
L’année suivante, Lise Ménard décide alors d’ouvrir le groupe à ses collègues enseignant dans d’autres disciplines, ainsi qu’à quelques élèves. Le groupe – qui ne compte que huit membres la première année – se joint alors au concert de musique classique annuel d’un autre ensemble au profit d’Amnistie Internationale. Au fil des années, Jazzimut évolue au gré des départs et des arrivées, et compte cette année 22 membre majoritairement professeurs et employés de soutien – en poste ou retraités – du Collège Ahuntsic.
Du jazz éclectique
Désormais sous la direction musicale de Francine Brouillard – du groupe de jazz vocal Bémol 9 – Jazzimut offrira aux spectateurs 12 chansons de son répertoire éclectique. « On a beaucoup de chansons qui viennent du jazz américain, et qu’on chante en anglais ou traduites en français. On peut également aller dans le jazz français comme Nougaro, Michel Legrand ou encore Aznavour. On fait aussi parfois carrément de la pop. Cette année par exemple on a une chanson de Zaz », souligne Lise Ménard, en révélant par ailleurs que seront aussi au programme des chansons des Beatles, de l’Oncle Sam, du film Le Parrain, ainsi qu’un medley des années 1970 avec Saturday Night Fever.
La première partie des spectacles sera quant à elle assurée par d’autres artistes, parmi lesquels notamment Frédérique Latour, gagnante de la compétition locale de Cégep en spectacle. Les profits des deux soirées – le billet d’entrée est de 10 $ – iront à la Fondation du Collège Ahuntsic, qui attribuera ainsi des bourses d’études à des étudiants. « L’année dernière, nous avions réussi à donner trois bourses de 500 $ à trois étudiants différents », rappelle Mme Ménard en notant par ailleurs que le Collège Ahuntsic soutient Jazzimut à travers une aide financière, mais aussi logistique.
Membre du groupe et ancienne employée du Collège, France Simoneau est fière de contribuer ainsi aux études des élèves. « C’est agréable de participer à un projet collectif », estime Mme Simoneau, en assurant, en plus du plaisir et des vertus thérapeutiques du chant, apprécier le réseau social de « gens forts agréables » qu’elle s’est constituée à travers Jazzimut.
Celles et ceux qui seraient intéressé(e)s à rejoindre les rangs de ce groupe l’année scolaire prochaine et à participer à ses deux heures de répétition hebdomadaire, peuvent le faire avant la mi-septembre en contactant Lise Ménard au courriel suivant: lise_menard@icloud.ca (Par Rabéa Kabbaj) (2016-04-29)
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CAPSULE ORNITHOLOGIQUE*
(Wood Duck) (Aix sponsa)
Ce canard de taille moyenne est le plus coloré de ceux qui fréquentent nos cours d’eau. Il tire son nom du fait qu’il niche dans une anfractuosité ou un trou de pic abandonné, dans un arbre situé près d’une étendue d’eau. Il possède aux pattes, contrairement aux autres canards, des griffes qui lui permettent de grimper aux arbres.
La femelle pond de 7 à 12 oeufs qu’elle couve une trentaine de jours. Peu après l’éclosion, les cannetons se jettent en bas de l’arbre où ils sont nés et suivent leur mère jusqu’à l’eau où ils seront plus à l’abri des prédateurs terrestres.
On le retrouve, en été, dans le sud du Québec et certains couples nichent sur l’ile de Montréal. Il passe l’hiver surtout au sud-est des États-Unis. On peut l’observer sur les berges de la rivière des Prairies dès son arrivée en avril.
Dans certains parcs nature, on installe des nichoirs aux endroits appropriés pour l’y inciter à nicher.
On l’appelait autrefois « canard huppé ».
(Texte et photos : Jean Poitras) (2016-04-29)
* Ces photos ont été prises dans l’arrondissement.
AGA Caisse d’Ahuntsic
Un vote pour la communauté
Lors de ce vote, la centaine de membres présents ont généreusement accepté de réduire leurs ristournes afin d’augmenter le montant à verser au Fonds d’aide au développement du milieu. La Caisse d’Ahuntsic a terminé l’année 2015 avec un excédent de 4 610 256 $. Un montant de 3 484 241 $ a été versé à la réserve et 605 005 $ ont été remis en ristournes aux membres.
Les administrateurs bénévoles de la Caisse d’Ahuntsic qui étaient en élections ont tous été réélus par acclamation. (Par Philippe Rachiele) (2016-04-29)
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Le 3 mai, à l’échelle de la planète
Journée de la liberté de presse
Le 3 mai, c’est la Journée mondiale de la liberté de presse. Que ce soit en Chine, en Turquie, en Arabie saoudite, au Myanmar, et autres, ce concept de liberté de la presse est pratiquement illusoire. Autant pour les libertés individuelles. Alors que nous avons la chance, ici, de vivre libres, la liberté de presse ne veut pas dire grand-chose pour l’ensemble des citoyens.
Mais cela devrait être significatif. Car il arrive que les grands de ce monde, et parfois de nos sociétés, souhaitent que la presse soit muselée. Le Pouvoir est prompt à vouloir retirer la liberté à la presse. En témoigne la campagne menée par la Fédération professionnelle des journalistes du Québec (FPQJ), en cours d’année : frein à l’info (sur le fil twitter : #freinalinfo). Plusieurs cas rapportés de journalistes qui ont subi des tentatives de muselage, au cours de la dernière année, au Québec.
Il n’est pas toujours facile pour les journalistes, qu’ils soient de la presse locale, régionale, ou nationale d’aller au fond des choses et de faire en sorte que leurs lectrices et lectrices soient bien informés. Votre média communautaire ne fait pas exception.
Cela est d’autant moins facile qu’au cours des dernières années, les relationnistes qui gèrent maintenant pratiquement toutes les relations de presse des politiciens et des entreprises privées, soi-disant au nom de l’efficacité, ont augmenté de façon exponentielle (il y a maintenant sept relationnistes pour un journaliste) alors que, parallèlement, le nombre de journalistes diminue considérablement, les médias étant victimes de compressions de tout ordre ou disparaissant purement et simplement, victimes de non-rentabilité, notamment.
Au Québec, pour souligner cette journée de la liberté de presse, différentes activités sont organisées. Être sensibilisés à la situation est déjà un pas dans la bonne direction. Sentez-vous bien libres d’y participer! (C.D.) (2016-04-29)
Pour en savoir plus sur la Journée mondiale de la liberté de la presse, cliquez ici.
Pour en savoir plus sur les activités ayant lieu au Québec ce 3 mai, cliquez ici et ici.
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Début le 3 mai de la collecte des résidus alimentaires dans le district d’Ahuntsic
Tous les détails ici.
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Le coin des commerçants/gens d’affaires
D’ici un mois environ, l’Association des médias écrits communautaires du Québec (AMECQ) qui a pignon sur la rue Fleury Ouest, au-dessus de la Pharmacie Jean-Coutu, angle Waverly, depuis 2006, déménage ses pénates à Boisbriand. « Nous déménageons le 30 mai », a relaté Ana Jankovic, adjointe à la direction et aux communications de l’AMECQ. L’association avait également eu pignon sur FLO, mais plus à l’est, pendant quinze ans, auparavant. Journaldesvoisins.com est membre de cette association depuis trois ans. L’AMECQ a annoncé ce déménagement à ses membres, lors de l’assemblée générale, il y a quelques jours à Québec. L’association qui s’est vu réduire son budget par le gouvernement du Québec devait envisager des mesures d’économie. Ce transfert du siège social vers la banlieue en est une.
La fête de quartier estivale sur Fleury Ouest donnant le coup d’envoi à l’été aura lieu le samedi 18 juin, de 13 h à 22 h 30. « C’est sous le thème des fêtes de villages méditerranéennes que se rassemblera (sic) environ 5000 passants lors de cette grande fête de quartier. En partie gourmande avec la participation des commerçants offrant des menus variés durant la journée et une grande fête musicale en soirée, il y a de tout pour plaire aux plus grands comme aux petits », peut-on lire sur le site Web de FLO. La programmation n’était pas encore annoncée au moment de mettre sous presse.
Pour plus d’infos, cliquez ici.
La boutique Les tricoteuses du quartier reçoit une invitée spéciale ce dimanche lors de leur café tricot, une activité gratuite et ouverte à tous. La comédienne (et tricoteuse) Noémie Yelle, qui a joué dans les séries Blanche, Ramdam, Nos étés, Virginie, Féminin-Féminin, Les beaux malaises ainsi que dans les films Aurore, Ma vie en cinémascope, Elles étaient cinq, sera présente lors de l’activité ce dimanche 1er mai, de 13 h à 16 h, au 1583, rue Fleury Est.Le restaurant haïtien Griyo qui avait fermé ses portes il y a un an maintenant sera remplacé par Le Walter, restaurant, qui ouvrira ses portes lundi 2 mai, à 11 h 30. Soit dit en passant, le nom n’a rien à voir avec la boutique de produits fins et de saucisses Walter également située sur La Promenade.
La direction de La Promenade prépare tranquillement sa vente-trottoir (NDLR : braderie) qui aura lieu cette année du 16 au 19 juin prochains. Plus d’infos à suivre.
Si les pianos de La Promenade sont encore au garde-meubles, un brin « gelés » par le printemps tardif, ils seront sans doute fonctionnels dès la deuxième semaine de mai alors que les préparatifs pour les installer sur la rue commenceront autour de la fête des Mères. Il y en aura trois, comme l’année dernière, soit un en face du Fleuriste Denis Gilbert, l’autre devant le « Grill’ n’Go », et le troisième au pied de l’église Saint-Paul-de-la-Croix.
Les terrasses de La Promenade ouvriront officiellement bientôt, le 1er mai étant attendu par tous les amateurs de restauration et de plein air de nos quartiers. Ainsi, sur Fleury Est, les terrasses du Uber et du restaurant Le tablier rouge sont déjà en préparation d’installation.
LETTRES OUVERTES
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BRÈVES…BRÈVES…BRÈVES…BRÈVES…BRÈVES…BRÈVES
Du 25 avril au 24 novembre 2016, la collecte a lieu une fois par semaine dans chaque district.
Bordeaux-Cartierville : le lundi
Saint-Sulpice : le mardi
Sault-au-Récollet : le mercredi
Ahuntsic : le jeudi
Déposez vos résidus en bordure de la rue entre 5 h et 8 h le matin de la collecte.
Il est interdit de déposer des feuilles mortes dans la rue.
Contenants autorisés
– Sacs en papier
– Boîtes de carton
– Récipients en métal ou en plastique rigide munis de poignées ou d’anses et n’ayant aucun couvercle
Résidus verts acceptés :
– Résidus de nettoyage des jardins, de potagers et d’arbres fruitiers
– Rognure de gazon, MAIS la pratique de l’herbicyclage est fortement suggérée
– Feuilles mortes
– Branches de conifères (par exemple : haie de cèdres) de moins de 1 m de long et de 5 cm de diamètre, attachées en fagot avec de la corde ou disposées dans les contenants autorisés.
Afin de lutter contre l’infestation de l’agrile du frêne, les branches, de toutes espèces de feuillus, ne sont pas acceptées dans les résidus verts.
Résidus refusés :
– Résidus alimentaires (notamment les restes de table)
– Litière d’animaux
– Terre et pierre
– Souches, troncs d’arbres et branches de feuillus
Poids maximum: Les contenants et les sacs ne doivent pas dépasser 25 kg, sinon ils ne seront pas ramassés.
Renseignements : 311 www.ville.montreal.qc.ca/environnement www.ville.montreal.qc.ca/collectes (Source: Arrondissement)
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Selon lui, ce programme est «essentiel pour les commerçants de Gouin Ouest pour attirer de nouvelles clientèles, investisseurs et dynamiser le secteur pendant la réalisation des travaux de réaménagement du boulevard Laurentien et de la rue Lachapelle qui débuteront à l’automne 2016».
Le programme PR@M-Artère en chantier, financé par le gouvernement du Québec et la Ville de Montréal, vise à aider les communautés d’affaires à maintenir et développer des affaires pendant et après des travaux majeurs d’infrastructures souterraines impliquant la reconstruction des réseaux d’aqueduc ou d’égouts.
Les différents volets du programme comprendront notamment l’accompagnement de la communauté d’affaires du boulevard Gouin Ouest afin d’implanter de nouveaux commerces, l’aménagement de vitrines et de façades pendant le chantier, la réalisation de diagnostics et de plans d’action commerciaux ainsi que des analyses relatives au cadre bâti.
«Grâce à ce programme et aux initiatives locales existantes, la communauté d’affaires du boulevard Gouin Ouest pourra bénéficier d’un soutien qui contribuera au développement économique local et par le fait même, à l’amélioration du milieu de vie des travailleurs et citoyens du secteur», soutient l’élu local.
Depuis son élection en 2009, Harout Chitilian a piloté le dossier du réaménagement du boulevard Laurentien et de la rue Lachapelle et a soutenu les nombreux efforts des commerçants dans leurs démarches pour créer une association de gens d’affaires dans le but de dynamiser l’offre commerciale du boulevard Gouin Ouest. (Source : Arrondissement)
LE COIN COMMUNAUTAIRE
la 12e exposition annuelle des artistes de la résidence l’Amitié. Lieu: 9167, boulevard Gouin Ouest, Montréal Québec H 4 K 2 E 2
Téléphone : (514) 336-3180. La Galerie l’Amitié sera ouverte samedi, 30 avril de 10h à 17h00 et dimanche, 1e mai de 10h à 16h00. Il y aura un tirage de prix de présence ( 2 prix de 25$ ) dimanche le 1e mai 2016 à 16h. Inscrivez-vous lors de votre arrivée à la galerie. (Source: C.A.R.A.) (2016-04-19)
Sinon présentez vous le soir même. (Source: Les Éclés-filles du 103e) (2016-04-19)
La collecte des bouteilles pour les Scouts 103e Saint-André-Apôtre arrive à grand pas! Notez samedi 14 mai à vos agendas et calendriers et gardez vos bouteilles et canettes consignées. Cette activité de financement permet à 100 jeunes du quartier de partir en camp de plein air plusieurs fois dans l’année. Nous passerons dans les rues entre Terrasse Fleury et St Denis, Sauvé et Gouin. Si nous ne passons pas dans votre rue, contactez moi pour venir les chercher – 103groupestandreapotre@gmail.com ou 514 858 5404. Les entreprises peuvent y participer aussi. Merci de votre soutien. (Source: Les jeunes et les animateurs du 103e.) (2016-04-19)
Le jeudi 26 mai, vous êtes invités à l’assemblée générale du CRÉCA : 9h45 : Accueil, café et viennoiseries. 10h15 : Début de l’assemblée générale. Créca : 10 770 rue Chambord coin Henri-Bourassa. Bienvenue à tous. (Source : CRÉCA)
QUOI FAIRE… QUOI FAIRE… QUOI FAIRE… QUOI FAI
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Les Grandes Chansons d’Hier, par Pierrot Fournier. Pierrot Fournier, qui s’est d’abord fait connaître par ses inoubliables interprétations des chansons de Jacques Brel et, plus récemment, de Brassens et Ferré, nous offre son nouveau récital »Les grands classiques de la chanson française ». Puisant dans les répertoires des grands auteurs compositeurs interprètes que sont Ferrat, Reggiani, Aznavour, Ferré, Vian, Brel ,et plusieurs autres, Pierrot nous offre un bouquet des plus belles chansons de la langue française. Souper-Spectacle, 44.95$ (Source : Le rendez-vous du thé)
Brel, Brassens, Ferré, par Pierrot Fournier. Parfois auteur, parfois interprète, Pierrot offre aux amoureux de la chanson française un tour de chant qui met en vedette la poésie et la quête de liberté de trois artistes majeurs : Jacques Brel, Georges Brassens, et Léo Ferré! Pour notre plus grand bonheur, Pierrot nous présente, sans flonflons, avec justesse et sentiments, des pièces qui comptent parmi les plus belles chansons des dernières décennies. Souper-Spectacle 44.95$ (Source : Le rendez-vous du thé)
Nouvelle matinée d’observation d’oiseaux. À Chambly et longeant la rivière Richelieu, avec le Club d’ornithologie d’Ahuntsic vous aurez la possibilité de voir plus de 200 espèces d’oiseaux dont la Grue du Canada et le nid de Balbuzard pêcheur. Il y a 125 espèces nicheuses dans cette réserve. Prévoir un lunch. Samedi le 30 avril de 7h30 à 15h00. Départ du chalet d’accueil de l’Île-de-la-Visitation, 2425 Gouin Est. Information au 438-338-4138 ou à coamessages@gmail.com (Source: Le Club d’ornithologie d’Ahuntsic) (2016-04-19)
Échos et Miroirs. Moments Musicaux termine sa 12e saison en mettant à l’honneur le violon baroque avec l’ensemble Passiflore, dans un concert intitulé Échos et Miroirs. Au programme, un répertoire varié des 17e et 18e siècles, haut en couleurs avec des compositions de Purcell, Gabrieli, Buonamente, Marini, Scarlatti et Fux. Aussi, des arrangements et de nouvelles instrumentations imaginées notamment dans des œuvres de Matteis, Bach, Purcell et Vivaldi. Endroit : Église de la Visitation, 1847, boul. Gouin Est, Montréal, H2C 1C8. Admission générale 30$ – En promotion 25$ jusqu’au 29 avril. Étudiants 10$. Tarif de groupe disponible Informations billets www.momentsmusicaux.ca ou 514-439-2254
(Source: Moment Musicaux) (2016-04-12)
Spectacle annuel de jazz et de variétés avec l’ensemble vocal Jazzimut. Le Collège Ahuntsic vous invite à son spectacle annuel de jazz et de variétés avec l’ensemble vocal Jazzimut les dimanche 1er mai et lundi 2 mai, à 19h30, à l’auditorium du Collège, 9155 rue Saint-Hubert. Les billets au coût de 10$ seront disponibles à la porte. Tous les profits seront remis à la Fondation du Collège qui verra à attribuer des bourses d’études à ses étudiants. Venez donc en grand nombre célébrer le printemps! Jazzimut, l’ensemble vocal du Collège Ahuntsic. (Source: Collège Ahuntsic) (2016-04-12)
Soirée Cubaine, par Jesus Cantero & Lazaro Leyva. Passez une soirée aux rythmes et percussions exotiques de cuba! La Formula, avec Jesus Cantero et Lazaro Leyva réchaufferont l’atmosphère du Rendez-Vous du Thé! Contribution volontaire (Source : Le rendez-vous du thé)
Sortie « famille » au parc-nature de l’Île-de-la-Visitation avec le club d’ornithologie d’Ahuntsic. Mardi le 3 mai (ainsi que le 10, 17, 24 et 31 mai), joignez-vous à nos guides expérimentés pour sillonner les sentiers de l’île qui abrite de nombreuses espèces d’oiseaux. Ces soirées sont offertes à tous. Départ du chalet d’accueil de l’Île-de-la-Visitation (2425 Gouin est). Stationnement gratuit sur les rues avoisinantes. Information au 438-338-4138 ou coamessages@gmail.com (Source : COA)
« Ahuntsic, d’hier à aujourd’hui ». Dans le cadre de l’exposition Ahuntsic, d’hier à aujourd’hui présentée au Café de Da du 3 au 30 mai, le public est invité à une soirée sur l’histoire du quartier Ahuntsic, mardi 3 mai à 19 h au Café de Da, situé au 545, rue Fleury Est. Au menu : témoignages, anecdotes, présentation et diaporama, le tout animé par un personnage haut en couleur qui nous racontera la légende du Cheval blanc. L’inscription à cette activité est requise par téléphone au 514 872-0568 ou sur place au comptoir du prêt de la bibliothèque d’Ahuntsic. (Source: Arr. Ahuntsic-Cartierville) (2016-04-19)
La Collecte de sang annuelle de l’école Ahuntsic aura lieu le 3 mai, au 10615 boulevard Saint-Laurent. (Source: École Ahuntsic)
Témoignage. Andréa Richard partagera son expérience de religieuse redevenue laïque dans une conférence intitulée Identité perdue et retrouvée, à la salle de l’église Saint-Jude (10 120, avenue d’Auteuil). Gratuit pour les membres de l’Alliance culturelle (50 ans et plus), 10 $ pour les non-membres. De plus, pour les membres, un cours débute le 5 mai, sur la Saison 2016-1017 du Metropolitan Opera de New York. Information: 514-382-5716; www.allianceculturelle.qc.ca. (Source : Alliance culturelle)
Hommage à Félix Leclerc et Gilles Vigneault, par Renald Ouelette. Renald Ouellet, auteur-compositeur-interprète, vous invite à redécouvrir les plus beaux textes de Félix Leclerc et de Gilles Vigneault. Tout en douceur, au piano, il vous interprète à sa manière les plus grands succès de ces deux grands poètes québécois. En toute intimité, il vous présente également quelques unes de ses chansons originales. Entrée-libre – contribution volontaire. (Source : Le rendez-vous du thé)
Létourneau Chante et Rechante, par Pierre Létourneau. Pierre Létourneau chante et raconte sa vie d’auteur-compositeur-interprète. Michel Robidoux, le frère qu’il aurait aimé avoir, l’accompagne à la guitare. Tout y est. On rit, on pleure, on écoute, on respire et on chante. Souper-Spectacle 44.95$ (Source : Le rendez-vous du thé)
Le PDQ 27 invite les citoyens du quartier Ahuntsic à l’événement « Café avec un policier ». Les policiers du Poste de quartier 27 (PDQ) invitent les citoyens d’Ahuntsic à venir échanger avec eux dans le cadre de l’événement Café avec un policier au restaurant McDonald’s situé au 10400, rue Lajeunesse. Café avec un policier se veut une rencontre informelle qui permet aux policiers et aux citoyens de se réunir dans un espace neutre, favorable au dialogue. Cette activité a pour but de permettre à tous de discuter librement de divers sujets de sécurité publique et des préoccupations qui touchent les membres de la communauté d’Ahuntsic. (Source : SPVM)
Conférence de la Société d’horticulture et d’écologie du nord de Montréal (SHENM). Sujet traité: végétaux en bacs, en pots et en multiples supports pour jardins retreints. Le jeudi 5 mai, à 19h 30
Mme Sylvie Fullum, horticultrice, viendra parler des végétaux en bacs, en pots et en multiples supports pour jardins retreints, lors de la prochaine conférence de la Société d’horticulture et d’écologie du nord de Montréal. La conférence aura lieu au sous-sol de l’Église Saints-Martyrs-Canadiens, au 10 007, rue Partenais (coin Sauriol) et sera précédée de l’assemblée générale, à 19h:00. Coût: 5$ pour un non-membre. Pour information: shenm1975@yahoo.ca (Source : SHENM) (2016-04-19)
Un Rendez-Vous Crooners, par Jocelyn St-Jean. Une soirée où vous vous laisserez facilement emporter sur des airs qui vous sont familiers. Les grands classiques de Perry Como, Dean Martin, Frank Sinatra, Julio Iglesias, d’Engelbert Humperdinck et de plusieurs autres vous seront interprétés par Jocelyn St- Jean dans l’ambiance de détente et de cordialité qu’offre le Rendez-Vous Du Thé. En fait, l’époque des crooners c’est aussi, un peu, la nôtre! Une invitation à ne pas manquer. Souper-Spectacle 44.95$ (Source : Le rendez-vous du thé)
Soirée des ados (adultes interdits). Tu as de 10 à 14 ans ? Le vendredi 6 mai, c’est ta soirée ! La bibliothèque de Cartierville fermera ses portes à 18 h comme tous les vendredis soirs puis, exceptionnellement, elles s’ouvriront uniquement pour toi et tes amis à 19 h ! Au programme : jeux vidéo, atelier de création « Les mains collectives », à boire et à manger, un DJ pour te faire danser, tirages et autres surprises ! Quand : le vendredi 6 mai, de 19 h à 22 h. Pour qui: les ados de 10 à 14 ans. Endroit : La bibliothèque de Cartierville 5900, rue de Salaberry. Entrée libre, mais les admissions sont limitées. Pour information : 514 872-6989 (Source: Arr. Ahuntsic-Cartierville) (2016-04-19)
Devenez un parfait enquêteur! 11e édition du 24 heures de science. Les jeunes de 8 à 12 ans sont invités à l’atelier Devenez le parfait enquêteur. Un corps a été découvert. Qui est l’auteur du crime? Une femme, un homme? Avec quelle arme le meurtrier a-t-il assassiné la victime? Dans quelle direction le coupable s’est-il échappé? Découvrez comment la science contribue à résoudre des crimes. Pendant cet atelier, les jeunes pourront exploiter différentes techniques d’identification : empreintes, réactions chimiques, analyses au microscope et luminescence. Bibliothèque d’Ahuntsic, samedi 7 mai, 14h. Renseignements: 514-872-0568. Gratuit, réservation nécessaire. (Source: Ville de Montréal) (2016-04-19)
Dalida à ma Manière, par Claire Garand. Depuis 25 ans, cette grande Diva demeure une source d’inspiration pour beaucoup d’artistes de la scène. Avec sa voix grave et chaude, Claire Garand n’aura pas besoin d’artifices ni de paillettes pour vous transmettre la passion de cette glorieuse artiste que fut Dalida. Souper-spectacle 42.95$ (Source : Le rendez-vous du thé)
Visite guidée Quartier Ahuntsic et Promenade Fleury. Venez découvrir ce que sont devenus la fabrique de crème glacée Lowney, l’ancien tracé du tramway numéro 24…Quand: samedi 7 mai à 10h. Endroit: sur la rue Lajeunesse entre Prieur et Fleury, en face du restaurant McDonald’s. Les réservations sont faites à l’avance par téléphone: 514-990-1872 ou par courriel: tours.kaleidoscope@sympatico.ca (Source: Tours Kaléidoscope) (2016-04-19)
Fête des mères, par Jocelyn St-Jean. Maman…c’est pour toi! Les activités familiales se font rares! Cependant, en cette journée bien spéciale, prenez le temps d’offrir au premier Grand Amour de votre vie une soirée empreinte de délicatesse et de doux souvenirs. Venez redécouvrir quelques-uns des airs marquants de votre tendre enfance autour de la même table. Poésie et bon vin s’entendent à merveille et puisqu’on ressent toujours l’amour inconditionnel d’une mère… et bien chantons-lui le nôtre! souper-spectacle 39,95$ (Source : Le rendez-vous du thé)
Marche exploratoire de la gare Sauvé. Les nouveaux aménagements autour de la gare Sauvé vous préoccupent? Vous avez des commentaires au sujet de la nouvelle gare Sauvé? Joignez-vous à Tandem Ahuntsic-Cartierville à l’entrée de la gare sur la rue Berri pour une marche exploratoire qui recueillera vos commentaires. Veuillez confirmer votre présence au 514-335-0545 ou à tandemSL@outlook.com. (Source : Tandem Ahuntsic-Cartierville)
Le samedi 14 mai de 10 h à 16 h
Exposition annuelle du Cercle de Fermières Ahuntsic. Le Cercle de Fermières Ahuntsic vous invite à son exposition annuelle située au 2574, rue Fleury Est, Montréal. Entrée gratuite, nous espérons avoir le plaisir de vous y rencontrer. (Source: Cercle de Fermières Ahuntsic)
Marche exploratoire de la gare Ahuntsic. Les nouveaux aménagements autour de la gare Ahuntsic vous préoccupent? Vous avez des commentaires au sujet de la nouvelle gare Ahuntsic? Joignez-vous à Tandem Ahuntsic-Cartierville à l’entrée de la gare au 9615 boulevard de l’Acadie pour une marche exploratoire qui recueillera vos commentaires. Veuillez confirmer votre présence au 514-335-0545 ou à tandemSL@outlook.com. (Source : Tandem Ahuntsic-Cartierville)
Le répertoire familial de chansons d’Adélard Lambert. Mercredi 25 mai, à 19 h, Café de Da. Le Fonds d’archives inédites d’Adélard Lambert (1867-1946) comprend près de 700 artefacts de tradition orale : chansons, contes, danses chantées et jeux d’enfance hérités de sa famille. Danielle Martineau nous parlera plus particulièrement du répertoire chanté recueilli par Adélard Lambert. Infos inscr.:514-872-0568. (Source: Arr. Ahuntsic-Cartierville) (2016-03-15)
Autres idées d’activités sans date précise
Les mercredis de 13h à 15h. Coût : 15$. Pour vous inscrire ou pour plus de renseignements veuillez appeler au 514-382-0735 poste 223.
(Source: CANA) (2016-04-05)
C’est gratuit! Viens bouger! Tous les lundi à 9 h et les mercredi à 19 h Départs au Parc des Hirondelles (coin Larose / Fleury)
Responsable : Alain Lavigne (514) 419-2786 (Source : Marcheurs Philanthropes)
Numéros de téléphone utiles
Bibliothèque d’Ahuntsic : 514 872-0568
Bibliothèque de Cartierville : 514 872-6989
Bibliothèque de Salaberry : 514 872-1521
Café de Da : 514 872-5674
Le Rendez-vous du thé : 514 384-5695
Maison de la culture : 514 872-8749
* Les renseignements de la section Quoi faire sont publiés à titre indicatif. C’est avec plaisir que journaldesvoisins.com corrige les coquilles, mais il ne peut être tenu responsable d’erreurs ou d’omissions.
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- Gagnant de cinq (5) Prix d’excellence au congrès annuel 2015 de l’Association des médias écrits communautaires du Québec (AMECQ): catégories « nouvelle », « reportage », « entrevue », « photo de presse », et 2e meilleur média.
- Gagnant d’une bourse de 5000 $ au concours Entreprenez à Ahuntsic-Cartierville, édition 2014
- Mention Coup de cœur du jury au Concours québécois en entrepreneuriat, CQE Est de Montréal, édition 2014
- Participant à la finale régionale de Montréal au Concours québécois en entrepreneuriat, édition 2014, dans la catégorie Économie sociale
- Journaldesvoisins.com est un journal communautaire d’information fait par des résidants et pour les résidants d’Ahuntsic–Cartierville, et dont le siège social se trouve à Ahuntsic. Notre journal est un magazine bimestriel papier, mais surtout un journal en ligne qui, chaque vendredi, avec les Actualités hebdomadaires d’Ahuntsic–Cartierville, se consulte sur le Web, à www.journaldesvoisins.com
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Conseil d’administration : Paul Guay, CA, président; Pierre Foisy, PhD., vice-président; Me Hugo Hamelin, secrétaire; Douglas Long, trésorier; Maryse Henri, administratrice (représentant les OBNL); Yves Bonneau, administrateur (représentant les commerçants et les gens d’affaires), Pascal Lapointe, administrateur, et Liliane Gingras-Lessard, administratrice.
Éditeur et cofondateur : Philippe Rachiele.
Publicité: Philippe Rachiele
Rédactrice en chef et cofondatrice: Christiane Dupont
Rédacteur en chef adjoint : Alain Martineau.
Rédactrice en chef suppléante: Mélanie Meloche-Holubowski
Photographes: Philippe Rachiele, François Lauzon, Élaine Bissonnette
Journalistes, version Web : Christiane Dupont, Philippe Rachiele, Alain Martineau, Rabéa Kabbaj, Mélanie Meloche-Holubowski, Christiane Dumont, François Lauzon, et Thomas Deshaies.
Journalistes, version papier : Alain Martineau, François Barbe, Mélanie Meloche-Holubowski, Rabéa Kabbaj, et Thomas Deshaies.
Journalistes et collaborateurs à la rédaction: Diane Éthier, Laetitia Cadusseau, Justine Castonguay-Payant, Sandrine Dussart, Samuel Dupont-Foisy, Elizabeth Forget-Le François, Geneviève Poirier-Ghys, Julie Dupont, Patrick De Bortoli, Nacer Mouterfi, et Pierre E. Lachapelle
Conception graphique : Nacer Mouterfi
Mise en page : Philippe Rachiele, Christiane Dupont et Nacer Mouterfi.
Illustrations originales : Claire Obscure.
Caricaturiste : Florence Tison.
Bédéiste: Martin Patenaude-Monette
Illustrateur: Nicolas Roy
Correction/révision, version Web : Christiane Dupont.
Correction/révision, version papier : Samuel Dupont-Foisy et Séverine Le Page.
Réseaux sociaux : Christiane Dupont, Mélanie Meloche-Holubowski, Philippe Rachiele.
Impression, version papier : Hebdo Litho inc.
Distribution, version papier : journaldesvoisins.com
Dépôt légal, version papier : BNQ – ISSN1929-606
Dépôt légal, version Web : BNQ – ISSN1929-607X
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