Les Actualités du 4 decembre 2015
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Avenir incertain pour l’organisme
Cité Historia : des centaines de milliers de dollars en déficit
Lors d’une rencontre avec des citoyens du quartier Sault-au-Récollet, la conseillère Lorraine Pagé a révélé à combien s’élève le déficit qui aurait forcé la fermeture temporaire de l’organisme et la mise à pied des employés pour la saison hivernale.
En entrevue au journaldesvoisins.com, Michel Villeneuve, du conseil d’administration de Cité Historia, n’a pas voulu confirmer le montant exact du déficit, mais précise que « l’organisme vit une situation difficile au niveau financier. » Il a ajouté que le C.A. « analyse certains documents et essaie de trouver des solutions. »
Comment expliquer ce manque-à-gagner?
Michel Villeneuve donne quelques pistes qui pourraient expliquer ce déficit. « Ça fait deux ou trois saisons que les étés ne sont pas très profitables pour l’exploitation de la terrasse. Il y a eu plusieurs journées de fermeture à cause de la météo. De plus, les musées, de façon générale, vivent des moments difficiles », dit M. Villeneuve, qui ajoute que la dernière exposition a attiré peu de gens.
Mme Pagé a dit aux citoyens présents que l’organisme a déjà fait face à des déficits récurrents, parfois de l’ordre de 85 000$, à cause de la pluie ou une mauvaise saison en termes de nombre de visiteurs. « Mais, ça se résorbait. Mais, cette année, il y a vraiment un trou », a dit Mme Pagé, avec grande consternation.
Mme Pagé a déclaré que les élus municipaux se posent maintenant beaucoup de questions quant à la gestion de Cité Historia.
Même si Cité Historia bénéficiait de subventions de la Ville de Montréal, aucun représentant de l’administration montréalaise ne siégeait au conseil d’administration et n’était pas tenue de vérifier les états financiers. « C’est peut-être une chose à considérer à l’avenir », a suggéré M. Garneau à Mme Pagé.
Mme Pagé a indiqué que le conseil d’administration doit maintenant – et rapidement – prendre une décision quant aux états financiers. « Le C.A. peut faire une offre aux créanciers, mais accepteront-ils? ». demande Mme Pagé. (NDLR: Journaldesvoisins.com fait d’ailleurs partie des créanciers de Cité Historia pour de la publicité, mais évidemment dans une moindre mesure; rien à voir avec des créances très élevées.)
Citoyens et employés estomaqués
Vincent Garneau, qui était directeur développement historique de Cité Historia avant d’être mis à pied, a dit qu’il était « encore sous le choc » d’apprendre la fermeture de Cité Historia et qu’il comprenait mal comment « c’est devenu si mal en six mois. » Il n’a pas donné de précisions aux raisons qui ont mené à cette malheureuse situation. « C’est au CA d’évaluer les causes », a-t-il dit lors de la réunion citoyenne.
« Ça l’air fou – on ferme la shoppe (Cité Historia) pour le 375e anniversaire », a ajouté un citoyen, bien déçu.
Quel avenir pour Cité Historia?
Toutefois, M. Villeneuve pense qu’il est « prématuré de parler de fermeture définitive » et que la « priorité est que Cité Historia poursuive ses activités », tout en ajoutant que le C.A. se réunit à toutes les semaines depuis le mois d’octobre.
Mme Pagé affirme que la Ville de Montréal surveille la situation de près, mais que l’arrondissement ne peut pas intervenir avant que le C.A. de Cité Historia annonce officiellement ses intentions. « Mais il faut déjà penser aux façons de relancer ça », a dit la conseillère.
Directeur démissionnaire
Rappelons que le directeur général de Cité Historia, Michel Le Coester, a démissionné de son poste en septembre dernier, un peu plus d’un mois avant que Cité Historia ne ferme ses portes et que la Ville et le C.A. ne découvrent l’important déficit. Le directeur général de Cité Historia portait d’ailleurs deux chapeaux alors qu’il dirigeait l’OBNL, celui de président de Communications MDM inc. depuis 1989 (NDLR: dont il est toujours président), une entreprise spécialisée qui conçoit des outils informatisés pour l’industrie du voyage, et celui de directeur général de Cité Historia, de janvier 2011 à octobre 2015. (Par Mélanie Meloche-Holubowski) (2015-12-04)
Pour lire notre article du 20 novembre dernier sur le sujet, cliquez ici.
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Le bruit des avions, un des principaux coupables
Cinq cent mille Québécois exposés à des bruits nuisibles, selon un nouveau rapport de l’INSPQ
«On a lancé cette étude à la demande du ministère de la Santé, à la suite à de nombreuses plaintes et aussi préoccupations que le Ministère avait au sein de la population à l’égard des effets du bruit comme tel», a indiqué Richard Martin coauteur de l’étude et conseiller scientifique à la Direction des risques biologiques et de la santé au travail de l’INSPQ.
Enjeu de santé publique
Ce rapport – qui se fonde essentiellement sur la littérature scientifique, notamment européenne, sur le sujet – dresse un inventaire des interventions les plus efficaces pour pouvoir guider l’ensemble des paliers du gouvernement en matière de bruit environnemental. À partir d’informations collectées sur une période de dix ans – de 2005 à 2014 – le rapport a identifié le bruit des transports comme principal source du bruit environnemental.
«En termes de données pour l’année 2014, on estime à environ un demi-million de Québécois de 15 ans et plus qui seraient exposés à des bruits nuisibles de transports. En outre, il y a les bruits de voisinage, les bruits de nature industrielle, les véhicules en route, les chantiers de construction (…). Il y a d’autres sources aussi qui sont importantes même si elles touchent moins de personnes comme le bruit des cours de triage ferroviaire ou le bruit à proximité des aéroports», a souligné M. Martin.
Le bruit aérien, une nuisance non négligeable
L’étude a ainsi notamment permis de déterminer que le transport aérien est la source de bruit qui génère le plus de nuisances à cause des niveaux élevés qui sont rapportés. Comparativement, les personnes qui se disent fortement dérangées par le bruit routier ou le bruit ferroviaire sont par exemple moindres que dans le cas du bruit aérien. Outre le dérangement, M. Martin souligne que des effets cardiovasculaires – tels que l’hypertension artérielle – ou des perturbations du sommeil, ont également été recensés, chez des personnes exposées de façon chronique et sur plusieurs années à ce type de nuisances.
Pour remédier spécifiquement à la problématique du bruit aérien, l’INSPQ recommande l’application d’une série de mesures. Parmi celles-ci, on peut citer le fait d’exiger des transporteurs aériens l’utilisation d’appareils plus silencieux notamment la nuit, la mise en commun par les villes et les transporteurs de cartes dites de prévision d’ambiance sonore pour une meilleure planification et protection des citoyens dérangés par ces nuisances, ou encore l’imposition de redevances spécifiques auprès des usagers des aéroports en vue de financer des programmes d’insonorisation.
Ce qu’en disent les Pollués
Invité par journaldesvoisins.com à commenter le rapport de l’INSPQ, le collectif citoyen Les Pollués de Montréal-Trudeau – qui a fait depuis quelques années déjà son cheval de bataille du bruit aérien – s’est montré plutôt mitigé. «On trouve que la force de ce rapport-là c’est une espèce de présentation théorique sur le bruit qui est très intéressante (…) Ça insiste sur les conséquences du bruit et ça montre que le Québec en fait peu pour s’attaquer au bruit», a déclaré Raymond Prince, directeur principal des Pollués de Montréal-Trudeau.
Qualifiant le rapport de l’INSPQ de «belle recherche» qui vient appuyer les constats dressés jusqu’ici par son collectif – comme la nécessité de stations de mesure, et une meilleure cartographie du bruit aérien – M. Prince a cependant déploré que la majorité des données soient «vieilles», c’est-à-dire qu’elles datent «d’avant 2012».
«Or en 2012, il est arrivé des changements dans la navigation aérienne au Canada (…) qui ont fait en sorte que les pollués de Montréal-Trudeau se sont formés. Les niveaux d’altitude sont plus bas, les corridors ont changé, la pollution aérienne est beaucoup plus forte. Mais on a de vieilles statistiques. Il y a même des statistiques (NDLR: dans le rapport) qui sont les statistiques d’Aéroports de Montréal (…) mais ce sont des gens qui cachent les renseignements, et qui ne donnent que les renseignements qu’ils veulent, qui font leur affaire. C’est ça qui est malheureux!», a estimé M. Prince. (Par Rabéa Kabbaj) (2015-12-04)
Décision rendue mardi
Interdiction ou non des sacs de plastique dans les commerces à Montréal?
Au printemps, les membres de la commission, dirigée par Elsie Lefebvre, conseillère municipale de Villeray (Vision Montréal), avaient entendu les opinions d’une centaine d’intervenants à l’occasion d’une consultation publique sur le bannissement de ces sacs controversés « à usage unique » dans les commerces.
La séance d’adoption des recommandations devait avoir lieu au début novembre, mais elle a été reportée à mardi 8 décembre, à 14 h, à l’Hôtel de Ville. Tout le monde peut assister à la séance, qui comprendra une période de questions. Ceux et celles qui désirent y participer doivent s’inscrire le jour même de la séance publique à compter de 13 h 30 ou à l’avance, en communiquant avec le Service du greffe au numéro 514 872-3000 ou par courriel à commissions@ville.montreal.qc.ca.
Interdiction de sacs : qu’en pensent les commerçants locaux?
Les sacs d’emplettes à usage unique, leur impact environnemental et leur possible interdiction font jaser depuis des années. Selon Recyc-Québec, le sac réutilisable demeure la meilleure option du point de vue environnemental quand on effectue des achats.
Il y a un peu moins de dix ans, selon l’organisme, les Québécois utilisaient deux milliards de sacs de plastique annuellement; aujourd’hui, ils en utilisent environ un milliard.
Question d’inciter les consommateurs à utiliser des sacs réutilisables, la plupart des épiceries exigent une somme de cinq cents pour l’utilisation d’un sac de plastique.
Dans Ahuntsic-Cartierville, deux gérants d’établissements majeurs ont répondu à nos questions sur le sujet. Le patron d’un marché bien connu sur Fleury a admis que la demande pour un sac de plastique à la caisse a baissé « énormément », estimant qu’un client sur cinq en exige un. Et il ajoute, que souvent, cela se fait parce que le client oublie son propre sac. Mais le gérant du Canadian Tire, sur le boulevard Crémazie, a reconnu qu’il y avait encore une forte demande pour le sac de plastique.
Industrie et commerces en désacord
Plusieurs groupes de détaillants ont profité de la consultation pour exprimer leur opposition à la disparition des sacs de plastique. Selon eux, il serait préférable de continuer à miser sur des mesures volontaires déjà en place. L’Association des détaillants en alimentation du Québec croit que si on les bannit, les consommateurs vont s’approvisionner autrement.
Ces groupes ont rappelé que les mesures volontaires avaient permis de réduire de moitié le nombre de sacs de plastique utilisés au Québec.
Enfin, selon un sondage de l’Association canadienne de l’industrie du plastique, un peu plus de la moitié des Montréalais préfèrent des opérations de sensibilisation.
Que fera Coderre?
Reste à voir ce que feront les dirigeants de Montréal si les recommandations vont dans le sens d’une interdiction des sacs de plastique. Le maire Coderre a déjà dit que Montréal adopterait l’interdiction des sacs de plastique et que les villes voisines embarqueront dans le mouvement. Il a choisi de tenir une consultation pour voir s’il existait une autre solution à l’interdiction.
Au Canada, une municipalité du Manitoba est devenue la première ville, en 2007, à interdire les sacs de plastique. Toronto a fait une tentative en 2012, mais cela n’a pas fonctionné. Certaines municipalités québécoises, comme Deux-Montagnes, interdisent les sacs de plastique.
Les mémoires qui ont été déposés peuvent être consultés sur le portail www.ville.montreal.qc.ca/commissions. Pour plus d’infos sur l’assemblée de mardi, on peut consulter le Service du greffe au 514-872-3000 ou à commissions@ville.montreal.qc.ca. (Par Alain Martineau) (2015-12-04)
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En marge de la Conférence de Paris
Des Ahuntsicois engagés dans la lutte contre les changements climatiques
Lucie Biron et Bruno Detuncq sont tous deux membres du comité Mobilisation environnement Ahuntsic-Cartierville. Leur groupe, appuyé par Équiterre, a été formé cet été, dans l’espoir d’influencer les candidats électoraux et dans le but de bloquer la construction du pipeline Énergie Est.
Le week-end dernier, plusieurs membres du comité ont marché à Ottawa pour demander de l’action concrète pour le climat.
Mais leur préoccupation pour l’environnement ne se limite pas seulement à une marche ici et là; tous deux ont l’environnement à cœur, au quotidien. Par exemple, Bruno Detuncq est professeur au Département de génie mécanique à la Polytechnique. En 1995, il a créé un cours sur la combustion et le développement durable, au moment où « personne ne parlait des changements climatiques. » Depuis, il essaie de sensibiliser ses étudiants et son entourage sur les impacts des choix énergétiques que font les pays et les citoyens. Il souhaite ardemment que le Canada fasse un virage énergétique en prenant des décisions audacieuses.
Les deux membres du comité croient que la sensibilisation et l’information est à la base de cette lutte citoyenne. « Il faut confronter amicalement les gens, ne pas disqualifier leurs opinions », dit Mme Biron, en ajoutant qu’il faut contrer les inexactitudes avec des données scientifiques.
S’il existe de nombreux climatosceptiques qui font tout pour nier la science sur les changements climatiques, M. Detuncq estime qu’au Québec, il existe surtout des « climato-indifférents ». M. Detuncq croit que trop de gens ne veulent pas encore admettre le problème. « C’est le principe de la grenouille dans l’eau froide; la grenouille ne se rend pas compte qu’on est en train de la bouillir. »
Pour sa part, Mme Biron, croit profondément que tous les grands mouvements à travers l’histoire ont été portés par une volonté citoyenne. Changer le monde n’est pas qu’une préoccupation pour les dirigeants, mais pour tous les citoyens. « L’environnement est un thème qui peut nous rallier sur le plan mondial – on est tous dans le même bateau », rappelle-t-elle.
Mme Biron n’hésite pas à écrire souvent aux élus provinciaux, fédéraux et municipaux pour les encourager à modifier les règlements environnementaux et elle encourage ses concitoyens à faire de même. « Plus on leur en parle, plus ils peuvent se permettre d’agir », ajoute Mme Biron, qui s’est dit impressionnée par les connaissances de Mélanie Joly en matière d’environnement.
Lucie Biron espère, par ailleurs, que le premier ministre Justin Trudeau pensera à l’avenir de ses enfants lorsqu’il fera des choix pour l’environnement au Canada. M. Detuncq ajoute qu’il est motivé à poursuivre la lutte, pour le bien de ses filles. « Qu’est-ce qu’elles auront à vivre d’ici 20 ans? Le débalancement du climat sera plus important. Auront-elles à vivre des conséquences dramatiques? »
Mme Biron et M. Detuncq demeurent tout de même très optimistes. « Être pessimiste, c’est être un peu paresseux, c’est ne pas vouloir agir », dit M. Detuncq.
Le comité doit d’ailleurs se réunir bientôt pour prévoir des actions pour la prochaine année. Pour participer: https://www.facebook.com/groups/1638519983080489/ (Par Mélanie Meloche-Holubowski) (2015-12-04)
Dons pour le parrainage et pour des habits de neige
Réfugiés syriens dans A-C:
Moult actions citoyennes!
Une dizaine de paroissiens de l’église Saint-André-Apôtre ont lancé cette semaine une campagne de financement, dans le but de parrainer une famille syrienne dans le prochains mois.
Confronté aux images quotidiennes de la crise syrienne, Eva Maciejo et Dominic Joron ne pouvaient pas rester les bras croisés. « La nouvelle du petit garçon qui s’était noyé, ça m’a vraiment touché. Des fois on reproche aux médias de nous bombarder d’images de violence. Mais à force d’en entendre parler, j’avais une idée qui se frayait un chemin. On a deux enfants, je ne peux pas m’imaginer quitter mon pays et faire le voyage. Ils doivent être dans une situation désespérée », dit Dominic Jauron.
Eva Maciejo dit avoir été frappée par l’exode massif des Syriens vers l’Europe. « J’étais impressionnée par leur détermination à braver des conditions extrêmes pour une vie meilleure. »
Le couple a donc décidé de parler à d’autres paroissiens, qui eux aussi, cherchaient un moyen d’aider. Après discussion, ils ont choisi de parrainer une famille, qui ne fera pas partie des 25 000 réfugiés épaulés par le gouvernement.
Le comité recueillera les fonds nécessaires au parrainage de la famille. Le groupe doit amasser au moins 20 000$ d’ici mars 2016, afin de pouvoir faire une demande de parrainage auprès du gouvernement du Canada. Ce montant permettra à la famille de se nourrir, se loger et de subvenir à ses besoins, pendant un an.
Le côté administratif du parrainage, soit la demande officielle de parrainage, sera assumée par les Soeurs Oblates Franciscaines de Saint-Joseph. Cette communauté ahuntsicoise possède l’expérience dans ce type de demande, puisqu’elle a déjà accueilli plusieurs familles syriennes.
Le comité a lancé cette semaine le site web www.dondaccueil.ca où il est possible de faire un don pour accueillir cette famille de concert avec les paroissiens.
Des habits de neige pour les enfants
Depuis, 51 ans, l’organisme ahuntsicois Entraide Bois-de-Boulogne aide les immigrants et réfugiés du Moyen-Orient à s’intégrer au Canada. Pour une troisième année, le projet Mon premier habit de neige, vise à amasser de l’argent pour donner aux jeunes réfugiés un manteau, des bottes, des tuques, des mitaines et des foulards. « Souvent, ils viennent de pays qui ne connaissent pas la neige », dit Amal Elkouri, secrétaire du conseil d’administration, et qui, elle aussi, est arrivée de la Syrie, le 2 décembre 1967.
« La crise syrienne me touche. Je suis d’origine arménienne; mon père a survécu au génocide en Turquie et a quitté pour la Syrie. Cent ans plus tard, on refait presque la même chose », dit-elle avec peine.
Depuis de nombreuses années, Mme Elkouri redonne à ceux qui commencent une nouvelle vie dans un pays étranger. Elle dit vouloir offrir le même accueil chaleureux qu’elle a reçu à son arrivée au pays. « Les Québécois ne le savent peut-être pas, mais leur générosité et leur accueil m’a toujours touchée. »
Si l’organisme attend des nouvelles du comité de coordination pour connaître les besoins précis, Entraide Bois-de-Boulogne s’affaire déjà à organiser des levées de fonds. Que ce soit par des soupers bénéfices, des ventes de pâtisseries ou des dons de particuliers, les responsables espèrent aider le plus de jeunes possibles. « Les gens sont très généreux. On a même eu un appel de Chibougamau. Une dame a même acheté des habits de neige pour nous les envoyer! », raconte Mme Elkouri.
Pour faire un don à la campagne d’Entraide Bois-de-Boulogne : https://www.indiegogo.com/projects/mon-premier-habit-de-neige#/
(Par Mélanie Meloche-Holubowski) (2015-12-04)
Pourquoi avoir rénové la chapelle de la prison Bordeaux?
« Nous n’avons malheureusement pas de données officielles concernant le taux de fréquentation de la chapelle à Bordeaux », a indiqué Alexandra Paré, relationniste à la Direction des communications du ministère de la Sécurité publique.
Les travaux, dont la facture s’est élevée à 325 000 $, étaient devenus nécessaires en raison d’une infiltration d’eau dans ce dôme construit il y a près de 110 ans. À Bordeaux, on a dû démolir et refaire tout ce qui a été abimé, imperméabiliser les lieux, déplacer de l’équipement de chauffage, etc.
Il a fallu, selon Martin Roy, porte-parole de la Société québécoise des infrastructures, faire du « maintien d’actif », un exercice qui se fait dans tous les établissements dont le gouvernement du Québec est propriétaire, mais qui relevait autrefois de la défunte Société immobilière du Québec. « Nous sommes allés en appel d’offres, l’opération qui avait commencé en décembre 2013 et a pris fin en avril 2014. Un montant de 300 000 $ était prévu. Une communauté religieuse a aussi fait des dons et de l’argent est aussi venu du Fonds de soutien à la réinsertion sociale », a précisé M. Roy.
Il faut dire qu’à l’occasion, des détenus interviennent pour dénoncer la saleté des lieux ou la présence de rats et de moisissures. Des détenus ont même réussi à faire réduire leur sentence après avoir pris des photos des conditions insalubres. La juge qui à présidé à leurs causes, a aussi noté que des membres de gangs de rue font la pluie et le beau temps dans l’une des ailes de la prison.
Pourquoi rénover une chapelle dans un établissement laïque?
Le Journal de Montréal avait révélé qu’une partie des sommes provenaient du budget discrétionnaire de l’ex-ministre de la Sécurité publique Stéphane Bergeron, mais ce dernier n’avait pas répondu à nos appels au moment d’aller sous presse.
La Coalition Avenir Québec s’était interrogée sur cette décision « inexplicable » à son avis, puisque, dit la CAQ, « les prisons sont laïques et que le fonds devrait uniquement servir pour la réinsertion. »
Mais, il semble que la chapelle sert aussi de lieu de culte pour des gens d’autres confessions religieuses.
Tanguay : transfert imminent des détenues
Concernant la voisine de Bordeaux, Tanguay, la prison des femmes, elle fermera au début de 2016, le transfert des détenues vers des institutions carcérales de Laval débutera en février, comme prévu, a indiqué Mme Paré.
Au ministère, on étudie divers scénarios quant à l’avenir du bâtiment et des terrains adjacents. Les terrains de la prison des femmes, se retrouvent dans le secteur du Plan Particulier d’urbanisme (PPU) Henri-Bourassa Ouest, où un important développement résidentiel est prévu dans les prochaines années.
Or, comme l’a soulignée la conseillère du district d’Ahuntsic, Émilie Thuillier, le PPU avait déjà prévu l’intégration des terrains dans ses projets d’avenir. La leader parlementaire de Projet Montréal s’était félicitée de la chose lors d’un conseil d’arrondissement dans Ahuntsic-Cartierville.
Mais Mme Thuillier veut des garanties que les terrains que l’on peut qualifier de « stratégiques », compte tenu de leur localisation, ne soient pas vendus au secteur privé. Au ministère de la Sécurité publique, on est encore en réflexion. (Par Alain Martineau) (2015-12-04)
Nous vous invitons à vous procurer Le bulletin d’Ahuntsic-Cartierville, version hivernale, qui est distribué dans la grande majorité des endroits publics de l’arrondissement. Vous y découvrirez plusieurs renseignements utiles tels que des activités offertes par les divers organismes et dans nos bibliothèques. Vous y trouverez également des précisions sur certains règlements municipaux. Vous pouvez également consulter le Bulletin d’Ahuntsic-Cartierville sur le site web de l’arrondissement à : ville.montreal.qc.ca/ahuntsic-cartierville.
Voici certains endroits où il est possible d’obtenir une copie du Bulletin : les bibliothèques, les arénas, au Centre Claude-Robillard, au Y Cartierville, dans les centres communautaires, les piscines, à l’éco-quartier, au bureau Accès-Montréal.
Partenaire municipal par excellence !
Lors de la Soirée des lauréats montréalais, organisée par la commission sportive Montréal-Concordia (CSMC) qui a eu lieu à la mi-novembre, l’arrondissement d’Ahuntsic-Cartierville a remporté le prix Partenaire municipal par excellence.
Cet hommage met en lumière les efforts, la détermination, le souci d’équité et la volonté de l’arrondissement d’offrir des services de qualité à ses partenaires sportifs.
D’autres figures de proue du monde sportif de l’arrondissement ont également été honorées. C’est le cas de l’International Gymnix 2015, qui a remporté le prix dans la catégorie « compétition nationale ou internationale, de Gabriel Michaud, entraîneur au club de patinage de vitesse Montréal-Ahuntsic et de Jérôme Courtemanche, récipiendaire du prix « Athlète des Jeux du Québec ».
Félicitations à tous !
Bravo à Tandem !
Une très belle murale en hommage au célèbre hockeyeur Maurice Richard a récemment été inaugurée au restaurant La Molisana situé sur la rue Fleury est. L’événement s’est déroulé en présence de la grande majorité des membres de la famille Richard.
Nous tenons à féliciter l’organisme Tandem Ahuntsic-Cartierville qui a coordonné le projet. Rappelons que c’est la deuxième murale que Tandem Ahuntsic-Cartierville réalise sur le territoire de la SDC Promenade Fleury.
Déjà la fin de 2015!
Même s’il est encore un peu tôt, nous profitons de cette dernière chronique de l’année pour vous souhaiter de Joyeuses Fêtes et une Bonne Année 2016. Nous vous encourageons à profiter de cette pause traditionnelle pour profiter de nos équipements culturels et sportifs afin de passer du bon temps en compagnie des personnes qui vous sont chères.
Prochain conseil d’arrondissement
Nous invitons la population d’Ahuntsic-Cartierville à participer au prochain conseil d’arrondissement qui aura lieu le lundi 7 décembre 2015, à 19 h, à la salle du conseil située au 555, rue Chabanel Ouest, 6e étage. Les citoyens qui désirent poser une question aux élus-es doivent s’inscrire entre 18h30 et 19h au registre disponible à l’entrée.
Le conseil d’arrondissement est également diffusé sur le Web. Pour le visionner en direct ou en différé, il suffit d’aller à www.ville.montreal.qc.ca/ahuntsic-cartierville et de cliquer sur l’onglet correspondant.
Rapport final de la CEIC : Ahuntsic-Cartierville n’y échappe pas
Le rapport fait notamment état du cas d’un entrepreneur qui a été menacé pour avoir tenté d’obtenir un contrat de reconstruction d’une conduite d’eau secondaire sur la rue Chabanel, dans Ahuntsic-Cartierville. En 2008, André Durocher, qui a dirigé Excavations Panthère jusqu’à sa faillite en 2012, a demandé les plans à l’arrondissement, dans le but de soumissionner à l’appel d’offres.
« Et, je vous le dis, là, ça ne faisait pas une heure qu’il était sur son chemin du retour, qu’on a eu un téléphone au bureau pour M. André Durocher, qui est moi. Ça fait que je réponds, la personne au bout de la ligne dit : « Regarde, de toute façon, un, tu n’as pas d’affaire là, puis c’est moi qui vais faire la job », a dit André Durocher, lors de son témoignage devant la commission.
Les appels anonymes et les menaces ont continué. Selon le témoignage, « Durocher déduira qu’il s’agit de Tony Conte, de Conex, ou d’une personne de son entourage. »
Par ailleurs, le jour où la soumission doit être déposée, Pierre Papineau, qui travaille au cabinet de courtage Comerco, dit à M. Durocher que Tony Conte l’aurait averti qu’il « casserait des jambes » si M. Durocher déposait sa soumission.
M. Papineau a indiqué que c’est par amitié qu’il avait voulu avertir M. Durocher du danger qui le guettait. « Il avait aussi un intérêt à protéger les équipements d’Excavations Panthère contre les risques de vandalisme ou d’incendie, puisqu’ils étaient assurés par l’entremise de son cabinet de courtage », peut-on lire dans le rapport.
Craignant le pire, M. Durocher a abandonné sa soumission. Le 3 décembre 2008, Conex (associée à Tony Conte) dépose la soumission la plus basse et remporte le contrat de la rue Chabanel.
Un DG et un conseiller ahuntsicois controversés
Par ailleurs, selon le rapport, Éric Lachapelle, ancien directeur général de l’arrondissement Ahuntsic–Cartierville, a fait du travail partisan pour Union Montréal, le parti du maire Gérald Tremblay, violant ainsi le code d’éthique des employés de la Ville. M. Lachapelle avait été nommé directeur général d’Ahuntsic-Cartierville en janvier 2006.
Lors de son témoignage, Michel Lalonde, le président de Génius, anciennement le Groupe Séguin, a dévoilé le système de ristournes de 3% pour les contrats avec la Ville de Montréal. Selon lui, M. Lachapelle et l’ex-conseiller municipal Jean-François Saint-Onge ont eux aussi participé à ce système de collusion.
« Et par la suite, au début de 2006, j’avais eu une rencontre avec M. Jean-François Saint-Onge, […] qui était conseiller municipal, et Éric Lachapelle, qui était le directeur de l’arrondissement, pour voir comment est-ce qu’on pouvait planifier la suite de notre positionnement disons dans l’arrondissement Ahuntsic–Cartierville », a raconté Michel Lalonde. « Et à ce moment-là, […] ils m’ont dit : « Écoute, nous autres, ici, dans l’arrondissement, c’est particulier, on voudrait fonctionner avec un pourcentage. « Ça fait qu’ils m’ont dit : « Trois pour cent des contrats que tu pourrais avoir pour, nous aussi, se préparer pour la caisse électorale ».»
Toujours selon le témoignage de M. Lalonde, MM. Lachapelle et Saint-Onge ont ajouté qu’ils demanderaient aussi une cote de 3 % aux autres firmes d’ingénieurs, dans le cadre de plusieurs projets dans l’arrondissement.
M. Lalonde dit avoir remis de dizaines de milliers de dollars en argent comptant à M. Lachapelle ou à M. St-Onge. Puis, M. Lachapelle aurait demandé à avoir des billets de saison pour le hockey, un cadeau qui s’élève à plus de 14 000$, selon M. Lalonde.
M. Saint-Onge nie avoir participé à l’organisation d’un système de ristourne de 3 % sur les contrats de l’arrondissement.
Enfin, le départ de M. Lachapelle d’Ahuntsic-Cartierville ne se fait pas sans controverse et la suite connaît d’intéressants rebondissements.
- 2008: M. Lachapelle quitte, un an avant la fin de son contrat; il reçoit une indemnité de 120 000$.
- 2008: Moins de 24 heures après son départ d’Ahuntsic-Cartierville, il est embauché comme directeur général pour la ville de Saint-Jérôme.
- Novembre 2011: le maire de Saint-Jérôme (Marc Gascon) doit intervenir pour renverser la décision du conseil municipal qui refusait de renouveler son contrat.
- Décembre 2013: Blainville offre un contrat de cinq ans à M. Lachapelle.
- Décembre 2014 : La Ville de Blainville met fin au contrat de M. Lachapelle; il reçoit une indemnité de 321 900$.
- Octobre 2015 : M. Lachapelle est nommé directeur général de la municipalité de Saint-Polycarpe, en Montérégie.
Notons que les départs de M. Lachapelle de ces postes de direction d’arrondissement ou de municipalités depuis 2008 lui auront valu des primes de départ totalisant la somme de 441 900 $. (Par Mélanie Meloche-Holubowski) (2015-12-04)
Consultation de la Ville de Montréal
Améliorer l’environnement: 335 suggestions de Montréalais
Une étape importante a été complétée tout récemment lorsqu’un document-synthèse de l’Office a été remis au maire Denis Coderre juste avant son départ pour le Sommet de Paris qui se poursuit jusqu’au 11 décembre.
En juin, le maire avait donné à l’Office le mandat de lancer une consultation pour trouver ce qu’il appelle «des solutions concrètes, ambitieuses et réalisables pour réduire la dépendance aux énergies fossiles de Montréal.»
L’Office montréalais s’est rapidement mis à la tâche en procédant à une démarche de consultation qui s’inspire de la production participative ou crowdsourcing.
Ainsi, l’Office a proposé une consultation en ligne sur la plateforme vertMtl.org pour rassembler les opinions émises.
Outre le site Web, l’Office a aussi tenu du 14 au 20 novembre dernier, une semaine d’activités organisés par les citoyens ou groupes.
Une activité a notamment été organisée par le Comité de mobilisation environnementale Ahunstic-Cartierville.
Les groupes, constitués de quatre personnes ou plus, pouvaient s’appuyer sur une trousse d’aide dite «prêt-à-consulter». On y trouvait une grande affiche illustrant le canevas de l’activité et quatre jeux de cartes : les thèmes, les défis/problèmes, les solutions et les arguments.
Après l’activité, les propositions choisies par l’équipe étaient ajoutées à la plateforme Web.
Une forte participation
Au final, on a compté plus de 3500 interventions en trois semaines, dont 335 solutions proposées. C’est le thème des transports qui a été le plus populaire pour lequel il y eut 60 % de contributions, selon le bilan de l’Office dévoilé par son porte-parole Luc Doray à journaldesvoisins.com.
Ainsi, des participants considèrent le vélo comme une alternative concrète à la voiture, mais à la condition que les pistes cyclables soient plus nombreuses et sécuritaires. Ils ont aussi plaidé pour que les autorités concernées améliorent l’offre, l’efficacité et le financement des transports collectifs. Parmi les suggestions originales, M. Doray a cité l’idée de réserver un wagon de métro pour le transport de petits colis.
Autres événements à venir
D’autres événements publics sont aussi prévus pour le début de 2016, dont un marathon créatif en février. Les passionnés de technologie de pointe et d’environnement seront invités à présenter leurs solutions. Entre temps, des activités de consultation se poursuivent jusqu’en mars 2016.
La reprise des auditions se fera le 1er février prochain alors que l’on regardera ce qui s’est fait au Sommet de Paris. Puis l’Office procédera à l’analyse de toutes les propositions présentées et un rapport sur la consultation publique, contenant les recommandations de l’Office, sera remis aux élus.
Pour avoir la compilation de l’ensemble des propositions en date du 21 novembre 2015, cliquez ici. (Par Alain Martineau)(2015-12-04)
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Troisième rencontre citoyenne avec la conseillère de Sault-au-Récollet
La circulation près du pont de l’A-19 serait de plus en plus lourde et problématique
Mme Pagé a fait le point rapidement sur plusieurs dossiers, dont l’agrile du frêne. Elle a indiqué que 918 arbres ont été coupés cette année, comparé aux 400 arbres coupés en 2014 dans Ahuntsic-Cartierville. Dans son district, environ un arbre sur quatre est un frêne et est à risque d’être infecté. La conseillère a ajouté que les équipes de la Ville sont débordées et que les citoyens qui ont besoin du service d’émondage peuvent attendre jusqu’à 18 mois en raison de la crise de l’agrile du frêne. Par ailleurs, certaines pépinières ont manqué d’arbres en fin de saison, en raison de la forte demande d’arbres pour remplacer ceux qui ont été abattus.
Exaspérés par l’A-19
Mais ce sont surtout les problèmes importants de circulation aux abords du pont de l’A-19 qui ont été soulignés par plusieurs citoyens.
Certains résidants ont raconté avoir confronté des automobilistes téméraires qui tentent par tous les moyens d’éviter les bouchons de circulation. « J’ai même vu quelqu’un conduire en contresens dans un sens unique pour éviter une lumière. Mon garçon à vélo s’est fait crier après parce qu’un conducteur pensait qu’il allait trop lentement à son goût », a dit un citoyen, exaspéré. D’autres ont raconté comment des automobilistes roulent à vive allure dans les zones scolaires ou font des demi-tours un peu partout pour éviter un feu rouge.
Mme Pagé convient que les problèmes de circulation sont de plus en plus difficiles dans ce secteur. « Nos rues ne sont pas configurées pour ça. On gère quasiment l’ingérable », a affirmé Lorraine Pagé, qui ajoute que le problème ne fait que s’amplifier. Chaque année, dix milles voitures s’ajoutent à ce bouchon de circulation.
Des mesures d’atténuation ont été instaurées au cours des dernières années, mais certaines mesures ont généré des problèmes sur d’autres rues. « Les automobilistes sont des bibittes qui s’adaptent », dit Mme Pagé, qui a noté plusieurs suggestions des citoyens. Elle croit que certaines mesures d’apaisement qui ont été implantées du côté ouest d’Henri-Bourassa devraient être aussi considérées pour la partie est.
La conseillère a promis aux citoyens de consulter les experts de l’arrondissement pour trouver des solutions et que la situation devienne plus tolérable et sécuritaire. (Par Mélanie Meloche-Holubowski) (2015-12-04)
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La Popote roulante
Plus de 1300 repas chauds servis par année dans A-C
« Ça m’aide beaucoup », confie le plus ancien des bénéficiaires, Jean Pirez. Autonome, mais se déplaçant avec difficulté, il manque d’énergie pour préparer ses repas. Depuis une dizaine d’années, la Popote complète son ordinaire, fait de repas congelés, de sorties occasionnelles au restaurant et de repas communautaires une fois par semaine. Le soir, il mange léger : « sardines ou une salade », par exemple.
« Généralement, c’est bon. J’en suis content, et des fois, j’en suis très content. Parce que ça tombe pile. Un matin que je suis fatigué au coton, je me dis : “enfin, je n’ai pas à penser à la cuisine, merci Seigneur! ” », s’exclame-t-il.
Pas de la charité
L’OBNL n’est pas subventionné, et se finance à même la contribution des bénéficiaires et les dons qu’il reçoit. « On a eu une dame aveugle sur Sauvé; son fils, qui était en Colombie-Britannique, nous a envoyé un chèque pour nous remercier, avec un mot gentil disant qu’il se sentait tellement loin », raconte la responsable des bénéficiaires, Lucile Landry.
Parmi ceux qui comptent sur cette aide pour tenir maison, « un monsieur de 100 ans et sa femme de 98 ans. Ils sont charmants, tous les deux malentendants et mal voyants, mais pas de la même façon; ils se complètent », révèle-t-elle.
La plupart des bénéficiares lui sont recommandés par des intervenants sociaux, ajoute-t-elle, et il n’y a pas de liste d’attente. « C’est du support à domicile, pour les cas de convalescence ou de perte d’autonomie. On n’est pas la Saint-Vincent-de-Paul, je ne veux pas que les gens demandent la charité », expose la responsable des bénéficiaires, Lucile Landry.
Une armée de bénévoles
En rotation sur quatre équipes, une armée de bénévoles assure le service, qui a produit 1328 repas complets en 2014. Bien sûr, il y a les cuisinières, ceux qui tracent l’itinéraire de livraison, font les menus et les courses, et d’autres qui concoctent les desserts et les soupes gratuitement à la maison. Les chauffeurs passent chez les uns et les autres chercher les mets préparés et accompagnent les baladeurs qui livrent le tout, pour cinq dollars, à la porte du client.
Depuis 1971, tout au long de l’année, le service de la Popote roulante roule… sauf de la mi-juillet au début de septembre alors que l’équipe fait relâche et Centraide prend le relais.
De la débrouillardise
Il y a trois ans, l’organisme a dû composer avec les exigences du Service de prévention des incendies, qui lui a interdit d’utiliser les éléments d’une cuisinière, faute de disposer d’une hotte commerciale.
N’ayant trouvé aucun local conforme, l’équipe a fait preuve d’ingéniosité : « On s’est dit “Coudon, on doit être capables de cuire au four! ”. Les bénévoles ont épluché le livre de recettes et les ont adaptées à la cuisson au four […] Maintenant, on a 30 recettes au menu, et le riz et le couscous sont préparés dans une étuveuse », indique la responsable.
Dans le quartier, deux autres organismes offrent aussi ce type de service : le Centre de bénévoles Ahuntsic-Sud et Entraide Ahuntsic-Nord. (Par Christiane Dumont) (2015-12-04)
Le PDQ 27 participe au projet
Nouveau modèle d’intervention pour détecter la maltraitance envers les aînés
Cette recherche-action lancée en 2013 est menée conjointement par la Chaire ainsi que la Section de la recherche et de la planification du Service de police de Montréal (SPVM).
L’objectif est de fournir aux policiers un modèle pratique d’intervention afin qu’ils soient mieux préparés pour détecter les signes de maltraitance envers les aînés et à réagir en conséquence. Jusqu’à présent, les policiers « s’appuyaient sur des modèles d’intervention qu’ils avaient appris en protection de la jeunesse ou en violence conjugale, mais la maltraitance envers les aînés nécessite son propre modèle d’intervention », croit Marie Beaulieu.
Josée Blais, inspecteur-chef et responsable du comité opérationnel du projet Intervention policière auprès des ainés (IPAM) soutient qu’il y a moins « d’une heure de formation destinée à mieux comprendre la clientèle aînée pour les policiers ».
Liens plus étroits avec les partenaires
Les patrouilleurs seraient maintenant amenés à rédiger un rapport d’événement à chaque situation qui engage un aîné maltraité, que cette maltraitance soit de nature criminelle ou non. Selon la chercheure Marie Beaulieu, cette pratique n’était pas courante chez les policiers.
Dorénavant, ils devront contacter leurs partenaires, comme le réseau de la santé et des services sociaux et le réseau communautaire, afin que ces derniers prennent en charge la situation. « Dans certains postes de quartiers, les organismes qui œuvrent auprès des aînés étaient méconnus. Le nouveau modèle, accompagné d’une formation, permettra aux policiers de mieux connaître ces organismes et de référer les victimes aux bons intervenants », soutient Josée Blais.
Participation du PDQ 27
La première expérimentation du projet pilote a débuté en mars 2015 dans trois postes de quartier. La deuxième phase vient d’être lancée dans quatre autres postes dont celui d’Ahuntsic, le PDQ 27. « Il y a eu des améliorations et des ajustements depuis. On veut consolider le tout avant de déployer notre modèle d’intervention dans tous les postes de quartiers », explique Josée Blais.
Il s’agit d’un projet unique au Canada et Marie Beaulieu souhaite transmettre les connaissances à 46 autres corps policiers avec qui les initiateurs sont en contact.
Josée Blais rappelle que la maltraitance envers les aînés est l’affaire de tous et que « si vous êtes victimes ou témoins de maltraitance envers des aînés, n’hésitez pas à composer le 9-1-1 en cas d’urgence. Des ressources sont également là pour vous venir en aide telle que la Ligne Aide Abus Aînés au 1 888 489 ABUS (2287) ». (Par Thomas Deshaies) (2015-12-04)
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Lumières sur l’eau
Une jeune cinéaste d’A-C lance un appel à tous pour pouvoir terminer un projet de film à caractère social
Après des études au Cégep du Vieux-Montréal et maintenant à l’Université Concordia, la cinéaste âgée de 22 ans a coréalisé avec Nicolas Lachapelle un film-documentaire sur les enfants d’une communauté autochtone de la Baie-James. Deux ans plus tard, Lumières sur l’eau est dans la phase finale avant la distribution.
Sujet identitaire
Lumières sur l’eau a été développé de concert avec les enfants de la communauté crie de Waswanipi à la Baie-James. Le film se déroule avant le retour du Pow Wow dans la communauté de Waswanipi, après un interdit de plus de 20 ans.
Il s’agissait d’une première pour la majorité des enfants. L’occasion était parfaite pour les jeunes cinéastes de saisir ce que pensaient ces jeunes, d’avoir leurs réflexions sur le monde des adultes.
Comme disent les auteurs, au fil des saisons, on voit ces enfants grandir et se définir dans leur société. « Nous avons été à la rencontre de ces enfants, dans la rue, en train de jouer, ou dans des ateliers, a indiqué Ariel St-Louis Lamoureux. Ce fut hyper-intéressant de découvrir ces enfants d’une autre culture. On se rend compte à quel point un rapprochement (des peuples) est nécessaire alors qu’il y a tant de méconnaissance dans la société », a-t-elle ajouté.
Le film-documentaire Lumières sur l’eau propose une ouverture, par le biais de l’enfance, « sur un monde dont nous avons tout à apprendre. »
Sociofinancement
Rares sont les jeunes cinéastes qui peuvent vivre uniquement de leur art. Et parfois, il faut faire des miracles pour financer des projets de film, peu importe la durée. C’est pourquoi le duo a lancé une campagne de sociofinancement.
L’équipe derrière le documentaire a besoin de 5000 $ pour finir la post-production, ajouter la musique, les génériques et le sous-titrage. « La traduction coûte chère », comme l’a signalé Mme St-Louis-Lamoureux, qui poursuit aussi des études en scénographie et production à l’Université Concordia.
« Nous avons besoin de l’aide des gens, dit Ariel. Des gens qui ont à cœur un projet comme le nôtre, afin de compléter le film. Avec un petit 5 $, on pourrait parvenir à atteindre notre objectif », a-t-elle mentionné en entrevue avec journaldesvoisins.com.
Le film, qui aura coûté plus de 20 000 $, devrait être présenté dans des festivals de films documentaires. Il sera certes un bon outil pédagogique dans les écoles ou les centres communautaires comme nous a dit la jeune cinéaste qui a aussi un emploi à temps partiel comme enseignante dans une école.
Vous désirez soutenir le documentaire Lumières sur l’eau? Cliquez ici. (Par Alain Martineau) (2015-12-04)
À vos frigos!
Ateliers sur le gaspillage alimentaire à guichet fermé
Cent ateliers À vos frigos! ont été offerts gratuitement au cours de l’automne dans les épiceries IGA de la province, tous animés par un expert en gaspillage alimentaire du Fonds Éco IGA et un chef de la Tablée des Chefs.
Lors de cet atelier, d’une durée de deux heures, Édith Ouellet a sensibilisé les 13 participants au grave problème du gaspillage alimentaire à la maison (50% du gaspillage total des aliments) et nous offrait des idées pratiques afin d’utiliser de façon optimale les produits défraîchis souvent mis de côté par les consommateurs.
De son côté, le chef François Desroches a cuisiné devant les participants trois recettes en utilisant des aliments invendus, mais toujours comestibles : une salade d’orge aux légumes grillés, des mini-poudings au pain et une sauce tomate et légumes. Après avoir dégusté les deux premiers plats, les participants sont même repartis avec une portion de la sauce qui avait cuit pendant l’atelier.
Ces ateliers ont été fort populaires, donc il est possible que le Fonds Éco IGA renouvelle l’initiative à l’automne 2016. Vous pouvez surveiller leurs annonces sur le site www.iga.net/fr/implication/environnement. Si le sujet du gaspillage alimentaire vous intéresse vous pouvez suivre un des expert du Fonds Éco IGA, Éric Ménard, sur son blogue à : www.tuvaspasjeterca.com (Par Julie Dupont) (2015-12-04) (NDLR: Julie Dupont est la titulaire de la chronique Éco-pratico dans le mag papier du journaldesvoisins.com)
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Appel au civisme
La fontaine du parc Ahuntsic mise à mal
À l’heure du midi, il n’est pas rare de voir des dizaines de jeunes de l’école secondaire à proximité jouer au centre de l’étang. Un citoyen, qui n’a pas voulu être identifié, mais qui craint que l’infrastructure, qui date de 1994, soit endommagée, a porté plainte à la police. « C’est une question de civisme. J’aimerais bien que l’arrondissement sensibilise davantage les citoyens à respecter le mobilier urbain et les parcs », dit-il.
« Le parc n’est pas un musée, il doit servir à la population, mais encore faut-il que la population, jeunes et vieux, s’en serve avec intelligence et respect. Comment développer un sentiment d’attachement et d’identification au parc et à ses diverses installations? » demande ce citoyen.
La Ville indique que l’équipe d’entretien n’a pas vu de mouvement significatif dans l’étang cet automne pour justifier une correction majeure. Chaque année, l’étang et la fontaine sont entretenus; cette année, des réparations ont été effectuées pour un montant équivalent à 3000 $. « Nous nous assurons que l’entretien est fait de façon régulière et une surveillance est faite lors du passage des équipes d’entretien public », indique le service des communications de l’arrondissement.
Par ailleurs, des rénovations majeures sur la fontaine et l’étang ne sont pas prévus dans les prochaines années.
Surveillance dans les parcs
Et si le gros bon sens n’encourage pas certains citoyens à respecter les règlements dans les parcs, il ne faut pas oublier que plusieurs espaces verts de l’arrondissement ont des caméras de surveillance :
- Chalet Nicolas-Viel depuis 2010
- Chalet Raimbault depuis 2008
- Chalet Louisbourg depuis 2011
- Chalet Sault-au-Récollet depuis 2009
- Chalet St-Simon -Apôtre depuis 2009
- Chalet Auteuil depuis 2012
- Chalet St-Alphonse depuis 2008
- Chalet Beauséjour depuis 2010
- Chalet Ahuntsic depuis 2009
Chalet Gabriel-Lalemand et pavillon des baigneurs depuis 2009 - Chalet de Mésy (caméra intérieure seulement)
(Par Mélanie Meloche-Holubowski) (2015-12-04)
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En attendant Noël…
De nombreux concerts à voir
Joie et mystère
Les 50 choristes du Chœur Massenet proposent un concert de chants traditionnels, profanes et sacrés. Sous la direction de Lucie Roy et accompagnés par Huberte Lanteigne au piano, ils se produiront le samedi 5 décembre, à 16 h 30, au sanctuaire Saint-Jude, 10120, avenue d’Auteuil. Coût : 25 $ pour les adultes, 10 $ pour les enfants de 6 à 12 ans. Billets : 450 505-7278. Renseignements: billets@coeurmassenet.com.
Turelurelu, c’est Noël!
Sous la direction de Jacques Lachapelle, et accompagné au piano par Romain Pollet, le Chœur Allegro, qui réunit 60 choristes, offre un concert le dimanche 13 décembre, à 15 h, à l’église Saint-André-Apôtre, sur la rue Prieur Ouest, à l’angle de l’Esplanade. Coût : 22$ en prévente, 25$ le jour du concert, 15$ pour les 10 à 18 ans, et c’est gratuit pour les enfants de 9 ans et moins. Renseignements : Francine Marineau, 514 322‑1565 ou francinemarineau@videotron.ca
Brunch Concert de Noël
Le dimanche 13 décembre, à 14 h, le groupe vocal Diverson offre un spectacle à la chapelle de l’Abbaye d’Oka, au 1600, chemin Oka, à Oka. Les 30 choristes puiseront essentiellement au répertoire gospel, ponctué de quelques airs de Noël, sous la direction de Céline Moreau, prestation a cappella ou avec bande sonore. Le tout est précédé d’un brunch qui sera servi au grand réfectoire à 11h30. Au menu, le chef Pierre Leblanc propose des produits du terroir mis en valeur dans une cuisine qui unit l’art culinaire à l’agriculture responsable. Sur réservation seulement: 450 479-6170, poste 209 ou 210. Coût (taxes en sus): 40$ ou 65 $, 30 $ par enfant de moins de 10 ans.
Noëls enchantés
Des chants de Noël traditionnels interprétés de façon classique, voilà ce que promet l’Ensemble vocal Carpe Diem, le dimanche 13 décembre, à 15h30. La prestation aura lieu à l’école Saint-Maxime, au 3680, boulevard Lévesque à Laval. Dirigé par Frédéric Vogel, l’ensemble de 60 choristes sera accompagné par Amélie Fortin au piano. Billets: 22 $. Information : choralecarpedien@hotmail.com.
40 Noëls déjà!
Les 40 choristes du Chœur Alarica chanteront des morceaux représentatifs des 40 saisons de la formation ̶ des chants de toutes les époques, profanes, sacrés, gospels, parfois avec des arrangements nouveaux. À la direction, Aldéo Jean et à la musique, Anthony Lampron. 40 Noëls déjà! a lieu le dimanche 20 décembre, à 15 heures, à l’église de la Visitation au 1847, boulevard Gouin Est. Billets : 20 $ en prévente, 25 $ le jour du concert, 10 $ pour les 16 ans et moins. Sur chaque billet vendu, 5 $ sont remis à la fondation Héros de tous les jours. Information : Danielle Brisson, 514 703-3122.
(Christiane Dumont) (2015-12-04)
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LETTRES OUVERTES
Une semaine noire
Par Catherine Tremblay
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Épervier contre écureuil: qui va gagner?
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BRÈVES…BRÈVES…BRÈVES…BRÈVES…BRÈVES…BRÈV
Pour confirmer sa présence : contact.shac@gmail.com ou http://www.lashac.com/blog/5-decembre-activites-de-lancement-de-la-societe-dhistoire-dahuntsic-cartierville
Jeunesse au Soleil tient à remercier le Centre chiropratique optimal d’Ahuntsic d’avoir organisé pour une 15e année consécutive, sa Journée de partage, au profit de sa banque alimentaire.
Le 14 novembre dernier, les patients de la Dre Christine St-Louis, Chiropraticienne, pouvaient obtenir des soins chiropratique gratuits en échange de cinq denrées non périssables. Pour les nouveaux patients, la clinique offrait un examen chiropratique complet, incluant radiographies, d’une valeur de 175$, en échange d’un don de cinq denrées et plus. Quelque 75 patients ont emporté plus de deux cageots de nourriture, de produits hygiéniques et de jouets neufs, qui ont été remis à Jeunesse au Soleil. L’organisme tient à remercier les employés du centre chiropratique et en particulier, Lucille et Alain qui ont aidés à charger le camion et ont fait un don considérable.
Chaque année, des écoles d’Ahuntsic-Cartierville participent à la grande Dictée P.G.L. (Source : Fondation Paul Gérin-Lajoie)
L’école Dominique-Savio pose un geste pour la planète. Lundi 30 novembre, tous les élèves et les enseignants de l’école Dominique-Savio se sont retrouvés dans le corridor tenant un long ruban bleu. À 10 heures, ils ont gardé une minute de silence pour accompagner tous les délégués de la conférence Paris sur les changements climatiques. Des décisions importantes doivent être prises lors de cette conférence (du 30 novembre au 11 décembre) car l’urgence de la situation de notre planète terre est réelle. En tant qu’école EVB (école Verte-Bruntland), ils ont été invités à poser ce geste et l’ont fait avec beaucoup de sérieux.« Le ruban était notre initiative, il symbolisait le cadeau que nous voulions faire à la Terre. Les élèves ont aussi visionné avec leur enseignant un court vidéo sur You Tube (dessin animé sans parole) qui proposait diverses stratégies pour diminuer notre impact sur l’environnement: «La pollution de l’environnement», par Svetlana Andruseac. Ils vous invitent à le regarder à votre tour et choisir les gestes qui pourraient être le cadeau que vous fassiez à notre planète en ce temps des fêtes! Merci en son nom », nous a écrit Lucie Bois, enseignante, au nom du personnel et des élèves.
En outre, si vous désirez regarder la séance du conseil en Webdiffusion, c’est sur le site de l’arrondissement, sous la rubrique « Mairie d’arrondissement », puis « Conseil en direct », par ici.
LE COIN COMMUNAUTAIRE
Le centre de ressources éducatives et communautaires pour adultes (Créca), situé au 10 770, rue Chambord, recherche une personne bénévole pour assumer sa réception le vendredi, de 13 h à 16 h. La personne intéressée doit bien écrire et parler le français. Ses tâches consisteront à accueillir les utilisateurs, répondre au téléphone, transférer ou prendre les messages et, au besoin, exécuter quelques tâches connexes. Ce bénévolat est idéal pour toute personne aimant le service à la clientèle et qui désire s’initier au travail de réceptionniste. Veuillez téléphoner à Norma Roldan au 514-596-7629. (Source : Créca)
Les bénévoles sont tellement importants partout dans le monde, qu’une journée leur est dédiée chaque année : le 5 décembre. Le Réseau de l’action bénévole du Québec souligne l’événement en réalisant une campagne nationale dont le thème de cette année est : Le changement c’est nous! Pour l’occasion, des cocottes colorées seront semées un peu partout au Québec. Trouverez-vous la vôtre? Pour en savoir plus : www.rabq.ca. (Source : Présâge)
LE COIN DES COMMERÇANTS
FLO
Sur Henri-Bourassa
Sur La Promenade
Un concert gratuit de chants de Noël aura encore lieu cette année à l’Église Saint-Paul-de-la-Croix, samedi 12 décembre, entre 13 h et 14 h. Cette année, le concert est une gracieuseté de la députée de Crémazie, Marie Montpetit.
Et, toujours dans le même esprit, le grand concours de Noël de La Promenade. Plus d’infos sur http://promenadefleury.com/le-concours-de-noel-de-la-promenade-fleury/ Vous pouvez gagner un voyage pour deux à New-York
Marc Savoy, résidant d’Ahuntsic et fondateur de la radio Web http://www.toppop.ca/ (une station de musique 100% francophone sur le Web) fait la tournée des commerces de La Promenade pour y récolter les vœux de Noël des commerçants. « Cette année, encore, il y aura de la musique de Noël et du temps de fêtes sur notre Promenade Fleury. François Morin, le DG, m’a confirmé ça cette semaine. J’aimerais encourager les commerces à écouter la musique des fêtes par le Web. J’ai aussi l’intention de passer voir tous les commerces de la Promenade Fleury afin d’enregistrer leurs vœux et de les diffuser dans la programmation du 3 décembre au 3 janvier 2016 sur toppop.ca. » C’est un rendez-vous!
Boulevard St-Laurent
Fleury Est
QUOI FAIRE… QUOI FAIRE… QUOI FAIRE… QUOI FAI
Complexe sportif Claude-Robillard
www.club50anspluscr.com
Centre Saints-Martyrs-Canadiens
www.loisirsstsmartyrs.com
Le samedi 5 décembre
Portes ouvertes au Musée des Sœurs de Miséricorde. Visites sans réservation débutant à 10 h 30 et à 14 h (environ 90 min). Le Musée est situé dans la Maison mère de la communauté, 12435, av. de la Miséricorde. Information: 514-332-0550 poste 1-393. (Source : Musée des Sœurs de Miséricorde).
Le samedi 5 décembre de 13 h à 17 h
Le Centre de Bénévoles Ahuntsic-Sud vous convie à son exposition annuelle d’œuvres des participants de l’année 2015, des ateliers de « L’art de vivre ensemble ». Cette année, le thème est « La Création d’une œuvre ». Toutes les étapes de la conception à la réalisation. Bienvenue à tous! Rendez-vous au 9286, rue Berri. Information: 514 388-0775 (Source : Centre de Bénévoles Ahuntsic-Sud)
Concert de Noël. À l’approche de Noël, le Chœur Massenet chante la Joie et le Mystère. Venez-vous plonger dans l’esprit du temps des fêtes en écoutant une sélection de chants traditionnels, classiques, profanes et sacrés. Offrez-vous un après-midi qui fait du bien! Église Saint-Jude (10120 Avenue D’Auteuil, Montréal, H3L 2K1) Billets : 20 $ (avant le 30 novembre); 25 $ (à la porte); 10 $ (enfants de 6 à 12 ans) Billetterie : billets@choeurmassenet.com ou téléphone : 450 505-7278 (Source : Chœur Massenet)
Hommage à Joe Dassin par Raphael Torr. Doté d’une solide expérience de scène ainsi que d’une voix chaude et grave naturellement semblable à celle de Joe Dassin, l’interprète, Raphaël Torr, fait revivre les plus grands classiques de Dassin. De Salut les Amoureux à l’Amérique, en passant par Les Champs-Élysées et L’été indien, c’est un véritable voyage dans le temps qui vous attend. Le spectacle de celui qu’on désigne comme »le meilleur interprète de Joe » devient vite une véritable fête à la mémoire de Dassin. Souper-Spectacle 44.95$ (Source : Le rendez-vous du thé)
« Des aventures de cape et d’épée » – une série de trois séances. Voici l’occasion pour les jeunes aventuriers de se glisser dans la peau des chevaliers d’autrefois ou de devenir un Jedi et de jouer un rôle au cœur d’une grande épopée. Cette troisième et dernière activité de la série aura lieu le 5 décembre à la bibliothèque de Cartierville. Elle s’adresse aux jeunes âgés de 10 à 14 ans. Pour participer, on doit réserver en téléphonant au 514 872-6989 ou se présenter directement au 5900, rue De Salaberry. (Source: Arrondissement)
Formation Initiation aux médias sociaux à la bibliothèque d’Ahuntsic. Inscription deux semaines avant la date de l’évènement par téléphone (514 872-0568) ou sur place. (Source : Arrondissement)
« Des mots sur mesure VI » Des mots d’ici sur des musiques d’ailleurs. Concept original initié en 2009 et sans cesse renouvelé, la production « Des mots sur mesure VI » propose une douzaine de créations musicales inédites réalisées par une sélection des meilleurs compositeurs-interprètes issus des grandes cultures musicales de la planète qui chantent en français pour la première fois des mots d’ici sur des musiques d’ailleurs. La soirée est animée par Monique Giroux et présentée grâce à la collaboration du Secrétariat à la politique linguistique du Québec. Informations et billets (10$) www.mcahuntsic.com ou à la maison de la culture (avec argent comptant seulement) 514 872-8749 (Source : Maison de la Culture)
Activité « Je décore ma bibliothèque pour Noël! » à la bibliothèque de Salaberry. Avec l’aide de Diane, les jeunes bricoleurs sont invités à donner un air de fête à la bibliothèque de Salaberry à l’occasion de Noël. Créativité et originalité sont au rendez-vous. Pour les enfants de 6 à 12 ans et leurs parents. L’activité est gratuite et les inscriptions se font au comptoir de la bibliothèque ou par téléphone, 4 170, rue De Salaberry, téléphone 514 872-1521 (Source : Arrondissement)
Rencontre avec Marie Laberge. La romancière et dramaturge Marie Laberge parlera de son nouveau roman Ceux qui restent ainsi que de son essai Treize verbes pour vivre publiés chez Québec-Amérique. Marie Laberge a d’abord été connue du public comme comédienne avant de se consacrer à l’écriture et à la mise en scène. Elle est l’auteure de plusieurs romans et pièces de théâtre qui lui ont valu une rare complicité avec ses lecteurs. À la Librairie Monet. (Source : Librairie Monet)
Cette année, Moments Musicaux vous offre un concert de Noël intitulé : « Noël impérial de la Renaissance ». Pour cette occasion, nous recevons six chanteurs et quatre instrumentistes
sous la direction musicale de Douglas Kirk, spécialisé dans le répertoire de la Renaissance. Au programme, des œuvres sacrées d’Espagne, d’Italie, des Flandres, d’Allemagne, des pièces du répertoire profane du seizième siècle ainsi que d’autres bijoux de la Renaissance. Comme le veut la tradition, le concert sera suivi d’un vin /fromage pour tous les auditeurs. Lieu : Église de la Visitation, 1847, boul. Gouin Est, Montréal. Admission générale 30$ (En promotion 25$ jusqu’au 4 décembre), Étudiants 10$, tarif de groupe également disponible. Informations-billets http://www.momentsmusicaux.ca/ ou 514-439-2254 (Source : Moments Musicaux)
Conférence « Donations avant décès : les précautions à prendre » présenté par Maître Hélène Guay. Ce qu’il faut savoir avant de faire un don de son vivant à ses enfants, à ses petits-enfants ou à des proches. Activité présentée grâce à la collaboration de l’Association québécoise de défense des droits des personnes retraitées et préretraitées (AQDR), au café de Da, Bibliothèque d’Ahuntsic, 545 rue Fleury Est, Montréal. Veuillez confirmer votre présence en appelant au (514) 856-3511 poste 222, ou par courriel: aqdr.astl@gmail.com (Source : Arrondissement)
Fado Portugais, swing et rythmes du cap vert par Alix Noel Guéry, Marc Wencelius et Andrew Bruhelius. Embarquez dans le navire du groupe « Iguana Caravel » en voyage avec un répertoire de Fado portugais teinté de swing; de rythmes des îles du Cap Vert et d’Angola. Hommages à Amalia Rodriges et Mariza en passant par Cesaria Evora et Waldemar Bastos. Ce voyage musical lusophone s’aventurera sur plusieurs continents avec le piano, l’accordéon, la guitare manouche, la basse et les percussions de musiciens-chanteurs hautement voyageurs. Un spectacle raffiné, multiculturel et coloré ! Entrée libre – contribution volontaire (Source : Le rendez-vous du thé)
Hommage à la Chanson (Supplémentaire) par Sélim Bichara. Sélim interprètera des chansons de Georges Moustaki, Brel, Aznavour, Félix Leclerc et biens d’autres, en plus de quelques-unes de ses compositions. Il puisera aussi dans ses répertoires québécois, français, espagnol et italien. Sélim se produit un peu partout dans la province offrant des soirées intimes, douces et avec un peu d’humour. Souper-Spectacle 44.95$ (Source : Le rendez-vous du thé)
Hommage à la Chanson (Complet) par Sélim Bichara. Sélim interprètera des chansons de Georges Moustaki, Brel, Aznavour, Félix Leclerc et biens d’autres, en plus de quelques-unes de ses compositions. Il puisera aussi dans ses répertoires québécois, français, espagnol et italien. Sélim se produit un peu partout dans la province offrant des soirées intimes, douces et avec un peu d’humour. Souper-Spectacle 44.95$ (Source : Le rendez-vous du thé)
Formation Initiation à la lecture numérique à la bibliothèque de Cartierville. Inscription deux semaines avant la date de l’évènement par téléphone (514 872-6989) ou sur place. (Source : Arrondissement)
Hommage à Joe Dassin (supplémentaire) par Raphael Torr. Doté d’une solide expérience de scène ainsi que d’une voix chaude et grave naturellement semblable à celle de Joe Dassin, l’interprète, Raphaël Torr, fait revivre les plus grands classiques de Dassin. De « Salut les Amoureux » à « l’Amérique », en passant par « Les Champs-Élysées » et « L’été indien », c’est un véritable voyage dans le temps qui vous attend. Le spectacle de celui qu’on désigne comme »le meilleur interprète de Joe » devient vite une véritable fête à la mémoire de Dassin. Souper-Spectacle 44.95$ (Source : Le rendez-vous du thé)
Formation Initiation à la lecture numérique à la bibliothèque Ahuntsic. Inscription deux semaines avant la date de l’évènement par téléphone (514 872-0568) ou sur place. (Source : Arrondissement)
Visite du Parc-nature de l’Île-de-la-Visitation avec le club d’ornithologie Ahuntsic. Venez sillonner les sentiers à la recherche d’espèces qui se préparent pour l’hiver. Voyez ce magnifique parc sous un tout autre décor de celui auquel vous êtes habitué. Stationnement 9$. Information : coamessages@gmail.com ou 438-338-4138. (Source : COA)
Ensemble avec nos nouveaux voisins syriens! Sous forme de café citoyen, vous êtes invité à venir discuter avec notamment, Ruba Gazhal, présidente du comité citoyen sur le dialogue interculturel (CCDI) de Bordeaux-Cartierville, Marie-Claire Rufagari du Service d’éducation et d’intégration interculturelle (SEIIM) de Montréal et Geneviève Levac, agente de mobilisation citoyenne du CLIC. Cette rencontre se tiendra au YMCA de Cartierville au 11 885 Laurentien. Pour plus d’informations, contactez Geneviève Levac au 514-332-6348 ou mobilisation@clic-bc.ca (Source : CLIC)
Marc Hervieux, en Concert de Noël
La paroisse de la Visitation a le privilège d’accueillir le grand et talentueux ténor, Marc Hervieux. Chanteur aux multiples facettes, animateur de télévision et de radio, il nous offrira un concert des plus beaux airs de Noël. Marc Hervieux sera accompagné de Marc-André Doran, à l’orgue et d’un quatuor vocal composé d’Isabelle Lapierre, soprano et saxophoniste, Claudine Ledoux, alto, Sylvain Paré, ténor et Marc-Antoine D’Aragon, basse. Organisé au profit de la campagne de financement pour la restauration de l’église de la Visitation, la plus vieille église de l’île de Montréal, l’événement se tiendra à l’église, au 1847 boul. Gouin Est. Le prix des billets est de 40,00 $ taxes incluses. Pour information: Secrétariat (514) 388-4050. Billets aussi disponibles en ligne :
www.accesculture.com/activité/Marc_Hervieux_en_Concert_de_Noel
Formation Initiation à la recherche sur internet à la bibliothèque de Cartierville. Inscription deux semaines avant la date de l’évènement par téléphone (514 872-6989) ou sur place. (Source : Arrondissement)
Série de 4 séances « Ouf, c’est vendredi! ». Dans le cadre des séances « Ouf, c’est vendredi! », la bibliothèque de Cartierville offre des activités de jeux vidéo. Les participants pourront tenir des mini-tournois et essayer de nouveaux jeux vidéo sur des consoles PS3 ou PS4 et XBOX 360. La quatrième et dernière séance aura lieu le vendredi 18 décembre à la bibliothèque de Cartierville. Cette activité s’adresse aux jeunes âgés de 10 à 14 ans. Pour participer, on doit réserver en téléphonant au 514 872-6989 ou se présenter directement au 5900, rue De Salaberry. (Source : Arrondissement)
115e édition du Recensement des Oiseaux de Noël Audubon (RON). Nous sommes à la 20e édition du recensement de Noël par le Club d’ornithologie Ahuntsic, lequel apportera une aide précieuse aux scientifiques qui étudient les populations d’oiseaux et leurs déplacements. Les détails de cette expédition seront inscrits sur le site internet du COA ( www.coahuntsic.org ) et seront aussi expédié par courriel aux membres, un peu avant la date de l’événement. Il n’y a aucun frais d’inscription, mais une contribution volontaire à la Société Audubon peut être faite lors de la sortie, à la discrétion de chacun. Confirmation d’inscription pour le RON avant le 1er décembre afin de planifier efficacement les équipes, alors que la réservation au restaurant St-Hubert peut se faire avant le 12 décembre. Le conseil d’administration du Club en profite pour souhaiter à tous une Joyeuse période des Fêtes et À l’année prochaine! Information : coamessages@gmail.com ou 438-338-4138 (Source : COA)
Autres idées d’activités sans date précise
Salon des beaux livres. Présenté à la Librairie Monet . Recevoir des beaux livres, c’est partir à la découverte de nouveaux horizons! Cette année encore, la Librairie Monet vous propose le Salon des beaux livres, une présentation des plus beaux livres parus dans la dernière année ainsi que les grands classiques que vous aurez plaisir à offrir pour Noël. Arts visuels classiques, modernes ou contemporains, musique, architecture, photographie, cinéma, littérature, voyages, spiritualité, mode, gastronomie, faune, flore et histoire, tous les sujets qui pourraient vous intéresser sont représentés dans le magnifique espace consacré à ce Salon. (Source : Librairie Monet)
Expostition Le nez de clown? Un soleil en plein visage! L’organisation Clowns Sans Frontières a créé une exposition où sont dévoilées des images prises à Port-au-Prince, en Haïti, lors des missions humanitaires ayant suivi le bouleversant séisme de 2010. Offrant un regard lumineux sur l’après-catastrophe et soulignant la force de l’entraide, cette exposition témoigne de la beauté qui émerge des jours sombres. Ces images, déjà fortes en émotions, sont accompagnées par les textes de Stanley Péan, écrivain, journaliste, animateur à Ici Musique et porte-voix de Clowns Sans Frontières. Exposition présentée à la TOHU. (Source : La TOHU)
Exposition San Limit par Casque noir. Pour une deuxième année consécutive, Casque noir vient témoigner des liens qui ne cessent de grandir entre le Québec et Haïti, dans le cadre de l’exposition San Limit. L’organisation a créé deux murales inspirées d’une nouvelle littéraire rédigée à quatre mains par deux jeunes de Montréal et de Jalousie à Port-au-Prince. Le travail de ces jeunes aux cultures opposées mais aux valeurs communes fait état des avancées en éducation et dans la sensibilisation à la langue française. Un projet donnant vie à 12 grands panneaux de photographies extérieures, qui seront visibles pendant un an sur la place publique de la TOHU. Ces photos témoignent des échanges culturels et du savoir-faire qui furent nécessaires aux interventions créatives réalisées dans les deux régions. De plus, les photographies seront accompagnées d’un parcours sonore mêlant à la fois voix et ambiances provenant d’Haïti et Montréal. Une création signée Audiotopie. Exposition présentée à la TOHU. (Source : La TOHU)
Numéros de téléphone utiles
Bibliothèque d’Ahuntsic : 514 872-0568
Bibliothèque de Cartierville : 514 872-6989
Bibliothèque de Salaberry : 514 872-1521
Café de Da : 514 872-5674
Le Rendez-vous du thé : 514 384-5695
Maison de la culture : 514 872-8749
* Les renseignements de la section Quoi faire sont publiés à titre indicatif. C’est avec plaisir que journaldesvoisins.com corrige les coquilles, mais il ne peut être tenu responsable d’erreurs ou d’omissions.
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Journaldesvoisins.com, le magazine papier de décembre en distribution jusqu’au 13 décembre!
Le thème du mois? « Jeunes et aînés, ensemble ».
À l’occasion de la période des Fêtes, découvrez que, sur le territoire, peut-être plus près de vous que vous ne le pensez, la solitude est un plat qui se mange seul, chez plusieurs aînés, sous la plume de notre journaliste Elizabeth Forget-Le François. Et de nos autres chroniqueurs et journalistes dont vous appréciez la plume, plusieurs autres articles et chroniques à déguster près du sapin, dont : un suivi dans notre dossier sur l’accessibilité aux personnes à mobilité réduite; échanges intergénérationnels dans A-C; Trois femmes d’exception; L’accueil des réfugiés au pays, sous la plume de notre politologue et résidante, Diane Éthier…
Je ne vous en écris pas plus! Je vous le laisse découvrir un peu à la fois… Le pdf sera disponible bientôt sur cette page. Bonne lecture!
(C.D.)
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Commerçants et gens d’affaires…
Notre conseiller, média, saura vous guider : appelez-le!
Conseiller média au journaldesvoisins.com depuis quelques mois, Éric a joint l’équipe des collaborateurs du journal pour soutenir la progression de votre média communautaire d’Ahuntsic-Cartierville. Éric a du métier et connaît très bien le territoire puisqu’il en est également résidant. Vous vous sentirez en confiance quand vous ferez affaire avec lui.
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Nacer Mouterfi
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Illustrateur: Martin Patenaude-Monette
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Correction/révision, version papier : Samuel Dupont-Foisy, Geneviève Chrétien, et Séverine Le Page.
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