Les Actualités du 4 mars 2016
Albert Londres, 1884-1932
Subdivision d’un terrain adjacent au Bois-de-Saraguay
La Cour supérieure invalide une décision de l’arrondissement
Le 11 juillet 2011, Francesco Lapara et Giuseppina Gentile achètent un terrain au 9040, boulevard Gouin Ouest. Ce terrain est bordé au nord par le boulevard Gouin et au sud, par l’avenue Jean-Bourdon. À l’est et à l’ouest, on y trouve plusieurs maisons unifamiliales. Une résidence familiale est érigée sur le terrain de 11 243 mètres carrés et près de 75% du terrain est boisé (on y compte quelque 400 arbres). Le site est l’un des derniers du secteur qui n’a pas été développé.
Avant l’achat, M. Lapara et Mme Gentile s’adressent à Pierre Alarie, conseiller en aménagement à l’arrondissement, pour voir s’il sera possible de créer huit lots résidentiels. L’arrondissement leur indique qu’ils pourront en créer seulement quatre, afin de ne pas abattre trop d’arbres. Toutefois, rien ne leur laisse croire que cette parcelle de terrain boisé pourrait être déclaré « écoterritoire » et ainsi y interdire toute construction.
On accepte…puis on refuse
Le 11 juin 2012, le projet d’opération cadastrale a été présenté au Conseil du patrimoine de Montréal (CPM), qui émet un avis favorable à la subdivision du terrain, à condition que le développement résidentiel soit limité à la partie donnant sur le boulevard Gouin et que la partie arrière où se situe le boisé soit transformé en parc public. Le CPM suggère aussi à la Direction des grands parcs d’acheter le lot afin de protéger le boisé et de fermer l’avenue Jean-Bourdon afin de favoriser la liaison entre le bois et le parc-nature du Bois-de-Saraguay.
Le 1er octobre 2013, le dossier est de nouveau présenté au CPM; la Direction des grands parcs indique qu’elle n’a pas l’argent pour acquérir le boisé, malgré « sa grande valeur écologique ». On propose alors à M. Lapara et Mme Gentile de limiter la subdivision à quatre lots et de protéger 5400 mètres carrés, soit près de la moitié du terrain.
On suggère aussi d’inclure un corridor boisé de 20 m de largeur entre les deux lots en face du parc-nature du Bois-de-Saraguay, le long de l’avenue Jean-Bourdon. La Direction des grands parcs aurait été responsable de l’entretien et de la mise en valeur de cette zone de conservation, précise le document de la Cour.
Mais le propriétaire du terrain a jugé cette option non acceptable, puisqu’elle aurait « sérieusement compromis la vente des terrains subdivisés et affecté à la baisse la valeur de ceux-ci » et qu’aucune compensation financière lui aurait été accordée.
Le propriétaire a proposé de réduire la largeur du corridor boisé à 10 m et d’inclure dans les actes de vente notariés des futurs propriétaires des quatre lots, l’obligation de protéger la zone de conservation identifiée sur le plan d’implantation proposé. Ainsi, les parties boisées demeureraient privées mais ne pourraient faire l’objet d’un déboisement. Cette proposition est acceptée par la Direction des grands parcs.
Le 7 août 2013, le comité consultatif d’urbanisme de l’arrondissement recommande d’approuver ce projet, en se basant sur la recommandation du CPM. Puis, alors que l’arrondissement s’apprête à entériner leur recommandation, le sujet soudainement est retiré de l’ordre du jour du conseil d’arrondissement, puis la demande est entièrement refusée. Les élus invoquent l’article 392.2 du règlement d’urbanisme, qui prévoit que la conservation des bois, milieux humides et cours d’eau intérieurs doit être maximisée.
Condamnation du juge
En les empêchant de morceler le terrain, les propriétaires ont argumenté devant la cour que la décision est « une expropriation déguisée » et que l’arrondissement a identifié de façon erronée leur terrain comme étant 75% « boisé ».
Selon le juge, les « autorités ont choisi de stériliser l’utilisation de l’immeuble, dans le but avoué de conserver le boisé sur 75 % de sa superficie, sans pour autant indemniser les demandeurs. » Le juge a donc invalidé l’article 392.2 et annulé la résolution de l’arrondissement qui aurait empêché la subdivision du lot.
Attention aux pouvoirs discrétionnaires, dit le juge
Dans son jugement, le juge avertit également l’arrondissement que l’article 392.3 n’explique pas « concrètement (ce qui) doit être fait (par le propriétaire) » pour préserver un milieu humide, cours d’eau ou boisé. Ce flou dans le règlement a créé de la confusion parmi les personnes qui ont procédé à l’analyse du dossier à l’arrondissement et mené à cette bataille juridique, indique le jugement.
La Cour reconnaît qu’un conseil a certains pouvoirs discrétionnaires dans l’évaluation des projets, mais que cette « discrétion doit être encadrée et que la réglementation doit être assez précise pour permettre à un demandeur de connaître l’étendue des obligations qu’il doit rencontrer. (…) Cette absence de critères laisse place à l’arbitraire et accorde au conseil une discrétion que les dispositions de la Loi sur l’aménagement et l’urbanisme se rapportant aux Plans d’implantation et d’intégration architecturale ne lui confèrent pas. »
Les élus doivent maintenant étudier l’impact de cette décision sur leur règlement d’urbanisme et voir si l’arrondissement pourrait contester le jugement. (Mélanie Meloche-Holubowski) (2015-03-04)
Pour consulter l’Avis du Conseil du patrimoine de Montréal, cliquez ici.
Pour consulter la décision du juge, cliquez ici.
Quel avenir pour la prison Tanguay?
Le ministère avait annoncé, en septembre dernier, que le transfert était devenu nécessaire à cause de la vétusté de l’établissement pénitentiaire du nord de la ville.
« Outre la vétusté, a mentionné Alexandra Paré, de la Direction des communications du ministère, et en raison de l’augmentation de la population carcérale féminine, le ministère de la Sécurité publique se devait de trouver une solution pour permettre aux Services correctionnels de réaliser pleinement leur mandat auprès de cette clientèle. »
Le bâtiment, datant de 1964, sera-t-il rénové, rasé ou déconstruit pour en bâtir un nouveau? Le terrain grand et bien localisé aurait certainement une grande valeur sur le marché. Le ministère de la Sécurité publique aura à trancher, a indiqué Martin Fecteau du bureau de la députée de l’Acadie et ministre Christine St-Pierre, au journaldesvoisins.com. « Il ne devrait pas y avoir de décision de prise cette année », nous a-t-il confirmé.
Les détenues dénoncent des incidents
Dans une entrevue au journaldesvoisins.com, Marc Lyrette, directeur adjoint au réseau correctionnel de Montréal, a parlé des nombreuses faiblesses du bâtiment. « Nous avons ce bâtiment depuis plus de 50 ans. Sans jeter la pierre à quiconque, il faut convenir qu’il est dans un état lamentable. Les systèmes mécaniques et électriques, de même que l’enveloppe du bâtiment sont à refaire », a-t-il signalé.
D’ailleurs, des femmes qui sont maintenant à Leclerc et qui purgent des peines intermittentes ont dénoncé les mauvaises conditions de détention. Elles ont notamment raconté qu’elles se faisaient imposer des plages horaires pour aller aux toilettes.
« Nous regardons ce qui s’est passé, nous a confié M. Lyrette. Et nous avons demandé d’accélérer les rénovations. Cela se fera rapidement. Il faut comprendre que les détenues ont pu être désorganisées en étant dans un lieu différent. Les gens ont leurs habitudes. Mais il n’y a pas lieu de s’inquiéter », a-t-il conclu.
Mathieu Lavoie, le président du Syndicat des agents de la paix, a déclaré à plusieurs médias que les compressions de Québec se font sur le dos des détenues. « Ce sont des compressions en lien avec l’austérité du gouvernement Couillard. Le Service correctionnel a rempli une commande du gouvernement en coupant Tanguay. Mais si on calcule toutes les heures supplémentaires qu’il faudra à Leclerc, ça reviendra encore plus cher au gouvernement », a-t-il prédit.
La mixité critiquée
La question de mixité à l’EDLL en a aussi fait bondir plusieurs. Mais le ministère se veut rassurant. « Le MSP a déjà une expertise en matière de mixité, a renchéri la porte-parole du ministère. L’EDLL est devenu le deuxième du genre dans le réseau correctionnel du Québec. L’établissement mixte comporte des secteurs réservés aux femmes et d’autres aux hommes. Une logistique des déplacements dans les lieux communs est prévue afin d’éviter les contacts entre la clientèle féminine (250) et masculine (85) », a-t-elle noté.
Mme Paré a ajouté que les employés touchés par les changements ont reçu une formation particulière relative au travail effectué auprès des femmes incarcérées. La porte-parole a également indiqué que certains hommes incarcérés à l’EDLL ont été transférés dans d’autres établissements de détention du Québec.
Le centre de détention situé à Roberval accueille plus de détenus pour prévenir toute surpopulation dans le réseau correctionnel. Et on ouvrira trois autres centres de détention en 2016 à Amos, Sorel-Tracy et Sept-Îles, soit 339 places de plus. (Par Alain Martineau) (2016-03-04)
Dans l’arrondissement…
Encourager l’économie sociale, oui, mais pas à tout prix
Sans avoir un caractère exécutoire, la motion demande que, pour les dépenses inférieures à 25 000 $, les responsables des acquisitions sollicitent des prix auprès d’entreprises d’économie sociale de Montréal figurant dans des répertoires comme celui du Comité d’économie sociale de l’île de Montréal (CESIM).
Un exemple à suivre? Oui et non, selon Émilie Thuillier : « On ne va pas aussi loin que la motion qui a été apportée dans Hochelaga-Maisonneuve, mais il y a une sensibilité dans l’arrondissement, affirme-t-elle. Moi, je pense qu’on le fait déjà pas mal, et je ne sais pas si ça vaut la peine d’en reparler. Peut-être, mais il y a quand même beaucoup de gens qui sont sensibilisés et qui font déjà [appel à ces entreprises] ».
La conseillère souligne que ce sont les fonctionnaires municipaux et non les élus qui concluent les contrats. Les petites entreprises locales et d’économie sociale peuvent être favorisées dans deux types de contrats, expose-t-elle. « De temps en temps, pour certains contrats qui sont petits, de moins de 25 000 $, on peut aller de gré à gré, ou même sur invitation, jusqu’à 100 000 $, puisqu’on peut choisir les personnes à qui on envoie la demande. Quand on fait des contrats de gré à gré, c’est vraiment une prise de position », affirme Mme Thuillier.
Un exemple concerne les repas dont l’arrondissement pourrait avoir besoin pour certaines activités. « Quand l’arrondissement a besoin d’un traiteur, on pense souvent à des entreprises d’économie sociale », ajoute la conseillère d’Ahuntsic.
Rapport qualité-prix
Selon elle, les entreprises d’économie sociale tirent leur épingle du jeu en proposant des prix alléchants. « Elles ont quand même dans les prix les plus bas, ce qui est aussi intéressant. Par contre, on regarde toujours, évidemment, la qualité. Si à un moment donné, on est moins satisfaits, on est quand même des bons clients, on est capables de discuter avec l’entreprise pour lui dire de ne pas nous tenir trop pour acquis non plus. On peut aller voir ailleurs même si les autres ne sont pas des entreprises d’économie sociale. Mais il y a tellement de retombées positives qu’on les préfère. »
Un bémol : « C’est sûr que ces entreprises n’occupent pas non plus tous les champs qu’on sollicite, convient Mme Thuillier. Des 60 entreprises d’Ahuntsic-Cartierville figurant sur la liste du CESIM, 36 appartiennent au secteur des services à la personne et à la famille, et 20 à celui des arts et de la culture.
Les autres secteurs sont, par ordre d’importance, les suivants : alimentation, services à la collectivité, loisir et tourisme, médias – notamment journaldesvoisins.com–, communication et technologies, alimentation, commerce de détail, coopérative scolaire, habitation, environnement et services à l’entreprise. (Christiane Dumont) (04-03-2016)
Après le scandale Jutra, un Ahuntsicois réitère sa demande à l’arrondissement
Doit-on changer le nom de l’avenue Durham?
Il ne comprend pas le fait que, depuis le 18 février 1927, dans Ahuntsic-Cartierville, les deux segments du prolongement de la rue de Châteaubriand vers le nord (entre la voie ferrée du CN et le parc Ahuntsic, puis jusqu’à la rue du Parc Stanley) portent le nom de Durham.
« Alors que l’affaire Claude Jutra semble s’être terminée aussi rapidement qu’elle a commencé, nous semblons avoir passé à côté d’une occasion pour faire une réflexion de fond sur la toponymie montréalaise plutôt qu’une réaction individuelle et rapide. (…) En effet, la surprise et l’ampleur des révélations sur Claude Jutra nécessitaient indubitablement des actions immédiates, mais aurait dû propulser la réflexion sur certaines rues abordant le nom de personnages encore plus contestés dans l’histoire et dont l’hommage via le nom d’une rue est depuis longtemps critiqué. En ce sens, Amherst est l’exemple récurrent qui n’est toujours pas en voie d’être réglé. Au niveau d’Ahuntsic-Cartierville, le plus triste exemple est la rue Durham », a indiqué Eloi Mayano-Vinet, citoyen d’Ahuntsic- Cartierville, dans sa missive.
Pour lui, le nom de Durham n’a pas sa place. « Il ne mérite pas plus un hommage via le nom d’une rue que Jutra ou Amherst », a dit Eloi Mayano-Vinet. Ce citoyen revient à la charge, deux ans et demi après avoir protesté en vain auprès des autorités pour demander un changement.
Pourquoi s’opposer à la rue Durham?
« John George Lambton, lord Durham (1792-1840), douzième gouverneur anglais du Canada (1838). Il ne demeura que cinq mois au pays », nous dit sa courte bio sur le site officiel de la ville de Montréal.
Mais, M. Mayano-Vinet rappelle que Londres l’avait envoyé ici presque de force pour tenter de résoudre des conflits entre les deux groupes linguistiques (francophones et anglophones) à la suite de la rébellion des Patriotes en 1837.
Durham avait recommandé d’assimiler la population canadienne-française, qui pour lui est « un peuple sans histoire ni littérature ». « ll me semble évident que l’héritage funeste laissé par Durham pour l’histoire de Montréal, du Québec et du Canada ne mérite en aucun cas d’avoir une rue à son nom, ne fusse que sur un court segment inoffensif en périphérie du centre-ville », concluait M. Mayano-Vinet dans sa lettre.
Comment peut-on changer la toponymie?
La toponymie relève de la Division du patrimoine de la ville de Montréal, le conseil de ville de Montréal étant l’instance décisionnelle. Les citoyens peuvent soumettre un nom pour ajouter à la liste existante de propositions ou demander d’attribuer un nom à un lieu public. De plus, l’arrondissement peut faire une demande pour une désignation ou un changement.
Par exemple, à l’été 2014, le parc de la Cité l’Acadie a été officiellement renommé Roland-Giguère pour célébrer le poète et résident émérite d’Ahuntsic-Cartierville.
Plus de noms de femmes
Par ailleurs, on verra à Montréal de plus en plus de noms de femmes pour désigner les parcs, rues et places publiques. À quelque jours de la Journée internationale des femmes, l’administration montréalaise a annoncé la création de Toponym’Elles. Il s’agit d’une première banque toponymique féminine visant à augmenter la représentation des femmes dans la toponymie montréalaise. Le premier objectif est d’avoir 375 noms féminins à temps pour le 375e anniversaire de la ville.
Sur les 6000 toponymes de la Ville, les hommes en mènent large avec plus de 50 % des dénominations alors que les femmes ne représentent que 6 %. (Par Alain Martineau) (2016-03-04)
Hommage au syndicaliste Fernand Daoust
André Leclerc, d’A-C, lance le tome 2 de sa biographie
Interrogé par journaldesvoisins.com lors du lancement du tome 2 du livre de l’auteur et résidant d’Ahuntsic-Cartierville André Leclerc, (Fernand Daoust- Bâtisseur de la FTQ, 1964-1993), jeudi soir, M. Daoust, toujours solide, n’a pas caché que la lutte doit continuer, comme toutes ces batailles qu’il a menées avec d’autres dans un passé pas si lointain. Le lancement de l’ouvrage avait lieu à la mezzanine du Fonds de solidarité FTQ, sur la rue Crémazie, ce jeudi.
« C’est encore loin d’être acquis, a mentionné celui qui a été pendant trois ans le président de la FTQ. Il faut être optimiste pour l’avenir sinon on sombre. Il faut sans cesse se battre. On voit avec les nouveaux arrivants, certains fléchissent, apprennent l’anglais (alors qu’il y a 80% de francophones au Québec) et travaillent en anglais. Il y a une certaine résistance et cela provoque des réactions. Ça semble plus fragile que l’on pense», a ajouté M. Daoust, alors que le débat sur le dossier du financement des cours de français dans les entreprises refait surface.
En entrevue, André Leclerc, qui a relevé le défi de faire deux tomes (au lieu d’une brique de plus de 600 pages) pour parler de l’ex-syndicaliste, a insisté sur le fait que la lutte pour le français a été marquante pour Fernand Daoust, en même temps que ses luttes pour la syndicalisation et l’avancement des idées progressistes.
Dans l’ouvrage publié chez M éditeur, André Leclerc, ex-conseiller syndical, retrace le long parcours de Fernand Daoust pendant la Révolution tranquille.
« Dans ce Québec des années et 1960, et même avant, soutient l’auteur, la langue anglaise était imposée dans les communications même si 95% des travailleurs en usine parlaient le français. Daoust et d’autres ont mené des combats dans les manufactures, les mines et dans d’autres secteurs du privé. Il a porté ce message. On lui doit les aspects de la loi 101 touchant la langue du travail», a -t-il ajouté.
Le rôle de M. Daoust à la FTQ
Outre le français, Fernand Daoust a aussi fait beaucoup pour le rayonnement de la centrale syndicale, souvent perçue comme faisant du syndicalisme d’affaires. « On touche les années 1960, et Fernand Daoust a joué un rôle majeur pour la FTQ. Il a implanté une foule se services et la FTQ est devenue une centrale crédible», a précisé M. Leclerc. Aujourd’hui, elle est la plus importante centrale syndicale au Québec avec 600 000 membres.
Dans ce deuxième tome, Leclerc évoque cette époque où Louis Laberge aura régné longtemps comme président de l’organisation. Puis, il s’en est fallu de peu que ce rôle revienne à Fernand Daoust.
«En 1964 il fallait assurer l’intérim à la présidence et lors du vote à un conseil général de la centrale, Louis Laberge avait gagné par seulement une voix, devant Fernand Daoust. Ce dernier a donc accepte la vice-présidence de la centrale, puis en 1969 il devenait secrétaire général de la centrale, avec l’appui de Louis. Il aura été son compagnon de route pendant plus de 20 ans. On parlait alors de mariage de raison, mais finalement, ce fut l’un de mariages des plus stables », a ainsi expliqué le communicateur.
Fernand Daoust, toujours posé, s’exprimant toujours dans un français clair (loin de la langue de bois), a été secrétaire général de la FTQ pendant 22 ans, d’octobre 1969 à juin 1991. Enfin, il sera président de la centrale de 1991 à 1993 avant de céder sa place à la relève.
MM. Daoust et Leclerc sont deux résidants de l’arrondissement.
« Cela fait 48 ans que j’habite Cartierville, nous dit M. Daoust. On cherchait une maison. On avait fait le tour dans Ahuntsic. On a trouvé notre maison dans Cartierville finalement », dira l’ex-chef syndical qui demeure près de l’endroit où était localisé autrefois le Parc Belmont. « On entendait les cris quand les gens prenaient les montages russes. Nous nous sommes habitués. Mais on n’a pas été déçu quand le parc a fermé ses portes », a-t-il confié.
André Leclerc, qui lui a été conseiller syndical à la FTQ, aux côtés de Daoust pendant plus de 40 ans, habite pour sa part Ahuntsic, près du bord de la rivière où était autrefois la discothèque L’Octogone. « J’aime bien le quartier et pour moi, c’était près du siège social de la FTQ. Dans Ahuntsic, on est près de tout et le quartier a des allures de campagne ». (Par Alain Martineau) (2015-03-04)
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Contre l’intimidation
Deux étudiantes d’A-C récompensées pour leur projet
Le programme pancanadien des Comités régionaux Présents pour les jeunes a récompensé 186 initiatives jeunesse au pays pour leur initiatives inspirantes, dont celle de Lli Rose et d’Alyssia.
La Banque nationale souhaite encourager l’éveil entrepreneurial chez les jeunes, la créativité, le leadership et la débrouillardise, trois qualités qu’ont démontré les deux jeunes filles.
« J’étais tellement surprise d’avoir gagné, surtout quand j’ai appris qui étaient les autres gagnants, comme le Y des Femmes et la Fondation du Dr. Julien. J’étais vraiment fière », dit Lili Rose L’Heureux.
Estime de soi et confiance
Ce qui a commencé par un projet scolaire, s’est développé en petite entreprise sociale. Mardi sans maquillage a pour but d’améliorer l’estime de soi et la confiance. Les deux jeunes filles fabriquent et vendent des macarons avec divers messages d’inspiration. Tout l’argent amassé permet d’offrir des ateliers sur l’intimidation et l’estime de soi dans des écoles du quartier.
Elles ont d’ailleurs récemment organisé un atelier à leur école, le Collège Sainte-Marcelline, avec l’aide d’une ancienne élève du collège, qui est maintenant psychologue. « Elle est venue expliquer (aux étudiants) la psychologie derrière l’intimidation, comment il faut réagir quand ça arrive et pour essayer d’expliquer pourquoi les gens intimident les autres. »
L’importance de comprendre
Lili Rose dit que la réponse de ses pairs a été fort agréable. « Ils trouvaient ça intéressant. (L’intimidation), ce n’est pas quelque chose qu’on apprend à l’école. On n’en parle pas beaucoup, mais c’est tellement important à comprendre », croit la jeune fille.
Les deux filles essaient maintenant de propager leur initiative à d’autres écoles d’Ahuntsic-Cartierville et de Saint-Laurent. Cette bourse leur permettra de poursuivre leur projet, d’acheter des matériaux et peut-être d’organiser d’autres ateliers. « Nous allons faire profiter d’avantage de jeunes Québécois qui bénéficieront de l’expérience de nos conférenciers », ont écrit Lili Rose et Alyssia lorsqu’elles ont annoncé l’obtention de la bourse sur leur page Facebook.
Et puis, une autre bonne nouvelle pour le projet : les macarons sont maintenant en vente à la boutique Casa Luca sur la rue Fleury Est.
(Par Mélanie Meloche-Holubowski) (2015-01-04)
Dernière chance avant l’AG du 16 mai
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Recyclage dans les endroits publics
Les élus d’A-C écouteront-ils les jeunes Ahuntsicois?
Les jeunes ne sont pas les premiers citoyens à demander qu’on installe des bacs de recyclage dans les endroits publics. Questionnés cette semaine quant à la possibilité d’en installer, les porte-paroles de l’arrondissement n’ont pas voulu faire de promesses.
Martin Cyr, directeur Maison des Jeunes Le Squatt d’Ahuntsic, indique qu’il ne sait pas si la vidéo aura un impact sur la décision des élus, mais il croit que ce fût une excellente façon de sensibiliser les jeunes à l’engagement citoyen. « Les élus ont été très réceptifs tant à notre démarche qu’à nos demandes. Ils ne se sont pas engagés à installer ces équipements, mais au moins à en regarder la faisabilité. Ils ont même offert à nos jeunes de venir présenter leur projet à un conseil d’arrondissement, pour que d’autres gens puissent la voir (NDLR: la vidéo) ».
Présentement, l’arrondissement dispose de quatre bacs de recyclage publics, semi-enfouis : deux au parc des Hirondelles et deux autres au parc Louisbourg. Ces bacs sont situés à proximité des terrains de soccer synthétiques. Huit contenants destinés au recyclage public ont été installés sur la rue Chabanel, du côté nord.
L’arrondissement utilise également des bacs de recyclage lors d’événement spéciaux, lorsque les organisateurs en font la demande. Enfin, rappelons que l’arrondissement amorce cette année la collecte des résidus alimentaires à domicile.
Le projet Les Ambassadeurs de la collecte sélective est un partenariat entre la Table de récupération hors foyer et le Regroupement des Maisons de Jeunes du Québec. Chaque projet pouvait obtenir jusqu’à 4000$. Pour leur part, une douzaine de jeunes d’Ahuntsic-Cartierville ont choisi de faire une tournée du territoire en mini-bus afin de créer une chanson ainsi qu’un court-métrage pour présenter aux élus.(Mélanie Meloche-Holubowski) (2016-03-04)
Des patineurs sont déçus….
La saga des patinoires d’A-C
L’arrondissement répond à leurs questions
Q. À votre avis, les patinoires nécessitent-elles plus d’entretien qu’avant compte tenu des changements climatiques?
R. C’est, en effet, un point important. C’est Dame Nature qui mène actuellement. Nous vivons des années exceptionnelles à ce chapitre. Encore en janvier, le sol n’était pas gelé. Il était très mou et buvait l’eau. Nos camions pouvaient difficilement s’y rendre.
Déjà en 2010-2011, nous avons diminué le nombre de patinoires de 22 à 16 pour essayer d’optimiser nos interventions.
Q. L’entretien des patinoires est-il assuré par des employés cols bleus ou par des sous-traitants? Combien de personnes assurent cet entretien sur le territoire d’A-C?
R. L’entretien est assuré entièrement en régie par nos propres employés. Ils sont 6 ou 7 pour chaque quart de travail : de jour, de soir et nuit, et les fins de semaine. Il faut dire que ces employés ne sont pas affectés uniquement aux patinoires, mais également aux sentiers dans les parcs. Il y a 74 parcs sur le territoire de l’arrondissement et 13 d’entre eux ont des patinoires. En 2016, nous avons, sur le territoire, 19 patinoires, dont neuf sont des patinoires à bandes (NDLR : pour jouer au hockey, notamment).
Q. Le budget d’entretien des patinoires a-t-il été réduit au cours des dernières années?
R. Au contraire. En 2011, nous avons eu un budget supplémentaire octroyé par les élus pour ajouter six personnes de plus à l’entretien des patinoires pendant huit semaines. À la mi-février, nous perdions toujours nos glaces. Les élus avaient octroyé le temps supplémentaire, mais avec Dame Nature… En 2016, il en coûte environ 30 000 $ par année pour assurer l’entretien d’une patinoire à bande et entre 15 000 et 20 000 $ par année pour entretenir une patinoire sans bande.
Q. Pourquoi arroser les patinoires le jour, ou tôt en soirée, plutôt qu’à la fin de la soirée?
R. Depuis le début de la saison, l’entretien des patinoires est plutôt difficile. Les glaces sont minces. Aussitôt qu’ils en ont l’occasion, les employés en profitent pour aller ajouter une épaisseur de glace. Bien sûr, on essaie de respecter les temps de glace qui sont utilisées. On arrose souvent à la fin de la journée, vers 22 h. Mais évidemment, ce n’est pas toujours possible, alors quand on a la chance de pouvoir arroser, on le fait. Il faut savoir qu’il y a 19 patinoires dans l’arrondissement. Nous essayons de donner un service équitable et selon les prévisions de la météo. Une journée, nos employés travaillent d’est en ouest de l’arrondissement, et la fois suivante, ils font l’inverse.
Q. Sur le site Web où il est indiqué dans quel état sont les patinoires, serait-il possible d’inclure des statistiques sur le nombre d’arrosages, la date et l’heure du prochain entretien afin d’éviter que les citoyens s’y rendent pour rien?
R. En fait, les indications sont faites à partir d’un programme informatisé universel et commun à tous les arrondissements de Montréal. L’arrondissement ne peut pas modifier le programme. Toutefois, je peux faire part de la suggestion.
Q. On a investi beaucoup en soccer dans l’arrondissement au cours des dernières années, notamment sur les terrains. Pourrait-on faire le même exercice pour les patinoires dans un avenir pas trop éloigné et avoir, par exemple, une grande patinoire pour le patin libre au parc Ahuntsic; bénéficier d’équipements de pointe à l’aréna comme une Zamboni; avoir une patinoire réfrigérée pour le hockey comme celles qu’on retrouve dans d’autres quartiers et à Laval; et une patinoire couverte avec un toit ?
R. Des résidants ont fait la demande depuis 2 ou 3 ans, pour l’implantation d’une patinoire réfrigérée. Il faut savoir que l’entretien annuel est assez élevé : 60 000 $.
Q. Avons-nous trop de patinoires, finalement, et devrions-nous en avoir moins mais de meilleure qualité?
R. C’est certain que plus on a de patinoires à entretenir, plus on étale nos interventions. Avant l’exercice que nous avons fait en 2010-2011 pour optimiser les patinoires et leur entretien, nous faisons 25 interventions de surfaçage, contre 22 maintenant.
Q. Y a-t-il possibilité d’installer une web cam par patinoire, la technologie le permet et ça se fait à la patinoire du Vieux-port ! Ça permettrait d’assurer la sécurité des citoyens et prévenir le vandalisme…
R. Il y a des caméras dans certains chalets de parc. Quant on a construit de nouveaux pavillons ou que des chalets ont été restaurés, on a installé des caméras pour la sécurité, à l’intérieur, afin de prévenir le vandalisme. Mais ce sont des systèmes qui coûtent très cher.
Q. Finalement, des résidants aimeraient participer à l’entretien des patinoires. Que pensez-vous de leur idée de rendre disponibles les pelles dans un casier verrouillé avec une clé donnée à certains citoyens?
R. À chaque année, on laisse des pelles pour que les résidants qui arrivent et qui veulent nettoyer la galce avant de patiner puissent le faire, mais les pelles disparaissent rapidement. Pour ce qui est de donner des clés à quelques-uns d’entre eux, c’est difficile de gérer ça. Et à qui donnerait-on les clés? (Propos recueillis par Christiane Dupont) (2016-03-04)
Le coin des commerçants
Le restaurant Mikes sur la rue Lajeunesse fermé depuis le 21 février pour d’importantes rénovations ouvrira ses portes de nouveau le 8 mars.
Fleury Ouest
La Flo Fest est de retour sur Fleury Ouest! Du 14 au 19 mars, venez fêter la fin de l’hiver… Voyez toute la programmation de la semaine en cliquant ici : http://www.fleuryouest.com/#!le-flo-fest-2016/u70k9 Au cours de la semaine : spectacles d’humour, de chants… La semaine sera clôturée par une grande fête au parc Tolhurst, samedi 19 mars : le Winston Band, le conteur François Lavallée, bouffe, courses de trottinettes des neiges, marche dynamique à trois reprises dans la journée, courses de tube sur neige, soccer-bulle sur neige, et le reste. Au parc, le samedi, la majorité des activités sont gratuites mais pas la nourriture, bien sûr!
À la Chocolaterie Bonneau, vous pouvez (peut-être) trouver l’âme sœur! Il y a quelques semaines, autour de la fête de la St-Valentin, Julie, une jeune cliente a demandé à Josianne Bonneau s’il était possible d’afficher un grand carton sur lequel les célibataires qui voulaient rencontrer un (e) éventuel (le) conjoint (e) ou camarade tout simplement pouvaient laisser une petite annonce… Aussitôt dit, aussitôt fait! Josianne a trouvé l’idée bonne, et Julie s’est exécutée! Depuis, d’autres l’ont imitée. Ainsi, en entrant à la Chocolaterie Bonneau, dans ce qui est encore le vestibule, un grand carton avec des « post-its » attend votre prose si vous voulez rencontrer l’âme sœur. En laissant votre trace, vous pouvez également prendre connaissance des messages de ceux et celles qui ont déjà écrit avant vous… On ne sait jamais! Vous achèterez peut-être du chocolat, mais gagnerez peut-être un cœur à apprivoiser… Que de douceurs vous promettra peut-être ce timide début du mois de mars… Rencontres, soirées-ciné ou marches de santé… et plus si affinités. J
La Promenade
Il y aura une chasse aux œufs pour les tout-petits sur La Promenade comme par les années passées, lors du week-end pascal, le samedi 26 mars. La direction, après le déménagement épique de la semaine dernière, a commencé à plancher sur l’activité bien appréciée des jeunes Ahuntsicois. Plus d’infos au cours des prochaines semaines.
La boutique Casa Luca vend les macarons Mardi sans maquillage de deux jeunes filles fréquentant le Collège des Marcellines, de Cartierville. Le profit de la vente sert à organiser des ateliers destinés à lutter contre l’intimidation et à améliorer la confiance en soi. (Voir article un peu plus haut).
Boulevard Saint-Laurent
Pour les amateurs de gastronomie italienne, un nouveau restaurant a élu domicile au 10005, boulevard St-Laurent, il y a quelques mois. Il s’agit du restaurant « Il Tavolino ». Pour les amateurs de sauces tomates mijotées, pâtes de toutes sortes, et autres, c’est une adresse à connaître dans le quartier.
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Ne manquez pas notre mag papier d’avril à partir de la semaine prochaine…
Le numéro d’avril de journaldesvoisins.com, le mag, sera donc disponible dès le 11 mars, à votre porte ou dans nos différents points de chute, la preuve que nous ne mettons pas tous nos oeufs dans le même panier… (bibliothèques, YMCA de Cartierville, résidences Les Deux Aires et Jardins Millen, Entraide Ahuntsic-Nord, Centre communautaire de Bordeaux-Cartierville, Centre communautaire Ahuntsic, etc.). Bonne lecture ! (C.D.)
LETTRES OUVERTES
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BRÈVES…BRÈVES…BRÈVES…BRÈVES…BRÈVES…BRÈV
Montréal, le 7 mars 2016 – Tout au long du mois de mars, qui est le mois de la prévention de la fraude, les policiers de la Sûreté du Québec, de la Gendarmerie royale du Canada, du Service de police de la Ville de Montréal et du Service de police de l’agglomération de Longueuil, sensibiliseront la population à la contrefaçon de billets de banque, la fraude grands-parents, le vol d’identité et la fraude par Internet, grâce à un partenariat avec la Banque du Canada.
Plusieurs équipes spécialisées, provenant de ces corps de police, travaillent quotidiennement à combattre les divers types de fraude puisqu’ils font de réelles victimes et peuvent être lourds de conséquences. Les policiers profitent donc de l’occasion du Mois de la prévention de la fraude pour sensibiliser, de façon intensive, la population à ce sujet. À cet effet, ils remettront des dépliants, qui fournissent des conseils de prévention afin d’éviter de se faire prendre au piège. Les policiers du Poste de quartier 27 avec leurs collègues de la région Nord seront à la station de métro Henri-Bourassa le mardi 29 mars prochain de 7h à 9h00 afin de sensibiliser les gens.
(Source : SPVM, Agent sociocommunautaire, poste de quartier 27)
Kiosque de Prévention sur les fraudes
Le 29 mars 2016 de 11h30 à 13h00
Endroit : Aux Galeries Normandie, 2620 rue Salaberry, Montréal.
En collaboration avec Tandem et le poste de quartier 10 du SPVM.
(Source: SPVM, Poste de quartier 10)
Ainsi, Etienne St-Denis, résidant d’A-C depuis une quinzaine d’années, a publié il y a quelques mois, aux éditions de la Société des écrivains, le roman psychologique, « L’absence » , après avoir écrit plusieurs nouvelles au cours des dernières années. M. St-Denis est directeur artistique d’une agence de publicité, et réside avec sa conjointe dans Ahuntsic-Cartierville.«Mélangeant les genres, flirtant avec le fantastique, adaptant les styles d’écriture à l’évolution de son personnage, Etienne St-Denis livre un roman psychologique troublant qui happe le lecteur à l’image de son héros en sursis, jusqu’à son final résonnant longtemps en mémoire.
Un autre résidant d’Ahuntsic-Cartierville, Roger Trépanier, qui habite Ahuntsic « depuis presque toujours » a également publié un roman récemment, aux éditions Publibook: « Jours de grisaille ». L’éditeur souligne: « Roger Trépanier signe une chronique désabusée de la vieillesse, tendre et amère à la fois, qui ne peut laisser indifférent.»
– courent la chance de gagner des prix en argent ou en service;
– bénéficient de conseils de nos jurés expérimentés;
– élargissent leur réseau de contacts;
– rencontrent des partenaires potentiels;
– augmentent leur visibilité.
D’ici le 14 mars, les porte-paroles de cette 18e édition, Alice Tran, comédienne et animatrice à MAtv, et Nicolas Duvernois, fondateur de Pur Vodka, le réseau PME MTL ainsi que ses partenaires encouragent les candidats potentiels à participer au Défi et à déposer leur candidature sur le site internet : pmemtl.com/osentreprendre et ainsi courir la chance de devenir le (la) prochain(e) lauréat(e) du 18e Défi OSEntreprendre Montréal. Un gala couronnera les gagnants le 28 avril prochain, à l’hôtel de ville de Montréal. (Source : Défi OSEntreprendre Montréal)
• Le programme de mentorat intergénérationnel et interculturel,
de l’Association canadienne des professeurs d’immersion;
• Les activités d’alphabétisation familiale, de l’organisme Le Fablier, une histoire de familles;
• La correspondance entre aînés francophones et élèves anglophones, de la Maison des grands-parents de Sherbrooke;
• Le programme de lecture aux enfants par des aînés bénévoles,
de l’organisme Lire et faire lire.
Gratuit pour les membres d’Intergénérations Québec, 5 $ pour les non-membres. Inscriptions et informations : 514 382-0310 poste 125 ou communication@intergenerationsquebec.org
(Source : Intergénérations Québec)
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En outre, si vous désirez regarder la séance du conseil en Webdiffusion, c’est sur le site de l’arrondissement, sous la rubrique “Mairie d’arrondissement”, puis “Conseil en direct”, par ici.
LE COIN COMMUNAUTAIRE
L’atelir sera donné par Geneviève Gagné, animatrice en saine alimentation chez Ville en vert. Titulaire d’un baccalauréat en nutrition de l’Université Laval, Geneviève aime communiquer sa passion. Depuis janvier 2013, elle est nutritionniste et animatrice en saine alimentation et participe au projet Jardinez et mangez santé. Inscription au 514 872 6989 ou en vous présentant à la bibliothèque de Cartierville.
Samedi 19 mars à 17h, sous-sol de l’église Christ-Roi. Les Scouts 105 Christ-Roi et les Loisirs Christ-Roi organisent un souper spaghetti, le samedi 19 mars à 17h au sous-sol de l’église Christ-Roi (9400 rue Lajeunesse), au coût de 15$ pour les adultes et 10$ pour les enfants. Venez vous amuser tout en contribuant au financement des activités culturelles, sociales et sportives du quartier.
Reseignements: 438-994-2323 ou 514-617-8717
Au plaisir de vous voir le 18 mars prochain.
Information et inscriptions: 514-596-7629
Le véhicule électrique: mythe et réalités. Le mardi 15 mars 2016 à 19h30. Endroit : Café de Da. 545, rue Fleury Est, Montréal.
Une propriétaire d’un véhicule électrique parlera de son expérience en tant qu’utilisatrice d’un tel moyen de transport, qui s’impose de plus en plus comme alternative écologique aux moyens de transport utilisant le pétrole. L’atelier sera donné par Élyse Rémy de Ville en vert. Titulaire d’une maîtrise en environnement (M.Env.) de l’Université de Sherbrooke. Inscription au 514-872-0568 ou en vous présentant à la bibliothèque d’Ahuntsic, 10300, rue Lajeunesse.
Nous sommes à la recherche de personnes désireuses de participer à notre conseil d’administration. Si vous avez des questions et pour nous signaler votre intérêt, n’hésitez pas à communiquer avec nous. Élyse Rémy, directrice générale. Coordonnées: 514-447-6227 direction@villeenvert.ca
Vous avez un peu de temps libre à offrir aux aînés du quartier ? Nous recherchons des chauffeurs et des accompagnateurs bénévoles pour nous aider à assurer le transport et l’accompagnement des aînés lors de rendez-vous médicaux, pour la popote roulante et pour des activités de magasinage, des sorties au resto et des rencontres de socialisation. Rejoignez l’équipe d’Entraide Ahuntsic-Nord
Informations ( 514) 382-9171 poste 25
www.entraideahuntsicnord.org
Conférence sur le divorce mardi le 22 mars à 18h30 au Centre communautaire Ahuntsic
Atelier qui vise surtout à démystifier la procédure judiciaire en divorce. Quels sont les motifs pour demander le divorce? Qu’est-ce que la médiation familiale? Qui peut demander une pension alimentaire? Qu’est-ce que le patrimoine familial? Qui aura la garde des enfants?
Il s’agit d’une conférence publique ouverte aux parents et aux intervenants. Les participants auront l’occasion de mieux comprendre le processus général d’un divorce. (RePère)
En partenariat avec le Centre de justice de proximité du Grand Montréal.
Inscription gratuite : 514-381-3511.
Mercredi 30 mars 2016 à 9h au Centre communautaire Ahuntsic 10780, rue Laverdure Au menu:
– État d’avancement des chantiers de Solidarité Ahuntsic
– Coopérative d’habitation pour les familles (grands logements) sur le Terrain Louvain
– Pour une maison de citoyens dans Saint-Benoît
Exemples, témoignages et défis
Mardi 5 avril 2016 13h15 à 16h
Pour l’ensemble des organisations, la participation citoyenne constitue un grand défi. Comment peut-on mieux encourager les membres de nos organismes à exercer et exprimer leur citoyenneté ? Comment favoriser la prise de parole des personnes parfois isolées et vulnérables ? Comment trouver et accompagner des personnes voulant contribuer au changement social ?
Quatre panelistes, dont trois sont des agent-e-s de mobilisation, parleront de leurs expériences et leurs approches, leurs réalisations et leurs défis.
Françoise Légaré-Pelletier
Agente de mobilisation pour la RUI Pont Viau (Laval)
Sébastien Caron
Animateur communautaire (agent de mobilisation), à La Corbeille de Bordeaux-Cartierville
Geneviève Levac
Agente de mobilisation citoyenne au CLIC
Daniel Leduc
Citoyen membre du Comité citoyen sur le dialogue interculturel de Bordeaux-Cartierville
Endroit: Centre communautaire Ahuntsic
10 780 Laverdure
Inscription obligatoire (places limitées) :
developpement@solidariteahuntsic.org
Cours de français
En collaboration avec le CREP de la Commission scolaire de Montréal, Concertation- Femme offre ce cours aux femmes immigrantes qui désirent améliorer le français dans un groupe de niveau intermédiaire. Il reste quelques places disponibles.
Un temps pour bébé, un temps pour moi
Vous êtes une femme enceinte ou mère de petits enfants (0-5 ans)? Venez avec vos bébés à nos ateliers du programme SIPPE. MARDI : Âme et corps en harmonie (discussion suivie de danse Zumba), JEUDI : Talents cachés (peinture sur soie, vitre, bois, etc.), VENDREDI : Accompagner son enfant à l’école (initiation à la lecture, l’écriture, l’image et aux contes), VENDREDI : Santé au naturel. Informations : 514 336-3733. (Source : Concertation femme)
La session débutera en avril 2016. Évaluation obligatoire qui aura lieu mardi le 8 mars au CANA entre 16 h et 19 h. Inscrivez-vous! Pour plus de renseignements ou pour vous inscrire : 514 382-0735 poste 223 (Source : CANA)
Soirée 5 à 7 « Place aux artistes femmes». Dans le cadre de la Journée Internationale des femmes 2016, le Centre des femmes solidaires et engagées en partenariat avec la députée de Crémazie, Madame Marie Montpetit, et la SDC Promenade Fleury, vous invitent le VENDREDI, le 11 MARS de 17h00 à 19h00, à une soirée culturelle « Place aux artistes femmes » qui aura lieu à la salle l’Ami-Temps situé au 1345 Fleury Est suite 201. Cette soirée culturelle réunira plusieurs artistes de diverses disciplines qui nous feront découvrir leur travail de création. Au programme : Chants et percussions, performance, projection et exposition ! Pour l’occasion notre invité spécial sera ODAYA, un groupe de femmes autochtones qui chantent la richesse des cultures des Premières Nations. Également nous assisterons à une prestation de la chanteuse italo-argentine Silvia Sabash, et pourrons admirer les oeuvres de la céramiste Christiane Dion ainsi que celles des peintres Nathalie Cloutier et Marie Frenette. Finalement, le court-métrage de Paule Beaudoin Rencontre-moi au Parc sélectionné au Short film Corner Festival en 2014 sera présenté au public. La ministre du Patrimoine Canadien, L’honorable Mélanie Joly, députée d’Ahuntsic-Cartierville et la conseillère de la ville du District d’Ahuntsic, Madame Emilie Thuillier seront présentes lors de cette soirée. (Source : CFSE)
Le SNAC vous invite à un souper dansant de cabane à sucre, le vendredi 18 mars à 18 h 30 dans la grande salle du Centre communautaire (10 780, rue Laverdure). Billets en vente au SNAC au coût de 25 $ pour les adultes et de 10 $ pour les enfants de 12 ans et moins. Paiement d’ici le 11 mars. Apportez votre vin ! Venez bien manger et vous amuser tout en aidant au financement de notre organisme pour l’achat de denrées dont bénéficieront les résidents du quartier Ahuntsic ayant un revenu sous le seuil du faible revenu. Pour plus de renseignements contactez Louise Donaldson au 514-385-6499 (louise@lesnac.com.) (Source : SNAC)
QUOI FAIRE… QUOI FAIRE… QUOI FAIRE… QUOI FAI
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Pour l’info-patinoire, cliquez ici
Pour l’info-glissade, cliquez ici
Pour l’info-ski de fond, cliquez ici
L’Association québécoise de défense des droits des personnes retraitées et préretraités (AQDR), section Ahuntsic Saint-Laurent vous invite à une conférence portant sur le thème suivant:
Mandat en cas d’inaptitude : utile ou superflu? Présentée par Maître Hélène Guay Le Mercredi 16 Mars 2016 de 13h30 à 15h00 à la Bibliothèque Cartierville.
5900 rue de Salaberry, Montréal, QC, H4J 1J8
Veuillez confirmer votre présence en appelant au (514) 856-3511 poste 222, ou par courriel: aqdr.astl@gmail.com
À l’occasion de Pâques, les bibliothèques de l’arrondissement Ahuntsic-Cartierville vous proposent des activités gratuites pour les enfants. Cette année, nous vous proposons un « conte spectacle » à la bibliothèque de Cartierville, un atelier de création chocolaté à la bibliothèque d’Ahuntsic et des animaux de Pâques à la bibliothèque de Salaberry. C’est à ne pas manquer!
Tap-tap, le lapin blagueur
La joie et le bonheur seront au rendez-vous pendant ce « conte spectacle » lors duquel les enfants apprendront qui est Tap-Tap, un lapin de garenne qui tapait du pied, impatient de retrouver sa coiffure pour aller à la fête.
Samedi 19 mars à 14 h
Pour les jeunes âgés de 4 à 8 ans, à la bibliothèque de Cartierville
Atelier de création chocolatée
À l’occasion du congé de Pâques, tu pourras te mettre du chocolat plein les doigts! Décorer soi-même des suçons en guimauve et une pizza au chocolat, quoi de plus réjouissant.
Samedi 26 mars à 14 h
Pour les jeunes âgés de 4 à 10 ans et leurs parents, à la bibliothèque d’Ahuntsic
Les animaux de Pâques à la bibliothèque
Les animaux de Pâques de l’équipe d’Éducazoo visitent la bibliothèque : poussins, canetons, lapins, lézards et serpents seront sur place. Une activité qui plaira à tous!
Samedi 26 mars à 14 h
Pour les jeunes âgés de 5 à 12 ans, à la bibliothèque de Salaberry
Toutes les activités sont gratuites, mais vous devez vous inscrire auprès de chacune des bibliothèques, sur place ou par téléphone.
Bibliothèque d’Ahuntsic, 10300, rue Lajeunesse 514 872-0568
Bibliothèque de Salaberry, 4170, rue de Salaberry 514 872-1521
Bibliothèque de Cartierville, 5900, rue de Salaberry 514 872-6989
Liens de sang: aux origines biologiques de la société humaine
Événement à venir – 10 mars 2016 / 19h00 / Entrée libre
La Librairie Monet a le plaisir de vous inviter à une conférence de l’anthropologue québécois Bernard Chapais, auteur de l’essai Liens de sang: aux origines biologiques de la société humaine paru en 2015 aux Éditions du Boréal.
Notre invité:
Primatologue de formation, Bernard Chapais s’est tourné vers l’anthropologie avec une idée en tête : étudier les primates afin de mieux comprendre l’évolution humaine. Il lui est alors apparu que le seul moyen d’y arriver était de s’immerger dans la discipline de l’autre afin de comprendre son point de vue de l’intérieur. C’est cette idée qui est à l’origine de ce livre.
Le livre:
Ce livre se veut un exercice d’intégration interdisciplinaire. Il s’agit d’une tentative de comparer, d’articuler et d’unifier la primatologie comportementale et l’anthropologie sociale sur la question des origines de la société humaine. Bernard Chapais y soutient qu’il existe un système social spécifiquement humain – pour les mêmes raisons qu’il existe un système social spécifiquement chimpanzé, par exemple -, que ce système est le reflet de la biologie humaine et qu’on peut, grâce à l’étude des primates, reconstituer les grandes étapes de son évolution. Les différentes sociétés humaines, passées et présentes, constitueraient donc autant de versions culturelles distinctes de cette structure sociale profondément ancrée dans la nature humaine.
Une conférence qui s’annonce passionnante!
Pour réserver vos places: 514-337-4083 ou evenements@librairiemonet.com
Pour une heure du conte sautée!
Événement à venir – 20 mars 2016 / 10 h / Entrée libre
Abracadabra! Luzerne et Mini-Fée, nos deux lapins coquins, accompagneront la zoothérapeute Nathalie Racinepour vous faire vivre la chasse aux oeufs de Pâques à leur manière.
Vous apprendrez plusieurs choses sur les lapins et peut-être même à parler lapin… Comme quoi les lapins sont magiques!
Nathalie Racine est bachelière en science de la santé et zoothérapeute diplômée depuis 2012. Elle exerce son métier principalement auprès des personnes âgées dans plusieurs centres d’hébergement de Bordeaux, Cartierville et St-Laurent. Depuis 2013, Nathalie Racine propose également, des activités assistées par l’animal dans le réseau des bibliothèques de Montréal : accompagnement en lecture, heure du conte, ateliers éducatifs et conférences. Ses partenaires de travail sont le chien, les chats, les lapins et le cochon d’Inde. Durée : 1h15 environ
Âge : 3-7 ans Réservez vite vos places en nous contactant au 514-337-4083 ou en nous écrivant à evenements@librairiemonet.com.
Johanne de Montigny viendra présenter son livre « Quand l’épreuve devient vie », à la salle de l’église Saint-Jude (10 120, avenue d’Auteuil). Gratuit pour les membres de l’Alliance culturelle (50 ans et plus), 10 $ pour les non-membres. Pour les membres, le cours « À la découverte du bouddhisme », donné par Mark Bradley, commencera le 10 mars à Présâges. Information: 514-382-5716; www.allianceculturelle.qc.ca. (Source : Alliance culturelle)
L’ONF à la Maison de la Culture ” 18 Fugitives ” un film d’Amer Shomali (Palestine) et Paul Cowan (Toronto). Avec humour et passion, 18 fugitives restitue l’esprit de 1987 et met en lumière l’un des chapitres les plus étranges de l’histoire du conflit israélo-palestinien. L’histoire commence simplement, avec l’achat de 18 vaches. Acquises par des Palestiniens de Beit Sahour en Cisjordanie, elles deviennent symbole de liberté et de résistance et permettent aux résidents de produire du lait pour leurs enfants. Mais, en cette époque particulière, les vaches clandestines, si chères aux Palestiniens, sont vite devenues la cible de l’armée israélienne. Une discussion avec le coréalisateur Paul Cowan suivra la projection. (Source : Maison de la Culture)
Mémorables Mélodies par Jocelyn St-Jean. Pourquoi ne pas profiter d’une Entrée libre pour venir entendre quelques-unes des mélodies les plus populaires du répertoire de la francophonie. Au programme, Sardou, Fugain, Lama, Leclerc, Ferland, Beau Dommage et plusieurs autres grands noms de la chanson. Joignez-vous à Jocelyn St- Jean, chanteur-guitariste, et détendez-vous tout en passant une soirée mémorable. Contribution volontaire (Source : Le rendez-vous du thé)
Les histoires et bricolages de Francine à la bibliothèque d’Ahuntsic (Pour les enfants de 3 à 5 ans et leurs parents). Toutes les activités sont gratuites et les inscriptions se font aux comptoirs des bibliothèques ou par téléphone. Bibliothèque d’Ahuntsic: 10 300, rue Lajeunesse, téléphone 514 872-0568.
Les aventuriers de la lecture Une activité familiale combinant dans le plaisir contes et bricolage, à la bibliothèque de Salaberry (pour les enfants de 3 à 5 ans et leurs parents). Toutes les activités sont gratuites et les inscriptions se font aux comptoirs des bibliothèques ou par téléphone. Bibliothèque de Salaberry : 4170, rue De Salaberry, téléphone 514 872-1521.
Soirée Flamenco par Rosanne Dion, Jheinsen Montalvo, José Luis Prez & Éric Bretonhttp://www.flamencorosanndion.com. Flamenco Rosanne Dion présente un spectacle de danse et de musique Flamenco avec son Cuadro composé d’excellents musiciens, qui présenterons un éventail de différents styles de danses, chants et musiques puisés dans le répertoire Flamenco. Nous vous proposons un voyage au cœur de l’Andalousie, ou intensité et passion sont au rendez-vous….OLÉ!!Souper-Spectacle 44.95$ (Source : Le rendez-vous du thé)
Soirée de lecture poétique « Amoureux des Mots, la parole est à vous ». Dans le cadre de l’exposition POÉSIES EN LIBERTÉ qui se tiendra au Café de Da du 4 au 31 mars prochain, le public est invité à assister et à participer à une soirée de lecture poétique « Amoureux des Mots, la parole est à vous ». Cette soirée aura lieu au Café de Da situé au 545, rue Fleury Est. L’entrée est gratuite. Vous êtes poète à vos heures? Venez lire, réciter, déclamer quelques-uns de vos poèmes. Quelle que soit la langue, quel que soit votre âge, vous êtes tous bienvenus à une soirée où les mots seront à l’honneur. Vous souhaitez participer ou simplement être présent à cette soirée, pour plus de renseignements sur le déroulement, vous pouvez contacter Robert Garcia à l’adresse courriel : garciarobert5@outlook.com ou téléphoner au Café de Da au 514 872-5674. (Source : Arrondissement)
Journée internationale des femmes Dans le cadre de la Journée Internationale des femmes 2016, le Centre des femmes solidaires et engagées en partenariat avec le bureau de la Députée de Crémazie Madame Marie Montpetit et la SDC Promenade Fleury présente une soirée « Place aux femmes artistes » qui réunira plusieurs artistes professionnelles résidentes du quartier Ahuntsic. Pour l’occasion notre invité spécial sera ODAYA, un groupe de femmes autochtones qui chantent la richesse des cultures des Premières Nations. Également nous aurons une prestation de la chanteuse italo-argentine Silvia Sabash et les œuvres de la céramiste Christiane Dion, des peintres Nathalie Cloutier et Marie « sherpa » Frenette seront exposées. Finalement le court-métrage de Paule Beaudoin “Rencontre-moi au Parc” sélectionné au Short film Corner du Festival de Cannes 2014 sera présenté lors de cette soirée. Lieu : L’Ami-Temps, 1345 Fleury Est.
Une sortie multigénérationnelle pour souligner la Journée internationale des femmes Profitez de la Journée internationale des femmes pour faire une sortie multigénérationnelle au musée des Soeurs de Miséricorde. Venez avec votre fille ou petite-fille ou grand-mère. Découvrez ensemble la dure réalité d’être une mère célibataire au XIXe siècle par rapport à celles d’aujourd’hui. L’animation « Parole aux pionnières » vous aidera à mettre en relief l’évolution de la condition féminine. Départs des visites : 10 h 30 et 14 h. Aucune réservation requise. Pour les 15 ans et plus. 12435, avenue de la Miséricorde, Montréal, H4J 2G3. Tél: 514-332-0550 (Musée des sœurs de Miséricorde)
Hommage à Piaf par Angélique Duruisseau & Marc-André Cuierrier. La même intensité, le chagrin dans la gorge et l’amour qui déborde, la voix qui gonfle et pour vous faire frissonner avec elle les beautés de la vie! Angélique fait revivre le répertoire de la grande Édith Piaf! « La foule, Padam, Je ne regrette rien »… accompagnée de Marc-André Cuierrier au piano. Souper-Spectacle 44,95$ (Source : Le rendez-vous du thé)
Visite au Parc-nature de la Pointe-aux-Prairies (secteur des marais) avec le club d’ornithologie Ahuntsic. À la découverte des oiseaux d’hiver et des surprises en ce début de printemps. Pour Informations : info@coamontreal.org ou 438-338-4138 (Source : Club d’ornithologie Ahuntsic)
Portes ouvertes de L’Association des Modélistes Ferroviaires de Montréal. L’Association est à construire dans ses locaux, au 9475 rue Meilleur, une maquette ferroviaire à l’échelle HO (1/87) aux dimensions imposantes. Le modélisme ferroviaire est un hobby qui associe la créativité, la dextérité et la technologie. C’est également un loisir, une passion, un art, une activité sociale qui regroupe des personnes de tous les métiers, de tout âges, et de toutes origines, favorisant ainsi la transmission du savoir. L’Association est à la recherche de nouveaux membres désireux de participer à la réalisation de cette maquette. Venez nous rencontrer ! (Association des Modélistes Ferroviaires de Montréal
Moments Musicaux a le plaisir d’accueillir à nouveau cette année la réputée soprano acadienne Suzie LeBlanc. Elle chantera aux côtés d’Elinor Frey au violoncelle baroque et Esteban La Rotta aux luth, théorbe et guitare baroque. AUTOUR DE ANGELO MARIA FIORÈ prend son inspiration d’un manuscrit du 17e siècle récemment émergé à Como, Italie. Il contient des sonates pour violoncelle, brillantes et lyriques, de Angelo Maria Fiorè, et des airs séduisants pour voix, violoncelle, et basse continue jouée au théorbe. Grâce au soutien de la Fromagerie Atwater, Moments Musicaux est en mesure de vous offrir son traditionnel Vin et fromages après le concert. Les billets sont offerts à 25$ jusqu’au 11 mars. Leur prix régulier est 30$. Tarif de groupe pour tout achat de 15 billets ou plus. Lieu du concert: Église de la Visitation, 1847 boul.Gouin à Montréal. www.momentsmusicaux.ca (514) 439-2254 (Source : Moments Musicaux)
Visite du boisé Marcel-Laurin avec le club d’ornithologie d’Ahuntsic. Venez observer avec notre guide d’expérience de ce boisé. Une sortie jumelée avec l’Eco-Quartier. Plus de cinquante espèces d’oiseaux différents fréquentent cet îlot de nature en pleine ville. Une occasion pour les membres d’amener vos amis et votre famille pour leur faire connaître et partager votre passion. Activité gratuite ouverte au grand public et les débutants sont les bienvenus. Rendez-vous au stationnement de la bibliothèque, 2727 boul. Thimens ou possibilité de covoiturage à partir de la Visitation à 8 h 30, toutefois. Covoiturage : 5$. Information : info@coamontreal.org ou 438-338-4138 (Source : COA)
Autres idées d’activités sans date précise
C’est gratuit! Viens bouger! Tous les lundi à 9 h et les mercredi à 19 h Départs au Parc des Hirondelles (coin Larose / Fleury)
Responsable : Alain Lavigne (514) 419-2786 (Source : Marcheurs Philanthropes)
Le parc-nature du Bois-De-Liesse
Situé au croisement de l’autoroute 13 et de l’autoroute 40, ce parc recèle une belle diversité d’espèces animales et végétales, y compris une forêt centenaire et une érablière composée d’arbres impressionnants et rares, comme l’érable noir, une véritable forêt enchantée !
Activités & services :
-11,5 km de pistes de ski de fond ; 9,6 km de pistes de raquette ; 4,4 km de sentiers de randonnée;
-Cours de ski de fond pour 6 à 13 ans et 14 ans et +, Promenades sous les étoiles;
-Les Après-midi colorés;
-La fête des mitaines;
-Découverte des sciences de la nature et de l’environnement pendant la relâche scolaire;
-Accueil de la maison Pitfield;
-Chalet d’accueil des Champs avec comptoir de rafraîchissements et collations;
-Location de skis de fond, raquettes, luges et tapis à glisser.
Parc-Nature de L’île- De-La-Visitation
Situé dans l’arrondissement de Ahuntsic-Cartierville, accessible à partir de la station de Métro Henri-Bourassa, ce coin de nature regorge de vestiges historiques patrimoniaux.
Activités & services :
-8,6 km de pistes de ski de fond, de raquette et de randonnée pédestre;
-Balade historique grâce à l’application mobile Destination Sault de Cité Historia;
-Dimanche autour du feu;
-Observation des oiseaux;
-Chalet d’accueil;
-Location de skis de fond, luges et tapis à glisser.
Numéros de téléphone utiles
Bibliothèque d’Ahuntsic : 514 872-0568
Bibliothèque de Cartierville : 514 872-6989
Bibliothèque de Salaberry : 514 872-1521
Café de Da : 514 872-5674
Le Rendez-vous du thé : 514 384-5695
Maison de la culture : 514 872-8749
* Les renseignements de la section Quoi faire sont publiés à titre indicatif. C’est avec plaisir que journaldesvoisins.com corrige les coquilles, mais il ne peut être tenu responsable d’erreurs ou d’omissions.
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Nous reconnaissons la contribution financière du ministère de la Culture et des Communications du Québec dans la réalisation de journaldesvoisins.com.
Nous reconnaissons la contribution financière du Fonds d’économie sociale de la Corporation de développement économique (CDEC) Ahuntsic–Cartierville dans la réalisation de journaldesvoisins.com.
- Gagnant de cinq (5) Prix d’excellence au congrès annuel 2015 de l’Association des médias écrits communautaires du Québec (AMECQ): catégories “nouvelle”, “reportage”, “entrevue”, “photo de presse”, et 2e meilleur média.
- Gagnant d’une bourse de 5000 $ au concours Entreprenez à Ahuntsic-Cartierville, édition 2014
- Mention Coup de cœur du jury au Concours québécois en entrepreneuriat, CQE Est de Montréal, édition 2014
- Participant à la finale régionale de Montréal au Concours québécois en entrepreneuriat, édition 2014, dans la catégorie Économie sociale
- Journaldesvoisins.com est un journal communautaire d’information fait par des résidants et pour les résidants d’Ahuntsic–Cartierville, et dont le siège social se trouve à Ahuntsic. Notre journal est un magazine bimestriel papier, mais surtout un journal en ligne qui, chaque vendredi, avec les Actualités hebdomadaires d’Ahuntsic–Cartierville, se consulte sur le Web, à www.journaldesvoisins.com
Nous sommes membres de l’Association des médias écrits communautaires du Québec (AMECQ).
Courriel : journaldesvoisins@gmail.com.
Téléphone : 514 770-0858.
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Les opinions émises dans ce journal n’engagent que leurs auteurs. Vous voulez nous aider? Écrivez-nous! Appelez-nous!
Conseil d’administration : Paul Guay, CA, président; Pierre Foisy, PhD., vice-président; Me Hugo Hamelin, secrétaire; Douglas Long, trésorier; Maryse Henri, administratrice (représentant les OBNL); Yves Bonneau, administrateur (représentant les commerçants et les gens d’affaires), Pascal Lapointe, administrateur, et Liliane Gingras-Lessard, administratrice.
Éditeur et cofondateur : Philippe Rachiele.
Conseiller Média : Éric Lescure, 514 506-8665, ou publicitedesvoisins@gmail.com
Rédactrice en chef et cofondatrice: Christiane Dupont
Rédacteur en chef adjoint : Alain Martineau.
Rédactrice en chef suppléante: Mélanie Meloche-Holubowski
Photographes: Philippe Rachiele, Élaine Bissonnette, François Lauzon
Journalistes, version Web : Christiane Dupont, Philippe Rachiele, Alain Martineau, Rabéa Kabbaj, Mélanie Meloche-Holubowski, Elizabeth Forget-Le François, Christiane Dumont, François Lauzon, et Thomas Deshaies.
Journalistes, version papier : Alain Martineau, François Barbe, Mélanie Meloche-Holubowski, Rabéa Kabbaj, Elizabeth Forget-Le François, et Thomas Deshaies.
Journalistes et collaborateurs à la rédaction: Diane Éthier, Laetitia Cadusseau, Justine Castonguay-Payant, Sandrine Dussart, Samuel Dupont-Foisy, Geneviève Poirier-Ghys, Julie Dupont, Patrick De Bortoli, Nacer Mouterfi, Kristian Gazaryan, et Daphné Dupont-Rachiele.
Graphisme de la nouvelle version papier et nouveaux logos : Nacer Mouterfi
Mise en page : Philippe Rachiele, Christiane Dupont et Nacer Mouterfi.
Illustrations originales : Claire Obscure.
Caricaturiste : Florence Tison.
Bédéiste: Martin Patenaude-Monette
Illustrateur: Nicolas Roy
Correction/révision, version Web : Christiane Dumont.
Correction/révision, version papier : Samuel Dupont-Foisy, Geneviève Chrétien et Séverine Le Page.
Réseaux sociaux : Christiane Dupont, Mélanie Meloche-Holubowski, Philippe Rachiele.
Impression, version papier : Hebdo Litho inc.
Distribution, version papier : journaldesvoisins.com
Dépôt légal, version papier : BNQ – ISSN1929-606
Dépôt légal, version Web : BNQ – ISSN1929-607X
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