Les Actualités du 8 aout 2014
Gabrielle Gagnon-Blache a de la suite dans les idées!
Résidante et travailleuse d’Ahuntsic-Cartierville, elle lance une pétition en ligne pour améliorer le service sur cette ligne
. Elle avait déjà interpellé le jdv sur le transport en commun
AUTOBUS 55
Récemment, elle lançait une pétition en ligne pour que le service de l’autobus 55 soit amélioré.
“J’habite depuis trois ans dans Ahuntsic Ouest, bien que j’étudiais à Ottawa au cours des dernières années, mais j’y avais toujours mon pied-à-terre et j’y venais tous les week-ends. Plus récemment, alors que j’ai commencé à travailler ici et que j’habite toujours dans l’arrondissement, j’ai réalisé que la ligne d’autobus 55 n’était pas vraiment sécuritaire, et que de la prolonger jusqu’au métro Henri-Bourassa, de jour comme de nuit, serait une bonne idée, a-t-elle confié. J’ai aussi entendu des jeunes qui disaient la même chose récemment dans l’autobus, ce qui m’a décidé de lancer cette pétition-là”, a-t-elle ajouté.
Parmi les raisons qu’elle invoque, notamment, l’initiative de prolonger la ligne 55 jusqu’au terminus du métro
Henri-Bourassa a pour objectif général de favoriser l’accessibilité au nord-ouest d’Ahuntsic.
Sécurité, justice et équité
Il s’agit, dit-elle, d’assurer la sécurité des résidantes, le terminus actuel de la ligne 55
étant un lieu isolé, industriel, peu fréquenté et obscur en soirée. Le sentiment
de vulnérabilité lié à cet environnement sinistre limite l’utilisation actuelle
des services, précise-t-elle.
Gabrielle Gagnon-Blache fait également référence au fait que prolonger le service de l’autobus 55 vers le métro Henri-Bourassa, toute la journée, peut contribuer à la sécurité des rues en diminuant le nombre de voitures.
Le fait d’améliorer les services de transport collectif, qui sont moins coûteux que la voiture, permettent à tous et toutes, dans un souci de justice et d’équité, d’être plus mobiles.
Moins de bruit, moins de CO2
Si les utilisateurs de voitures sont moins nombreux, à cause d’une amélioration du transport collectif, la jeune travailleuse fait valoir que cela contribue à diminuer le problème de pollution de l’air en ville, d’émission
de CO2 et de bruits.
Fiinalement, sur le plan économique, le fait d’améliorer le service de la ligne 55 contribuerait à la vitalité de la rue Fleury Ouest, une artère en plein essor, et à
l’économie locale. “Cela inciterait les résidants du reste de la ville à venir
découvrir et profiter de notre quartier, sans pour autant augmenter le nombre
de voitures dans les rues”, dit-elle, ajoutant que cela favoriserait également l’accessibilité et la diversité des services offerts dans le
quartier.
“Contribuons à un quartier à échelle humaine, dit Gabrielle Gagnon-Blache, où les
déplacements en transports collectifs sont efficaces et sécuritaires!”
Suite dans les idées
Déjà Gabrielle Gagnon-Blache avait interpellé journaldesvoisins.com l‘automne dernier en déplorant le fait que le service de l’autobus 140 coupait le quartier en deux, entre la rue Fleury Est et la rue Fleury Ouest. En février dernier, alors que journaldesvoisins.com faisait un article sur le sujet, nous l’avions interviewée. Sa préoccupation envers un transport en commun amélioré dans le quartier ne date donc pas d’hiver. (Par Christiane Dupont) (2014-08-08)
Pour signer la pétition créée par Gabrielle, cliquez ici
Pour lire l’article du jdv qui parlait de transport en commun (la une et page 3) paru dans le bimestriel papier de février dernier, cliquez ici
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Initiatives citoyennes (5)
Récitals dans des endroits pas ordinaires de l’arrondissement…
Clément Canac-Marquis, résidant du quartier et artiste, convie les citoyens à Ahuntsic en fugue, du 13 au 16 août, ici
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Un
nouveau festival est en train de naître dans Ahuntsic-Cartierville, un festival de musique de chambre, Ahuntsic en fugue. Rencontre avec son idéateur, Clément Canac-Marquis, résidant du
quartier depuis 25 ans.
“C’est une espèce d’aventure que de mettre sur pied un festival!”, lance le guitariste, musicien, et professeur à l’école de musique Vincent-d’Indy et au collège Regina Assumpta, Clément Canac-Marquis.
Celui qui a fondé la Société de guitare de Montréal et qui enseigne depuis le début des années ’90, a créé ce concept nouveau qui ne manque pas d’emballer de nombreux résidants du quartier, déjà.
13 au 16 août
Quatre concerts, sous quatre thèmes particuliers (La lune; le soleil; regard à la terre; et territoires intimes), dans quatre lieux différents seront offerts dans le quartier Ahuntsic, du mercredi 13 août au samedi 16 août. Le coût des billets est de 20 $ ou 25$, selon le thème.
Ahuntsic, inspirant
“Ma première source d’inspiration a été le quartier”, dira Clément Canac-Marquis. Un quartier que l’on connaît et que l’on apprécie pour ses parcs, sa verdure, sa rivière, ses artères commerciales, notamment.
Lieux inédits
Les concerts sont offerts dans des lieux inédits, comme par exemple, le parvis de l’église Saint-André-Apôtre; la boutique de vêtements pour hommes Khoury; la cour arrière d’un amateur de musique classique et, finalement, l’auditorium du collège Regina Assumpta.
“C’est un concept nouveau avec l’idée d’apporter la musique dans des lieux qui ne présentent pas nécessairement de concerts de musique”, signale l’idéateur du Festival. En outre, les spectateurs feront l’expérience de vivre avec les musiciens vraiment près d’eux, ajoute-t-il.
Pas des oeuvres faciles
Une dizaine de musiciens seront à pied-d’oeuvre, sous la direction artistique de Julia MacLaine, violoncelliste, pour faire partager aux amateurs un grand répertoire musical de très haut niveau, précise Clément Canac-Marquis. “Ce ne sont pas des oeuvres faciles!”, ajoute-t-il.
Pourquoi en fugue?
“Vous savez, conclut Clément Canac-Marquis, l’énergie transmise lors d’un concert de musique de chambre est comparable à celui d’un concert de musique populaire.” Pour le savoir, il faut vivre l’expérience, et c’est à cela que les résidants d’Ahuntsic-Cartierville qui ne sont pas familiers avec ce type de musique sont conviés. (Par Christiane Dupont) (2014-08-08)
Pour avoir plus d’infos sur Ahuntsic en fugue et le détail de chacun des concerts, cliquez ici
Pour aller sur la page Facebook du Festival Ahuntsic en fugue, cliquez ici
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Train de l’Est
La Gare Sauvé ne sera pas prête à temps
.L’ouverture se fera au printemps, au lieu du 1er décembre
La gare Sauvé, tout juste à côté de la station de métro du même nom, ouvrira ses portes aux usagers du transport en commun au printemps 2015 au lieu du 1er décembre. Ce sera aussi le cas de celle de Pointe-aux-Trembles, mais les autres, dont l’autre appelée Ahuntsic, sur le boulevard de l’Acadie (près du Marché Central), au sud de la rue Sauvé et au nord de la rue de Louvain, seront en fonction.
Sauvé-retard
A la gare Sauvé, l’Agence métropolitaine des transports (AMT) explique officiellement que les travaux ne sont complétés qu’à 45%. De plus, on attend encore que le Canadien National donne son aval au projet de mur de soutènement.
La gare Sauvé comptera entre autres un édicule principal muni d’un ascenseur et d’un escalier situé dans l’axe de la rue de Port-Royal. Mais il y aura aussi un accès secondaire depuis la rue Berri.
L’accès à la station de métro Sauvé à partir de la gare Sauvé se fera par le trottoir de la rue Saint-Denis.
Il faudra approximativement 16 minutes pour se rendre de la gare Sauvé à la Gare centrale, au centre-ville de Montréal.
Des gens travaillant autour du Centre Bell par exemple seront tentés de prendre le train plutôt que le métro. Ce serait aussi une belle alternative lors de pannes du métro.
Particularités- Ahuntsic
Le Train de l’Est aura certaines particularités sur
le plan technique. Il roulera en mode électrique sur une distance de dix
kilomètres, entre la Gare centrale de Montréal et la gare Ahuntsic.
« Après la gare Mont-Royal, dit l’AMT, le
train suivra la courbe Gohier pour rejoindre la voie CN de la subdivision
St-Laurent vers Mascouche. La gare Ahuntsic marquera le changement de mode de
propulsion, d’électrique à diesel’ », de poursuivre le bureau des
communications.
La gare Ahuntsic comptera entre autres un édicule
principal muni d’un ascenseur et d’un escalier situés à l’est du boulevard de
l’Acadie. Il y aura aussi un accès secondaire à l’ouest de l’Acadie et un
quai en béton. Un usager du transport en commun qui prendra le
train à la gare Ahuntsic ne mettra que 13 minutes pour se rendre à la Gare
centrale.
Notons que les gares vont accueillir des personnes
à mobilité réduite qui accèderont au train par les portes hautes.
Plus de trains-riverains
Les gens qui habitent des résidences tout près de
la voie ferrée pourraient ne pas la trouver drôle. Présentement, il y a quelques convois
quotidiennement dont un tôt le matin mais la donne changera avec 16 trains de
plus par jour à compter du printemps prochain, dont 12 prévus aux heures de
pointe. Ainsi, il y aura cinq départs le matin (à l’heure de pointe) pour faire
la liaison Mascouche-Gare centrale.
Période de pointe du matin (6 h à 9 h)
·
5 départs de Mascouche vers Gare centrale
·
1 départ de Gare centrale vers Mascouche
Mi-journée (entre 13 h et 14 h)
·
1 départ de Gare centrale vers Mascouche
·
1 départ de Mascouche vers Gare centrale
Période de pointe du soir (16 h à 19 h 30)
·
5 départs de Gare centrale vers Mascouche
·
1 départ de Mascouche vers Gare centrale
Fin de soirée
·
1 départ de Mascouche vers Gare centrale
·
1 départ de Gare centrale vers Mascouche
Essais
L’AMT a commencé en juin à faire des essais
ferroviaires sur la ligne de trains de banlieue Mascouche, mais pas dans notre
arrondissement.
C’est un passage obligé pour valider le bon
fonctionnement du matériel roulant, de la signalisation ferroviaire et des
systèmes de télécommunication. Ces essais se termineront à la fin de l’automne.
Confusion des noms
Alors que l’on apprend qu’il n’y a que 7% pour cent
de noms féminins au Québec donnés à des lieux publics, il y a de quoi
s’interroger sur les noms donnés aux deux gares situés dans
Ahuntsic-Cartierville.
Ainsi, on se retrouve avec la station et la gare
ayant le même nom, Sauvé, ce qui peut prêter à confusion. Plus à l’ouest, on nomme Ahuntsic la gare située
près du Marché Central (que tout le monde connaît), alors que Gare du Marché
central aurait davantage retenu l’attention, compte tenu de l’histoire du
secteur. On se retrouve en fait dans la partie la plus à l’ouest du quartier. A
quelques jets de pierre de là, nous tombons dans l’arrondissement Saint-Laurent.
Projet majeur
Le projet de l’AMT comprend la construction de dix
nouvelles gares, de différents ponts routiers et ferroviaires, de tunnels et
passerelles, ainsi que de plusieurs kilomètres de voie ferrée. Aux dires de l’organisme, la ligne pourra
accueillir 5 500 passagers par période de pointe. De ce nombre, on pense que près du tiers des futurs
usagers du transport en commun utilisent actuellement leur automobile. (Par
Alain Martineau) (2014-08-08)
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Prolongement de l’autoroute 19
Le BAPE tiendra enquête et audiences dès la mi-septembre sur un projet dénoncé dans notre arrondissement
Enquête
et audiences débuteront dans un peu plus d’un mois relativement au
prolongement de l’autoroute 19 entre Laval et Bois-des-Filion, un projet qui ne
plaît guère à de nombreux résidants et politiciens d’Ahuntsic en raison de la
hausse importante de la circulation de transit à prévoir. Et au tour de la
députée québécoise Marie Montpetit de veiller au grain.
Le Bureau
des audiences publiques sur l’environnement (BAPE) commencera son travail le 15
septembre, dans un hôtel de Laval, pour un mandat de quatre mois, a précisé le
bureau du ministre du Développement durable, de l’Environnement et de la Lutte
contre les changements climatiques, David Heurtel.
La
période d’information et de consultation du dossier par le public a pris fin le
9 juin dernier et le compte-rendu est maintenant disponible.
Inquiétudes-Papineau
Certains
ont soulevé de vives inquiétudes relatives à l’accroissement de la circulation
et la détérioration de la qualité de l’air dans Ahuntsic.
Déjà, sur
le plan politique municipal, plusieurs intervenants de l’Opposition, d’Émilie
Thuillier à Lorraine Pagé, en passant par l’ex-conseiller municipal du défunt
RCM et ex-candidat à la maire de l’arrondissement, Pierre Bastien, étaient
montés aux barricades face à une hausse sensible à prévoir du nombre de
véhicules en transit.
En fait,
il s’agira d’un bel « incitatif ». Il ne serait pas surprenant que
bon nombre d’automobilistes de la couronne nord renoncent à aller prendre
l’autoroute 15 ou même la Métropolitaine (40) pour rentrer à la maison en
optant pour une version améliorée de la 19.
Déjà, on
note une circulation plus dense dans les rues parallèles à l’avenue Papineau
afin de se rendre au pont. On peut aisément imaginer ce qui arrivera dans deux
ou trois ans. Et parallèlement, on songe à rétrécir le boulevard
Henri-Bourassa.
Montpetit-sécurité
La
députée de Crémazie, Marie Montpetit, estime qu’il s’agit pour elle d’un
dossier prioritaire. « Il faudra considérer l’importance de la sécurité
des gens », a-t-elle affirmé en entrevue avec journaldesvoisins.com.
« On
est déjà le deuxième quartier à Montréal avec le plus d’accidents
impliquant piétons et véhicules », a rappelé la députée du nord de
la ville. « Déjà, ce n’est pas un bon score, et le bilan ne devrait pas
s’améliorer », a prédit la députée.
En conséquence, il devrait y avoir certes des
mesures d’atténuation. « Il faudra bien mesurer les impacts, penser aux
aménagements possibles. Le BAPE va devoir en
tenir compte, dit-elle, il y a une présence importante d’aînés et de
familles dans le secteur », a-t-elle rappelé.
Dès son
arrivée à Québec, Mme Montpetit a suivi le dossier de près, sensibilisant
notamment le ministre David Heurtel, qui, incidemment représente la
circonscription voisine de Viau, localisée à l’est de Crémazie.
Farouches
partisans
Mais à
l’autre bout du trajet envisagé, le président de la Coalition pour le
parachèvement de l’autoroute 19 et maire de Bois-des-Filion, Paul Larocque,
jubile. Il a de quoi exulter car le ministre Heurtel a acquiescé assez
rapidement à la demande de plusieurs maires du nord de Montréal qui en ont « assez »
d’attendre le signal de départ du projet.
Le maire
Larocque a dit au gouvernement qu’il s’agit d’un projet capital pour les
Basses-Laurentides, ajoutant du même souffle que c’est aussi le premier projet
de développement routier au Québec à prévoir à l’origine des voies réservées au
transport collectif.
Projet
retardé
Mis sur
la glace en mai dernier, le ministre des Transports du Québec, Robert
Poëti, a finalement relancé le projet, après avoir subi les pressions des
maires de Laval et de la couronne nord.
En
conséquence, ce projet qui frise les 600 millions de dollars devrait
réapparaître dans le prochain budget de l’État, quelque part en mars 2015. La
mise en chantier pourrait se faire dans deux ans.
BAPE-quatre
mois
Le projet
a depuis été soumis à diverses étapes d’études environnementales, dont une
période de consultation publique ayant pris fin au début juin.
D’abord, il y aura des audiences publiques devant permettre aux gens et
à la commission d’enquête de s’informer sur tous les aspects et les enjeux du
projet.
Par la suite, les gens pourront déposer des mémoires et s’exprimer sur
le parachèvement de l’autoroute 19. Le rapport du BAPE
devrait être dévoilé au début de 2015.
Ministère des Transports
En ce qui concerne le milieu humain, le ministère des Transports a
reconnu que les impacts permanents liés à la présence et à l’exploitation de la
future autoroute toucheraient principalement le climat sonore et le paysage.
De plus, plusieurs milieux naturels risquent d’être affectés par le
prolongement de l’autoroute. Les travaux aquatiques pourraient affecter la
reproduction de la faune aquatique de la rivière des Mille-Îles.
Rappelons que le projet
prévoit une autoroute à deux voies, entre les autoroutes 440 et 640, ainsi
qu’une voie réservée au transport collectif et un stationnement incitatif. Le tronçon viendrait remplacer l’actuelle route 335. (Par Alain Martineau) (2014-08-08)
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Jamboree scout 2014
Plus de trois cents scouts d’Ahuntsic-Cartierville en recontreront 2500 autres à Awakamenj Mino du 9 au 16 août
Cinq groupes scouts
d’Ahuntsic-Cartierville comprenant 210 jeunes et 105 bénévoles, feront partie
des 3000 jeunes qui participeront au grand rassemblement scout, du 9 au 16 août,
à Awakamenj Mino, dans la région de l’Outaouais.
Selon la commissaire scoute
adjointe aux communications des Scouts du Montréal Métropolitain, Lauréline
Manassero, les jeunes et les bénévoles d’Ahuntsic-Cartierville constituent l’un
des plus gros contingents au jamboree. Ce sont le 103e groupe St-André-Apôtre, le
105e groupe Christ-Roi, le 246e groupe Bois-de-Boulogne, le 225e groupe St-Isaac-Jogues
et le 230e groupe St-Antoine-Marie-Claret.
Le jamboree des
Scouts du Montréal métropolitain a lieu tous les quatre ans, depuis 1982. Cette
année, pour ce rassemblement, les scouts de Montréal et d’Ahuntsic-Cartierville
se rendent sur une base de plein-air scoute, Awakamenj Mino, ce qui veut dire
en algonquin, « Mieux que le mieux », en Outaouais.
Plus vrai que nature
Cette année, le thème du jam, comme l’appellent familièrement de
nombreux scouts sera Plus
vrai que nature. Au programme, les jeunes feront de nombreuses activités de
plein air telles que l’escalade, la voile, la survie, les rallyes urbains, le géocaching, l’astronomie et le parcours
aérien dans les arbres.
« C’est le cumul,
le summum des activités », dit Nader El-Masri, chef de groupe du 246e
groupe scout Bois-de-Boulogne et coordonnateur adjoint du jamboree 2014,
ajoutant que les 120 jeunes et 25 bénévoles de son groupe se préparent depuis
quatre ans à ce grand rassemblement.
Famille scoute
Parmi les
participants, on trouve quatre membres d’une famille ahuntsicoise. Noémie
Privée, son mari, Antoine, et deux de leurs enfants, Florane, 11 ans, et
Antonin, 9 ans, sont des scouts dans l’âme. Noémie est scoute depuis qu’elle a
neuf ans. « J’apprécie le mouvement scout pour les valeurs, le leadership
et pour l’ouverture sur le monde que ça apporte.”
Les jeunes sont fébriles, dit-elle, ajoutant qu’ils ont tous hâte de faire de
nouvelles connaissances. « Le jamboree apporte une ouverture sur les
autres. Parfois, on a tendance à s’isoler dans nos petits groupes. Des fois, il
y a des jeunes dans une même classe à l’école qui font partie de différents
groupes scouts, sans le savoir! »
Bien entourés
« Tu es entouré
de 3000 jeunes qui sont comme toi. Tu réalises que le scoutisme ce n’est pas
juste dans ton petit coin », ajoute Nader El-Masri, qui en est à son sixième
jamboree.
Puisque Noémie est également animatrice et cheffe du 105e groupe scout
Christ-Roi, elle doit gérer plusieurs activités, le matériel et la cuisine
communautaire pour 150 personnes. Il ne faut pas oublier que sa famille avait quatre costumes à préparer (et non un seul,
comme pour la plupart des participants!), en prévision d’une activité reliée au
thème du jamboree, alors que. les costumes doivent représenter différents
éléments de la nature.
Au cours de la semaine, les jeunes de son groupe devront construire un radeau
et participer à une randonnée de 12 heures pour mettre en pratique les
connaissances qu’ils ont acquises en cartographie et en orientation lors de
leurs réunions hebdomadaires.
Camaraderie et école de la vie
Pour sa part, Olivier Legault, routier (17-25 ans) du 246e groupe scout
Bois-de-Boulogne, participera à son troisième jamboree depuis qu’il a joint le
mouvement, il y a 14 ans. Cette fois, ce scout de 20 ans et étudiant en médecine, sera bénévole et est
membre du comité communications du jamboree. « J’ai vécu des moments
mémorables au jamboree, j’ai rencontré des gens de partout », dit-il. Olivier apprécie la camaraderie du mouvement scout et continue de participer,
dans le but de transmettre les valeurs et les expériences qu’il a lui-même vécues
en tant que jeune scout.
Nader El-Masri estime que le scoutisme a été son école de la vie. « Le
scoutisme offre des activités complètes, tant au niveau spirituel, social que
physique. On apprend à nos jeunes à servir et à redonner à leur communauté.”
Les scouts à l’ère numérique
Si la communication risque d’être difficile sur le site et que les jeunes seront
sans doute trop occupés pour penser à leurs gadgets électroniques, l’équipe des
communications sera présente sur plusieurs réseaux sociaux (Facebook, Twitter,
Instagram). « Nous voulons montrer que le mouvement scout se
modernise » explique Olivier Legault. (Par Mélanie Meloche-Holubowski) (2014-08-08)
Pour avoir plus d’infos sur le jamboree 2014 d’Awakamenj Mino, cliquez ici.
Facebook : https://www.facebook.com/events/256446597826826/?fref=ts
Twitter : Suivez @scoutsmm mot-clic, #jamboree2014
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DÉPART CANON AVEC MISTEUR VALAIRE
Du beau temps pour le FestiBlues International au parc Ahuntsic, sur La Promenade, et sur Fleury Ouest
Avec du beau temps en
perspective, Ahuntsic vit au rythme de la 17e édition du
FestiBlues international de Montréal depuis jeudi soir, marquée par une
prestation spectaculaire de Misteur Valaire.
Le groupe originaire de
Sherbrooke s’est pointé sur scène devant un public conquis, au lendemain du
lancement de son nouveau clip enveloppant la chanson Life Gets Brutal, sorti du
quatrième album, Bellevue, lancé l’an dernier.
Misteur Valaire, composé
de cinq artistes versant dans l’électro-jazz, voire l’électro blues, comme ce fut le cas avec la deuxième pièce interprétée dans le
spectacle devant quelques milliers de spectateurs dont des fans engagés, qui
étaient regroupés entre la grande scène et la tente où se trouvait l’équipe de
la régie dans le parc Ahuntsic.
Le
groupe a enfilé la plupart de ses succès dont « Just like that » et « Don’t
get là » au cours d’une prestation qui a duré 80 minutes, avec les
incontournables rappels.
Les
spectateurs de cette première soirée FestiBlues ont eu droit à une musique
endiablée, avec des musiciens et chanteurs en pleine forme, sous des
projecteurs rotatifs et des néons à la verticale et à l’horizontale, et un peu
de fumée de scène.
ll ne
faut surtout pas oublier que le groupe se veut aussi humoristique, tout en
ajoutant des touches de hip-hop et de rock dans sa sonorité particulière, avec
saxophone, batterie, percussions et trompette.
Le
quintette électro, qui a effectué récemment une tournée européenne, n’a pas
raté l’occasion aussi de parler d’Ahuntsic à maintes reprises, rappelant que
les gens du quartier sont nés dans les bois et qu’ils sont pour la paix dans le
monde…
Avant que le groupe de
Sherbrooke n’envahisse la grande scène, Olivier Charles, jeune
auteur-compositeur-interprète qui lancera au début de l’an prochain un premier
album, Marie-Ève Fournier, qui a été demi-finaliste de La Voix, et un plateau
Slam avaient réchauffé la foule sur des rythmes endiablés.
Une seule estrade
Pour accueillir les gros
noms retenus pour l’événement (les Daniel Bélanger, Marc Dupré, Mario
Saint-Amand, et Brian Tyler, outre Misteur Valaire), on a pensé cette année à
une seule estrade, une « méga-scène », pour rendre l’expression de
Carl Charest, l’un des piliers de l’évènement.
« C’est un
défi technique, certes, mais c’est grandiose, avec deux écrans géants, en plus »
a-t-il dit en point de presse deux jours avant le coup d’envoi du « plus
gros show musique et culture » dans l’arrondissement
d’Ahuntsic-Cartierville.
« On veut créer ce
sentiment d’appartenance, avec une accessibilité à la culture en offrant des
spectacles à prix raisonnables » (NDRL : 7 $ pour un soir ou 18 $
pour le passeport, quatre jours de prestations), a affirmé M. Charest alors que
les organisateurs espèrent bien accueillir entre 60 et 65 mille spectateurs.
« Il ne faut pas
oublier qu’il y a quelque chose au nord de la Métropolitaine, que l’on est
encore à Montréal », a-t-il renchéri après avoir fait allusion au
soulagement qu’auront les gens de St-Lambert, dont certains citoyens ne
digèrent pas l’orgie de décibels sortant du Grand prix de Formule Un ou de
festivals comme Osheaga pour atterrir dans leur cour.
Saint-Amand et Dupré
Pour ce vendredi, un
tableau rassembleur devrait permettre de satisfaire les goûts les plus variés
en matière de blues et jazz.
Le québécois Carlos Veiga
mettra la table en début de soirée (18h30) suivi du groupe français Scarecrow
(19h00), qui a livré une prestation à New York cette semaine avant de
venir chez-nous.
Par la suite, un quelque
chose de spécial avec Mario Saint-Amand qui fera sur scène les chansons
mythiques du Québec.
Le Saint-Amand Blues
dirigé par Alain Sauvageau verse dans un « groove » qui rocke alors
que Mario Saint-Amand raconte les petites histoires derrière 22 chansons
d’ici, des « câlines de blues ».
Pour le dessert, les fans pourront voir et entendre Marc
Dupré et les invités de La Voix pour une soirée spéciale blues. On sait que depuis un peu
plus d’un an, Dupré met son talent au profit d’autres chanteurs dans son rôle
de coach à La Voix, sur TVA.
Daniel Bélanger
Samedi soir, un gars de
chez-nous, Daniel Bélanger (NDLR : il demeure tout près de la maison où a
vécu Maurice Richard, près de la rivière des Prairies) sautera sur scène à 21
heures 15. Le chansonnier qui aime
aussi parler sur scène présentera son nouveau spectacle avec une sauce en
partie « rockabilly ».
Avant lui, on sera tout
aussi bien servi avec Jordan Officer, Laurent Thomas et Martin Goyette. Ce dernier avait mérité,
en 2002, le prix de la relève au FestiBlues de Montréal avec Riverside Blues.
On peut dire que sa voix rauque porte, sinon c’est la musique à bouche qui
prend la relève.
Goyette, qui fait penser
au bluesman du fond sud de la Louisiane, sera sur scène durant 45 minutes, à 19
heures pile. « On veut aller dans les racines du blues avec un
répertoire des années 30 et 40, faire revivre les grands de cette musique qui
ont influencé tant d’autres chanteurs et chanteuses, jusqu’à Stevie Ray Vaughan »,
nous a-t-il précisé.
Du Brassens et du Armstrong
Dimanche, la
programmation est tout aussi éclatée. Le franco-américain Cory Seznec,
spécialiste de la guitare « fingerstyle » et banjo « clawhammer »,
et de l’harmonica, sera sur scène.
Puis, suivra le duo
Montain Men, de retour après une prestation en 2010 ici même. En musique, les
deux artistes rendront hommage à Georges Brassens (NDLR : oui, vous avez
bien lu).
Et en clôture, Brian
Tyler bouclera la boucle avec ses deux invités. Le « Louis Armstrong du
Québec » en mettra plein la vue et les oreilles avec Breen Lebœuf et
Sylvie Desgroseillers sur la scène Loto-Québec
Ailleurs aussi
D’autres événements
viendront se greffer à notre festival international.
« Montréal Kerouac
Blues, sur la route des mots », une belle initiative du FestiBlues, en
collaboration avec le poète Claude Beausoleil et Maxime Nadeau. On a planifié une lecture
aujourd’hui (vendredi de 5 à 7 au café de Da). Cet événement fera découvrir
l’univers blues du mythique Jack Kerouac
D’autre part, le volet slam lancé en 2013 se poursuit de plus
bel. Le slammeur québécois
David Goudreault a réalisé quatre ateliers d’écriture auprès de 200 élèves de
l’école Sophie Barat au mois de mai. Les jeunes se produiront ensuite en
première partie du concert de Scarecrow qui aura lieu dans l’auditorium du
collège Ahuntsic demain ( samedi ) ainsi qu’au parc Ahuntsic dimanche à
18 heures.
Enfin, quelque six
établissements licenciés d’Ahuntsic (tant sur la Promenade que FLO et même
ailleurs) vont accueillir des artistes dans le cadre d’un 5 à 7 ou en fin de
soirée, dès 23 heures, pour diverses prestations.
Travailleurs et bénévoles
Cette année, le
FestiBlues pourra compter sur une armée de 300 travailleurs et bénévoles.
Un des membres conseil
d’administration, Martin Landry, n’est pas peu fier de rappeler qu’une
trentaine d’entre eux, payés, sont des jeunes en réinsertion sociale. « Il est important
de soutenir ces jeunes dans leur développement », a indiqué M. Landry, un
résidant d’Ahuntsic ouest, aussi enseignant en histoire au Collège Regina
Assumpta.
M. Landry travaille
beaucoup sur la pérennité du festival qui peut compter sur une vingtaine de
partenaires public et privés dont Simplex, l’entreprise de location
d’outils née dans Ahuntsic, le bureau de la députée québécoise Marie Montpetit
et les autres paliers de gouvernement, des entreprises locales et des
institutions du nord de la ville.
Le FestiBlues traîne une
dette de 42 000$ découlant de la pluvieuse quinzième édition. Mais nul
doute qu’une grosse affluence cet été aidera l’organisme sans but lucratif dont
le budget annuel est d’environ un million de dollars.
Du tourisme
Cette année, une étude
sur l’achalandage sera effectuée pour mesurer la présence des touristes
extérieurs. M. Landry affirme que les
deux tiers des visiteurs au festival sont d’Ahuntsic-Cartierville et des
quartiers voisins, l’autre tiers venant du Plateau Mont-Royal, par exemple, ou
de l’extérieur de la ville. Parmi ceux-ci, plusieurs centaines dorment au moins
une nuit dans la métropole.
Rappelons que la démarche
du FestiBlues s’inscrit aussi dans un principe de développement durable,
joignant les facteurs culturels, touristiques et sociaux.
L’ancêtre du FestiBlues a
d’ailleurs été un mini-festival (avec le concours de Rap-jeunes entre autres).
Des jeunes ont fait une collecte pour lancer l’événement….Et le tout a débouché
sur un élément majeur appelé FestiBlues international de Montréal. (Par Alain Martineau) (2014-08-08)
Pour voir les photos et vidéos du Festiblues, cliquez ici.
Pour plus de détails sur le FestiBlues,
cliquez ici.
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L’eau qui entoure Montréal
QUALO, RUISSO, COURDO ET PLUVIO
(2 de 2)Pas des personnages de bande dessinée… mais bien des programmes sérieux pour tester l’eau qui entoure l’Île
BON À SAVOIR
À la suite d’une vidéo que le jdv a
publié au cours des dernières semaines sur ses Actualités et qui concernait des tests de l’eau
entourant Montréal, quelques lecteurs nous ont demandé plus de renseignements. La
semaine dernière, nous vous avons informé à propos des vérifications qui étaient
faites en milieu industriel concernant les rejets d’eau polluante dans l’égout
sanitaire.
En résumé, les entreprises
susceptibles de rejeter des contaminants chimiques doivent les rejeter à
l’égout sanitaire d’une part et, dans bien des cas, doivent détenir un permis de la Division du contrôle des rejets industriels de la Ville de Montréal,
qui fait aussi un suivi des entreprises de façon à s’assurer que ces dernières
respectent la réglementation en vigueur.
« Nous intervenons le plus près
de la source possible car il est plus facile de déceler les contaminants
possiblement présents, souligne Valérie De Gagné, porte-parole de la
Ville-centre dans ce dossier. Des analyses physico-chimiques sont réalisées à
la suite à des prélèvements surtout dans les ruisseaux et plans d’eau
intérieurs ou pour répondre à des plaintes », ajoute-t-elle.
Par ailleurs, la Ville gère différents
programmes pour tester et traiter l’eau: les programmes QUALO, RUISSO, COURDO,
et PLUVIO.
QUALO : coliformes fécaux
« Dans le programme QUALO,
précise Valérie De Gagné., on mesure uniquement les coliformes fécaux, car nous
souhaitons analyser si la qualité de l’eau en rives est propice aux usages de
contact direct avec l’eau. Une centaine de stations sont réparties en fonction
des usages potentiels en bordure autour de l’île. On fait la tournée complète
de toutes les stations une fois par semaine pendant 20 semaines. »
RUISSO :
25 paramètres
Dans le programme RUISSO, une
vingtaine de plans d’eau intérieurs comprenant un total d’une cinquantaine de
stations d’échantillonnage sont échantillonnés à sept reprises durant les mois
d’avril à octobre et pas moins de 25 paramètres sont quantifiés pour évaluer la
qualité physico-chimique et bactériologique de ces plans d’eau. Parmi ces
paramètres, on compte les principaux métaux (soit 18 métaux lourds dont le
cadmium, le plomb, le nickel, le plomb, le chrome, le cuivre, etc.), le
phosphore, l’azote ammoniacal, l’oxygène dissous, les matières en suspension et
les coliformes fécaux.
COURDO : 100 échantillons
Le programme COURDO sert à évaluer la
qualité générale des cours d’eau ceinturant l’île. Ce programme se fait en
embarcation et une centaine de points de prélèvements sont échantillonnés et
les analyses suivantes sont effectuées : pH, oxygène dissous, température,
conductivité, matières en suspension, phosphore, carbone organique, coliformes
fécaux et à quelques points seulement les métaux lourds et l’azote ammoniacal.
PLUVIO : mauvais raccordements d’égouts
Enfin, le programme PLUVIO vise à dépister les mauvais raccordements d’égouts, c’est-à-dire les cas où les eaux sanitaires sont rejetées directement dans le réseau pluvial qui mène aux cours d’eau plutôt que dans le réseau d’égout sanitaire qui achemine les eaux usées à la station d’épuration pour qu’elles y soient traitées.
« Dans les secteurs pourvus d’un réseau séparatif, soit principalement aux deux extrémités de l’île, précise Mme De Gagné, il y a deux tuyaux qui sortent des maisons, l’un devant contenir les eaux sanitaires et l’autre ne devant contenir que les eaux de pluie. Or, il arrive que les branchements soient inversés pour certains équipements domestiques comme des toilettes. »
Dans les secteurs pourvus d’un réseau combiné, un seul tuyau sort de la maison et les eaux sanitaires de même que les eaux pluviales sont acheminées dans le même tuyau vers la station d’épuration. Il n’y a pas alors de possibilité de mauvais raccordements mais lors de fortes pluies intenses, le réseau à certains endroits est susceptible de déborder directement dans les cours d’eau. (Par Christiane Dupont, en collaboration avec Valérie De Gagné, Ville de Montréal) (2014-08-08)
Pour avoir plus d’infos sur les inspections et tests effectués par la Ville de Montréal, cliquez ici
Pour revoir la vidéo sur l’eau testée autour de Montréal, cliquez ici
Pour voir plus en détails la carte plus haut qui présente l’eau entourant Montréal et les réservoirs d’eau qui se trouvent sur l’Île, cliquez ici
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Chronique “Jardins et potagers de Patrick”
Des écureuils au potager
Par Patrick De Bortoli
Ah, les écureuils!
Ils vivent parmi nous, au cœur de nos villes, peuplent nos arbres, se
chamaillent dans nos cours et nos rues…
Des citadins à juste titre, ils
bardassent ici et là dans une frénésie qui nous est devenue tellement
familière, qu’on ne s’y attarde même plus et qui se perd dans le décor de
l’habitude. Il nous arrive, quand même, de les surprendre dans quelques mignons
moments, à l’abri de leur queue duveteuse, les bajoues gonflées de friandises
et d’apprécier leur charme. Jusqu’au moment où ils pénètrent les limites de ce
que nous avons défini comme notre bien privé; cette zone interdite aux malfrats
de la faune urbaine! Ils deviennent alors de véritables vermines qui se servent
effrontément dans nos mangeoires à oiseaux, nous piquent nos bulbes au
printemps, et mangent nos légumes en été!
Quelques lecteurs
m’ont écrit ces dernières semaines m’expliquant que leur potager avait
récemment été victime de ces coquins de rongeurs, volant tomates et autres
trésors du jardin estival. Bien en peine de voir le fruit de leur labeur partir
aux mains de ces bestioles, ils me demandent s’il existe des trucs pour les
éloigner et les empêcher de manger nos légumes à notre place!
À qui avons-nous affaire?
Tout d’abord,
regardons un peu à qui nous avons affaire. Sciurus caroliensis de son
petit nom, l’écureuil gris de l’Est est le plus gros écureuil de l’Est du
Canada, et sa queue touffue est sa caractéristique la plus distinctive et lui
vaut son nom latin. Composé des deux mots grecs, skia qui signifie
ombre, et oura qui signifie queue, on le voit souvent caché sous elle,
grignotant incognito, sa dernière trouvaille.
En plus de
couverture, sa queue lui sert de moyen de communication (entre écureuils!) de
même que de distraction face à ses prédateurs, qui sont étourdis par ses
mouvements brusques et saccadés. Elle fait aussi figure de gouvernail,
lorsqu’il voltige d’un arbre à l’autre. D’ailleurs, saviez-vous que semblable
au lézard, l’écureuil gris de l’Est peut laisser derrière une partie de sa
queue et quelques vertèbres (!) pour échapper à un prédateur? Et saviez-vous
que les écureuils noirs que l’on aperçoit ça et là sont également des écureuils
gris de l’Est?
Un bon pif!
Mais revenons-en à
nos moutons! Les écureuils ont, notamment, une alimentation très variée, qui va
des bourgeons d’érables au printemps, aux samares de ces mêmes arbres et aux
petits fruits à l’été, et aux noix de toutes sortes, à l’automne. Ils
s’adaptent bien à divers milieux et mangent de tout, même nos de légumes! Autre
fait notable, qui nous concerne surtout, c’est leur sens de l’odorat, très
développé, qui leur permet de retrouver des victuailles cachées l’automne, sous
la neige, en plein hiver! Et c’est par le biais de son sens de l’odorat qu’on
attirera ou éloignera notre petit ami!
Le secret de la réussite
Voici quelques
astuces pour les dérouter. La très grande majorité de ces petits trucs utilisent
l’odeur pour camoufler celles de nos plantes potagères que l’on veut préserver
et d’autres simplement qui sont trop nauséabondes pour les narines
hypersensibles du petit mammifère, qui préfère les détourner.
Il existe une myriade
de possibilités, les unes plus ou moins efficaces que les autres, du moins pour
un certain temps. Car à mon avis, le
secret de la réussite réside dans le fait d’alterner ces diverses méthodes
auxquelles l’écureuil finit toujours par s’habituer et par surmonter.
Vous pouvez donc
essayer, jusqu’à ce qu’elles ne marchent plus, ou en succession, les méthodes
suivantes :
- Vous pouvez épandre des poils de vos amis domestiques
(je parle bien de vos chats et chiens) de même que des cheveux humains, autour
vos plants vulnérables. -
Vous pouvez également
épandre de la farine de sang, qui est un engrais naturel, riche en azote, faite
à partir de sang de porc séché. De même, les granules de fumier de poule, aussi
un engrais naturel plus complet, sont tout aussi réputées pour leur efficacité.
Vous pouvez vous les procurer en centres jardin, et c’est d’ailleurs la
suggestion la plus plausible qu’ils vous conseilleront d’utiliser. -
Certains produits
conçus ou commercialisés à cet effet, et un peu coûteux, sont aussi
disponibles, comme le Plantskydd, qui est essentiellement de la farine
de sang, le Skoot, qui est principalement composé de Thirame et le C-I-L
Animal Repellent, qui est une forme d’ammoniaque. À vous de voir si vous
jugez ces deux derniers raisonnables à utiliser. -
La naphtaline ou les
boules à mites peuvent être disposées dans le potager, mais attention aux jeunes
enfant, ces boules sont toxiques! -
J’aime la technique
de planter dans le potager de l’ail et/ou de la rue des jardins (Ruta
graveolens), qui est très jolie d’ailleurs, mais qui dégage une odeur que
les écureuils abhorrent. -
Les écureuils sont aussi
sensibles aux pattes! Plantez des cucurbitacées (concombres, courgettes,
melons) au milieu de vos plantations, leurs feuilles duveteuses piquent les
pattes des écureuils qui préfèrent les éviter. Une lectrice nous suggère aussi
les emballages d’oranges, ces petits filets de plastique, qui semble-t-il, les
gênent beaucoup. -
Si vous voulez
ajouter à votre arsenal quelque chose de plus « saisissant », vous
pouvez toujours vous tourner vers les effaroucheurs, comme les assiettes
d’aluminium, de vieux CD suspendus, les hiboux de plastique, etc. Et l’ultime
arme : l’arroseur automatique, muni d’un détecteur de mouvements qui
« saisit » le filou, alors même qu’il s’apprête à sauter sur sa
victime! -
Finalement, un
dernier petit truc sympathique, mais qui peut coûter cher à la longue :
leur offrir des arachides, comme appât qu’ils apprécieront grandement, et qui
les comblera suffisamment pour qu’ils ignorent vos récoltes!
N’oubliez pas que le
secret est dans la variété des méthodes que vous utiliserez, même si cela
requiert de changer de technique tous les quinze jours, pour un succès continu.
Quant à moi, le plus
sage conseil que je puisse vous offrir est de toujours planifier un 15% à 20%
de plantations vivrières supplémentaires, pour nourrir la faune qui nous
entoure et qui partage tous ces écosystèmes (naturels ou aménagés) avec nous.
Des insectes aux oiseaux, des acariens aux mammifères, tous sont indispensables
à la qualité de nos sols, à la pollinisation de nos plantes et à la
biodiversité dans son ensemble, qui nous permettent, à nous, de nous nourrir.
Ce 20%, pour moi, est une façon de leur dire merci! S’ils exagèrent un peu,
tout de même (!), alors défoulez-vous, et tentez votre chance avec tous ces
petits trucs!
En bout de liste…
Une petite mise en
garde. Certaines personnes peuvent avoir tendance à vouloir capturer les
écureuils dans des cages pour ensuite les relocaliser plus loin. Je déconseille
cette méthode, qui est risquée pour vous
(risque de morsures), et pour l’animal : 40% à 60% de ce genre de
tentatives de relocalisation finissent en blessure ou mortalité pour l’animal.
Ce sont souvent des projets exécutés en vain, car la population finit par se
rééquilibrer, et on recommence au point de départ. Si vous êtes à ce point
exaspéré par ces rongeurs, je vous donne un dernier truc, mais en secret :
essayer l’urine de loup!
votre connaissance dans un potager près de chez nous!
Votre fermier urbain,
Patrick
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L’agrile du frêne, c’est pas fini!
L’arrondissement n’a pas dit son dernier mot contre cet insecte si nuisible et dommageable pour les nombreux arbres du quartier
Près de 313 frênes, majoritairement dans les parcs de l’arrondissement, seront injectés avec un insecticide systémique appelé le TreeAzin au cours de l’été 2014 par les employés de l’arrondissement. Au total, ce sont près de 2003 frênes qui devraient être traités au cours de l’année 2014 sur le territoire d’Ahuntsic-Cartierville.
Injections et inspections
L’équipe de la Direction des grands parcs et du verdissement devrait effectuer près de 1690 injections supplémentaires à travers différents programmes s’inscrivant dans le Plan de lutte montréalais contre l’agrile – qui vise à limiter la propagation de l’insecte et à conserver certains beaux spécimens de frêne. Cette stratégie s’intègre dans une série d’actions entamées en 2011, incluant le dépistage et le traitement préventif de frênes publics sains.
Plus de 7000 frênes
Il est à noter que l’arrondissement compte environ 7600 frênes sur son territoire. Cet automne, la Division des parcs procèdera à l’abattage de frênes en mauvaise état. L’abattage stratégique des frênes infestés permet de limiter la dispersion des foyers d’infestation en réduisant les populations d’agrile, cet insecte envahisseur. De plus, beaucoup de plantations sont prévues afin de remplacer les arbres abattus.
Sur le domaine privé
Il est recommandé de faire traiter votre frêne contre l’agrile, surtout s’il ne montre aucun signe de dépérissement. Si vous êtes propriétaire d’un frêne, faites vérifier son état par un professionnel qui évaluera s’il peut être traité pour le sauvegarder ou s’il est préférable de l’abattre. Les traitements doivent idéalement être effectués avant la fin du mois d’août et doivent être répétés à tous les deux ans.
Afin de limiter l’infestation de l’insecte, les branches de frênes ne doivent pas être déposées dans la collecte des résidus verts ou des ordures ménagères. Suivez plutôt la procédure inscrite sur la page du ramassage des branches de feuillus. (Par Christiane Dupont) Source: Arrondissement Ahuntsic-Cartierville) (2014-08-08)
Le parcours riverain de Montréal? Qu’est-ce que c’est?
Sur la route des vacances, découvrez…
Récemment, en tant que résidant d’Ahuntsic-Cartierville, vous avez peut-être entendu parler ou lu sur le Plan directeur des berges, ainsi que sur le parcours Gouin et sa signalisation qui ont d’ailleurs été inaugurés par les élus de l’arrondissement en juin dernier, mais savez-vous que ce parcours s’inscrit dans un parcours plus large de l’Ïle de Montréal, que l’on appelle le parcours riverain?
Comme Montréal est une île, elle est entourée d’eau et la route qui la ceinture se déroule sur 180 kilomètres à découvrir. C’est précisément ce que vous propose ce site fort intéressant que nous vous faisons découvrir ici. (Par Christiane Dupont) (2014-08-08)
Pour avoir plus d’infos sur le parcours riverain de Montréal, cliquez ici.
Un burinage antivol
Gracieuseté de TANDEM Ahuntsic-Cartierville!
. Au centre communautaire Ahuntsic
Un bihoreau et son dîner…
Au parc de l’île de la Visitation
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La fontaine du parc Ahuntsic réparée
Juste à temps pour le Festiblues!
Les perséïdes reviennent
Le meilleur moment pour les voir sera à la tombée de la nuit avant que la lune ne soit trop brillante. Il faut naturellement se trouver un endroit pas trop éclairé et être patient.
À cause de la luminosité de la lune, on pourra en voir moins que d’habitude. Les perséïdes sont ainsi nommées car elles semblent provenir de la constellation de Persée. Bons vœux! (source : Planétarium – Espace pour la vie Montréal)
LE COIN COMMUNAUTAIRE
|
Vous êtes d’un organisme communautaire? Vous désirez faire part à nos lecteurs/lectrices des activités, succès ou questionnements de votre organisme? Écrivez-nous à journaldesvoisins@gmail.com, ou appelez-nous au 514 770-0858. (Par Philippe Rachiele) (2014-08-08) |
l’ordinateur et à l’Internet sera donnée le lundi de 13h à 15h. Les frais de
chaque atelier sont de 10$, cahier de notes inclus. Information: (514) 596-7629.
Les jeunes de Trace ton toi vous invitent à l’évènement de clôture du projet le lundi le 11 août
prochain à un 4 à 6 au Café de Da. Cela permettra de constater le
travail créatif de 8 jeunes du quartier qui se sont, durant les 10 dernières
semaines, ancrés dans un processus de mise en mouvement. De la photographie, du
cinéma, de musique et surtout des mots. L’expression de leur réalité, de leur
motivation et de leur créativité. Trace ton toi est un projet porté par
le CRÉCA (centre de ressources éducatives et communautaires pour adultes) dans
le cadre du Chantier Retour aux Études de la table de concertation Solidarité
Ahuntsic. Il permet à des personnes de 16 à 25 ayant quitté l’école de se
mettre en action par des ateliers d’expression, des formations multimédias et
des rencontres. Au fil du projet, ils ont bâti un projet collectif qui leur
tient à coeur et qui met de l’avant l’écrit. Ce projet collectif et quelques
surprises vous seront dévoilés lors de l’évènement de clôture !
Renseignements : tracetontoi.blogspot.ca (Source : trace ton toi)
Vous croyez important
d’offrir du transport à nos aînés (es) pour les cliniques médicales, l’hôpital, le centre commercial ou le resto ? Rejoignez l’équipe des chauffeurs et des responsables
de l’accueil, d’Entraide Ahuntsic-Nord.
Toute offre de service sera grandement
appréciée. Info France Brochu :
514-382-9171
portée grâce au Marché Mobile. La camionnette du Marché Ahuntsic-Cartierville sillonne l’arrondissement de nouveau cet été
et proposera des fruits et légumes locaux et saisonniers. L’horaire de juillet est le suivant :
Métro Sauvé : Mardi au jeudi
de 15 h 30 à 19 h 30 (vendredi 15 h à 20 h)
HLM Berri-Lajeunesse :
Mercredi de 9 h à 11 h
Centre communautaire Laverdure :
Mercredi de 11 h 30 à 13 30
Résidences Roch-Pinard : Jeudi
de 9 h à 11 h
Villa Raimbault : Vendredi
de 9 h à 11 h
CSSS
BC-St-Laurent : 11 h 30 à 13 h 30
Studio d’Art St-Sulpice : Mardi
de 16 h 30 à 18 h 30
Bibliothèque Ahuntsic :
Jeudis de 18 h à 20 h
Fleury Ouest et Clark :
samedis de 9 h 30 à 14 h 30
YMCA : Dimanche : 11 h
à 14 h
Parc Tolhurst : mercredis de
17 h à 20 h
Ile de la
Visitation (Étienne-Brulé et rue du Pont) : vendredis 16 h à 20 h et
samedi de 10 h 30 à 15 h (Source : CDEC)
Poésie Blues – vendredi 8 août à 17h au Café de Da.
Inscription : 514 382-0735 poste 225 ou 221
Spectacle « Falla » à la Tohu, cité des arts du cirque pour bien finir la saison d’été du CANA. Le jeudi 4 août à 16 h.
Inscription : 514 382-0735 poste 225 ou 221
Cours de français gratuits à temps partiel de jour ou de soir, au CANA. Inscription : 514 382-0735 poste 226 ou 221
(Source : CANA)
………………………………….LE COIN DES COMMERÇANTS
Sur Fleury Ouest
Les camions de cuisine de rue seront de retour dès 17 h mercredi prochain. Comme à l’habitude, les Haltes Maraîchères seront sur place, de même que Chocolaterie Bonneau avec les glaces des Havres. (Crédit photo : jdv – P. Rachiele)
Sur La Promenade Fleury
Le jeudi 14 août il y aura un concert de musique classique (Haydn – Mozart – Couperin -Zhurbin) à 20 h 30 chez Koury Mode au 1211 Fleury Est, donné par Ahuntsic en fugue (voir article ci-dessus). Apportez votre chaise et 20$.
Le Virevent ont une nouvelle terrasse pour bien profiter du reste de l’été.
Ailleurs dans l’arrondissement
Gens d’affaires et commerçants d’Ahuntsic-Cartierville: vous avez des nouvelles, petites et grandes, susceptibles d’intéresser nos lecteurs? Écrivez-nous à journaldesvoisins@gmail.com, ou appelez-nous au 514 770-0858.
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BRÈVES…BRÈVES…BRÈVES…BRÈVES…BRÈVES…BRÈVES…
Avis à tous les Dumas d’Ahuntsic-Cartierville. Rendez-vous à Lac-Mégantic le 27 septembre 2014. Invitation à tous les Dumas et
aux personnes amies, alliées ou affiliées aux Dumas (mère, grand-mère, etc.) à
venir démontrer votre solidarité avec cette ville qui se relève de la
catastrophe qui l’a frappée le 6 juillet 2013 et à découvrir son histoire, ses
beautés et celles de sa région. Au programme, assemblée générale en matinée
suivie de conférences, stands d’information, dîner et souper, etc. Inscription
de 25 $ à 50 $. Info : http://www.genealogie.org/famille/dumas/
ou 418-658-4634.
»
Du microplanage près de chez-vous? En plus des travaux de réfection de la
chaussée et des trottoirs, l’arrondissement effectue également des travaux de
microplanage au cours de la saison estivale. Pour consulter la liste
des travaux prévus pour 2014, cliquez ICI. (Source : Arrondissement)
Pour en savoir plus sur le microplanage, lisez notre entrevue avec le directeur des travaux publics de l’arrondissement, M. Louis Lapointe dans nos actualités du 26 avril 2013.
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QUOI FAIRE….QUOI FAIRE…QUOI FAIRE…QUOI FAIRE…QUOI
Énergi’Z toi!, L’arrondissement
invite les enfants à jouer dehors! Viens
rencontrer les animateurs de parcs, ils te feront découvrir de nouveaux jeux en
jouant avec toi et tes amis!
9 et 10 août, de 11 h à 20 h, Parc Raimbault, 12377, rue
Notre-Dame-des-Anges
16 et 17 août, de 13 h à 20 h, Parc Saint-Alphonse, Avenue
Émile-Journault/avenue de Chateaubriand
Il sera possible d’utiliser : balles,
ballons, cerceaux, corde à danser, craie de trottoir, frisbee, jeux de
pétanque, jeux de sable, mini-soccer, cônes, bulle de savon, jeux d’adresse,
etc. Ces équipements sont aussi prêtés tout au long de l’été selon la présence
des surveillants. (Source : Arrondissement)
Danse traditionnelle québécoise
en plein air au parc de Beauséjour avec la Société
pour la promotion de la danse traditionnelle québécoise (SPDTQ) tous les
dimanches de l’été jusqu’au 17 août 2014, entre 13h30 et 17h30. Apportez vos chaises, votre pique-nique, vos
amis et votre bonne humeur et on vous attend pour danser ensemble les belles
danses traditionnelles du Québec: sets carrés, contredanse et valses. Un
câlleur et des musicien-ne-s de la SPDTQ/Espacetrad seront sur place, près du
café du parc de Beauséjour pour vous accueillir. (Source :
SPDTQ-Espace Trad)
La lune – Sérénades le 13 août 20 h 30 sur le parvis de l’église St-André (en cas de pluie à l’intérieur). Apportez votre chaise. 20$.
Le soleil – le 14 août à 20 h 30 chez Mode Koury (1211 Fleury E.) apportez votre chaise. 20$
Regard à la terre – le 15 août à 20 h 30 dans la cours d’une résidence privée. Apportez votre chaise. 20 $
Territoires intimes – le 16 août à 20 h au Collège Régina Assumpta 25$. Info : concertahuntsicenfugue@gmail.com. Que ce soit sur un parvis d’église, dans un commerce ou une salle plus conventionnelle, la qualité des interprètes et du répertoire demeurera une priorité constante. (Source: Ahuntsic en fugue)
Suivez la tournée
AHUNTSIC Parc Henri-Julien – Vendredi 8 août, 10 h à 14 h 30 |
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Joignez-vous aux quelques 130 autres membres! (C.D.)
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