(Photo : Philippe Rachiele, JDV)
La rue Tanguay à deux voies, à contresens, pour la durée des travaux. (Photo: jdv P. Rachiele)

 

D’importants travaux sont présentement en cours sur le boulevard Gouin Ouest, entre les rues Verville et Meunier. Les travaux se déclinent en trois étapes: construction d’une conduite d’eau potable, de conduites d’égout, et reconstruction de la chaussée.

Les travaux ont commencé mardi 18 avril. Gouin Ouest était fermé à la hauteur de la rue Jeanne-Mance, en début de semaine. Côté Ouest, les véhicules étaient invités à quitter Gouin pour aller vers l’est, en prenant la rue Tanguay qui est devenue à deux voies à contresens pour la durée des travaux.

Les travaux s’échelonneront sur plusieurs mois, dans certains cas jusqu’à la fin septembre. Il semble que l’entrepreneur procédera par fermeture partielle du boulevard entre les rues mentionnées. La Ville propose alors des trajets alternatifs, dont la rue Tanguay.

Il y aura restriction de stationnement dans la zone des travaux.

Des travaux de nature semblable sont également prévus pour la rue Verville, entre Gouin Ouest et la rue McDuff. Quant aux travaux sur la rue Tolhurst, au nord de Gouin, ils consisteront en travaux de pavage final et aménagements en arrière-trottoirs.



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Chantal Bourgault
Chantal Bourgault
7 Années

Nous constatons en effet. Qu’en est-il du détournement des autobus Gouin (no 69) sur les petites rues résidentielles? N’aurait il pas eu lieu au minimum d’aviser les résidents? Ces autobus roulent à une vitesse excédant la limite dans des rues résidentielles, à toute heure du jour et de la nuit, à une fréquence suffisante pour rendre fou tout citoyen en quête de quiétude. Ordinaire …

FLauzon
FLauzon
7 Années
Répondre à  Chantal Bourgault

Les autobus de la ligne 69 passent également sur la rue Waverly à une vitesse folle. Je compte me plaindre directement sur le site de la STM.

Jean-Pierre Myette
Jean-Pierre Myette
7 Années

La gestion de la circulation est un cauchemar pour un résident de la rue Tanguay. Nous n’avons jamais été avisés du détournement de la ligne 69, ni du double sens, ni du stationnement interdit en direction nord. Sans doute craignait-on une réaction .On a préféré nous imposer un état de fait extrêmement pénible.
De nombreux citoyens ont rapidement réagi dès la mise en place de ces mesures. Dossier ouvert à l’arrondissement pour porter plainte, téléphones et messages au bureau de madame Thuillier, etc. On finit par nous apprendre que la circulation serait détournée via l’Acadie, que les camions à benne et la machinerie lourde qui travaillent au chantier de la rue Verville ne pourraient transiter par Tanguay, que la piste cyclable serait remodelée mais qu’il fallait attendre que de nouveaux panneaux de signalisation soient fabriqués et installés pour les effets se fassent sentir.
Aujourdh’hui,26 avril, rien ne s’est amélioré, bien au contraire. Les énormes camions de Pavage d’Amour circulent dans les deux sens, les autobus roulent toujours à pleine vitesse et le flot de véhicule est toujours aussi important.
Quand un cycliste s’aventure le long de Tanguay, il met sa vie en danger. J’ai vu hier un père à vélo avec son petit dans un porte bébé à l’avant, longer le trottoir alors qu’un autobus le doublait.
Quand je veux me garer dans mon entrée de garage et que je dois manœuvrer pour le faire en marche arrière, on me klaxonne, on me serre de près, on me fait un doigt d’honneur. Si je renonce à le faire, il faut que je poursuivre vers le nord, tourne à l’ouest sur Gouin, m’engage sur Salaberry et revienne vers Henri-Bourassa par Bois-de-Boulogne. Si je veux éviter ce genre de détour, je dois me garer du côté ouest de Tanguay mais pour cela, je dois faire demi-tour en coupant la file qui se dirige vers le sud. Manoeuvre impossible aux heures de pointe.
Il y a plus et pire. La fluidité aux heures pointe en direction sud est compromise par l’état de la chaussée à l’intersection Tanguay Henri-Bourassa. Il y a tellement de nids-de-poule qu’on doit réduire la vitesse pour traverser ou tourner sur Henri-Bourassa. Il y en aura encore plus à chaque jour parce que le passage des véhicules lourds dégrade la chaussée. Conséquence : la queue de véhicules s’étend comme en ce moment, à 16h, de Mc Duff jusqu’à Henri-Bourassa. L’impatience gagne et des comportements sauvages sont à craindre.

Je n’arrive pas à comprendre que ceux qui ont planifié les travaux et remodelé les parcours n’ait pas pris conscience de ce qui allait se produire. Je comprends encore moins qu’un policier dresse une contravention à une voiture garée du seul côté autorisé mais à contresens parce qu’il était impossible de faire demi-tour pour se placer dans le sens de la circulation. Une contravention qu’il aurait dû donner à ces gros camions qui circulent là où ils ne sont pas censés le faire.

Faudra-t-il un accident mortel, un enfant estropié, un cycliste fauché pour que les autorités réagissent ? Faudra-t-il que la chaussée soit totalement défoncée pour qu’on daigne colmater les nids-de-poule ?

J’invite tous les citoyens concernés à porter plainte. à harceler, oui harceler, les responsables de ce chaos pour qu’ils agissent. Ne vous laissez pas intimider par le manque de savoir-vivre de certains préposés d’Info-Travaux ou du 311, revenez à la charge, portez plainte avant que la situation ne dégénère.

Jean-Pierre Myette
Jean-Pierre Myette
7 Années

La gestion de la circulation est un cauchemar pour un résident de la rue Tanguay. Nous n’avons jamais été avisés du détournement de la ligne 69, ni du double sens, ni du stationnement interdit en direction nord. Sans doute craignait-on une réaction .On a préféré nous imposer un état de fait extrêmement pénible.
De nombreux citoyens ont rapidement réagi dès la mise en place de ces mesures. Dossier ouvert à l’arrondissement pour porter plainte, téléphones et messages au bureau de madame Thuillier, etc. On finit par nous apprendre que la circulation serait détournée via l’Acadie, que les camions à benne et la machinerie lourde qui travaillent au chantier de la rue Verville ne pourraient transiter par Tanguay, que la piste cyclable serait remodelée mais qu’il fallait attendre que de nouveaux panneaux de signalisation soient fabriqués et installés pour les effets se fassent sentir.
Aujourdh’hui,26 avril, rien ne s’est amélioré, bien au contraire. Les énormes camions de Pavage d’Amour circulent dans les deux sens, les autobus roulent toujours à pleine vitesse et le flot de véhicule est toujours aussi important.
Quand un cycliste s’aventure le long de Tanguay, il met sa vie en danger. J’ai vu hier un père à vélo avec son petit dans un porte bébé à l’avant, longer le trottoir alors qu’un autobus le doublait.
Quand je veux me garer dans mon entrée de garage et que je dois manœuvrer pour le faire en marche arrière, on me klaxonne, on me serre de près, on me fait un doigt d’honneur. Si je renonce à le faire, il faut que je poursuivre vers le nord, tourne à l’ouest sur Gouin, m’engage sur Salaberry et revienne vers Henri-Bourassa par Bois-de-Boulogne. Si je veux éviter ce genre de détour, je dois me garer du côté ouest de Tanguay mais pour cela, je dois faire demi-tour en coupant la file qui se dirige vers le sud. Manoeuvre impossible aux heures de pointe.
Il y a plus et pire. La fluidité aux heures pointe en direction sud est compromise par l’état de la chaussée à l’intersection Tanguay Henri-Bourassa. Il y a tellement de nids-de-poule qu’on doit réduire la vitesse pour traverser ou tourner sur Henri-Bourassa. Il y en aura encore plus à chaque jour parce que le passage des véhicules lourds dégrade la chaussée. Conséquence : la queue de véhicules s’étend comme en ce moment, à 16h, de Mc Duff jusqu’à Henri-Bourassa. L’impatience gagne et des comportements sauvages sont à craindre.
Je n’arrive pas à comprendre que ceux qui ont planifié les travaux et remodelé les parcours n’aient pas pris conscience de ce qui allait se produire. Je comprends encore moins qu’un policier dresse une contravention à une voiture garée du seul côté autorisé mais à contresens parce qu’il était impossible de faire demi-tour pour se placer dans le sens de la circulation. Une contravention qu’il aurait dû donner à ces gros camions qui circulent là où ils ne sont pas censés le faire.
Faudra-t-il un accident mortel, un enfant estropié, un cycliste fauché pour que les autorités réagissent ? Faudra-t-il que la chaussée soit totalement défoncée pour qu’on daigne colmater les nids-de-poule ?
J’invite tous les citoyens concernés à porter plainte. à harceler, oui harceler, les responsables de ce chaos pour qu’ils agissent. Ne vous laissez pas intimider par le manque de savoir-vivre de certains préposés d’Info-Travaux ou du 311, revenez à la charge, portez plainte avant que la situation ne dégénère.

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