Il faut la découvrir! »
— Jean Paré, fondateur et ex-éditeur du magazine L’actualité.
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Commerçants/résidants en veulent plus…
Peu de Bixis dans Ahuntsic, aucun dans Bordeaux, ni Cartierville
Comme il n’y a pas d’extension du réseau cette année, Bérengère Thériault, porte-parole chez Bixi, a déclaré à journaldesvoisins.com, que Bixi a fait le choix d’installer les stations dans les secteurs où il y avait déjà une concentration de membres-utilisateurs actuels, afin de répondre à la forte demande le long de l’axe de la ligne orange du métro.
Commerçants favorables
« Je suis content de voir qu’il y a deux stations Bixi sur la Promenade Fleury », a souligné Samuel Gaudreault-Gaucher, coordonnateur aux communications de la Société de développement commercial de La Promenade Fleury. Il insiste : « Tout ce qui peut favoriser et faciliter l’accessibilité aux commerces est une bonne chose. » Pour cette raison, il aimerait qu’il y ait encore plus de stations Bixi dans Ahuntsic, mais il est conscient cependant que, pour l’instant, le service Bixi doit assurer sa rentabilité avec le même nombre de stations que l’an dernier.
Enrico Perugini, du restaurant Dolce, aimerait bien quant à lui, le retour d’une station Bixi sur Chabanel, car, dit-il : « Cette méthode de transport est un outil de développement qui serait un atout pour tout le monde tout en faisant partie du virage vert ».
« On a fait une demande pour avoir une station sur FLO, mais on s’est fait dire que toutes les stations étaient déjà planifiées », a déclaré Kriss Naveteur, représentante des commerçants de Fleury Ouest. « Favoriser le développement durable, cela fait partie de note écoresponsabilité tout en rendant FLO plus accessible », a ajouté Mme Naveteur.
Louis Brosseau du service des communications du Collège Ahuntsic s’étonne, quant à lui, que la station qui était autrefois au Collège ait été déplacée sur le terrain avant du Centre Claude-Robillard. Il est tout de même content de savoir que la station est proche du Collège, car cela permet de favoriser le transport durable.
Les résidants en redemandent
Frédéric Bataille du groupe de transport actif Ahuncycle affirme, pour sa part, que tout le monde serait gagnant s’il y avait plus de stations Bixi dans Ahuntsic-Cartierville. Cette amélioration de l’offre permettrait aux gens moins fortunés d’avoir un moyen de déplacement facile et rapide pour de courtes distances. « Cette offre de transport serait aussi utile aux automobilistes et aux commerçants, car si les gens utilisent le vélo plutôt que l’auto pour se rendre sur des rues commerciales, ce sont autant de places de stationnement qui sont libérées », poursuit M. Bataille. Selon le cycliste et porte-parole d’Ahuncycle, le Bixi peut aussi dépanner en cas de panne de métro, d’autobus bondé. L’utilisation du Bixi, poursuit-il, permet également de réduire les gaz à effets de serre et offre la possibilité pour l’utilisateur de faire un exercice modéré bienfaiteur pour la santé.
Sur Facebook, le résidant du Sault-au-Récollet, Martin Desmarais, fondateur d’ACIV (Action citoyenne Île-de-la-Visitation) déplore, quant à lui, qu’il n’y ait pas de stations Bixis le long du parcours Gouin, au parc de l’Île de la Vistation, ou le long de la piste cyclable. « Ce sont, écrit-il, des lieux de choix ou le service Bixi devrait être présent. »
Modus operandi
Pour qui ne connaît pas le service Bixi, rappelons que le service de partage de vélo Bixi permet aux membres-utilisateurs de prendre un vélo, de rouler pour une période de 45 minutes, puis de laisser le vélo à une station Bixi à destination.
Ce service est utile pour de nombreuses raisons. Il permet à ceux et celles qui n’ont pas de vélo de pouvoir quand même rouler à bicyclette. D’autres qui ont un vélo rangé trop loin, au fond du garage, ou trop haut, au deuxième étage de leur logement, peuvent se prévaloir du service également. Finalement, ceux et celles qui ont un vélo de marque ou qui ne veulent pas l’utiliser en ville par peur de se le faire voler une fois garé peuvent également se prévaloir du service Bixi en toute sécurité.
En 2014, le service Bixi a cumulé un surplus de 818 000 $ après des années de déficit. Cette année, ceux qui ne sont pas membres, pourront essayer le système Bixi gratuitement, les dimanches à partir du 29 mai car conclut Bérengère Thériault, de Bixi : « L’essayer c’est l’adopter! » (Par Philippe Rachiele) (2016-04-22)
Pour voir la carte des emplacements Bixi, cliquez ici.
Pour la liste des tarifs Bixi, cliquez ici.
Surprise sur Fleury Est!
Présages sera vendu
Afin de s’assurer une longue vie, la Fondation Berthiaume du Tremblay doit donner un coup de barre avec un plan de redressement qui se traduira par la mise en vente de son imposant immeuble du 1474 rue Fleury Est, mieux connu sous le nom de Présâges. Mais elle épaulera financièrement sur trois ans les cinq organismes qui devront se trouver un autre local d’ici juin 2017. Faut-il préciser que cette nouvelle a causé tout un émoi dans les chaumières du quartier au cours des derniers jours.
Les organismes concernés (à caractère local comme L’Alliance culturelle ou provincial comme le Regroupement des popotes roulantes du Québec) ne payent pas de loyer, en étant hébergés sous le parapluie de Présâges, mais reçoivent diverses subventions de l’extérieur.
De plus, les autorités ont annoncé la mise en veilleuse du Fonds Présâges dont le mandat est d’offrir un soutien financier ponctuel à des organismes communautaires du secteur des aînés des différentes régions du Québec.
Utilisateurs inquiets
Dans une entrevue à journaldesvoisins.com, la directrice générale Nicole Ouellet a tenu malgré tout à rassurer tous ceux et celles qui s’inquiètent du plan de match adopté par la Fondation. « La Fondation, dit-elle, poursuivra le développement et la transformation de son organisation en fonction de l’évolution des besoins des aînés, continuera de défendre les valeurs humaines, sociales et communautaires, dans un souci de pérennité et de saine gestion financière » a-t-elle ajouté mercredi.
Il va sans dire que les questions financières y sont pour beaucoup dans ce plan de redressement concocté par la Fondation qui devra elle aussi se déménager.
Infos récentes
Cette nouvelle qui a eu l’effet d’une « bombe » avait commencé à circuler la semaine dernière sur Fleury. Mme Ouellet a confirmé que la Fondation avait d’abord averti les cinq organismes communautaires (on en a déjà compté une douzaine) se trouvant dans l’édifice du 1474 Fleury, puis, jeudi dernier, les deux conseillères municipales du secteur Ahuntsic (Émilie Thuillier et Lorraine Pagé) étaient tenues au courant du dossier.
Samedi, lors de la rencontre citoyenne à Présâges justement, des résidants et intervenants apprenaient le contenu du plan de match de la Fondation pour les trois prochaines années.
Dans une lettre à ses partenaires et collaborateurs et aux aînés du quartier Ahuntsic, en début de semaine, la Fondation confirmait ses changements à venir dans le cadre de sa planification stratégique pour les années 2016-2019. (Voir communiqué sur http://berthiaume-du-tremblay.com/)
Concernant la mission de Présâges en développement communautaire pour les aînés (entre autres l’innovation sociale comme l’excellente idée de projets intergénérationnels), l’on voudra, comme nous a confiés Mme Ouellet, une structure « plus souple, légère, pour encadrer la formation et les services-conseils ».
Toujours dans Ahuntsic
La Fondation précise qu’elle continuera d’assurer une présence significative dans le quartier Ahuntsic. La direction maintient aussi ses engagements pour les projets en habitation pour les aînés, notamment le Quartier des générations (nouveau bâtiment pour bientôt au 1675 Gouin, entre les centres d’hébergement Berthiaume-du Tremblay et Laurendeau).
D’aucuns souhaiteraient que la Fondation elle-même se déménage dans ce secteur précis, d’autant plus que des locaux sont prévus dans le projet immobilier (40 logis pour ainées autonomes, des locaux pour les locataires et ceux de l’immeuble Roch-Pinard)
Les changements structurels et administratifs s’échelonneront au cours des 12 prochains mois. Reste à voir maintenant ce qui arrivera avec le bâtiment de la rue Fleury, un bijou de 12 mille pieds carrés. Qui sait, il pourrait garder une vocation communautaire… (Par Alain Martineau) (2016-04-22)
La saga de la faillite de Cité historia
« L’organisme a rempli ses obligations », dit la division des Grands Parcs
L’ex-comptable de Cité Historia poursuivait l’organisme
Le comptable André Bassal a quitté Cité historia, pour des motifs inconnus. Selon le plumitif civil, il a ensuite intenté en Cour une poursuite de 15 000 $ contre la Corporation de la Maison du Pressoir.
Une médiation aurait été proposée et acceptée par le demandeur, mais la médiation semble avoir échoué en juin 2015. Le procès a été reporté au 26 février 2016, puis les procédures ont été récemment suspendues compte tenu de l’avis de faillite, toujours selon le plumitif civil.
La Division de la gestion de l’entretien et des opérations des grands parcs a été informée de cette poursuite, mais n’a pas voulu commenter. Impossible de savoir si la poursuite suivra son cours dans une autre direction, malgré la faillite de l’organisme, ou si elle fera tout simplement chou blanc.
Des services cet été promet la Ville
Par ailleurs, Linda Boutin, relationniste à la division des Grands Parcs, a confirmé le rachat des actifs de Cité historia par la Ville de Montréal pour un montant de 30 000 $, comme l’avait indiqué journaldesvoisins.com il y a deux semaines.
Sans ce rachat, « la tenue du service de la restauration à la maison du Meunier et de l’exposition à la maison du Pressoir aurait été compromise ». La Ville continue d’affirmer que les services d’animation et de restauration seront de retour cet été. Le service des Grands Parcs ne peut toujours pas confirmer quel organisme sera choisi pour fournir des services d’animation et de restauration pour l’été 2016, mais un appel d’offres aurait été lancé.
Cité Historia a « rempli ses obligations »
La division des Grands Parcs confirme également détenir tous les états financiers et les procès-verbaux de Cité Historia jusqu’à sa faillite. Rappelons qu’au cours des cinq dernières années, la Ville de Montréal a versé un montant annuel de 51 400 $ à Cité Historia, auquel s’est ajouté un supplément de 5000 $ pour le 15e anniversaire de l’organisme et une subvention de 25 000 $ en 2014. Le total : 287 000 $.
Malgré la faillite, Linda Boutin affirme que « l’organisme a rempli ses obligations, soit d’offrir toutes les heures d’accueil et d’animation pour lesquelles la Ville avait accordé un montant ».
Les élus ahuntsicois sont toujours peu bavards sur le sujet, invitant plutôt les citoyens à s’enquérir de réponses à leurs questions auprès de la division des Grands Parcs de la Ville de Montréal. (Par Mélanie Meloche-Holubowski) (2016-04-21)
Pas d’unanimité dans l’arrondissement
L’idée est lancée: le parc Ahuntsic deviendrait le parc Maurice-Richard
Derrière la « lutte » menée depuis cinq ans pour rendre hommage à l’ancien numéro 9 du Canadien à sa « juste valeur », l’organisation des Braves d’Ahuntsic jubile.
Mais certains comme le citoyen Pierre Lachapelle, ex-conseiller municipal depuis plus de 30 ans derrière les batailles pour l’intégrité du grand parc, trouve « exagéré » un éventuel changement. Ahuntsic, dit-il, est une référence historique et déjà on a un parc qui porte son nom, justement situé de l’autre côté de la résidence que possédait Richard. «Même Maurice, un homme simple, aurait trouvé que c’est trop», a-t-il mentionné.
Décision de Coderre
La nouvelle sera formellement annoncée bientôt, a indiqué l’attachée de presse du maire Denis Coderre, Catherine Maurice, au journaldesvoisins.com. Selon elle, « ce genre de décision se confirme rapidement ». Le comité de toponymie de la ville de Montréal et celui du Québec seront appelés à ratifier ce choix dans les prochaines semaines ou prochains mois.
Mercredi, le maire de Montréal avait affirmé en point de presse que le petit parc qui porte son nom (en remplacement de Parc Stanley, non loin du Pont Viau aussi) ne rendait pas « fidèlement » hommage à Richard.
«Il existe déjà une bande verte qui a été rebaptisée en son nom, mais les gens disaient que cela ne reflétait pas assez la contribution de Maurice Richard dans Ahuntsic pour justifier la décision. J’ai parlé de ça récemment devant des élus et je n’en ai entendu aucun chialer contre ça. (…)La famille et le milieu sportif sont tout à fait d’accord avec ça», a ajouté le maire Coderre questionné lors d’un événement d’abord prévu pour confirmer la décision de nommer l’immeuble de la Cour municipale Claire Kirkland-Casgrain, illustre femme dans l’histoire du Québec, décédée récemment.
Souper des Braves
Samedi dernier, M. Coderre se trouvait avec divers élus au gala du 60e anniversaire des Braves d’Ahuntsic et de la soirée hommage aux bénévoles au Buffet Crystal de Ville Saint-Laurent, et il en avait fait part à plusieurs. Lors de la soirée (voir autre texte), le commentateur Ron Fournier, pendant son discours, avait fortement appuyé cette idée.
Présents, les députées provinciales du nord de Montréal (Marie Montpetit et Christine Saint-Pierre), la ministre fédérale du Patrimoine Mélanie Joly et les élus municipaux ne semblaient pas s’opposer à un tel changement. «C’est une belle façon d’honorer la mémoire de Richard », a dit au journaldesvoisins.com la députée de Crémazie, Marie Montpetit, dans un commentaire expédié ces derniers jours à journaldesvoisins.com.
Parc et non aréna?
Pour Martin Longchamps, le président des Braves, il s’agit d’une belle victoire, lui qui veut rebaptiser des lieux de l’arrondissement du nom de Maurice Richard. «Nous sommes très heureux. C’est un travail d’équipe, nous a dit M. Longchamps. On rebaptisera ce grand parc, ce sera de l’envergure du personnage. Je suis content de voir que la classe politique a prêté oreille à nos demandes qui étaient aussi appuyées par la famille Richard. On fait aussi, dans le parc le lien hockey et baseball, les deux sports qu’adorait Maurice Richard», a-t-il ajouté.
Martin Longchamps et la famille du Rocket avaient rencontré le maire Coderre en septembre dernier. «Il avait été très ouvert au sujet de nos demandes. Aujourd’hui, on est contents. Nous étions partis de loin.»
Mais est-ce que Denis Coderre a mis tout son poids pour éviter de devoir changer le nom de l’aréna qui porte le nom de l’ancien joueur étoile et qui est situé depuis des décennies à côté du Stade olympique? Cet aréna à côté du métro Viau n’est plus utilisé pour le hockey. Des membres de l’équipe canadienne de patinage de vitesse en ont pris possession.
Et pour plusieurs, il aurait été « naturel » de « rapatrier » le nom ici et ainsi rebaptiser l’aréna d’Ahuntsic, en y mettant en plus une statue du « Rocket », les premiers souhaits des Braves d’ailleurs.
Sur Facebook, la conseillère municipale du district Ahuntsic, Émilie Thuillier, avait lancé une miniconsultation sur l’idée de changement de nom du parc Ahuntsic.
Pierre René Perrin, évaluateur et pilier de l’Association des gens d’affaires d’Ahuntsic, aurait préféré que l’on donne le nom de Maurice-Richard au chalet du parc Ahuntsic. Mais un autre citoyen s’est interrogé. « Un petit parc porte son nom », a dit André Pepin, mais cela, selon lui, n’avait rien de très « glorieux ».
Toutefois, Pierre Lachapelle invite ceux et celles qui ne sont pas d’accord avec le changement de nom à intervenir. « Les citoyens qui sont attachés au nom d’origine et qui veulent conserver Ahuntsic au nom de ce parc de notre quartier, ont toute la liberté de faire connaître leur désir au maire Denis Coderre et à leur conseiller et conseillère municipale », a conclu M. Lachapelle. (Par Alain Martineau) (2016-04-22)
Beaucoup d’idées au Forum citoyen du Sault-au-Récollet
La journée a été consacrée à des discussions pour mieux cerner les besoins des résidants du Sault-au-Récollet pour les années à venir. Selon M. Lee, environ les deux tiers des personnes présentes étaient des résidants du quartier du Sault-au-Récollet qui ont répondu avec bonne humeur à l’invitation, le reste étant des représentants d’OBNL, des élus, ainsi que des membres de l’organisation.
Inédite, la rencontre l’était, puisqu’il n’y en avait jamais eu de semblable avant. « La conseillère du district, Lorraine Pagé, organise des rencontres-citoyennes depuis son élection, mais celle-ci était faite à l’initiative de Solidarité Ahuntsic », précise M. Lee. (NDLR : il y aura d’ailleurs une autre rencontre citoyenne organisée par Mme Pagé lundi 25 avril, en soirée, à la Maison de la visite de l’École de la Visitation).
Thématiques
Quatre thèmes ont été abordés durant la rencontre : la mobilité durable, la saine alimentation, la place faite aux aînés, et transformer son milieu de vie. Le matin, les participants se sont divisés en neuf tables, deux tables d’environ huit à 10 participants pour chacun des thèmes, le dernier thème ajoutant une table de participants de plus. Puis, au terme de leurs échanges, en fin d’avant-midi, les participants devaient retenir trois besoins prioritaires pour leur groupe de discussion. Les organisateurs en ont fait la compilation à l’heure du lunch. Par la suite, en après-midi, sept pistes de discussion retenues ont été lancées à sept tables qui devaient soumettre des idées de projets pour chacune des pistes soulevées. À titre d’exemple, plusieurs ont soulevé l’idée d’un projet intergénérationnel, tandis que d’autres celui d’avoir un espace citoyen rassembleur.
Élus présents
Plusieurs élus du territoire étaient présents, dont la conseillère Lorraine Pagé, la députée de Crémazie Marie Montpetit, et le député de Bourassa, Emmanuel Dubourg. Mme Pagé a participé à l’atelier portant sur la mobilité. Elle a apprécié la présence de nombreux citoyens alors que le beau temps aurait pu les retenir à l’extérieur de la rencontre. « C’était la première fois, à ma connaissance, qu’une telle rencontre était organisée. Je trouvais qu’il était important que Solidarité Ahuntsic prenne aussi le pouls des résidants du Sault. L’organisme a pris la balle au bond, et c’est tout à leur honneur! », a-t-elle souligné, ajoutant qu’elle espère que des choses concrètes ressortiront de ces discussions.
De son côté, Marie Montpetit a participé à l’atelier sur la place faite aux aînés. « Ce fut une séance de remue-méninges et un bel événement », a-t-elle relaté précisant que c’était l’occasion pour les gens résidant dans le Sault-au-Récollet de faire le point sur les besoins du quartier. Selon Mme Montpetit, le Sault-au-Récollet est en plein changement démographique et la diversité culturelle y est très présente. « C’est bien de voir que les gens se mobilisent pour parler de leur quartier, a-t-elle conclu, ajoutant qu’elle avait hâte de voir les suites que Solidarité Ahuntsic allait donner à l’événement rassembleur.
Au cours des prochains jours, les organisateurs s’attelleront à la tâche afin de faire une synthèse des projets lancés. « D’ici deux à quatre semaines, indique Matthew Lee, nous allons produire un compte-rendu des discussions et le faire parvenir aux participants. » (C.D.) (2016-04-22)
Pour voir d’autres photos du Forum citoyen, cliquez ici.
Travaux de rénovation d’écoles
Huit millions de $ pour Ahuntsic, Cartierville et Saint-Michel
« Nous sentons que le nouveau ministre de l’Éducation, Sébastien Proulx, est sensible à la réalité des écoles de la CSDM et nous nous en réjouissons », a déclaré Chantal Jorg, commissaire scolaire dans Cartierville-Ahuntsic-Ouest. Les parents du nord de la ville se sont mobilisés durant toute l’année scolaire pour faire valoir l’importance de réinvestir en éducation. Il semblerait que leur voix commence à porter, même si les sommes allouées sont loin de répondre à tous les besoins » a-t-elle exprimé au journaldesvoisins.com.
C’est que les besoins sont énormes et il faudra, aux dires de la CSDM, faire encore plus dans l’avenir, et pas seulement dans le béton, d’autant plus que l’on parle encore de compressions. « Il faudra, dans les années à venir, que le gouvernement fasse véritablement de l’éducation une priorité pour que toutes les écoles de Cartierville/Ahuntsic-Ouest et de Montréal deviennent des lieux où il fait bon vivre, des espaces propices à l’apprentissage », a ajouté Mme Jorg.
La présidente de la CSDM, Catherine Harel Bourdon, se réjouit que ces fonds servent à couvrir certains besoins, mais elle avertit du même souffle qu’il y a beaucoup à faire. « Ces sommes permettront d’effectuer certains travaux, mais le déficit de maintien des immeubles s’élève à 1,1 milliard $. Nous poursuivons nos efforts pour offrir des milieux sains et sécuritaires pour nos élèves et notre personnel », a-t-elle ajouté.
Pour la CSDM, ces investissements se traduisent par 117 projets répartis dans les différents quartiers. Les travaux étaient prévus et planifiés pour l’année 2015-2016. Certains sont en cours, complétés ou en conception. L’annonce du ministre va pour le financement pour l’année 2015-2016.
Nord de Montréal
Pour le nord de Montréal, huit millions de dollars sont alloués pour revamper des écoles dans les établissements du primaire et du secondaire dans les circonscriptions de Cartierville–Ahuntsic-Ouest et d’Ahuntsic-Est–Saint-Michel. Ces fonds vont ou iront pour des mises à niveau ou des travaux à compléter comme à l’école primaire Louis-Colin, sur la rue Olympia, qui a gagné beaucoup en superficie en agrandissant vers le nord.
Des travaux sont aussi à compléter à l’école Ahuntsic, annexe temporaire, sur la rue Tolhurst, alors que l’ancienne école primaire privée est devenue publique. Huit classes ont été ajoutées à François-De-Laval, annexe temporaire.
L’école Marie-Anne, près du métro Sauvé, aura un nouvel ascenseur alors que celle de Saint-Simon-Apôtre (dans Ahuntsic ouest) verra sa plomberie et son système de chauffage refaits.
Sophie-Barat, annexe, (autrefois l’école secondaire Mgr-Georges-Gauthier) se refait une beauté extérieure avec la réfection de l’entrée principale alors que l’école mère, plus vers l’est sur Gouin) profitera d’ascenseur modernisé.
TABLEAU (source : CSDM)
Maintien des bâtiments et résorption du déficit de maintien 2015-2016
Statut d’avancement des projets financés en 2015-2016, en date du 13 avril 2016
On retrouve ci-dessous le nom de l’école, le genre de travaux, la période d’exécution, et le coût des opérations.
Ahuntsic, annexe temporaire (Tolhurst) :
Travaux d’aménagement -école primaire, Travaux complétés, 660 000 $
François-De-Laval, annexe temporaire :
Réhabilitation intérieure pour aménager 8 classes, Travaux complétés, 700 000 $
Gilles-Vigneault :
Travaux de maintien liés au projet de d’agrandissement, Travaux complétés, 732 000 $
Marie-Anne :
Remplacement de l’ascenseur, En préchantier, 750 000 $
Saint-Simon-Apôtre :
Réfection de la plomberie et modernisation de la chaufferie, En conception, 400 000 $
Sophie-Barat, annexe :
Réfection de l’entrée principale, En préchantier, 650 000 $
Centre Gabrielle-Roy
Remplacement des portes et fenêtres, En chantier, 600 000 $
Louis-Colin :
Travaux de maintien liés au projet d’agrandissement, Travaux complétés, 100 000 $
Louis-Joseph-Papineau :
Mise à niveau mécanique, électrique et conformité, En chantier, 200 000 $
Saint-Bernardin :
Réfection partielle de la toiture, Travaux complétés, 575 000 $
Sainte-Lucie :
Réhabilitation majeure du bâtiment, En conception, 1 000 000 $
Saint- Noel-Chabanel, pavillon des Découvreurs :
Réfection de la toiture, En préchantier, 500 000 $
Sophie-Barat :
Réhabilitation de l’ascenseur, En chantier, 725 000 $
(Par Alain Martineau) (2016-04-22)
DEL: la Ville suspend l’opération…
mais des DEL sont déjà en fonction sur le territoire d’Ahuntsic-Cartierville
Toutefois, des ampoules DEL sont déjà utilisées en quelques endroits du territoire de la Ville de Montréal. Ainsi, le parc Tolhurst est déjà éclairé aux DEL (NDLR : on voit d’ailleurs déjà sur notre photo la différence entre l’éclairage de rue, plus ambré, et l’éclairage du parc Tolhurst, plus blanc).
Journaldesvoisins.com a demandé à quelques-uns des élus de l’arrondissement si, à leur connaissance, des ampoules DEL avaient déjà été installées sur leurs territoires respectifs, lors de réfections de rues ou de parcs.
Le conseiller du district de Bordeaux-Cartierville et vice-président du comité exécutif a précisé à journaldesvoisins.com que l’éclairage de la partie de la rue Toupin située dans Cartierville avait été converti aux ampoules DEL lors de travaux réalisés en 2012. De son côté, la conseillère du district d’Ahuntsic, Émilie Thuillier, a mentionné n’avoir pas été informée de la conversion aux DEL dans le parc Tolhurst. Pour sa part, la conseillère Lorraine Pagé a informé journaldesvoisins.com en ces termes : « À ma connaissance non. Sauf peut-être certaines ampoules défectueuses dans des lampadaires, ici et là, qui ont dû être remplacées. Mais je dois signaler qu’il y a plusieurs années que les commerçants de la Promenade Fleury trouvent l’éclairage sur rue insuffisant sur l’artère commerciale et réclament un nouveau type d’éclairage. »
Pour lire l’article du journaldesvoisins.com sur la conversion aux DEL dans ses Actualités du 8 avril dernier, cliquez ici.
Patrimoine dans Ahuntsic-Cartierville
Une chroniqueure de la SRC sort l’artillerie lourde sur l’usine de munitions
Cette histoire avait déjà été médiatisée quelques semaines auparavant, par le journaliste et historien Jean-François Nadeau, dans Le Devoir. Voilà qu’une autre chroniqueure médias, avantageusement connue des lecteurs du Devoir, la rédactrice en chef Josée Boileau qui avait démissionné en février dernier, mais qui conserve une tribune à l’émission radiophonique « Samedi et rien d’autre » sur les ondes de Radio-Canada Ici Première, a pourfendu les élus de l’arrondissement pour avoir donné leur aval à cette démolition le samedi suivant la réunion du conseil d’arrondissement.
N’y allant pas par quatre chemins, au sujet de la saga de cette pièce du patrimoine, Mme Boileau a retiré 9000 points aux élus d’Ahuntsic-Cartierville pour cette décision de donner l’aval à la poursuite de la démolition du bâtiment malgré les représentations de la SHAC. Concernant les bâtiments appartenant au patrimoine qui ne sont pas beaucoup considérés au Québec, de façon générale, Mme Boileau a également déclaré : « Le citoyen se bat… le promoteur tranche… et les élus se ferment les yeux! » (C.D.) (2016-04-22)
Pour écouter cette chronique de Josée Boileau, cliquez ici.
Les Braves d’Ahuntsic ont 60 ans!
Un gala pour célébrer le travail de tous les bénévoles
Il s’agissait d’une soirée reconnaissance à laquelle ont participé des gens ayant participé de près ou de loin, dont de nombreux parents, dans la célèbre organisation sportive créée en 1955 et qui dépasse les frontières de l’arrondissement d’Ahuntsic-Cartierville. Entraîneurs, gouverneurs et directeurs en poste ou qui sont passés dans l’organisation ont pu renouer des liens lors de cet événement festif.
Martin Longchamps, le président de l’organisation et bénévole depuis onze ans, n’était pas peu fier de la tenue de cet événement. Le commentateur Ron Fournier, des membres de la famille de Maurice Richard, et les autres personnalités devenues, en septembre dernier membres du Temple de la renommée de l’Association de hockey mineur des Braves, étaient aussi sur les lieux.
Fournier, un ancien arbitre de la Ligue nationale qui est passé dans l’organisation, a livré un vibrant plaidoyer pour que l’on renomme le parc Ahuntsic afin d’honorer Maurice « Rocket » Richard. L’occasion était bien choisie pour le coloré analyste de lancer l’idée devant le gratin politique de la métropole.
Le lendemain, dimanche, l’organisation sportive avait prévu une belle surprise en ramenant la coupe Stanley de la Ligue nationale de hockey à Montréal. En fait, l’opération a duré quelques heures, ce qui a permis aux gens d’admirer le trophée suprême qu’aucune équipe canadienne ne touchera cette année pour cause d’élimination. (Par Alain Martineau) (2016-04-22)
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« Touche féminine »
Marie Montpetit ne voit pas de sexisme dans les propos de son collègue libéral
La députée de Crémazie à Québec était présente au moment de l’étude des crédits du Conseil exécutif (en fait, le ministère du premier ministre Philippe Couillard), le jeudi 14 avril, au Salon rouge de l’Assemblée nationale.
Guy Ouellette, qui agissait comme président de séance, a fait un bref commentaire avant de céder la parole à celle qui est aussi adjointe parlementaire du ministre de la Santé et des Services sociaux et membre de la Commission des institutions.
Voici ce qu’a dit exactement le député libéral de Chomedey : « Monsieur le premier ministre, on avait besoin d’une touche féminine pour la première partie des crédits. Mme la députée de Crémazie, à vous la parole ». Personne n’avait alors réagi.
Réactions le lendemain
Le lendemain, l’Opposition (Parti québécois, Québec solidaire et des groupes de femmes) tient un point de presse sur l’impact des compressions du gouvernement sur les femmes et profite de l’occasion pour dénoncer l’intervention du député libéral, ancien policier à la Sûreté du Québec.
« Les discours de mononcle, on n’est plus capables », a lancé la députée péquiste d’Hochelaga-Maisonneuve, Carole Poirier. J’invite mes collègues féminines, lorsqu’elles entendent de tels propos, à interrompre la Commission et à demander qu’on les retire afin qu’on ait plus droit à ce genre de propos qui sont totalement sexistes », a-t-elle ajouté.
Vues différentes
Par la suite, par Facebook, Marie Montpetit intervenait pour donner son point de vue. « Comme j’étais la première femme à prendre la parole lors de cette séance de la Commission des Institutions, a souligné la députée de Crémazie, mon collègue (Guy Ouellette) a simplement souligné l’évidence. Certains y ont vu, à tort, des propos offensants. Pour ma part, j’y ai plutôt vu une simple formule de courtoisie et je trouve que l’ampleur donnée à cette histoire qui n’en est pas une est complètement disproportionnée », a analysé la députée montréalaise.
Dans son intervention, Marie Montpetit a tenu à rappeler qu’elle n’est pas du genre « à se taire devant l’injustice ». Elle s’est dite en désaccord avec ceux et celles qui avancent qu’elle a été une « victime » et elle s’est portée à la défense de son collègue de Laval. « Je refuse de laisser mon collègue se faire prêter de fausses intentions. Je trouve tout à fait déplorable que certains collègues de l’Opposition m’instrumentalisent pour faire le procès d’un homme qui depuis bientôt 10 ans consacre sa vie au service public et à la défense des intérêts des citoyennes et des citoyens de la circonscription de Chomedey », a conclu Mme Montpetit.
Autres propos
La joute n’était pas finie, car l’équipe ministérielle est revenue à la charge quatre jours plus tard sur des propos tenus par la députée Poirier. Lors de l’étude des crédits budgétaires pour la condition féminine, la députée de l’est de Montréal s’était littéralement défoulée en accusant le gouvernement, depuis deux ans, de « mettre en œuvre des actes de violence et de discrimination sexiste, qui peuvent être physiques, psychologiques, verbaux, économiques, sexuels, sociaux et politiques ».
Sept membres du gouvernement ont alors réclamé des excuses de la part de Mme Poirier. La députée péquiste a finalement reconnu avoir employé ce qu’elle a appelé une « métaphore malheureuse », mais sans s’excuser. « Ce n’était pas mon intention, a-t-elle dit, de prétendre que le gouvernement libéral posait des gestes de violence physique ». (Par Alain Martineau) (2016-04-22)
Edgar Bori, déjà 20 ans
Un Ahuntsicois éclaire l’artiste inclassable depuis sept ans
Lui qui venait de vivre un deuil avec la fin de la populaire série « Annie et ses hommes », propulsée par Guylaine Tremblay, allait relever un nouveau défi qui tombait à pic. « La série télé venait de se terminer, nous a dit M. Patoine. J’ai été vraiment touché quand on m’a sollicité. Probablement que le bouche à oreille a fait son œuvre. J’étais avec ma mère quand j’ai vu Bori pour la première fois en spectacle. Et coïncidence, ma mère est décédée le même jour que le père de Bori. Quel hasard. Il avait écrit un spectacle pour son père », a-t-il confié au journaldesvoisins.com
Mots bien choisis
Jean-François ne tarit pas d’éloges à l’endroit du magicien de la chanson. « Bori est un secret bien gardé. C’est incroyable ce qu’il peut faire avec les mots. Beaucoup de subtilité », a-t-il mentionné, en parlant de l’artiste polyvalent qui fait des incursions dans la vie des humains urbains. Certains diront que Bori nous fait rappeler les grands chansonniers francophones des années 1960.
Comme responsable de l’éclairage, M. Patoine collabore à l’oeuvre de l’artiste, en mettant « tout en lumière » ses spectacles. Il doit travailler en lien avec Bori et le metteur en scène, bien choisir ses lumières. Et pendant la prestation, il doit être vigilant à la console, et s’assurer que les fonctions techniques tiennent. Bref, il doit « prier » pour que tout baigne dans l’huile.
Bori, qui a également livré plusieurs spectacles en Europe, s’est souvent montré avec le visage « caché », une approche originale. Mais peu à peu, au fil du temps, il commença à se « dévoiler » »’’. C’est à peu près à ce moment que Jean-François Patoine arrive dans son équipe; il fera ressortir davantage les qualités de l’artiste, « obligé » de mettre son visage sous les projecteurs.
Bori reconnaît être en marge du « star-system », des tendances. Il a écrit ou interprété pas moins de 160 chansons en une vingtaine d’années.
Les 28 et 29 avril, dans « Pour une dernière répétition », au Théâtre Outremont, il soulignera à sa façon ses 20 ans de carrière avec de vieux complices; Yvon Bilodeau, Stéphan Côté, le groupe Bon Débarras, le saxophoniste Yannick Rieu et l’homme à tout faire du cirque Luc Tremblay, alias M. Bob. Son ami, Michel Rivard, viendra aussi faire son tour le 29 avril, pour chanter avec lui Toute ta lettre.
Dans Ahuntsic-Cartierville
Jean-François Patoine et sa conjointe habitaient autrefois dans la Petite patrie. Avec un enfant, le couple cherchait une maison abordable, en ville, mais tout en souhaitant « un peu de campagne ». Il connaissait un peu notre arrondissement. Il faut dire (autre coïncidence) que son oncle, Jacques Patoine, était Ahuntsicois (NDLR : il est décédé il y a deux ans; il avait longtemps travaillé au bureau de circonscription de l’ex-ministre Guy Tardif, dans Crémazie).
« On a eu un coup de cœur pour une maison située près du Collège Bois-de-Boulogne, avec tout à proximité et un coin de verdure », dira celui qui préfère rester ici même s’il travaille pour une compagnie théâtrale à Longueuil.
(Pour infos : *À suivre sur Facebook : toute l’actualité autour du spectacle et une rétrospective en vidéos, en textes et en images des 20 ans de Borie sur scène : facebook.com/edgarboriofficiel) (Par Alain Martineau) (2016-04-22)
La Promenade de Jane fait des petits!
On visitera les ruelles dans le Sault-au-Récollet et dans Ahuntsic
En effet, journaldesvoisins.com a appris que la conseillère Lorraine Pagé, du district du Sault-au-Récollet, de concert avec Normand Parisien, résidant du quartier et avantageusement connu dans le monde du transport montréalais, se lancent cette année et organisent, eux aussi, une Promenade de Jane dans le Sault, en deux temps : le samedi 7 et le dimanche 8 mai C’est M. Parisien qui en assurera l’animation, alors que Mme Pagé souhaitera la bienvenue aux participants à proximité de la maison du maire du village (du Sault).
Ainsi, un nouveau circuit à pied est maintenant organisé dans le secteur historique du Sault-au-Récollet. L’activité a été mise au point en collaboration avec le Centre d’écologie urbaine sous le thème Ahuntsic-Cartierville et Sault-au-Récollet : aux origines de Hochelaga/Ville-Marie.
Au cœur des origines
L’animateur Normand Parisien entraînera donc les participants au cœur des origines de Montréal pour une randonnée piétonne d’une durée d’une heure et demie à partir de 14 heures les samedis et dimanche 7 et 8 mai, laquelle randonnée débutera sur le parvis de l’église de la Visitation sise au 1847 de la rue Gouin Est à Montréal.
Axée sur la promotion de la marche, l’amélioration des connaissances du milieu urbain ambiant de même que l’interaction entre les participants, cette randonnée piétonne à caractère civique empruntera également le pourtour de l’île de la Visitation et du parc régional dont cet espace de villégiature exceptionnel fait partie intégrante.
Normand Parisien a indiqué à journaldesvoisins.com qu’en cas d’intérêt marqué pour ce circuit, une promenade additionnelle pourrait s’ajouter au coucher du soleil cette fois le vendredi 6 mai si les conditions météo le permettent, le nombre de places en week-end étant limité à 15 participants pour chacune des deux dates.
L’activité est gratuite, mais l’inscription obligatoire. (C.D.) (2016-04-22)
Pour plus d’information sur les Promenades de Jane, on peut consulter le site du Centre d’écologie urbaine au www.ecologieurbaine.net ou s’inscrire auprès du responsable local à l’adresse électronique normandparisien@yahoo.fr
Bref incendie à Laurendeau
On évite le pire au CHSLD du boul. Gouin Est
Une facture de 25 000 $
Un problème électrique, peut-être causé par un appareil de chauffage d’appoint, selon une source au sein des pompiers, serait à l’origine de cet incendie. Mais fort heureusement, les gicleurs ont détecté la fumée et ont permis d’étouffer le feu; les pompiers (quatre camions) de la caserne située sur la rue Fleury Est sont arrivés rapidement pour s’assurer que tout soit éteint et sécurisé.
« Le personnel du centre d’hébergement a agi avec diligence pour assurer la sécurité des résidants », a indiqué dès dimanche la direction du Centre intégré universitaire de santé et de services sociaux (CIUSS) du Nord-de-l’Île-de-Montréal. Outre une odeur de fumée qui s’est fait ressentir à quelques endroits, aucun résidant, membre de famille ou personnel n’a été incommodé par cet incident. D’ailleurs, celui-ci n’a pas nécessité l’évacuation de résidant ou de personnel », a-t-on précisé
Constat des dégâts
Nous avons pu apprendre que le grand patron du CIUSSS, Pierre Gfeller, et d’autres cadres se sont déplacés dimanche matin pour venir constater les dégâts causés par l’eau. Une firme d’experts en « après sinistre » s’est pointée avec l’équipement nécessaire pour assécher les planchers et les équipements, dans l’atelier et dans le salon de coiffure attenant, entre autres. Plusieurs outils ont dû prendre le circuit du recyclage. Finalement, la facture va s’élever à 25 mille dollars, selon la direction.
Dimanche, en après-midi, il y avait encore une petite odeur de fumée à l’entrée et aussi au 7e étage. Plusieurs résidants n’étaient pas au courant de cet évènement qui aurait pu avoir de lourdes conséquences. (Par Alain Martineau) (2016-04-22)
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Le Jour de la Terre, source d’inspiration
Plusieurs corvées de nettoyage dans Ahuntsic-Cartierville en avril et mai
Le 30 avril, il y aura trois corvées simultanées dans A-C : dans la ruelle St-Charles-Georges Baril, dans le parc Saint-Benoît et dans les rues aux abords de l’immeuble Sfère. Le Centre communautaire laurentien invite les citoyens à sa corvée le premier mai. Le 4 mai, ce sera au tour du boisé St-Sulpice de se refaire une beauté.
Cinquante-trois millions de $
Ce n’est pas moins de 53 M$ qui seront consacrés cette année aux activités de propreté à Montréal. Les employés de la ville s’affairent déjà à nettoyer les rues avec plus de 250 appareils spécialisés. En contrepartie, la Ville souhaite que les résidants participent en grand nombre à la Grande Corvée.
« On invite les citoyens à nous aider, à nettoyer nos parcs, nos ruelles parce que la ville appartient à tous », a expliqué Annie Samson, la vice-présidente du comité exécutif de la Ville. « On veut laisser l’opportunité au citoyen de s’impliquer davantage », a-t-elle conclu.
Selon Mme Samson, les employés de la ville ne peuvent pas tout faire et c’est pour cette raison que la contribution de la population est importante. « Quand on fait le grand ménage du printemps, c’est beaucoup de kilomètres. On parle de 10 000 KM de rues et de trottoirs, ce qui est l’équivalent de 18 fois l’aller-retour Québec-Montréal. Les employés s’occupent de cela, mais le reste appartient aux citoyens », soutient-elle.
Espaces publics : un hiver pas facile
Dominique Pigeon, l’organisatrice de la corvée au parc Saint-Benoît aimerait que le plus grand nombre d’utilisateurs du parc viennent donner un coup de main. « Le vent durant l’hiver a amené bien des choses et on veut que nos enfants puissent jouer dans un endroit propre », a-t-elle expliqué. Des investissements ont été faits par la ville pour la restauration du parc et « ça vaudrait la peine d’y mettre un peu du sien », croit Mme. Pigeon.
Une initiative citoyenne
Marlène Ouellet, chargée aux communications pour la ville, a expliqué que les grandes corvées n’étaient pas « un dossier prioritaire cette année, à cause de tous les dossiers que mène la ville actuellement. » Elle assure cependant que les équipes exécutent leurs tâches de nettoyage de façon systématique. I
L’année dernière, 20 000 personnes ont participé aux corvées. Tous les citoyens peuvent organiser leur propre événement où participer à l’une des corvées déjà publicisées. (Par Thomas Deshaies) (2016-04-22)
Pour avoir toutes les informations concernant les corvées, cliquez ici.
Pour plus de renseignements sur le Jour de la Terre, cliquez ici.
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Des centaines d’arbres à abattre…
Nouveaux foyers d’infestation de l’agrile dans les frênes d’Ahuntsic-Cartierville
« L’agrile du frêne est là pour rester. Il faut apprendre à vivre avec. »
En fait, en 2011, lorsque ce premier arbre a été découvert, les arbres avoisinants ne présentaient pas de signes précurseurs de cette infestation. Puis, la découverte d’un foyer d’infestation sur la rue Alexandre-Lacoste en 2011 a démontré que l’agrile faisait ses ravages depuis déjà un bon moment. « L’agrile était probablement présent 4 ou 5 ans avant (2001). On a découvert le foyer tardivement. On avait déjà du retard dans la lutte », dit M. Francoeur. Maintenant, Ahuntsic-Cartierville est l’arrondissement le plus touché par cette infestation. « Notre but est de gérer la décroissance du frêne », dit Pierre Francoeur, ingénieur forestier de formation avec plus de 30 ans d’expérience, qui portait d’ailleurs un chandail « Tree of life » (Arbre de vie) lors de l’entrevue avec journaldesvoisins.com.
Dans la cour de la voirie sur la rue de Louvain, des montagnes de copeaux de bois sont tout ce qui reste des centaines de frênes coupés l’an dernier. « C’est une décision crève-cœur de devoir couper tous ces arbres », dit Caroline Légère, chef de division parcs et installation. Décision difficile, mais nécessaire, si on veut que la forêt urbaine de Montréal survive. « N’avoir rien fait aurait été beaucoup plus catastrophique », ajoute M. Francoeur.
D’après le recensement du territoire fait à l’automne, de nombreux nouveaux foyers d’infestations sont apparus. Ahuntsic-Cartierville compte environ 7600 frênes sur son territoire. L’an dernier, 994 arbres ont été abattus et 1745 frênes ont été traités. Cette année, plus de 1300 arbres seront abattus et plus de 2000 seront traités. Ces chiffres risquent toutefois d’augmenter au cours des prochaines semaines, lorsque les Grands Parcs feront une deuxième tournée du territoire, au moment où les bourgeons des frênes vont éclore. Parmi ces arbres à abattre, jusqu’à 750 dans le boisé du parc Marcellin-Wilson disparaîtront bientôt.
M. Francoeur s’entretient régulièrement avec les agents techniques de Gatineau, qui eux aussi font face à l’agrile du frêne et qui ont mis au point une intervention spécifique pour les boisés urbains. L’arrondissement préconise toujours la même approche : un traitement au TreeAzine pour les arbres les moins affectés et un abattage pour les arbres qui sont affectés à plus de 30 %. De plus, dans le but d’éradiquer l’agrile, on a commencé à introduire à certains endroits au Canada une guêpe chinoise qui s’attaque à l’agrile et des chercheurs étudient l’utilisation de pièges contenant des champignons. En combinant tous ces éléments, les arbres auront plus de chance de survie, croit M. Francoeur
Sensibilisation des propriétaires
Cette année, un recensement des frênes sur les terrains privés sera effectué et une lettre sera expédiée aux propriétaires les avisant des actions à entreprendre. Pourquoi ne pas avoir recensé les arbres chez les propriétaires avant? « La réglementation n’était pas là pour nous aider », explique M. Francoeur.
Les propriétaires récalcitrants devront traiter ou abattre leurs arbres malades, sans quoi ils risquent des amendes. M. Francoeur préfère ne pas en venir aux amendes; il souhaite plutôt que les Ahuntsicois comprennent l’importance de ce geste écologique et…pour leur portefeuille. « Les gens attendent avant d’intervenir et l’arbre devient dangereux, ce qui fait que l’abattage est très cher… Certaines personnes ont même dû avoir eu recours à une grue à 300 $ l’ heure… », avertit-il, en ajoutant que le permis d’abattage est gratuit pour les frênes malades.
Autre fait intéressant de la nouvelle réglementation sur l’abattage qui entrera bientôt en vigueur : il sera désormais nécessaire d’obtenir un permis d’abattage aussitôt que plus de 50 % de l’arbre est coupé ou taillé.
Déficit de plantation
L’arrondissement fait un effort colossal pour replanter les arbres abattus, mais peine à suffire à la demande. En moyenne, 709 arbres ont été abattus depuis 2011, tandis que 499 arbres par année ont été plantés en moyenne. « Nous avons donc un déficit de 1000 arbres depuis 2011 », dit M. Francoeur, qui prévoit la plantation de 800 arbres cette année.
Incroyablement, tout ce travail se fait par une petite équipe : deux agents techniques, trois inspecteurs et une douzaine d’élagueurs. « Notre équipe n’a pas grossi depuis 2011 », précise M. Francoeur, qui ajoute qu’il n’y a pas que l’agrile du frêne qui occupe les employés. L’arrondissement a récemment fait l’acquisition d’une déchiqueteuse du bois pour accélérer le processus.
Copeaux à la tonne et valorisation du bois
Mais que faire des montagnes de copeaux? Ils servent entre autres aux platebandes de l’arrondissement et sont même distribués aux citoyens au printemps. De plus, une quantité importante de copeaux ont été introduits dans le sol près du boisé du parc Marcelin-Wilson. « Le sol n’était pas viable pour planter des arbres et les copeaux vont améliorer la qualité du sol. Dans 3 à 5 ans, nous espérons pouvoir replanter à cet endroit », explique M. Francoeur.
De plus l’arrondissement a commencé à vendre certains des billots de bois pour la revalorisation. En 2015, 110 billots de bois ont été vendus; certains à un entrepreneur de Mirabel qui produit des planchers et des portes et d’autres à un ébéniste de Villeray.
« C’est pourquoi vous verrez parfois des « totems » – un bout de l’arbre qui reste dans le sol. Ce billot sera récupéré plus tard pour être revalorisé », dit M. Francoeur. Ce projet sera de nouveau reconduit cette année.
Si cette infestation peut sembler impossible à contrôler, Pierre Francoeur est confiant que l’arrondissement réussira à freiner la propagation de l’agrile. « On sait ce qu’il faut faire et où on s’en va ». (Par Mélanie Meloche-Holubowski) (2016-04-22)
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Le coin des commerçants
FLO
Pour consulter la programmation, cliquez ici.
La Pharmacie Jean-Coutu Chambord recevait de la grande visite récemment à l’occasion de la campagne sur la prévention du zona. La chanteuse, auteure et compositeure, Louise Forestier, victime du zona, est l’ambassadrice de cette intiative, mise sur pied parc Merck Canada. Elle est ici photographiée en compagnie de l’un des deux propriétaires de l’établissement, Annie Laroche. Mme Forestier qui a déjà souffert du zona souhaite partager son expérience au plus grand nombre de gens et les encourager à en parler à leurs professionnels de la santé. «Je ne pouvais plus rien supporter sur ma peau, raconte-t-elle. Si j’avais su qu’un vaccin existait pour aider à prévenir le zona, je n’aurais jamais hésité une seconde à me faire vacciner.» La campagne de sensibilisation « Si j’avais su », permet d’informer la population sur le virus du zona et la façon de s’en protéger avec le vaccin contre le zona. Afin de diffuser efficacement l’information, cinq chaines et bannières de pharmacie, Brunet, Familiprix, Jean Coutu, Pharmaprix et Uniprix sont partenaires de la campagne de sensibilisation
Pour un mois, la direction de La Promenade aura du renfort en même temps qu’elle lui permettra de faire un saut dans la vraie vie professionnelle. Louis Pasnik, étudiant en techniques administratives, se joint à l’équipe pour les quatre prochaines semaines en tant que stagiaire. Nous lui souhaitons la bienvenue et bonne continuation!
Finalement, tel qu’annoncé dans nos Actualités de la semaine dernière, la Société de développement commercial (SDC) La Promenade Fleury a officiellement lancé cette semaine un concours de design urbain pour concevoir un aménagement extérieur de grande envergure sur l’artère commerciale. Le but du concours, chapeauté par le Bureau du design de Montréal, est de trouver une signature visuelle distinctive pour La Promenade.
Pour avoir plus d’infos à ce sujet, cliquez ici.
La jeune Amélie Morency, de The Food Room, un espace collaboratif alimentaire situé sur la rue Port-Royal, a accepté l’offre des dragons à l’émission Dans l’oeil du dragon, à Radio-Canada, lundi dernier. À suivre!
Pour lire notre article publié le 25 mars dernier sur The Food Room, cliquez ici.
LETTRES OUVERTES
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BRÈVES…BRÈVES…BRÈVES…BRÈVES…BRÈVES…BRÈVES
Fête des bénévoles de B. -C.
Un quartier solidaire et dynamique. Le 15 avril, a eu lieu la fête collective des bénévoles de Bordeaux-Cartierville à l’auditorium du CHSLD Saint-Joseph-de-la-Providence qui a réuni 176 personnes de 16 organismes du quartier. La fête visait aussi à souligner la Semaine de l’action bénévole. À l’occasion d’un tirage, 53 prix ont été distribués afin de récompenser cette solidarité multiple. Ce sont 375 diplômes qui ont été faits pour reconnaître plus globalement l’engagement des bénévoles dans le quartier. En somme, ce fut une soirée à l’image des personnes qui la composaient: inspirante et porteuse d’espoir. |
Encore plus facile de partager bientôt!
Le service d’autopartage sans réservation de Communauto pourrait être offert dès 2016 dans Ahuntsic, selon Brigitte Geoffroy de Communauto. Le service automobile de 275 voitures qui est présentement offert jusqu’aux portes d’Ahuntsic (dans Villeray) ainsi que dans d’autres arrondissements plus centraux de Montréal devrait être doublé à 550 voitures. Ce système permet d’utiliser une voiture sans la réserver (NDLR : on la réserve, en fait, mais à très court terme) et sans être obligé de la rapporter au point de départ. (P.R.)
Le 19 avril dernier, la Bibliothèque Ahuntsic inaugurait son tout nouveau comptoir de prêt en libre-service. Les utilisateurs qui le désirent pourront eux-mêmes enregistrer les ouvrages qu’ils présentaient auparavant au comptoir. De quoi souligner la Journée internationale du livre et du droit d’auteur de jeudi! Tant qu’on pourra encore échanger avec le personnel de nos bibliothèques…
Sur sa page Facebook, le Café Le Pressoir du Sault du boulevard Gouin Est, dans le Sault-au-Récollet, écrivait cette semaine : « À vos agendas tout le monde ! En 2016, la fête des voisins c’est le samedi 11 juin! Au Pressoir du Sault, on a le goût d’embarquer dans cette belle aventure! Et vous? À suivre!
Pour en savoir plus sur la fête des voisins, cliquez ici.
Le CRÉCA d’Ahuntsic est de la partie
Des utilisateurs et des membres du personnel du Centre d’éducation populaire autonome (CRÉCA) de la rue Chambord, à Ahuntsic, faisaient partie de la chaîne humaine organisée autour des locaux de l’organisme La Jarnigoine de Villeray par neuf groupes d’alphabétisation de Montréal, le 19 avril, sur l’heure du lunch. Ces manifestants voulaient décrier le sous-financement critique de l’alphabétisation populaire au Québec. À la suite de cette chaine humaine, une délégation a remis la pétition à la députée de Sainte-Marie-Saint-Jacques, Manon Massé, de Québec Solidaire. Le groupe dont fait partie le CRÉCA voulait interpeller le ministre de l’Éducation afin qu’il s’engage à augmenter de façon substantielle et récurrente le financement à la mission des groupes populaires en alphabétisation du Québec. La stagnation du financement des groupes d’alphabétisation populaire depuis les huit dernières années nuit à leurs activités. Rappelons qu’au Québec, 19 personnes sur 100 se retrouvent au plus bas niveau de littératie et éprouvent donc de graves difficultés à lire, à écrire et à fonctionner dans la vie de tous les jours. L’Assemblée nationale a reconnu la gravité de la situation en adoptant unanimement une motion le 15 septembre 2015 reconnaissant l’ampleur du problème de l’analphabétisme au Québec, ses liens indéniables avec la pauvreté et l’exclusion sociale. Du même souffle, on reconnaissait le rôle essentiel joué par les groupes populaires d’alphabétisation dans leur communauté: d’une part, contrer l’analphabétisme et, d’autre part, appuyer des milliers d’individus dans leur cheminement vers l’écrit et l’amélioration de leurs conditions de vie.
LE COIN COMMUNAUTAIRE
la 12e exposition annuelle des artistes de la résidence l’Amitié. Lieu: 9167, boulevard Gouin Ouest, Montréal Québec H 4 K 2 E 2
Téléphone : (514) 336-3180. La Galerie l’Amitié sera ouverte samedi, 30 avril de 10h à 17h00 et dimanche, 1e mai de 10h à 16h00. Il y aura un tirage de prix de présence ( 2 prix de 25$ ) dimanche le 1e mai 2016 à 16h. Inscrivez-vous lors de votre arrivée à la galerie. (Source: C.A.R.A.) (2016-04-19)
Sinon présentez vous le soir même. (Source: Les Éclés-filles du 103e) (2016-04-19)
La collecte des bouteilles pour les Scouts 103e Saint-André-Apôtre arrive à grand pas! Notez samedi 14 mai à vos agendas et calendriers et gardez vos bouteilles et canettes consignées. Cette activité de financement permet à 100 jeunes du quartier de partir en camp de plein air plusieurs fois dans l’année. Nous passerons dans les rues entre Terrasse Fleury et St Denis, Sauvé et Gouin. Si nous ne passons pas dans votre rue, contactez moi pour venir les chercher – 103groupestandreapotre@gmail.com ou 514 858 5404. Les entreprises peuvent y participer aussi. Merci de votre soutien. (Source: Les jeunes et les animateurs du 103e.) (2016-04-19)
Plusieurs places sont encore disponibles. Inscriptions du lundi au vendredi de 16 h à 19 h tout le mois d’avril. Formulaires et renseignements: www.loisirsufa.ca (Source: Loisirs UFA) (2016-04-12)
QUOI FAIRE… QUOI FAIRE… QUOI FAIRE… QUOI FAI
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Astronome amateur, par où commencer? La Société d’astronomie de Montréal (SAM), présente un «Astronome amateur, par où commencer?», au chalet du Parc-nature de l’Île-de-la-Visitation. 2425, boul. Gouin Est H2B 1X7. L’atelier débute à 20h.
L’observation du ciel se fait après, vers 21h, le temps de monter les télescopes. Info.: 514-381-5736 (Source: SAM) (2016-04-05)
«Le défi des couples au Québec, face au choc culturel »
Carrefour Foi et Spiritualité : Souper-causerie entre couples, avec le thème : « Le défi des couples au Québec, face au choc culturel ».
Le Québec est de plus en plus diversifié. Dans Bordeaux-Cartierville comme ailleurs, cette diversité apporte son lot de défis d’intégration auxquels les personnes immigrantes et la société d’accueil ne sont pas toujours préparées. Que faire pour protéger les couples, la famille? La foi et la spiritualité peuvent-elles venir en aide aux personnes et au couple? Personnes ressources : Marie-Claire Rufagari et Miryam Coppry de SEIIM (Service d’éducation et d’intégration interculturelle de Montréal). Venez y réfléchir et chercher ensemble des solutions ! Le samedi 23 avril 2016 à 18h,, au 12 075 rue Valmont. Inscription conseillée avant le 20 avril 2016. Tél : 514-336-2420. (Source: Carrefour Foi et Spiritulité) (2016-04-12)
Les effets de la zoothérapie sur la santé. La conférence aura lieu à 19h au Centre communautaire d’Ahuntsic, 10780, rue Laverdure (entrée et stationnement à l’arrière). Prix d’entrée : 3 $. Inscription: 514 385-6786. Notre invitée sera Régine Hétu de Zoothérapie Québec. Elle informera les participants des principaux bénéfices de l’animal sur la santé humaine. Elle nous familiarisera à la pratique de la zoothérapie, particulièrement avec les personnes présentant des problèmes de santé mentale. Mme Hétu sera accompagnée d’un chien thérapeute. (Source: La Parentrie) (2016-04-05)
La musique irlandaise de la Gaspésie à Montréal. Mercredi 27 avril, à 19 h, Café de Da. Le village gaspésien de Douglastown est reconnu pour ses traditions en musique, chant et danse, même si plusieurs membres de cette communauté sont aujourd’hui dispersés à l’extérieur de la Gaspésie, notamment à Montréal. L’ethnomusicologue et violoneuse, Laura Risk, mettra en valeur les traditions musicales de ce coin de pays méconnu qui se retrouvent à Montréal. Infos et inscriptions:514-872-0568. (Source: Arr. Ahuntsic-Cartierville) (2016-04-05)
«Les « polycrises » au Moyen Orient: décryptage politique et religieux.» Carrefour Foi et Spiritualité : Conférence avec Sami Aoun,
spécialiste du Moyen-Orient. Le conférencier décryptera la nouvelle donne géopolitique de la région du Moyen-Orient et apportera des réponses aux questionnements relatifs à la situation actuelle. Venez nombreux le jeudi 28 avril 2016 de 19h à 21h, au 12 075 rue Valmont. Inscription conseillée avant le 20 avril 2016. Téléphone: 514-336-2420. (Source: Carrefour Foi et Spiritulité) (2016-04-12)
Nouvelle matinée d’observation d’oiseaux. À Chambly et longeant la rivière Richelieu, avec le Club d’ornithologie d’Ahuntsic vous aurez la possibilité de voir plus de 200 espèces d’oiseaux dont la Grue du Canada et le nid de Balbuzard pêcheur. Il y a 125 espèces nicheuses dans cette réserve. Prévoir un lunch. Samedi le 30 avril de 7h30 à 15h00. Départ du chalet d’accueil de l’Île-de-la-Visitation, 2425 Gouin Est. Information au 438-338-4138 ou à coamessages@gmail.com (Source: Le Club d’ornithologie d’Ahuntsic) (2016-04-19)
Échos et Miroirs. Moments Musicaux termine sa 12e saison en mettant à l’honneur le violon baroque avec l’ensemble Passiflore, dans un concert intitulé Échos et Miroirs. Au programme, un répertoire varié des 17e et 18e siècles, haut en couleurs avec des compositions de Purcell, Gabrieli, Buonamente, Marini, Scarlatti et Fux. Aussi, des arrangements et de nouvelles instrumentations imaginées notamment dans des œuvres de Matteis, Bach, Purcell et Vivaldi. Endroit : Église de la Visitation, 1847, boul. Gouin Est, Montréal, H2C 1C8. Admission générale 30$ – En promotion 25$ jusqu’au 29 avril. Étudiants 10$. Tarif de groupe disponible Informations billets www.momentsmusicaux.ca ou 514-439-2254
(Source: Moment Musicaux) (2016-04-12)
Spectacle annuel de jazz et de variétés avec l’ensemble vocal Jazzimut. Le Collège Ahuntsic vous invite à son spectacle annuel de jazz et de variétés avec l’ensemble vocal Jazzimut les dimanche 1er mai et lundi 2 mai, à 19h30, à l’auditorium du Collège, 9155 rue Saint-Hubert. Les billets au coût de 10$ seront disponibles à la porte. Tous les profits seront remis à la Fondation du Collège qui verra à attribuer des bourses d’études à ses étudiants. Venez donc en grand nombre célébrer le printemps! Jazzimut, l’ensemble vocal du Collège Ahuntsic. (Source: Collège Ahuntsic) (2016-04-12)
« Ahuntsic, d’hier à aujourd’hui ». Dans le cadre de l’exposition Ahuntsic, d’hier à aujourd’hui présentée au Café de Da du 3 au 30 mai, le public est invité à une soirée sur l’histoire du quartier Ahuntsic, mardi 3 mai à 19 h au Café de Da, situé au 545, rue Fleury Est. Au menu : témoignages, anecdotes, présentation et diaporama, le tout animé par un personnage haut en couleur qui nous racontera la légende du Cheval blanc. L’inscription à cette activité est requise par téléphone au 514 872-0568 ou sur place au comptoir du prêt de la bibliothèque d’Ahuntsic. (Source: Arr. Ahuntsic-Cartierville) (2016-04-19)
Conférence de la Société d’horticulture et d’écologie du nord de Montréal (SHENM). Sujet traité: végétaux en bacs, en pots et en multiples supports pour jardins retreints. Le jeudi 5 mai, à 19 h 30
Mme Sylvie Fullum, horticultrice, viendra parler des végétaux en bacs, en pots et en multiples supports pour jardins retreints, lors de la prochaine conférence de la Société d’horticulture et d’écologie du nord de Montréal. La conférence aura lieu au sous-sol de l’Église Saints-Martyrs-Canadiens, au 10 007, rue Partenais (coin Sauriol) et sera précédée de l’assemblée générale, à 19h:00. Coût: 5$ pour un non-membre. Pour information: shenm1975@yahoo.ca (Source : SHENM) (2016-04-19)
Soirée des ados (adultes interdits). Tu as de 10 à 14 ans ? Le vendredi 6 mai, c’est ta soirée ! La bibliothèque de Cartierville fermera ses portes à 18 h comme tous les vendredis soirs puis, exceptionnellement, elles s’ouvriront uniquement pour toi et tes amis à 19 h ! Au programme : jeux vidéo, atelier de création « Les mains collectives », à boire et à manger, un DJ pour te faire danser, tirages et autres surprises ! Quand : le vendredi 6 mai, de 19 h à 22 h. Pour qui: les ados de 10 à 14 ans. Endroit : La bibliothèque de Cartierville 5900, rue de Salaberry. Entrée libre, mais les admissions sont limitées. Pour information : 514 872-6989 (Source: Arr. Ahuntsic-Cartierville) (2016-04-19)
Devenez un parfait enquêteur! 11e édition du 24 heures de science. Les jeunes de 8 à 12 ans sont invités à l’atelier Devenez le parfait enquêteur. Un corps a été découvert. Qui est l’auteur du crime? Une femme, un homme? Avec quelle arme le meurtrier a-t-il assassiné la victime? Dans quelle direction le coupable s’est-il échappé? Découvrez comment la science contribue à résoudre des crimes. Pendant cet atelier, les jeunes pourront exploiter différentes techniques d’identification : empreintes, réactions chimiques, analyses au microscope et luminescence. Bibliothèque d’Ahuntsic, samedi 7 mai, 14h. Renseignements: 514-872-0568. Gratuit, réservation nécessaire. (Source: Ville de Montréal) (2016-04-19)
Visite guidée Quartier Ahuntsic et Promenade Fleury. Venez découvrir ce que sont devenus la fabrique de crème glacée Lowney, l’ancien tracé du tramway numéro 24…Quand: samedi 7 mai à 10h. Endroit: sur la rue Lajeunesse entre Prieur et Fleury, en face du restaurant McDonald’s. Les réservations sont faites à l’avance par téléphone: 514-990-1872 ou par courriel: tours.kaleidoscope@sympatico.ca (Source: Tours Kaléidoscope) (2016-04-19)
Le répertoire familial de chansons d’Adélard Lambert. Mercredi 25 mai, à 19 h, Café de Da. Le Fonds d’archives inédites d’Adélard Lambert (1867-1946) comprend près de 700 artefacts de tradition orale : chansons, contes, danses chantées et jeux d’enfance hérités de sa famille. Danielle Martineau nous parlera plus particulièrement du répertoire chanté recueilli par Adélard Lambert. Infos inscr.:514-872-0568. (Source: Arr. Ahuntsic-Cartierville) (2016-03-15)
Autres idées d’activités sans date précise
Les mercredis de 13h à 15h. Coût : 15$. Pour vous inscrire ou pour plus de renseignements veuillez appeler au 514-382-0735 poste 223.
(Source: CANA) (2016-04-05)
C’est gratuit! Viens bouger! Tous les lundi à 9 h et les mercredi à 19 h Départs au Parc des Hirondelles (coin Larose / Fleury)
Responsable : Alain Lavigne (514) 419-2786 (Source : Marcheurs Philanthropes)
Numéros de téléphone utiles
Bibliothèque d’Ahuntsic : 514 872-0568
Bibliothèque de Cartierville : 514 872-6989
Bibliothèque de Salaberry : 514 872-1521
Café de Da : 514 872-5674
Le Rendez-vous du thé : 514 384-5695
Maison de la culture : 514 872-8749
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