Dérives d’un monde en péril, dérives intérieures… Seule en scène, Lucie Grégoire incarne une femme qui habite l’espace, en intime résonance avec la musique vibrante de la violoncelliste islandaise Hildur Guðnadóttir. Comme deux courants provenant d’une même source, la danse et la musique se scindent et confluent. Dévoilant sa part d’ombre et de lumière, la chorégraphe nous renvoie l’écho d’une humanité en déroute. Lucie Grégoire incarne avec maestria cette femme multiple qui navigue à vue entre les écueils d’un présent troublé.

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Billets distribués au comptoir et en ligne dès le mardi 9 avril, 18 h