Nomination au journaldesvoisins.com
Joran Collet, éditeur adjoint
Joran Collet, résidant d’Ahuntsic-Cartierville, ancien stagiaire et collaborateur au journaldesvoisins.com, a été nommé éditeur adjoint et chargé de projet au jdv.
À titre d’éditeur adjoint, M. Collet sera responsable de l’implantation du futur nouveau site Web du jdv, et de la transition vers la publicité numérique, en plus de faire le lien entre l’entreprise qui procédera à la refonte du site Web du média et l’équipe des employés/collaborateurs.
Il assistera également l’éditeur dans diverses tâches de gestion.
Par ailleurs, certains dossiers journalistiques auxquels il a déjà contribués seront également sous sa responsabilité.
Joran Collet est détenteur d’un baccalauréat en sciences politiques de l’Université Laval et d’un diplôme d’études supérieures en journalisme (DESS) de l’Université de Montréal. Il a également complété une année de droit au sein du même établissement universitaire.
Originaire de Rimouski, M. Collet réside à Ahuntsic-Cartierville depuis près de quatre ans maintenant. Nous lui souhaitons la bienvenue dans l’équipe! (Source: La direction, journaldesvoisins.com).
Pour un concours de sculptures sur glace dans Saint-Sulpice et dans l’arrondissement
Un coyote tout de glace vêtu!
Journaldesvoisins.com a reçu ce sympathique courriel d’une résidante d’Ahuntsic-Cartierville, district de Saint-Sulpice, Marianne Dessureault, en début de semaine:
«En ce dimanche pluvieux et de neige collante, les activités peuvent sembler restreintes. J’ai tout de même pris mon courage à deux mains et je suis sortie. Depuis deux semaines je trépigne à l’idée de l’arrivée d’une rive mouillée pour aller faire bonhomme et sculpture. Résultat 2h30 plus tard : un coyote (très à la mode cette année) hurlant. Pas le plus beau et le plus parfait mais bien réussi. Des voisins se sont égayés devant le jeu hivernal et le résultat final. L’idée n’est donc venue : pourquoi St-sulpice ne ferait il pas un concours de sculptures? Ou que nos voisins n’en feraient pas eux aussi? C’est joyeux et met de la vie en plus d’être un bon point d’échanges entre voisins. Je me ferais même une joue ďaider ceux voulant participer.
Ne pourrait-on pas tenter de populariser l’idée? Je vous écris sans plan défini ou demande précise sauf celle de vouloir participer à une gaieté de quartier et vouloir partager l’idée et la promouvoir. Il pleut toujours et j’espère que mon coyote se rendra jusqu’au gel de mardi!»
«Le coyote glacé est toujours debout! Un tantinet moins parfait qu’il était lors de sa confection mais il semble encore attirer les regards notamment des équipes d’entretien de la ville et des étudiants du cégep. Je tente de l’entretenir du mieux que je peux avec ce froid mais au moins il tient. Prochain redoux je tente un lapin de pâques! 😉 »
Quartier des générations
Une féérie d’hiver avec une météo parfaite
Les conditions météo étaient parfaites, comme l’a signalé avec justesse une participante de l’événement Féerie d’hiver du Quartier des générations qui se tenait vendredi dernier (22 février) sur le boulevard Gouin Est.
Plusieurs dizaines de résidents de la Résidence Berthiaume-Du Tremblay, la plupart bien emmitouflé dans leur fauteuil roulant, de même que des employés, des enfants et des adultes de l’extérieur ont pris part à cette fête entre 15 et 20 heures. Selon les organisateurs 200 personnes (cinq générations différentes) auront participé à la première édition de la fête visant à redonner le goût aux aînés de ‘’sortir’’ tout en misant sur les rencontres intergénérationnelles
La députée provinciale de Maurice-Richard, Marie Montpetit, et le conseiller du district Sault-au-Récollet, Jérôme Normand, entre autres, ont été faire un petit tour pour rencontrer des participants.
Les organisateurs (le Quartier et le CHSLD Berthiaume-Du Tremblay) avaient planifié l’ouverture d’un sentier entre le bâtiment du réseau de la Santé et la fameuse grotte afin de permettre la pratique du ski-fauteuil. Ainsi, une personne se trouve assise sur un fauteuil roulant dont les roues sont fixées à des skis. Pour se déplacer sur la neige vive, une personne n’a qu’à pousser le fauteuil.
La chorale du CHSLD a aussi agrémenté l’événement avec deux participations musicales. On pouvait aussi faire des glissades. Les organisateurs avaient aussi prévu des gâteries et des boissons chaudes.
La directrice générale de l’établissement, Chantal Bernatchez, s’est félicitée de la réussite de l’édition, estimant qu’elle a permis à tous de se côtoyer, de s’amuser, de bouger, en bonne compagnie, alors qu’une participante, Caroline De Serres, notait que ‘’les résidents étaient revenus de la fête hivernale avec le sourire’’.
Notons que l’événement devait avoir lieu plus tôt mais il a été annulé pour cause de mauvais temps, ce qui n’était pas une surprise avec l’hiver hors de l’ordinaire que l’on connait.
Le Quartier des générations se veut un lieu ouvert sur la communauté en. Ce ‘’quartier dans le quartier’’ compte divers types d’habitation dont le dernier qui vient d’ouvrir ses portes.
Situé au 1675 Gouin, le nouvel immeuble (édifice Roger-Marien) comprend 40 logis dont la moitié pour des gens à revenus modestes et des salles polyvalentes pour faciliter les rencontres. Des locataires ont déjà investi leur nouveau logement moderne.
La bâtisse a été construite sur les ruines de qui ce qui fut autrefois la résidence des prêtres à la retraite du diocèse de Montréal. (Alain Martineau) (2019-02-27)
Pour des idées d’activités pour la relâche scolaire dans Ahuntsic-Cartierville, cliquez ici. (Source : Arrondissement)
Implantation de la collecte des résidus alimentaires dans le district de Saint-Sulpice
À compter du 4 mars prochain, des patrouilleurs de l’organisme Ville en vert viendront vous rencontrer, à votre domicile, afin de vous informer sur la nouvelle collecte des résidus alimentaires dans le district de Saint-Sulpice.
Ce nouveau programme a été amorcé en 2016, sur le territoire de l’arrondissement d’Ahuntsic-Cartierville, et ce, de façon progressive, en commençant par les immeubles résidentiels de huit logements et moins dans le district d’Ahuntsic. Puis, c’est en 2017 que celui-ci a débuté dans le district du Sault-au-Récollet pour se poursuivre, en 2018, dans le district de Bordeaux-Cartierville.
Quant au district de Saint-Sulpice, ce sera le 2 mai prochain que la collecte des résidus alimentaires sera offerte aux résidents des immeubles résidentiels de huit logements et moins.
Pour en savoir plus sur la collecte des résidus alimentaires, consultez notre site Internet en cliquant ici. (Source : Arrondissement)
Ateliers
En mars, deux ateliers d’information sont offerts gratuitement à la bibliothèque d’Ahuntsic; l’un porte sur le marché caché de l’emploi et l’autre sur la fraude.Pour y assister, il suffit de s’inscrire en composant le 514 872-0568 ou en vous présentant à la bibliothèque d’Ahuntsic dès la reprise de ses activités au 2e étage de l’édifice Albert-Dumouchel situé au 10300, rue Lajeunesse.
Le marché caché de l’emploi
Samedi 9 mars, 14 h
Le marché caché de l’emploi correspond aux offres d’emploi non affichées au grand public. Parfois, certaines offres d’emploi ne sont pas publicisées directement après l’ouverture d’un poste. Certains employeurs préfèreront recruter une personne au sein de leur réseau personnel ou professionnel plutôt qu’un inconnu. Cet atelier, animé par Claudine Lippé du Y des femmes, vous apprendra à « réseauter » et à accéder au marché caché de l’emploi. À la fin de l’atelier, l’animatrice vous présentera les programmes d’employabilité du YMCA.
La fraude
Mercredi 20 mars, 19 h
Cet atelier vous donnera un aperçu des différents types de fraude, des moyens utilisés par les fraudeurs et des mesures simples que vous pouvez adopter afin de vous protéger. Un animateur de l’organisme Prévention du crime Ahuntsic-Cartierville (qui gère le programme Tandem), abordera les différents types de fraude auxquels vous pourriez être confrontés, comme la sollicitation téléphonique, l’utilisation frauduleuse des cartes de crédit et de débit, le vol d’identité, les fraudes sur Internet ou les faux billets.
Semaine nationale de la stérilisation animale
Dans le cadre de la semaine nationale de la stérilisation animale au Québec, qui se déroule du 24 février au 2 mars, l’arrondissement rappelle aux propriétaires d’animaux que selon le règlement, les chats, les chiens et les lapins doivent être obligatoirement stérilisés à compter du 1er janvier 2020.
La stérilisation, une solution pour…
– Prévenir plusieurs problèmes de santé comme des tumeurs et des infections.
– Éviter les comportements indésirables pour le propriétaire et le voisinage, par exemple :le marquage urinaire; les fugues et le vagabondage en période de reproduction; la période des chaleurs chez les femelles (saignements, agitation, miaulements).
– Aider au contrôle de la population en limitant les portées non souhaitées.
Aide financière offerte
La Ville de Montréal permet aux ménages à faible revenu de faire stériliser jusqu’à deux animaux gratuitement. Les places sont toutefois limitées. Renseignez-vous!
Autre obligation
Toujours selon le règlement, les chats et les chiens doivent être (obligatoirement) micropucés à compter du 1er janvier 2020.
Devenir propriétaire d’un animal, c’est prendre un engagement à long terme. Adopter un animal est un choix personnel porteur de plaisirs quotidiens, mais c’est également une importante responsabilité. Soyez un propriétaire responsable.
Pour toutes les informations sur la règlementation, le permis, le programme d’aide financière, etc., consultez le site Internet de la Ville de Montréal. (Source : Ville de Montréal)
Nouvelle galerie photo pour le photographe Ahuntsicois Michel Bury
La nouvelle galerie est consacrée à un safari photo réalisé dans les savanes légendaires du Kenya et de la Tanzanie à l’été 2018. Pour vous donner une idée de cette aventure, visionnez son vidéo de sept minutes. (Source : Michel Bury)
Montréal annonce son soutien à la Bourse du carbone Scol’ERE
Les enfants rappellent l’urgence d’agir en faveur de la lutte aux changements climatiques et le 27 février, la Ville de Montréal se joint à eux pour poursuivre ce souhait d’agir et de s’engager pour une meilleure collectivité. La contribution de la Ville à la Bourse du carbone Scol’ERE permettra d’offrir gratuitement 5 ateliers de deux heures qui constituent le programme éducatif à 80 classes de la 4e à la 6e année, à raison de 1 250$ par classe participante, jusqu’à concurrence de 100 000$ en aide financière et technique. Pour appuyer le déploiement de la Bourse du carbone Scol’ERE à travers le Québec, la Coop FA, créatrice du projet, est fière de compter sur la collaboration d’organismes locaux bien implantés et reconnus dans leur milieu. À titre d’Organismes de formation accrédités, GUEPE et GRAME pilotent le projet dans la grande région de Montréal.
La Bourse du carbone Scol’ERE se traduit à travers deux volets :
- Je m’engage : le programme éducatif destiné aux jeunes des écoles primaires vise à former des cohortes d’enquêteurs capables de comprendre d’où proviennent les émissions de GES et les actions à prendre pour les réduire. Ces jeunes ainsi formés sensibilisent leur famille et sont invités à réaliser des défis et adopter de nouvelles habitudes de vie écoresponsables. Les émissions de GES qui ont été évitées par ces nouveaux comportements deviennent alors des Crédits carbone éducatifsMD.
- Je compense : permet aux citoyens, aux entreprises, aux événements et aux institutions de compenser leurs émissions de GES par l’achat de Crédits carbone éducatifsMD, ceux-là mêmes générés dans le cadre du volet Je m’engage. Une compensation carbone unique qui permet d’atténuer son empreinte écologique tout en finançant le programme éducatif dans les écoles primaires du Québec.
Pour en savoir davantage sur le programme de Bourse du carbone Scol’ERE, cliquez ici. (Source : GUEPE)
Un nouveau service de pétition en ligne est offert par la Ville de Montréal
La Ville de Montréal annonce l’ajout d’un tout nouveau service en ligne qui permettra dorénavant aux citoyennes et citoyens de soumettre une demande en vue d’obtenir la tenue d’une consultation publique sur une idée novatrice ou un projet mobilisateur pour la communauté visée, et ce, en vertu du droit d’initiative. Dès le 25 février, les Montréalaises et Montréalais peuvent donc choisir d’exercer leur droit d’initiative en version numérique ou en version papier.
La collecte des milliers de signatures requises était auparavant effectuée exclusivement de façon manuscrite, sur un formulaire papier, ce qui en faisait une démarche lourde et fastidieuse pour les regroupements citoyens qui se mobilisaient autour d’une idée ou d’un projet. Grâce au nouveau service numérique, cette étape pourra être complétée plus efficacement et rapidement puisqu’elle pourra s’effectuer de façon intégrale en ligne. Il sera également possible de voir, en temps réel, quels sont les sujets ou les projets ayant fait l’objet d’un projet de pétition, et ce, tout en ayant la possibilité de signer une pétition en cours de signature, en plus de pouvoir faire le suivi des consultations publiques qui en découlent.
En huit ans, une vingtaine de projets ont été déposés en vertu du droit d’initiative. Ce droit permet d’obtenir, de la Ville ou de son arrondissement de résidence, la tenue d’une consultation publique sur une idée novatrice ou un projet qui mobilise la communauté visée. Sous réserve des conditions prévues au règlement, ce droit peut s’exercer sur tout objet qui relève des compétences de la Ville centre ou des arrondissements.
Toute personne âgée de 15 ans et plus, qui réside sur le territoire de la Ville de Montréal, peut entreprendre un projet de pétition et signer une pétition dans le but d’obtenir la tenue d’une consultation publique. L’objectif vise la proposition de solutions constructives, de projets novateurs et mobilisateurs qui permettent de répondre aux enjeux et aux défis d’un arrondissement ou de la Ville de Montréal dans son ensemble.
L’exercice du droit d’initiative comporte trois grandes étapes :
– Étape 1 : Dépôt de la demande (projet de pétition) pour analyse de recevabilité ;
– Étape 2 : Dépôt d’une pétition conforme dans un délai de 90 jours en fonction du nombre de signatures requises pour le territoire visé ;
– Étape 3 : Tenue d’une consultation publique sur le projet visé par la Ville ou l’arrondissement.
Pour plus d’informations ou pour exercer son droit d’initiative, veuillez consulter le site Internet de la Ville ici. (Source : Ville de Montréal)
Le collège Ahuntsic sur la voie de l’autochtonisation
Dans le cadre de la démarche d’autochtonisation du Collège Ahuntsic, qui s’est amorcée l’automne dernier, une série d’activités appelle la communauté à venir explorer les volets culturels et socio-politiques de ses rapports avec les peuples autochtones pour mieux agir sur des enjeux actuels en lien avec les Premières Nations, les Métis et les Inuits.
Une programmation riche pour l’année 1
Le 23 février en soirée, le Collège Ahuntsic était notamment l’hôte d’un grand rassemblement Haudenosaunee (Iroquois), une fête hivernale avec chants, danses et échanges entre Autochtones et Allochtones. Également en février, un atelier immersif, Le Cercle et la Boîte, sera une occasion unique pour les étudiants de vivre l’histoire de la colonisation du point de vue des autochtones, de ressentir les effets des différentes politiques d’assimilation mises en place au Canada et d’en comprendre les impacts sur les réalités autochtones actuelles.
En mars, un salon d’exposants, réunissant artisans, courts métrages, atelier de perlage et organismes autochtones, se tiendra à l’Agora. Le Collège recevra aussi l’artiste d’origine malécite Ivanie Aubin-Malo, qui donnera une prestation de danse traditionnelle et échangera avec le public. Le 28 mars, dans le cadre du Colloque de sciences humaines, la communauté du collège sera invitée à venir entendre des points de vue autochtones sur le nom et le logo de nos équipes sportives lors d’un panel de discussion à l’Espace le vrai monde?.
Enfin, en avril, un dîner-causerie sur les réalités autochtones actuelles, comme les inégalités sociales en éducation et le racisme systémique dont font l’objet les autochtones, réunira le personnel, tandis qu’en mai, dix étudiants en sciences humaines participeront au séjour annuel Rencontres autochtones dans la communauté atikamekw d’Opitciwan et en territoire traditionnel, où ils sont invités.
L’autochtonisation en rappel
L’autochtonisation s’appuie sur une volonté de développer des mentalités et des comportements visant à reconnaître concrètement et dans différentes sphères l’apport des cultures autochtones. Cette volonté se fait grâce à une éducation qui mène les individus à corriger leurs propres réflexes coloniaux (Source : Collège Ahuntsic)
Rappel et conditions de publication
S’il-vous-plait, prenez note que nous publierons avec plaisir vos communiqués si vous nous les faites parvenir en texte dans votre courriel à journaldesvoisins@gmail.com avant le mercredi, 17 h, pour publication le vendredi qui suit. Nous ferons peut-être un copier/coller pour éviter les erreurs. SVP noter le format des communiqués ci-dessus (Un titre, pas de gras, pas de majuscules, limiter les paragraphes, indiquer (Source : xxx) à la fin, etc). Par respect pour nos annonceurs qui paient pour annoncer et qui nous font vivre, nous publions affiches avec entente de paiement seulement. Pour plus de visibilité, réservez un emplacement publicitaire. Les tarifs Web, sont ici. Pour un tarif spécial OBNL, appelez-nous au 514 770-0858.
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