Les Actualités du 08 mars 2013
Retardataires, soyez encore plus vigilants…
On change l’heure ce week-end
Vous avez un brunch, dimanche matin?
Attention, dimanche!
Changez l’heure avant d’aller au lit, samedi! Autrement, vous risquez d’arriver alors que la tablée ne vous espère plus et qu’elle est déjà en train de digérer les agapes!!!
Nous devons changer l’heure ce week-end. En effet, dans la nuit de samedi à dimanche, 10 mars, il est recommandé d’avancer d’une heure montres et horloges, à 2 heures précisément.
Harmonie avec les états voisins
En 2006, précise un communiqué du Gouvernement du Québec, la Loi sur le temps légal (L.Q. 2006, chapitre 39) est venue remplacer la Loi sur le temps réglementaire. L’adoption de cette loi visait à maintenir l’harmonie temporelle existant avec les États voisins en raison de l’entrée en vigueur prochaine de l’Energy Policy Act of 2005. Cette loi des États-Unis visant l’économie d’énergie prévoyait, entre autres, que le passage à l’heure avancée s’effectuerait, à compter de 2007, le deuxième dimanche de mars et le retour à l’heure normale serait différé d’une semaine, soit au premier dimanche de novembre. (2013-03-08)
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La saison des sucres est commencée…
Venez vous sucrer le bec dans le quartier, le 16 mars !
Ce jour-là, le parc Tolhurst se transforme en cabane à sucre urbaine, avec une véritable petite cabane en bois, de la tire sur la neige, des produits de l’érable, des gâteries et autres.
De l’animation avec violoneux et meneuse de danse est prévue, de même que la présence du coloré Capitaine Sirop (Mario Bonenfant) qui partagera ses connaissances avec ceux et celles qui seront présents, en compagnie de représentants des Clubs 4-H du Québec. Entre les sets carrés, les DJ Stéphane Gélinas et Marc Sauvageau vous feront profiter de réels plus modernes…
Depuis quelques années, l’érablière urbaine est quasi devenue une tradition au parc Beaudet, dans Saint-laurent, et au parc Molson. dans Rosemont. S’il y a pluie ou tempête, l’activité est remise au lendemain. C’est un rendez-vous sucré !
Rens.: facebook.com/fleuryouest(2013-03-08)
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L‘eau d’Ahuntsic Ouest
D’autres données intéressantes à connaître
Dans un numéro précédent de nos Actualités hebdomadaires, journaldesvoisins.com s’est intéressé au point d’origine de l’eau que nous buvions dans Ahuntsic Ouest.
Filtration ou épuration
Nous avons ainsi appris que l’eau d’Ahuntsic Ouest provenait de l’usine Charles-J. Des Baillets (CJDB), et du réservoir Châteaufort, situé en bordure du Mont-Royal. L’usine d’où provient notre eau potable est également appelée une usine de filtration. (différente d’une usine d’épuration qui, elle, sert au traitement des eaux usées). L’usine de filtration sert au traitement de l’eau brute. L’injection de chlore se fait à la sortie de l’usine.
Trajectoire de notre eau potable
Pompée à partir de l’usine de filtration CJDB, l’eau potable que nous buvons dans le quartier est envoyée vers le flanc du Mont-Royal, puis est “entreposée” dans le réservoir Châteaufort. La distribution de l’eau se fait ensuite par gravité dans le réseau de distribution.
Environ 53 personnes travaillent à l’exploitation de l’usine CJDB. À ce nombre, il faut ajouter les 19 personnes travaillant au laboratoire, incluant le personnel de bureau. Toutefois, cette dernière équipe travaille également pour l’usine Atwater. Elle assure le contrôle de l’excellence de la qualité de l’eau. Le réservoir Châteaufort, lui, fonctionne de façon autonome, mises à part les inspections d’usage.
Différents corps de métier sont mis à contribution à l’usine de filtration et au laboratoire. Mentionnons les opérateurs, contrôleurs de procédé de production de l’eau potable, les préposés aux filtres, des plombiers mécaniciens, des électriciens, des menuisiers, des ouvriers d’entretien de l’usine, des électrotechnicien et du personnel pour le support informatique.
Système d’aqueduc d’Ahuntsic Ouest
Le réseau secondaire d’aqueduc est de la responsabilité des arrondissements. Le réseau
d’aqueduc de l’arrondissement Ahuntsic-Cartierville compte 308 km
de conduites secondaires. L’analyse des données du secteur montre que le taux de bris moyen est relativement bas à 0,35
bris/km/an. À peine 3,7 % des conduites d’eau potable ont atteint le seuil pour lequel
une intervention est requise de 2 bris/km/an sur cinq ans. Pour le reste du
réseau, 71 % des conduites secondaires n’ont eu aucun bris et 25,3 % ont eu un nombre de bris qui ne
justifie pas une intervention majeure.
Pour sa
part, le réseau d’égouts compte 319
km de conduites secondaires dont 78 % ont déjà fait
l’objet d’une inspection par caméra et près de 25 % ou 75 km ont fait l’objet d’un
nettoyage. L’analyse de l’état des réseaux d’égouts démontre que 63 % sont en
bonne condition 3 % en condition acceptable. Des interventions mineures ou
majeures peuvent être requises sur 12,2 % alors que 22 % des réseaux restent à
être inspectés.
Bris des conduites d’eau
À la lumière des événements des derniers mois au cours desquels plusieurs conduites d’eau ont subi des fuites légères ou moyennes, ou des bris majeurs importants, (comme celle du centre-ville de Montréal, récemment), journaldesvoisins.com a voulu savoir s’il était possible de connaître l’état du réseau d’aqueduc dans Ahuntsic Ouest.
L’arrondissement
effectue présentement le dépistage de fuites signalé par les citoyens et le
service des travaux public. À cette activité s’ajoute, l’activité de dépistage
systématique des fuites. En 2012, 100 % du réseau d’aqueduc a fait l’objet
d’une recherche systématique de fuite. À compter de cette année, la DGSRE (direction de la
gestion stratégique des réseaux d’eaux) ajoutera des effectifs pour augmenter
la fréquence du balayage systématique en recherche de fuite. L’objectif étant
de réparer les fuites le plus tôt possible afin de réduire la perte d’eau sur
le réseau et de diminuer les impacts néfastes d’une fuite sur les infrastructures
adjacentes.
Taxe d’eau et investissements
Vous aurez sans doute constaté, en lisant le dépliant qui accompagnait votre compte de taxes, récemment, qu’une petite portion de nos taxes municipales est consacrée à l’eau. Il s’agit d’une taxe
que l’on appelle le Fonds de l’eau. Il semble toutefois que cela ne soit pas nouveau. Suivant le
premier constat à l’effet qu’un rattrapage du déficit d’entretien devait être
réalisé rapidement, la Ville
a instauré en 2004 une taxe spéciale destinée spécifiquement à l’amélioration
du service de l’eau. Cette taxe, imposée à 25 M$ en 2004, augmente de 20 M$ de
plus annuellement et devait atteindre 200 M$ en 2013. À ce jour, cette taxe
représente un revenu de 125 M$.
Cette taxe relève de la Ville-centre. Les investissements pour l’eau sont également administrés par la Ville-centre.
Au cours des quatre dernières années, soit de 2008 à 2012, la Ville-centre aurait consacré 15 541 000 $ à l’entretien du réseau d’aqueduc d’Ahuntsic-Cartierville.
Nos remerciements à Geneviève Dubé, du Service des communications de l’arrondissement, et à Philippe Sabourin, du Service des communications de la Ville-centre.
La semaine prochaine: Le réseau des égouts et des eaux usées d’Ahuntsic Ouest.
Travaux sur réseau
d’aqueduc Ah-Cartierville sur Millen (juillet 2012)
Réseau d’aqueduc de Montréal
http://ville.montreal.qc.ca/portal/page?_pageid=6497,54223591&_dad=portal&_schema=PORTAL
Entretien et réparation du réseau (réseau secondaire,
resp.des arrondissements)
http://ville.montreal.qc.ca/portal/page?_pageid=6497,54235587&_dad=portal&_schema=PORTAL
Ouvrage intéressant à consulter:
Michèle Dagenais, Montréal et l’eau – une histoire environnementale, Québec, Boréal, 2011.
(2013-03-08)
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Demande de dérogation pour terrasse arrière
Le restaurant Le chien rose fait les choses dans les règles
Long processus
Un long processus est nécessaire pour que soit acceptée cette demande qui a d’abord fait l’objet d’une analyse par le Comité consultatif d’urbanisme de l’arrondissement et des fonctionnaires, a mentionné Geneviève Dubé, du Service des communications de l’arrondissement.
Par la suite, une résolution du conseil a été nécessaire, de même que la publication d’un avis public invitant les citoyens qui avaient des commentaires à formuler à se présenter à une consultation publique le mardi 5 mars dernier à la salle du conseil d’arrondissement. Si personne ne s’oppose à la demande, une autre résolution du prochain conseil d’arrondissement sera nécessaire, puis un autre avis public sera publié à ce sujet avant que le conseil n’approuve de nouveau. Bref, un long processus.
Toutes ces démarches, y compris les avis publics dans les journaux, les frais d’analyse du dossier, les plans sont aux frais du requérant, a mentionné Marie Caron, conseillère en aménagement à la Division Urbanisme, permis et inspection, de l’arrondissement.
Fleurs et embellissement
La propriétaire du restaurant a tenu à rassurer les citoyens lors de la consultation du 5 mars dernier, à laquelle participait le journaldesvoisins.com, en précisant qu’elle veut embellir les lieux et fleurir sa terrasse. En outre, elle a précisé qu’aucun système de son extérieur ne sera installé pour ne pas déranger les résidants. (2013-03-08)
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FAITES CONNAISSANCE AVEC…
Carole Lalonde, commandant du PDQ 27
Au cours des derniers mois et au fil de ses actualités
hebdomadaires, Journaldesvoisins.com a
entrepris de vous présenter des personnalités publiques qui comptent pour le
quartier. Récemment, vous avez pu faire connaissance avec la conseillère du
district Ahuntsic, Émilie Thuillier. Voici, aujourd’hui, la première partie d’une
rencontre réalisée avec Carole Lalonde, commandant du poste de quartier (PDQ) 27
couvrant notre territoire.
“Vous savez, insiste la commandant Lalonde, la sécurité publique n’est pas seulement l’affaire de la police!” Le ton est donné.
Élancée, dynamique,
accueillante, Carole Lalonde est tout de même un peu intimidante. En même
temps, quand elle parle de ses troupes, elle les appelle « les gars,
les filles », ce qui la rend plus sympathique! On aura compris qu’il s’agit des effectifs de la commandant Lalonde au PDQ 27.
À
l’heure actuelle, la commandant Lalonde gère une équipe de 95 policiers, dont 64 hommes et 31
femmes. En outre, le personnel en civil du poste est au nombre de deux, dont
l’adjointe de la commandant Lalonde et une agent de bureau.
D’entrée de jeu, précisons que le territoire de la Ville de Montréal compte 33 postes de quartier, et donc, 33 commandants. De ce nombre, 24 sont des hommes et neuf sont des femmes. Le tiers des effectifs de direction des PDQ de Montréal est donc composé de femmes.
Vingt ans d’expérience
Arrivée en poste en avril 2007, et après la fusion des deux PDQ (le 28 et le 27) en novembre 2008, Carole Lalonde prenait le commandement du quartier général actuel, agrandi, et s’y établissait avec son équipe au printemps 2010. Le territoire du PDQ 27 va de la rivière des Prairies (au nord), le boulevard Crémazie (au sud), la rue J.J. Gagnier (à l’est), et la rue Poincarré (à l’ouest).
Avant d’arriver dans le secteur, Carole Lalonde a dirigé le PDQ 40,
à Montréal-Nord, pendant un an et demi. Elle compte 20 ans d’expérience, notamment acquises comme agent de quartier, agent senior, agent sociocommunautaire, superviseur, lieutenant, puis commandant. C’est après avoir obtenu un diplôme d’études collégiales en sciences humaines, du cégep de Joliette, en 1984, qu’elle poursuit ses études à l’école de la
gendarmerie royale (GRC), à Regina, en Saskatchewan. Par la suite, c’est à Quentin, au Nouveau-Brunswick qu’elle a eu sa première affectation comme membre de la GRC. Elle est restée trois ans au service de la GRC avant de joindre les rangs du Service de police de la Ville de Montréal (SPVM).
Structure du poste
Pour prendre en
charge le territoire du PDQ 27, la commandant Lalonde répartit
le travail entre sept équipes de policiers, dont deux équipes de nuit. Le
territoire est toujours sous surveillance, 24 heures par jour, sept jours par
semaine. En outre, son équipe compte quatre agents socio-communautaires, une équipe de module d’action par projet, deux
agents qui s’occupent de sécurité routière et un enquêteur (auquel peuvent se joindre des collègues de la Région Nord, au besoin). Il ne faut pas oublier non plus que les 48 brigadiers scolaires du territoire relèvent du PDQ.
Sentiment d’insécurité?
“L’année dernière, on a réalisé qu’on avait un défi, celui de mieux communiquer nos réalisations à population”, dit la commandant Lalonde. Soulignant que ce que le PDQ entreprend et mène à bon port n’est pas toujours su, elle ajoute: “Parfois l’insécurité s’installe parce que les gens constatent un problème social ou autre dans le quartier et, parallèlement, s’ils voient une auto patrouille qui passe à côté mais ne s’arrête pas, ils pensent qu’on ne voit rien et qu’on ne fait rien”, dit-elle. Pour communiquer directement à la population les réalisations du poste de quartier, la commandant fait valoir que les résidants peuvent consulter le microsite* du PDQ 27 où sont publiés les communiqués du PDQ. “Mais, dit-elle, peu de gens sont au courant.” (*voir lien Web, plus bas).
“Les autos sont partout!”
Le fait que certains postes de quartier aient été fusionnés, dont le 28 et le 27 (qui était sur la rue Lajeunesse, avant), est-ce que cela a pu créer un sentiment d’insécurité auprès de la population? “C’est certain, dit la commandant Lalonde que quelqu’un qui habite à côté d’un poste de police va se sentir plus en sécurité, mais ce qu’il faut comprendre c’est qu’à l’intérieur d’un poste de police, il y a les agents socio-communautaires, quelques agents de bureau, une secrétaire, un lieutenant, la commandant et d’autres policiers en transit. Autrement, précise-t-elle, tout de suite après le rassemblement, vingt minutes après le début d’un quart de travail, les autos-patrouilles sont partout sur le territoire à répondre aux appels et aux problématiques du quartier. ” Et elles sont nombreuses.
Survol
Il ne faut pas oublier que le poste est en fonction, 24 heures sur 24, sept jours sur sept. Les patrouilles de première ligne dirigées par deux superviseurs vont répondre aux appels 911. ” Dans Ahuntsic, ça va du chien qui jappe, à la violence conjugale, aux vols qualifiés, aux introductions par effraction, et même des meurtres comme vous avez pu le constater, cette année”, souligne la commandant Lalonde.
Modus operandi
Chaque mardi matin, au poste, se tient une rencontre de 12 personnes, incluant la commandant Lalonde, où un tour de table des participants permet de brosser un portrait de ce qui se passe en termes de criminalité dans le quartier, des tendances, et des situations particulières à ne pas négliger.
Par exemple, à ce tour de table, on peut discuter du fait qu’il peut y avoir une vague d’introduction par effractions dans un secteur donné, des vols de banque ou pas pour la semaine qui vient de passer, des vols de véhicules. “Parfois on souligne la présence d’un nouvel itinérant qui vient d’élire domicile dans un guichet automatique, et le reste. Toutes ces informations vont être partagées autour de la table de discussion”, dit Carole Lalonde. S’ensuivent toute une série de mesures préventives discutées entre les divers intervenants. “Parfois nous sommes proactifs, parce qu’on voit poindre des choses, et parfois nous sommes réactifs en réponse aux événements qui se passent”, signale-t-elle.
Coincidence avec le 8 mars…
L’entrevue avec la commandant Lalonde a eu lieu le 20 février dernier. Nous devions publier le texte avec les Actualités du 1er mars. Toutefois, journaldesvoisins.com prévenait la commandant du report de la publication de l’entrevue au vendredi 8 mars, compte tenu du trop grand nombre de nouvelles. À cette occasion, elle a eu cette réflexion: “La date du 8 mars est intéressante finalement, parce que le personnel féminin de notre unité exerce un métier non traditionnel.
Vous pourrez lire la deuxième partie de cette entrevue la semaine prochaine. Notamment: les problématiques du quartier de façon plus détaillée ; et aussi étonnant que cela puisse paraître, les statistiques indiquent une baisse de la criminalité cette année sur le territoire.
Lien utile:
Microsite du PDQ 27 : http://www.spvm.qc.ca/fr/pdq27/index.asp
(2013-03-08)
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Journée internationale des femmes, 8 mars
La députée d‘Acadie présente Kim Thuy aux résidants
Lieu: Librairie Monet
Date: Aujourd’hui 8 mars de 8 h à 10 h
(2013-03-08)
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Circonscriptions de Crémazie et d’Ahuntsic
Dix femmes sont honorées aujourd’hui 8 mars
Par la même occasion, il y aura vernissage du collectif de photographes Le Rapprochement d’une photographe émérite d’Ahuntsic, Mme Suzanne Bourdon. L’exposition, qui sera disponible au bureau de Maria Mourani jusqu’en septembre 2013, porte un regard exclusif et authentique sur les Québécoises et Québécois issus des Premières Nations. Vin et bouchées vous y seront servis. Prière de confirmer sa présence, au 514-383-3709 ou par courriel au mourama@parl.gc.ca
Lieu: 9880 rue Clark, bureau 100
Quand: Vendredi 8 mars, 17 heures à 20 heures.
(2013-03-08)
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BRÈVES…BRÈVES…BRÈVES…BRÈVES…BRÈVES…BRÈVES
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Quoi faire dans le quartier?
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Le sixième numéro de journaldesvoisins.com, papier…
Mars-avril à votre porte, dès ce week-end
Au menu: nos chroniques habituelles, Éco-pratico, Chronique urbaine de quartier, Page d’histoire, Chronique Jeunes, et une nouvelle chronique (ainsi qu’un nouveau collaborateur) que nous vous laissons découvrir…
Dans Belle rencontre, faites connaissance avec Caroline Merola, illustratrice de livres pour enfants et résidante du quartier. Allez également lire quelques histoires d’amour des résidants avec le quartier Ahuntsic Ouest. Finalement, visitez Bénévolix au pays d’Ahuntsicus... (2013-03-08)
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Journaldesvoisins.com est sur Twitter!
Avis aux habitués du fil : #journaldesvoisins
Si des petites nouvelles surviennent en cours de semaine, nous vous en ferons part brièvement, sur Twitter, mais aussi par un Dernière heure, comme à l’habitude sur notre site. (2013-03-08)
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En route vers le 700e abonné!
Joignez-vous à notre communauté Web
.Nous sommes aussi sur Facebook
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Il y a des journalistes indépendants dans le quartier…
Contrat TC: #nesignezpas
a été et est encore journaliste indépendante (pigiste) depuis 20 ans. C’est un
métier méconnu, peu
reconnu et où
l’on
doit travailler de très nombreuses heures pour un tout petit
revenu.
Presque tous les journalistes indépendants doivent avoir une deuxième source de revenus pour boucler leurs fins de mois, ou un
bon
conjoint! Pourtant, ce sont eux qui
écrivent la plupart des articles que vous
lisez dans les magazines québécois.
Abandon de droits d’auteur et droits moraux
Sachez que le Groupe Transcontinental Média s’apprête à exiger des journalistes indépendants, dont il utilise abondamment les services, qu’ils
signent un
nouveau type de contrat afin qu’ils renoncent à leurs
droits d’auteur sur leurs textes, voire à leurs droits moraux.
Gardez cela à l’esprit lorsque vous lirez votre Coup de Pouce, Elle
Québec, ou
autres publications de
ce groupe.
Nos lecteurs méritent des textes de qualité
Il
ne
s’agit pas seulement d’une lutte pour l’obtention de
conditions de travail décentes. C’est la qualité et la diversité de l’information qui sont en jeu et, à long terme, la démocratie. Les journalistes indépendants
souhaitent continuer à faire du
travail rigoureux et de
qualité —parce que leurs lecteurs le méritent— mais
veulent en vivre aussi.
Appuis
Plusieurs personnalités ont déjà démontré leur sympathie envers notre cause, sur Twitter (mot-clic #nesignezpas) dont Guy A. Lepage, Nathalie Collard
et
Marie-France Bazzo. En outre, plusieurs organismes ont manifesté leur appui envers l’Association des journalistes indépendants du Québec (AJIQ) qui représentent les journalistes indépendants (pigistes), dont l’Union des écrivains du Québec (UNEQ). Une pétition à ce sujet sera bientôt déposée à l’Assemblée
nationale par Christine St-Pierre, députée d’Acadie.
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