Les Actualités du 17 octobre 2014
Pour mesurer le bruit des aéronefs
Les Pollués de Montréal-Trudeau reçoivent 1350 $ des élus
« C’est une nouvelle extraordinaire! On ne s’attendait pas à ce que l’arrondissement s’engage comme ça dans notre projet. Parce que, pour notre part, ça fait deux ans qu’on fait des démarches auprès de tous les paliers de gouvernement, autant provincial, municipal, que fédéral. Vraiment de tous les politiciens, le maire de l’arrondissement et les conseillers sont ceux qui ont contribué le plus jusqu’à présent. Pour nous, c’est un appui extraordinaire », s’est réjoui Antoine Bécotte, président du groupe des Pollués.
Ces 1350 $ permettront au groupe d’acheter trois stations de mesure du son qu’ils installeront dans Ahuntsic-Cartierville pour documenter les nuisances sonores en provenance de l’aéroport Montréal-Trudeau. Cette contribution intervient en réponse à une demande faite à l’arrondissement par les Pollués. « Au départ, on demandait que l’arrondissement paye quatre stations de mesure. Ils ont accepté d’en payer trois. C’est une belle contribution », a souligné M. Bécotte. Celle-ci s’inscrit dans le cadre de la campagne de financement lancée par le groupe en juin dernier pour collecter 10 000 $, et qui a pu compter sur le soutien des citoyens, comme l’a souligné M. Bécotte en indiquant que le montant récolté s’élève aujourd’hui à 6 600$.
Cibler la nuisance sonore
Du côté de l’arrondissement, on a particulièrement été sensible à la pertinence du projet dans l’octroi de cette contribution. L’achat et l’utilisation de ces stations vont permettre une plus grande acuité et une meilleure précision dans la collecte des données sonores.
« Je trouvais que leur demande était très intéressante, a signalé Émilie Thuillier, conseillère de ville du district d’Ahuntsic, en entrevue au jdv, parce qu’effectivement, Aéroports de Montréal (ADM) a des données, mais auxquelles on n’a pas vraiment accès, puis surtout ils n’ont pas l’air de collecter des données au-dessus de notre arrondissement. Donc, on discute toujours un peu dans le vide quand vient le temps de parler de l’impact des nuisances au-dessus d’Ahuntsic-Cartierville », a poursuivi Mme Thuillier. « Finalement, on nous dit qu’il n’y a pas de nuisances sonores, mais il n’y a pas vraiment de chiffres à l’appui. Et ils n’ont pas tout à fait les mêmes normes. C’est sûr que la manière de prendre des données, et de les traiter surtout, n’est pas la même pour ADM. C’est un calcul qui est autorisé, qui fait partie des normes internationales, mais ils répartissent ça sur un 24 heures; ce n’est pas la même chose de répartir une nuisance sonore sur 24 heures que de la cibler vraiment et de voir les heures et les décibels exacts à un point donné », a ajouté Mme Thuillier.
Pour les Pollués de Montréal-Trudeau, la prochaine étape consistera, après avoir recueilli les données sonores, à les faire analyser par des spécialistes qui pourront dès lors produire un rapport visant à vulgariser les chiffres. Cela leur permettra de comparer leurs résultats avec ceux d’ADM. « Parce qu’Aéroports de Montréal aussi a des stations de mesure, mais leurs résultats sont cachés et ce qu’ils publient ce sont des calculs mathématiques. Ils font des moyennes; autrement dit, de très hauts bruits, il n’y en a pas, c’est toujours une moyenne. On va montrer à Aéroports de Montréal que les bruits sont plus élevés que ce qu’ils disent », a résumé M. Bécotte. Pour l’heure, les Pollués de Montréal-Trudeau achèvent la rédaction d’un mémoire qu’ils déposeront ce lundi à la consultation publique de la Commission sur le développement économique et urbain de Montréal. Une série de demandes sera ainsi présentée par le groupe aux élus municipaux. (Par Rabéa Kabbaj) (2014-10-17)
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Projet de la Crown, Cork & Seal au 10 000, rue Meilleur
Le conseil va de l’avant avec l’adoption d’une deuxième résolution, mais il y a dissidence de la conseillère Thuillier
La conseillère du district Ahuntsic, Émilie Thuillier, a exprimé sa dissidence lors de ce vote. Elle a expliqué en entrevue au jdv qu’entre l’ancien projet soumis lors de la consultation publique et le projet actuel, le dossier n’avait pas assez évolué et que, pour cette raison, elle ne pouvait l’endosser.
À la suite de ce vote, un avis public sera publié. Il y aura ouverture d’un registre au bureau de l’arrondissement pour que les résidants du secteur concerné qui ne sont pas d’accord avec le projet viennent y apposer leur signature. Si le nombre de signatures se révèle suffisant, un référendum sera tenu par la suite.
En outre, dans la foulée, les élus ont également recommandé majoritairement au conseil municipal d’adopter, sans changement, un règlement modifiant le Plan d’urbanisme de la Ville de Montréal pour modifier le secteur d’affectation « emplois » à « résidentiel » dans l’arrondissement pour permettre cette construction. Ils ont également recommandé au conseil municipal la création d’un secteur de densité 01-T9 à même une partie du secteur de densité 01-06.
Si la conseillère Thuillier était d’accord pour faire modifier le secteur d’affectation, en revanche, elle ne l’était pas pour recommander la création d’un secteur avec ces nouveaux paramètres. Elle a donc également exprimé sa dissidence lors de ce vote. « Au chapitre de la densité, si le nombre d’étages et de logements sont diminués, d’autres critères ne sont pas pris en compte dans la création de ce secteur, notamment la typologie des logements », a-t-elle fait valoir. (Par Christiane Dupont) (2014-10-17)
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Projet retardé
Pas de projet de promoteur retenu encore pour transformer l’ancienne caserne sur Bois-de-Boulogne en condos
Le bâtiment historique du 12 137 Bois-de- Boulogne est vacant depuis maintenant sept ans, mais aucun promoteur n’a, à ce jour, été retenu pour en faire 12 ou 13 condos.
Pourtant, à la suite d’un récent appel d’offres, deux groupes avaient manifesté de l’intérêt et soumis des projets au cours des derniers mois. « Il n’y a pas de projet sur la table encore », nous dit Karine Tougas, l’une des responsables des communications à l’arrondissement Ahuntsic-Cartierville.
Règles contraignantes
Peut-être en raison de règles strictes ou du ralentissement dans le secteur immobilier, il faudra encore patienter pour savoir ce qu’il adviendra de ce bâtiment.
« Si quelqu’un fait éventuellement l’acquisition de la caserne, de poursuivre Mme Tougas, un projet respectant la réglementation et les critères inscrits sur les documents de vente devra être présenté à l’arrondissement pour l’obtention d’un permis ».
L’éventuel promoteur immobilier devra « respecter le caractère monumental du bâtiment et lui conserver ses valeurs artistiques et architecturales », précise la ville.
Rappelons que l’immeuble chargé d’histoire a été jugé « excédentaire » par la direction des Immeubles de la Ville de Montréal.
Les pompiers du nord-ouest de la ville ont été longtemps localisés dans ce bâtiment. En fait, c’était leur « résidence » entre 1915 et 1972. Puis, les employés de la Direction de la culture, des sports, des loisirs et du développement social de l’arrondissement ont installé leurs quartiers dans ces lieux. Toutefois, il y a sept ans, regroupement oblige, ils ont été délocalisés pour rejoindre leurs collègues au 555, rue Chabanel Ouest, entre autres.
Règlement d’emprunt
Plus tôt cette année, au conseil d’arrondissement, autrefois responsable de l’immeuble, les conseillers avaient adopté un règlement abrogeant celui par lequel le conseil avait préalablement autorisé un emprunt, en mars 2005, pour la réfection de la toiture du bâtiment.
L’arrondissement a prévu la tenue d’un registre (du 20 au 23 octobre au 555, Chabanel Ouest) comme l’exige la Loi sur les cités et villes, pour ceux qui veulent s’opposer au règlement abrogeant le règlement d’emprunt de 237 655 $ prévu à l’origine pour la réfection de la toiture. S’il y a 2114 personnes qui s’y opposent, il y aura référendum. Mais en pratique, on se demande qui s’opposerait à la mesure qui vise à épargner un montant d’argent étant donné que c’est l’éventuel promoteur qui devra prendre en charge les travaux sur le toit de la vieille caserne.
« L’abrogation doit suivre le même processus que celui de l’approbation du règlement », rappellent la Ville et l’arrondissement. (Par Alain Martineau et Christiane Dupont) (2014-10-17)
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ÉLECTIONS SCOLAIRES
MÉMO: deux candidats dans le nord de la ville
Le MÉMO vise la coupe
. L’équipe au pouvoir, le MÉMO, prête à se retrousser les manches face aux défis nombreux
La circonscription couvre un vaste territoire allant en gros de la rue St-Hubert à la limite ouest de Cartierville et de la Métropolitaine à la rivière. Jointe par journaldesvoisins.com, Mme Jorg, doctorante en anthropologie, sans oublier une expertise en coopération internationale (Haïti) et en ethnopsychiatrie, entre autres, a reconnu que les campagnes électorales sont toujours difficiles, elle qui en temps normal est déjà fort occupée : trois enfants (deux filles et un garçon âgés de 8, 11 et 13 ans), de nombreuses participations à des activités communautaires et un travail à temps partiel.
Campagne au ras du sol
Chantal Jorg, qui tenait une campagne de financement mardi soir dernier, s’est engagée à rencontrer le plus de parents possible des 15 écoles de la circonscription, d’ici le jour du scrutin, le 2 novembre. « Je consacre une quinzaine d’heures par jour à la campagne », a-t-elle confié au jdv. Je vais à la rencontre des parents à l’école, mais aussi dans les services de garde, dans les parcs et autres lieux publics. »
Mme Jorg prévoit un taux de participation plus élevé que les 4 % obtenus en 2007. « Avec ce que j’entends, je prévois que plus de parents vont se déplacer cette fois. Il faut envoyer un message fort alors que circule l’hypothèse de l’abolition de commissions scolaires et les compressions budgétaires, a-t-elle fait remarquer. Pourtant, l’éducation est un service essentiel. Et il est important de préserver la démocratie scolaire et faire entendre la voix des citoyens », a martelé Mme Jorg.
La jeune femme qui a à cœur l’éducation dit partager les mêmes valeurs que le MÉMO avec le parti pris pour l’école communautaire qui développe notamment des projets tels les jardins, l’embellissement des cours d’école ou les repas santé à l’école. Elle aime rappeler aux gens qu’elle rencontre que c’est l’école qui fait le lien avec la communauté.
Engagement communautaire
Chantal Jorg est fortement engagée dans son quartier. Elle a siégé au sein de divers organismes. Elle a été longtemps présidente du conseil d’établissement de l’école alternative Atelier, localisée dans l’autre circonscription, dans le secteur de Saint-Michel et Sauriol.
Aujourd’hui, Chantal Jorg est vice-présidente de Solidarité Ahuntsic, qui chapeaute divers groupes communautaires, présidente du Jardin communautaire Sault-au-Récollet et vice-présidente du Comité logement Ahuntsic-Cartierville, entre autres. « Mon implication politique est dans la suite logique de mon engagement communautaire », a répété Mme Jorg.
Disant avoir bénéficié de l’appui de divers organismes dans sa vie, aujourd’hui, elle retourne l’ascenseur en participant à son tour, même si elle demeure très occupée. Mais maintenant, elle veut ajouter une autre corde à son arc, devenir commissaire scolaire alors que des débats majeurs sont en cours. L’an dernier, elle était battue comme candidate de Vision Montréal toujours dans le nord de la ville.
Ahuntsic-Est-Saint-Michel
À l’est d’Ahuntsic, et avec un territoire englobant non seulement le quartier Saint-Michel, mais le domaine Saint-Sulpice, avec la refonte de la carte électorale, on retrouve pour le MÉMO, Mohamed Maazami. Il est d’ailleurs le commissaire scolaire sortant.
En cours de mandat, M. Maazami avait remplacé un commissaire scolaire MÉMO qui a décidé de retourner aux études. Mohamed Maazami a lui aussi une longue feuille de route en tant que citoyen engagé dans sa communauté.
Il a aussi siégé au conseil d’administration de différents organismes : la Maison de la famille, le CPE Le Camélia, la Joujouthèque Saint-Michel, etc. Ce père de six enfants mène depuis longtemps un combat contre le décrochage scolaire.
Combat au décrochage
« Il faut aller plus loin que ce qui s’est fait jusqu’ici », dit-il en entrevue au jdv. Le décrochage scolaire est un véritable fléau que l’on doit combattre. » Pour lui, d’abord, il est essentiel que tout l’entourage de l’adolescent ou de l’adolescente contribue afin qu’il garde le cap sur l’école.
« Il faut un partenariat, un triangle avec à un bout le parent, puis l’école et la communauté aux autres extrémités », a expliqué celui qui a aussi présidé le conseil de trois écoles de quartier et qui s’est engagé pour le maintien des jeunes à l’école.
En deuxième lieu, il plaide pour un suivi serré de l’élève avec, entre autres, l’aide au devoir et le tutorat. « Il faut des intervenants lors de phases de difficultés majeures », a soutenu le commissaire scolaire.
Il y a trois ans, il avait créé le Phare de l’espoir, un organisme à but non lucratif, dont la mission est la persévérance scolaire et la lutte au décrochage. Avec des bénévoles du niveau universitaire, il vient en aide aux jeunes des écoles primaires et secondaires
Engagements pour l’avenir
De l’avis de M. Maazami, il est donc possible de faire plus et de montrer que l’on peut être efficace dans ce combat dont on parle peut-être un peu moins qu’il y a 15 ans par exemple. « Il faut que l’élève utilise tous les outils qu’il a sa disposition », a martelé celui qui est confiant pour le soir du 2 novembre.
Mais c’est, selon lui, tôt pour célébrer. Il pense d’abord à la nécessité de mettre la main à la pâte, à commencer par les parents, pour s’assurer de la réussite scolaire des élèves. « J’ai mal au cœur quand je vois certaines choses », mentionne-t-il, faisant allusion aux risques de compressions draconiennes exigées par Québec.
En conséquence, il s’engage à maintenir l’aide aux devoirs dans les écoles, à lutter contre l’intimidation, sécuriser les corridors, donner accès aux gymnases toute l’année pour des activités physiques et culturelles, notamment. Et assurer la réussite scolaire des élèves demeure sa priorité. (Par Alain Martineau) (2014-10-17)
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Sécurité ferroviaire
Selon Maria Mourani, des normes fédérales doivent être adoptées afin d’éviter d’autres tragédies comme celle de Lac-Mégantic
La députée d’Ahuntsic a ainsi interpellé le gouvernement fédéral sur la nécessité, selon elle, d’établir une distance minimale entre toute nouvelle construction et les voies ferrées au Canada. Un enjeu crucial de sécurité publique pour Mme Mourani sur lequel elle est revenue en entrevue avec le jdv.
Citant un rapport de mai 2013 de la Fédération canadienne des municipalités qui recommande une distance minimale de sécurité de 30 mètres entre la construction de nouveaux immeubles et une ligne principale de chemin de fer, la députée d’Ahuntsic a invité le gouvernement fédéral à mettre en place des règles qui prévaudraient pour toutes les municipalités. Ce faisant, Mme Mourani a indiqué au jdv s’être fait l’écho des municipalités, dont certaines déplorent l’absence d’une juridiction sur le sujet pour l’ensemble du Canada. « J’ai eu des discussions avec des partenaires municipaux, de la Ville de Montréal notamment, et on m’a sensibilisée au fait qu’il y avait un rapport qui avait été fait par les municipalités […] mais que chaque municipalité décidait un petit peu de ce qu’elle voulait faire elle-même. Il n’y avait pas une norme nationale qui était établie. »
Selon Mme Mourani, le besoin d’une législation fédérale sur ce point se fait sentir et doit être entendu par le gouvernement. « Je dis au gouvernement fédéral, oui l’aménagement du territoire c’est de juridiction municipale, mais vous n’avez pas à vous cacher derrière cela pour ne pas prendre vos propres responsabilités qui sont d’établir des normes minimales de distance en matière de transport, particulièrement pour les voies ferrées. Ça, c’est de votre juridiction. »
Préoccupation citoyenne
La députée a confirmé au jdv avoir relevé de l’inquiétude chez certains Ahuntsicois depuis la catastrophe de Lac-Mégantic. « Ce qui s’est passé à Lac-Mégantic, ça a choqué le Québec, ça a eu un impact dans notre mémoire collective, donc les gens sont préoccupés. C’est sûr que dans Ahuntsic nous avons des chemins de fer et, oui, il y a des citoyens qui m’ont interpellée, surtout […] quand il y a eu ce drame-là. […] Il y a eu une préoccupation citoyenne qui s’est davantage exprimée, que ce soit par courriels, au moment où il y a eu le Lac-Mégantic, mais je dirais que, de manière assez récurrente, les gens en parlent », a expliqué Mme Mourani.
Peut mieux faire
Du côté d’Ottawa, la députée d’Ahuntsic explique ne pas encore avoir « eu grande réponse », après avoir posé sa question, le secrétaire parlementaire du ministre des Transports ayant alors « renvoyé un peu la balle du côté des municipalités ». « Or, on sait que les municipalités n’ont pas toutes les mêmes règles, même si on sait que la Fédération canadienne des municipalités a établi une règle. Cela n’oblige pas les municipalités à la respecter. Elles font ce qu’elles veulent. Et ça, c’est une préoccupation, c’est sûr, pour certaines municipalités qui considèrent qu’il faudrait qu’il y ait une norme nationale », a souligné Mme Mourani.
Outre la question de la distance minimale, la députée estime qu’il y a également d’autres aspects sur lesquels le gouvernement fédéral devrait se pencher. « Il y a toute la question de la responsabilité. On a vu malheureusement ce qui s’est passé à Lac-Mégantic, comment le propriétaire rejetait un petit peu la faute sur les travailleurs, on a vu que les gens se lançaient la balle. Il y a des choses à faire à ce niveau-là. […] Il faudrait étudier la possibilité d’un fonds qui serait financé par les compagnies ferroviaires – un peu comme un pot commun – qui permettrait, lorsqu’il y a des catastrophes comme ça, de pouvoir réagir rapidement au niveau monétaire. Ça pourrait être une solution. Je pense qu’il faudrait analyser tout ce qui s’est passé et envisager des solutions concrètes pour l’avenir : comment faire pour pallier ce genre de crises humanitaires là?».
La députée d’Ahuntsic déplore d’ailleurs que, à la suite de la tragédie de Lac-Mégantic, il n’y ait pas eu « davantage d’analyses de ce qui s’est passé pour aboutir peut-être à de meilleures […] façons de réagir ». « Oui, il y a enquête, oui il y a des gens qui se retrouvent devant la justice, mais la grande question que l’on doit se poser à partir de tout ce qui s’est passé : qu’est ce que nous, au niveau fédéral, on peut faire pour améliorer nos façons de faire, pour aussi avoir des fonds que ce soit pour être donné aux victimes, que ce soit pour les réparations? Oui, c’est vrai que le fédéral a débloqué quelques fonds, mais qu’est ce que les compagnies elles-mêmes font dans ce genre de catastrophes-là? » a insisté Mme Mourani. Un dossier que la députée entend donc bien continuer à faire avancer à la Chambre des communes. (Par Rabéa Kabbaj) (2014-10-17)
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Chez nos voisins… Inauguration en grande pompe
Projet majeur dans le nord de la ville pour les personnes ayant besoin de soins en fin de vie
L’ajout d’un bâtiment moderne et de nouvelles installations se retrouvaient dans un projet de quelque 35 millions de dollars, dont 24 millions pour la seule unité des soins palliatifs. C’était un objectif que caressait Mère Pierre Anne Mandato, soit celui d’ajouter une « ressource inestimable » pour les personnes en fin de vie et leurs proches dans la grande région de Montréal.
La Congrégation des Sœurs de Charité de Sainte-Marie, de la Fondation de l’hôpital Marie-Clarac, le milieu des affaires et le grand public ont injecté environ 30 millions pour concrétiser le projet.
Le gouvernement du Québec, comme l’a souligné la députée de Crémazie Marie Montpetit, a consenti une subvention de 5 millions de dollars. De plus, le gouvernement, par le biais du ministère de la Santé et des Services sociaux, a aussi prévu un budget opérationnel annuel pour chaque lit de l’institution.
Immeuble moderne
Le bâtiment de trois étages compte 18 chambres de soins palliatifs. Il y a aussi 27 lits dits polyvalents, un centre de traitement en physiothérapie et en réadaptation, un centre de radiologie, une clinique médicale et une clinique gériatrique, entre autres.
Pour la facilité d’accès et l’environnement extérieur, on a prévu deux paliers de stationnement intérieur et des jardins. Le nouveau pavillon, un immeuble coloré, se trouve dans le complexe de l’Hôpital Marie-Clarac. Les promoteurs du projet ont insisté pour que le centre dispose d’espaces nécessaires pour les patients et leur famille, dont des cuisinettes.
50 ans, déjà!
À l’aube de ses 50 ans, l’Hôpital Marie-Clarac tenait à rendre hommage à sa fondatrice et première directrice générale, Mère Anselme Marie Parisotto, religieuse de la congrégation italienne des Sœurs de Charité de Sainte-Marie, en nommant à sa mémoire le nouveau Pavillon.
De nombreux invités étaient sur place dont le nonce apostolique au Canada, son Excellence Luigi Bonazzi, de même que Mgr Christian Lépine, archevêque de Montréal, et Mère Myriam Sida, supérieure de la Communauté des Sœurs de Charité de Sainte-Marie.
Objectif atteint
La présidente-directrice générale de l’Agence de la santé et des services sociaux de Montréal, Patricia Gauthier, également sur place, a affirmé que l’organisme tablait sur l’ajout de 197 lits en soins palliatifs, objectif qui sera atteint et même dépassé (de trois lits) en 2015, car le CHSLD Notre-Dame-de-la-Merci dans Ahuntsic ajoutera pour sa part huit lits dans ce créneau au cours de l’hiver..
Interrogée sur l’impact des mesures d’optimisation (ou de compression), Mme Gauthier a indiqué que les soins palliatifs ne seront pas touchés. Bref, le nord de Montréal, dont Ahuntsic, profite de l’accroissement de lits en soins palliatifs. (Par Alain Martineau) (2014-10-17)
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SDC Quartier Fleury Ouest: un nouveau nom à retenir
L’arrondissement autorise la création d’une SDC sur FLO
« À la suite du scrutin référendaire tenu le dimanche 5 octobre 2014, vingt-huit (28) contribuables ont indiqué un vote positif alors que vingt-deux (22) ont indiqué un vote négatif à la question suivante : « Approuvez-vous la requête pour la constitution de la
Société de développement commercial Quartier Fleury Ouest?« . Considérant que plus de cinquante pour cent (50 %) des contribuables ayant voté ont indiqué qu’ils y sont favorables, le conseil peut adopter une résolution pour autoriser la constitution de la société », peut-on lire dans le sommaire décisionnel du conseil d’arrondissement dévoilant les résultats du scrutin.
Une victoire sans surprise pour Marie Bouchard, consultante pour l’Association des gens d’affaires de Fleury Ouest (FLO), au regard du soutien qu’avait rencontré l’association cet été au moment du dépôt de sa requête. « On peut estimer que c’est un Oui assez fort », a noté Mme Bouchard.
Quartier Fleury Ouest
À la fin de l’année, l’association va donc être dissoute pour laisser place à partir de 2015 à la SDC Quartier Fleury Ouest. « Ça change de nom. Pour l’instant, ça va s’appeler Quartier Fleury Ouest, parce que ça englobe le quartier et ça touche une partie de Saint-Laurent avec les quatre commerces aux quatre coins de Saint-Laurent et Fleury » a expliqué Mme Bouchard au jdv.
Le conseil d’arrondissement de la nouvelle SDC sera élu quant à lui au cours d’une assemblée générale dont la date n’a pas encore été fixée, mais qui devrait se tenir, en novembre, d’ici à trois semaines approximativement. « La prochaine étape a expliqué Mme Bouchard, c’est vraiment l’assemblée générale de constitution et, à partir de là, il va y avoir élection des membres du conseil d’administration. Il va y avoir au total neuf administrateurs au c.a. et parmi les neuf il y en a six qui vont être élus le soir de l’AG. »
Mme Bouchard a souligné que tous les commerçants qui font partie de la rue Fleury sont invités à l’assemblée générale. « Il va y a voir des gens qui vont se présenter pour être au c. a et s’il y a plus que six personnes, automatiquement il va y avoir des élections », a résumé Mme Bouchard. Au total sur neuf membres, le c. a englobera six membres élus, deux membres nommés et un représentant de la Ville de Montréal. La nouvelle SDC représentera 90 commerces.
Avantages de la SDC
D’après Marie Bouchard, la création de la SDC permettra un plus grand rayonnement de la rue Fleury Ouest et l’organisation d’activités en plus grand nombre. « En ayant une SDC, ça permet à la rue commerciale d’entretenir des contacts avec l’arrondissement pour faire des demandes en matière de propreté, de sécurité, d’événements, a ajouté Mme Bouchard. Avec la nouvelle SDC il va y avoir plus de ressources pour la coordination et la réalisation des activités. C’est sûr que la SDC va vraiment bénéficier d’un plus grand budget qui va lui permettre d’engager des ressources pour agir », a estimé la consultante de FLO, en soulignant notamment que la SDC Quartier Fleury Ouest recevra une contribution annuelle de 60 000$ de la Ville et que l’ensemble des commerçants cotiseront chacun un montant de 500 $ annuellement. (Par Rabéa Kabbaj) (2014-10-17)
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Sous peu sur Papineau, entre Charland et Crémazie
Nouvelle limite de 50 km/heure
« Ce sera effectif quand les panneaux seront installés, a mentionné la conseillère Émilie Thuillier, interrogée par le jdv. Actuellement, les gens doivent rouler à 50 km/h avant et après ce passage-là de Papineau. L’arrondissement va se coordonner avec celui de St-Michel-Parc-Extension pour que la vitesse soit également diminuée direction nord. »
Il est important de mentionner que la rue Papineau relève des deux arrondissements; côté ouest, d’Ahuntsic-Cartierville, et côté est, de St-Michel-Parc-Extension.
Il n’y a pas si longtemps, nous rappelait Mme Thuillier, les automobilistes pouvaient rouler à 70 km/h sur Papineau, ce que d’aucuns appelaient « l’autoroute Papineau ». (Par Christiane Dupont) (2014-10-17)
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Lettre ouverte reçue cette semaine
La propreté dans Ahuntsic (Catherine Tremblay)
Cliquez ici pour lire les « Lettres ouvertes »
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Ne manquez pas…
Notre journal papier d’octobre-novembre
C’est un complément à nos Actualités hebdomadaires, un journal où vous retrouverez des reportages inédits de nos journalistes et des textes savoureux de nos chroniqueurs.
Au menu, cette fois-ci : un tour d’horizon des logements insalubres de la rue Ranger (tout ce que vous avez toujours voulu savoir, mais n’avez jamais osé demander!); la présentation de celui qui dirige l’équipe de fonctionnaires de l’arrondissement depuis plus de cinq ans; une Belle rencontre avec l’animateur et journaliste de l’émission « Enquête », Alain Gravel; une « initiation » aux élections scolaires qui se dérouleront à Montréal le 2 novembre; une chronique horticole sur l’ouverture… et non la fermeture du potager pour l’hiver; une recette marrante pour les petits voisins à l’occasion de l’Halloween.
Tant qu’à parler de l’Halloween, découvrez la menace qui plane sur les chauves-souris, dans la chronique urbaine de quartier. Nos voisins venus du vaste monde nous feront connaître, cette fois-ci, une famille d’origine syrienne et libanaise qui est heureuse de vivre en paix dans le quartier. Vous avez de faux besoins, de vrais besoins? Apprenez-en plus à ce sujet dans la chronique Éco-pratico. Pour nos Aînés actifs, journaldesvoisins.com a pensé vous présenter la M.A.D.A. ; vous ignorez ce que c’est? Lisez l’article!
Tout ça, et encore plus, dans notre bimestriel papier de 28 pages de l’automne dont la distribution commence ce week-end et se poursuivra le week-end prochain! Bonne lecture!
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BRÈVES…BRÈVES…BRÈVES…BRÈVES…BRÈVES…BRÈVES…
LE COIN COMMUNAUTAIRE
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Formation – Initiation a la bibliothèque numérique
Bibliothèque de Cartierville le 24 octobre à 13 h 30. Inscriptions : 514 872-6989.
Offres de bénévolat – Vous souhaitez vous impliquer dans le quartier et vous aimeriez avoir des suggestions d’offres? Le Centre d’action bénévole de Bordeaux-Cartierville a mis sur pied le Nota Bene: un envoi mensuel d’offres de bénévolat. Pour vous inscrire et recevoir à tous les mois les possibilités, 514 856-3553 poste 4 ou agentliaison@cabbc.org (Source CABBC)
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Mobile. L’équipe d’animation de Ville en vert vous proposera également des
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Horaire d’octobre
• Les mercredis à l’école de la Visitation de 15 h à 16 h 30
• Les jeudis au Collège Ahuntsic (dans le stationnement
derrière le collège, accès par la rue Émile-Journault) de 12 h à 14 h
• Les jeudis à l’école Saint-Simon-Apôtre de 15 h à 16 h 30
• Les vendredis à l’école Saints-Martyrs-Canadiens de 15 h à
16 h 30
Information : 514 447-6229 (Source : Ville en vert)
LE COIN DES COMMERÇANTS
La Promenade Fleury
Fleury Ouest
(Photos : Élaine Bissonnette)
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COMMERÇANTS ET GENS D’AFFAIRES D’AHUNTSIC-CARTIERVILLE
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Cours de Thé, Par Tanina, 19 octobre, 2014 à 18h00 · 25$
Trio Cardinal, Par Christian Cardinal, Olivier Nicolas & François Gervais, 21 octobre, 2014 à 18h00 · 0$
Trio Martin Bellemare, 22 octobre, 2014 à 18h00 · 0$
Soirée Tzigane, Par Sergeï & Olga Trofanov, 23 octobre, 2014 à 18h00 · 44.95$ *
Mémorables Mélodies, Par Jocelyn St-Jean, 24 octobre, 2014 à 18h00 · 42.95$ *
Hommage à Piaf, Par Angélique Duruisseau et Marc-André Cuierrier, 25 octobre, 2014 à 18h00 · 44.95$ *
* Souper spectacle. Au Rendez-Vous du Thé, réservations : 514 384-5695
17 octobre à 15 h 30, 14 novembre à 15 h 30, 12 décembre à 15 h 30. Les places sont limitées. Pour y participer, il faut réserver en téléphonant au 514 872-6989 ou en se présentant directement au 5900, rue De Salaberry.
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- Premier prix, catégorie Opinion, pour « Le bien des autres », éditorial du bimestriel papier de décembre 2013, aux prix de l’AMECQ
- Gagnant d’une bourse de 5 000 $ au concours Entreprenez à Ahuntsic-Cartierville, édition 2014
- Mention « Coup de coeur du jury » au Concours québécois en entrepreneuriat, CQE Est de Montréal, édition 2014
- Participant à la finale régionale de Montréal au Concours québécois en entrepreneuriat, édition 2014, dans la catégorie « économie sociale »
Journaldesvoisins.com est un journal communautaire d’information fait par des résidants et pour les résidants d’Ahuntsic-Cartierville, et dont le siège social se trouve à Ahuntsic. Notre journal est un bimestriel papier, mais surtout un journal en ligne, chaque vendredi, avec les Actualités hebdomadaires d’Ahuntsic-Cartierville qui se consultent sur le Web à: www.journaldesvoisins.com
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