Les Actualités du 22 aout 2014

Même si l’été bat toujours son plein, la Ville de Montréal a annoncé le week-end dernier les gagnants d’un concours informatique visant à développer une application pour mieux informer les citoyens sur les opérations de déneigement lors de tempêtes de neige. D’ici le mois de novembre, les arrondissements d’Ahuntsic-Cartierville, de Ville-Marie, de Villeray-Saint-Michel-Parc-Extension et de Hochelaga-Maisonneuve pourront essayer ce nouveau service.

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« Cette application novatrice sera fonctionnelle dès la première neige et nous sommes confiants que celle-ci simplifiera grandement les inconvénients liés aux tempêtes hivernales », dit Anie Samson, vice-présidente du comité exécutif responsable de la sécurité publique et des services aux citoyens de la Ville de Montréal.

Parmi les 52 équipes inscrites, huit équipes finalistes ont présenté leur application technologique ainsi que leur modèle d’affaires. La Ville voulait voir de quelle façon chaque groupe mettrait en valeur la progression du déneigement. Un autre critère important était la gratuité de l’application.

La Ville a ensuite octroyé trois bourses (5000$, 3000$ et 1000$) aux équipes qui ont soumis les meilleurs prototypes. L’entreprise qui a été sélectionnée et qui devrait obtenir un contrat d’une valeur de 25 000$ de la Ville de Montréal pour finaliser son application, est Logiciels Héritage.

Une application simple et conviviale

Les cinq jeunes de cette entreprise montréalaise pensaient déjà aux besoins informatiques des municipalités et planchaient sur quelques idées lorsque le concours a été annoncé. « On croit qu’il y a beaucoup d’inefficacité dans les communications des villes et qu’elles ne sont pas très bien desservies en terme d’applications mobiles », explique Gregory Cerallo, de Logiciels Héritage.

L’application créée par son entreprise permettra aux personnes ayant un téléphone intelligent de recevoir une notification poussée (Push notifications) qui les avertira lorsque viendra le moment de bouger sa voiture pour laisser passer les camions de déneigement. Un produit simple, mais très utile !

« On n’a pas nécessairement pensé à ce que la Ville veut avoir, mais plutôt à comment créer une expérience facile et intéressante pour l’utilisateur. On a par exemple pensé au fait que les utilisateurs porteront probablement des gants ou des mitaines, et qu’ils ne voudront pas avoir à entrer de nombreuses données pour avoir accès à l’information dans l’application », explique Gregory Cerallo.

De plus, les gens pourront voir sur une carte le progrès de l’opération déneigement.
« Quand on dit que le déneigement est fini à 80%, les gens pourront le constater eux-mêmes », explique le conseiller municipal de Bordeaux-Cartierville et responsable de la Ville intelligente à la Ville de Montréal, Harout Chitilian. Il ajoute que ce type de projet démontre la volonté de la Ville à être plus transparente.

Héritage négociera maintenant les détails du contrat. Gregory Cerallo espère que l’application sera appréciée par le public et qu’un succès cet hiver permettra ensuite de convaincre d’autres arrondissements et même d’autres villes d’adopter l’application.

Des économies, un déneigement plus rapide

Harout Chitilian souhaite de son côté que l’application permette non seulement aux citoyens d’éviter des contraventions et des remorquages, mais qu’elle aide aussi la Ville à nettoyer les rues beaucoup plus rapidement.

La Ville aura dépensé environ 44 000$ pour le développement de cette application, dit M. Chitilian. Une petite somme qui permettra en fait à la Ville d’économiser. « Les gens pensent qu’on fait de l’argent avec les remorquages pendant le déneigement. Le 50$ (d’une contravention) ne couvre même pas l’argent que ça nous coûte en délais occasionnés. »

Il rappelle que la Ville remorque en moyenne 5000 véhicules lors de chaque opération de déneigement et près de 20 000 au cours de l’hiver.

Un concours qui a stimulé la créativité

Si une seule application sera retenue par la Ville de Montréal, Harout Chitilian dit qu’il ne serait pas surpris de voir d’autres applications apparaître l’hiver prochain.

Ce type de concours a permis aux entrepreneurs de démontrer leur créativité et leur innovation. « L’application qui va prévaloir et celle qui va survivre est celle que les citoyens utiliseront le plus! »

Pour sa part, Gregory Cerallo croit que ce concours est une façon pour la Ville de démontrer son leadership au niveau technologique. « C’est incroyable de voir que la ville de Montréal porte une attention aux applications. »

Enfin, Harout Chitilian espère que l’application Info-Neige pourra être modifiée par la suite pour être utilisée à longueur d’année. « Les citoyens nous disent que les affiches d’interdiction de stationnement peuvent être mêlantes. On pourrait, par exemple, permettre aux citoyens de savoir si la place où ils se stationnement est valide grâce à une application. »

(Par Mélanie Meloche-Holubowski)

Suite à la manifestation pour le moins musclée menée lundi dernier par une centaine d’employés municipaux, le Journal des Voisins a recueilli les commentaires de quelques-uns des élus de l’arrondissement d’Ahuntsic-Cartierville.

Rappelons que la plus récente séance du conseil municipal de Montréal a été perturbée, lundi dernier, lorsqu’une centaine d’employés municipaux manifestant contre le projet de loi sur les régimes de retraite a fait irruption à l’hôtel de ville pour y commettre un véritable saccage des lieux. Trois gardiens de sécurité ont été blessés lors de ces événements qui se sont déroulés sous le regard indifférent d’une demi-douzaine de policiers qui assistaient à la scène les bras croisés.

Rejoint cette semaine, le maire de l’arrondissement d’Ahuntsic-Cartierville, Pierre Gagnier, était présent au conseil lors de l’incident. « C’est déplorable », lance-t-il d’emblée. « C’est toute la population qui est victime. Ce n’est pas la façon de faire les choses. »

M. Gagnier n’a pas été rudoyé personnellement, mais il a quand même reçu quelques verres d’eau. « J’ai alors rapidement rangé mon ordinateur portatif et j’ai quitté la salle. Il y avait des papiers partout. […] C’était hors de contrôle… »

Au niveau de l’arrondissement, M. Gagnier nous a affirmé qu’aucun incident relié aux moyens de pression des employés municipaux n’avait été signalé jusqu’à présent. Selon lui, les services aux citoyens ne seraient présentement pas menacés non plus.

Pour sa part, Harout Chitilian est arrivé dans la salle du conseil quelques minutes après la manifestation. « La salle était sens dessus-dessous. C’était désolant », raconte-t-il. Le conseiller de Bordeaux-Cartierville croit que cette manifestation, qu’il qualifie lui aussi de saccage, est inexcusable et nuit à la cause des employés municipaux.

« J’ai toujours pris pour la démocratie et pour la liberté d’expression des citoyens, et le droit de manifester est ancré dans nos vies. Mais en même temps, lorsqu’on s’attaque à certains symboles (NDLR: l’hôtel de ville), il va y avoir une réaction de la population. »

Harout Chitilian aimerait plutôt voir les syndiqués manifester à l’extérieur de l’hôtel de ville, en tout légitimité. Il rappelle toutefois que ces manifestants ne représentent pas tous les travailleurs de la Ville de Montréal. « Ce n’était pas généralisé », dit-il, ajoutant que ce sont des employés municipaux qui ont aidé à nettoyer les dégâts par la suite.

Il rappelle que le gouvernement provincial est celui qui mène le projet et que les audiences permettront de faire connaître les doléances de tous les partis concernés.

Toujours selon M. Chitilian, les employés municipaux n’auront probablement pas le choix que de se serrer la ceinture et d’accepter le projet de loi. « Il faut faire des choix de société difficiles pour assurer la pérennité des régimes de retraite ». Le conseiller estime que la situation économique ne permet pas aux municipalités d’accepter le status quo. « C’est une question de respecter la capacité des contribuables de payer et d’assurer une équité intergénérationnelle. »

Quant aux menaces de grève, M. Chitilian demande aux employés municipaux de « laisser le temps faire son travail. »

(Par François Barbe et Mélanie Meloche-Holubowski)

Organisé par le CRÉCA dans le cadre du Chantier Retour aux Études de la table de concertation Solidarité Ahuntsic, le projet aura permis à une douzaine de jeunes décrocheurs de 16 à 25 ans de demeurer actifs en participant à une série d’ateliers d’expression, de formations multimédias et de rencontres diverses.

En à peine 10 semaines, les participants auront ainsi pu réaliser un projet collectif qui leur tenait à cœur, dans ce cas la production d’un vidéo de musique. Pour découvrir le résultat de leur été de travail, cliquez ici et ici.

Devant la réussite du projet, l’équipe du CRECA prévoit organiser une 2e édition de Trace ton Toi dès septembre avec une nouvelle équipe de participants.

(Par François Barbe)

Dans le cadre de la campagne 100 % Vigilant, les policiers des postes de quartiers locaux tiendront ainsi diverses activités de sensibilisation auprès des écoliers du primaire. Des opérations de contrôle seront également menées aux abords des zones scolaires en vue de faire respecter les limites de vitesse et les règles relatives aux traverses de piétons, aux feux de circulation et aux arrêts obligatoires. Le tout se déroulera en partenariat avec les différents intervenants impliqués directement ou indirectement dans la sécurité des jeunes: brigadiers scolaires, chauffeurs d’autobus scolaires, directions d’école, etc.

Que l’on se déplace à pied, à bicyclette ou en transport scolaire, il est primordial de s’assurer de voir, d’entendre et d’être vu par les automobilistes. Respecter le Code de la sécurité routière, emprunter les rues corridors, traverser aux intersections avec le brigadier et utiliser les passages pour piétons protégés par un feu de circulation ou un arrêt sont également des règles qu’il importe d’apprendre à respecter dès le plus jeune âge.

Aménagement routier et signalisation

Par ailleurs, les policiers profiteront de la tenue de 100% Vigilant pour assurer un suivi auprès de l’arrondissement en matière de signalisation, de même qu’en ce qui a trait à la visibilité des différents marquages de la chaussée, particulièrement aux traverses couvertes par les brigadiers scolaires. Les policiers comptent également maintenir un contact privilégié avec les directions d’écoles dans le but de résoudre les diverses problématiques de sécurité routière à proximité des zones scolaires.

Notons que l’opération 100% Vigilant se tient depuis 2012 grâce au soutien financier de la Société de l’assurance automobile du Québec (SAAQ). La campagne ne cible pas les usagers en tant que tels (il ne s’agit pas d’un simple blitz de distribution de contraventions…), mais plutôt les comportements qu’ils doivent adopter.

Outils de sensibilisation en ligne

Afin d’aider les parents à sensibiliser leurs enfants à la sécurité routière, la section jeunesse du site web du SPVM ainsi que la SAAQ et l’Association du transport écolier du Québec vous proposent quelques ressources en ligne intéressantes (cliquez pour visiter) :

– À l’école en toute sécurité – Conseils aux écoliers 
– Je joue – Flik interactif 
– J’apprends à être prudent à pied
– Les aventures de Sam et Bloup

Finalement, l’organisme CAA a produit un excellent vidéo sur le travail des brigadiers scolaires. Pour le visionner, cliquez ici.

(Par François Barbe)

Suite à notre reportage sur le prix remis à l’arrondissement dans le cadre du Défi Renaissance (voir notre reportage dans les actualités de la semaine dernière), le maire d’Ahuntsic-Cartierville, Pierre Gagnier, nous a confié cette semaine qu’un grand ménage des boîtes de don avait été fait sur le territoire de l’arrondissement au cours de la dernière année.

Depuis un an ou deux, plusieurs reportages  (NDLR: dont celui du jdv le 13 juin dernier) ont fait état d’entreprises plus ou moins scrupuleuses qui installaient des boîtes de don un peu partout à Montréal dans le but de ramasser vêtements et autres objets réutilisables. Sans prétendre être des organismes de bienfaisance, ces entreprises se gardaient bien d’afficher leurs motivations purement commerciales, allant parfois même jusqu’à imiter les boîtes de véritables OBNL. Les objets récoltés étaient ensuite revendus au seul profit des entreprises en question.

Pour lire l’article sur ce sujet publié par journaldesvoisins.com en juin dernier, cliquez ici et roulez votre curseur vers le bas

(Par François Barbe)

(Par Mélanie Meloche-Holubowski)

De nombreux camions de bouffe de rue seront également sur place pour régaler les affamés entre deux achats.

Le Souk aura lieu de 10 h à 17, à l’église Notre-Dame-des-Anges (5689 boulevard Gouin Ouest) et dans le stationnement de la Banque Nationale (5990 boulevard Gouin Ouest).

Les Souks sur Gouin Ouest sont réalisés dans le cadre de la démarche de RUI du secteur «Laurentien-Grenet», Bâtir ensemble un quartier à notre image, pilotée par le CLIC de Bordeaux-Cartierville en collaboration avec la CDEC Ahuntsic-Cartierville.

(Par Mélanie Meloche-Holubowski)

Se disant vivement préoccupée par la situation des minorités religieuses dans cette région du globe, particulièrement en Irak et en Syrie, Mme Mourani s’est faite la porte-parole des citoyens de sa circonscription pour demander au Gouvernement Canadien de prêter secours aux populations en détresse.

« Que ce soit au village chrétien de Maoula (Syrie), au village arménien de Kessab (Syrie), à Mas-soul (Irak), Qaragosh (Irak), Takyf (Irak), Bartella (Irak), la communauté internationale a été témoin de persécution et d’actes terroristes visant des civils pour des motifs religieux. On y rapporte l’assassinat de civils, des expulsions par la terreur, des destructions de lieux saints, l’enlèvement de jeunes filles pour fins d’esclavage. Tous ces villages se caractérisaient par le fait qu’une population de confessions religieuses diverses y vivait ensemble en paix », déplore la députée.

« Récemment, l’Union européenne n’hésite plus à qualifier plusieurs actes des djihadistes […] de crimes contre l’humanité. De plus, le pape François presse la communauté internationale afin qu’elle se mobilise pour mettre fin aux drames humanitaires en cours et à assurer l’aide nécessaire », poursuit-elle dans sa lettre.

« Aussi, Monsieur le Premier Ministre, il est plus qu’urgent de soutenir toutes actions autorisées par les Nations unies visant à prêter secours à ces minorités et à accueillir plus de réfugiés victimes de ces exactions », conclut Mme Mourani.

Parents-Secours offre un réseau de gens qui peuvent venir en aide aux enfants et aux aînés en détresse, qu’ils soient perdus, malades, blessés, poursuivis ou agressés. Le comité se réunit environ aux cinq semaines. Les bénévoles aideront entre autres à la vérification de dossiers des participants et à la visite de foyers pour s’assurer qu’ils sont conformes, explique Marie-Claude Laurin, du comité.

Mme Laurin espère surtout, qu’avec plus de bénévoles, Parents secours pourrait être plus présent dans les écoles. « Il y a beaucoup d’enfants qui ne savent pas ce qu’est Parents secours. Nous devons faire plus de sensibilisation. » 

Saviez-vous que Parents Secours existe depuis 1977? Sainte-Thérèse, Laval et Pincourt furent les premières villes québécoises à adhérer au programme. Le concept a été instauré après la disparition d’un jeune garçon. 

Les instigateurs se sont inspirés d’une initiative d’un groupe de femmes de London, en Ontario. Lors de son incorporation en 1978, Parents secours comptait 89 comités au Québec.

Pour être bénévole au sein du comité, on peut joindre Marie-Claude Laurin au 514-993-3229 ou par courriel à ahuntsic@parentssecours.ca.

Une fois qu’on connaît mieux les besoins de notre plant, il est bon d’explorer davantage la qualité du sol. On doit s’assurer que le sol est en mesure de nourrir la plante et donc, il revient au jardinier de bien nourrir le sol ! Le sol, nous l’avons vu, doit être bien vivant et pour ce faire, il nécessite, comme nous d’ailleurs, un apport d’oxygène, d’eau et de nourriture (éléments nutritifs). Vérifiez que le sol ne soit pas trop compact (manque d’air) et qu’il contienne suffisamment de matière organique (capacité de rétention et de drainage de l’eau, et apport d’éléments nutritifs). Un sol compact sera difficile à pénétrer, même avec une pelle. Un sol pauvre aura tendance à être pâle et dépourvu d’agrégats (petits « mottons » de terre qui se tiennent). Le compost et le paillis sont d’excellents moyens de garder votre sol vivant. Bien entendu, si votre plante demande un sol pauvre et compact, ignorez ce dernier paragraphe ! L’idée est de s’assurer que votre plante soit confortable et placée au bon endroit.

Une fois l’essentiel vérifié, il est toujours possible que vous ayez des pucerons dans votre plant préféré. En fait, il est même normal que vous en ayez. Les pucerons, ces insectes piqueurs/suceurs, sont munis d’un stylet ou d’une petite trompe, qui leur permet de se nourrir de la sève des feuilles, tiges, bourgeons et fleurs des plantes, et font, bien entendu, partie du décor de Dame Nature. Ils sont à la base de la diète de plusieurs autres insectes, ce processus qui entame le cycle de la chaîne alimentaire. Les pucerons sont d’habiles bestioles et ont la capacité de se reproduire copieusement, même par parthénogenèse, c’est-à-dire, sans l’intervention d’un mâle, quand le besoin se fait sentir !

Vous noterez d’abord leur présence, en colonie, et le miellat qu’ils sécrètent (des excréments collants et sucrés). En plus de laisser derrière leurs vieilles peaux (exuvies), leur présence excessive causera le recroquevillement des feuilles de vos plants, leur jaunissement (chlorose) et éventuellement la chute de celles-ci et l’avortement des bourgeons. Il est possible que vous notiez également un noircissement des feuilles qui est causé par un champignon qui accompagne communément le miellat sécrété par les pucerons, qu’on nomme fumagine. Vous avez aussi sans doute noté la présence énergétique de fourmis dans votre plant . Elles raffolent du miellat et protègent donc farouchement les pucerons !

1. Écrasez les pucerons avec vos doigts. Dégueu ! Peut­-être, mais très efficace !

2. Douchez le plant, sur et sous les feuilles, d’un jet d’eau relativement dru, sans endommager les fleurs. Les pucerons se délogeront.

3. Pensez à la biodiversité. Plus il y aura d’espèces de plantes différentes dans vos plates-bandes et cours, plus il y aura d’insectes « bénéfiques » (coccinelles, guêpes parasitoides, etc.) pour gober les pucerons et mieux se portera votre jardin en général.

4. Dans un même élan d’idées, mettez au cœur de vos plantations des plantes­pièges qui attireront les pucerons et les détourneront de vos plants vedettes. On peut penser aux capucines et aux calendulas, entre autres. Des plantes répulsives peuvent aussi être efficaces comme la menthe et la lavande.

5. Installez­-y des coccinelles que vous trouverez ailleurs dans votre jardin, qui sont d’excellentes prédatrices naturelles des pucerons. Vous pouvez même vous en procurer dans les magasins spécialisés. Quant à moi, je laisse un peu la nature aller, et après une saison où deux, dame coccinelle finit par apparaître comme par magie, et vient vite rétablir l’équilibre au jardin !

6. Vous pouvez appliquer un purin d’ortie ou encore de rhubarbe, qui sont naturels et très efficaces. Vous en trouverez les recettes sur ma page Facebook.

7. Ou tout simplement appliquer un savon insecticide, fait maison avec du savon à vaisselle, un peu d’huile et de l’eau. Le savon aura pour effet de déshydrater les pucerons.

8. Taillez les branches infestées.

9. Dans le cas des infestations plus graves, vous pouvez appliquer de l’huile de dormance, tôt au printemps, ce qui aura pour effet de « tuer le poussin dans l’œuf », et empêcher l’éclosion d’une nouvelle génération.

J’espère que ces petits conseils vous seront d’une certaine aide. Continuez à m’envoyer vos questions ! Au plaisir de faire votre connaissance dans un potager près de chez nous !

Votre fermier urbain,

Patrick

N’hésitez pas à visiter ma page Facebook, Fermier Ahuntsic, pour retrouver toutes mes chroniques, informations et événements pertinents à l’agriculture urbaine!

Pour en savoir plus sur le Club d’ornithologie d’Ahuntsic:
www.coamontreal.org ou 438-338-4138

BBQ de la rentrée – Afin de terminer en beauté la période estivale tout en remerciant ses bénévoles, Repère organise également un grand BBQ de la rentrée. Le tout se tiendra le jeudi le 4 septembre au 10780 Laverdure. Les gens de l’organisme en profiteront pour dévoiler leur programmation d’automne. Pour de plus amples informations: 514-381-3511, liaison@repere.org ou www.repere.org. Inscription obligatoire.

Cours de français – Vous éprouvez des difficultés en lecture et en écriture du français ? Le Créca offre également des cours gratuits de français de jour ou de soir. Les ateliers débutent mardi le 2 septembre. Pour informations, consultez le site Internet www.creca.net. Pour inscription, composez le 514-596-7629 ou le 514-596-7557.

Histoire de vie – Entraide Ahuntsic-Nord invite de plus les proches aidants du quartier à un atelier d’Histoire de vie qui leur permettra de se re-centrer sur leurs besoins propres. Cette démarche de groupe accompagnée par une animatrice spécialisée se tient aux 2 semaines, à raison de 3 heures par séance sur un cycle de 6 mois. Pour inscription (avant le 25 août) ou pour obtenir de plus amples informations: 514 382-9171.

Cours de français gratuits à temps partiel de jour ou de soir, au CANA. Inscription: 514 382-0735 poste 226 ou 221.


Professeur bénévole recherché Le CANA est présentement à la recherche d’un professeur d’anglais bénévole. Le candidat doit avoir un minimum d’expérience en enseignement et être disponible 8 heures par semaine (5h de cours et 3h de préparation) sur une période de 12 semaines débutant le 11 septembre. Pour plus de détails, ou pour proposer vos services: 514 382 0735 (poste 223).

AHUNTSIC
Parc Saint-Simon-Apôtre, Vendredi 22 août, 10 h à 14 h 30

Fête de la lecture avec contes, jeux, bricolages et spectacle le 24 août à la maison de la culture Ahuntsic-Cartierville de 10 h à 12 h. Le spectacle de Marionnettes du bout du monde, Le concierge de la bibliothèque est à 11 h

• Une ruche dans votre cour? Pourquoi pas!
• Les Pollués Montréal-Trudeau installent des stations de mesure de bruit
• La rue Fleury, au coeur de la vie de quartier
• Les raisons qui ne font pas de Montréal une ville pour les cyclistes

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