Les Actualités du 31 juillet 2015
Vous êtes nouveau, nouvelle, dans Ahuntsic-Cartierville? Bienvenue!
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ÉLECTIONS FÉDÉRALES 2015
Course à l’investiture libérale dans Ah.-C.
Y aura-t-il un vote comme promis par Justin Trudeau pour choisir le candidat ?
« Alors que les candidats des autres partis sont déjà connus et profitent de la saison estivale pour participer à différentes activités populaires dans le comté et solliciter l’appui des gens, le PLC n’a pas encore fixé la date de l’assemblée d’investiture », écrit M. Kassissia dans un communiqué.
Le PLC confirme qu’une quarantaine d’investitures n’ont pas encore été menées à travers le pays. « Nous sommes le parti qui avons tenu le plus d’investitures. Nous n’accusons pas de retard, il n’y a pas de délai dans Ahuntsic-Cartierville. La date sera annoncée prochainement », dit Olivier Duchesneau, porte-parole du PLC, sans donner plus d’indices quant à une possible date. Il ajoute qu’il n’est pas inhabituel que certaines investitures n’aient pas été terminées lors du déclenchement d’une élection.
Plusieurs candidats ont déjà commencé leur campagne depuis longtemps. Seuls quatre des huit candidats qui avaient souligné leur intention de se présenter à l’investiture demeurent en lice : Elie Kassissia, Grace Batchoun, Viken Attarian et Mélanie Joly.
Mais les rumeurs continuent d’abonder dans le sens que Justin Trudeau parachuterait Mélanie Joly dans la circonscription afin de commencer rapidement la campagne. « On a toujours un seul scénario – celui d’avoir une investiture », affirme Mélanie Joly.
« Ça ne prend pas la tête à Papineau pour comprendre que le PLC espérait faire de Mélanie Joly sa candidate dans Ahuntsic-Cartierville. Mais cette dernière s’est présentée dans la course à la dernière minute et les autres aspirants, tout comme moi, avions déjà un bon bout de chemin de parcouru. Elle fait sa campagne avec une attitude de prima donna. Elle n’est pas sur le terrain. Elle fait plutôt des tractations dans les coulisses », accuse Elie Kassissia.
« Est-ce qu’il y a une crainte (qu’un candidat soit choisi par Justin Trudeau)? Oui, il y a une possibilité. Mais notre chef a promis de tenir des investitures ouvertes », dit Viken Attarian avec confiance. « Si on n’a pas une investiture démocratique, ce sera difficile de rassembler tous les militants pour appuyer la personne gagnante. »
En fait, Viken Attarian s’inquiète plutôt du fait qu’une investiture tardive aurait un effet négatif sur la quantité de dons pour le parti dans la circonscription.
Un candidat doit-il habiter la circonscription?
Même si Mélanie Joly a grandi à Ahuntsic–Cartierville, les autres candidats, tous résidants de l’arrondissement, estiment qu’elle ne devrait pas être parachutée dans la circonscription. Mme Joly a affirmé au journal Le Devoir qu’elle ne promet pas de déménager dans la circonscription si elle est élue. « Les gens sont intelligents. Pourquoi avoir quelqu’un de l’extérieur? Qui dit une chose un jour et quelque chose d’autre un autre jour? » Les gens préfèrent un candidat qui réside dans la circonscription, affirme Mme Batchoun.
Mélanie Joly a insisté sur le fait qu’elle fait campagne « chez elle ». « J’ai grandi ici, ma mère est établie ici depuis des années. Je suis allée à Regina Assumpta. Pour moi, il n’y avait qu’une seule circonscription qui faisait du sens. » Elle ajoute que son seul but est d’aider à déloger Stephen Harper et d’assurer que la circonscription d’Ahuntsic-Cartierville redevienne libérale. « Je veux qu’Ahuntsic-Cartierville soit important dans l’échiquier politique au Canada. »
Mme Batchoun dénonce aussi le fait que les médias ont été complètement éblouis par la candidature de Mélanie Joly et ont laissé de côté les autres candidats. « On parle toujours de Mélanie Joly comme si les autres candidats n’étaient pas à la hauteur », se désole-t-elle.
Le PLC pourrait-t-il remporter la circonscription?
Selon le site politique www.Threehundredeight.com, le PLC aurait 84 % de chances de remporter le scrutin dans Ahuntsic-Cartierville. Selon ces estimations, Maria Mourani, l’ex-députée du Bloc québécois et maintenant candidate pour le Nouveau parti démocratique, risque de perdre son siège. (Par Mélanie Meloche-Holubowski) li
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Personnel déplacé et fermeture de lits
La présidente de la FIQ en furie à cause des changements à l’Hôpital Fleury
Jointe par journaldesvoisins.com, Mme Laurent, dont le syndicat représente plus de 65 000 professionnelles en soins infirmiers et cardiorespiratoires au Québec, était bien au fait de la situation qui prévaut à l’hôpital de la rue Fleury.
« On tricote et on détricote, a indiqué la leader syndicale. Un gestionnaire a pris une décision en février d’ajouter des lits et du personnel et l’on apprend par la suite que le financement ne venait pas avec. Y a-t-il eu planification? Ça sent l’improvisation », a décrié Mme Laurent.
« Imaginez l’impact d’une telle décision sur les employées qui ne savent pas maintenant où elles iront, sans connaître non plus les nouveaux horaires de travail qui les attendent », a-t-elle ajouté.
Coupes chez les infirmières auxiliaires
La présidente de la FIQ s’étonne des compressions qui toucheront aussi huit infirmières auxiliaires dans le cadre du projet d’urgence dite intégrée.
« Qui compensera pour le travail de ces infirmières auxiliaires en poste depuis plusieurs années? », a relevé Mme Laurent.
À son avis, l’employeur procède à des coupes sans une réelle analyse des conséquences sur la qualité des soins en utilisant le prétexte de vouloir mettre en place de meilleures pratiques cliniques et administratives.
Pour la FIQ, ce sont les infirmières auxiliaires qui subissent les plus grandes conséquences de la réorganisation en cours puisque 12 postes d’infirmières auxiliaires au total seront supprimés.
Réaction patronale
Selon la porte-parole du Centre intégré universitaire de santé et de services sociaux (CIUSSS) du Nord-de-l’Île-de-Montréal, Sylvie Lanthier, l’embauche de ces infirmières auxiliaires a eu lieu il y a quelques années dans un contexte de pénurie d’infirmières.
« Leur champ de pratique est restreint et elles doivent être supervisées par des infirmières. Elles doivent travailler en tandem et ne peuvent pas, par exemple, procéder à une évaluation du patient. Des décisions similaires ont déjà eu lieu au CHUM et à Maisonneuve-Rosemont. Mais nous tenons à rappeler que leur travail est apprécié. Ces employées ont été rencontrées et seront relocalisées», a précisé Mme Lanthier.
Rappelons que Fleury s’est vu dans l’obligation de procéder à une réorganisation afin d’éviter un déficit annuel récurrent de 2,8 millions de dollars.
La FIQ au combat
Mais la FIQ estime que les infirmières auxiliaires peuvent jouer un rôle très important dans la dispensation des soins. Le syndicat compte suivre de près les prochaines étapes du déploiement du nouveau plan qui sera mis en place le 8 septembre. En attendant, les syndiquées poursuivent leurs actions de mobilisation (port d’un t-shirt le mercredi, entre autres) en maintenant aussi le combat au plan des communications.
La FIQ fait campagne depuis plusieurs mois en proposant des suggestions « pour améliorer le système ». Entre autres, le syndicat propose d’élargir considérablement la capacité des infirmières à prescrire des médicaments. (Par Alain Martineau)
Monnaie virtuelle
Un guichet de bitcoins dans Ah.–C.
« Je viens ici à l’occasion, j’ai besoin de bitcoins pour acheter des produits électroniques en ligne », explique James, résidant du quartier et utilisateur du guichet automatique.
L’appareil est situé dans un coin à l’entrée du supermarché, à côté d’une pile de paniers et entouré de petites annonces. Il permet aux personnes d’échanger leurs dollars canadiens contre des bitcoins de façon « rapide, simple et économique », comme s’en vante Instacoin sur son site web, la compagnie qui exploite le guichet.
Selon le propriétaire de l’Euromarché Latina, Dominic Saltarelli, le succès de l’appareil ne s’est pas fait attendre. « Il y a déjà 30 à 40 personnes qui l’utilisent chaque jour », indique-t-il.
La procédure se résume en trois étapes. L’utilisateur présente un code QR (un type de code barre) à la machine, qu’il soit imprimé ou affiché sur son téléphone intelligent, afin que celle-ci accède à son portefeuille virtuel. C’est là que sont stockés ses bitcoins, en quelque sorte.
L’acheteur y introduit ensuite le nombre de billets désiré, pour qu’ils soient convertis selon le prix du bitcoin en vigueur. Une fois le transfert lancé, un reçu numérique de la transaction apparaît à l’écran, que l’on peut photographier afin d’en conserver une copie.
Distinction importante
Il faut toutefois bien distinguer les guichets automatiques de bitcoins des guichets automatiques bancaires traditionnels. « Un guichet classique est associé à votre compte bancaire et vous permet de retirer de l’argent, tandis qu’un guichet de bitcoins n’est en fait qu’une machine distributrice. Il vous permet seulement d’acheter des bitcoins avec votre argent, comme si vous les achetiez d’une autre personne », met en garde Francis Pouliot, directeur de l’Ambassade Bitcoin, une entreprise privée montréalaise dédiée à la promotion du bitcoin. Dans ce cas, les bitcoins proviennent directement de l’entreprise exploitante du guichet automatique, Instacoin.
Selon le site coinatmradar.com, l’île de Montréal compte 19 guichets automatiques permettant la vente et l’achat de bitcoins. L’entreprise Instacoin, dont les guichets permettent uniquement d’acheter cette monnaie virtuelle, en exploite la majorité. La plupart du temps, les appareils sont installés chez des commerçants, à qui les exploitants versent un loyer ou une partie des profits qu’ils réalisent.
Faire preuve de prudence
En février 2014, l’Autorité des marchés financiers (AMF) invitait les Québécois à être prudents lorsqu’ils utilisent le système Bitcoin, puisque les transactions impliquant cette technologie ne sont pas couvertes par le Fonds d’indemnisation des services financiers ni par le Fonds d’assurance-dépôts, et sont donc pas couvertes contre d’éventuelles pertes.
Le bitcoin est une monnaie virtuelle décentralisée, créée en 2009 pour contrer la dépendance aux banques. La valeur d’un bitcoin fluctue selon l’offre et la demande. Au moment d’écrire ces lignes, un bitcoin valait 410,96 $CAN selon le site web instacoinatm.com. En octobre 2014, www.coindesk.com comptait plus de 7,5 millions de portefeuilles virtuels à travers le monde. (Par Raluca Tomulescu)
Ahuntsic–Cartierville commencera la collecte de déchets organiques en 2016
d’Ahuntsic–Cartierville commencera graduellement, dès l’an prochain, la
collecte des matières organiques comprenant les résidus de table.
La
Politique québécoise de gestion des matières résiduelles appelle les
municipalités à traiter les déchets de table, les restes des repas et tout ce
que l’on retrouve en périphérie : pelures de fruits et légumes, mais aussi serviettes de table en papier et pâtes non englouties par votre estomac!
À
compter de 2016, confirme l’arrondissement d’Ahuntsic–Cartierville, on prévoit
implanter graduellement une collecte des résidus alimentaires de « porte à porte ».
Selon
le Service des communications de l’arrondissement, les
détails de cette collecte seront connus au cours de l’automne.
« Il
est trop tôt pour avancer un échéancier détaillé, précise-t-on. La gestion des
résidus alimentaires sur le territoire de l’arrondissement s’inscrit dans une
démarche collective qui s’appuie sur les orientations et les objectifs de la
Politique québécoise de gestion des matières résiduelles qui vise le
bannissement des matières organiques (incluant les résidus alimentaires) d’ici
2020 », a-t-on ajouté.
Récupération commencée sur l’île
Pour
arriver à son objectif, le gouvernement du Québec a mis en œuvre un programme
de soutien financier justement pour l’implantation d’infrastructures de
traitement.
D’ailleurs,
la métropole a déjà commencé la collecte des déchets de table dans
certains secteurs de la ville. L’automne dernier, 20 000 nouveaux foyers ont
reçu l’équipement nécessaire pour y participer.
Sur
l’île, on peut dire que près de 100 000 foyers participent à la collecte de
déchets organiques, notamment dans une bonne partie de Rosemont.
Signalons
que, chaque année, les Montréalais produisent pas moins d’un million de tonnes
d’ordures, dont 40 % sont des résidus provenant de la table. Pour l’instant, il
semble que le pourcentage de déchets collectés pour des fins de compost soit
faible : un peu plus
de 10 %.
Objectif ambitieux
Pour
l’instant, c’est en aval que tout est au ralenti. Un
responsable de la ville a même reconnu que Montréal ne sera pas capable
d’atteindre l’objectif qu’a fixé le gouvernement pour 2015, soit de récupérer 60
% des restes de table.
Jean-François
Lesage, agent de recherche à la Ville de Montréal, a confié récemment à un
média national que l’objectif était trop ambitieux, notamment pour le
traitement, qui présentement se fait surtout à l’extérieur de Montréal.
La
ville récupère une partie des résidus « traités », qui se
retrouvent en compost, lequel est par la suite distribué aux citoyens au Complexe environnemental
de Saint-Michel.
Appels d’offres pour des centres de traitement
La Ville a lancé récemment des appels d’offres pour la construction de Centres de
traitement des matières organiques (CTMO).
On
prévoit la construction de cinq nouvelles infrastructures, réparties sur quatre
sites : deux centres de compostage, deux centres de biométhanisation
et un centre pilote de prétraitement.
On
maintiendra la plateforme de compostage au Complexe environnemental de
Saint-Michel. Des appels de candidatures pour les comités de suivi des futurs CTMO ont aussi
été lancés. (Par
Alain Martineau)
Mise en valeur des locaux vacants
Programme cherche participants
Le but du programme, c’est que les façades des bâtiments restent belles et animées afin de préserver la « continuité de la trame commerciale » même lorsque des locaux sont inoccupés, selon un document de l’arrondissement dont journaldesvoisins.com a obtenu copie. Pour ce faire, le programme prévoit de rembourser la moitié des frais engagés par un propriétaire qui améliore l’apparence des vitrines de ses locaux vacants jusqu’à un maximum de 500 $.
« C’est sûr qu’un tel programme, c’est bon pour l’achalandage du secteur. C’est toujours mieux qu’il y ait un signe de vie quelconque », affirme Éric Bussière, propriétaire de la Cordonnerie Kelly située au 139, boulevard Henri-Bourassa Est. L’entrepreneur se dit surpris que le programme n’ait encore bénéficié à personne. Au cours des derniers mois, son coin de rue a vu plusieurs locaux se vider et les vitrines tapissées de papier brun.
La gérante Aurélie Lacombe, quant à elle, estime que les commerces vides qui entourent son café, Le Brûloir, situé au 343, rue Fleury Ouest, n’ont pas eu d’incidence sur ses propres affaires. Mais elle nuance ses propos. « C’est une zone qui est en train de se développer, c’est sûr qu’on gagnerait à ce qu’elle soit plus jolie, à ce que les vitrines soient plus entretenues », ajoute-t-elle.
L’arrondissement compte reconduire le programme annuellement, pour une dizaine de propriétés chaque fois. Pour être admissibles, celles-ci doivent respecter un ensemble de critères déterminés par la Direction du développement du territoire (DDT). Par exemple, les locaux doivent « être situés principalement au niveau du rez-de-chaussée d’un bâtiment » ou « à un endroit particulièrement visible en raison de l’achalandage piétonnier et véhiculaire ».
« Théorie de la vitre brisée »
L’idée d’Ahuntsic–Cartierville d’améliorer l’apparence des vitrines laissées à l’abandon est sans doute inspirée de l’expérience de Philadelphie, aux États-Unis, qui a vu depuis 2011 la criminalité diminuer de façon significative dans les secteurs où les propriétaires avaient entretenu les portes et les fenêtres de leurs locaux vacants.
« Il s’agit de la “théorie de la vitre brisée”, selon laquelle le délabrement du bâti dans un quartier entraîne généralement une détérioration du cadre de vie », expliquait le journaliste Pierre-André Normandin dans La Presse, le 17 juillet dernier.
L’Association des commerçants du boulevard Saint-Laurent semble avoir également été séduite par le concept, puisqu’elle a décidé d’investir dans un projet d’amélioration des façades pour contrer le vandalisme, apprenait-on dans le même article. Depuis quelques semaines, un recouvrement en vinyle affichant des œuvres artistiques protège les vitrines de plusieurs locaux vacants du boulevard, ce qui améliore l’atmosphère dans le quartier, selon les personnes interrogées.
Alors, propriétaires de locaux vacants d’Ahuntsic–Cartierville, à quand votre tour? (Par Raluca Tomulescu)
Marché mobile d’Ahuntsic–Cartierville
Des produits frais et accessibles dans les déserts alimentaires du quartier
« L’idée, c’est de se déplacer avec un camion de fruits et légumes dans les communautés qui sont les plus mal desservies dans Ahuntsic et Cartierville. (…) On va dans des zones qui sont ciblées par la Direction de la santé publique – dont on reçoit principalement notre financement – et que l’on appelle des zones de désert alimentaire. Ce sont des zones dans l’arrondissement où il faut parcourir plus de 500 mètres à pied pour accéder à des fruits et légumes frais », a expliqué en entrevue au journaldesvoisins.com Caroline Raimbault, coordonnatrice du Marché Ahuntsic–Cartierville (MAC) chez Ville en Vert.
D’après Mme Raimbault, si ces déserts alimentaires correspondent aussi généralement à des quartiers à plus faibles revenus, elles constituent donc avant tout des lieux où les besoins d’approvisionnement en fruits et légumes frais se font sentir. Organisme sans but lucratif, le MAC propose dans son marché mobile des produits le plus souvent en provenance de fermes locales québécoises et à des prix plus bas que ceux de l’épicerie.
« La mission du marché, c’est d’être accessible », résume Mme Raimbault.
Bon accueil
« Il y a une très bonne réception. (…) On va beaucoup dans les résidences de personnes âgées : là on sent un réel besoin d’approvisionnement. Le marché est aussi une activité sociale, donc on est très bien accueillis, on revoit les mêmes personnes chaque semaine. On a également des marchés comme au métro Sauvé où, là, c’est plus des travailleurs, des gens de passage. Mais c’est pareil : on est là du mardi au vendredi et il y a toujours un très bon roulement dans les achats », estime la coordonnatrice.
Outre des emplacements comme le YMCA Cartierville ou le CSSS Cartierville « qui ont encore besoin d’être développés », le marché mobile rejoint depuis cette saison de nouveaux lieux comme le Parc des Hirondelles dans Ahuntsic, où, a d’ailleurs noté Mme Raimbault, le bouche à oreille parmi les résidants s’est fait en quelques semaines.
« En général, c’est vraiment très positif, on est vraiment contents des commentaires des gens, parce qu’ils trouvent que les produits sont frais, qu’ils sont de qualité, qu’ils ne sont pas trop chers », souligne-t-elle en notant que le travail de sensibilisation des communautés et de développement des emplacements se poursuit.
Produits bio disponibles
Grande nouveauté cette saison, le marché mobile propose également à sa clientèle des produits biologiques – jusqu’à 20 % de l’ensemble de ses produits – en provenance d’une ferme de Lanaudière, la Ferme des libellules. L’occasion pour l’organisme de faire découvrir à sa clientèle de nouveaux produits, comme la fleur d’ail. Ville en vert offre également parfois des haltes maraîchères qui permettent des découvertes et des dégustations culinaires.
Né d’une concertation d’acteurs communautaires en 2009, le MAC a développé son volet marché mobile à compter de 2013. Il opère sous la gestion de Ville en vert depuis janvier 2015. Pour cette saison, le marché mobile poursuit ses activités jusqu’au 31 octobre.
(Par Rabéa Kabbaj)
Pour voir tous les emplacements et les horaires.
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Ajout de descriptifs en français sur les enseignes
Verra-t-on bientôt plus de français affiché au Marché central?
Il y aurait environ 20 % d’entreprises au Québec dont la marque de commerce est uniquement en anglais.
Au Marché central, de nombreux commerçants se contentent de ne mettre que leur nom d’entreprise ou leur générique sur leur enseigne.
L’immense secteur commercial compte une soixantaine de locataires, de grosses pointures dans le commerce de détail. On compte des entreprises comme Brick, Calvin Klein, Golf Town, Guess et Pier 1 Imports, pour ne nommer que celles-là.
De ce nombre, le tiers environ pourrait être invité à ajouter une touche de français sur leur affiche extérieure.
La situation est toutefois fort différente sur des artères comme Fleury Est et Ouest ou sur le boulevard Henri-Bourassa. On y trouve surtout des commerces de proximité et, depuis longtemps, contrairement à ce qu’on déplore chez plusieurs grands commerces, l’affichage se fait en français et comprend rarement un seul nom propre.
Les exceptions sont rares. Sur Fleury, le restaurant chinois « On Rock Garden » (au coin de Saint-Hubert) a finalement changé de nom il y a trois ans, avec l’arrivée d’un nouveau propriétaire.
Historique de l’affichage
Rappelons que la Cour Supérieure du Québec, dans un jugement rendu l’an dernier, a permis aux grands détaillants de poursuivre leurs activités sans avoir à modifier leurs enseignes commerciales pour inclure le français dans leur marque de commerce.
Le gouvernement du Québec a porté ce jugement en appel mais, au printemps dernier, la Cour d’appel a tranché en faveur des huit gros détaillants dans le dossier, dont Best Buy, Costco, Guess et Walmart.
Québec a décidé ne pas porter le jugement devant la Cour suprême, mais a plutôt annoncé qu’il allait jouer une autre carte en modifiant le règlement sur l’affichage commercial.
Une approche plus souple, comme l’a indiqué Hélène David, ministre de la Culture et des Communications, et responsable de la langue française. Rejoint par journaldesvoisins.com, son attaché de presse, Philip Proulx, a indiqué que la réglementation pourrait exiger qu’un slogan en français soit apposé sur l’enseigne.
Par exemple, la transnationale Costco pourrait ajouter une mention dans la langue de Félix à son enseigne géante du Marché central.
« Le projet de réglementation sera présenté à l’automne, a dit M. Proulx. Par la suite, les divers groupes d’intérêt réagiront et, si nécessaire, on pourrait apporter des
modifications », a-t-il mentionné.
Une aide financière pourrait être prévue pour certaines entreprises. « Nous parlons ici de nouvelles entreprises du secteur de détail, comme des gens qui viendraient s’installer au Québec. Il pourrait y avoir un processus d’aide pour eux », a mentionné le porte-parole. Mais il n’est pas question de venir en aide aux grosses entreprises. (Par Alain Martineau)
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Troc littéraire sur La Promenade Fleury
Trois boîtes d’échange de bouquins ont pignon sur rue
Ces boîtes renferment des trésors de littérature et vous pouvez peut-être y retrouver un livre qui vous tentait depuis belle lurette.
Le concept est simple : il s’agit d’un genre de troc de livres. On prend un livre, mais on est aussi invité à déposer un livre dont on ne veut plus. L’opération de partage, bien sûr tout à fait gratuite, bat son plein sur Fleury.
Comme les trois vieux pianos à « aire ouverte » installés plus tôt cet été, et qui suscitent beaucoup de curiosité, les boîtes à livres sont elles aussi au nombre de trois.
Elles se retrouvent devant la fromagerie Hamel (coin Saint-Charles), Kumon Ahuntsic–Saint-Michel, (près d’Olympia) et Renaud-Bray (coin Garnier).
Cette initiative connaît aussi beaucoup de succès ailleurs. Sur cette rue commerciale, il s’agit ici de l’un de nombreux projets de François Morin, le directeur général de la Promenade Fleury.
Plusieurs personnes ont collaboré au projet dont Marc-André Duranleau pour le design des boîtes, des élèves du Collège Mont-Saint-Louis, Karl Dupéré-Richer et Nico Lalart pour la décoration, ainsi que Les Ateliers d’Antoine pour la construction des boîtes. (Par Alain Martineau)
Parc Tolhurst
Faute de bénévoles, Moisson Montréal se retire des mercredis pique-niques
création d’une fresque, qui est maintenant affichée au Jean-Coutu sur la rue
Fleury Ouest.
Malheureusement, Moisson Montréal a annoncé qu’elle ne peut
plus participer à cette activité, comme elle l’avait fait le 8 juillet dernier,
par manque de bénévoles. Cet été, Moisson Montréal participe à divers
événements avec les camions de bouffe de rue afin d’encourager les gens à acheter un
repas en attente. Pour 10 $, les gens peuvent acheter un coupon qui permet à
une personne dans le besoin de se procurer un repas auprès des restaurateurs de
rue.
« On a dû retirer notre participation; on manque
de ressources à Moisson Montréal », explique Alexandra Cloutier.
Elle note toutefois que la participation de l’organisme au
mercredi pique-nique du 8 juillet dans le quartier a permis de sensibiliser
plusieurs Ahuntsicois aux besoins de Moisson Montréal. Quelques personnes
ont pu même profiter des coupons ce soir-là auprès du camion du Pied de cochon.
Déjà plus de 400 coupons ont été achetés dans toute la ville.
Moisson Montréal a comme objectif de distribuer 1000 coupons-repas d’ici
la fin de l’été.
Si Moisson Montréal ne peut pas venir aux Ahuntsicois, il
est toujours possible de faire un don sur son site web ou en envoyant un texto au #20222 avec le message « moisson ». Un don de 5 $
est alors débité sur votre compte de téléphone.
Les mercredis pique-niques se poursuivent jusqu’au 16
septembre. (Par Mélanie Meloche-Holubowski)
Nettoyage des puisards dans le quartier
Ce opération permet de retirer tous les débris qui s’y trouvent (boue, feuilles, roches et autres objets) et qui pourraient les obstruer.
Le nettoyage permet notamment d’éviter les inondations, tout en assurant une meilleure circulation de l’eau dans les égouts et l’élimination potentielle des mauvaises odeurs.
La Ville de Montréal compte près de 148 000 puisards sur son territoire. Les activités d’entretien et de nettoyage sont réalisées par les arrondissements. Annuellement, plus de 50 000 puisards sont nettoyés. (Par Mélanie Meloche-Holubowski)
Conseiller média au jdv
Éric attend votre appel!
Si vous êtes commerçant ou résidant et que vous désirez acheter une publicité pour la faire paraître sur le site Web
du jdv ou sur sa version papier, Le Mag, vous pouvez communiquer avec Éric. Il saura vous aider!
(P.R.) (2015-07-10)
Pour joindre Éric Lescure : publicitedesvoisins@gmail.com
ou 514 506-8665
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LETTRES OUVERTES
UN MAGAZINE À SAVOURER TOUT L’ÉTÉ
Journaldesvoisins.com, le mag, pour vous!
Au menu, des chroniques et des articles sur le voisin idéal; le 100e anniversaire du génocide arménien que les descendants ne veulent pas voir tomber dans l’oubli; les 30 ans de La Promenade Fleury; le mystère des dates de péremption; la nouvelle exposition de Cité historia; des oasis dans les déserts alimentaires; une présentation de Leo Fiore, dg de Tandem, et d’autres sujets qui sauront vous intéresser.
Faites-nous part de vos commentaires en nous écrivant à journaldesvoisins@gmail.com!
(C.D.)
Pour télécharger la dernière édition, cliquez ici
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BRÈVES…BRÈVES…BRÈVES…BRÈVES…BRÈVES…BRÈVES…
La Ville de Montréal a lancé un appel de projets pour son 375e anniversaire et invite tous les organismes de quartier à proposer des projets culturels, innovateurs et créatifs!
Chaque arrondissement a obtenu un budget pour la réalisation des projets, dont
270 695 $ pour Ahuntsic–Cartierville. L’arrondissement allouera 50 000 $ de cette somme à l’animation du Parcours Gouin dans le cadre du 375e anniversaire. Donc, la somme attribuée aux projets des organismes totalise 220 695 $. Chaque projet retenu se verra octroyer un montant maximum de 40 000 $.
L’objectif principal de l’arrondissement est la mise en valeur de la rivière des Prairies et de ses berges. Les organismes sont invités à soumettre des projets culturels en fonction de cet objectif. Jumelez vos talents et vos idées pour proposer un projet qui suscitera l’intérêt et dont on se souviendra longtemps! Ces projets devront créer des ponts entre la culture, l’histoire et la diversité.
Les projets doivent être soumis avant le 23 octobre 2015, 17 h.
Information sur l’appel de projets de quartier
Le programme des jardins communautaires célèbre cette année son 40e anniversaire. C’est pourquoi l’attaché politique de Marie Montpetit était présent au barbecue annuel du jardin communautaire Saint-Sulpice, situé à l’intersection des rues André-Grasset et Émile-Journeault.
La présidente du conseil d’administration, Joscelyne Jacques, a souligné que ce jardin est celui qui offre le plus d’espaces sur l’île de Montréal et elle est bien fière du partenariat entre les bénévoles du jardin et le SNAC.
« L’agriculture urbaine est un exemple concret de la vie de quartier très active que nous avons dans Ahuntsic. Je suis très fière d’encourager tous les jardiniers à travers mon programme de Soutien à l’action bénévole et de participer à cette belle initiative locale », a déclaré Mme Montpetit. (Source : Bureau de Marie Montpetit)
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LE COIN COMMUNAUTAIRE
Bénévoles recherchés pour les visites d’amitié aux aînés. Vous avez envie de vous investir bénévolement auprès des aînés de votre quartier? Le Centre d’action bénévole de Bordeaux–Cartierville vous invite à découvrir son stimulant projet de visites d’amitié. Nous sommes à la recherche de citoyens dynamiques qui désirent contribuer à l’amélioration de la qualité de vie d’un aîné. Pour plus d’informations, communiquez avec Isabelle Ladouceur, coordonnatrice de projets, au 514 856-3553 poste 2, ou écrivez à projet@cabbc.org.
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mercredi 5 août à la Maison des jeunes, au 12120, rue Grenet,
de 10 h à midi. (Source: Collectif-Aînés)
Info : 514 265-5780; www.expressionahuntsic.org (Source : Club Toastmasters Expression Ahuntsic)
- Améliorer le sentiment de sécurité des aînés : la création d’un réseau de sociabilité permet de briser l’isolement des personnes âgées dans le secteur Laurentien-Grenet, augmentant ainsi leur sentiment d’appartenance à la communauté.
- Créer un échange intergénérationnel : démystifier les jeunes et sensibiliser les aînés à l’utilisation de technologies modernes.
- Agir sur la sécurité des aînés : prévenir la criminalité chez les aînés en offrant diverses séances d’information sur la sécurité au quotidien. Pour participer, appeler au
514 335-0545. (Source : Tandem)
LE COIN DES COMMERÇANTS
Le coin des commerçants fait relâche jusqu’au 14 août.
QUOI FAIRE…QUOI FAIRE…QUOI FAIRE…QUOI
Du cinéma sous les étoiles au parc de Mésy. Pour profiter au maximum des chaudes soirées d’été, le Comité Fêtes de quartier Bordeaux–Cartierville vous propose de venir à ses événements de cinéma en plein air. Toute la famille pourra apprécier ces projections qui auront lieu les vendredis à la tombée de la nuit au parc de Mésy. À l’affiche, vous pourrez voir ou revoir Les nouveaux héros, Astérix et Obélix : Mission Cléopâtre, L’histoire d’une tortue et Le Pacificateur. Un service de cantine sera assuré par la Maison des jeunes et vous offrira maïs soufflé et boissons. Nous vous y attendons avec vos chaises pliantes et vos couvertures! Pour plus d’information, communiquer avec Charles Castonguay,
au 514 856-3553, poste 4. (Source : Centre d’action bénévole Bordeaux–Cartierville)
Unique au monde, le parc Exalto propose plusieurs parcours tracés dans d’imposantes structures en bois et en acier. Venez relever le défi en famille! Information et inscription : 514 382-0735, poste 225. (Source : CANA)
Soirée Ambiance Jazz par Mike Gauthier, Jean Cyr et Maude Bastien. Au cours des deux dernières années, le guitariste Mike Gauthier s’est concentré dans l’art du trio de guitare jazz (guitare, basse & batterie), il décide d’exploiter cet art lors de sa présentation au Rendez-Vous Du Thé. Afin de rendre sa soirée inoubliable, Mike sera accompagné de Jean Cyr à la basse et Maude Bastien à la batterie. Entrée libre – contribution volontaire (Source : Le Rendez-vous du thé)
Hommage à Leclerc et Vigneault. Renald Ouellet, auteur-compositeur-interprète, vous invite à redécouvrir les plus beaux textes de Félix Leclerc et de Gilles Vigneault. Tout en douceur, au piano, il vous interprète, à sa manière, les plus grands succès de ces deux grands poètes québécois. En toute intimité, il vous présente également quelques-unes de ses chansons originales. Entrée libre – contribution volontaire (Source : Le Rendez-vous du thé)
Soirée avec auteure-compositrice par Ariel Anisman. Passionnée de la musique, Ariel est une jeune auteure-compositrice, avec plusieurs chansons à saveur pop, ravie d’être en mesure de vous présenter ses œuvres le temps d’une belle soirée de musique! Entrée libre – contribution volontaire (Source : Le Rendez-vous du thé)
Poésie Blues – Le Blues de l’homme invisible. Dans le cadre du volet Poésie Blues, le FestiBlues International de Montréal et la bibliothèque d’Ahuntsic présentent, au Café de Da, Le Blues de l’homme invisible, un hommage au poète Patrice Desbiens. Animée par Maxime Nadeau, la soirée réunira Claude Beausoleil, Lucia Carballo, Urbain Desbois, François Guerrette, Caroline Le Gal, Vladimir Lortchenkov, Alain-Arthur Painchaud, Caroline Scott et Valérie Jacques-Bélair autour du poète invité pour une lecture d’extraits de son œuvre. Cette rencontre donnera lieu à la création d’un poème collectif à partir d’un vers du poète. C’est un rendez-vous à ne pas manquer, le Café de Da est situé au 545, rue
Fleury Est. Pour participer à cette activité gratuite, vous devez vous inscrire en composant le 514 872-0568 ou en vous présentant à la bibliothèque d’Ahuntsic, située au 10300, rue Lajeunesse. Les heures d’ouverture sont les suivantes : lundi, de midi à 18 h, mardi et mercredi, de 13 h à 21 h, jeudi, de 10 h à 21 h, vendredi, de 10 h à 18 h, samedi, de 10 h à 17 h, et dimanche, de midi à 17 h. (Source : Arrondissement)
Burles’Québec par Angélique Duruisseau. Angélique dans la peau de Mlle Lecocq vous propose une revisite des chansons de la Bolduc, d’Alys Robi, de Diane Dufresne et de Céline Dion. Soirée festive, humoristique et un tantinet coquine! Entrée libre – contribution volontaire. (Source : Le Rendez-vous du thé)
Combinez une sortie au musée et aux souks. Le Musée des sœurs de Miséricorde invite le public à combiner une sortie au musée et aux souks sur Gouin Ouest. À ces dates, le Musée offrira des visites sans rendez-vous, départs à 10 h 30 et à 14 h. Pour information : 514 332-0550, poste 1-393 ou museemisericorde.org. (Source : Musée des sœurs de Miséricorde)
Romance sous rythmes tropicaux par Charles Alnave. Auteur, compositeur et interprète, multi-instrumentiste (guitare, accordéon, piano, viola), il a appris, dès sa plus tendre jeunesse, à utiliser la musique comme médium pour communiquer aux autres ses vibrations. Autodidacte convaincu, il fait de la guitare un refuge, une compagne, une confidente à qui confier sa liesse et sa tristesse. Loin d’intensifier la chaleur, le feu des rythmes variés que nous apporte l’artiste Charles Alnave nous mène à un degré de rafraîchissement qui aura pour complice l’attrayante et chaleureuse ambiance du Rendez-vous du thé. Entrée libre – contribution volontaire. (Source : Le Rendez-vous du thé)
25 $ (60 $ pour trois concerts incluant Tango boréal)
Le mercredi 12 août à 20 h
Florilège estival : mélodies d’Europe méridionale à l’église Saint-André Apôtre, 10530, rue Waverly
Le jeudi 13 août à 20 h 30
Tango boréal : cour privée, adresse dévoilée après la réservation des billets.
Le vendredi 14 août à 20 h
Soirée hommage à la rue Chabanel et à l’industrie du vêtement : musique pour la fin du temps au 555, rue Chabanel, à l’espace des défilés.
Le samedi 15 août à 20 h
La filière Brahms : chefs d’œuvre pour cordes et piano, collège Regina Assumpta, au 1750, rue Sauriol Est.
Sault-au-Récollet, un quartier créé par les Sulpiciens. Parcourez le boulevard Gouin, un tracé fondateur, et découvrez cet ancien village rural, riche en bâtiments historiques, issu des premiers établissements des Sulpiciens. Départ à l’angle de l’avenue Saint-Charles et du boulevard Gouin Est, à proximité de la station de métro Henri-Bourassa ou en empruntant l’autobus 69 Est. Le parcours se termine à l’angle du boulevard Gouin Est et de la rue du Pressoir. (Source : Héritage Montréal)
Animation en danse et musique traditionnelle québécoise sur l’avenue Park-Stanley. La Société pour la promotion de la danse traditionnelle québécoise – SPDTQ/Espacetrad – aura le plaisir d’animer la nouvelle rue piétonne estivale sur l’avenue Park-Stanley, près du pont Viau. La SPDTQ/Espacetrad invite la population à faire l’expérience du Trad : sets carrés, contredanses, démonstration de gigue et valses sont au programme. Pour plus d’information, visitez notre site http://espacetrad.org/2015/07/03/animations-en-danse-cet-ete-dans-ahuntsic/. Apportez votre pique-nique! (Source : SPDTQ)
Autres idées d’activités sans date précise
Programmation des fins de semaine (vendredi, samedi, dimanche) du 26 juin au
6 septembre :
Vendredi : évaluation de la condition physique, de 18 h à 21 h
Samedi : évaluation de la condition physique, de 10 h à 13 h
Chasse au trésor GPS (géocaching) le jour sur le Parcours Gouin
Yoga en plein air avec Pop Yoga, de 18 h 30 à 19 h 30
Dimanche : évaluation de la condition physique, de 10 h à 13 h
Escouade Energiz’toi, de 13 h à 16 h
Chasse au trésor GPS (géocaching) le jour sur le Parcours Gouin
Cours de cardiovélo en plein air avec les Loisirs Sophie-Barat, de 9 h 15 à 10 h 15
Volleyball de plage, de 13 h 30 à 15 h 30 (Source : Arrondissement)
de 10 h à 17 h, les tentes d’une vingtaine de marchands éphémères seront regroupées sur un seul site, devant l’église Notre-Dame-des-Anges (5986, boulevard Gouin Ouest), face à l’Hôpital du Sacré-Cœur. Ce marché en plein air d’inspiration européenne et africaine viendra compléter l’offre commerciale du boulevard Gouin. Les commerçants du boulevard Gouin Ouest seront aussi de la fête : plusieurs participeront en sortant leurs marchandises sur le trottoir devant leur commerce ou en occupant un espace aux Souks. Pour s’informer ou
pour obtenir un espace gratuit aux samedis « Souks » sur Gouin Ouest, on visite
le site www.gouinouest.com. (Source : CDEC)
Du 10 juillet au 5 septembre est présentée l’exposition Avoir du panache, réalisée par le sculpteur et photographe Simon Beaudry. Des ateliers d’animation accueillent les clubs de vacances et les jeunes de l’arrondissement ainsi que leurs parents. Une grande murale installation sera créée à partir des œuvres réalisées par les quelque 300 jeunes qui y participeront pendant l’été. Inscrivez-vous dès maintenant en téléphonant
au 514 872-8749. (Source: Arrondissement)
Départs : 10 h 30 et 14 h. Les familles avec enfants et les groupes sont invités à réserver. Pour information, composez le 514 332-0550,
poste 1 – 393, ou visitez le site museemisericorde.org. Le Musée est situé au 12435, avenue de la Miséricorde. (Source : Musée des sœurs de Miséricorde)
Que ce soit pour jouer au tennis, au soccer, au football ou encore pour vous rafraîchir dans une de nos piscines ou pataugeoires, visitez les différentes installations de l’arrondissement. Consultez le Bulletin aux pages 10, 11 et 26 pour connaître l’horaire et les emplacements. (Source : Arrondissement)
au parc-nature de l’Île-de-la-Visitation. C’est une heure
de randonnée agréable et stimulante à travers les sentiers. Chacun se balade à
son rythme, en bonne compagnie et dans la bonne humeur. C’est
gratuit pour les membres de l’ARA (la carte pour l’été ne coûte que 6 $). Rien à
réserver : il suffit de se présenter. Les lundis matin à 9 h 30 (sauf
en cas de pluie) au bistro du parc de la Visitation (10897, rue du Pont, en prenant par le boulevard Gouin, un peu à l’ouest de De
Lorimier). (Source : ARA)
Numéros de téléphones utiles
Bibliothèque d’Ahuntsic : 514 872-0568
Bibliothèque de Cartierville : 514 872-6989
Bibliothèque de Salaberry : 514 872-1521
Café de Da : 514 872-5674
Le Rendez-vous du thé : 514 384-5695
Maison de la culture : 514 872-8749
* Les renseignements de la section « Quoi faire » sont publiés à titre indicatif. C’est avec plaisir que journaldesvoisins.com corrige les coquilles, mais il ne peut être tenu responsable d’erreurs ou d’omissions.
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québécois en entrepreneuriat, CQE Est de Montréal, édition 2014 - Participant à la finale régionale de Montréal
au Concours québécois en entrepreneuriat, édition 2014, dans la catégorie Économie
sociale
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